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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

 

 

La démocratie sénégalaise a toujours été considérée comme un exemple en Afrique, malgré les tensions qui ont toujours émaillé le champ politique depuis les indépendances.

 

L'histoire nous a enseigné que la rivalité entre  la SFIO de Lamine Gueye et le BDS de  Léopold Sedar Senghor avait conduit à l'instauration  des" bérets verts" et des "bérets rouges". Ceci traduit le degré d'adversité des deux protagonistes à cette période. Des affrontements durant leurs activités politiques ont occasionné des  pertes humaines et des blessés dans les deux camps. Lamine Gueye aurait d'ailleurs reçu un coup de feu en janvier 1955 lors d'une tournée politique en Casamance.  

 

Cependant, les deux hommes sont revenus à de meilleurs sentiments en privilégiant l'intérêt général de la nation au détriment des leurs ambitions personnelles en1958.

 

Le Sénégal à l'instar de plusieurs pays africains accèdent à l'indépendance en 1960 . Léopold Sedar Senghor devient le premier président de la République. Mamadou Dia était le Président du Conseil. Senghor était chargé de la gestion des questions extérieures et Dia s'adonnait aux affaires économiques.

 

Senghor et Mamadou Dia symbolisaient la complémentarité de deux visions différentes dans l'approche.

 

La crise politique de 1962 conduit à l'emprisonnement de Mamadou Dia , accusé de tentative de coup d'État. Le Président du conseil prônait un discours souverainiste tout en critiquant la gabegie et les dérives à l'endroit de certains fonctionnaires. Cette thèse est souvent avancée comme le principal motif de son incarcération avec plusieurs cadres pris pour complices dans ses agissements. Les tensions politiques étaient vives conduisant Senghor à décréter l'État d'urgence.

 

Sentant son incapacité à répondre aux attentes des Sénégalais, Senghor confie le pouvoir à Abdou Diouf qui fut premier ministre de 1970 à 1980. La transition fut démocratique même si Senghor avait préparé au préalable son dauphin.

 

Pendant vingt ans les rapports furent conflictuels entre Abdoulaye Wade et et le deuxième président de la République. Le Sénégal avait connu de vives tensions politiques en 1988 et plus tard en 1993 avec l'assassinat de Maître Babacar Seye ancien vice Président du conseil constitutionnel . Abdoulaye Wade fût ministre d'État sous le magistère de Diouf avant d'être arrêté en 1993 suite à son accusation du présumé meurtre de maître Seye au lendemain des élections présidentielles. Le pays avait connu des émeutes d'une violence inimaginable.

 

En l'an 2000, le pape du Sopi soutenu par une jeunesse engagée devient le troisième président de la République. Son accession au magistère suprême est saluée par la communauté internationale lorsque le président sortant,en gentleman reconnaît sa défaite en félicitant son plus farouche opposant. Le Sénégal écrit ainsi une nouvelle page dans les annales de la démocratie moderne .

 

Durant son mandat maître Wade emprisonne  Idrissa Seck qui fut premier ministre de 2002 à 2004, accusé pour un détournement de plusieurs milliard suite à un rapport de l'I.G.E occasionnant ainsi un soulèvement de la jeunesse.  Par la suite, Macky Sall qui voulait que Karim Wade soit entendu sur la gestion des biens publics échappe à la prison avec l'intervention de Serigne Bara Mbacke. Il devient ainsi l'un des plus grand opposant de son ancien mentor qui lui avait confié les plus grands postes de responsabilité du pays.  Avec maître Wade , le Sénégal avait connu une amélioration de la liberté d'expression ( multiplication des médias , la non interdiction des marches pacifiques et le dynamisme de la société civile). Toutefois, Abdoulaye Wade , en voulant imposer le quart bloquant provoque une contestation du peuple sénégalais occasionnant des pertes  humaines et des dégâts matériels. Abdoulaye céda face à la volonté du peuple.

