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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Le Projet de promotion de la gestion intégrée et de l'économie des déchets (PROMOGED), appuie la Société Nationale de Gestion des Déchets (SONAGED) avec un lot d'équipements et d'engins lourds, dans le cadre de la mise en œuvre du projet de résorption de la décharge de Mbeubeuss. 

 Située à 15 km du centre de Dakar et active depuis 1968, la décharge de Mbeubeuss occupe une place centrale dans la gestion des déchets solides au Sénégal étendue sur 115 ha, elle reçoit environ 3 000 tonnes de déchets de la région de Dakar, à l’instar de toutes les décharges du Sénégal connaît une activité économique instance avec plus de 2 000 âmes à quête de la pitance à travers des activités de récupération et des initiatives de valorisation.

 Sa gestion efficace revêt une importance capitale pour préserver l'environnement et la santé publique et garantit une harmonie du schéma de gestion des déche du Grand Dakar. 

 Ainsi, en vue de faciliter l'exploitation et améliorer les conditions de travaux dans la décharge, surtout pendant la cohabitation avec les travaux PROMOGED apporte son appui. Il fournit à la SONAGED une motopompe, véhicule de liaison Pick Up double cabine ainsi que quatre motos quads destinés à optimiser les opérations sur site.

TOURE

 

 

 

Selon le communiqué de la direction des douanes, l’exploitation croisée de renseignements, de la surveillance et de la filature sur plusieurs jours a permis aux agents des Douanes de Tanaff d’appréhender quatre individus dans une auberge à Goudomp. 
 
Parmi eux, renseigne la note, deux sont de nationalité sénégalaise et deux de nationalité étrangère. Ces individus étaient en possession de quatre millions en coupures de 50, 10 et 200 dollars, quatre millions en coupures de 500, 200 et 100 euros, ainsi que deux cent millions en francs CFA. Ils étaient sur le point de procéder au lavage de ces billets contrefaits.
 
L’Administration des Douanes a réaffirmé sa détermination à combattre la criminalité financière sous toutes ses formes, notamment le faux monnayage et le trafic de devises, qui constituent des « menaces réelles pour les finances et l’économie du pays ».

Un  célèbre chroniqueur  de la place avait qualifié le "PROJET" vendu aux sénégalais comme celui d'un  cercle dont le centre est partout et la circonférence nulle part. Il a sans doute raison. Depuis hier, des bonnes  feuilles d'un livre "projet" circulent dans les  réseaux sociaux et suscitent indignation et inquiétudes pour les foutankais. En effet,  dans l'approche de  territorialisation des politiques publiques, les auteurs se sont amusés  à découper le fouta en deux morceaux. Une partie rejoint le walo et l'autre le ferlo.  Comme pour dire que le Fouta n'existe pas dans leur entendement, peut-être en réponse à des considérations politiciennes qui donnaient cette partie du Sénégal comme le titre foncier de la coalition Benno bokk yakaar. Mais apparemment, le Fouta est zappé de ce projet.

 

C'est quand même une provocation manifeste  de s'enfermer et d'imaginer un instant  que la première République au Sénégal  peut disparaître, parce que deux plaisantins, en l'occurrence Ousmane Sonko et Bassirou Faye en ont décidé ainsi. Pour Dr Niang Bassirou, leader du Rassemblement national Jaalal Leydi, ''la  falsification de l'histoire  est la méthode des esprits chagrins qui, au lieu de renforcer la cohésion nationale dans un monde trouble et divisé, tentent de saucissonner le pays pour satisfaire une haine viscérale''.  

 

En effet, poursuit Dr Niang, ''l'idée de nation repose sur le respect de notre diversité et des sacrifices consentis par nos aïeuls. Une nation existe c'est parce qu'on  a souffert ensemble et nous pensons écrire d'autres pages pour nos enfants et nos petits enfants. Le marqueur  historique, c'est ce qui nous lie et maintient la nation debout''. Contrairement à certains, persiste-t-il, ''le déroulement des élections aux Sénégal ne m'a jamais inquiété, car j'ai pu comprendre que le ressort fondamental de notre Nation, c'est que nous avons souffert ensemble. Et voyez vous, les souffrances unissent davantage que les réjouissances. Ce schéma territorial est un scandale historique,  géographique et socioculturel. Le Fouta des dia ogos, des  mannas, des todjons, de Koly Tenguella, de Thierno Souleymane Baal, ne peut disparaître  du lexique géographique  de notre pays. C'est un suicide collectif de penser, un instant, cette possibilité. Le plus inquiétant est le silence coupable des fils du Fouta qui ont participé à  cette ignoble besogne''. 

