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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

«C’est un Taxawu divisé sur la question qui essaie d’envisager l’avenir avec la meilleure formule possible.» C’est parce cette phrase que Les Échos a conclu, dans son édition de ce lundi, une brève sur les dissensions dans le camp de Khalifa Sall au sujet d’éventuelles retrouvailles entre ce dernier et le PS, agitées ces derniers jours.

Le journal rapporte que les membres de la coalition dirigée par l’ancien maire de Dakar opposés à une telle éventualité, estiment que Khalifa Sall «n’a rien à faire de l’appareil [du PS]». «Selon eux, il peut s’en sortir sans cette machine», complète la source.

Mais ces partisans du statuquo font face à ceux qui, au sein de Taxawu Sénégal, plaident pour un rabibochage entre l’ancien maire de Dakar et les Socialistes. Ils pensent, selon Les Échos, «que Khalifa Sall doit avoir l’appareil socialiste pour la réalisation des objectifs de Taxawu».

Ces derniers jours, les médias ont fait état d’une rencontre entre Aminata Mbengue Ndiaye, la secrétaire générale du PS, et Khalifa Sall. Au menu des discussions entre les deux leaders politiques : les retrouvailles de la famille socialiste, dit-on.

Les deux derniers Conseils des ministres ont été le lieu des premières de nominations du Président Diomaye Faye au niveau des directions et autres institutions publiques. Plus d’une trentaine de postes ont été pourvus.

Au niveau de certaines stations, la passation de témoin s’est bien passée et la continuité du service est donc en marche. Pour d’autres entités en revanche, ça coince. «Tout est au ralenti», d’après Les Échos de ce lundi, qui a pointé des lenteurs dans la transition dans quelques directions nationales, sans préciser lesquelles.

Le journal explique : «Certains ‘DG’ [directeurs généraux] virés n’ont jusqu’à présent pas vu ou reçu de documents les informant [des modalités] de la passation de service avec leurs remplaçants. Conséquence : ceux qui ont fini de préparer leurs dossiers à transmettre ne signent plus d’actes administratifs.»

Les PCA (présidents de Conseil d’administration) ne sont pas mieux lotis. Les Échos informe que certains d’entre eux «ne savent toujours pas quand leurs DG vont faire la passation et le moment où ils seront eux-mêmes installés pour que le travail continue».

 

Le Groupe CANAL+ HORIZON, a organisé ce lundi dernier, dans un hôtel de la place de Dakar, la cérémonie de lancement de deux nouvelles chaînes de fiction en langues nationales, a savoir le MANDEKA  et le PULAAGU.

 

En présence de Cheikh Amadou Bamba SARR, Directeur Général dudit Groupe, et en compagnie de plusieurs personnalités, dont une forte présence de producteurs, réalisateurs, acteurs, et tous ceux qui gravitent et font fonctionner le 7e art sénégalais et africain en général, la séance de présentation de ces deux nouvelle chaine venus dans la famille Canal+, a permis à son Directeur d'expliquer la pertinence de la

la première langue.

 

Le MANDEKA, la chaîne des séries et théâtres en Bambara et en Malinké.

Divertissante et authentique, MANDEKA est une invitation à découvrir ou à redécouvrir des séries incontournables et des théâtres tant appréciés en dialecte mandingue et principalement tournés en Guinée et au Mali., dixit Monsieur Cheikh Amadou Bamba SARR, avant de poursuivre sur la deuxième langue:

 

Le PULAAGU, la chaîne des séries en Pulaar.

Véritable miroir des coutumes et traditions, de la région du Fouta ou d’ailleurs, PULAAGU promet le meilleur des séries-cultes, plus récentes et inédites, tournées dans des décors naturels du Sénégal, du Mali, de la Mauritanie et de la Guinée.

 

En effet, grâce au partenariat récemment conclu avec Marodi TV, PULAAGU bénéficiera de productions inédites, dont DJAME & FATOUMATA, une histoire d’amour passionnée, diffusée dés le 29 avril 2024 (ndlr hier).

 

Il s'y ajoute d'autres séries telles que: Polel, Koudi, Fiibdé, Deougal Koyo Danke, puis le Poids du Silence, Aduna , No Waariwoo et  Mignan Gnanne Dioh.