 

En 2012, Macky Sall succède à Abdoulaye Wade . Une ère nouvelle s'ouvre dans l'histoire politique du Sénégal. Il prône une gestion sobre et vertueuse avec un  renforcement des institutions de la République. Il met à jour la CREI (Cours de de répression de l'enrichissement illicite). Un an plus tard, en Avril 2013 , Karim Wade est placé en garde à vue puis inculpé pour un détournement de deniers publics. Quatre ans plus tard Khalifa Sall est épinglé par le rapport de l'IGE pour un détournement des fonds de la caisse d'avance de la mairie de Dakar. L'opinion qualifie alors son incarcération de liquidation d'un adversaire politique qui prenait de l'ampleur. Le candidat qui promettait la rupture finit par réveiller les vieux démons de l'adversité politique . À cela s'ajoute l'instauration du parrainage perçu comme un moyen d'éliminer des opposants politiques. Sous le magistère de Macky,le Sénégal connu une ère de restriction des libertés qui se traduit par l'arrestation des journalistes, des activistes,de guides religieux et des opposants politiques. Ainsi,le président Macky Sall réussit à museler l'opposition sénégalaise  en la réduisant comme il l'avait prédit "en sa plus simple expression" .

 

En Août 2016, radié de la fonction publique pour un manquement de devoir de réserve  , Ousmane Sonko est révélé au grand public. Il devient en peu de temps l'opposant le plus radical du Président  Macky Sall. Il s'attaque à la fois au fonctionnement du  système  et à la politique néocoloniale en Afrique. Adulé par une jeunesse patriotique engagée, il parvient à s'imposer comme leader de l'opposition sénégalaise .Nonobstant son ascension fulgurante dans la scène politique, Ousmane Sonko devient une menace pour le parti au pouvoir Une tentative de diabolisation est engagée pour casser son élan. Il fut qualifié de rebel pour ses origines puis de salafiste . Critiquant les dérives du régime, il reçoit au retour des attaques de tout bord. La nuit du 2 au 3 février, Ousmane Sonko est accusé de viols répétitifs et menaces de mort par une jeune fille d'un salon de massage .Une affaire privée prend en otage tout un pays . Deux procès se dessinent : le procès politique et le procès moral. Ousmane Sonko appelle à la résistance tout en qualifiant l'affaire de complot concocté par la mouvance présidentielle. Une vague d'émeutes éclatent dans le pays, occasionnant quatorze morts et des dégâts matériels à coût de milliards . Plusieurs faits concourent à attiser le déferlement du soulèvement populaire ( scandales financiers dans la gestion des biens publics, restriction des libertés , une jeunesse sans emploi , une justice inéquitable et la détérioration des conditions de vie des populations . Même si l'affaire reste pendante devant la justice, le leader du Pastef parvient à gagner la bataille de l'opinion .

 

L'analyse de l'histoire politique du Sénégal nous montre que notre pays a connu des tensions liées à la diversité des idéologies, à la contradiction  des visions et la différence des ambitions. Les querelles politiques ont toujours secoué les piliers de notre stabilité. L'an 2024 s'approche, une impasse se dessine. La question des futurs potentiels candidats ne trouve toujours pas de réponse . À celà s'ajoute, une probable troisième candidature du président sortant qui fait débat. Notre pays n'a jamais vécu un tel scénario à la veille des joutes électorales.

 

Le Sénégal est plus que jamais à la croisée des chemins avec des enjeux géopolitiques dans un monde en pleine mutation. Le terrorisme prend de plus en plus de l'ampleur, l'appartenance ethnique est de plus en plus fréquente dans les discours, la justice est de plus en plus fustigée pour son impartialité et les régulateurs sociaux sont de plus en plus dans la réaction. En effet, la non prise en charge de ces considérations risque de briser les piliers fondamentaux de notre vouloir vivre collectif . L'adversité est permise dans le champ politique si seulement le conflit est orienté dans un débat d'idées constructives capables de transformer considérablement le vécu quotidien du peuple

 

Oumar Kassoum Dia Bocoum 

 

 

Des autoroutes vertes, c’est bien possible, du moins, selon le directeur général de l’agence sénégalaise de la reforestation et de la grande muraille verte qui croit dur comme fer avec que ce projet est bien réalisable. L’objectif est surtout de contribuer de manière efficace aux efforts de lutte contre le changement climatique dans le cadre du PSE Vert, projet cher au Président de la République, Son Excellence Macky Sall.

