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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Dans la conquête du pouvoir suprême, le premier ministre Amadou Ba, porte-étendard de la majorité et candidat à la  présidentielle, bénéficie d'une force de frappe électorale certaine. Il s'agit d'une entité dénommée ‘’Plateforme des cadres’’ composée de médecins, d'enseignants, opérateurs économiques, d'acteurs de la communication, de femmes, de jeunes, de Sages appartenant à différentes catégories socioprofessionnelles.

 

La rencontre de dimanche dernier, 25 février, à la permanence de l'APR des Parcelles Assainies, a donné l'opportunité aux dirigeants de la ‘’Plateforme des cadres’’ tels Djiby Sow, Moussa Daf, de dire tout leur engagement autour de Amadou Ba pour la victoire de ce dernier dès le premier tour lors du prochain scrutin présidentiel.

 

Dans cette bataille pour la conquête du pouvoir en faveur du premier ministre Amadou Ba, la Présidente des femmes de la dite Plateforme, Fatou Gueye Thiam, de surcroit leader d'une vaste association de développement, a dit toute sa détermination à travailler sur le terrain pour une victoire éclatante de leur candidat, qui selon elle, a le meilleur profil par rapport aux autres, pour faire du Sénégal un pays de prospérité et de paix.

 

Le premier ministre Amadou Ba s'est fortement réjoui du soutien de taille de la ‘’Plateforme des cadres’’ et s'est engagé à lui apporter l'appui nécessaire pour la victoire Finale.

Mouhamed Al Amine Thioune.

 

Un éboulement survenu, samedi, sur le site d’orpaillage clandestin Djima-Djoura du village de Mamakho a fait trois morts et plusieurs blessés graves.

Le drame s’est produit aux environs de 17heures dans cette localité de la commune de Sabodala, provoquant la mort de deux personnes de nationalité sénégalaise et une de nationalité malienne.

Les corps des victimes ainsi que les blessés graves ont été transférés à l’hôpital régional de Amat Dansokho par la brigade régionale des sapeurs-pompiers de Kédougou. Une enquête a été ouverte par la brigade mobile de la gendarmerie de Sabodala.

Un autre éboulement survenu, samedi, sur un site d’orpaillage clandestin à Bantako dans la commune de Tomboronkoto a fait un mort.

 

Le leader du mouvement And Défar Sénégal (ADS/Sunu Yitté) participe au dialogue national. Modou Guèye, puis que c’est de lui qu’il s’agit pense que le dialogue a ses vertus et qu’il urge de l’instaurer pour venir à bout de nos différends:

« Nous sommes preneurs de l’appel au dialogue lancé par son Excellence Monsieur le Président de la République Macky Sall. Le dialogue est une condition sine qua non pour maintenir intacte l’exception sénégalaise. Comme on dit souvent, la discussion est le tamis de la vérité. Il ne sert à rien d’être sourd à l’appel du devoir ».

Et il rajoute: »Le pays est dans une situation inédite. Le Président Macky invente des mécanismes pour le sortir du guêpier politico-judiciaire. Alors, il est une question de bon sens, de patriotisme que d’accepter de prendre part à ces concertations. L’on ne peut rien bâtir de grand et de durable quand le peuple souverain ne se réconcilie pas avec lui-même », s’est expliqué M.Guèye.

Il est clair qu’après le dialogue inclusif qui va démarrer ce 26 février et qui va se conclure par une Présidentielle inclusive et transparente, le Président Macky Sall va céder le pouvoir et bénéficier d’une carrière internationale bien méritée. Irritée par une telle réussite, l’opposition radicale sénégalaise se livre à un lynchage médiatique devenu au fil du temps une obsession. Elle est aidée en cela par une presse étrangère qui ne s’accommode plus des règles de déontologie qui doivent guider le métier d’informer.

