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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

On les appelle la force de vente de la Lonase.  Ils jouent un rôle de premier plan dans la politique de développement de l'institution financière, eu égard à la masse d'argent qu'ils font entrer dans les caisses de la société nationale de jeux. A cet effet, sous l'égide du directeur général, Lat Diop, la Lonase honore et fête ses meilleurs vendeurs. Une cérémonie leur a été organisée ce jeudi en guise de reconnaissance aux multiples et inlassables efforts dans l'exercice de leur mission.

Ils sont plus d’une centaine de vendeurs à être honorés par la direction générale de la Lonase. En véritable force de vente, tout le chiffre d'affaires de la boîte masse entre leurs mains. Suffisant pour qu'ils soient mis, cette fois, au devant de l'actualité des caméras pour une récompense juste. Présidant lui-même la cérémonie de remise des distinctions, le directeur Lat Diop fait savoir que «des efforts ont été consentis par la Direction Générale avec la hausse de la subvention octroyée à votre mutuelle de santé, qui est passée de 5 millions FCFA à 15 millions de FCFA.

 De même, une subvention de 40 millions de FCA a été accordée à la Coopérative d’habitat de l’Amicale des vendeurs afin de permettre à chaque vendeur d’acquérir un toit et d’avoir une vie décente. Par ailleurs, dans le cadre de la modernisation du réseau commercial, des outils de travail plus performants et adaptés au contexte de la digitalisation ont été mis à la disposition de la force de vente afin d’améliorer les conditions de travail».

Dans le souci d’extension du réseau commercial, un important programme d’installation de 1500 nouveaux points de vente a été lancé, et seront déployés sur l’ensemble du territoire national au cours de cette année. Cette extension permettra de couvrir particulièrement les zones les plus reculées du pays. «Nous ambitionnons ainsi de répondre à l’appel du Président Macky SALL dans le cadre de son programme « xeeyu ndaw yi », avec la création de 1500 emplois directs. Et que nonobstant les difficultés financières engendrées par la pandémie de Covid 19, j’ai décidé de récompenser ceux d’entre vous qui se sont le plus illustrés, à travers cette belle cérémonie», a déclaré Lat Diop aux vendeurs. Enfin, termine le directeur, «j’ai demandé à mes services de réactiver et d’accélérer le projet d’accompagnement des vendeurs qui, après des dizaines d’années de bons et loyaux services, souhaitent se consacrer à d’autres activités mieux adaptées à leur âge».

 

Depuis l'annonce de l'instauration du système de parrainage citoyen comme condition pour participer aux élections législatives, Abdoul Mbaye rue dans les brancards et brocarde les instructions émises par les services de l'Etat. Pire encore, il pointe du doigt le Président Macky Sall qu'il accuse de vouloir torpiller le processus en établissant le parrainage pour dit-il, empêcher les potentiels candidats de briguer des sièges à l’Assemblée. Suffisant pour le leader de Manko Wattu Sénégal (MWS) pour lui mettre les points sur les i en lui rappelant son piètre classement lors des législatives de 2017. «Tout le tintamarre que fait Abdou Mbaye renseigne sur une chose : il ne peut remplir les signatures requises. Ne disposant pas de suffisants d’électeurs, sa seule alternative est de le crier sur tous les toits. Mais il ne doit pas être amnésique au point d'oublier qu'il occupait, en 2017, alors qu’il n’y avait pas encore le parrainage, la 35ème place sur les 47 listes en compétition, loin derrière la coalition MWS qui occupait la 15ème place et l'avait dépassé de 6000 voix», avertit Ousmane Faye avec beaucoup de fermeté.

 

Abdoul Mbaye est contre le système de parrainage et ne manque de le faire savoir à haute et intelligible voix. Plus grave encore, le président de l’Alliance pour la citoyenneté et du travail (Act) sonne la révolte de l’opposition et invite tout simplement ses camarades de l’opposition au boycott de ce scrutin prévu le 31 juillet prochain. Cette forme de réaction indigne et fait réagir le patron de la grande coalition MWS, Ousmane Faye qui depuis l'hexagone, lui apporte une réplique à la dimension de ses prétentions. «S'il y a quelqu'un qui ne doit pas se focaliser sur le parrainage, c'est bien Abdoul Mbaye. Parce que tout simplement lors des dernières élections législatives, le système de parrainage n'était pas encore appliqué pour les candidats, mais n'empêche qu'au résultat final, Abdoul Mbaye, malgré qu’il jouisse d’une bonne santé financière avec son statut d’ancien PM fraichement limogé, disputait les dernières places, et tout le monde s’en souvient encore. 

La coalition MWS l'avait, à elle seule, devancé de 6000 voix et occupait la 15eme place, au moment où, lui, descendait à la 35eme position sur les 47 listes en compétition. Donc, c'est un faux prétexte qu'il brandit pour légitimer sa prochaine déconvenue le 31 juillet prochain, et au soir duquel, il n'aura aucun siège s'il s'aventure à briguer, seul et sans coalition, la voix des électeurs», lui prédit le leader de MWS. Selon lui, «mais, on comprend ses artifices, et je dis qu’il est temps de débusquer ces responsables de l'opposition comme Abdoul Mbaye, Mamadou Diop Decroix, Mamadou Lamine Diallo Tekki qui n'ont aucune base politique. Je leur lance, à eux trois, un défi qu’ils ne gagneront aucun siège à l'Assemblée s'ils ne font pas de lobbying pour rejoindre les grandes coalitions en lice. Sans base politique, ces vieux de  l'opposition ne pourront pas remplir les critères imposés par le système de parrainage, et seraient exclus de la compétition sans alliance avec d’autres coalitions. Ils savent bien qu’ils n'existent que par leur langue pour faire de la médisance et vitupérer. En dehors de ça, Abdoul Mbaye et ses acolytes auraient déjà enterré leurs ambitions politiques», dézingue Ousmane Faye.