 

Le 07 Février est, chaque année, l’occasion renouvelée, pour le Rassemblement National Démocratique (RND), de rendre un hommage à Cheikh Anta Diop, fondateur et Premier Secrétaire Général de notre parti. En effet, trente-sept ans (37ans) après sa disparition, son souvenir reste toujours vivace dans nos mémoires. Ses enseignements toujours actuels parce que, jusqu’ici, non démentis par la situation peu enviable de l’Afrique d’hier comme celle d’aujourd’hui. C’est pourquoi, force est de constater que les idées qu’il a toujours prônées, fruits de la pensée scientifique mise au service du projet politique qui est le sien, constituent la source d’inspiration première du continent et de sa jeunesse en particulier, pour la libération et la renaissance de l’Afrique.

Il est devenu, une évidence d’une banalité navrante après plus de 60 ans d’expérience de vie séparée de nos micro -Etats, que l’Afrique reste toujours à la traine des autres parties du monde pour n’avoir pas su prendre son destin en main. Face à une telle situation et devant l’urgente nécessité, pour l’Afrique, de reprendre l’initiative historique et bâtir elle-même son avenir, les africains doivent s’approprier la pensée et le projet politiques de CHEIKH ANTA DIOP qui constituent la seule voix de salut pour le continent. Dans cette optique les panafricanistes ont la responsabilité historique et le devoir de travailler pour indiquer et orienter l’Afrique et sa jeunesse dans l’engagement politique tel que prôné par CHEIKH ANTA DIOP pour la libération du Continent noir et la réalisation de son unité fédérale.

 Pour se faire il est urgent de réaliser l’unité de tous les panafricanistes du continent. C’est pourquoi le Rassemblement National Démocratique (RND), parti créé et dirigé, en premier lieu, par feu le Pr. CHEIKH ANTA DIOP pour la matérialisation de ses idées, conscient de sa mission historique et déterminé, avec sa nouvelle direction, pour que la flamme ne s’éteigne, s’engage à s’y atteler résolument. Par conséquent le RND lance un appel solennel à tous les camarades, disciples et militants panafricanistes du Sénégal, pour réaliser l’unité organique autour du legs fondamental du Pr. CHEIKH ANTA DIOP, c’est-à-dire son projet politique dont le RND, parti qu’il a lui-même créé, est le cadre approprié de sa mise en œuvre. En fin, en cette année 2023, année du centenaire de la naissance du fondateur et premier secrétaire général du RND, CHEIKH ANTA DIOP, nous invitons tous les camarades et compatriotes africains du Sénégal, d’Afrique et de la Diaspora à célébrer avec faste ce centenaire.

Pour le Secrétariat Exécutif Politique, le Secrétaire General Bouna Alboury Ndiaye ‘’ KU BEREEY DAAN’’.

Dans le cadre de la mise en œuvre de ses initiatives, l'Agence Sénégalaise de la Reforestation et de la Grande Muraille Verte (ASERGVM) a inauguré des jardins botaniques installés dans les écoles élémentaires Touba Diacksao de la commune de Pikine-Est. Selon le directeur de l'ASERGMV, Oumar Abdoulaye Ba, "il faudrait prendre en compte l'éducation environnementale dans nos établissements scolaires, pour créer un environnement sain au niveau de l'école. La plupart de l'espace qu'on avait entre les salles de classes et les murs ce sont des dépotoirs d'ordures. Cela était regrettable et nous avons pris l'engagement de joindre l'utile à l'agréable, c'est à dire créer un environnement sain, transformer ces poubelles et en faire des jardins qui sont capables de produire des revenus pour les femmes", a-t-il annoncé. Une opportunité qui permet de régler énormément de choses pour la recherche de solutions. "Des solutions pour lutter contre le changement climatique. Mais aussi des solutions à la désertification, des solutions à la résolution de la souveraineté alimentaire.