«La résolution de l’équation gambienne»
A la suite de la volte-face de Yahya Jammeh, la CEDEAO a confié au Sénégal, le commandement d’une force armée pour intervenir en Gambie et restaurer la dignité constitutionnelle. L’engagement du Président Macky Sall à exécuter le mandat de la CEDEAO, a conduit le Président déchu Yahya Jammeh à accepter la médiation des présidents mauritanien et guinéen en empruntant les chemins de l’exil qui l’ont mené en Guinée Equatoriale. Les diligences du Sénégal pour faire adopter des résolutions par la Cedeao, l’Union africaine et les Nations unies ont conforté le leadership du Président Macky Sall, qui a su faire preuve de fermeté, depuis le début de la crise, pour «faire échec» à la tentative de Yahya Jammeh de confisquer le pouvoir perdu par les urnes.

«La présidence du Conseil de sécurité»
Le challenge diplomatique du Sénégal a été aussi la présidence mensuelle du Conseil de sécurité durant le mois de novembre 2016. Cette situation a consacré la posture diplomatique de notre pays couronnée par l’expertise de nos diplomates en poste à New York qui ont hissé l’étendard du Sénégal, encore plus haut, aux Nations unies. Cette présidence sénégalaise aura été un succès diplomatique sans précédent, salué par la Communauté internationale grâce au consensus général qui a prévalu lors des travaux du Conseil, la nature des huit résolutions prises, la pertinence des thématiques majeures proposées par le Sénégal, notamment sur l’eau, etc.

«La résolution contre la colonisation israélienne»
Au-delà de la présidence du Conseil de sécurité, le Sénégal a réussi une remarquable percée diplomatique à la faveur de la présentation devant le Conseil de sécurité, de la résolution 2334 dénonçant la colonisation israélienne dans les territoires occupés, qui a été adoptée le 23 décembre 2016 par quatorze voix contre une abstention américaine. Le rappel de l’ambassadeur d’Israël en poste à Dakar pour consultation, l’annulation de la visite du ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, de la présentation des lettres de créance de l’ambassadeur du Sénégal en Israël, avec résidence au Caire, et des programmes de coopération avec le Sénégal n’ont pas entamé la position constante du Sénégal qui, depuis 1975, préside le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du Peuple palestinien.

«La présidence de la CEDEAO»
L’année 2016 a été aussi marquée par le bilan de la présidence sénégalaise de la CEDEAO. «Le Président Macky Sall a géré des crises complexes, notamment le coup d’Etat au Burkina Faso, et a tenté d’imposer une gestion financière plus saine, en appelant notamment à ce que l’argent soit utilisé pour des actions concrètes, plutôt que pour verser des salaires.» Par ailleurs, il a réussi à engager la discussion sur «la gestion sécuritaire, le partage d’informations ou encore la coopération» dans un contexte marqué par une recrudescence des attaques djihadistes à «Ouaga­dougou, à Grand Bassam et surtout au Mali où la Mission des Nations unies au Mali (Minusma) a été durement frappée par des attentats meurtriers». L’un des derniers actes posé par le Président Macky Sall a été la carte d’identité biométrique CEDEAO, pour une plus grande fluidité de la circulation des personnes et des biens dans l’espace communautaire.

«La visite d’Etat en France»
Incontestablement, le couronnement de la diplomatie sénégalaise a été la visite d’Etat du Président Macky Sall en France ; une première depuis le Président Abdou Diouf, en 1992. Les succès politique et économique de cette visite sont aussi perceptibles dans les nombreuses distinctions et les accords de coopération signés entre la France et le Sénégal. A l’occasion, le Président Macky Sall a été élevé au rang de Docteur Honoris Causa par le Conservatoire national des arts et métiers de Paris, avant d’être installé comme membre associé de l’Académie des sciences d’Outre-mer.

«La visite du Roi du Maroc Mohammed VI»
A l’ occasion de son 9ème déplacement à Dakar, le Roi Mohammed VI a conforté l’exemplarité des relations qui unissent le Royaume chérifien au Peuple sénégalais. Une proximité qui prouve, selon le Président Macky Sall, que «le Sénégal et le Maroc ne sont plus dans le cadre de relations traditionnelles et diplomatiques, mais plutôt dans une perspective de relations d’amitié et d’amour spéciales, particulières». Lors du dernier séjour du Roi au mois de mai 2015, treize accords, portant notamment sur l’industrie, la santé animale, le tourisme et l’environnement, ont été signés entre les deux pays. L’autre temps fort de ce séjour a été le discours historique prononcé par le Roi, pour la première fois, hors du Maroc, pour marquer un évènement historique : la marche verte. Une initiative royale qui constitue, selon le Président Macky Sall, «une marque d’amitié, une marque de confiance faite au Peuple sénégalais».

