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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Les députés de l’opposition parlementaire, membres de Yewwi Askan wi, ont introduit une requête pour traduire à la Haute Cour de Justice les personnes incriminées dans le rapport de la Cour des Comptes. Ils ont évoqué le nom de l’ancien Ministre des Finances qui, pourtant, n’a jamais été cité par le rapport de la cour des comptes ou un quelconque autre rapport publié dans ce pays. C’est ce qui a suscité la réaction du leader des jeunesses Mackystes qui a démenti toutes les allégations proférées contre le Ministre d’Etat, Directeur de Cabinet du Président de la République.

 

«C’est des idiots qui disent et font du n’importe quoi dans ce pays. Ils ne lisent pas les rapports et confondent tout, guidés tout simplement par une haine viscérale au régime du Président Macky Sall et de ses plus proches collaborateurs dont Abdoulaye DaoudaDiallo qui, pourtant, a été épargné par les dits rapports», recadre Moustapha Ndiaye, patron du Collectif des Jeunes de la Grande Majorité Présidentielle (CJGMP).

 

Ils ont transmis la liste de 10 ministres à traduire devant la Haute Cour de Justice, mais, ces députés de l'opposition auraient pu prendre suffisamment de précaution pour ne pas commettre l’erreur de citer des autorités qui n’ont rien à voir dans leur calcul de politiciens. Moustapha Ndiaye ne les a pas ratés en mentionnant la grave fausseté de citer Abdoulaye Daouda Diallo. « Le Ministre d’Etat Dircab du Président de la République n’est nullement concerné par cette affaire aux relents politiciens. Il n’a jamais été épinglé. De grâce, il faut que cette opposition apprenne à  dire la vérité aux sénégalais. Ce n’est pas de l’éthique en voulant coûte que coûte salir l’honorabilité des ministres dont la gestion est saine et exempte de tout reproche comme l’ancien Ministre des Finances et coordonnateur départemental de l’APR Podor», dixit Moustapha Ndiaye.

 

Suite au rappel à Dieu du promoteur Serigne Modou Niang, le président Abdoulaye Wade et le candidat du PDS Karim WADE ont envoyé une très forte délégation pour présenter leurs condoléances à la famille de Serigne Modou Niang. La délégation était dirigée par Abdoulaye Racine Kane. Après les salutations et présentations,

 

Abdoulaye Racine Kane a transmis les condoléances du Président Abdoulaye Wade, de Karim Wade et du parti à la famille du défunt. Il a formulé des prières à l’endroit  du défunt. Des témoignages sur Serigne Modou Niang et sur ses réalisations dans le cadre de la lutte sénégalaise qui lui ont valu le surnom de "promoteur de l'alternance" ont été faits par Abdoulaye Racine Kane.

 

Puis, les membres de la famille du regretté Serigne Modou Niang qui ont reçu la délégation du PDS avec beaucoup d’égards et d’amitié, ont, à leur tour, pris la parole pour transmettre leur message à la délégation du PDS, au Secrétaire Général National et au candidat. Son frère aîné Modou Niang, porte-parole de la famille, a commencé par faire des témoignages sur les relations très étroites qui liaient Feu Serigne Modou Niang au Président Wade et au candidat Karim Meïssa Wade. Il a rappelé à la délégation que ces relations trouvent leur origine à Kébémer, et remontent à leurs parents. 

 

Ensuite, il a salué le geste très touchant du Président Wade et de Karim Wade suite au rappel à Dieu de son frère. Il a enfin réitéré son engagement envers le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) et le candidat du PDS, Karim WADE.Des prières ont été formulées  à l’endroit de feu Serigne Modou Niang pour le repos éternel de son âme. 

 

Cette affaire qui a été enregistrée à Bene Baraque, l'une des localités enclavées de la banlieue se déroule souvent au sein d'une certaine famille, mais elle reste d'habitude étouffer par les sages. Et pour ce cas issus d'une négociation entre famille, les responsables ont fini par ordonner à une dame ayant rompu une promesse de mariage avec un homme, à lui rembourser les 300.000 Franc CFA financés pour les frais de ses études.
 
