Le collège des délégués du Terrou bi: ''De Mars à juillet, il n'y a eu aucune rentrée financière au niveau des hôtels''
Les restrictions et autres mesures arrières dans le cadre du Covid ont eu à bloquer le fonctionnement de l'hôtel Terrou bi, surtout avec la politique imposée par l'État de ne point procéder au licenciement des agents suite Aix conséquences nées de la pandémie. Le peu que l'État avait alloué en guise d'appui ne pouvait empêcher la mise en oeuvre de plans de redressement et de licenciements à l'amiable.
Mais cela n'a pas empêché aux victimes du Covid de ruer dans les brancards et de regretter les agissements jugés abusifs du patronat de Terrou bi. En conférence de presse, le collectif rétablit la vérité des faits en clamant haut et fort que tous les plans se sont déroulés dans les règles de l'art et que l'entreprise ne doit à ce jour rien aux partants.
''Tout a été payé, même les indemnités de congés, tout a été vu et revu pour que la direction ne soit pas redevable à ses désormais ex travailleurs'', fait savoir Elhadj Ndiaye, SG du syndicat des travailleurs de l'hôtellerie de la restauration et des casinos, venu prêter mai forte aux agents de l'hôtel dont l'image risque d'être écornée par les agissements des licenciés.