«La visite du Premier ministre Manuel Valls»
L’autre fait marquant de la diplomatie sénégalaise a été la visite officielle du Premier ministre français, Monsieur Manuel Valls, au Sénégal, un pays considéré comme un «exemple à suivre», un «modèle de stabilité démocratique». Le temps fort de cette visite a été le Séminaire intergouvernemental franco-sénégalais qui a débouché sur la signature de deux conventions de financement par l’Agence française de développement (Afd), d’une troisième usine d’eau potable à Keur Momar Sarr, baptisée Kms3, d’un montant de 63 milliards de F Cfa, et de la construction de «deux Instituts supérieurs d’enseignement professionnel (Isep) à Richard- Toll et à Bignona» pour environ 13, 119 milliards de F Cfa. La revue de la coopération économique entre la France et le Sénégal a permis de constater que depuis l’accession à la magistrature suprême de Son Excellence Macky Sall, la France a accordé au gouvernement sénégalais, un appui budgétaire conséquent d’environ 85, 7 milliards F Cfa, «le plus important soutien budgétaire jamais mobilisé par notre pays».

Dans le cadre du financement du Plan Sénégal émergent (Pse), vingt-trois (23) conventions de financement avec la France, évaluées à 317 milliards de F Cfa, ont été paraphées. Ce qui témoigne de la place privilégiée que la France accorde au Sénégal.

«Traitement salarial : la diplomatie de l’harmonisation»
Le Président Macky Sall a pris la décision d’augmenter les salaires des diplomates sénégalais dans certains pays de la sous-région. Aujourd’hui, ces derniers ont les mêmes privilèges que leurs collègues en poste en Europe ou en Amérique. Il s’est agi pour le Président Macky Sall de renforcer «les pays de la ceinture de sécurité, à savoir la Gambie, la Mauritanie, la Guinée-Bissau, la Guinée Conakry et le Cap-Vert». Aujourd’hui, un diplomate qui travaille en Gambie est aussi bien payé qu’un diplomate qui officie en France, en Espagne ou aux Etats-Unis. Le Président Macky Sall a instauré la diplomatie de sa géographie pour mieux renforcer la coopération dans la zone de la ceinture de sécurité.

Il y a ses succès à la tête de l’Union africaine. Grâce à son leadership, l’Afrique a décroché un siège au sein du G20. Durant la même période, il affiché les positions du continent durant la guerre russo-ukrainienne en obtenant des accords sur le commerce céréalier. Face à ces innombrables succès, le Président Macky Sall mériterait même un poste comme celui de Secrétaire général des Nations unies (Onu) et celui de la Francophonie. Cette réussite post-présidence irrite les opposants, à leur tête Mme Aminata Touré, qui utilise ses réseaux onusiens pour salir l’image du Sénégal et de celui qui incarne les institutions. Une manœuvre non patriotique, vouée à l’échec.

 

Ce dimanche 25 février est un jour de retrouvailles entre le Premier Ministre Amadou BA et les populations des Parcelles Assainies. Mais c’était une bonne occasion pour le candidat de Benno Bokk Yakaar de revenir sur le dialogue national qui s’ouvre ce lundi et auquel il compte prendre part en tant que républicain d’abord et en tant que candidat ensuite.

Devant une foule venue nombreuse, le Premier Ministre Amadou Ba a prôné l’unité dans les rangs de l’APR et de la coalition. Il a déclaré ceci : « Je vous remercie pour cette forte mobilisation… Je suis agréablement surpris de la présence de Ndèye Saly DIOP DIENG ainsi que celle de Zahra Iyane THIAM. Je remercie Mbathio NIAKHASSO et les femmes qui ont gagné le pari de l’unité. Votre forte mobilisation montre que l’unité est revenue aux Parcelles, parce que le constat est que dans le parti nous avons des défis de cohésion et d’unité».

