vendredi 22 novembre 2024 | Login
Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

C’était en prélude à la célébration de la Journée internationale de la Femme, dans le cadre d’un processus de mise en évidence d’expériences d’autonomisation de la femme que l’opportunité a été offerte de visiter le campus rural de Niakhène. Sur place, Ndèye Saly Diop Dieng avait pris l’engagement d’octroyer une pompe solaire à l’Université Rurale de Niakhène. Ce mardi, c’est chose faite dans les locaux du Ministère où le Recteur de l’Ucad Ibrahima Thioub a reçu des mains de Mme la Ministre le matériel promis.

« Je me libère de l’engagement que j’avais pris d’appuyer la belle expérience en cours de développement au profit de groupements de femmes de la commune de Niakhène », s’est ainsi déchargée Ndèye Saly Diop Dieng. En effet, s’exprime-t-elle devant le recteur et de l’équipe qui l’accompagne pour recevoir la pompe solaire, « le bref séjour au sein de ce cadre m’a permis de constater que les organisations féminines bénéficiaires étaient engagées dans une expérience originale de développement organisationnel qui ouvre de grandes perspectives d’autonomisation, tant au plan social qu’économique. J’avais également perçu que cette délocalisation du laboratoire de recherche au sein des espaces sociaux et de production, était de nature à booster tous les indicateurs de développement humain et à améliorer les techniques agricoles ». Pour la Ministre, « ces résultats intermédiaires par ailleurs plus qu’appréciables, dans le processus de capacitation technique et organisationnelle des femmes, a dû sûrement convoquer des investissements importants aux plans financier, humain et pédagogique. Il s’agit d’une pompe solaire HMT 90 mètres avec un débit journalier de 180 mètres-cube/jour, plus un système immergé et un champ solaire photovoltaïque de 1248 kW, en plus de panneaux solaire avec une sécurisation antivol. Cette démarche d’accompagnement au plan matériel est en cohérence avec la politique d’équipement agricole mis en œuvre par le Chef de l’Etat qui vient de bénéficier d’un investissement de plus de deux (02) milliards. Cette action de soutien matérialise aussi une orientation de la Stratégie nationale pour l’Autonomisation économique de la Femme qui vise à repositionner les femmes dans le système de production, de gestion et d’échange des biens et services ».

Youssouf Ndiongue

Dans le retard accusé dans la livraison des travaux sur la VDN 3, les populations crient leur ras-le-bol et parlent d’injustice. Il a fallu que des jeunes de Cambérène sortent de leur silence pour que l’on comprenne leur amertume de voir les travaux sur cet axe ne plus finir. A leur déception, s’ajoute celle des automobilistes qui, pour rallier directement la banlieue. En réaction à cet état de fait, la responsable politique de l’APR, habitante de Cambérène, Mame Gueye Diop, en veut aux responsables du projet qui, selon elle, ne jouent pas franc jeu.

 

Les réactions pour dire NON aux lenteurs observées depuis des années dans la finition des travaux de la VDN 3, à hauteur du village de Cambérène commet à fuser de partout. Après les usagers de cette voie qui éprouvaient toutes les difficultés du monde pour dépasser ce tronçon devenu infernal, les jeunes de la localité ont montré leur ras-le-bol de voir leur localité faire l‘objet de grogne des automobilistes. Comme si cela ne suffisait pas, Mame Gueye Diop, responsable politique de son état, qui a suivi, avec intérêt, la sortie des jeunes de Cambérène dénonçant ces lenteurs, s’est ainsi exprimée. « Je suis totalement en phase avec eux, car mon engagement aux côtés de son Excellence Macky Sall, Président de la République, est motivé exclusivement par l'amélioration des conditions de vie des populations de Cambérène. Donc s'il a des projets pour ma localité, et que les gens qui sont responsables de ces projets ne jouent pas franc-jeu, il convient juste de les dénoncer ». Par conséquent, ajoute-t-elle, « les responsables des projets doivent  prendre rapidement en compte les doléances des populations de Cambérène qui ont tout donné au Président et tout accepté pour lui ".