 

Le message est clair, il  faut dans une démarche intelligente avec une politique de mobilité  ferroviaire et routière,  doublé d'un marketing territorial solide à faire disparaître le Fouta. ''On voit une justification  possible. Ce qui fait le Fouta, c'est trois éléments : l'islam, les terres du Diéri et du Walo et le fleuve. Le but, et on espère se tromper, serait d'enlever toute identité aux foutankais, pour un O.P.A sans vergogne sur  ces ressources'', craint Dr Bassirou Niang. Le leader du RNS Jaalal Leydi invite, par conséquent, les auteurs de ce qu'ils appellent ce torchon, à revisiter l'histoire, notamment les écrits de Delafosse, de l' abbé Boilat, etc. Le Fouta  existe et continuera à  exister, n'en déplaise aux comploteurs.

 

Les populations du village de Kaourou, localité située dans le département de Bakel, plus précisément dans la commune de Sadatou, n’en peuvent plus de voir des exploitants artisanaux de l’or, basés au Mali, continuer de détruire la Falémé. Des Chinois installés à côté du fleuve de l’autre rive malienne en ont payé les frais. Ce samedi, ils ont vu leur engin complètement calciné par les populations en furie. Ces dernières ont soutenu avoir atteint leur limite de tolérance. «Nous veillerons, quoique cela puisse nous coûter, à la sauvegarde du fleuve», ont-elles martelé.

Ce sont des populations totalement furieuses qui ont attaqué un engin des Chinois. Elles ont mis le feu à cet engin sans sourciller. La cause, expliquent les habitants, les exploitants artisanaux de l’or, basés du côté du Mali, ont fini de polluer les eaux de la Falémé, principale source d’eau de la zone. Déboussolés, ils ont attaqué l’engin trouvé aux abords du fleuve. Ils l’ont complètement calciné. L’un des responsables des jeunes rencontrés explique cette soudaine montée de colère : «A cette période de l’année, l’eau du fleuve diminue considérablement, surtout du côté de l’autre rive malienne.

 

Ce qui fait que les exploitants chinois, basés du côté du Mali, se déportent du côté du Sénégal pour draguer l’eau du fleuve vers le Mali, pour pouvoir développer leurs activités. Ce que nous n’accepterons jamais, car le fleuve est notre seule richesse.» Il ajoute : «Pis encore, ils ont pollué l’eau, devenue inutilisable, avec leurs produits toxiques. Autant pour les hommes que les animaux et les plantes. Toutes ces situations avaient fait que nous leur avons tout le temps interdit l’accès au fleuve et nous les avons menacés de sévir, s’ils n’arrêtaient pas. Les autorités de la gendarmerie avaient même été saisies et invitées à constater de visu la situation. Des rencontres ont aussi été initiées pour essayer de les ramener à la raison, sans succès.» Ce samedi, les jeunes ont trouvé l’engin en plein milieu du fleuve, en train de creuser un sillon pour draguer l’eau. Il s’en est suivi des conciliabules qui n’ont pas prospéré.

«Nous les avons sommés d’arrêter et de retirer l’engin, sans succès toujours. C’est quand le mécanicien a cherché à heurter les jeunes avec son engin qu’il a déclenché une furie collective. Les populations déchaînées ont voulu lui faire sa fête. Heureusement qu’il avait déjà pris la clé des champs, laissant derrière lui l’engin», raconte un acteur de la révolte. «Toutefois, a poursuivi notre interlocuteur, cette attaque est juste un avertissement pour tous ceux qui, demain, tenteraient de mettre en péril le fleuve. Plus jamais nous ne laisserons quelqu’un s’attaquer au fleuve. La Falémé ne mourra pas sans que l’on ne marche sur nos cadavres. Et que l’Etat prenne ses responsabilités devant une telle situation, avant que l’irréparable ne se produise», a averti ce responsable des jeunes.

Il faut juste signaler que dans cette contrée, plus aucune activité liée au fleuve n’y est possible. Il n’y a plus de poissons dans le fleuve. Le bétail n’y boit plus, les jardiniers n’osent plus utiliser l’eau pour arroser les plants, les habitants ne s’y lavent plus. «Tout cela du fait de la pollution des eaux. De quoi appeler à une réaction urgente de l’Etat sans quoi, la Falémé va mourir de sa belle mort», appellent les jeunes de ces localités, privés d’une source de revenus.

L’information a été livrée par le Directeur de l’emploi, sur sa page professionnelle visitée par la rédaction de DirectActu.. Pape Modou Fall a fait savoir à l’opinion publique qu’il a reçu ce lundi 15 avril 2024, le nouveau ministre du Travail, de l’Emploi et des Relations avec les Institutions, Yancoba Diémé……

Voici le contenu du message.