 

Allier l’utile et l’agréable, c’est la prouesse réussie par la Cellule Genre du Ministère de la Justice (MJ) qui a tenu, avec cette journée internationale dédiée aux femmes, à associer à la fête les détenues des les Maisons d’Arrêt et de Correction (MAC). Notamment celles de Rufisque qui ont accueilli, avec bonheur et ouverture, la délégation du Ministère de la Justice qui a tenu à leur rappeler un droit fondamental : bénéficier d’une liberté provisoire après un certain temps dans les liens de la détention.

La journée internationale a certes pour objectif de rendre hommage aux femmes, mais elle constitue également une occasion de réfléchir sur la condition féminine dans le monde mais particulièrement dans notre pays. Ainsi, dira Mme Ndaw Khadidiatou Dia, coordonnatrice de la Cellule Genre et Equité du MJ, et initiatrice d'une telle activité, «chères dames détenues hors de votre cercle familial, vous constituez un relais important pour l’approche du développement durable de notre nation. Aujourd’hui plus qu’hier, vous donnez la vie et l’entretenez avec amour, vous contribuez aussi largement par votre sacrifice permanent au bien-être de toute la société. Les conditions de vie des femmes demeurent encore précaires, c’est pourquoi célébrer la femme officiellement une fois l’année ne semble pas suffisant. Mais nous en prions pour que vous retrouviez vos familles très bientôt, et dans les meilleures conditions possibles». 

La présentation du thème a été faite par M. Alassane NDIAYE, DACG adjoint. Selon lui, «cette belle opportunité est saisie pour nous adresser à nos sœurs qui sont dans ces maisons d’arrêt et de correction pour leur rappeler un de leurs fondamentaux qu’elles ne doivent pas ignorer : c’est celui de pouvoir bénéficier d’une liberté provisoire que leur accorde la loi après avoir purgé une partie de leur peine. Si elles maîtrisent cela, beaucoup d’entre elles seraient aujourd’hui sorties de prisons pour retrouver leurs familles respectives. C’est cela qui nous amène ici en profitant de cette journée pour les fêter, comme c’est une journée qui est dédiée à toutes les femmes du monde, elles aussi y comprises».

Par ailleurs, les pensionnaires n’ont pas tari d’éloges à l’endroit de la Directrice de la MAC qui, selon elles, les a mises dans d’excellentes conditions d’incarcération, leur faisant même oublier leur statut de prisonnières. Après la cérémonie officielle une conférence animée par des imams et des Abbés de l'église a été effectuée pour mieux expliquer l'objectif de cette journée. Il y a, en plus, une manifestation culturelle animée par un orchestre, en plus d'un sabar pour clôturer la manifestation, après un déjeuner très copieux offert à l'honneur des pensionnaires de la MAC de Rufisque.

Cette activité s’est déroulée en présence d’Aicha Gassama Tall,  Secrétaire générale du MJ, Yakham Lèye directeur des affaires criminelles et des grâces, Madame Siby directrice de l’Education Surveillée et de la Protection Sociale, Cheikh A. T.  Sy Conseilller technique 1, Colonel Jean Bertrand Bocandé directeur de l’Administration Pénitentiaire, Babacar Diop et Julien Gane Ndour, tous de la promotion 99, Monsieur Sow directeur Der ressources humaines du MJ, Khady Fall directrice de la maison d’arrêt des femmes de Rufisque, Madame rose Drh de la DAP, Maimouna Ba chef de cabinet du ministre, les points focaux de la cellule Genre et Équité du MJ, Coura Macky la marraine de la MAC, les agents du MJ et les agents pénitentiaires, tous ont joint l’utile à l’agréable avec ‘’Rirou Tribunal’’ et père Bou Khar. Cela témoigne de l’engagement du ministre à côté des femmes du ministère et les bonnes initiatives prises par la coordinatrice de la Cellule Genre et Équité du MJ.

   

 

La vie c’est un combat et le President  Macky Sall ,  le Sénégal  méritent que nous nous battons pour maintenir le Président Macky Sall . 

Avec le president Macky Sall c’est le temps de l’action . Le PSE et les programmes d’urgence ( PUDC , Promoville ,PUMA , CMU ,Bourses familiales ) ont permis d’améliorer sensiblement les conditions de vie des populations. 

Le président Macky Sall le 2 Avril 2012 a trouvé une situation catastrophique avec un pays presque en faillite : 

-La croissance économique était de 1,7 % inférieure au croix démographique de 2,8 % avec un déficit public de 6,7% du PIB en 2011 . 

- En 2012 des tensions de tresorerie caractérisées par un besoin net de tresorerie de 302,572 milliards francs CFA 

- Un départ de -166 millards ( PNG ) 

Depuis 2012 , le Président a beaucoup travaillé pour : 

- payer les salaires et les dettes à temps 

- diminuer le coût de la vie et les impôts des fonctionnaires 

- améliorer le cadre de bien être des populations 

- prendre la position de 3 eme économie Africaine en terme de croissance . 

C’est cela le débat .