Youssouf NDIONGUE

 

Ce sont de jeunes Mackystes qui ont décidé de prendre leur courage politique en mains pour porter la vision du chef de l’Etat. Ils vont se tuer, disent-ils, pour apporter véritablement des solutions idoines et urgentes devant les aspirations des populations terrassées par un désespoir sans commune mesure. Mieux, et pour éviter que la situation perdure, surtout dans un contexte d’après-Covid incertain, ces jeunes responsables de l’APR des Parcelles Assainies interpellent le président Macky Sall qui, face au silence assourdissant de ses ministres, doit apporter des changements en profondeur dans l’équipe gouvernementale.

 « Ils sont dans des calculs politiques et n’ont presque pas le temps de fournir le travail qui leur est confié. Donc leur place n’est plus dans le gouvernement », suspecte Pape Moussa Cissé, responsable politique lors d’une émission télé animée par des confrères de la DTV. A l’en croire, « l’équipe gouvernementale est dans l’incapacité de répondre favorablement aux attentes qui lui sont exprimées par le Président Macky Sall et par le peuple. Donc, des changements sont attendus pour apporter du sang neuf afin  de galvaniser les troupes face aux assauts de l’opposition, d’abord, et booster ensuite les projets phares qui tardent véritablement à faire décoller l’économie nationale ». Ainsi, ajoute le jeune responsable des Parcelles, « nous allons les traquer et les dénoncer. Ils sont dans des calculs politiques pour voir comment suppléer Macky Sall aux affaires. De ce fait, ils sont dans l’inaction et  laissent le chef de l’Etat, seul, faire face à tous les problèmes. Nous les avons identifiés, et encore une fois, qu’ils soient assurés, nous allons les dénoncer. Mais auparavant, nous demandons que l’équipe gouvernementale soit remaniée si on veut avoir des résultats avant longtemps, car, ils ne travaillent plus ».  

Selon les jeunes apéristes, l’après Covid doit se préparer de manière rigoureuse. Et donc un immense travail attend les sénégalais de tous bords, surtout dans le domaine de la santé. « La crise sanitaire a fini de montrer que nous devons renforcer notre système global. Nous devons voir, à travers la pandémie, une opportunité qui nous impose des changements véritables si on veut venir à bout des conséquences de plusieurs mois d’inactivité. Le contexte l’impose et c’est à tous les niveaux qu’on devra agir. C’est maintenant que le fast-track a son importance et tout son sens. Mais sur le plan politique, je fustige que des leaders du parti, responsables dans leur localité, rasent les murs pour défendre le Président Macky Sall qui a brillamment mis ce pays sur les rampes de l’émergence. Par conséquent, il ne mérite pas un tel revers de la part de ses hommes », théorise Pape Moussa Cissé.

Youssouf NDIONGUE

 

 Dr. Ibnou Taimiya Sylla et la marque sénégalaise de Smartphone « SUMU » ont été choisis cette année pour recevoir le Prix Africain de Développement, distinction décernée annuellement à des personnes physiques et morales qui excellent dans leurs secteurs d’activité respectifs impactant ainsi positivement le développement de leurs pays et celui du continent. Le choix porté sur Dr. Ibn Taimiya Sylla, Ingénieur en Télécommunications est basé sur son engagement pour aider l’Afrique à combler le fossé numérique.