D'après certaines indiscrétions qui sont proches de la famille, " l'homme avait finance les études de F. D. Une jeune dame à qui il entretenait des relations d'amour et le but de son engagement, c'était de la marier. Mais la jeune dame en question, qui est âgée respectivement entre 25 et 30 ans, a par la suite déclaré qu'elle ne pouvait plus épouser un homme qui n'est pas de son genre. (Elle déclare comme prétexte que).Il est ami à son père. Enseignement dans un Daara ( école coranique). "Étant donné que la promesse de se marier n'a pas été remplie", les responsables de la famille ont estimé que le plaignant avait droit au remboursement des frais de la scolarisation dépensées pour les études de formation de la jeune dame". Une décision issue de la rencontre entre les responsables des deux familles pour gérer la question très complexe entre famille", nous révèle t-on. Ce qui a été retenu, c'est que la dame a devoir de payer les 300. 000 Francs Cfa, sous forme de dommage et intérêt pour le préjudice d'angoisse psychologue avant que l'affaire ne soit portée à la justice. Et selon toujours nos sources, avant même que l'affaire ne soit rependue dans tout le quartier". Et pour répondre aux responsables, elle rétorque qu'elle ne vas pas payer à sa victime qui entretenait avec elle, des relations amoureuses. Elle a partagé avec lui beaucoup de choses. C'est vrais que le monsieur a beaucoup dépensé pour ses études de formation en comptabilité durant près de deux ans mais ce n'était pas par la force. La victime aidé la dame par son propre gré. Il n'a jamais été question pour une obligation de le faire. Le faite de consommer d'une mariage dépend d'un choix de tout individu". Une affaire qui se déroule à Bene Baraque, une des localités enclavées de la banlieue et qui risque de diviser tout une famille. Certains sont favorables avec le malheur ex fiancé qui court derrière son argent tandis que d'autres soutiennent la jeune dame. Force est de constater que cette affaire anime toutes les discussions au niveau de ce quartier. Pour le moment, le malheur fiancé qui répond au nom de B. Ngom continu ses activités mais il est en train d'user ses forces pour rencontrer les notables et les sages dans le but de vouloir être rembourser. La jeune dame vague ses préoccupations sans être inquiété, après avoir obtenu son diplôme en comptabilité.
Modou Touré

La tenue du conseil des ministres décentralisé prévu à Thiès Constitue des temps forts de la vie nationale.

 

Ce conseil des ministres décentralisé se veut une opportunité de passer au peigne fin les priorités et les préoccupations de la région de Thiès pour y apporter les réponses et les satisfactions les meilleurs pour la population Thièssoisse.

 

Chaque citoyen doit se sentir concerné. C'est pourquoi, nous lançons un appel à l'ensemble des militants et sympathisants de la Coalition Natangué à se mobiliser pour accueillir chaleureusement le Chef de l'Etat, S.E.M Macky Sall et à ne ménager aucun effort pour contribuer au bon déroulement des activités prévues dans ladite région.

 

Mamadou Fall Mbassou

Vice-président de la Coalition Natangué,

Délégué régional de THIÈS

 

Il se nomme Djiby Aliou Sow allias Djibson,  un rappeur Sénégalais originaire de Gossas. Passionné du Hip hop, ce jeune talent a très tôt suivi la trace des aînés dès son enfance. C'est est en 2005 que Djibison sort son premier single intitulé  (Yéwéndé) dédié à sa défunte maman qui lui était chère. Deux ans plus tard, en 2007, il revient avec (dega rap). Mais, c'est en 2012, lors des élections présidentielles qu’il a pu sortir un single qui s'appelle (laye go) en featuring avec ‘’kalama deug’’ et ‘’feing to feing’’, un single qui a fait le buzz.

 

 En 2013-2014, il forme avec ‘’Wollu Wer’’, le groupe ‘’Foot Feut Crew’’ qui a connu un grand succès avec de nombreux sons dont le plus célèbre est (Mandarga diekh) en featuring avec Ombrezion en 2016. Mais ce dernier va reprendre sa carrière en solo et en 2018, il sort son premier album intitulé ‘’PULAAR KO ART’’ qui  parle de la culture Pulaar, et composé de dix morceaux. Mais cet album parle également de son amour pour l'Afrique etc.

 

 Pourquoi le Pulaar? Parce-que un je suis peul, ensuite je maîtrise ma langue, et en plus, en disant hip-hop, c'est un mouvement. Et comme tel, il doit contenir beaucoup de langues. Mais, n'oubliez pas que le hip-hop est universel. Comment je vois le hip hop Galsen? Actuellement, il a bien évolué. Il y a de la qualité dans les produits et sur le plan commercial, on voit des concerts où il y a plein de rappeurs qui font des pubs très fréquentes dans les médias et sur les réseaux sociaux. Il faut dire que côté influence, plus de 60% des jeunes sénégalais écoutent le rap Galsen, mais, en le comparant avec l'industrie du rap américain, on voit que ça reste beaucoup à faire.