Il faut rappeler par ailleurs, que le Groupe CANAL +, filiale de Vivendi est l'un de leader de la création et de la distribution dans le monde, avec une présence dans plus de 50 pays et 7600 collaboratrices et collaborateurs sur tous les continents. Ils comptent maintenant 26, 4 millions d'abonnés dans le monde dont 17,1 millions en Europe; 8,1 millions en Afrique et 1,2 million en Asie-Pacifique.

 

Mamadou TOURÉ

M. le PR

Nous, Citoyens sénégalais, réunis dans LA CONVENTION POUR LA CITOYENNETE ET LE DEVELOPPEMENT DU FUUTA, considérant votre brillante élection à la magistrature suprême de notre pays, le 24 mars 2024 ; ce dont nous nous réjouissons tout en vous adressant nos chaleureuses félicitations auxquelles nous joignons nos vœux les plus fervents pour la réussite de votre lourde charge ; Considérant le communiqué du Conseil des Ministres du mardi 09 Avril 2024, aux termes duquel vous avez instruit Monsieur le Premier Ministre, entre autres, de changer le référentiel de politique économique et sociale avec la consécration du « PROJET »; Considérant le Livre « PROJET POUR UN SENEGAL JUSTE, EQUILIBRE ET PROSPERE » de la « Coalition gagnante DIOMAYE PRESIDENT » ;

 Considérant le Chapitre 6 intitulé : « Pour un développement d’un tissu industriel basé sur la transformation de ce que nous produisons et la promotion de nos champions industriels nationaux » ; Considérant l’ancrage du tissu industriel proposé autour de huit pôles de développement économique que sont : - le Pôle industriel de Ndakaaru - le Pôle industriel de Kayoor - le Pôle industriel de Siin-Saalum - le Pôle industriel de Njammbuur - le Pôle industriel de Kaasamàas - le Pôle industriel de Ɓunndu - le Pôle industriel de Ferlo - le Pôle industriel de Waalo ; 3 Considérant que, dans ce découpage le FUUTA disparaît brutalement de la carte historique du Sénégal ; Considérant que le FUUTA est la première entité géographique organisée, en tant que réalité sociopolitique, confirmée par la Révolution théocratique de 1776 ; Considérant l’importance du caractère identitaire du découpage cité supra ;

Considérant le Chapitre 12 intitulé : « Pour des Infrastructures adaptées, sûres, résilientes, durables et à moindre coût » ; Considérant les lignes ferroviaires prévues ainsi qu’il suit dans le livre « PROJET »: - ligne principale Waalo – Ferlo ; - ligne principale Ndakaaru – Kayoor – Waalo ; - ligne principale Ndakaaru – Baol – Njammbuur – Ferlo ; - ligne principale Ndakaaru – Siin-Sàalum – Kaasamaas ; - ligne principale Ndakaaru – Siin-Saalum – Ɓunndu ; - ligne principale Ferlo – Ɓunndu ; - ligne principale Kaasamàas – Ɓunndu ; - ligne secondaire Waalo – Baol – Njammbuur ; - ligne secondaire Baol – Njammbuur – Siin-Saalum ; - ligne secondaire Kayoor – Baol – Njammbuur ; Considérant l’histoire du Sénégal, où les noms des pôles de développement pour un tissu industriel ont été le nom de royaumes ayant existé ; Considérant l’évolution des découpages administratifs depuis 1960, période au cours de laquelle la région Fleuve a toujours fait partie des entités géographiques rétrécies ou agrandies au fil des années, mais jamais effacées ;

Considérant le processus de décentralisation, enclenché depuis 1972 et dont l'esprit est de renforcer la gestion de proximité ; Considérant la mobilisation de la part de la population du Fuuta et les réactions suscitées par les tentatives d’accaparement de terres à Fanaye et à Dodel ; Considérant la mobilisation autour du Collectif pour la Défense des Intérêts du Bosséa contre la tentative d’un bail sur 500 mois d’une partie des terres du Bossea dans le Fuuta, au profit d’une firme italienne, dans un montage financier autour de capitaux provenant exclusivement de l’extérieur ; 4 Considérant la dynamique d’urbanisation au Fuuta autour de villes moyennes à l’image de Ndioum, Ourossogui, Podor, Kanel, Matam, entre autres et de petites villes dont Thilogne, Agnam, Sémmé, Galoya, Saldé, Madina Ndiathbé, Nguidjilone, Golléré, Fanaye, Sinthiou Bamambé, Donaye-Tarédji ; Considérant la configuration de la ligne Haute Tension Manantali – vers les centrales de transformation comme celle de Dagana ;