Dr Sylla qui a eu à mettre son expertise à la disposition de plusieurs agences de régulations des télécommunications africaines, œuvre continuellement à ce que le numérique puisse servir de vecteur pour bâtir des économies africaines basées sur le savoir ou « Knowledge based Economies » - La mise sur le marché de la marque sénégalaise de Smartphones « SUMU » conçue pour répondre aux besoins spécifiques du marché africain et servir de plateforme IoT (Internet of Things) pour l’écosystème numérique africain. Les produits « SUMU » sont développés par une équipe d’ingénieurs actifs dans divers comités techniques de définition de normes de communication sans fil, telles que Wifi, Bluetooth, RFID et NFC. La marque compte gagner une part du marché africain de Smartphones dont le volume pour l’an 2020 est estimé à 100 millions de téléphones. La cérémonie de remise du prix se fera lors de la cérémonie baptisée ‘’DINER-GALA DES BATISSEURS AFRICAINS’’ qui sera en marge du PADEV Kigali organisée cette année à l’hôtel Marriott de Kigali (Rwanda) du 19 au 21 Juillet 2020, en présence des autorités politiques et diplomatiques, ainsi que des responsables d’institution financières, d’opérateurs économiques et des médias entre autres. Dr. Ibn Taimiya Sylla, natif de Koumpentoum (Tambacounda) est titulaire d’un diplôme d’ingénieur en Telecom de l’École Supérieure des Télécoms de Tunis, d’un Master en Microondes et électronique spatiale de l’école Polytechnique de Montréal, d’un PhD en Microélectronique de l’école Polytechnique de Montréal et d’un MBA en Finance et Leadership Stratégique de l’Université de Dallas. Il a eu à travailler sur des projets de technologies sans fil de grande envergure pour le compte de multinationales telles que Texas Instruments, Philips et autres. Dr Ibn TAIMIYA est aussi spécialiste de l’électronique spatiale et de la micro-électronique C’est un réel plaisir d’être parmi les récipiendaires de ce prestigieux prix s'est exprimé DR Ibn Taimiya Sylla. Je me suis toujours battu afin que l’Afrique puisse rattraper le retard qu’elle a accusé par rapport aux autres continents et surtout sur le plan du Numérique a-t-il ajouté. « Je profite de l’occasion pour lancer un appel solennel à notre leadership afin qu’il puisse mettre en place une stratégie cohérente et agressive pour que nous puissions profiter du Numérique pour améliorer la qualité de vie de nos populations », a -t-il laissé. Le Numérique constitue pour le Sénégal en particulier et l’Afrique en général, une occasion pour participer efficacement à la nouvelle économie mondiale. Il faudra, cependant, bâtir au préalable des écosystèmes solides dit-il.

Youssouf Ndiongue

Historique. Inédit.

L’après-midi du Samedi 20 Mai 2020 sera une date marquante dans les Annales de la République.

En effet, Tradipraticiens, guérisseurs, Officiers et Protecteurs du Culte des Anciens s’étaient retrouvés en point de presse dans la localité de Mame Ndogol génie protecteur de Bargny, au mythique siège du Réseau des Associations pour la Protection de l’Environnement et de la Nature.

 La Salle de Conférence du siège s’est alors révélée trop petite pour abriter, avec le respect strict des mesures barrières, les personnes venues de Pikine, Rufisque, Sendou dans la région de Dakar mais aussi de Guéreuw dans le Département de Mbour, pour ne citer que ces localités. 

 

L’Appel de Bargny  

Initié par Pape Laye Ndiaye Gardien du Temple de Mame Kumba Lamb de Rufisque, en relation avec ses collègues tradipraticiens et guérisseurs parmi lesquels Adja Sokhna Mbaye, Aida Ndiaye, LemouSow,MbosséPouye et le grand notable de Bargny Ibrahima Diagne, le point de presse visait un seul un objectif principal qu’il est convenu d’appeler l’Appel pathétique de Bargny .

 Tour à tour, les interventions ont décrit la situation intenable dans laquelle vivent des patients et des malades pris entièrement en charge par le Culte des Anciens. Aida Ndiaye de la Clinique paramédicale et tradi praticienne Tacko Ndiaye de Pikine Rue 10, de même que Sokhna Mbaye de Bargny n’ont pas manqué d’égrener un chapelet de maux auxquelsles patients du Culte des Anciens restent confrontés : aucune possibilité, durant les trois premiers mois de l’entrée de COVID19, d’aller en consultation hors des limites de leurs territoires départementauxrespectifs , aucune assistance de la part du Ministère de la Santé et de l’Action Sociale , des Autorités Administratives et des Districts Sanitaires. Le nombre de malades en attente d’être pris en charge et traités ne cesse d’augmenter mais faudrait-il disent elles que des mesures d’assouplissement puissent leur être accordées par les plus hautes autorités de ce pays, en commençant par le Président de la République à qui les initiateurs ont demandé de les accompagner. Ibrahima Diagne, Président de Takkom Jerry, co- initiateur du point de presse après avoir rappelé leur correspondance adressée il y a quelques mois au Ministre Abdoulaye Diouf lui demandant de desserrer l’étau qui empêche les officiers du Culte de continuer à procurer des servitudes et à faire des interventions auprès des patients qui en ont grandement besoin, a engagé ses collègues à un respect scrupuleux des mesures barrièresédictées par les Autorités. Avant de rajouter pour terminer « ... nous demandons au Président de la République de revoir les dispositions règlementaires et lui disons solennellement que nous allons nous engager dès lors au respect strict de la distanciation sociale en règlementant au mieux les immanquables rassemblements.