 «Nous responsables, nous sommes rien sans les militants, le pays est au dessus de tout.  Mais nous sommes prêts pour cette élection, et auparavant, j’invite les responsables à descendre sur le terrain. La victoire se gagne sur le terrain et non dans les maisons entre quatre murs. Il faut que nous descendions sur le terrain, la victoire est à portée de main de Benno Bokk Yakaar. Tout ce bruit autour de moi, me donne plus de détermination …je fais focus sur les élections », a -t-il indiqué.

 

 

 

 

 

En marge de la 13ème Conférence ministérielle de l’OMC, qui s'ouvre ce lundi 26 février à Abu Dhabi, le ministre du Commerce, de la Consommation et des PME a participé, ce dimanche, à l'évènement parallèle sur le soutien des PMA (pays les moins avancés) pour une meilleure intégration au système commercial multilatéral. Axée sur l’avenir du soutien au commerce des PMA, cette rencontre a réuni des ministres, de hauts fonctionnaires, des experts et a permis de mener des réflexions sur le futur du Programme Cadre Intégré Renforcé (CIR), dont la 2ème phase prendra fin en décembre 2024.

Cette rencontre a été consacrée au soutien des Pays les Moins Avancés (PMA) dans leur quête d’une meilleure intégration au système commercial multilatéral. Cet événement, axé sur l’avenir du soutien au commerce des PMA, a rassemblé un ensemble prestigieux de participants, dont des ministres, des hauts fonctionnaires, des experts et des représentants de la société civile. Ils se sont réunis pour réfléchir sur le devenir du Programme Cadre Intégré Renforcé (CIR), dont la 2ème phase arrivera à son terme en décembre 2024.

 

Pour le Ministre Porte-parole du Gouvernement, «afin d’assurer une appropriation et une durabilité des interventions du CIR au Sénégal, il a été mis en place, au titre des arrangements de mise en œuvre du programme, un comité directeur national, un point focal, une unité national de mise en œuvre du cadre intégré renforcé et un facilitateur des donateurs».

Selon lui, «les différentes parties prenantes au programme CIR, notamment les PMA, les pays donateurs, les organisations partenaires, sont en train de travailler sur un futur programme multilatéral d’aide pour le commerce qui, comme nous le souhaitons, devrait démarrer en 2025 pour éviter, non seulement, tout dysfonctionnement et perturbations dans les opérations des structures nationales, mais aussi pour "garder les lumières allumées", et préserver les gains déjà acquis».

En effet, indique le Ministre, «à ce titre, dans la perspective de mise en place de ce futur programme, nous invitons à une meilleure prise en compte des priorités suivantes : le commerce électronique ; le développement des chaines de valeur nationales et régionales ; le renforcement de l’industrialisation locale pour une croissance durable et endogène des PMA, etc.».

«Je voudrais vous assurer de la détermination du FONGIP d'être toujours un des piliers de la promotion des investissements à travers l'amélioration des conditions de financement des opérateurs économiques intervenant dans les filières prioritaires et l'auto-emploi des jeunes». Ceci est une déclaration faite, ce dimanche, par Mme Néné Fatoumata Tall, Administratrice du FONGIP à la cérémonie de remise de financements à des groupements de femmes de Mont Rolland.

 

Dans l’effort pour soutenir et promouvoir l'entrepreneuriat des jeunes et des femmes, figure en bonne place le mécanisme de garantie de portefeuille. Cet outl vise à lever les obstacles financiers auxquels sont confrontées les femmes entrepreneures lorsqu'elles cherchent à accéder au crédit pour développer leurs entreprises. Ainsi, en garantissant une partie des risques associés aux prêts accordés à ces groupements dynamiques de femmes, de nouvelles possibilités sont mises en œuvre pour encourager l'innovation, la croissance et la création d'emplois. En tout cas, depuis 2014, rappelle Mme Néné Fatoumata Tall, «le FONGIP a octroyé 35,7 milliards de FCFA de garanties accordées aux banques et plus de 12,7 milliards de FCFA de prêts de refinancement aux Systèmes Financiers ».