 

Et connaissant le hip hop sénégalais les années passées jusqu'à aujourd'hui, on peut dire qu’il a fait un grand pas. Pour le projet de l'avenir, je prépare un album qui sera intitulé "mélodie de l'esprit" et vous verrez un documentaire dans ce sens très bientôt inchallah.

Y.ND

Sous la présidence du Ministre d’tat, Directeur de Cabinet du Président de la République, la coalition And liggeey sunu gokh que dirige Mamadou Salif Sow, le directeur général de l’ASP et non moins maire de Dialambéré a mobilisé ce que la région de Kolda compte de militants et leaders politiques membres de la coalition présidentielle pour les besoins de son Méga meeting. L’objectif étant simplement de porter le choix sur Macky Sall comme leur candidat en 2024. «Ensemble pour la victoire écrasante de Macky Sall en 2024», a lancé Mamadou Salif Sow devant une foule totalement acquise à sa cause.

 

Le Fouladou a répondu favorablement à l’appel de Mamadou Salif Sow. Femmes, jeunes, sympathisants et camarades de la coalition benno ont vibré au rythme de l’unité autour du candidat Macky Sall pour la présidentielle de 2024. Le Ministre d’Etat, Abdoulaye Daouda Diallo, le maire de Kolda Mame Boye Diao, le Ministre de l’Enseignement Supérieur et tant d’autres responsables  ont décerné des chaleureuses félicitations à leur frère et camarade, Mamadou Salif Sow, pour la belle mobilisation. Ils ont acclamé le slogan né à cette occasion : «Le Fouladou avec Macky en 2024»

 

Dans un article publié le 26 janvier dernier, sous la plume de François Delétraz, avec un titre qui se voulait accrocheur « TER de Dakar : Sénégal 0, SNCF 1, en attendant les prolongations », le journal français Le Figaro a présenté – nous lui empruntons la métaphore sportive – un pronostic hasardeux comme un résultat entériné.

 

Partant d’un postulat : «le TER n’est pas rentable», l’article s’efforce de trouver les arguments pouvant le valider. Entre la chronique des intrigues de couloir et des jeux de pouvoir au sein de la SNCF ou des divergences exagérées entre contractants, l’auteur s’éloigne de son sujet avant d’y revenir en ces termes : «contractuellement, le déficit de SETER est à la charge de l’Etat sénégalais». Seulement, il ne précise pas qu’il s’agit là d’un service public dont l’objectif n’est pas la rentabilité. En effet, l’Etat du Sénégal a fait le choix d’un tarif quasi social pour une infrastructure de mobilité à très fort taux de fréquentation. Le taux de régularité est ainsi supérieur à 98% et l’objectif d’un train toutes les dix minutes atteint. De plus, nous faisons la différence entre la rentabilité financière qui procède d’une logique de retour pécuniaire sur investissement et la rentabilité économique et sociale qui se mesure en impacts de l’amélioration de l’accès aux transports et de la mobilité sur la productivité et le bien-être.

 

Il faut aussi préciser que le TER n’est pas une concession. La SNCF via sa filiale SETER est un prestataire en exploitation et maintenance détenteur d’un contrat dont la durée n’excède pas trois ans. Le patrimoine porté par la société nationale SENTER (rames, gares, trains …) et les recettes appartiennent à l’Etat du Sénégal.  En outre, préférant faire des développements autour d’un postulat faussé dès le départ, l’article omet encore de mentionner qu’en France non plus un TER ne poursuit pas un objectif de rentabilité. Ce sont les régions traversées par le TER qui subventionnent les charges d’exploitation à hauteur de 75% en moyenne. Seuls les 25% restants sont couverts par les coûts endossés par les voyageurs. Au Sénégal, c’est l’Etat, et non les régions, qui assure cette subvention. Celle-ci peut dépasser 75% des charges d’exploitation car il a fallu construire des infrastructures jusque-là inexistantes ce qui a forcément une incidence sur les charges. Il est tout aussi important de relever qu’avec l’injection prochaine de sept nouvelles rames déjà commandées à Alstom et l’augmentation induite de la fréquentation, le TER dakarois pourra rester performant tout en gardant ses bas tarifs actuels et en diminuant peu à peu le montant de la subvention. Les sept rames supplémentaires mettront fin au débat sur le déficit de recettes. Le niveau d’équilibre est attendu à n+3 (c’est-à-dire trois ans après le début de l’exploitation) dans le modèle d’affaire du projet. Celui-ci ne sera donc pas déficitaire et équilibrera ses charges et recettes d’exploitation.