Pape Laye Ndiaye Gardien du Temple, au nom de tous ses pairs au niveau nationalquant à lui a réitéré à l’endroit du Président Macky Sall le rôle éminemment important que les Tradipraticiens, Guérisseurs, Paramédicaux et Protecteurs de Totems ont toujours joué dans la Paix et la Stabilité du Sénégal, raison pour laquelle la Nation leur doit respect et honneur dus à leurs rangs et fonctions ; en véritables régulateurs sociaux, ils méritent tous les égards donnés à d’autre filles et fils de ce pays.

« Nous ne demandons qu’à être rétablis dans nos prérogatives de soignants comme le sont du reste, les médecins, infirmiers et personnels de santé. Comme eux, nous sommes dans les dispositions de respecter et faire respecter toutes les mesures préconisées par les Autorités sanitaires », dira-t-il en concluant.       

Cheikh Mbodj

 

 

 

La libération de l’emprise du TER avait causé d’innombrables préjudices aux personnes affectées par le projet (PAP). Ainsi, un plan d’action et réinstallation (PAR) était élaboré sans l’implication des véritables concernés, suivi d’une exécution exécrable qui plonge aujourd’hui les citoyens dans une situation de vulnérabilité hors du commun. A en croire le collectif mis en place pour défendre les intérêts des véritables impactés, « cette situation n’est rien d’autre que le résultat du non-respect par l’APIX, maitre d’ouvrage du projet, des mécanismes d’inspection indépendant (MII), avec comme conséquence, l’exposition des personnes affectées à des risques sévères d’appauvrissement à long terme ». Mais après une lutte hardie contre l’Etat, on va vers le dégel, avec une conciliation, au mois de février prochain, acceptée par ce dernier et qui sera menée par des médiateurs tels que l’AFD et la BAD.

               

Le respect des engagements pris par l’Etat sur la révision du PAR, la correction et la réparation des préjudices engendrés par la mauvaise mise en œuvre du PAR, l’interpellation de l’Apix pour une clarification de l’utilisation des dix milliards de fonds sociaux, tels seront les grands axes des discussions entre les différents protagonistes (Etat – impactés du TER), sous la supervision des médiateurs internationaux. A en croire Ibrahima Cissé, Coordonnateur national des impactés du TER, « des barèmes fonciers seront révisés et harmonisés, sans oublier la viabilisation des sites de recasement (camp Thiaroye, Malika et pôle urbain du Lac Rose), le recasement des sous ménages et des cas sociaux, et le traitement des titres fonciers, entre autres ».

En effet, soutient le chef des impactés, « on va vers de fortes indemnisations des pertes foncières, de recasement et réparation des revenus pour les commerçants. Mais le point sensible de ces discussions sera l’interpellation de l’Apix pour une clarification de l’utilisation des dix milliards de fonds sociaux qui devrait couvrir : la construction du nouveau marché de Thiaroye dont les délais de livraison sont largement dépassés (Avril 2018), l’accompagnement aux familles vulnérables (1.200.000f/famille) : une enquête était menée auprès de ces familles depuis 2 ans sans effets, l’appui au relogement et à la réinstallation d’un montant de 1.500.000f/famille qui devait être libéré depuis 2 ans. Avec un accent particulier pour l’aménagement et l’assainissement des sites de recasements (Camp de Thiaroye, Malika VDN3, pôle du Lac Rose d’un coût global de 3.000.000.000f ». Pour terminer, Ibrahima Cissé annonce la réalisation des infrastructures connexes de bonifications dont les 5 plateformes sportives multifonctionnelles non réalisées (Hann, Pikine, Thiaroye, Rufisque et Diamniadio), l’appui aux associations de jeunes et de femmes (Colobane, Hann, Pikine, Thiaroye, Rufisque et Diamniadio), l’insertion des PAP aux 800 emplois générés par le projet TER, pour terminer par un audit de conformité environnementale et sociale prévu aussitôt après la conciliation ».