Considérant la disponibilité foncière et sa maîtrise par les populations de la moyenne et de la haute vallée du fleuve Sénégal ; Considérant la résilience du territoire du Fuuta face à de multiples chocs cycliques : Invasions acridiennes, épisodes de sécheresse de 1972, 1984, 1992, 2003, pluies hors-saison de 2002, crise politique de 1989, entre autres ; Considérant le peuplement cosmopolite du terroir du Fuuta où coexistent pacifiquement des Fulɓe, des Soninkés, des Sérères, des Wolofs, des Maures et bien d’autres ethnies; Considérant la richesse du sous-sol du Fuuta en eau, mines et minerais ; Considérant la dynamique organisationnelle structurée autour de grandes faitières dont ADENA, FAFD, ALDA, UJAK, FDL, AKNB, entre autres ;

 Considérant les projets qui ont organisé le territoire du Fuuta, dont le PEPAM, les grands aménagements hydroagricoles, les périmètres irrigués villageois, la dynamique des femmes et des jeunes autour des groupements de promotion féminine et d’associations sportives et culturelles ; Considérant la reconsidération des enjeux du climat sur les écosystèmes naturels et sur les humains à travers les initiatives endogènes et spontanées des VILLAGES VERTS : Thilogne Ville Verte, Golléré Ville Verte, Agnam Goly Ville Verte, entre autres ; Considérant les investissements réalisés par les populations du Fuuta elles-mêmes sans le concours financier de l’Etat du Sénégal : écoles, collèges, lycées, forages, structures de santé, etc. ; Considérant le potentiel de production en céréales locales, en lait, en viande, en riz, en niébé, en blé, en maïs, en produits maraîchers et fruitiers ; 5 Considérant les multiples cours issus du fleuve (marigot, méandre, lagunes, cuvettes) : Ngalenka, Doué, Ndiorol, Dialagne, Laalaadje, le Diamel, le Baleeru, le Gayo, le Yedja, Yooli Nguéloba, entre autres ;

Considérant les infrastructures existantes et celles en cours de réalisation : route du Daandé Maayo, la Route Nationale 2, la Boucle de l’Ile à Morphile, le marché à bétail de Thillé Boubacar, le Centre de Groupage de Boubé, l’expérience des GIPA ; la route du Diéri Ndioum – Namarel – Linguère, les ponts de Weendou Bosséyaabé, Madina Ndiathbé, Ndioum, Ganguel Soulé, Guédé Village, entre autres ; Voudrions, respectueusement, suggérer de faire:

  1. tenir compte, dans le cadre du découpage programmé, du Fuuta (qui s’étend de Ndieurba à Demmancané et de Yoli à Demette sur la rive gauche) comme un pôle de développement à part entière nécessitant un plan d’industrialisation basé sur les ressources agricoles, pastorales et halieutiques, dans l’optique d’une conservation des noms des anciens royaumes ;
  2. tenir compte de la superposition des 6 zones agro-écologiques et des Zones de Moyens d’Existence déjà configurées au Sénégal en rajoutant le Fuuta comme Pôle de développement ;
  3. privilégier les activités agrosylvopastorales sur l’exploitation des minerais de phosphates qui causent des dégâts socio-environnementaux sous-estimés et une saignée des ressources vers l’extérieur ;
  4. renforcer le désenclavement et l’interconnexion des sous-zones de l’Ile à Morphile, de Hakkunde Maaje et du Diéri du Fuuta ;
  5. considérer les petites et moyennes villes du Fuuta au même titre que d’autres contrées du Sénégal ;
  6. mettre en place des aménagements structurants sur ce territoire : curage du fleuve, construction des berges, réinvention du transport fluvial, postes de transformation d’énergie, interconnexion numérique et infrastructurelle des sous zones, relèvement du plateau médical des hôpitaux existants, achèvement des travaux de l’Université Professeur Souleymane NIANG ;
  7. créer une liaison ferroviaire entre FUUTA – JOLOF – NDAKAARU ;
  8. créer une liaison ferroviaire entre FUUTA – ƁUNNDU – KAASAMAAS ;
  9. créer une liaison ferroviaire entre FUUTA –WAALO – NDAKAARU.