Le bilan du président Macky Sall en neuf ans de gestion du pouvoir est largement positif de part les avancées significatives enregistrées dans tous les secteurs d’activités durant son magistère. Reconnaissons que ce  bilan reluisant du président Macky Sall a alléger les souffrances des sénégalais dans toutes leurs diversités même s’il reste beaucoup à faire. En atteste le secteur de l’énergie qui si l’on s’en souvient était un véritable calvaire pour les populations sénégalaises sans exclusive. 

Le Président macky sall a réussi la prouesse de faire passer les coupures intempestives d’électricité de plus de 900 heures en 2011 à 5 heures en 2021 avec un taux de disponibilité de l’électricité de 99 % dans les maisons, soit 5,5 heures de coupure/mois, 1h/semaine, 19 minutes/jour sur toute l’étendue du territoire national.

Cette parfaite maitrise de l’énergie a été une réalité grâce à l’installation de plusieurs centrales solaires et une centrale éolienne à Taiba N’Diaye . 

Nous pouvons citer Malicounda 20MW en 2016, Mérina Dakhar 20MW en 2017, Bokhol 20MW en 2016, la centrale hydro-électrique de Félou pour 15MW pour le Sénégal dans le cadre de l’Omvs, Diamniadio 2MW. 

Tous ces efforts consentis par le gouvernement du Président macky Sall a permis la baisse du coût de production de l’électricité, passant de 101,92 FCfa/KWh en 2012 à 55,26 FCfa/KWh à fin 2016, entrainant une baisse de 10% de la facture d’électricité des consommateurs sénégalais à partir du 1er janvier 2017. 

En 2012, la production totale depuis l’indépendance dans tout le territoire national était de 674,5MW alors qu’au 31 décembre 2021 , elle est passée à 1300 MW d’où 626 MW  produits par le régime du président Sall. 

Il serait bien de préciser que cette bonne tendance de la production nationale va s’accentuer avec, à terme, 1000 MW  supplémentaires d’ici fin 2023 grâce aux nouvelles centrales . 

Le président Macky Sall, en allégeant la souffrance des Sénégalais face aux coupures intempestives d’électricité montre qu’il a les capacités managériales pour résolument inscrire ce pays sur les rampes de l’émergence avec sa vision révolutionnaire articulée autour du PSE et projetée à l’horizon 2035. Dés lors nous devons tous nous mobiliser pour réélire au premier tour le candidat Macky Sall qui reste le meilleur choix au soir de la présidentielle de 2024 . 

 

PARLONS AUTOROUTES 

Entre 2000 et 2012, il y a eu 32 km d'autoroute sur l'axe  Patte d'oie-Diamniadio soit une moyenne de moins 3 km par an.

C'est bien.

 

Entre 2012 et 2018, le Président Macky Sall a ajouté 188 km soit une moyenne de 31 km par an c'est à dire 10 fois plus que la moyenne annuelle de la période 2000-2012.

C'est très bien. Les 188 km d'autoroute faits par le Président Macky Sall sont  :

- Ila Touba 113 km

- Diamniadio-Sindia 36 Km

- Sindia-Mbour 24 km

- Aibd-Thies 15 km

 

À ces projets autoroutiers s'ajouteront deux projets phares que sont :

 

- La côtière Dakar-Saint Louis 190 Km

- Mbour-Kaolack 125 km

 

L'objectif est d'avoir  vers 2030 plus de 800 km d'autoroute au Sénégal !

 

LE PR MACKY SALL TRAVAILLE

 

Alimentation en eau potable l

En 2011 Dakar recevait 290 000 m3 / jour 

En 2017 Dakar reçoit     360 000 m3 /jour 

Nous  avons rajouté       110 000  m3 /jour 

Le programme spécial d’alimentation en eau de Dakar ( Psdak) a permis d’acheminer vers Dakar un volume d’eau supplémentaire  de 94 000 m3 d’eau à la fin de l’année 2018 . Ce volume qui dépasse de loin le déficit de  juin 2018  en eau de la capitale a permis de régler les problèmes de pénurie d’eau vécus à Dakar . 

En plus nous allons rajouter les deux projets    : 

- 200 000 m3 /jour avec KMS3 

Une vraie réponse à la problématique de l’eau en milieu urbain avec une production de 200 000 m3 / jours et 1000 km d’extension de réseau . Et il s’agit de tuyaux de 1,6 m de diamètre jamais installés en Afrique . 

- 100 000 m 3/ jour avec le Dessalement de l’eau de mer pour servir de soupape de secours . 

Plus de 73 000 branchements sociaux sont réalisés à Dakar et dans les autres centres urbains avec plus de 742 km d’extension de réseau . 

Soit un total rajouté de 504 000   m3 . 

Le président Macky Sall a plus d’ambition pour son peuple . 

 

Il faut comparer 290 000 m3 / jour en 52 ans et 

Les 204 000 m3 rajoutés en 7ans ( avant fin 2018 ( 110 000 + 94 000 ) ) 

Les 300 000 m3  ( KMS3 200 000 et DEM 100 000  )

Dans le sous secteur de l’hydraulique urbaine , le gouvernement du Président Macky Sall a enregistré des avancées : 

L’Etat a mobilisé entre 2013,2018 plus de 500 milliards, contre

 260 milliards FCFA de 1996 à 2012 pour l’hydraulique urbaine

 

Face à cette question de l’eau , ressource vitale ,nous réitérons notre compassion à l’endroit des populations des zones déficitaires . Les solutions structurelles vont régler définitivement le problème. 