Youssouf NDIONGUE

 

 

La Fondation UBA, la structure responsable de la mise en œuvre la politique de responsabilité sociale des entreprises de United Bank for Africa (UBA) Plc, s’est jointe mardi au reste du monde pour célébrer les enfants africains dans le cadre de l'édition 2020 de la Journée internationale de l'enfant africain. Instituée par les Nations-Unies la date du 16 juin de chaque année, est dédiée aux enfants en Afrique rendant ainsi hommage au courage des étudiants sud-africains qui ont défendu leur droit à une meilleure éducation à, et en tant qu'institution soucieuse de l'éducation et du bien-être de l'enfant africain, UBA à travers sa fondation contribue chaque année cet événement très important.
En raison de la pandémie de Covid-19 et à la fermeture des établissements d'enseignement qui en a résulté, la Fondation UBA n'a pas pu se rendre aux écoles et centres communautaires, comme à l’accoutumé. Cependant, elle a organisé des activités en ligne, en donnant la possibilité aux lycéens de regarder et d’écouter des séances de mentorat et de lecture virtuelles.
 
Au cours de la session virtuelle, la directrice générale de la Fondation UBA, Bola Atta, s'est entretenue avec les étudiants sur diverses questions, allant de la culture financière et de l'importance de la lecture dans l'édification d'une nation. Elle a également expliqué la raison pour laquelle la Fondation UBA se focalise sur trois piliers clés à savoir l'éducation, de l'autonomisation et de l'environnement. Elle a ajouté que la banque, à travers sa fondation, reconnaît le rôle crucial que l'éducation et, en fait, une bonne culture de la lecture doivent jouer dans la vie des jeunes. «De nos jours, les élèves ne prennent plus le temps de lire et sont facilement distraits par la présence de médias sociaux électroniques tels que Facebook, Twitter, Instagram et autres; et pour freiner cette tendance sur le continent, la Fondation UBA a mis au point le projet «Read Africa» (L’Afrique qui lit), conçu pour redonner le gout de la lecture à nos jeunes sur le continent » a-t-elle fait savoir. «En tant qu'institution panafricaine, nous pensons que l'avenir de l'Afrique réside dans sa jeunesse et pour cette raison, la Fondation UBA est activement impliquée dans la mise en œuvre de projets éducatifs et pour combler le fossé de l'alphabétisation à l'échelle continentale, et aide pour raviver la culture de la lecture et de l'alphabétisation en déclin chez les jeunes africains même s’ils  poursuivent leurs études », a renchérit Atta.
Tout en soulignant la conviction qu'un jeune hautement éduqué et bien informé est un atout essentiel pour l'avenir de l'Afrique, Atta a saisi l'occasion pour lire quelques passages du roman recommandé aux étudiants et les a encouragés à visiter le site Web de la Fondation UBA sur www.ubagroup. com / uba-foundation, où ils pourront lire à loisir. 
UBA, à travers sa Fondation, estime qu'une éducation de qualité est cruciale pour doter l’Afrique des ressources humaines nécessaires à l’exploitation des opportunités émergentes et afin de propulser le continent vers des niveaux de développement plus élevés. Le mois dernier, la banque a également tenu son forum UBA Conversations, un événement annuel commémorant la Journée de l'Afrique, pendant lequel les présidents et dirigeants mondiaux ont contribué aux discussions visant à propulser la croissance africaine après le COVID-19. En tant qu'institution panafricaine, UBA est à l'avant-garde de la promotion de l'Afrique et des valeurs africaines, en particulier dans les domaines du développement économique du continent. Présente dans 20 pays africains et dans le monde notamment au Royaume-Uni, aux États-Unis et en France, la banque a une solide expérience de soutien à ses communautés, notamment pendant les périodes difficiles.
 