La grande mobilisation notée ce dimanche au terrain CFA de Djeddah Thiaroye Kao au terrain CFA est sur toutes les lèvres. Les militants et sympathisants de la grande coalition Benno Bokk Yakaar s’y étaient donnés rendez-vous pour montrer toute leur détermination à porter la candidature du Président Mack Sall pour la prochaine présidentielle. Pour Malal Diallo Pith, responsable APR qui a, lui aussi, réussi une belle démonstration de force avec une exceptionnelle mobilisation, « il faut dire que les gens sont enthousiastes de voir Benno Bokk Yakaar continuer à porter encore l’excellent travail que le chef de l’Etat est en train de réaliser depuis 2012 à la tête de ce pays. Nous en redemandons encore et cela commence en 2024. Le Président doit maintenant être rassuré de notre soutien et de celui de tous les sénégalais qui ont pris part à cette manifestation XXXL tenue à Pikine ce week-end ».

Qui gagne la banlieue, gagne les élections. Cette assertion confirme la confiance nourrie par les responsables et les militants de Benno Bokk Yakaar qui ont réussi la prouesse de faire du terrain CFA de Pikine plein comme un œuf, le sujet de discussion dans les médias et les grand-places.  Le responsable APR de Pikine Malal Diallo Pith a profité de cette occasion pour lancer un appel retentissant en perspective aux prochaines échéances. « A tous les responsables de la grande coalition, il est impératif que tous se mobilisent pour non seulement voter pour le candidat Macky Sall, mais aussi de diligenter le processus d’inscription des primo-votants sur les listes électorales. L’objectif est de favoriser ces inscriptions en masse pour rassurer et garder intact l’électorat du Président Macky Sall », a préconisé Malal Diallo Pith.

La forte nostalgie qu’ils ont pour le Sénégal ne les empêche pas de s’organiser en perspective aux prochaines échéances électorales. Entre vente des cartes, remobilisation et la tenue d’initiatives pour organiser la cérémonie de déclaration pour porter la candidature de Macky Sall en 2024, les militants de la coalition Benno Bokk Yakaar affinent leurs ‘’armes’’ et se préparent activement pour faire gagner la coalition présidentielle.

 

La DSE Côte d’Ivoire, à sa tête le coordinateur Dame Faye, le député Dial Sané, son suppléant Abdourahmane Thiam, le président de l’amicale centrale des Sénégalais de Côte d’Ivoire Tidiane Ly et tous les militants et la communauté sénégalaise vivant en Côte d’Ivoire se sont donnés rendez vous, ce dimanche 5 Février 2023 à Bouaké. L’objectif était doublement de faire acte de reconnaissance  à l’égard des les militants, sympathisants et responsables de la coalition BBY Côte d’Ivoire, mais aussi de donner le coup d’envoi de la vente des cartes de l’APR sur la demande de son excellence le président Macky Sall.

 

A l’issue de cette activité, la déclaration solennelle de Bouaké a été formulée pour demander officiellement la candidature du Président Macky Sall en 2024. Pour apporter un suivi à cette ferme intention, l'honorable député Dial SANE a donné rendez le 11 Février 2023 à Treichville pour une cérémonie de "Sargal" dédiée à la communauté sénégalaise vivant en Côte d’Ivoire après son élection comme député de la Diaspora.

