Le comité directeur de la fédération nationale des artisans et acteurs touristiques du Sénégal a décidé de démettre Madame Aminata Diop de ses fonctions de présidente nationale. Une mesure prise, lors d’une réunion tenue à Saint-Louis samedi dernier.

Il est ainsi reproché à Mme Diop une volonté manifeste d’écarté les membres fondateurs et certains membres du bureau exclusif légalement élu démocratiquement mais aussi de manque de communication et de transparence dans ses démarches au nom de la fédération et d’abus d’autorité.

Ainsi acté ce limogeage, la FNAATS dégage toutes ces responsabilités sur les agissements de la dame Aminata Diop. Elle n’a plus de droit agir ou de parler au nom de cette dite fédération.

La dite fédération informe que désormais c’est Monsieur Alioune Diongue, secrétaire général de la fédération nationale des artisans et acteurs touristiques du Sénégal qui assure l’intérim jusqu’à la tenue de la prochaine assemblée générale prévue au mois de juin au CICES.

Ce sont les habitants de l’Unité 10 des Parcelles Assainies de Keur Massar. Ils sont sortis pour dénoncer des difficultés dont ils se sont confrontés,  liées à des inondations récurrentes. Ils sollicitent l’intervention des autorités en charge de cette question. Ils indexent également la SN/HLM.

Leurs nombreuses sorties pour interpeller les autorités depuis des années par apport à leurs conditions de vies difficiles sont restées toujours veines. C’est la raison de leur manifestation. A l’en croire Mame Cheikh Gaye, les autorités en charge de la question des inondations doivent intervenir car la cité est affectée par les eaux usées et stagnantes depuis des années. Personne parmi les responsables du gouvernement n’a pu se déplacer pour venir s’acquérir de la situation. Et la Sn/Hlm qui les a vendu les terrains sont la seule responsable des difficultés dont-les habitants des Parcelles Assainies de l’Unité 10 de Keur Massar sont en train de vivre. « Il faut signaler que cette cité a été habitée depuis 2009 et les occupants sont victimes de l’injustice de la part de la SN/HLM qui était chargée d’assainir les lieux avant de vendre les espaces », a-t-il soutenu.

La situation est déplorable. Selon toujours notre premier interlocuteur, « c’est le plan Orsec qui a fait que d’autre localité comme « Jaxaay » déverse ses eaux dans des zones basses de l’Unité 10 de Keur Massar. Tous les résidents de cette bourgade sont fatigués. Trop, c’est trop et c’est le président de la république qui a été interpellé pour que des directives soient données à ceux qui sont responsables des travaux d’évacuation des eaux pluviales. La responsabilité reste partagée ».

Force est de constater que les manifestations ont tous pris la parole à tour de rôle. « Il y a un risque qui pèse sur des enfants. L’eau polluée stagnante présente des couleurs vertes et nauséabondes. Les moustiques sont des vecteurs de maladies. Lors de son déplacement pour visiter les zones inondables, le ministre des inondations n’a pas mis ses pieds à l’Unité 10 pour s’acquérir de la situation des habitants de ce quartier ». Une situation que les manifestants ne peuvent plus supporter. Raison pour laquelle, ils ont organisé une rencontre en masse au niveau de la place publique pour se faire entendre. Et ce n’est pas la première fois qu’ils ont fait une sortie de ce genre pour crier leur désarroi. Mais cette fois ci, ils ont décidé de hausser le ton. Madame Fatou Camara est habitante de la cité. Elle est responsable de famille mais elle n’arrive pas à comprendre la  vie difficile qui affecte ses voisines et voisines. Selon elle, « l’eau provient des fosses septiques. A part les bonnes volontés, personne ne les a jamais assisté au niveau de la localité surtout quand il s’agit de résoudre les problèmes les plus urgents à chaque fois qu’il est important. Sérigne Mbaye Thiam qui gère la question de l’assainissement est aussi interpelé », a-t-elle expliquée lors du rassemblement. Ahmed Sarr, notable des Parcelles Assainis à l’Unité 10 de Keur Massar, embouche la même trompette. Pour lui, « la localité est habité par des personnes ressources qui ne sont pas violents. C’est ce qui fait que les populations préfèrent tenir des manifestations pacifiques pour dénoncer leurs souffrances liées à l’eau stagnante et polluée qui présente une mauvaise odeur ». Il y a ceux qui pointent le doigt accusateur aux travaux en cours pour l’évacuation des eaux de pluies. L’état d’urgence qui a duré presque plus de dix mois. C’est la raison de la mobilisation des habitants comme un seul homme pour tirer la sonnette d’alarme. Les personnes du troisième âge en courent des risques de se cohabiter avec les eaux. La nuit, personne ne sort de chez lui à cause des moustiques piquants. Il n’y a pas de propreté à travers les ruelles et les grands espaces. Des déchets qui jonchent partout. Des espaces publics devenus infréquentables. Pas de terrains de jeu pour les enfants », conclu-t-il.