Excellence, Monsieur le Président de la République ;

Cette préoccupation de la COCIDEF est partagée par tous les Fuutaŋkooɓe (les Habitants du Fuuta, à savoir : des Fulɓe, des Soninkés, des Sérères, des Wolofs, des Maures, etc.), pour la raison majeure que le FUUTA dispose de tous les facteurs de production nécessaires ; support d’une véritable politique de souveraineté alimentaire, dans un esprit de cohésion nationale.

Pour le Comité Directeur de la COCIDEF et P.O

Le Coordonnateur Dr Bassirou NIANG

77 222 30 16

L’avènement de l’inauguration du premier baril du pétrole et/ou du gaz pointe à l’horizon. Tout est fin prêt, selon les dernières informations distillées dans les cercles du pouvoir. Mais pour le Directeur général de Société nationale d’électricité, «la Senelec est prête pour l'arrivée du pétrole et du gaz». Papa Demba Biteye a fait cette déclaration en marge de la célébration de la fête internationale du Travail, une bonne occasion de revisiter les importantes réalisations de la société nationale avec les travailleurs qui ont, à leur tour, reconnu les efforts inlassables déployés par leur patron pour l’amélioration de leurs conditions de travail et de vie.

 

L’enthousiasme et la joie se lisaient sur le visage des travailleurs venus des différentes centrales syndicales pour les besoins de la fête qui leur est dédiée. Ils ont profité de ce moment important de communion avec leur patronat pour échanger et communiquer sur leur outil travail et les conditions sociales et professionnelles. C’est ainsi Abib Haidara, SG du Sutelec a reconnu : «les travailleurs saluent les performances et demandent une amélioration de leurs conditions de travail et de vie. Mais tout comme le DG, il a exhorté les travailleurs à la pérennisation des performances réussies ensemble sous la direction de Papa Demba Biteye. Le Dg, quant à lui, a mis l'accent sur les réalisations majeures, non sans magnifier le rôle du personnel, dans les résultats constants et positifs. Devant les travailleurs et les partenaires, Papa Demba Biteye s’est réjoui du soutien et l'accompagnement permanent de l'état, a également réaffirme sa disponibilité auprès du personnel afin de poursuivre l'objectif de fournir un service public de qualité. Avant de souhaiter une bonne fête à tous les travailleurs de Senelec pour ensemble maintenir la flamme de la lumière et de l’électricité très haute.

La fête du travail a été pour le directeur général de la Lonase de revenir sur les importantes réalisations qu’il a réussies à la tête de l’institution financière. Mieux, avec un chiffre d’affaires de 18 milliards brut, soit 12 milliards FCFA, Abdourakhmane Baldé Doura a cassé la baraque après seulement 7 mois de gestion. De quoi réjouir les travailleurs qui, à l’occasion de la fête du Travail qui leur est dédiée, sont revenus sur les acquis sociaux et leurs conditions de travail sensiblement améliorées.

 

«J e vous encourage à persévérer pour encore atteindre voire dépasser tous nos objectifs pour bâtir « Un groupe LONASE moderne, agile et performant à l’horizon 2028 » comme stipulé dans le PSD. L’augmentation généralisée du Salaire de base à hauteur de 15%. Le thème retenu cette année : « PAS DE DÉMOCRATIE SANS LES SYNDICATS) conforte ma posture d’homme de dialogue et de concertation qui s’ouvre à toutes les organisations syndicales, le personnel et les amicales afin qu’ensemble nous puissions explorer des pistes de solutions aux multiples revendications légitimes des travailleurs», a expliqué Doura Baldé. Selon lui, la fête du Travail donne l’occasion non seulement de partager des moments de bonheur avec tous les LONASIENS, mais également de m’adresser à chacun d’entre vous pour faire un bilan de la situation de l’entreprise. Je voudrais vous rappeler que nous avons élaboré un nouveau plan stratégique de développement (PSD) pour la période 2024-2028 adossé à un Contrat de Performance avec l’Etat du Sénégal pour 2024-2026».