 
Le 17 Septembre 2019, je postais une contribution intitulée « Macky SALL, un ''soldat'' esseulé depuis sa réélection ». Je voulais faire constater pour décrier l’isolement du Président par des gens préoccupés par leurs intérêts personnels, un cercle qui ferme la porte aux compétences peuvant aider le chef de l'Etat dans sa mission, car ayant peur de perdre leur ''douillet fauteuil''.
Une situation malheureuse qui crée un hiatus entre le Président de la République et beaucoup de sénégalais valeureux qui veulent mettre leur savoir et leurs relations au service de leur pays.
Le Président a besoin de toutes les compétences pour réussir son mandat qui s’annonce déjà très difficile, car la pandémie de la COVID 19 conduit inéluctablement à une crise économique sans précédent, malgré les grandes choses qu’il a déjà accomplies. Comme l'a toujours dit le Parti Alliance pour la Paix et le Développement (APD), des sénégalais émérites pullulent dans beaucoup de secteurs mais sont laissés en rade. La covid 19 a permis de montrer la précarité de nos structures sanitaires et la nécessité d’accompagner nos brillants chercheurs qui forment les étudiants marocains, tunisiens et autres, et en retour, on voit nos dirigeants aller dans ces pays pour se soigner. Ainsi donc il faut relever notre plateau médical et accompagner nos chercheurs, au risque de les voir aller « vendre » leurs compétences ailleurs. La COVID a aussi permis de montrer le patriotisme, et le professionnalisme de nos forces de l’ordre, qui n’ont rien à voir avec Derreck Chauvin, du nom de ce « policier » qui a choqué le MONDE, en tuant de manière barbare Georges Floyd. Un combat qui doit être porté par l’Afrique à la face du monde pour que de pareils actes ne se reproduisent plus. Le Sénégal regorge de développeurs, d’experts en projets et financements, d’inter- médiateurs, d’aéronautes, de gens avec un carnet d’adresse international fourni etc. qui peuvent beaucoup apporter au pays, surtout dans la phase d’après COVID. Le Président devra de ce fait s’adjoindre les compétences de tous bords venant aussi bien de son parti, de sa grande majorité, que de l’opposition, de la société civile, de technocrates pourvu qu’ils soient les meilleurs dans leurs domaines respectifs. L’approche doit être holistique, pour que le Président puisse dérouler selon le meilleur casting possible, pour faire face aux urgences et mettre en œuvre la seconde phase du PSE.
Les défis sont donc là et l’heure est grave comme le dit le Président, aussi il doit associer dans sa gestion ces personnes excellentes, et émérites, qui faute d’être sollicitées par leur pays, « régalent » la sous-région par leurs compétences, développent des secteurs clés, et pendant ce temps, le Président Macky SALL est isolé et on l’empêche, par des manœuvres, de puiser sur les nombreuses compétences, et par ricochet, d’exercer pleinement sa mission régalienne. Dans cette même optique, Il est nécessaire d’octroyer certains postes par appel à candidature ou se baser sur une expérience solide pour certains secteurs vitaux de notre économie très fortement impactés par la covid : le secteur informel, tourisme, agriculture, finances, transport, culture etc. pour donner un souffle nouveau, et traduire la vision du Président de la République. Cette posture a toujours été défendue par l'Alliance pour la Paix et le Développement, qui continue à fertiliser la réflexion dans ce sens. En dehors des efforts consentis pour la relance de l’économie, L’État devra :
- payer la dette intérieure aux Entreprises, et dans les délais pour leur permettre d’embaucher et de payer leurs impôts ; 
-Permettre aux Entreprises sénégalaises d’avoir des références pour pouvoir soumissionner aux gros marchés, pour qu’elles n’aient plus besoin de s’allier aux entreprises chinoises par ailleurs référencées, alors qu’elles vont faire le travail ;
 -Reformer le code des marchés ;
-Les Entreprises aussi doivent payer les impôts et éviter d’avoir deux bilans, un pour la banque et un pour le fisc ;
-Assainir le Port de Dakar, en luttant contre les fraudes douanières, et que l’argent généré par le Port soit reversé au trésor public ; 
 -Créer une Banque de Développement pour accompagner le secteur Privé et l’associer dans les déplacements du Président ;
 -Contrôler les exonérations Ex-Banques centrale ou les Ambassades, tout en faisant les contrôles de destinations ; 
-Voir si les déclarations d’importations sont faites au nom des identités réelles des propriétaires ;
 -Voir si les Entreprises qui ont bénéficié du Code des investissements créent des emplois ;
-Faire un audit du foncier ;
-Plus de célérité dans l’Administration sénégalaise ; Comme le disait le Président Thierno LO dans une remarquable interview.
L’après COVID nécessite, donc, une nouvelle approche qui sera décisive pour mettre le Sénégal sur les rampes du développement. L’Afrique devra prendre ses responsabilités, avec un peuple réarmé intellectuellement et politiquement et que les dirigeants puissent veiller sur nos ressources qui seront encore plus convoitées par les Etats Forts. Nous devons donc nous unir vers l’essentiel, adopter de nouveaux comportements, rétablir la communication avec les masses, faire la promotion des gens compétents, exiger une reconsidération de l’Afrique pour un merveilleux legs à la postérité.
Je m’engage et je l’assume !
 