Une sortie qui témoigne le désarroi des habitants de l’Unité 10 de Keur Massar.

Modou Touré

Relever les défis de la structuration de l'économie informelle et réussir l'intervention des parties prenantes à harmoniser les positions du Sénégal, tel est le but recherché à travers la mise en œuvre du statut de l’entreprenant. Un processus qui a abouti aujourd’hui, avec cet atelier d’informations, à la vulgarisation des instruments juridiques de faisabilité. Une avancée pour le secteur informel qui regroupe 97% des travailleurs, mais qui nécessitait de lever quelques obstacles y liés pour accélérer justement l'urgence de favoriser la formalisation du secteur informel.

Pour le Ministre Papa Amadou Ndiaye, «beaucoup de structures travaillent dans la formalisation ; on peut citer l’Apix, le Ministère de l’économie, la Der, l’Adepme, etc. Mais jusque-là, il manque une synergie des actions, d’où la nécessité et l’impératif de travailler ensemble vers une plateforme unique qui permet d’avoir, à temps réel, l’évolution de la formalisation. Le statut de l’entreprenant qui est aujourd’hui au cœur des préoccupations permet l’accès aux ressources, et que l’étude faite avec la stratégie nationale de formalisation de l’économie informelle montre que l’une des contraintes majeures, dont les acteurs doivent faire face, constitue le coût élevé de la formalisation».

Une fois que c’est réalisé, certifie le Ministre de l’Artisanat et de la Transformation du Secteur Informel qui présidait ce mardi l’atelier de mise en œuvre du Statut de l’Entreprenant, «c’est des centaines de milliers d’acteurs qui auront accès au financement, à la formation, et aux marchés publics et privés qui sont des limites à l’amélioration de la productivité de l’entreprenant et de l’artisan. C’est pourquoi cette activité permet de mieux lancer ce statut». Les mesures incitatives, par contre, avec les partenaires que sont l’ARMP, la Mutuelle Nationale pour tous les acteurs du secteur informel etc. seront dans la dynamique de renforcer les unités professionnelles».

«Nous sommes en phase par rapport aux enjeux qui sont en transition avec ne secteur informel, la stimulation vers la formalisation et la mise à l’échelle de nos entreprenants seront, de manière claire, pour un renforcement du tissu social d’entreprise effectif», se convainc Papa Amadou Ndiaye

Ibrahima Diasse a fait partie de ces figures emblématiques qui ont activement participé à l'édification et à la construction de l'édifice du Pds à Kaolack.

Des années de braises, depuis le premier congrès à Kaolack en 1976 du Pds, avec les Nguissaly Diaw,Thierno Samb, Ibrahima Diallo, Ousseynou Goumbala, de la zone centre jusqu'à l'avènement de l'alternance, il a, de manière héroïque, participé à toutes les batailles au prix de sa vie face à la machine socialiste menée par des stratégies de la trempe de Babacar Ba et autres Abdoulaye Diack.

Pour avoir vécu des pans entiers de la longue marche du Sopi sur le terrain et auprès du pape  du Sopi Maître Abdoulaye Wade qui le chérissait, lui et les d'autres responsables du giron libéral, tels Fara Ndiaye, Alioune Kane, Souleymane Ndiaye, Boubacar Sall, Serigne Diop Maître Boye Serigne Diop, Booba Sow, Alioune Badara Cisse, idrissa Seck, Aminata Tall, Modou Diagne Fada, Aliou Sow, Abdoulaye Seydou Sow, Macky Sall etc.

L'expérience et l'expertise de l'écriture, Ibrahima Diasse les à acquises très tôt, avec la parution du premier journal libéral L'option puis avec Sopi où il était jeune reporter. Le président Wade avait décelé le talent et l'engagement de celui qu'il appelait affectueusement ''le poète du Sopi.'

