vendredi 22 novembre 2024 | Login
Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

LA BAVE DU CRAPAUD NE PEUX ATTENDRE LE CIEL

 

Il est vrai qu'en seulement six à sept mois d'existence officiel sur le papier, L'ALLIANCE POUR LA RELÈVE CITOYENNE à était admise avec sa Présidente Anta Babacar Ngom dans le cercle restreint des prétendants au fauteuil Présidentiel. Le passage haut la main du filtre du parrainage par Anta Babacar Ngom a été la résultante de multiple effort, d'un engagement politique sans faille, d'un travail acharné et sans répis mais aussi de réel sacrifice consentis nuit et jour sur le terrain, au niveau de toute les régions du Sénégal, par le leader de ARC pour asseoir et élargir considérablement les bases de son entités politique mais aussi pour faire adhéré massivement les populations Sénégalaises à sa vision et à son ambition pour un mieux être pour son pays. 

Voilà les raisons objectives qui ont rendu compte de l'avis favorable accordé par le conseil constitutionnel au dossier de parrainage de selle qui, en un temps record, et considéré comme une étoile montante de l'échiquier politique Sénégalais. 

Des détracteurs de la dernière heure et à la traîne de histoire ont continué encore de ternir l'image d'une Lionne et d'une grande patriote, qui, en dépit de multiples Obstacles sur le terrain politique où elle a été martyrisée et gazée à plusieurs reprises à néant moins poursuit son action et ses activités, dont l'objectif principal est de sortir son peuple des difficultés quotidiennes vécues.

Ces pourfendeurs n'ont pas manqué d'évoquer des relations entretenues depuis 2012 entre la famille Ngom et le Camp Présidentiel. Cela a été relaté de manière tendancieuse et malhonnête. Si l'on sait surtout que dans l'histoire politique d'un pays, de Senghor à Momodou Dia jusqu'à nos jours, il est relevé des relations, des Alliances, dont la plupart aussi ont débouché sur des ruptures ou des divorces. Vouloir ainsi insinué des accointances ou une complicité avant la lettre entre ARC et l'origine en place et tout simplement une vie de l'esprit fondée sur des chimères. 

La candidate à la présidentielle Anta Babacar Ngom moulée aux valeurs intrinséques qui forgent la personnalité de l'homo Senegalensis et à l'école du patriotisme de son digne Père le capitaine d'industrie Babacar Ngom, va ainsi poursuivre inlassablement son chemin, vers le sommet de la pyramide.

 

Mohamed Al Amine Thioune

Le dimanche 7 janvier 2024 s'est tenue l'AG du MNER/ PODOR dans les locaux de la mairie de Dodel. Une fois encore toutes les 22 collectivités locales du département ont été représentées.

 

A l'entame de la rencontre, des prières ont été formulées pour une bonne rencontre et pour la victoire de notre candidat Amadou Ba.

 

L'ordre du jour s'articule autour des points suivants :

1/ Informations

2/ Réaménagement du bureau départemental

3/ Perspectives

 

Après amendements de l'ordre du jour, le coordonnateur du MNER/ PODOR a commencé par parler de la léthargie de notre mouvement au niveau de podor. Ceci est dû par lui même qui avait gelé toutes activités allant dans ce sens.

 

Il avait pris cette décision du fait que podor ne se retrouvait pas dans ce qui se faisait au niveau national. Il ya eu beaucoup de promotions mais aucun membre de notre département n'avait été promu. De ce constat amer, notre coordonnateur a cessé toute activité. Un tour de table a été fait à ce sujet. Les gens ont fustigé sans ambages son comportement.

 

Les républicains présents aujourd'hui ont décidé de reprendre unanimement les activités en vue de la victoire de notre candidat Amadou Ba.

Pour la réussite de notre programme, nous comptons sur la collaboration de nos leaders du département et de la coordinatrice nationale .

 

Dans les jours à venir, un plan d'activités sera mis en place et qui sera déroulé tout au long du département.

 

Entre autres points, il a été question de réajuster le bureau départemental.

 

Il est bon de noter que les changements ont été faits dans un consensus et que toutes les 22 collectivités ont été représentées.

 

Dans les perspectives le MNER de podor souhaite rencontrer dans les brefs délais le candidat de la coalition de Benno bock yaakar. 

