mardi 25 mars 2025 | Login
Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Notre cher pays est en passe d'amorcer un virage historique vers un développement socio-

économique. Depuis l'arrivée de son Excellence Bassirou Diomaye Diakhar Faye à la magistrature suprême, les choses changent, les lignes bougent. Les pratiques mafieuses et indignes qui gangrenaient notre administration sont sur le point d'être jetées en pâture. Comme l'a souligné, récemment, le Premier Ministre Ousmane Sonko, l'on est en train d'installer les bases d'une véritable gestion étatique saine et exempte de toute reproche(s). N'en déplaise à ceux qui sont envahis par une jalousie morbide !

 

A l'arrivée du duo de choc Diomaye/Sonko en mars 2024, le pays était complètement à plat. Il était en ruine(s) jusqu'au trognon. Sucé, il l'était par ces insatiables charognards qui ne lui laissaient aucun morceau de pitance. Aujourd'hui, conscients de leur gestion bancale de nos deniers publics, ils véhiculent des contre-vérités et des histoires à dormir debout. Ils oublient vite qu'ils ont été tout bonnement vomis par les sénégalais à qui ils ont porté un lourd dommage. Les calomnies, délation et autres vaticinations haineuses ne sauraient prospérer car peuple, lui, a tout compris. Il sait séparer le bon grain Pastef de l'ivraie APR et sa bande de pillards. 

 

En 12 ans de gouverance immonde, ils ont dilapidé les ressources publiques au point de rendre exsangue notre économie. S'il ne leur restait, ne serait-ce, qu'une petite dose de dignité, ils devraient faire profil bas et se taire et se terrer à jamais. Creuser dans les bas-fonds de la vilenie pour détourner les actuels tenants du pouvoir de l'essentiel semble être leur jeu favori. Ils nous tympanisent alors à longueur de journée avec les clopinettes. Le train du "Projet" est sur de bons rails pour diriger le Sénégal vers la gare de la réussite socio-

économique. Les adeptes du brigandisme d'Etat n'ont plus leur place. Maintenant, il ne leur reste que de raser les murs... de la honte. 

 

Maty Sarr Niang

APARTÉS DE FORBES SUR LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE EN AFRIQUE 

La section Afrique de l'organisation FORBES se veut à l'avant-garde du combat qu'il convient de mener contre l'insécurité alimentaire. Ainsi elle a impulsé un cadre de réflexion susceptible de déboucher sur des esquisses de solution durable. 

Dans le cadre de ses "Apartés" sur la sécurité alimentaire, la structure a mis à contribution le secrétaire d'état à la sécurité alimentaire pour une conférence qui s'est tenue le 20 février dernier dans un hôtel de la place. En présence du Ministre de l'Agriculture M Mabouba Diagne et devant un parterre de sommités mondiales dans leurs domaines respectifs, Jean Pierre Senghor a soumis à l'appréciation des panelistes son expertise et son expérience dans ce domaine. Ce qui a contribué à enrichir les échanges et apporté une perspective novatrice fort intéressante. Il a partagé, entre autres l'initiave de l'État du Sénégal quant aux solutions structurelles apportées à la problèmatique de l'insécurité alimentaire dans nos pays: l'approche Nouveaux Terroirs Résilients (NTR). Il est à rappeler 

qu'à travers cet évènement exclusif réunissant 100 personnalités influentes du monde des affaires, de la politique, de la culture et des médias, Forbes Afrique entend exalter les entrepreneurs et dirigeants d’entreprises du continent qui apportent des contributions significatives et positives au développement de leurs secteurs et pays respectifs.

En tant qu'acteur majeur de la promotion culturelle et de l'événementiel sur le continent, Afrique Culture Evens lance un appel vibrant à la jeunesse du Sénégal pour qu'elle s'engage activement dans les préparatifs des Jeux Olympiques de la Jeunesse (JOJ) 2026. Cet événement, au-delà de sa dimension sportive, représente une opportunité unique de transformer l'avenir de notre pays. 

 

Les JOJ 2026 seront bien plus qu'une simple fête du sport. Ils incarneront l'esprit, la culture et l'hospitalité sénégalaises sur la scène internationale. Afrique Culture Evens croit fermement que chacun de nous, et particulièrement les jeunes, a un rôle essentiel à jouer pour faire briller le Sénégal durant ces Jeux.  