« Cet après-midi, nous avons eu le plaisir d’accueillir le nouveau ministre en charge de l’emploi Monsieur Yankhoba DIÉMÉ. Sa visite s’inscrit dans une démarche de familiarisation avec notre équipe et nos activités.
À travers nos échanges, nous avons constaté une volonté collective de relever les défis liés à l’emploi et à l’entrepreneuriat, qui représentent des enjeux majeurs pour ce nouveau gouvernement. »

Après Touba, le président de la République, Bassirou Diomaye Faye a fait cap sur la ville sainte de Tivaouane. Ici, il a été reçu par le khalife général des Tidianes, Serigne Babacar Sy Mansour. Un moment empreint de cordialité. Après les différentes interventions, Serigne Babacar Sy Mansour a offert au Chef de l'Etat un exemplaire du Coran venant de la Mecque, un tapis de prière provenant aussi des lieux saints de l'Islam. En outre, le président Bassirou Diomaye Faye a reçu un exemplaire comportant des poèmes de El Hadj Malick Sy. A la fin, Serigne Babacar Sy Mansour a formulé des prières à l'endroit du cinquième président de la République du Sénégal.

Le nouveau Président de la République du Sénégal a effectué sa première visite à Touba. Bassirou Diomaye Faye a été reçu par le khalife général des mourides en présence de Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadre.

 Le chef de l'Etat a pris des engagements devant le patriarche de Darou Miname pour résoudre le problème de l'eau et de l'assainissement. Il compte aussi accompagner le khalife dans ses projets.

 En guise de cadeau, Serigne Mountakha Mbacké a remis un exemplaire du Saint Coran et une natte de prière.

 

Permettez-moi tout d’abord de vous souhaiter la bienvenue sur le site du Ministère de l’Urbanisme, du Logement et de l’Hygiène publique (MULHP).

A l’entame de son second mandat en 2019, Son Excellence le Président de la République Macky Sall a érigé les questions du logement et de l’hygiène publique parmi ses programmes prioritaires pour l’amélioration des conditions de vie des sénégalais.

La question du logement a toujours été une problématique lancinante depuis les indépendances.

Beaucoup de programmes ont vu le jour sans pouvoir entièrement satisfaire la demande en logement des populations devenue de plus en plus importante avec l’accélération de l’exode rural.

C’est dans cette optique que le MULHP a mis en place le programme des 100 000 logements afin de résorber le déficit en logements sociaux qui se chiffrait en 2013 à plus de 325 000 unités.

Il entre dans le cadre de la deuxième phase d’exécution du PSE (PAP II) 2019-2023, dont le but est de mettre en œuvre des projets et programmes structurants porteurs de croissance économique et d’inclusion sociale.

Avec ce programme, les ménages à faible et moyen revenus, pourront devenir propriétaires de leur propre logement.

Le Sénégal promeut aussi un urbanisme curatif avec un programme ambitieux d’éradication des bidonvilles.

La propreté et l’hygiène publique font aussi partie des missions essentielles du ministère.

Le lancement de la campagne nationale pour la propreté, la mise en place du Comité national de l’hygiène publique et de lutte contre les encombrements et l’institution du Grand prix du Chef de l’Etat pour la propreté, la journée nationale mensuelle du nettoiement… font partie d’une série de mesures visant à matérialiser la directive présidentielle qui consiste à agir en urgence pour Un Sénégal Propre.

Ses actions visent à vaincre l’insalubrité, l’encombrement et l’occupation anarchique de la voie publique afin d’améliorer le cadre de vie des sénégalais.

Nous menons ces combats, qui nous tiennent à cœur, avec l’appui de tous les citoyens.

Ce site est un lieu d’échanges, mais également une vitrine pour toutes les actions du Ministère de l’Urbanisme, du Logement et de l’Hygiène publique.

Le Ministre Abdoulaye Seydou Sow Maire de Kaffrine

Suite à des allégations récentes évoquant un recrutement excessif et des suspicions de mauvaise gestion au sein de la Loterie nationale sénégalaise (LONASE), l'Intersyndicale des travailleurs de la LONASE, composée de l'UNSAS/SATRAL et du SNECCS/CNTS, a tenu à apporter des précisions.

Dans un communiqué, l'Intersyndicale indique que les résultats financiers de la LONASE n'ont jamais été « aussi positifs ». Ces avancées se manifestent notamment à travers plusieurs initiatives majeures, dont « le programme de valorisation du patrimoine immobilier de la LONASE, le projet d'ingénierie sociale au profit de la force de vente et des travailleurs, ainsi que la prise en charge médicale des retraités et des prestataires de service ».

