La situation des marchands ambulants et des travailleurs du secteur informel, de manière générale, est en train d’être véritablement prise en charge. Longtemps laissés à eux-mêmes, il aura fallu l’avènement de Abdoulaye Sow comme Président de la Chambre de Commerce pour assister à leur intégration à la Chambre consulaire. Mieux, explique Alioune Samb, le président du Collectif des marchands ambulants et des travailleurs du secteur informel, «il y a un travail de formalisation qui est en train d’être fait pour les acteurs du secteur informel que nous sommes. Désormais, plus rien ne sera comme avant, et c’est le fruit du travail du Président Abdoulaye Sow que nous félicitons».
Dès son accession à la Chambre consulaire, le Président de la Chambre de Commerce avait entrepris de profondes réformes pour mener à bien sa mission. Il avait, de ce fait, tracé dans sa feuille de route, l’implication de tous les acteurs du secteur privé et du secteur informel pour un travail inclusif. Aujourd’hui, c’est chose faite, et les marchands ambulants se félicitent d’être associés et considérés comme partenaires privilégiés avec les réformes courageuses entreprises au niveau de la Chambre. «Ce qui est important pour nous, c’est de fédérer tous les acteurs du secteur privé, il y a des anciens qui peuvent nous aider en ce sens. Actuellement nous avons de l’espoir, nous avions parlé de réformes. Des projets sont entamés depuis longtemps, mais le plus important, c’est de discuter de nos difficultés pour trouver des solutions, en vue de pouvoir les présenter aux autres. Ce qui pourrait permettre d’avoir un document consensuel à présenter à l’administration. Lequel serait apte à lister les préoccupations et propositions du secteur privé national et du secteur informel», avait indiqué Abdoulaye Sow.
Selon lui, «avec les marchands ambulants, nous avons discuté comment faire pour les organiser et faire de sorte d’éviter ces flux de migrations irrégulières vers l’Europe. Il y a donc beaucoup de choses dont on devait discuter avec eux, c'est donc normal d’essayer de voir comment faire pour enfin parler d’une seule voix». Pour Alioune Samb, Makhoudia Ngom, et leurs autres camarades, «nous remercions le Président Abdoulaye Sow qui est en train de matérialiser ainsi la vision du chef de l’Etat basée sur la promotion de l’emploi des jeunes. Pour cela, en décidant de formaliser les acteurs du secteur informel, un grand pas est franchi pour permettre aux jeunes de se familiariser avec les outils mis en place par l’Etat du Sénégal dans le cadre de l’accès aux financements».