 

Entre la souveraineté sur la gestion et le choix de nos partenaires au bout de ces trois ans nécessaires à l’atteinte de l’équilibre et l’octroi à un autre postulant d’une concession sur 25 ans, nous avons préféré la première option beaucoup plus avantageuse. L’autre alternative, la concession longue durée à laquelle l’auteur fait référence, est celle qui avait été choisie lors des négociations autour de l’autoroute à péage Dakar-Diamniadio.  Le Président Macky Sall, arrivé par la suite à la tête de notre pays, avait dû imposer au concessionnaire une renégociation. Car ce dernier, au bout de quelques années d’exploitation, bénéficiait déjà d’un retour sur investissement. Par ailleurs, le TER dans le contexte actuel est de priorité sécuritaire jusqu’à la fin mars 2024. Parmi les exploitants potentiels, la SNCF est la seule capable de garantir un fonctionnement sécuritaire de standard élevé pour ce ferroviaire électrique à grande vitesse en zone urbaine et densément peuplée. Le Sénégal a choisi l’expérience de la SNCF en la matière pour sécuriser son investissement. D’ailleurs, l’auteur de l’article indique, par exemple, que la RATP qui était sur les rangs avant que sa candidature ne soit écartée, n’avait pas une expérience d’exploitation d’un TER en France au moment du choix porté sur la SNCF.

 

Plusieurs points auxquels la partie sénégalaise accorde la plus grande importance sont toujours à l’ordre du jour. Il s’agit, par exemple, de garantir à la société nationale SENTER les moyens d’audit de la société d’exploitation SETER ou encore de garantir les transferts de données pour la continuité du service. Bien des parties du texte appellent des précisions. L’auteur affirme, entre autres, que la SNCF refuse à l’Etat du Sénégal une entrée au capital. Or, l’entrée de l’Etat du Sénégal au capital de SETER à hauteur de 34% qui constituait une exigence, est actée depuis le 17 janvier 2023. Cette part du capital sera cédée au privé national afin de permettre à ses membres d’être dans les sphères de gouvernance, de surveiller la gestion et d’acquérir de l’expérience dans le domaine. SETER aura un président du conseil d’administration sénégalais. Aussi l’encadrement du management de la SNCF est d’actualité contrairement à ce que semble indiquer le papier du journaliste. Lequel article est truffé d’affirmations du même genre et semble être une charge contre la SNCF dont les motivations demeurent pour nous un mystère.

 

 Abdou Karim Fofana, Ministre du Commerce, de la Consommation et des PME,

Porte-parole du Gouvernement.

 

Ils sont plus de 3500 artisans qui s’activent dans des secteurs aussi divers, et à se regrouper autour du SYNAS (syndicat national des artisans du Sénégal). Affilié à la CNTS (confédération nationale des travailleurs du Sénégal), ce syndicat a tenu son assemblée générale constitutive ce samedi et ambitionne de trouver les voies et moyens d’appuyer ses membres et de leur trouver des opportunités pour une meilleure prise en charge de leurs préoccupations d’ordre professionnel et social.

 Il s’appelle Mor Sow et préside désormais aux destinées de cette structure qui a tenu sa première réunion constitutive en présence du secrétaire général Mody Guiro, du bureau de la CNTS, à travers une cérémonie tenue dans les nouveaux locaux de la Confédération. Ainsi, sous la présentation de Doudou Sarr Ndoye, élu secrétaire national chargé de la branche touristique, les artisans ont fait part de leurs doléances articulées autour de points relatifs à l’ouverture de débouchés et de facilitation auprès de l’Etat. Par exemple, explique Mor Sow, «déjà sur le plan de la santé, il est important que nos membres puissent bénéficier des possibilités offertes par la Couverture Maladie Universelle (Cmu)». «Tout comme, parmi les artisans, il est fréquent de voir des membres qui font face à des représailles des autorités par rapport à la taxation ou au fisc. Nous avons pourtant besoin d’être accompagnés surtout que nous sortons de la pandémie à Covid 19 qui a fortement impacté notre travail», se plaint Mor Sow.

Y.NDIONGUE

Il se dit prêt à s'engager pour les futurs combats menés par le chef de l'État afin de conforter sa majorité et de dérouler son bel agenda politique et institutionnel. Lui, c'est Bamol Baldé, leader du mouvement Action Patriotique Sénégalaise (APS),  Conseiller municipal depuis 2014 et adjoint au maire de kolda, il se réjouit d'avoir compris l'important travail abattu par Son Excellence le président de la République, et réaffirme son ancrage au sein de la coalition présidentielle et se veut un acteur clé dans le dispositif qui va définitivement inscrire ce pays sur les rampes de l'émergence.