Depuis l'arrivée du Directeur général, la note renseigne qu’une attention particulière a été portée à l'humain, qui a été placé au cœur de la gestion de l'entreprise. Cette démarche se serait concrétisée par le rétablissement de tous les acquis sociaux suspendus, le recrutement d'une trentaine de prestataires de service, dont certains ont plus de vingt ans d'ancienneté, ainsi que par une augmentation généralisée des salaires et la mise en place d'un plan quinquennal de régularisation de la situation des prestataires de service.

Par ailleurs, depuis 2023, la LONASE a mis en œuvre un programme d'extension de son réseau. « L'implantation en cours de mille cinq cent (1500) nouveaux kiosques entraîne la création de 1500 emplois directs. Il s'y ajoute l'ouverture d'une vingtaine d'agences et de bureaux dans les zones insuffisamment couvertes à travers le territoire national », détaille le communiqué.

Malgré ces avancées, selon l’intersyndicale révèle que la LONASE affiche encore un déficit de ressources humaines, nécessaire pour « maintenir sa croissance ».

L'Intersyndicale des travailleurs de la LONASE, représentée par l'UNSAS/SATRAL et le SNECCS/CNTS, indique qu'elle « veillera toujours à la défense des intérêts matériels et moraux de ses membres ainsi qu'à la sauvegarde de l'entreprise » tout en affirmant son engagement envers la protection des intérêts de tous les acteurs de la LONASE.

 

«Le personnel de la Lonase, connu pour son dévouement, sa loyauté, et sa détermination à accompagner la direction générale dans ses nobles objectifs de développement, ne pourrait constituer une source d’une fausse information entretenue à souhait dans le but de ternir l’image reluisante d’une institution ou d’un directeur général qui n’a pour souci que l’épanouissement économique et social de ses administrés». C’est en ces termes que les responsables de l'Intersyndicale des travailleurs de la LONASE, composée de l'UNSAS/SATRAL et du SNECCS/CNTS, ont réagi pour apporter une clarification face aux fausses allégations distillées dans la presse et visant la direction générale de la société nationale de jeux.

Pur ce qui est de la gestion de M. Abdourahmane Baldé Doura, le premier acte posé par le Dg Abdourahmane Baldé était de procédé à l'audit de la Lonase. Leur deuxième acte consistait à régulariser des contractuels et à chercher un mécanisme de prise en charge médicale des prestataires. L'acte récent, gage d'une totale transparence est la mise sur pied d'un comité très élargi à l'effet de statuer sur les possibilités de recrutement cyclique et graduel des prestataires. Voilà la vérité. Les recrutements précédents sont opportuns et répondent à une nécessité de service. Le Dg Abdourahmane Baldé est blanc comme neige», souffle un travailleur rencontré dans les couloirs de l’institution. 

 

Malgré cette embellie, des informations parues dans la presse font état de recrutement excessif et de soupçons de mauvaise gestion en citant le personnel de la LONASE comme source. Face à cette situation, les responsables de l'Intersyndicale des travailleurs de la LONASE, composée de l'UNSAS/SATRAL et du SNECCS/CNTS tiennent à préciser que les résultats financiers de l'entreprise n'ont jamais été aussi positifs. Ces résultats sont perceptibles à travers: le programme de valorisation du patrimoine immobilier de la LONASE: le projet d'ingénierie sociale au profit de la force de vente et des travailleurs; la prise en charge médicale des retraités et des prestataires de service.

 

En effet, le Directeur général a, dès son arrivée, placé l'humain au cœur de son management avec: le rétablissement de tous les acquis sociaux qui avaient été suspendus ; le recrutement d'une trentaine de prestataires de service dont certains ont passé plus de vingt (20) ans dans l'entreprise ; l'augmentation généralisée des salaires; la mise en place d'un plan quinquennal de régularisation de la situation des prestataires de service. Par ailleurs, la LONASE met en œuvre depuis 2023 un important programme d'extension de  son réseau avec l'implantation en cours de mille cinq cent (1500) nouveaux kiosques, entrainant la création de 1500 emplois directs. Il s'y ajoute l'ouverture d'une vingtaine d'agences et de bureaux dans les zones insuffisamment couvertes à travers le territoire national. A ce stade de son développement, la LONASE a encore un déficit de ressources humaines à combler pour maintenir sa croissance. En tout état de cause, en tant que syndicats responsables, l'UNSAS/SATRAL et le SNECCS/CNTS veilleront toujours à la défense des intérêts matériels et moraux de leurs membres ainsi qu'à la sauvegarde de l'entreprise.

 

 

 

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