 

465 Forages, 177 châteaux d’eau réalisés en 4ans . 

 

Assainissement 

 

DANS LE SECTEUR DE L'ASSAINISSEMENT, MACKY SALL A FAIT MIEUX 

De 1996 à 2012, les précédents gouvernements ont injecté 

-145 milliards de FCFA dans l'assainissement. 

De 2012 à 2019, le président Macky Sall aura mobilisé 

-208 milliards de FCFA pour l'assainissement, soit 30 milliards de FCFA en moyenne par an. 

 

UN LEGS SUR !

30 PROJETS QUI FERONT LE SENEGAL DE DEMAIN...

 01 Aéroport international, AIDB de Diass

 12 Avions AIRBUS commandés neufs d'AIR SENEGAL SA inédit en Afrique de l'ouest 

 15 Trains CORADIA ALSTOM commandés neufs du TER inédit en Afrique de l'ouest 

 140 kms rail a écartement standard inédit en Afrique de l'ouest 

 01 gare de Dakar Patrimoine mondiale complément rénovée 

 01 Gare emblematique a Diamniadio des plus majestueuse d'Afrique. 

 01 autoponts viaduc sur l'axe 70 à Diamniadio sur 1KM en 2x3 voies, un des plus longs en Afrique 

 01 Boucle de germe de 11km de la ville de Diamniadio en 2x2 voies

 400 kms d'Autoroute DAKAR AIBD MBOUR THIES TOUBA et MBOUR KAOLACK  et 200km en gestation DAKAR - St LOUIS 

 50 kms de prolongement de la VDN avec 2 ponts Viaduc sur 1km des plus longs en Afrique et 01 pont bowstring sur 350m

 18 ponts et autoponts dont 13 a Dakar.

 01 Centre de conférence international CICAD,  des plus majestueux d'Afrique 

 01 Centre d'exposition international, DAKAR EXPO des plus majestueux d'Afrique

 01 stade omnisports de 15000 Places, DAKAR ARENA, unique en Afrique

 01 stade olympique de 50000 places à diamniadio, des plus moderne d'Afrique.

 01 Arène nationale de lutte, unique en Afrique

 03 sphères ministérielles en Smart building pour 15 ministères et 10000 fonctionnaires, des plus majestueuses d'Afrique.

 01 Cite des Nations Unies pour les 34 agences du Sénégal.

 01 Parc industriel international avec des bâtiments de 5000 et 10000M² comptant déjà 1000 emplois directs et 100milliards d'investissement privé.

 01 marché d’Internet national, unique en son genre en Afrique.

 01 Gare des gros porteurs dun parking de 250 camions 

 11 DAC domaines agricole communautaire dont 5 en réception

 104 fermes agricoles et 07 fermes piscicoles

 01 IRESSEF plus grand centre de recherche en sante de l'Afrique

 03 Universités UAM et USSEIN de 40000 étudiants chacune

 01 Remise a niveau de toutes les universités du Senegal dont a UCAD, 01 resto de 60000 plats par jour et 01 Boulangerie de 30000 pains par jour a l'Universite de dakar

 01 logement universitaire de 10000 lits a l'Universite de dakar

 01 Cite du Savoir

 14 ISEP institut supérieur d'enseignement professionnel dont 05 en réception

 45 ENO Espace Numérique Ouvert dans  tous les département du Sénégal 

 04 Hopitaux régionaux, 08 centre de sante, 10 centre d'hemodialyse dont certain deja opérationnels.

 570 Ambulances, 02 bus médicaux et 07 pirogues medicalisés.

 02 Ports, vraquier et minéralier, en construction à Bargny et Sendou

 06PBC les 8 programmes les plus innovants du senegal independant : PRODAC - PUDC - PUMA - PPDC - PROMOVILLE - PROGRAMME DE MODERNISATION DES CITES RELIGIEUSE - BOURSES FAMILIALES - COUVERTURE MALADIEUNIVERSELLE...

 

Doter du senegal tout ce qui se fait de meilleur ailleurs dans le monde...

Offrir dans les 50ANS aux senegalais TOUTES LES OPPORTUNITÉS POUR NAITRE, VIVRE ET DEVENIR AU SÉNÉGAL....

   

 

Le leader de Manko Wattu Sénégal est très alerte sur ce qui se dit au Sénégal. Depuis la France où il se trouve pour les besoins d'une conférence à caractère international, Ousmane Faye a tenu à rappeler à l'opposition réunie autour de la coalition Yewwi Askan Wi (YAW) d'éviter de dramatiser tout ce qui se passe dans le pays.

 

C’est un appel vibrant que Ousmane Faye a lancé aux sénégalais de la diaspora. «Soyez vigilants et prudents, ouvrez bien les yeux, car, parfois, on a l’impression que si on est en dehors du Sénégal, et qu’on lit les médias, ou bien si on écoute certains politiciens surtout ceux de l’opposition, le sentiment qui se dégage est qu’on a l’impression que le Sénégal est dans une instabilité qui ne dit pas son nom, où les sénégalais sont dans la misère, et que la démocratie est menacée, avec une justice sous commande. Je tiens vraiment à corriger ces faussetés. Ce n’est que du virtuel. Le Sénégal réel, c’est celui qui avait, avant la Covid-19 un taux de croissance de 7, 8 %, et où partout, à travers le pays, c’est des chantiers avec des autoroutes, des autoponts, des infrastructures sportives de dernière génération comme Dakar Aréna, le nouveau stade du Sénégal qui porte le nom du président Abdoulaye Wade, le TER avec le lancement, hier, par le Président Macky Sall, de la phase 2 jusqu’à l’aéroport Blaise Diagne etc. », a recadré Ousmane Faye. Selon le patron de MWS, «jamais dans l’histoire, le Sénégal n’a reçu autant de financements des bailleurs de fonds et des investissements aussi importants, surtout sur le plan des infrastructures de dernière génération, sans oublier des importants travaux de désenclavement en cours, plus les autres réalisations. C’est ça la réalité, et c’est ça le Sénégal réel, en tout cas celui que nous vivons ».