 

S'expliquant sur sa décision, M. Baldé se félicite d'avoir analysé la riche trajectoire du président Macky Sall qui, depuis 2012, a littéralement changé le visage du pays en termes de réalisations d'infrastructures routières, sanitaires, sportives, économiques, etc. S'estimant heureux de faire partie de la coalition gagnante qui enchaîne les succès politiques depuis l'avènement de seconde alternance, le koldois déclaré à qui veut l'entendre qu'il se retrousse les manches et s'engage à accompagner Son Excellence le président Macky Sall à dérouler sa vision pour un Sénégal 2035 prospère et stable

 

La Plateforme des Femmes Cadres de Benno Bokk Yakkar et de la Majorité Présidentielle forte de sa mission de communication revient sur l’actualité hebdomadaire à son 16ème numéro. Elle souhaite une bonne ziarra à la famille Omarienne ainsi qu’à l’ensemble de la communauté musulmane. Cette 43ème édition annuelle de la ziarra de Thierno Saidou Nourou Tall et de Thierno Mountaga Tall aura lieu du 27 au 29 janvier 2023 à Dakar et fait suite à celle de Louga, en commémoration à Mountaga Daha Cheikh Oumar Futiyu Tall auprès du Khalif Thierno Bassirou Tall. Placée sous le thème : « Les facteurs de déséquilibre de nos valeurs », elle répondra sur les prescriptions islamiques et éthiques civile pour une cohésion sociale et un mieux vivre ensemble.

 

Les Femmes Cadres condamnent avec véhémence les propos tenus le dimanche 22 janvier 2023 par le leader de PASTEF, M. Ousmane Sonko qui a proféré des menaces à l'endroit des institutions et a appelé à l'insurrection. Qu'il sache que force restera à la loi. Elles lui demandent de répondre à la justice pour les affaires d’Adji Sarr, mais aussi Mame Mbaye Niang, en tant qu’adulte responsable, et de ne point ériger nos enfants comme boucliers. De nouveau, elles disent NON à toute forme de violence, en particulier à celle faîte aux femmes. Et réclament justice pour toutes les femmes.

 

Aussi, s'insurgent-elles contre la déclaration de M. Alioune Tine, « droit de l’hommiste » tenant des propos tendancieux face à cette affaire judiciaire. Ainsi se posent-elles quelques questions sur ses motivations. Monsieur Tine est-il conscient du rôle de la société civile dans une république ? Ou bien, est-il un politicien encagoulé ? In fine, n’est-il pas plus aisé de s’ériger en donneur de leçons de morale plutôt que de s’engager en politique ?

 

La Plateforme des Femmes Cadres se félicite de la tenue du 11ème Festival National des Arts et de la Culture (FESNAC) du 21 au 28 janvier à Kaffrine qui a vu la présence des 14 régions du Sénégal dont la collectivité Lébou du Cap Vert en est l’invitée d’honneur. Elle magnifie l’accueil chaleureux à ce brassage culturel des Kaffrinois et de leur Ministre - Maire M. Abdoulaye Saydou Sow tout en les remerciant de celui réservé au Chef du Gouvernement M. Amadou Ba ainsi qu’au Ministre de la Culture et du Patrimoine historique M. Aliou Sow. Elle les loue d’avoir fait de ce festival un succès.

 

La rentrée solennelle des cours et tribunaux ce mardi 24 janvier a vu l’engagement pris par son Excellence, le Président Macky Sall à réformer la politique sanitaire pour une meilleure protection de tous les usagers du système de la santé publique mais également à défendre la justice et les magistrats qui l’incarnent.

 

Par ailleurs, elle magnifie le leadership international, incontesté du Président de la République par la tenue du Sommet sur la souveraineté alimentaire dans le cadre du 2ème Forum de Dakar organisé par la Banque Africaine de Développement.19 Chefs d’Etat et de Gouvernement, 3 Vice-présidents, 11 Ministres et Chefs de délégation et 6 dirigeants d’organisations internationales sont présents à la CICAD à Diamniadio et s’engagent dans la mobilisation des ressources destinées à exploiter le potentiel agricole et alimentaire du continent africain. Elle félicite le Ministre de l’Agriculture, de l’Equipement Rural et de la Souveraineté Alimentaire, M. Aly Ngouille Ndiaye pour ce combat de l’autonomie alimentaire du Sénégal et ainsi de s’inscrire dans la dynamique de l’Afrique des solutions.

 

Aussi, la Plateforme des Femmes Cadres de BBY et de la Majorité Présidentielle, réaffirme son soutien sans faille au gouvernement et au Président de la République Son Excellence Macky Sall et s’engage à l’investir pour les joutes de 2024.

 

CMU
cmu