samedi 4 mai 2024 | Login
Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

On leur annoncé leur exclusion samedi lors d’une ag qui serait convoquée par le président de la Fédération. Le comité directeur devrait statuer sur une procédure disciplinaire en vue de sanctionner des collaborateurs, en l’occurrence le Secrétaire général, la 3e Vice-présidente et le Trésorier Général. Une rencontre chaude qui pourrait encore secouer le sport sénégalais, en tout cas, cette discipline qui a le mérite d’être davantage promu.

 

Qu’est ce qui se passe à la fédération de Canoë Kayak et Avirons ? La question mérite d’être posée si l’on se fie à une source qui, à travers un communiqué, fustige le comportement de l’équipe dirigeante de cette discipline accusée de tous les griefs dont, entre autres, le refus  de l’ouverture du compte de la Fédération, participation au congrès International de l’ICF sans aviser le bureau sortant. Sous le sceau de l’anonymat, notre source liste :« Participation à l’assemblée générale du CNOSS sans informer, au préalable, les membres du bureau qui ont eu l’information via la presse; rétention d’information sur la tenue imminente de l’assemblée générale de la CAC (Confédération Africaine de Canoë); envoi d’une correspondance aux instances internationales pour nous retirer des bases de données (d’où notre retrait du groupe Whatsapp de la Confédération Africaine de Canoë CAC, sur sa demande); coopération avec des organisations privées sans l’aval du Comité Directeur, ni concertation avec le Bureau (avec refus de communiquer sur les accords); refus de communiquer sur l’état des finances et de transmettre les informations et coordonnées bancaires au nouveau trésorier général… refus de communiquer avec le secrétaire général et trésorier général, refus de tenir des réunions du bureau exécutif depuis plus de 3 mois». Des griefs qui présagent d’une forte tension samedi prochain lors de la réunion de la fédérati

 

 

Le président Macky Sall peut compter sur son responsable de FATICK le DG de SAFRU.S. A Meissa Mahecor DIOUF et membre de TASK FORCE REPUBLICAIN pour sa défense sur les plateaux et sur le terrain politique. Suivant l’émission de TULLU WAY avec le journaliste Mahamadou Diallo Révèle une fois de nouveau l’engagement, la loyauté, le courage et la détermination de l’enfant du SINE auprès de président Macky SALL. 

 

Compte tenu de ses réponses argumentées et concluantes par rapport aux questions posées par le journaliste rassure de la profondeur de sa culture générale et politique ainsi que son art de dialogue et de convaincre avec raison. Sur les différents sujets évoqués, ses réponses ont apporté une nuance de vérité sur les questions de l’heure surtout l’affaire judiciaire entre OUSMANE SONKO et ADJI RABY SARR. Sur ce, il a voulu être clair que l’Etat sera ferme et ira jusqu’au bout du procès pour garantir l’égalité des sénégalais devant la loi.

 

Sans entrer dans les secrets de l’instruction, il a étayé avec argument, preuves à l’appui, les contradictions de monsieur SONKO depuis le début de l’affaire dite SWEET BEAUTE. Il croit dur comme fer que ce dernier doit aller répondre à la justice pour que le droit soit dit et la justice soit rendue au nom du peuple sénégalais.  Considérant que adji raby sarr , agressée dans sa chair à travers des viols répétitifs et menaces de mort par  le président de PASTEF  mérite justice et procès digne de ce mot pour la manifestation de la vérité. 

 

Par rapport aux menaces de Ousmane SONKO, il rappelle que les pouvoirs régaliens de l’Etat dont la garantie de la paix et de la stabilité du pays et la protection des sénégalais ainsi de leurs personnes et biens seront préservées à tout point de vue. Sur le cas du second quinquennat du président Macky sall, il se veut formel et soutient que le parti APR / YAKAAR  a un  Seul candidat qui s’appelle Macky SALL. A cet effet, Les bases du parti s’organisent davantage dans la massification, la solidarité et la mobilisation pour travailler à la conservation du pouvoir aussi longtemps que possible dans le but de construire le pays sur tous les plans au profit et bonheur des sénégalais. Sous ce rapport, Il engage le combat de 2024 en appelant tous les jeunes du parti et du Sénégal pour la reconquête des terroirs perdus lors des élections législatives et locales. Revenant les réalisations et perspectives des politiques publiques, il a bien souligné les grands projets qui vont changer structurellement l’image du Sénégal à travers la finalisation du TER, BRT, les infrastructures routières etc.