 

Donc, il y a lieu de se féliciter de la réalité du management inclusif dans le cadre du dialogue social entre la direction générale et les organisations syndicales. Ce dispositif de concertation qui contribue significativement à la réussite des actions menées est bien le reflet de notre volonté commune de préserver l’image de marque de la LONASE.  Aussi voudrais-je saluer la forte contribution de tout le personnel à l’instauration d’un climat sain, apaisé et propice au travail, préalable à la poursuite et à la réalisation de nos ambitions. La stabilité que nous vivons au sein de notre entreprise a contribué à l’accroissement considérable de la performance de la société ce qui a facilité en partie la prise en charge des conditions des travailleurs et guide notre conduite qui ‘’PLACE L’HUMAIN AU CŒUR DE NOS ACTIONS’’».

 

Les espaces de dialogue déjà existants ont permis la mise en place des accords collectifs d’entreprise fortement appréciés et la tenue régulière des travaux de la commission paritaire : L’augmentation généralisée du sursalaire à hauteur de 50 000 FCFA ; la revalorisation de la prime de Prudence allouée aux chauffeurs à 100 000 FCFA par semestre ; une indemnité de fonction de 50 000 FCFA allouée aux Chefs d’agence Adjoint et la revalorisation de l’enveloppe du Car Plan pour les Cadres à hauteur de 2.000.000 FCFA en raison de la hausse des coûts des véhicules au niveau international ; la création d’un comité de recrutement quinquennal des prestataires.

https://youtu.be/NwTBM9vRUjM

À une époque où le Sénégal connaît des changements politiques significatifs, la question de l’éthique journalistique se retrouve plus que jamais sous les projecteurs. Des voix s’élèvent pour dénoncer certaines pratiques médiatiques jugées préjudiciables à l’honneur et à la réputation de dirigeants d’entreprises publiques et parapubliques.

 

Dans ce climat d’alternance politique, des journalistes sont accusés de lancer des accusations, parfois infondées, qui non seulement brouillent les lignes entre la critique constructive et la diffamation, mais menacent également la stabilité et l’intégrité des institutions. Ces actions, souvent motivées par des agendas personnels ou politiques, portent atteinte à la crédibilité même du journalisme.

 

L’éthique journalistique, un pilier fondamental de toute démocratie saine, est mise à rude épreuve. Informer juste et vrai, tout en conservant une certaine réserve, devrait être la norme plutôt que l’exception. Pourtant, la réalité sur le terrain montre que la balance penche parfois du mauvais côté, affectant non seulement les individus visés mais aussi la confiance du public en ses médias.

 

Face à ces défis, des appels sont lancés pour que l’État prenne des mesures préventives. Il est impératif de mettre en place des mécanismes de régulation et de surveillance qui puissent encadrer la pratique journalistique sans pour autant étouffer la liberté de presse. Ces mécanismes devraient viser à garantir que les informations diffusées soient non seulement exactes mais aussi impartiales et respectueuses de la dignité de chaque citoyen.

 

Cette nécessité de régulation se heurte toutefois à la réalité de l’exercice du journalisme dans un monde en constante évolution, où l’information circule plus librement et plus rapidement que jamais. L’éducation et la formation des journalistes sur les questions d’éthique et de déontologie sont donc cruciales.

 

En conclusion, alors que le Sénégal continue de naviguer dans les eaux parfois tumultueuses de l’alternance politique, la nécessité d’une presse responsable et éthique n’a jamais été aussi critique. C’est une entreprise commune qui nécessite l’engagement non seulement des médias eux-mêmes mais aussi de la société dans son ensemble pour veiller à ce que l’information reste un outil de développement et non de destruction.

 

Moussa Sow Thiam

Enquêteur communicant 

Expert en communication

 

 L’interrogation est si légitime car, à le voir ou l’entendre parler, on se rend compte qu’il ne maîtrise rien. Nada ! Même les commodités de la conversation propres à un pensionnaire des barreaux digne de ce nom.

Spécialiste de la justice spectacle, des plaidoiries médiatiques, des maladies imaginaires, l’avocat Me Ciré Clédor Ly est en train de ternir dangereusement l’image de ce beau et respectable métier.