 

En s'engageant dès maintenant, chaque jeune peut devenir un acteur du changement positif. Que ce soit en participant comme bénévole, en soutenant des initiatives locales, ou en devenant ambassadeur de notre culture, il y a de nombreuses façons de contribuer au succès des JOJ.

 En nous impliquant, nous favorisons également notre développement personnel en acquérant des compétences et en établissant des réseaux. 

 

 Les JOJ apporteront des retombées économiques significatives et renforceront notre infrastructure. C'est l'occasion pour notre pays de démontrer son potentiel et d'attirer des investissements qui bénéficieront à tous. En participant activement, nous aidons à laisser un héritage durable qui profitera aux générations futures. 

 

 Afrique Culture Evens invite chaque jeune à faire partie de cette aventure collective. Organisons-nous, participons à des ateliers, rencontrons des leaders d'opinion, et contribuons avec ardeur à la préparation des JOJ. Ensemble, nous pouvons assurer que cet événement sera une vitrine du dynamisme et de l'innovation sénégalais.

 Afrique Culture Evens réaffirme son engagement à soutenir les initiatives qui visent à impliquer et à inspirer la jeunesse sénégalaise. Les JOJ 2026 sont une opportunité inédite de montrer au monde le meilleur de notre nation. Ensemble, faisons de cet événement un succès dont nous serons tous fiers. Engagés, solidaires, et unis, nous écrirons une nouvelle page de l'histoire du Sénégal.

Dans le cadre du Mois de l’Histoire Noire, une journée a été consacrée à Patrice Lumumba, une figure emblématique des indépendances africaines et un symbole de la lutte pour la dignité du peuple noir. Patrice Lumumba, assassiné il y a 64 ans, reste une icône incontournable dans le combat pour la souveraineté du continent africain. Cette journée dédiée, au-delà de l’hommage rendu à cette grande figure, s'inscrit également dans un processus de réflexion sur les enjeux actuels de l’émancipation africaine et de l’unité du continent.

Une Séquence de Commémorations Clés

Le mois de février est particulièrement significatif pour le peuple africain. La date du 17 janvier marque l’anniversaire tragique de l’assassinat de Lumumba, tandis que le 30 juin prochain sera l’occasion de célébrer l’indépendance de la République Démocratique du Congo, une date qui rappelle le rôle central joué par Lumumba dans ce processus. Mais plus encore, le 2 juillet prochain marquera le centenaire de sa naissance, ce qui permettra de mesurer l’impact de son héritage sur les luttes contemporaines. Ces événements sont autant de repères chronologiques qui soulignent l'actualité du combat mené par Lumumba et ses compagnons.

Un Message de Libération Toujours Pertinent

Les discussions de cette journée ont permis de faire le lien entre Lumumba et d’autres figures de la lutte pour l’émancipation de l’Afrique, telles que Thomas Sankara, Amílcar Cabral et bien d'autres. La question centrale qui s’est posée était de savoir quelle leçon tirer de leur engagement pour continuer la lutte pour la libération réelle du continent. Les pionniers de l’indépendance africaine ont, dans leur impulsion initiale, posé les bases d’un projet de décolonisation totale, et il est essentiel de comprendre que cette lutte n’est pas encore achevée. Le message que j’ai transmis aux jeunes présents est celui de l’importance de se saisir de l’histoire, de tirer les enseignements du passé et de les mettre au service de la construction d’un avenir plus juste pour l’Afrique. La libération n’est toujours pas effective, et la jeunesse a un rôle fondamental à jouer pour poursuivre l’œuvre entamée par Lumumba et ses pairs.

Lumumba et la Première Phase de la Décolonisation

Un autre aspect fondamental de cette journée a été la projection du film Lumumba réalisé par Raoul Peck. Ce film, fidèle à la réalité historique, retrace avec précision les derniers mois de la vie du leader congolais et nous plonge dans les dilemmes politiques et les combats intenses qui ont conduit à sa mort. Ce film n’est pas seulement un hommage à Lumumba, il est aussi un moyen pour la jeunesse, notamment sénégalaise, de s’approprier l’histoire de la décolonisation et d’en tirer des leçons essentielles pour l’avenir. Ce que les jeunes découvrent à travers Lumumba, mais aussi à travers des figures comme Amílcar Cabral, Félix Roland, ou Mehdi Ben Barka, c’est la volonté farouche de conquérir l’indépendance économique et politique face à un impérialisme qui, sous des formes diverses, continue à faire pression sur le continent africain.