 

Pour mettre fin à la recrudescence des cas de vols et des agressions, la Police des Parcelles Assainies use ses forces pour dérouler des opérations de sécurisation. L'objectif visé c'est de protéger les populations et de leurs biens.

 

Il n'existe pas une seule journée ou une nuit où les limiers des Parcelles Assainies ne mettent pas en synergie leurs efforts pour veiller à la sécurité des personnes. Des opérations qui aboutissent souvent à l’arrestation des malfrats surtout au niveau de ces zones. Les hommes du commissaire Kebe interpellent dès fois lors des opérations des personnes pour association de malfaiteurs, vol commis en réunion ou avec même individus qui font usage irrégulièrement de moyen de transport ou encore pour tentative de faire mal aux populations. Même des individus qui trafiquent de la drogue ne sont pas épargné.

 

Des motos et des voitures qui ne sont pas en règle sont souvent immobilisées sans parler des personnes qui conduisent dans un état d'ébriété. Le constat est visible surtout pour ceux qui veulent en savoir d'avantage quelques choses, n'ont qu'à aller au commissariat de ladite localité. Des services d'ordre accessibles qui fournissent de bonnes informations aux populations sont sur place. Pour un policier qui parle sous couvert de l'anonymat, " ses collègues et lui ne vont jamais baisser leurs bras pour user leurs forces à fin de sécuriser les populations selon les consignes de leurs supérieurs".

Modou Touré

 

Au moment où Pastef tient son meeting, du côté de l’Apr Keur Massar on se mobilise. Le jeune leader politique de Benno Bokk Yakaar du département est présentement sur le terrain pour sensibiliser et conscientiser les populations à se dresser en sentinelle de la république contre toute tentative de troubles à l'ordre public. A l'heure où l'opposition se fait dans la manipulation et la fabrication de faux arguments, Mr Ibrahima Ndiaye  dénonce avec la plus grande  énergie cette tentative de déstabilisation des institutions, menée par les leaders de yewwi askan wi.

 

 Le jeune Directeur s'érige en bouclier, avec des groupes de jeunes de la localité, pour assurer la sécurité des populations face à une manifestation qui cache ses vraies raisons. Ainsi, soutient-il : «ce n'est qu'une mascarade pour éviter un éventuel procès dans l'affaire ‘’Sweet Beauté’’ avec sa plaignante Mme Adji Sarr». Monsieur Ibrahima Ndiaye se veut désormais plus déterminer avec ses camarades  à veiller à l'harmonie et à la quiétude des populations de Keur Massar, et par ailleurs  invite les autres  leaders du département de Keur Massar à défendre le Président.

Scientifiquement,  numériquement,  politiquement et electoralement Bby est majoritaire et notre électorat en valeur encadrée numérique est de : 55,98 < 56,79< 61 ,09 %. Excepté du capital sympathique du Président Macky SALL estimé de 10 à 20% Si tous les Ministres,  Dg , Honorables et PCA fassent le job correctement,  leur pourcentage électoral totale gravite autour de  51% et plus le capital sympathique du Président on peut avoir plus de 61% en 2024 . Et voici la démonstration très rigoureuse,  c'est la raison pour laquelle, l'opposition ne veut pas que le Président Macky Sall se présente pour les élections de 2024. De toute façon le président Macky Sall est notre candidat pour 2024.