 

Et à ce jour, le FONGIP a injecté, dans la région de Thiès, 5,3 milliards FCFA, en termes de garanties pour permettre la mobilisation de 10,9 milliards FCFA. Lesquels montants ont été à l'origine de la création et de la consolidation de 2.295 emplois. Aussi, soutient Mme Néné Fatoumata Tall, «1,325 milliards FCFA de prêts de refinancement accordés aux SFD ont permis d'accompagner des projets dans des différents secteurs de notre économie. Naturellement, plusieurs expériences ont démontré que les initiatives économiques portées par des femmes ont tendance à avoir plus d'impacts en termes d'inclusion financière et sociale. A ce titre, le FONGIP a consacré, en rapport avec la Banque mondiale, au moins 30% de l'enveloppe totale de 25 milliards de FCFA du programme ETER à l'accompagnement des activités économiques et des entreprises dirigées par les femmes. Car, l'entrepreneuriat féminin est un moteur essentiel de la croissance économique et du développement durable. En investissant dans les femmes entrepreneures, nous investissons dans l'avenir de nos communautés, de nos économies et de notre monde ».

 

 Il y a lieu de préciser que le mécanisme développé au profit des jeunes et des femmes a permis de toucher de nombreuses localités du pays, avec des montants très significatifs: 500 Millions FCFA au profit des jeunes et des femmes de la région de Kaffrine; 500 Millions FCFA au profit du Réseau des Femmes de LOUGA pour le financement des activités agricoles et para-agricoles, d'élevage, de transformation, entre autres; 100 Millions FCFA en faveur du réseau des femmes du REFAN à Dagana; entre autres financements accordés aux jeunes et femmes des régions de Fatick, de la banlieue dakaroise, de Diourbel.

L'histoire évoque énormément celle du film Titanic, et pourtant, une société a découvert un bijou dans les ruines immergées du navire.

Le Titanic. Le plus grand et le plus luxueux paquebot de l’époque coule au nord de l’océan Atlantique dans la nuit du 14 au 15 avril 1912 emportant avec lui, entre 1490 et 1520 personnes dans son naufrage. Vous connaissez l’histoire.

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Un trésor perdu sous l'océan

Entouré de nombreuses légendes et histoires connexes, le paquebot n’a ne semble-t-il toujours pas fini de nous livrer ses secrets. Le navire, ou ce qu’il en reste, vient de dévoiler un étrange collier en or orné d'un pendentif de dent de mégalodon dont les propriétaires du bijou sont encore inconnus. Fun fact, les chercheurs espèrent retrouver le ou les hériter(s) grâce à l’intelligence artificielle.

Vous vous souvenez peut-être de la société Magellan dont nous avions déjà parlé dans un précédent article. Cette société britannique spécialisée dans la cartographie des fonds marins avait réalisé une incroyable modélisation 3D du légendaire Titanic. Il semblerait ainsi que cette prouesse technique, réalisée grâce à de nombreuses prises, permet aussi de retrouver des trésors perdus !

Le collier se trouve dans le champ de débris

Comme l’explique Richard Parkinson, patron de l’entreprise : "ce qui n'est pas très bien compris, c'est que le Titanic est en deux parties et qu'il y a un champ de débris de 8 kilomètres carrés entre la proue et la poupe", a-t-il déclaré à ITV News.

"L'équipe a cartographié le champ de manière si détaillée que nous avons pu repérer ces détails", poursuit-il. Vous l’avez compris, notre mystérieux collier se trouve entre les deux épaves dans ce champ de débris. Une découverte que Richard Parkinson n’a pas hésité a qualifié d’ “époustouflante”.

Voyage au cœur de l’océan

Situés au large de l’île de Terre-neuve, une grande île canadienne, nos chercheurs de trésors ont navigué jusqu’à la zone du naufrage et ont ensuite lancé plusieurs submersibles télécommandés (oui oui, comme dans le film de James Cameron) pour photographier l’épave.

Résultat : Magellan a recueilli pas moins de 16 téraoctets de données et plusieurs séquences vidéo à 3800 mètres de profondeur.

Concernant le collier, la société Magellan espère retrouver la famille du propriétaire ou ses héritiers en usant de l’intelligence artificielle. Pour ce faire, ils veulent ainsi contacter les descendants des passagers présents à bord et étudier les images de l’embarcation en espérant retrouver l’heureux détenteur du bijou.