Les Enjeux Actuels : Un Néocolonialisme à Confronter

Les discussions ont aussi permis de souligner que la première phase de la décolonisation a été marquée par l’émergence de systèmes néocoloniaux, souvent imposés par les anciennes puissances coloniales, et que cette réalité persiste encore aujourd'hui. L’assassinat de Lumumba, comme celui de bien d’autres figures de la lutte pour l’indépendance, fut l’une des méthodes par lesquelles le colonialisme a cherché à étouffer les voix dissidentes. Mais l’histoire de Lumumba et de ses compagnons de lutte nous enseigne que, bien que ces assassinats aient été des instruments du pouvoir impérialiste, l’idée d’un panafricanisme et d’une union africaine reste plus que jamais vivante.

Un Appel à l’Action pour la Jeunesse

Le message central de cette journée est donc un appel à l’action. Il est impératif que la jeunesse africaine prenne conscience de la richesse de son histoire et s’en inspire pour poursuivre les combats de libération. La résistance à l’impérialisme, au néocolonialisme et à l’exploitation continue d’être un défi crucial pour le continent. En se réappropriant les luttes de leurs ancêtres, les jeunes africains peuvent faire émerger une Afrique forte, unie et libre, fidèle aux idéaux de Lumumba.

À travers cette journée, nous avons pu constater que l’héritage de Patrice Lumumba, loin de s’effacer, continue de nourrir les espoirs et les actions des peuples africains en quête de justice, d’indépendance et de dig

nité

Mamadou Touré 

 

Le samedi dernier, à Kaffrine, capitale du Ndoukouman, une importante cérémonie a marqué un tournant dans l’histoire des familles WILANE du Sénégal et de la sous-région. Monsieur El Hadj Abdoulaye VILANE, président du conseil départemental de Kaffrine, ancien député et actuellement parlementaire de la CEDEAO, a été désigné nouveau Patriarche des familles WILANE, succédant ainsi à feu El Hadj Kéba WILANE, ancien chef du village de Ngouille.

Agé de 56 ans, Monsieur VILANE a été proposé par toutes les sections composant le bureau national des familles WILANE. Après plusieurs mois de réflexion, le choix unanime des délégués a porté sur cet homme de confiance, ancien maire de Kaffrine, pour guider la grande famille WILANE. La désignation a été ratifiée lors d’une Assemblée Générale, en présence de centaines de délégués venus des quatre coins de la région.

Le nouveau Patriarche a exprimé sa profonde gratitude envers ses parents et a accepté cette lourde responsabilité en toute humilité. Dans son discours, il a souligné l'importance de l’unité, du respect des valeurs ancestrales et du soutien des différentes confréries religieuses, des chefs religieux, des imams et oulémas pour mener à bien sa mission.

« Je m’engage à œuvrer sans relâche pour le bien-être des familles WILANE et à honorer la mémoire de nos ancêtres », a déclaré Monsieur VILANE, faisant référence aux vertus de Mame Mody WILANE, un ancêtre respecté par tous. Il a aussi souligné l'importance de la solidarité au sein de la communauté et de la préservation des valeurs traditionnelles.

Le nouveau Patriarche, qui assume désormais un rôle majeur au sein des familles WILANE, a assuré qu'il compterait sur l’implication des différentes cellules locales et sur la bénédiction des leaders spirituels pour mener à bien cette mission.

Cette désignation représente un nouveau chapitre pour les familles WILANE, marqué par un leadership renouvelé, axé sur l'unité, la tradition et l'engagement

social.

