jeudi 28 mars 2024 | Login
Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

A quelques jours du retour dans ma famille naturelle du secteur privé, je voudrais exprimer toute ma fierté d’avoir eu la chance de servir l’Etat du Sénégal qui est notre bien plus précieux. Bien plus précieux que le pétrole et le gaz parce que qu’il a été là bien avant et sera là bien après avoir permis de créer les conditions d’exploitation optimale de nos hydrocarbures. L’Etat du Sénégal, comme le roseau, peut plier mais ne rompt pas et permet ainsi au pays de se construire d’alternance après alternance et de génération après génération, alors beaucoup de pays africains vont de transition en transition et s’enferment ainsi comme le mythe de Sisyphe dans un éternel recommencement. Face à l’insurrection de l’ex Pastef, l’Etat a tenu et administré une grande leçon à ceux qui imaginaient qu’au Sénégal on pouvait prendre le pouvoir par la rue ou par les émeutes. Quand la leçon a été sue et retenue, l’amnistie qui est une magnanimité présidentielle leur a permis de revenir dans le jeu après qu’ils aient renoncé à la poussière du Colisée (gladiateurs) pour le marbre du Senat (opposition légales). Quand les partisans de l’insurrection qui avaient une erreur stratégique en confondant l’Etat et le régime dans leur guerre ont corrigeant et se sont réapproprié les vertus de l’opposition légale, l’Etat du Sénégal qui a organisé une élection présidentielle impeccable en moins de trois semaines, va aussi organiser une passation de pouvoir en moins de 10 jours, ce qui est une prouesse mondiale.

 

La grande leçon qu’il faut retenir relève d’un bon sens démocratique que nos frères et sœurs égarés avaient oublié : dans une vielle démocratie comme Sénégal, on prend le pouvoir par les urnes et non par les armes ou des cocktails molotov. L’élection de Diomaye Faye confirme l’anachronisme de la stratégie de l’insurrection parce que la démocratie et l’alternance politique qui lui est consubstantielle sont les des remparts politiques contre les coups d’Etat et les révolutions. La deuxième leçon qu’il faut tirer de la Présidentielle relève aussi du bon sens républicain. Autant l’ouragan Trump a été soluble dans les institutions américaines, autant la vague Diomaye le sera dans nos institutions comme la tempête Wade en 2000 parce que comme les Etats Unis, le Sénégal a la chance d’avoir des institutions solides qui sont plus fortes que les acteurs. Comme Wade et ses partisans en 2000, le Président Faye et les membres de l’Ex Pastef vont rapidement découvrir une haute administration très compétente et extrêmement loyale malgré quelques individualités qui sont dans la politique. Les régimes passent mais l’Etat demeure. Les fonctionnaires vont continuer à servir loyalement ceux qui les vouaient aux gémonies comme ils ont servi leurs prédécesseurs et le feront avec leurs successeurs quand les Sénégalais le décideront toujours par les urnes.

 

L’alternance politique dans une démocratie n’est pas une révolution, ce n’est qu’une simple respiration démocratique, au plus une rupture politique qui ne doit pas empêcher la continuité économique. Les régimes peuvent passer mais la continuité économique qu’est la marche vers l’émergence doit continuer. C’est pourquoi je soulignais dans un récent article que Wade était le dernier ancien car clôturant le long cycle Senghorien ouvert en 1945 comme le disait Pathé Diagne. Macky Sall est donc le premier des modernes parce qu’il a consacré l’essentiel de ses deux mandats à la marche vers l’émergence qui est la modernité politique comme Senghor l’a fait avec la Nation, Diouf avec l’Etat et Wade avec l’alternance.