 

Toutefois, précise t-il, «tout n’est pas parfait. Je ne dis pas que le pays ne connaît pas de difficultés, car, tout n’est pas rose comme partout d’ailleurs dans le monde. Et même ça, les autorités sont sr le qui-vive pour apporter des solutions idoines. Donc, il ne faut jamais penser que le développement se fait en un claquement des doigts. Il faut que ces politiciens qui nous tympanisent sachent qu’on ne transforme du jour au lendemain le pays en un paradis. J’en veux pour preuve, des milliers de français sans abris et qui vivent dans des conditions inimaginables, alors qu’ils sont milles fois plus développés que nous». «Donc il faut retenir que le Président Macky Sall  est en train de tout faire pour nous mettre sur la voie de l’émergence, avec sa vision très claire et stratégique». Le Président de la Coalition Manko Wattu Sénégal (MWS), Ousmane Faye, présidait ce dimanche, à Paris, une conférence, à la résidence universitaire Jean Sarrailh ae sur le thème : ‘’la situation économique et démocratique du Sénégal’’. Mais il faut dire que cette rencontre est le fruit d’un panel organisé par les étudiants de la coalition (MWS) et ses responsables en France. Ainsi, après une visite de courtoisie dans la banlieue parisienne, le Président Ousmane Faye à félicité tous les responsables de la Région française, militants et sympathisants pour l’accueil chaleureux qui lui a été réservé, mais aussi, pour les importants résultats obtenus dans la Diaspora par sa coalition.

 

 

 

Membre de Waterkeeper Alliance, l’association Bargny Coast Waterkeeper, a saisi le prétexte de la publication du rapport du groupe II du GIEC paru le 28 Février 2022 pour susciter, à travers un atelier à Bargny, des réflexions sur les grands enjeux du changement climatique. Avec l’appui technique de Chris Wilke de Global Advocacy Manager Waterkeeper Alliance, et de K. C. Schulberg, Collier County Waterkeeper, ce conclave est un grand moment d’échanges avec tous les acteurs pour, ensemble, faire face aux urgences d’agir après la sonnette d’alarme tirée par les scientifiques.

Une aggravation des impacts de la crise climatique est une menace pour le bien-être de l’humanité et la santé de la planète. Les nouvelles sont aujourd’hui dangereuses et les scientifiques ont tiré sur la sonnette d’alarme. Force est de noter que le réchauffement climatique est perceptible partout dans le monde et certains de ses effets sont déja irréversibles, bien qu’il n’est pas tard de les atténuer.

 D’où l’urgente nécessité, pour les différents acteurs, d’agir, en faisant de sorte d’avoir une baisse drastique des émissions de gaz à effet de serre. Déjà, les experts du rapport présentent un argument en faveur d’un revirement majeur qui intégrera mieux les systèmes économiques et environnementaux mondiaux pour un avenir durable. Hoesung Lee, Président du GIEC de montrer que ‘’le changement climatique fait peser une menace grave et grandissante sur notre bien-être et la santé de la planète. Les mesures prises aujourd’hui façonneront l’adaptation de l’humanité et la réponse de la nature aux risques climatiques croissants’’. Il est urgent d’agir face aux risques croissants matérialisés par la multiplication des vagues de chaleur, des inondations et des sécheresses qui dépassent déjà les seuils de tolérance de végétaux et des animaux.

Ces phénomènes extrêmes exposent des millions de personnes à une insécurité alimentaire et hydrique, particulièrement en Afrique, Asie, Amérique du Sud et centrale. L’Afrique vit de plein fouet les effets du changement climatiques ; elle a besoin de 35 milliards de dollars US par an pour s’adapter. Les communautés Africaines  appellent les pays développés à tenir leur promesse d’aider les nations Africaines à s’adapter au changement climatique et à faire face aux pertes et dommages dans la mesure où l’Afrique est le continent le plus touché par le changement climatique, alors qu’il n’y contribue que très faiblement.

Une réflexion sur les  politiques d’adaptation planifiées à long terme semble nécessaire par la territorialisation des politiques d’adaptation. Les villes zones sensibles aux impacts et risques sont indispensables à la solution. Le Sénégal avec ses 700 Km de côte fait face à une érosion côtière croissante, la salinisation des sols, la dégradation de la filière agricole, l’acidification des océans et la rareté des espèces halieutiques tout autant que l’augmentation de la température fragilisant la santé des populations

PREMIER CAS DE COVID 19 AU SENEGAL : Où en est-on dans la gestion-prévention deux après ?