 

 

 

Dans le cadre des semaines de la paix du Cours Sainte Marie de Hann, le coup d'envoi des Olympiades de la Maternelle a été donné ce vendredi 21 février 2025. L'édition de cette année qui a pour parrain Amadou Moctar Mbow est axée sur le thème :"La culture de la Paix,gage d'un bon climat social au Cours Sainte Marie de Hann". Cette fête sportive qui s'échelonnent jusqu'au mois de mai est l'occasion d'inculquer à ces jeunes bourgeons les valeurs de la paix, du civisme, de la tolérance et de la solidarité active:"Ces mini Olympiades de la maternelle sont l'occasion de cultiver l'esprit d'équipe, de paix, de solidarité, de entr'aide et de la combativité chez les enfants. A travers cette activité, nous entendons faire d'eux de bons citoyens de demain. Nous saluons aussi le travail de toute l'équipe qui a abouti à la bonne tenue de cet événement mais aussi le soutien permanent et précieux du Directeur Général des Cours Sainte Marie de Hann, M. André Sonko", a laissé entendre Mame Gomis, le Préfet de la Maternelle des Cours Sainte Marie de Hann. Présente à la cérémonie d'ouverture, la Directrice de l'Agence de la Petite Enfance et de la Case des Tout-Petits, Mme Khadjatou Djamil Diallo,de réagir:"Je me réjouis d'avoir pris part à ces Olympiades. Je suis autant satisfaite du fait que la petite enfance soit prise en compte dans ces activités de cette année. Œuvrer pour un capital humain de qualité est une préoccupation tenace de notre agence. Les Cours Sainte Marie de Hann sont dans ce sillage. Il ne cesse de se donner corps et âme pour être au service exclusif de l'enfance".

 

Disons que l'édition 2025 des Semaines de la Paix est également un moment de commémoration du Prix UNESCO pour l'éducation pour la Paix reçu en 1991 par les Cours Sainte Marie de Hann. Elle sera rythmée par des compétitions dans divers domaines (tournois sportifs, jeux d'esprit,activités culturelles) mais aussi un élan de solidarité envers les couches défavorisés.

 

Ibrahima NGOM Damel

Venue prendre part à la cérémonie des Olympiades de la maternelle des Cours Sainte Marie de Hann, la Direction Générale de l'Agence de law Petite Enfance et de la Case des Tout-Petits a mis le moment à profit pour décliner une partie de sa feuille de route pour 2025. Pour Madame Khadjatou Djamil Diallo, le gouvernement de la République du Sénégal ne ménage aucun effort pour le bien-être et le mieux-être de cette catégorie sociale:"On n'a pas hésité un instant pour venir participer à cette activité. Nous nous félicitons du fait que cette édition 2025 soit tenue avec le cycle maternel. Nous, nous œuvrons pour le développement intégré de la Petite Enfance. Ainsi, on lui offre tout un package pour une meilleure prise en charge des enfants de 0 à 3 ans. Cependant, beaucoup de challenges nous attendent dans la réalisation de nos objectifs",a souligné la DG de l'ANPECTP qui,d'annoncer:" Nous avons des orientations phares pour le mieux-être de la petite enfance. Pour l'année 2025, nous prévoyons la construction de cinq(5) crèches publiques. Ces édifices vont permettre de soulager davantage les parents. Ils peuvent aller vaquer à leurs préoccupations et y garder leurs enfants sans être inquiétés".

 

Ibrahima NGOM

Une mini olympiade de la maternelle pour inculquer des valeurs aux plus jeunes

 

 

 

«La paix, ce n’est pas un mot, c’est un comportement». Cette déclaration du Président ivoirien Feu Houphouët Boigny résonne encore aux Cours Sainte Marie de Hann dont les autorités académiques ont introduit, pour l’édition 2025, les notions de paix et de valeurs dans les activités liées à la semaine de la paix. Un hommage a été rendu, à cet effet, à feu Amadou Makhtar MBOW à titre posthume pour l’œuvre colossale en matière de culture de paix

 

 

 

Ce n’est pas pour rien que le Prix Unesco de l'Education pour la Paix a été décerné à l’institution que dirige l’ancien Ministre de l’Education André Sonko, c’était déjà en 1991. Une preuve parfaite que l’école ‘’ les Cours Sainte Marie de Hann’’ ne cesse de renouer avec les activités de paix. En effet, comme chaque année, une semaine dédiée y est encore organisée pour promouvoir cette nation cardinale de paix, jusque chez les plus jeunes de la maternelle qui ont fait preuve d’endurance ce vendredi matin dans l’enceinte de leur cour scolaire dans le cadre d’une mini olympiade. Pour l'édition de cette année, le thème choisi a été: «La culture de la Paix, gage d'un bon climat social au Cours Sainte Marie de Hann», et un hommage, à titre posthume, a été rendu à Mr Amadou Makhtar MBOW, un homme de culture et de paix qui a vécu 103 ans et dont l'œuvre intemporelle a marqué des générations entières».