La diversité des fonctions administratives et étatiques de Ibrahima Diasse qui fut enseignant, secrétaire municipal, responsable administratif de direction, le chef de cabinet à la Primature a aussi contribué à forger l'intellect de ce baroudeur Saloum Saloum formaté aux valeurs ancestrales du terroir des ''ndiasse ndiasse'' et aux vertus islamiques de l'école du Cheikh Al Islam El. Hadj Ibrahima Niass.

C'est sans surprise que celui qui a aussi  bénéficié des armes de combattant acquis dans le mouvement associatif avec lufrajel de Leona a fait irruption dans le monde littéraire. Sa première production ''La longue marche du Sopi, Le Pds toute une vie'' qui plonge le lecteur dans l'histoire mouvementée et merveilleuse du premier parti de l'opposition le plus remarquable en Afrique  est tout simplement considéré comme une oeuvre d'anthologie.

Les témoignages éloquents ont ainsi fusé de partout. Comme ceux-là relevés lors de la cérémonie de dédicace tenue dans un grand hôtel de Dakar où des voix autorisées telles que le pr Kourouma, les responsables Lamine Thiam, Moustapha Diakhate, Babacar Gaye ont salué la parution d'un tel ouvrage devant participer à immortaliser les hauts faits d'une histoire politique sénégalaise à retenir pour les générations présentes et futures.,

Pour un coup d'essai cela a été un véritable coup de maître.

Avec ce professionnel de l'écriture qui a aussi annoncé la parution prochaine d'un ouvrage dont le titre fait déjà saliver ''La révolte des fanas fanas''.

 Bon vent o toi poète des Ndjoranes du Saloum.

Les aléas et vicissitudes de l'histoire ont conduit aujourd'hui Ibrahima Diasse à être le secrétaire général et l'âme de la formation politique Apel3J dont la faction qu'il dirige se meut dans la mouvance présidentielle.

Mohamed El.Amine Thioune

Les journées Portes-ouvertes organisées par la Direction générale de SN HLM du 25 au 27 mai ont été un bon prétexte pour Mamadou Diagne Sy Mbengue de revenir sur les ambitions fixées pour résorber le déficit estimé à 300.000 logements au Sénégal d’ici à l’horizon 2026. En effet, selon l’ancien directeur de l’Ipres et responsable APR de Tivaouane, «déjà nous nous voyons confier la construction de 15.000 logements sur les 100.000 prévus dans le cadre du programme social du Président de la République. Mais le déficit est estimé est 300.000 et nous allons remonter la pente».

 ‘’La SN HLM, clé de voûte d’une politique équitable et inclusive de l’Habitat social’’ a été le thème attribué à ces journées qui étaient attendues par les populations, notamment les partenaires de l’institution et les usagers potentiels acquéreurs. Mais, ce samedi à la clôture, Mamadou Diagne Sy Mbengue s’est d’abord réjoui de la réussite de cette activité qui a accompagné ces journées, non sans décliner ses ambitions de résorber le déficit de 300 000 logements au Sénégal d’ici à l'horizon 2026 avec une contribution de la société nationale HLM à hauteur de 10%.

 «Je formule ici ma volonté  de refaire de la société un créateur d’habits adéquats à moindre coût. Comprenez donc que le programme du plan stratégique de développement 2022-2026 prend tout son sens. La SN-HLM est sur le point de redevenir le promoteur immobilier public comme ce fut le temps par le passé. D’où le projet des 100.000 logements dont la SN-HLM entend participer à hauteur de 15.000 logements attendus».

Pour rappel, les objectifs de ces journées portes ouvertes  étaient notamment de présenter les services au public les projets réalisés et les projets futurs de la société. «J’exprime par conséquent ma satisfaction suite à la tenue de ces trois jours d'échanges que nous jugeons fructueux», se félicite le DG Diagne Sy Mbengue.

Moussa Sow, maire de Walaldé et Coordinateur national du PUMA, a mobilisé un monde fou ce dimanche à Medina Ndiathbé à travers un meeting de format XXL. Une belle manière de démontrer que les populations du département de Podor sont derrière le Président Macky Sall pour un second quinquennat.