Papa Malick Guisse
Président des jeunes de l'APD/coalition ADIANA
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
 
 

Il n’y a certainement pas plus remonté que le responsable de l’APR du département de Pikine contre les DG, ministres et autres membres du Secrétariat Exécutif National (SEN) de l’APR qui restent actuellement cloitrés dans leurs bureaux douillets, au moment où l’opposition occupe le terrain. Le coordonnateur des volontaires sociaux au service de la communauté qui s’exprimait ainsi, lors d’une activité sociale, n’a pas, non plus, épargné le mouvement ‘’Y en a marre’’ qu’il invite à clarifier l’opinion publique si leur bailleurs qui avaient financé leur activité à Guédiawaye ne sont pas des homos…, tout come l’opposition qu’il qualifie d’opportuniste.

Le mouvement ‘’Y en a marre’’, les membres de la mouvance présidentielle comme ceux de l’opposition ont tous été savonnés par le responsable politique de Pikine. Non content de l’oisiveté de ses pairs responsables de l’APR face aux importantes tâches qui les attend afin d’assister le Président de la République, Malal Diallo rugit de colère et n’a pas hésité à le leur faire savoir. C’était à l’occasion d’une activité de distribution de masques et de gel pour prémunir les populations de Thiaroye contre la maladie du Coronavirus. « Il faut qu’ils arrêtent de raser les murs et descendent sur le terrain, ces DG, ministres et autres responsables du SEN. Ils sont tellement inactifs qu’on se pose même des questions. Ils ont démissionné au moment où l’opposition commence à occuper le terrain. C’est inadmissible qu’on laisse le président, seul, se déployer à lutter contre la propagation du virus et faire face en même temps aux caciques de l’opposition», dézingue le coordonnateur des volontaires sociaux de Pikine. Selon lui, « c’est le moment de féliciter le chef de l’Etat qui a débloqué 69 milliards en denrées alimentaires pour soulager un million de ménages affectés par la crise causée par la Covid 19. Si ce n’était pas cela, les populations pourraient montrer leur mécontentement d‘une manière qui ferait peur ».

Aux l’opposition, Malal fait des remontrances. « Les sénégalais n’arrivent pas à comprendre pourquoi les Abdoul Mbaye Sonko, et autres Mamadou Lamine Diallo ne font rien pour aider les sénégalais à faire face à la pandémie. C’est comme s’ils n’étaient pas des patriotes ! Je demande aux sénégalais de faire attention à eux. Ils ne sont là que pour leurs propres intérêts et non pour trouver des solutions aux aspirations de leurs compatriotes. Par exemple, qu’est ce qui empêcherait à Ousmane Sonko, en tant que représentant du peuple, d’assister ses parents aux fins fonds du Sénégal dans ces moments de doute. Je pense qu’il devrait aller dans les profondeurs du pays pour pouvoir critiquer le Ministre Mansour Faye qui, actuellement, fait mieux que lui ? Voilà une opposition républicaine qu’on pourrait attendre d’eux, mais c’est trop facile de s’enfermer dans son salon et d’occuper les médias et se mettre à critiquer. Les sénégalais ne sont pas pour cette manière archaïque de s’opposer ».

Toujours en décochant ses flèches, Malal sermonne les jeunes du mouvement ‘’Y en amarre’’. «  Après un long silence, ce mouvement veut revenir en force, mais ils oublient qu’on les attendait au tournant pour qu’ils nous disent, enfin, si l’argent qu’ils ont utlisé lors de leur activité à Guédiawaye n’est pas financé par les ONG des homosexuels. En attendant, qu’ils sachent qu’ils n’ont aucune leçon à donner à qui que ce soit ». Yousouf NDIONGUE

 

La situation actuelle de la pandémie au Sénégal inquiète plus d'un. Et les nouvelles mesures des autorités, pourtant prises dans un esprit à la fois de consensus et de protection sanitaire, font couler beaucoup d'encre. ''Le Président de la République qui a toujours placé les Sénégalais au centre de toutes ses préoccupations et décisions, semble être mal compris par une petite frange de la population sous l'emprise de quelques politiques manipulateurs et dont les aspirations sont connues de tous''. Ceci est le sentiment des membres de  l'initiative pour la sauvegarde des intérêts et de la souveraineté 'ISIS), un cadre panafricaniste, qui a tenu à se prononcer sur les derniers développements dans la gestion de la pandémie de la Covid 19.
 