 

En présence de Mme Khadidiatou Jamila Diallo, Directrice de la Case des Tout-Petits, il faut dire que ces semaines sont vécues entre élèves et travailleurs à travers des tournois sportifs, des jeux de l'esprit, des activités culturelles, avec enthousiasme et un bel élan de solidarité envers les défavorisés. Pour Mme le Préfet de l’institution, «il y a lieu de retenir que nous avons tenu à organiser ces jeux Olympiques avec les tout petits, juste pour leur inculquer les valeurs olympiques et les bienfaits du sport».

 

 

 

Dans ce contexte de préparation des JOJ Dakar 2026 (jeux olympiques de la jeunesse) qui se tiendront dans quelques 12 petits mois, il est donc heureux de noter cette belle anticipation, en guise de participation, de l’institution Cours Sainte Marie de Hann qui se trouve être un lieu d'éducation favorisant le développement social et moral des enfants. «Nous sommes bien conscients des enjeux liés au développement du sport dans l’éducation. C’est pourquoi nous avons voulu apporter notre contribution positive à la société à travers ces jeux avec la petite enfance. Ce moment de compétition leur apprendra, nous l’espérons bien, des valeurs sociales et le savoir être en communauté afin qu'ils deviennent des citoyens modèles et responsables», Ernest Tine, en charge de la communication liée à la semaine de la paix.

 

Y. ND.

Dans un monde où la santé et la consommation de produits naturels sont au cœur des préoccupations, Mamour Insa Agroalimentaire (MIAGRO SA) se distingue par son expertise dans la production de miel pur et de produits innovants à base de miel. Awa Niang, commerciale au sein de l’entreprise, nous présente une gamme variée de produits alliant les bienfaits du miel à ceux du gingembre, du citron, du clou de girofle et bien d'autres.

 

Une large gamme de produits naturels

 

MIAGRO SA offre une sélection unique de miels et de dérivés qui répondent à divers besoins de santé et de bien-être. Parmi les produits phares, on retrouve des miels enrichis de gingembre, de citron, de clou de girofle, de petit cola, ainsi que des mélanges aux

 

Mamadou Touré

Dans le cadre du Forum de la PME, Mame Diarra Mbacke, fondatrice d’Ema Agroalimentaire, a partagé la vision de son entreprise et ses objectifs visant à transformer la filière arachidière au Sénégal. Créée en 2019, Ema Agroalimentaire s’est engagée à apporter des solutions innovantes à un secteur crucial de l’économie sénégalaise. À travers une approche moderne de production et une volonté de valoriser les produits locaux, l’entreprise entend offrir des produits à base d'arachide de haute qualité, tout en soutenant les agriculteurs locaux.

Ema Agroalimentaire : Une vision d’émergence pour l’arachide sénégalaise

Fondée par Mame Diarra Mbacke, Ema Agroalimentaire se spécialise dans la production de produits à base d’arachide. L’idée est née d’un constat simple : bien que l’arachide soit l'une des principales cultures vivrières au Sénégal, sa filière fait face à des défis considérables. La culture et la production de l’arachide sont marquées par un retard notable en matière de modernisation des techniques, de normes de production et de transformation. C'est pour pallier ces lacunes que Mame Diarra Mbacke a lancé son entreprise.

Un modèle centré sur la qualité et le local

Ema Agroalimentaire mise sur une production respectant les plus hauts standards de qualité. Les produits finis sont réalisés à partir d’arachides cultivées localement, directement fournies par les agriculteurs sénégalais. Cette démarche vise à réduire la dépendance aux produits importés tout en soutenant les agriculteurs locaux. L’entreprise aspire à offrir des produits compétitifs, non seulement en termes de prix, mais également de qualité, dans un marché où les produits importés dominent souvent.

Une usine moderne à Touba pour une production locale et normée

Dans cette optique, l’entreprise a investi dans une usine à Touba, où elle assure une production respectant les normes locales et internationales. Cela représente un pas important vers l’autosuffisance dans la transformation de l’arachide et l’élargissement de la chaîne de valeur agroalimentaire sénégalaise. Ema Agroalimentaire souhaite également jouer un rôle clé dans l’exportation de ses produits, contribuant ainsi à la croissance économique du pays.

Mamadou Touré

CMU
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