Réagissant aux derniers décrets pris par le Président Macky SAL avant son départ du Pouvoir, Me Clédor, piqué par on ne sait pas quelle mouche, tente éhontément et laborieusement établir la mise en accusation du Président Macky SALL pour haute trahison.

« C’est pathétique! », réthorque Me Oumar Youm. Pour ce Grand Avocat connu pour sa tenue et sa retenue, joint par «Lemondeadakar », « Me Cire Clédor est un avocat d’une piètre qualité qui cherche éhontément des dossiers fantaisistes dans le lugubre dessein de s’enrichir sans cause ». 

La dignité et la probité devraient conduire Me Ciré Clédor Ly à éviter tout ce qui pourrait affaiblir le respect que l’avocat doit inspirer.

 

Les promesses électorales, n’engagent-elles que ceux qui y croient ? Dans son programme électoral, qui s’est inspiré du « Projet » Pastef, le nouveau président Bassirou Diomaye Faye avait promis d’instituer des concours et surtout « un appel à candidatures pour les postes de directeurs généraux ». Un engagement réitéré, mais « reprécisé », lors du Conseil des ministres du 17 avril dernier. 

 Selon le communiqué dudit Conseil, il a demandé au chef du gouvernement, Ousmane Sonko, de « préparer un projet de décret relatif à l’appel à candidatures pour certaines hautes fonctions dans les secteurs public et parapublic ». Le président de la République a également demandé au Premier ministre et au ministre en charge de la Fonction publique, Olivier Boucal, « de finaliser, dans les meilleurs délais, un projet de loi relatif à l’accès à la fonction publique, en vue d’assurer l’égalité des chances d’accès aux emplois et fonctions dans l’administration publique ».

Une semaine plus tard, Bassirou Diomaye Faye a procédé à plusieurs nominations de directeurs généraux de sociétés publiques et d’agences étatiques. Ces changements concernent notamment la Radiotélévision sénégalaise (Rts), l’Aéroport international Blaise Diagne (Aibd), le Port autonome de Dakar, entre autres.

Cette promesse, fortement agitée de nominations sur la base d’un appel à candidatures, suscitait beaucoup d’espoir, car elle s’inscrit dans une perspective de rupture. Ce serait une première dans l’histoire du Sénégal que de si de hautes responsabilités puissent être soumises à des appels d’offres, au détriment d’un système archaïque qui se préoccupait davantage du clientélisme politique, une avancée majeure pour la bonne gouvernance et la transparence.


Mais le chef de l’Etat et son Premier ministre semblent se confronter à la réalité du pouvoir politique et aux exigences de la gestion des affaires publiques.

En tout cas, pour ce qui est des 17 nouvelles nominations, ils ont bien placé leurs hommes, en attendant peut-être les dizaines d’autres directions et agences nationales. 

Ces appels à candidatures n’étant pas encore actés, il faut juste rappeler qu’une promesse reste une promesse.

 

 

Dans le cadre de la finalisation de   la construction de la ligne haute tension et du poste de Touba 2 d’une capacité de 2x40MVA ,du projet « Boucle du Ferlo»,

Senelec informe son aimable clientèle que pour sécuriser davantage l’alimentation électrique de Touba et préparer l’édition 2024 du Grand Magal, des travaux importants vont nécessiter une interruption du fonctionnement du poste  225/30kV de Touba les 27 et 28 avril 2024 de 08h à 17h.

 

Ces dits travaux vont permettre le raccordement de la nouvelle ligne 225kV qui relie l’ancien poste Haute Tension (Touba 1)   et le nouveau poste haute tension (Touba 2), la maintenance des ouvrages du poste actuel Touba 1 pour garantir leur disponibilité surtout en période de Magal et la préparation à la mise en service du nouveau poste prévue en juin 2024.

 

Cette interruption de service va impacter les localités de Darou Khoudoss, Gouye Mbinde, Taïf, Darou Minam, Mbacké, Darou Marname.

Senelec présente ses excuses à sa clientèle pour les désagréments occasionnés par ces perturbations indépendantes de sa volonté.

                                                                      

                                                                                      La Directrice

CMU
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