 

On ne peut pas se bénéficier des privilèges du PRÉSIDENT et rester inerte et aphone voir même insensible face aux attaques de l'opposition. Chers Ministres, Dg et honorables et PCA sortaient de vos bureaux , le combat se gagne sur le terrain. Statistiquement :Si le potentiel électoral de chaque Ministre pouvait faire voter 10 000 personnes  cela équivaut à 400 000 électeurs ;Si le potentiel électoral de chaque Dg pouvait faire voter 5 000 personnes,  cela donnerait à 1 000 000 électeurs. Si le potentiel électoral de chaque honorable député était de 1000 , cela donnerait  83 000 électeurs. Si le potentiel électoral de HCCT était de 500 , cela donnerait :75 000 électeurs  Si le potentiel électoral de chaque membre du CESE était de 500 , cela donnerait :75 000 électeurs .

 

Si le potentiel électoral de chaque PCA était de 500 ,cela donnerait 500.000 électeurs. Et donc le nombre de votes numériquement et concrètement serait : 400 000 +1 000.000 +83 000 + 75 000 + 75 000 +500 000  = 2 133 000 électeurs  .

Scientifiquement si chaque personne qui se bénéficie d'un décret du président ou bien d'un poste électif  faisait ce qu'il doit faire sur le terrain  , Son Excellence Excellence Monsieur le Président Macky Sall pouvait même ne pas battre campagne,  parce-que nous gagneront de plus de 57%.

 

NB: il faut que tous les responsables et militants se battent pour tous les jours 

 

 *Honorable Samba Ndong Responsable politique APR Biscuiterie et Coordonnateur National de la cojecar*

 

Ousmane Sonko, l'énergumène, homme le plus tordu de l'histoire politique  de notre pays, ressemble maintenant à un animal en transes dont la gorge déjà tranchée est ensanglantée par la douleur de ce qui risque de lui arriver dans un face à face juridique avec Adji Sarr. Frissonnant d'une extrême peur après s'être livré à une désinvolte et répugnante virée de couvre feu, le plus grand "spermologue" et "vaginophile" de notre pays cherche encore à travestir la jeunesse pour échapper à la loi.

 

J'ose penser que mon pays, le Sénégal, chantre de démocratie, de justice et terre de paix, saura saisir l'indispensable égalité entre ses citoyens pour que force reste à la loi. Personne ne doit et ne saurait imposer une quelconque défiance à l'égard de notre justice parce que tout simplement, après avoir arrosé de son liquide d'en bas les cuisses d'une femme innocente, il refuse de répondre devant l'histoire et les hommes de sa forfaiture sexuelle. J'appelle les autorités de mon pays, les forces de défense et de sécurité en particulier, dont le rôle est d'assurer la protection et la sécurité partout, de veiller au respect du fonctionnement de la République, notre bien à tous.

 

Ousmane Sonko peut sauter, tournoyer, se cramponner à sa fâcheuse habitude de vouloir manipuler, il devra, sous peu aller se laver ou se souiller dans la mare de dame justice comme tout justiciable. Mais, sûrement étreint par ses transes machiavéliques, il vogue à la manière de ses spermatozoïdes flagelés dans l'obscurantisme d'un projet qui ne trouvera jamais une terre fertile dans ce Sénégal que des générations et des générations de citoyens ont construit dans la paix, l'entente, le cordialité et la cohésion nationale. 

 

Elhadji Maodo DIOP, Ingénieur Informatique au MAERSA

 

Monsieur le ministre de l’intérieur Antoine Félix DIOME a participé à l’audience que monsieur le président de la république Macky Sall a accordée à la délégation épiscopale dirigée par Monseigneur Benjamin Ndiaye, ce jeudi 19 janvier 2023.

 

L’archevêque a profité de l’occasion pour féliciter son excellence pour la participation à son élection et l’évolution des chantiers du sanctuaire marial de Popenguine.

Félicitation monsieur le ministre de l’intérieur Antoine DIOME, l’homme de confiance du chef de l’état.

 

La situation politique actuelle est très tendue. Notre cher pays est encore à la croisée des chemins. J’ai appris qu’un de vos proches, Moustapha Kane, votre ancien Chef de Cabinet, Président du Conseil de surveillance de l’Asepex, a préféré démissionner de ce poste, démission qui ne peut, j’en suis sûre, vous laisser indifférent. Il justifie son acte « pour être logique dans sa démarche qui consiste à montrer sa désapprobation à votre troisième candidature en 2024 ». S’en est suivie celle du Coordonnateur de votre parti au Canada, pour vous manifester lui aussi, dans une lettre ouverte, son opposition à votre éventuelle troisième candidature.