Le seul risque que le Sénégal court, aujourd’hui, avec le Président Faye est une perte de temps dans notre marche vers l’Emergence si au lieu d’être dans la modernité politique (combat pour l’émergence), il se laisse prendre en otage par les rentiers de la tension et des politiciens dans des combats politiques anachroniques. Les rentiers de la tension ont déjà enfourché les sirènes de la réforme des institutions. Les péripéties de l’élection de Diomaye, avec les institutions qui ont montré leur solidité prouvent que le Sénégal n’a pas un problème institutionnel. Il faut juste rappeler qu’il n’y a nulle part sur terre des institutions parfaites. Elles le deviennent avec le temps. En outre, l’histoire prouve qu’il n’y a pas de lien dialectique entre reforme, modernité des institutions et efficacité économique. Sinon la révolution industrielle aurait eu lieu en France mais pas en Angleterre avec des institutions « archaïques » et millénaires. Le Japon aussi a réussi la révolution technique avec des institutions qui remontent à l’ère du Meiji en 1868 sans oublier que les Etats Unis sont encore régis par une constitution qui remonte au 17 septembre 1887.

 

Donc le seul risque politique que nous courons est une perte de temps avec le retour à la démocratie de Sisyphe (Eternel débat sur la réforme institutionnel et les règles du jeu) que les trois alternances politiques à la Présidence et les innombrables alternances municipales ont rendu caduques et anachroniques. L’émergence, au-delà son aspect économique, est un combat fondamentalement politique parce qu’il exige de quitter le mur des lamentations, prendre son destin en main pour changer sa situation économique et social. C’est pourquoi au-delà d’être une forme de modernité politique, elle est la meilleure incarnation du souverainisme. Nous préférons le souverainisme version Dubaï à celui désuet version Sékou Toure. Macky Sall, avec la marche vers l’Emergence, a ouvert un nouveau cycle à la fois politique et économique et est donc par conséquent le Premier des modernes et le Président Diomaye Faye ne peut que s’inscrire dans ce sillage. S’il le comprend, il va accélérer la cadence, s’il ne le comprend pas, on perdra du temps. Perdre du temps est le seul risque politique qu’on court car l’Etat est solide, la République est debout et la démocratie fonctionne grâce à la maturité du peuple souverain régulateur. En tout cas s’il veut accélérer, il a la chance d’avoir à son service une haute administration compétente et loyale qui fait la fierté du pays en organisant une Présidentielle et une transition en moins de 10 jours. Si Senghor (maintien de la démocratie à l’ère des dictatures et partis uniques) et Wade (opposition légale à l’ère des guérillas et luttes armées) sont les deux poumons de l’exception sénégalaise, la haute administration en est la colonne vertébrale. Par ailleurs, je voudrais avant de retrouver le secteur privé exprimer ma gratitude au Président Macky Sall de m’avoir fait confiance et permis de servir modestement ce Grand  pays qu’est notre Sénégal.

 

 

 

La Présidente Khady Ba qui a été très active lors de la campagne électorale en  faveur du candidat de la coalition Diomaye 2024 a lancé face à la presse : «Après  votre brillante victoire, nous vous adressons nos vives et sincères félicitations. C'est  la victoire de l'engagement, sans faille, du patriotisme pour servir la cause du Peuple Sénégalais. Notre soutien est total pour la réussite de votre mission en tant que 5ème président de République du Sénégal. Ceci, après le déploiement des efforts pour participer à votre victoire» 

La  lionne de Guédiawaye a aussi ajouté : «Nous restons ainsi à votre disposition   pour la satisfaction des besoins et des préoccupations de notre cher Sénégal».

 Mohamed  Al  Amine  Thioune

 

Madame Paye a organisé à la Cité Soprim, une caravane aux allures de meeting de  campagne électorale. Cet événement a regroupé plus d’une centaine de  femmes et il vise à soutenir le candidat Amadou Ba sous la houlette du Président Abdoulaye Daouda Diallo pour une victoire éclatante au soir du 24 mars prochain de la coalition Bby. 

Dans une démonstration de force, Madame Paye Thérése Aida Seck du CESE une figure marquante du paysage politique à la cité Soprim, a mobilisé ces homme et femmes pour appuyer Amadou Ba, le candidat de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY) à la prochaine élection présidentielle sous la houlette de son mentor le Président du CESE Abdoulaye Daouda Diallo le 24 mars 2024 prochain.