Le constat est unanime qu’il y a eu beaucoup d’anomalies depuis le début du processus électoral, notamment sur l’affaire des doubles nationalités. Le Conseil Constitutionnel, pour parer à toute contestation post-électorale, doit rassurer tous les acteurs et reprendre le processus électoral depuis le commencement, en vérifiant  les cas de plusieurs candidats comme Khalifa Sall et tant d’autres qui ne se seraient pas départis du fisc. Pour Ousmane Faye, «le seul démenti d’une telle allégation ne pourrait suffire, surtout concernant une affaire de double nationalité. Il convient plutôt de produire la preuve attestant de sa perte de nationalité par un décret de renonciation».

Mis au devant de la scène politique par une accusation d’avoir bénéficié d’une double nationalité, certains parlent même de triple, le candidat de la coalition Taxawou Sénégal est invité à fournir les preuves qu’il est blanc comme neige par rapport à cette affaire. Mais pour toute réponse, Khalifa Sall se rechigne  à démentir sans convaincre. Suffisant pour que le leader de la Manko Wattu Sénégal l’interpelle en ces termes. « L’affaire n’est pas difficile, si lui Khalifa Sall dispose du décret qui montre qu’il a renoncé à une nationalité étrangère, je l’invite à le publier à l’image de Karim Wade dont tout le monde sait pertinemment qu’il est aujourd’hui exclusivement sénégalais. C’est une procédure qui le lave d’une grande eau et qui lui permet de pouvoir participer à l’élection sans bruit». Sinon, ajoute le patron de MWS, « le flou persistera et personne ne peut empêcher les gens à prôner sa disqualification pour la prochaine présidentielle. Il doit faire comme Karim Wade sur qui le doute a finalement été levé. Le candidat du Parti démocratique sénégalais (PDS) a bien renoncé à sa nationalité française, selon un décret du mardi 16 janvier publié au Journal officiel et signé par le premier ministre, Gabriel Attal, et le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin. 

D’ailleurs, poursuit Ousmane Faye, Khalifa Sall n’est pas le seul dans ce cas de figure. Comme le dit Malick Gakou, parmi ces candidats valides, ils sont nombreux à disposer d’une autre nationalité ou qui ne sont pas quitte avec le fisc. Mais comme c’est des pièces requises pour espérer voir sa candidature validée, il est enfin temps que le Conseil Constitutionnel prenne le taureau par les cornes en réglant définitivement ces impairs constatés chez les potentiels candidats.

La faiblesse croissance du PIB du Sénégal fut un des motifs dans le cadre du PSE de mettre en place une industrie moderne capable de contribuer substantiellement à la croissance de l’économie sénégalaise. En effet, le Gouvernement du Sénégal avait décidé de mettre en place 5 Agropoles au Nord, Sud, Centre, Est et Ouest à travers l'amélioration de la chaine de valeur agro-industrielle. 

 

Cependant l’Agropole sud démarré en 2020, tarde encore à se réaliser. Après 4 années passées les réalisations sont encore maigres. L’agropole Centre dont l’accord de financement a été signé en 2022, a un taux nul de réalisation physique. Rien n’est encore fait pour le Nord. Concernant l’Agropole Ouest, les réalisations concrètes ne sont pas visibles.  Les problèmes de décaissement constatés dans le programme (sans rentrer dans les détails) trouvent peut-être leur origine dans la mise en place d’une structure organisationnelle inadaptée. Il se trame des pratiques de recrutement et d’acquisitions non fondés sur le mérite et la qualité du service public à offrir.  De même, les pratiques de mal gouvernance risquent davantage d’entamer la confiance accordée par les partenaires techniques et financiers, par le Ministre de tutelle, par le Gouvernement du Sénégal et par le Président de la République. Ne serait-il pas l’heure pour l’Etat du Sénégal de prendre des mesures capables d’accélérer la mise en œuvre des Agropoles dont la contribution sur notre PIB est importante ? La structure organisationnelle actuelle est-elle capable de gérer un projet de plus de 300 milliards de FCFA ? Est-ce que la coordination du Programme a des expériences dans la réalisation des agropoles ?  Il est donc capital, pour jouir de la confiance de la population et des autorités étatiques, de mettre en place de solides pratiques de gestion de projets et programmes de développement à l’instar de l’APIX, du PAD, du BRT, des Pôles urbains, etc.

 

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