Mr le Président, vous êtes attendu principalement sur cette question qui est d’ailleurs sur toutes les lèvres, elle est, en effet, au centre de toutes les attentions de nos concitoyens. L’article 27 de la Constitution est pourtant sans équivoque, ses deux alinéas sont bien dissociables. L’alinéa 1er traite de la durée du mandat qui est fixée à cinq ans. Quant à l’alinéa 2 qui fixe le nombre autorisé de mandats, il dispose : « Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs ».

Cet alinéa a ainsi levé toute équivoque sur le sens des mots utilisés. C’est clair comme l’eau de Roche, on ne peut y perdre son latin, c’est écrit dans un français limpide. Tout le monde est en mesure de comprendre la phrase, on n’a même pas besoin d’être juriste. Un mandat qu’il soit de 7, 5 ou 3 ans est un mandat. Peu importe la durée du mandat qui n’a rien à voir avec le nombre. Les deux alinéas les distinguent bien, l’interprétation n’est donc pas nécessaire. Et puis, vous en êtes le premier interprète, le concepteur. L’obstacle juridique de la troisième candidature est donc bien là. Vous êtes en effet en train d’exercer votre second et dernier mandat, Mr le Président.

Votre prédécesseur a été élu en 2000 sur la base de la Constitution du 7 mars 1963 qui avait supprimé en 1998 la limitation du nombre de mandats présidentiels, contrairement à vous qui avez été élu en 2012 avec la Constitution de 2001 votée par référendum (loi n°2001-03 du 22 janvier 2001 portant Constitution modifiée (jors n° spécial 5963 du 22 janvier 2001, p. 27). Cette Constitution de 2001 avait d’ailleurs déjà verrouillé la limitation des mandats à deux. Il disposait : « …Le mandat est renouvelable une seule fois ». Vous avez toutefois souhaité fortifier la limitation des mandats avec le référendum de 2016 (article 1er, loi constitutionnelle n° 2016-10 du 5 avril 2016 portant révision de la Constitution, jors n° spécial 6926 du 7 avril 2016, p.505, article modifiant et remplaçant l’article 27) et c’est tout à votre honneur.

 La clause d’éternité est même venue pérenniser cette limitation. Aucune dérogation n’est possible au principe d’interdiction absolue posée par l’alinéa 2, une disposition transitoire pour éviter toute ambiguïté n’est pas prévue. Elle pouvait être rédigée par exemple de la façon suivante : « L.’alinéa 2 de l’article 27 ne s’applique pas au premier mandat de 7 ans », ce qui n’est pas le cas. Il vous appartient donc de respecter notre Charte fondamentale, comme mentionné dans l'article 37 de la Constitution qui dispose : « Le Président de la République est installé dans ses fonctions après avoir prêté serment devant le Conseil constitutionnel. Le serment est prêté dans les termes suivants : Devant Dieu et devant la Nation sénégalaise, je jure … d’observer comme de faire observer scrupuleusement les dispositions de la Constitution… ». Vous allez exercer finalement le pouvoir pendant 12 ans. Ce qui est assez suffisant pour éviter l’usure du pouvoir.

Une élection présidentielle étant cruciale, vous pouvez présenter un candidat en 2024. Comme l’a si bien dit mon ami le professeur El Hadj Mbodj, lors de l’émission « Face à la Nation » en date du 2 octobre 2022, en réponse aux questions du journaliste Khalil Guèye (vidéo à la 29ème mn 14 secondes) : « est-ce qu’aujourd’hui si le Président de la République du Sénégal décidait de mettre fin à tous ces bruits sur le troisième mandat et ne se présentait pas, est- ce qu’il peut revenir au pouvoir à travers le scénario Medvedev-Poutine… ? Est-ce que le Sénégal est préparé à ça ? » Sa réponse sans équivoque est la suivante : « on se réfère aux textes et les textes prévoient cette situation. On dit que nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs.