Mamadou TOURE

De quoi le Sénégal a-t-il besoin pour les années à venir ? D’un président libéré de toute contingence politique. Car les calculs politiciens du régime en place pour se maintenir au pouvoir, combinés aux pratiques « des oppositions » pour le conquérir, nous ont conduit à la crise politique actuelle.

 

Cette liberté totale d’action du futur président ne sera possible que pour un président qui se limiterait à un seul mandat de 5 ans. Le Sénégal se trouve aujourd’hui dans une impasse politique et il lui faut imaginer des solutions politiques de sortie de cette crise. Il lui faut innover dans la manière de faire la politique et d’exercer le pouvoir.

 

Imaginons un président élu par les Sénégalais pour un mandat de 5 ans. Ce président ne consacrera pas de temps à des intérêts partisans, mais se concentrera entièrement sur le bien-être du peuple sénégalais.

Imaginons un mandat unique de 5 ans qui serait une garantie pour un exercice du pouvoir concentré et efficace porté par un président de la République défenseur de la Constitution, des libertés individuelles et collectives, et de l'égalité ; un président qui assurerait le strict respect de la séparation des pouvoirs et refuserait toute manipulation de la justice dans des affaires délicates. Et surtout un président qui travaillerai à apporter les réformes politiques, économiques et sociétales qui aujourd’hui s’imposent.

 

Enfin imaginons un président qui rompra pour la première fois dans l’histoire du Sénégal avec la quête d’un second mandat, source de tension et de compromis, voire de compromission.

 

 

Mahammed Boun Abadallah Dionne sera le premier président du Sénégal aux mains libres

Un seul mandat de 5 ans pour un président libre et efficace : c’est une rupture dans les pratiques politiques du Sénégal et c’est une innovation. Voilà la véritable rupture anti système qui pourrait permettre de transformer durablement le Sénégal. Voilà la véritable révolution dont le Sénégal, qui traverse une crise politique, a besoin. Et cette rupture commence tout simplement par montrer que la conservation du pouvoir à tout prix n’est pas le but ultime de la politique. Le 5ème Président de la République du Sénégal pourrait être le premier à se détourner de la politique politicienne pour se concentrer sur la gouvernance de la cité. Celui qui pourra guérir le Sénégal de ses pathologies politiques. Réparer le Sénégal et unir les Sénégalais.

Nous ne devrions JAMAIS oublier ceci : le Sénégal se trouve dans la situation actuelle à cause d’une guerre entre pro et anti 3ème mandat, une guerre qui aura duré 5 années !!!!

Nous ne devrions pas nous tromper : seule une rupture dans les pratiques politiques peut apporter des transformations profondes au Sénégal. Et le fait de se limiter à un mandat en serait le premier jalon.

 

Mahammed Boun Abadallah Dionne est ce président qui, en s'engageant à faire un unique mandat de 5 ans, pourra gouverner librement, sans passion ni pression. Sans attaches politiques partisanes, car sans parti politique, il a régulièrement déclaré à ses partisans et sympathisants : « je ne cherche pas de militants mais des compagnons, je ne cherche pas de foule apathique mais des citoyens engagés et participatifs ».

Il affirme clairement son intention lors de ses diverses prises de parole : après avoir exercé la fonction de Premier ministre pendant 5 ans, quitté le gouvernement pendant les 5 années suivantes, il sollicite le suffrage des sénégalais pour les 5 prochaines années pour terminer sa mission. Sa démarche le positionne en outsider, mais un outsider expérimenté et rassurant, capable de réformer le système de l'intérieur. C’est le paradoxe Dionne. En tant qu'outsider, il s'est détaché de son parti d'origine pour se présenter sous la bannière de la Coalition Dionne2024. Son expérience en tant que Premier ministre et ses compétences avérées d'homme d'État lui confèrent une connaissance approfondie des mécanismes du pouvoir et de la marche de l’État.