''C'est dans un combat aussi crucial et vital face à un ennemi invisible, imprévisible et dangereux que nous devons faire montre de solidarité. Dans  ce combat de santé publique qui engage la survie de tout sénégalais et étranger vivant parmi nous, ni le Président de la République, ni le Ministre de la Santé et encore moins le corps médical et les populations ne doivent se sentir seuls'', a-t-on relevé dans le communiqué de presse rendu public à l'issue de leur réunion tenue au sud du pays. D'où l'importance de rappeler quelques éléments fondamentaux si nous voulons progresser dans ce combat qui engage individuellement et collectivement tous les Sénégalais sous leur aspect communautaire : 
L'union sacrée autour des autorités, aujourd'hui encore plus qu'hier. ''Ne jamais être pris au découragement car il est de notre devoir de nous protéger les uns les autres jusqu'à notre dernier souffle; Comprendre que le combat relève de la responsabilité individuelle et collective. Chacun à son échelle et à son niveau personnel a un rôle important à jouer par le respect des gestes barrières, mais aussi par le partage et la mise à niveau des informations et un engagement à ne laisser passer aucun manquement pouvant exposer les autres; Le devoir de protéger et encourager le personnel médical en préservant et consolidant le travail qu'ils ont accompli jusqu'ici et en leur facilitant la suite par la réduction de la propagation, laquelle passe inéluctablement par la réduction de la mobilité et l'application strictes des mesures sanitaires dans leur ensemble. Éviter de tirer les uns sur les autres, arrêter de critiquer gratuitement car l'heure est à l'unisson et que l'énergie du dénigrement peut être utilisée ailleurs'', listent les membres de l'Isis.
Qui est en phase totale avec l'ensemble des mesures prises jusqu'ici par le Chef de l'Etat et lui réitère son soutien indéfectible et ses encouragements. Elle s'est investie jusqu'ici et continuera à le faire avec plus d'ardeur et de concret aux côtés des populations, mais aussi du Ministre de la santé et de l'action Sociale M. Abdoulaye Diouf Sarr; qui, il faut le préciser,  mérite un satisfecit national. ''Sa fidélité et sa sérénité dans l'exécution de la volonté sanitaire du chef de l'Etat, en disent long sur les compétences de ce cadre émérite'', notent ils. Ainsi, l'ISIS sous le sceau de la souveraineté et de la citoyenneté s'insurge et refuse que ce combat humain, social et économique soit politisé pour l'amener à être réduit à une occasion de règlement de compte. Ce serait malsain et irrespectueux des Sénégalais qui en souffrent, ceux qui en ont perdu des membres de leur famille et ceux qui en sont inquiets, méritent d'être rassurés et accompagnés. A défaut de les rassurer et de les encadrer, nul n'a le droit de renforcer ou d'augmenter leurs inquiétudes au profit de combats crypto-personnels et égocentriques souvent puérils..
Il est important pour une bonne frange de l'opposition et de la société civile de faire la différence entre les combats humains et les combats politiques. Sur ce combat particulier contre le Coronavirus, un seul bloc doit exister, celui d'un Sénégal uni et fort, impassible et imperméable, pragmatique, agissant et efficace'', soutiennent les camarades de Bachir Dramé.
''Nous avons en nous ces ressources. Nous pouvons avoir en nous cette volonté. Notre éducation nous a préparés à la solidarité, alors pourquoi ne pas la laisser parler au nom de notre souveraineté sacrée qui fonde notre nation? 
L'ISIS ne cherche point à se verser dans un débat mais à inviter tous nos concitoyens à la réflexion, mai aussi et surtout à la solidarité agissante, à la vigilance, à l'engagement par l'action pour que chacun puisse y jouer un rôle efficace pour un impact réel. Demain fera jour et personne ne devra faillir pour répondre au rendez-vous'', s'expriment ils.
 
Youssouf Ndiongue
 
 
 
 
 

CMU
cmu