 

Dans le cadre d’une politique d’autonomisation, plus de 250 jeunes ont reçu un financement de la Délégation à l’entrepreneuriat rapide (Der). Cet appui d’un montant de 11 millions 200 mille francs CFA a été rendu possible grâce à Ousmane Ly, membre du directoire national du Parti des libéraux et démocrates/And Suqali (Pld/AS), tout comme Mbaye Fama Niang qui a travaillé à la base pour ce projet. Cette politique, soutiennent-ils, consiste à réduire l’oisiveté des jeunes et lutter contre l’exode rural. «Pus de 250 jeunes ont été financés à hauteur de 11 millions 200 mille francs Cfa. Le virement bancaire est effectif depuis trois jours. Certains ont reçu leur dû via les plateformes de transfert d’argent. C’est un appui destiné aux jeunes et femmes de moins de 40 ans sans parti-pris. Par ce financement, nous voulons réduire le taux de chômage des jeunes qui passent des journées à ne rien faire. Nous sommes, outre notre casquette de responsables politiques, des acteurs très engagés de développement», fait savoir Ousmane Ly. Selon lui, au-delà de sa commune, des jeunes et femmes d’autres localités ont bénéficié de ce financement. «On poursuit le recensement des femmes et des jeunes. Notre cible, ce sont les moins de 40 ans. On est partisan du développement. Les financements ont été effectués sans parti pris. On est en période de soudure», explique-t-il.

En étroite collaboration avec le gouvernement, Ousmane Ly soutient que la Der est en train de faire de belles réalisations dans le nord. C’est que, estime-t-il, les gens ne sont pas bien renseignés ou ne maitrisent pas les procédures pour en bénéficier. «Nous sommes là pour les encadrer, les assister. Nous remercions l’équipe de la Der qui a bien voulu accorder ce financement à ces jeunes ambitieux, dynamiques et travailleurs», se réjouissent Mbaye Fama Niang et son  camarade de parti du PLD/AS Ousmane Ly pour qui, le projet est concret. Et les bénéficiaires sont, entre autres, des mécaniciens, des agriculteurs, des tailleurs, des menuisiers, de la commune de Ndiandane. Pour la gent féminine, il faut rappeler qu’elles s’activent principalement dans la transformation de produits locaux, le petit commerce, etc.. En somme, des activités génératrices de revenus.  «Il faut que ces jeunes-là soient aidés pour développer leur terroir. Nous le faisons dans la plus grande discrétion sans aucune discrimination. Et cela s’est généralisé dans d’autres communes dans le cadre de la lutte contre le sous-emploi», explique-t-il.

En contrepartie, il recommande aux bénéficiaires d’honorer leurs engagements. C’est-à-dire de s’acquitter du remboursement de la dette. Pour un jeune qui vient de monter son projet, il peut bénéficier d’un prêt d’un à deux millions de francs Cfa. S’il rembourse à temps, selon les clauses du contrat, il pourra prétendre à plus lors de la deuxième échéance. «A chaque fois que le montant est remboursé par un client, si ce dernier en exprime la demande, le Der va lui virer automatiquement via les plateformes de transfert d’argent», rassure Ousmane Ly.

 

 

 

 

Rien ne sera de trop pour une parfaite mobilisation ce dimanche 5 février au terrain CFA de Djeddah Thiaroye Kao de Pikine. Le responsable APR Malal Diallo Pith a sorti sa tirelire pour réussir cette importante activité en attachant un bœuf et en abreuvant les citoyens-militants à hauteur de 5000 packs d’eau.

«Je me vois parfaitement dans cette initiative politique qui va voir le Président Macky Sall investi pour la prochaine élection présidentielle de 2024 par les départements de Pikine, Guédiawaye, et Keur Massar. C’est une manière pour moi d’exprimer mes sentiments de fierté de voir le Président Macky Sall rempiler en 2024 eu égard pour son riche bilan qui a fini de mettre ce pays sur les rampes de l’émergence», s’est ainsi exprimé Malal Diallo Pith.

Brutalement sortie des méandres de l’administration centrale, une bande d’amis avait décidé  de renverser le système.  Ils sont moulés par le ‘’système’’,  qui les a façonnés et comme dans le mythe de Sisyphe, il faut tuer le père pour épouser la mère. Le mouvement pastéfien né dans l’opportunisme et enfanté par la violence n’avait qu’un discours articulé autour du triptyque : Mensonge,  révélation et violence verbal.  