Cela veut dire après deux mandats, faut prendre une pause et c’est tout à fait possible de revenir et faire deux autres mandats… ». J’ai lu, par ailleurs, le livre du journaliste Vincent Hugeux « Reines d’Afrique » paru en 2016, un chapitre intitulé La Mackysarde de Dakar, est consacré à votre épouse. J’y ai apprécié sa sagesse et sa lucidité, lorsqu’elle dit à la p.175 : « Notre séjour ici aura une fin… car je garde à l’esprit qu’il y aura bien demain un après-pouvoir ». Elle poursuit et c’est à souligner : « Macky Sall fera deux mandats ». Mais l’auteur ajoute : « Reste à savoir si la louable injonction survivra durablement aux poisons du palais et à ses vanités ».

Quant au vaudeville politico-judiciaire, je partage tout à fait le point de vue de Mme Penda Mbow, votre représentante personnelle à la Francophonie, qui estime que « pour la première fois dans l’histoire politique du pays, une jeune femme est devenue un instrument manipulé entre les mains d’hommes politiques, transformé en tant qu’objet pour des objectifs purement politiques. Ce qui constitue en effet la plus grave forme de violence exercée sur une femme ». C’est aussi mon intime conviction.

Des témoignages à décharge disculpant l’accusé, parus dans la presse, ont aussi retenu mon attention : celui du gynécologue qui a établi le certificat médical (une preuve scientifique) écartant l’existence de tout rapport sexuel dans la période incriminée, attestant donc le non viol, du gendarme qui a conduit l’enquête préliminaire, du rapport interne de la gendarmerie, de la deuxième masseuse, puisqu’elles étaient deux à pratiquer le massage, de la propriétaire du salon de massage, de son mari, de l’ancienne patronne de la jeune femme. Ils disent pratiquement tous qu’ils craignent à présent pour leur vie, ce qui est bien inquiétant pour ces braves et honnêtes citoyens. J’ai également écouté les audios du marabout de la plaignante Adji Sarr, notamment celui dans lequel elle lui avoue carrément qu’il s’agissait bien d'un complot.

En revanche, je relève l’absence de preuve pouvant accabler l’accusé et que le juge d’instruction, n’a pas, à ma connaissance, entendu toutes les personnes impliquées pourtant, dans ce prétendu viol, qui a entraîné malheureusement des conséquences dramatiques. Je vous invite, Mr le Président, à apprendre de l’histoire qui n’est malheureusement qu’un éternel recommencement. Ne vous laissez pas tromper par les illusions d’optique, un leurre politique déjà vu avec vos prédécesseurs. Mon souhait est de vous voir achever tranquillement votre second et dernier mandat et vous retrouver, pourquoi pas, dans une organisation internationale. Seul le pouvoir de Dieu est éternel. Je ne vous souhaite pas de sortir par la petite porte, d’autant que notre brave peuple vous a tout donné et mérite une transmission pacifique du pouvoir en 2024. Comme votre parti s’appelle l’Alliance pour la République, il vous serait facile de prouver, j’ose l’espérer, que vous êtes un républicain dans l’âme.

Mme Marie-Pierre Rokhayatou Sarr

 Docteur d’État en droit, Maître de conférences à la Faculté des Sciences juridiques et politiques de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar à la retraite.

Une citoyenne qui, toute sa vie, a lutté contre l’injustice et pour le respect de la légalité.

Il a fallu un temps sans doute de retenue pour pouvoir évacuer certaines considérations relevant d’un subjectivisme béat, d’une pulsion ou d’une quelconque émotion pouvant éloigner d’une réflexion intelligente ou d’un jugement objectif, pour que Maitre Dior Diagne se mette au devant de la scène et devant la presse. Ceci, pour apporter la réplique au leader de Pastef et de la coalition de l’opposition Yewi Askanewi Ousmane Sonoko  devant probablement  comparaitre devant la barre, pour une affaire de viol contre la dame AdjiSarr.