2 Mars 2020 - 2 Mars 2022, il y a deux ans, jour pour jour, le Sénégal enregistrait son premier cas de Covid 19. L’apparition du virus-tueur dans le pays a provoqué un vaste chamboulement, tant sur les programmes de développement en cours, qu’il laisse apparaître des manquements dans les plateaux médicaux de nos structures de santé. Parallèlement à l’avènement de ce nouveau fléau sanitaire mondial, certaines personnes voyaient, avec cette maladie qui venait d’être officiellement déclarée pandémie par l’OMS, une nouvelle stratégie pour imposer à l’Afrique des vaccins. Les autorités du Sénégal, avec en tête le Président de la République, essayaient de ce fait de prendre le taureau par les cornes en initiant des mesures hardies de gestion et de prises en charge des nombreux cas de contamination que les structures sanitaires ne pouvaient plus contenir. Aujourd’hui, deux ans après, où en est-on dans la gestion de cette maladie? Comment les États africains se comportent-ils dans la fabrication de leurs propres vaccins et médicaments? Et bien d’autres questions relatives à la sensibilisation qui se posent avec acuité, et dont le journal L’Exclusif a tenté d’y apporter des réponses.

On l’entendait pour la première fois le 16 novembre 2019, à Wuhan, en Chine, et plus tard, dans les autres pays européens et américains, mais très peu en Afrique avec seulement 3 pays que sont l’Algérie, l’Egypte et le Nigéria. Mais, c’est comme si la terre nous dévorait les pieds à l’annonce de la présence, dans nos murs, d’un ressortissant français, porteur du virus. C’était le 2 Mars 2020, et à partir de cette date, tous les sénégalais, à l’unanimité, avaient les yeux rivés sur les chaînes d’informations nationales, européennes et étrangères pour suivre, avec une attention empruntée, l’actualité marquée par l’apparition de ce virus ravageur qui a fini d’apeurer l’humanité toute entière au regard des centaines, voire des milliers de morts qu’il a fini d’aligner. Avec un mode de contamination d’une rapidité inouïe, les cas de Coronavirus, hôte indésirable du monde entier, se multiplient à une vitesse vertigineuse, prenant de cours les nations dont les plateaux médicaux sont les plus courus, affaissant sur son passage les économies les plus solides, et désintégrant le tissu social des familles soudées en leur imposant la distanciation sociale. Une situation inédite venait de se passer dans le monde et appelle à une réaction urgente et efficace pour son éradication définitive. Ainsi, toutes sortes de stratégie sont expérimentées pour faire face à cette pandémie qui a fini de dicter sa loi. Au Sénégal, avant la réception officielle des premières doses de vaccin, l’Etat du Sénégal a mis en place le Programme de résilience économique et sociale (PRES), avec un budget de 1000 milliards de nos francs, et a pris une mesure peu appréciée en décrétant le couvre-feu.

Coronavirus

Il a également préconisé le port de masques obligatoire et le lavage fréquent des mains avec de l’eau et du savon en plus de l’usage du gel hydro alcoolique, fermé les structures à grande affluence (écoles, universités, marchés, édifices religieux, etc.), bref, une batterie de mesures pour juguler le mal qui, malgré ces mesures hardies, résiste avec son lot de contamination, de décès, et de craintes d’être la prochaine victime. La terreur s’était définitivement installée, surtout quand de grandes personnalités politiques, sportives, religieuses, coutumières sont annoncées mortes des suites d’une contamination au coronavirus. Ainsi, les scientifiques, médecins, chercheurs et autres laborantins et firmes pharmaceutiques montaient au front et se mettaient sur le qui-vive pour libérer le monde, et heureusement que leurs recherches sont révélées fructueuses pour avoir permis de trouver, pas un remède définitif, mais un vaccin qui, pour le moment, pourra éviter l’évolution et la propagation de la maladie qui se manifestait par des difficultés respiratoires, d’où son nom de SARS-Cov 2 en anglais ou syndrome respiratoire aigu sévère en français.

Aujourd’hui deux ans après, c’est 1960 individus (chiffre officiel émanant des services du Ministère de la Santé et de l’Action Sociale) qui ont perdu la vie après la déclaration du premier cas de Covid 19 au Sénégal. Du chemin a, certes, été parcouru, mais la maladie est encore là, et n’a pas du tout dit son dernier mot. Il  y a lieu de maintenir le débat sur la gestion-prévention de la crise, et de susciter des réflexions sur la question, car la lutte contre la pandémie est devenue, depuis lors, l’affaire de tous, notamment de l’Etat, la société civile, des ONG telles que One Campaign. L’objectif est double : inciter les décideurs à faire preuve d’ingéniosité dans la lutte par la fabrication de nos propres vaccins et la mise en place de stratégie à même de renforcer le système national de santé. Mais aussi, d’en informer les populations dans la prévention par la vaccination et par le respect des gestes barrières. Deux éléments essentiels qui, s’ils sont résolus, auront un fort impact dans l’éradication définitive de la maladie  à coronavirus.

 

Fabrication de nos propres vaccins anti-Covid

 