 

Malheureusement,  c’était mince comme doctrine, car aucune religion,  aucune culture  n’admet le mensonge. Et, j’aime rappeler cette pensée de Confucius : «seuls les fous pensent qu’entre le vice et la vertu, ce n’est qu’une question d’opinion». Une personnalité qui souhaite nous diriger et n’à comme source que Google et autres moteurs de recherche est tout sauf  sérieux.

 

 L’attaque contre le Ministre du tourisme,  il  l’a appris à ses dépens, que les gens ne réagissaient pas pour deux raisons. La première, c’est que tout le monde n’est pas comme lui, et pour beaucoup, le sens du secret professionnel  signifie quelque chose. C’est-à-dire la base d’une administration  sérieuse. Si on se mettait à  déballer, il est clair que la charpente de la nation va s’écrouler. La deuxième raison est simplement attachée à l’éducation de ses adversaires. 

 

La valeur de kersa est profondément vécue par beaucoup de Sénégalais. Jouer au  Zorro avec des mensonges qu’il a du mal à assumer montre simplement que cette  bande avait une mission autre que l’épanouissement des Sénégalais, surtout de la jeunesse. L’autre angle d’analyse repose sur le renversement de perspective. En effet, les grèves dans le secteur de l’éducation, combinées aux effets des réseaux sociaux, ont fait que la plupart des jeunes ne sont pas préparés à recevoir une information, à l’analyser et à le comprendre l’essentiel.  Autrement dit, le doute sceptique est le parent pauvre chez la génération actuelle.  

 

Il faut nécessairement renforcer le service civique national pour ne pas dire qu’il faut ramener le service militaire, afin que cette jeunesse comprenne le sens de la nation et de la citoyenneté. Le mythe du petit monsieur va sans doute disparaître comme du beurre au soleil. Le mensonge et l’affabulation ne sauraient être un programme politique.

 

Dr Bassirou NIANG

 

Dans le cadre de la réalisation de la nouvelle centrale électrique a gazWest African Energy (WAE) de 300 MW, le Président de Afreximbank, en compagnie de l’Administrateur de West African Energy (WAE) et d’une délégation de la Senelec, ont procédé, hier, à la visite des chantiers du Cap des Biches. Cette première centrale à gaz du Sénégal est à un peu plus de' 40% de réalisations et sera bientôt fonctionnel car le matériel bientôt a Dakar.

 

Ce projet de 366 MW installé dans le site industriel de Cap des Biches est développé par des partenaires Sénégalais et sa particularité est l’utilisation du gaz domestique qui sera produit dans quelque années dans notre Pays. Ce sera la première centrale qui va utiliser le gaz. « L’état d’avancement des travaux est à un peu plus de 40% et nous espérons l’avoir très bientôt pour le bénéfice de la clientèle et du Sénégal. Je rappelle que 40% du personnel qualifié sera de nationalité sénégalaise. Durant la phase construction 100% des employés non qualifiés seront aussi Sénégalais», a fait savoir Fadilou Seye, Directeur exécutif du projet et agent de la Senelec.

Sur le plan du coût de production on a noté une baisse parce que le combustible n’est plus importé. Pour le côté environnemental, la centrale va utiliser des machines très performantes car le gaz est plus propre que le combustible liquide. De ce fait les émissions seront réduites. L’autre avantage c’est la participation à l’offre énergétique. La demande de l’énergie croît chaque année et selon les prévisions de la Senelec nous avons une croissance annuelle et moyenne de 9,1%. 

 

Le Président de Afreximbank Pr Bénédicte Orama a félicité les sponsors et a loué le partenariat entre le projet et la Banque . Il a magnifié le fait que le projet cadre avec les ambitions du gouvernement du Sénégal en permettant au Sénégal de profiter de son gaz et de sa capacité énergétique. Il s’est aussi félicité avec les sponsors au développement d’un deuxième projet qui est de Nda qui va permettre d’apporter plus de capacités pour augmenter l’énergie au Sénégal et améliorer la qualité de vie.

 

CMU
cmu