 

5 années pour réparer, réconcilier, travailler ensemble et transmettre à la jeune génération

Les arguments en faveur d’un seul mandat ne manquent pas : liberté d’action du président sans la pression de la réélection et possibilité de se concentrer sur l'accomplissement de ses objectifs à long terme sans être distrait par des calculs politiques à court terme ; absence de pression politique afin de pouvoir prendre des décisions basées uniquement sur l’intérêt du pays ; contribution au renouvellement démocratique. Plus précisément, il pourra se concentrer sur les réformes proposées par son programme et la réconciliation des sénégalais.

 

Les principaux arguments contre, à savoir, le manque d’expérience ou la perturbation des projets en cours, peuvent être balayés d’un revers de la main : Mahammed Boun Abdallah Dionne est le candidat qui a le plus d’expérience gouvernementale et celui qui a participé à la conception et à la mise en œuvre d’une grande partie des projets du PSE.

Est-il besoin de rappeler qu’au Sénégal comme dans beaucoup d’autres pays en Afrique, la vie sociale et économique tourne autour de la politique car les possibilités de s’enrichir ou d’accéder à des postes prestigieux sont concentrés autour du régime en place et de l’élite que ce régime produit.

 S’engager à exercer un seul mandat, c’est aussi autoriser les sénégalais à s’éloigner de la quête des dividendes économiques et sociaux liés à la politique, auxquelles les pratiques politiques les ont malheureusement habitués.

S’engager à exercer un seul mandat c’est travailler à réparer le Sénégal épuisé par ces années de combat pour la conservation du pouvoir du côté du régime ou pour sa conquête du côté « des oppositions ».


Ces cinq années seront essentielles pour nous remettre du traumatisme causé par la lutte acharnée pour le pouvoir que nous avons traversée et pour réfléchir sur nous-mêmes et définir notre cap. ENSEMBLE. Avec un président expérimenté, rassembleur, capable de transcender les clivages, d'apaiser les tensions et d'agir rapidement et efficacement dès son élection, nous pourrons avancer. Une période durant laquelle nous aurons l'opportunité de nous questionner sur nos aspirations collectives tout en collaborant pour mettre en œuvre les réformes nécessaires.

 

Aminata K. Dioukhané

*"Le Sénégal ne veut pas d'un faux candidat à l'élection. Le mythe s'est effondré. Diomaye, démystifié."*

La campagne électorale bat son plein. A moins de cinq jours du scrutin, les dernières analyses font apparaître que le candidat Amadou BA reste le seul favori. Selon Pape Moussa Cissé, leader du mouvement ''Amadou Ba boy town'', ''pour l'intérêt du Sénégal, on devrait forcément s'attendre à un vote utile et massif. Les électeurs devraient nécessairement jauger les offres programmatiques des  candidats et tester leur charisme. Parce que le constat est qu'au moment où la coalition Benno Bokk yakaar investit le leader qui cristallise l'espoir de toute une nation à travers sa vision d'un Sénégal en Paix vers une Prospérité Partagée, il y a en face un candidat suppléant qui normalement ne devrait pas être aligné; encore moins espérer sortir vainqueur du scrutin''.

 

Le principal candidat issu de l'opposition, repêché au dernier moment par la magnanimité du président Macky Sall afin qu'il participe à la campagne, veut se mesurer au favori de la compétition électorale.  Mais il sait qu'il ne dispose pas des outils nécessaires, ni la formation requise pour rivaliser avec son ancien professeur et patron à  la Direction des Impôts et Domaines. Parce que pour aspirer à diriger un État, il faudrait mieux qu'il s'essaie dans la gestion d'un village ou même  d'une mairie. Mais nourrir des ambitions démesurées au point d'envisager brouiller les cartes pourrait lui être suicidaire. Aussi, il devrait lui-même éviter de s'attirer les commentaires les plus fous sur lui en quittant tout bonnement la compétition, et cela juste pour le bien et l'intérêt du Sénégal'', dézingue Pape Moussa Cissé. 

 

Scotché en marge d'une activité de proximité dans le cadre de la campagne, le leader du mouvement '' Amadou Ba boy town'' adoube son mentor. '' Vu son cursus et son parcours, le candidat de la grande coalition présidentielle dispose d'une expérience qui terrasse au premier tour tous ses adversaires. Il a un bilan élogieux à partager et hérite d'une vision pour  placer le Sénégal au coeur de l'émergence jusqu'en 2035. Pour dire tout simplement que Amadou Ba ne boxe pas dans la même catégorie que les autres candidats '', soutient Pape Moussa Cissé.