Maitre Dior Diagne, avocate de son état, membre du barreau sénégalais et épouse de l’actuel ministre de l’intérieur Antoine Félix Diom, a été objet d’une citation directe de la part de Ousmane Sonko comme d’autres personnalités et personnes du monde politique, juridique, de la haute administration étatique, pour des implications directes ou indirectes dans son inculpation. Pour ce qui concerne Mme Dior Diagne, on lui a imputé la paternité ou la maternité d’un sms  qui faisait cas d’une volonté de l’auteur d’aller jusqu’au bout, pour « détruire » Ousmane SoNKo.

Dans un communiqué rendu public, Dior Diagne a d’abord dégagé en touche certaines insinuations  et accointances avec des acteurs de cette dite affaire. Elle a ainsi affirmé n’avoir jamais être à la rencontre de Sonko lui- même, de Khady Ndiaye, de Adji Sarr, de Sidy Ameth Mbaye, du capitaine Touré. Elle a aussi soutenu mordicus qu’elle n’est pas l’auteur de ce sms faussement brandi par son accusateur. Et que rien ni personne ne pourrait prouver cela.  Maitre Dior Diagne  a ainsi fait savoir qu’une réalité pathologique et obsessionnelle vécue par Ousmane Sonko lui a fait voir et établir une implication portée à son encontre, du fait principalement qu’elle est femme et qu’elle est surtout l’épouse du ministre de l’intérieur. Tout en révélant qu’elle n’a pas manqué de saisir le bâtonnier dans cette fausse accusation envers sa personne, Maitre Dior Diagne dit , néanmoins éprouver de la pitié, de la compassion, envers Ousmane Sonko, qui est aussi et avant tout un époux, un père de famille.malheureusement et selon une opinion largement  partagée, celui qui se prévalait du statut de « ibadou » est aujourd’hui dépouillé de toute consistance valorisante dans la consciencerestée dubitative et troublante des sénégalais qui continuent de se mouvoir dans leurs croyances et leurs convictions socio-religieuses.

Comprend-on ainsi que dès l’entame de l’introduction de son communiqué, Maître Dior Diagne, moulée dès la prime enfance dans l’univers de la culture et des valeurs du monde de la khadriyya ( son père Cheikh Ousmane Diagne a été depuis longtemps responsable moral et représentant de la dite tarikha au Sénégal) ait fairéférence à un hadiths du prophète Mohamed ( Paix et salut sur la meilleure des créatures), qui a invité à bannir le mensonge qui méne à la géhenne, pour adopter et faire prospérer la vérité qui conduit à la félicité.

Mohamed Al Amin Thioune

A l’image de mercure, le seul métal qui peut se liquéfier à la température ambiante, notre engagement pour soutenir le Président de la République, Macky Sall est caractérisé par la solidité du métal et de la fluidité de l'eau. Il est des moments dans l'histoire d'un pays qui interpellent l'esprit des patriotes. Des moments où le devoir de servir se fait prégnant et impérieux. Je suis convaincu que notre pays est à un tournant décisif qui nécessite que toutes ses filles et fils se mobilisent pour forger des lendemains meilleurs.

 

La maturité du débat public est une nécessité absolue pour consolider la démocratie au Sénégal. Nous devons rétablir la confiance des citoyens en la politique et les mobiliser dans des aspirations utiles et fécondes. Cela passe par l'exigence de responsabilité. Soyons les vigiles de la République. Je me suis longtemps tenu éloigné des querelles partisanes, des lourdeurs idéologiques et des débats stériles. Mon engagement a toujours été de servir mon pays. Je crois profondément en l'énorme potentialité et au génie de la jeunesse de mon pays.

 

C'est pourquoi, je prends l'engagement d'être l'avocat des jeunes et des femmes au cœur du projet du Chef de l'état sur la construction d'un Sénégal créateur de talents. Nous devons leur assurer un avenir radieux en leur donnant toutes les opportunités nécessaires à leur épanouissement. Il est de notre devoir, à tout un chacun, d'incarner ce génie sénégalais qui a inspiré et inspire encore la marche de l'Afrique vers le progrès. Construisons ensemble un avenir commun et désirable. 

 

 

Dr Mohamed Diallo

Membre de la conférence des leaders de la coalition BBY

Président de la Coalition Natangué

 

CMU
cmu