Sous l’impulsion du chef de l’Etat, le Président Macky Sall, et la détermination des services du département de la Santé et de l’Action Sociale, le Sénégal fait partie des six pays d'Afrique qui ont été choisis pour héberger leur propre production de vaccins à ARN, en tant que premiers bénéficiaires du programme mondial de l'OMS de production de ces vaccins. En effet, l'Afrique du Sud, l'Egypte, le Kenya, le Nigeria, le Sénégal et la Tunisie ont été choisis par l'Organisation mondiale de la santé afin de permettre au continent africain, qui a souffert d'un accès restreint aux vaccins anti-Covid, de fabriquer ses propres vaccins pour lutter contre la pandémie de coronavirus, mais aussi d'autres maladies. Le visage radieux et optimiste, le premier des sénégalais suscitait l’espoir à l’annonce de cette information qui devait enterrer définitivement le doute sur l’origine et les effets des vaccins dont (sic) ‘’certains esprits y voyaient un moyen de liquider la race africaine’’. «Que non, les africains se sont toujours vaccinés contre les maladies et les pandémies sans que des conséquences aussi dramatiques ne soient corrélées», rassurait Dr Dieng du Centre de Santé de Yeumbeul Sud, en banlieue Dakaroise. Mais, on aura aussi noté l’avènement d’une guerre commerciale entre firmes concurrentes, et ceci jusque dans les mentalités. Bref, toujours est-il que vu la persistance de la pandémie, et qu’aucun médicament n’ait encore été fabriqué pour sa guérison, seul le vaccin peut permettre aux populations de faire face, en y combinant les mesures dites de barrières, notamment le lavage fréquent des mains avec de l’eau et du savon et l’utilisation régulière du gel hydro alcoolique. Pour fustiger cette dépendance en médicaments des pays africains aux grandes puissances, le directeur général de l'OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus, déclarait déjà que «la pandémie de Covid-19 a montré mieux que n'importe quel autre événement que s'en remettre à une poignée d'entreprises pour fournir des biens publics mondiaux est restrictif et dangereux». Selon lui, «la meilleure façon de faire face aux urgences sanitaires et de parvenir à une couverture sanitaire universelle est d'accroître considérablement la capacité de toutes les régions à fabriquer les produits de santé dont elles ont besoin», ajoutait M. Tedros qui n'a cessé de réclamer un accès équitable aux vaccins afin d’éliminer la pandémie, et de s'insurger contre le fait que les nations riches se soient accaparées les doses pour elles-mêmes, laissant ainsi l'Afrique sans grand accès à la vaccination. Et c’est dans ce contexte de nécessité de démocratiser la fabrication des médicaments qu’une cérémonie marquant l'annonce du transfert de technologie de l'ARN avait eu lieu à Bruxelles lors du sommet entre l'Union européenne et l'Union africaine. «Nous avons beaucoup parlé de la production de vaccins ARN en Afrique (l'ARN contenu dans ces vaccins contre la Covid-19 sera converti en protéine S (Spike) qui se retrouve sur l'enveloppe du virus Sars-Cov-2). Mais ceci va encore plus loin. Il s'agit d'une technologie ARN conçue en Afrique, menée par l'Afrique et appartenant à l'Afrique», soutenait ainsi la présidente de la Commission européenne.

L’importance de sensibiliser les populations à se faire vacciner

Ce serait presque un miracle d’arriver à injecter certaines personnes qui jurent de ne jamais prendre le vaccin. Certains préféreraient même mourir que d’être vaccinés contre la Covid. Les multiples séances d’explications et de sensibilisation pour leur faire comprendre les ravages de la maladie et ses conséquences sur l’économie ne peuvent servir à grand-chose. Cette considération négative du vaccin avait poussé le Président Macky Sall à déclarer : «Si vous ne vous vaccinez pas, je vais devoir envoyer les lots de vaccins que nous avons acquis chers vers les pays limitrophes qui en auront grandement besoin». Mais n’empêche, il n’y a pas eu grand rush vers les structures sanitaires pour se faire vacciner, conséquence, les vaccins sont jetés à la poubelle parce que simplement ils sont périmés. Cette situation a permis à certaines organisations de la société civile, en plus de la vaste campagne de communication des services de l’Etat, de jouer leur partition. C’est le cas de l’ONG Campaign qui a initié des campagnes de communication et d’interventions sur le terrain en guise de stratégie efficace pour toucher les différentes couches de la société. Mais pour Désiré Assogbavi, Directeur de l’Afrique Francophone de One Campaign, «cela passe par une formation des hommes et des femmes de média afin de mieux porter l’information sur la nécessité d’inculquer aux porteurs de voix le devoir d’amener les populations à se faire vacciner et à adopter les mesures de prévention». L’objectif est surtout de dissiper les doutes nourris depuis le début par nombre de Sénégalais quant à la gravité de la maladie, au scepticisme répandu vis-à-vis de la vaccination, et des  conséquences liées à la crainte des effets secondaires des vaccins, notamment l’Astra Zeneca. Pour Monsieur X, membre du personnel de santé, sous couvert de l’anonymat certainement pour ne pas subir les vociférations de ses supérieurs hiérarchiques, «les gens ne se pressent pas pour se faire vacciner. Quelqu’un m’a soufflé son manque de confiance à cause de la gratuité du vaccin. Ce sont ces genres de considérations qu’il convient de parer au plus vite si l’on veut un rush dans les structures de santé».

Youssouf NDIONGUE

 

 

La région de l'Afrique de l'ouest sous la bannière de la communauté économique des États de l'Afrique de l'ouest CEDEAO est tourmentée par une myriade de symptômes caractéristiques d'une société en décomposition, un environnement socio-politique dépourvu de l'ingrédient de base du progrès, du développement et du bien-être des personnes et cette tendance va d'un état mauvais à un état pire. 

Des individus sont ignorés par nos dirigeants, ils semblent se serrer la ceinture pour écraser toute l'opposition africaine. Nous avons vu le cas de la Guinée, où le Président a amendé la constitution pour se perpétuer au pouvoir sous la surveillance de la CEDEAO qui sont restés muets. Nous sommes tous témoins de l'attitude de la CEDEAO lorsque les militaires guinéens ont frappé pour défendre la constitution de la nation et du peuple. Nous sommes également témoins du mouvement auto-entretenu du Président de la Côte d'ivoire et de la position docile et complice de la CEDEAO. 