 

L’élection  du 24 Mars 2024  est un tournant important pour  notre pays. Dans le cadre du parrainage, le RASSEMBLEMENT NATIONAL SENEGALAIS / JAALAL LEYDI  avait soutenu la candidature de Aly NGOUILLE NDIAYE. Cependant, après avoir évalué notre compagnonnage, nous considérons que  notre mouvement ne se retrouve, n'y dans l'organisation, encore moins dans le programme. 

 

En outre, le pays se trouve dans une situation délicate où les forces populistes, soutenues par des lobbies lugubres, cherchent à mettre la main sur notre économie. Et donc :

 

Considérant, la nécessité de maintenir la trajectoire d'émergence de notre pays, dans la paix et la stabilité, 

 

Considérant l'impérieuse nécessité d'éviter au Sénégal une dislocation de notre tissu social, avec des aventuriers sans expériences politiques et techniques avérées, 

 

Considérant, le profil du candidat du Benno et l'engouement noté autour du candidat Amadou Ba, notamment dans le monde rural, 

 

Considérant le programme du candidat qui met en avant le renforcement des acquis et un engagement pour une prospérité partagée, 

 

Considérant les statuts du mouvement du RASSEMBLEMENT NATIONAL SENEGALAIS / JAALAL LEYDI, 

 

Le RASSEMBLEMENT NATIONAL SENEGALAIS  / JAALAL LEYDI  soutient le candidat Amadou Ba pour une victoire au premier tour au soir du  24 Mars 2024

 

Dr Bassirou NIANG, Président RASSEMBLEMENT NATIONAL SENEGALAIS/JAALAL LEYDI,  ex Coordonnateur Coalition Aly NGOUILLE,  Commune de Ourossogui

 

Le Président Serigne Cheikh Bara Doly Mbacké, ancien président groupe parlementaire liberté et démocrate vote la coalition Diomaye

Dans un communiqué rendu public, le président du parti PDSL invite tous les libéraux à soutenir la candidature de la coalition Diomaye président 2024.                                                                                           

Le seul espoir du changement et par la même occasion j’invite le parti démocratique sénégalais à faire de même pour un Sénégal meilleur 

‘’Le lancement de ces opérations intervient à quelques mois de l’hivernage et va se poursuive jusqu’ au 30 juin prochain, dans la région de Dakar’’, a relevé M. Diallo lors de la cérémonie de lancement des OPH, organisée à la station d’épuration de Cambérène.

‘’Comme l’année dernière, nous avons souhaité procéder à un lancement précoce des opérations pré-hivernage, dans la région de Dakar’’, a-t-il souligné.

  1. Diallo a expliqué qu’elles consistent en un curage des ouvrages d’assainissement, notamment les caniveaux et à l’entretien des équipements de pompage des stations de pompage et d’épuration.

‘’Ces opérations sur les ouvrages d’assainissement sont destinées à permettre aux populations de traverser l’hivernage sans grosses difficultés’’, a précisé le directeur de l’ONAS.

A Dakar, Mamadou Mamour Diallo a indiqué qu’elles vont porter sur un linéaire d’au moins 200 kilomètres, dont 50% fera l’objet d’un curage préventif assez rapidement, sur une période de 96 jours au maximum.

‘’Ces opérations sur les ouvrages d’assainissement sont destinées à permettre aux populations de traverser l’hivernage sans grosses difficultés’’, a précisé le directeur de l’ONAS.

A Dakar, Mamadou Mamour Diallo a indiqué qu’elles vont porter sur un linéaire d’au moins 200 kilomètres, dont 50% fera l’objet d’un curage préventif assez rapidement, sur une période de 96 jours au maximum.

‘’S’agissant des régions, a-t-il précisé, le curage va se faire sur un linéaire de 175 kilomètres”.