C’est une mobilisation des grands jours de campagne a Podor qui a toujours été considéré comme le titre foncier de Macky au nord du pays. Moussa Sow, encore une fois, prouve à la face du monde qu’il peut placer la barre très haute. Pancartes, effigies, tee-shirts et casquettes ont orné le décor, avec des messages clairs et précis en faveur d’un second quinquennat. A travers leurs pancartes, elles ont exprimé leur reconnaissance au coordonnateur du Puma Moussa Sow.

Le Ministre du Commerce, de la  Consommation et des PME, Porte-parole du gouvernement, était, ce samedi 27 mai 2023, l'invité du journal du soir de TV5. L'occasion de revenir sur la caravane d'Ousmane Sonko qui, déclare le ministre, est  "dans une logique de provocation quotidienne des forces de défense et de sécurité" afin d'être arrêté pour un autre motif que celui pour lequel il a été jugé récemment et dont le verdict est attendu le 1er juin prochain. 

Pour cela le leader de Pastef est prêt à envoyer des enfants risquer leurs vies en défiant les forces de défense et de sécurité ; attitude que le porte-parole du gouvernement a qualifié de lâche et d’irresponsable. Abdou Karim Fofana relève aussi, concernant les attaques de hackers subies par des sites web institutionnels qu'il y a "une coïncidence troublante entre le procès d’Ousmane Sonko et ces tentatives de sabotage des infrastructures informatiques de l’Etat” vouées à l'échec. 

Le ministre a réitéré la posture de fermeté de l'Etat pour prévenir les troubles à l’ordre public d’autant que les dispositions de l’article 96 du Code pénal sont violées, éviter les pertes en vies humaines, assurer la quiétude des Sénégalais et protéger les travailleurs ainsi que les entreprises du ralentissement de l'économie.

Je tiens à vous adresser ce message pour vous rappeler l'importance de dépasser vos intérêts personnels et de travailler ensemble pour construire un avenir meilleur pour notre pays. Il est primordial de reconnaître que nous avons besoin de toutes les mains pour construire, tout comme nous détruisons lorsque nous sommes divisés. Par conséquent, il est essentiel de promouvoir la collégialité afin de bâtir notre pays dans la paix et la cohésion sociale.

Nous ne devons en aucun cas accepter d'être divisés. Nous sommes tous des Sénégalais et nous devons tous œuvrer dans l'intérêt supérieur de notre nation, pour le développement du Sénégal, pour sa progression rapide et pour qu'il continue d'être une référence en matière de démocratie en Afrique.

Nous devons nous unir et travailler main dans la main pour l'intérêt de notre pays. En tant que population sénégalaise, nous devons assumer toutes nos responsabilités et dire non à la violence politique, quel que soit le parti qui l'incarne. Nous devons nous inspirer du passé, notamment du mois de mars 2021, où des manifestations ont renforcé la perte de 14 vies de jeunes gens qui ont lutté pour la démocratie au Sénégal.

Faire de la politique est légitime, mais pousser les choses à l’extrême n’est ni recommandé ni conseillé. Regardez nos pays voisins, qui ont souffert de conflits similaires. Nous devons faire preuve de grandeur et de maturité pour éviter de tomber dans les même travers.

Il est temps de promouvoir le dialogue, le respect mutuel et la compréhension. Seul un engagement sincère envers l’intérêt collectif permettra de bâtir un Sénégal fort, prospère et uni travaillons ensemble pour un avenir meilleur, en honorant les principes de paix, de justice et de démocratie.

Le Sénégal a un potentiel énorme et nous avons la responsabilité de le réaliser. En unissant nos forces, nous pouvons vaincre les divisions et construire un avenir prometteur pour tous les Sénégalais.

Je vous remercie de votre temps et je compte sur vous pour agir dans l’intérêt supérieur de notre pays.

Cordialement,

Berenger Pape N’gom président de APHORES (Association des Professionnels de L’hôtellerie et de la Restauration du Sénégal) et Membres du conseil national du Tourisme.

En marge de La mission économique belge à Dakar, j'ai eu une séance de travail approfondie avec la Ministre des Affaires étrangères de Belgique, mon homologue Hadja Lahbib. Nous avons discuté de notre partenariat, en explorant surtout les nouvelles opportunités pour renforcer notre coopération après 55 ans de collaboration.

Sont dans le dossier de candidature : Stade Abdoulaye Wade (Diamniadio), LSS (Dakar), Caroline Faye (Mbour),  Aline Sitoé Diatta (Ziguinchor), Lamine Gueye (Kaolack) & Lat Dior (Thies).