Nous sommes également témoins de la situation risible en cours au Mali où la CEDEAO sanctionne de manière draconienne le mouvement de l'armée nationale pour sauver ses citoyens et sa nation d'un mauvais leadership. Nous sommes tous témoins de la disparition à l'enrichissement de presque tous les dirigeants au détriment des masses. Combien de temps continuerons-nous à vivre comme des esclaves dans ce continent ? Par conséquent, le besoin d'une feuille de route pour une action véritable devient absolument nécessaire. Conscient de la nécessité  de développer une stratégie d'une alliance de l'opposition africaine. Avec toute ma gratitude et ma reconnaissance. 

Dr Mohamed Diallo 

Président du Parti Urv ( Sénégal)

Spécialisé en communication de crise

 

Après avoir perdu la majorité, Ahmed Aidara peut compter sur le soutien de Wade pour pouvoir mieux diriger la ville Guédiawaye. Et pour rappel, le successeur d'Alioune Sall avait des difficultés à cause de cette situation lors de son installation à la tête de la ville. Le vote avait été bloqué pendant plusieurs heures avant la reprise. 

 

Il est mentionné à travers un communiqué distribué à la presse par les responsables du parti démocratique sénégalais que:" le Pds parti comme les autres forces démocratiques, s'est interrogé et a consulté ses conseillers pour se faire une idée de la situation . Il faut dire que le groupe des10 a demandé à Yew, Askan Wi, le poste de 3eme adjoint, le manque d'accords autour de cette questions a généré la situation présente que nous déplorons fortement .

 

Les achats de conseillers par coûts de millions ou de terrains, distillés par la presse et autres médiums , ne sont que des vus de l ' esprit. Ahmet Aïdara , en présence de certains de nos responsables nationaux, a réaffirmé le soutien indéfectible du S.G.N. du P.D.S qui reste la force incontournable de l'opposition", indique le communiqué. Et dans le communiqué, il y est paraphé que les responsables du pds  demandent aux responsables de la coalition de Yewwi et surtout à Ahmet de composer avec le groupe des 10 et de constituer avec eux, une force apte à créer la stabilité dans la gestion de la ville de Guédiawaye. Les procès d'intention, sont contre- productifs, essayons de marcher ensemble, pour le bien de Guédiawaye et de sa population qui a voulu le changement".

 

Le parti démocratique sénégalais promet après réglages nécessaires qui ont été faits au niveau de ses bases d'accompagner le maire Ahmed Aïdara pour lui permettre de mieux piloter la ville où il remplace Alioune Sall qui a du mal à avaler sa défaite lors des élections locales du 23 janvier dernier. L'engagement de Wade pour soutenir le nouveau maire est un signale fort qui faciliter la gestion au leader du mouvement Guédiawaye La Bok. 

  1. Touré

Chaque année, les "99" noms d'Allah sont célébrés par le guide religieux en l'occurrence Serigne Gora Sèye qui invite tous les musulmans au respect des recommandations de leur religion. Des thèmes liés aux changements de comportement sont souvent abordés, surtout pendant ses sorties médiatiques pour inviter aux populations à assister à un programme dont-il est initiateur. 

 

Serigne Gora Sèye est également auteur du livre Naturmed. Il s'active dans la prise en charge des enfants issus dans des familles modeste. Un thérapeutique qui accueille plus de 1000 patients par jour pour des soins et autres. La célébration des "99" noms d'Allah témoigne l'attachement de Serigne Gora Sèye aux valeurs et recommandations de l'islam. Selon lui, " les sénégalais peuvent s'inspirer sur marabouts comme Serigne Touba, El Hadji Malick, Seydina Issa Laye, Baye Niass, Boucounta et entre autres.

 

 Le Sénégal a toujours été un stable. La vie ne sera meilleure pour tout le monde que si les croyants se référent à leur religion. Éviter les interdits et de pratiquer les recommandations du prophète (psl). C'est Dieu qui demande à ce que ses croyants lui tendent la main, à travers ses noms les plus exaucés. Le coran nous enseigne le monde et ses facettes", a-t-il dit. Plusieurs ouvrages ont été déjà mis à la disposition des populations. Des livres qui parlent de la relation entre l'homme, les plantes et la religion. "

 

Il existe des secrets sur les" 99" noms d'Allah. Ma mission est de servir l'islam et non de se servir de l'islam. Raison pour laquelle plusieurs actes ont été poses sur le plan social pour aider les populations", explique t-il. La manifestation qui est devenue une coutume, sera organisée en mois de mars prochain à Thiaroye azur. L'événement n'a pas pu se tenir l'année dernière à cause du Covid 19 mais pour cette année, " des dispositives ont été prises pour la réussite du programme.

 

" Les" 99" noms gardent plusieurs secrets et chaque nom évoque quelque chose d'importance qui peut servir à l'être humain", nous dit-on. Le guide religieux invite aux politiciens à la préservation de la stabilité qui existe au Sénégal depuis l'indépendance. La rencontre avec la presse pour diagnostiquer ce qui se cache derrière les noms de Dieu, a été une occasion pour Serigne Gora Sèye d'exhorter aux musulmans de se conformer aux valeurs et recommandations de l'islam avant de lancer un appel aux populations de venir à Thiaroye le mois de mars prochain pour assister à la célébration des "99" noms d'Allah. 

  1. Touré

 

 

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