Il a annoncé que dès la semaine prochaine, les travaux d’entretien des ouvrages et équipements d’assainissement vont démarrer dans les régions dotés de beaucoup d’ouvrages fonctionnels.

Mamadou Mamour Diallo a exhorté les équipes de l’ONAS à redoubler d’efforts afin que les Sénégalais vivent cet hivernage avec moins de difficultés.

Il a invité, par ailleurs, les sous-traitants du secteur à veiller au respect des délais des opérations pré-hivernage et les populations à préserver les ouvrages d’assainissement.

 

 

 

A l’occasion de la fête internationale de la femme le mouvement des femmes  de « Sénégal sunu yitté ak Moussa Fall » a organisé à Grand Yoff, un événement « Sargal Djiguene » aux allures de meeting de lancement de la campagne électorale. Cet événement a regroupé plus de mille femmes et il vise à soutenir le candidat Amadou Ba pour une victoire éclatante au soir du 24 mars prochain de la coalition Bby.  

Dans une démonstration de force, Moussa Fall figure marquante du paysage politique à Grand Yoff, a mobilisé ses femmes pour appuyer Amadou Ba, le candidat de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY) à la prochaine élection présidentielle. le 24 mars 2024.

L’effort de mobilisation, dirigé par Moussa Fall, a eu lieu à côté de l’arène Adrien Senghor, où les femmes se sont rassemblées pour exprimer leur soutien indéfectible à Amadou Ba. L’événement a présenté un fervent appel à l’action, symbolisant un front uni pour soutenir le candidat BBY. D’ailleurs cet événement a également enregistré les présences du professeur Mamadou Sidibé responsable politique à Grand Yoff et Recteur de l’Université de Matam, de Youssoupha Niang responsable APR à Grand Médine.

 

En choisissant le thème central pour la journée internationale qui leur est dédiée «La représentativité des femmes dans les postes de responsabilité pour un développement durable dans notre entreprise»,  les femmes de la Sapco ont voulu, de manière stratégique, mettre en lumière l’importance qu’on doit leur accorder en mettant autant de moyens nécessaires pour qu’elles occupent des postes de direction afin de pouvoir, du coup, contribuer activement au développement de l’entreprise et de la société.

Pour Fatou Sagar Sémou Pathé Gueye, Cheffe Division Sociale de la Sapco, « nous rendons un hommage appuyé au directeur général Souleymane Ndiaye à l’occasion de  ce 8 mars qui permet d’honorer la femme. Mais cette journée ne devait pas être confondue avec une simple fête, mais plutôt comme une occasion de débattre des obstacles auxquels les femmes font face dans divers secteurs, tels que l’éducation, la formation professionnelle, l’accès aux postes de responsabilité, et même dans des contextes familiaux complexes».

En effet, ces femmes de la Sapco se réjouissent de l’engagement renouvelé de leur patron envers l’autonomisation des femmes, saluant les efforts pour accroître la représentation féminine au sein de l’entreprise. Cependant, Fatou Sagar appelle à davantage d’efforts pour que toutes les femmes de l’entreprise aient la possibilité de progresser et d’occuper des postes de responsabilité, même si l’objectif n’est pas de rivaliser avec les hommes, mais de garantir des avantages équitables. Avec ses collègues, elle a plaidé en faveur d’une prise en compte de la diversité des rôles des femmes dans la société, soulignant qu’elles étaient souvent des cadres au travail, mais aussi des mères, des épouses, des filles, et des membres de diverses communautés.

La Cheffe de la Division Sociale de la Sapco a quand même exhorté les hommes à soutenir activement les femmes dans leur quête d’égalité, reconnaissant que l’union et la compréhension mutuelle étaient essentielles pour bâtir un avenir durable. Les femmes sont donc appelées à s’unir, à s’entraider, et à se positionner dans la société avec confiance. Et que le Dg Souleymane Ndiaye, avec l’avènement de la SAPCO Sénégal, a marqué un pas de plus vers l’autonomisation des femmes, mettant en avant l’importance de la diversité et de l’égalité des sexes pour un développement durable et équilibré.

 

 

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