 

Fait à podor le 7/01/2024

 

Le chargé de la communication :

Mady Woury Sakho

Le spectacle désolant qui se déroule sous nos yeux est tout sérieux. Il faut jouer au plus rusé avec les Sénégalais, qui ne veulent qu’une chose. L’organisation d’élection libre et transparente. La fonction d’un chef d’état est tellement sérieuse, surtout dans notre système politique où il a des pouvoirs énormes, il faut être sérieux. 

Il est établi que le système du parrainage citoyen est vicié pour une raison simple. Le hasard ne peut disposer de qui sera notre président. Le tirage au sort a largement impacté sur la vérification des parrainages. On n’a pas besoin de faire de hautes études pour le comprendre. 

La deuxième anomalie flagrante est liée à la régularisation elle-même, pour ceux qui ont eu des doublons ( le hasard en dispose) . Le verbe « régulariser » signifie simplement « mettre en règle à posteriori ». La question qui saute aux yeux de tout le monde est celle-ci : Comment mettre en règle, si on ne dispose pas du référentiel de base ? Cette régularisation devient, ici un jeu de pocker. Le système est déséquilibré. 

Le troisième élément est non le moins grave est la sortie récente de la CENA pour dire que le fichier qui circule sur les réseaux n’est complet. La CENA est tombée dans le piège en donnant une information capitale. A partir de quel fichier le conseil constitutionnel vérifie -t – elle les parrainages ? 

Il y a oeu nous avions évoqué l’ impérieuse nécessité d’un report des élections et de la mise en place d’un gouvernement national de transition. La situation actuelle est inédite, il ne sert à rien de forcer les lignes. Un jeu électoral ne se juge pas le jour des élections, mais avant ,.pendant et après. En management , l’activité la plus importante est le contrôle. Et dans le cas des parrainages, le contrôle ne pourrait être efficace, par ce que le filtre est mauvais. 

Asseyons nous autour d’une table et redéfinissons les regles du jeu, pour que la victoire soit belle. Le Sénégal le mérite bien. L’égoïsme de certains acteurs politiques montre simplement leur niveau de patriotisme. 

 

Dr Bassirou NIANG Président RASSEMBLEMENT NATIONAL SENEGALAIS

Mansour Ndiaye, candidat de la coalition Mansour 2024 est monté au créneau pour fustiger le processus mis en place par le Conseil Constitutionnel pour les parrainages. Candidat recalé par le Conseil Constitutionnel parle de forfaiture et appelle en outre à l’unité pour combattre ce qu’il qualifie de régression démocratique.

 

«Sur le processus électoral nous nous attaquons à différents niveaux. On a vu le Conseil Constitutionnel lors du tirage. Ce tirage n'a pas permis de dire à des milliers de Sénégalais, et à tous ceux qui nous regardent dans le monde que le billet a été excend de ce qu'on n'a vu. Ce tirage également n'a pas permis de rendre crédible aujourd'hui le processus démocratique », a déclaré Mansour Ndiaye. 

 

Le candidat recalé affirme : « Après ce tirage, ce que nous avons vu quand je prends le cas de Dakar, sur 7 milles rejets du fichier électoral pratiquement toutes les informations qu'ils nous ont renvoyé, ces informations sont identiques aux informations qui ont été collectées et fournies au Conseil Constitutionnel. Donc 5 milles et quels électeurs qui ont les mêmes informations. Et donc qui dénotent, que sur les 7 milles, pratiquement les 5 milles sont sur le fichier électoral même confirmer par le Conseil Constitutionnel. Mais que toutes ces personnes ont été considéré comme effectivement des gens qui sont en dehors du fichier électoral ». «Cette forfaiture nous ne n'accepterons pas », prévient-il  «Parce que nous, nous connaissons effectivement les gens qui nous ont parrainés. Pour quelqu'un qui a été dans les dynamiques de ce pays, dans des dynamiques associatives, dans des dynamiques financières à travers la micro finance, à travers plusieurs réseaux et qui connait pratiquement les gens ont pris leurs parrainages et qui ont remis.  Nous aujourd'hui on ne peut pas nous convaincre qu'aujourd'hui, près de 25 mille personnes parmi les 54 mille qu'on a remis ne sont pas sur le fichier électoral. Autrement on met en danger la clarté et la transparence de notre processus électoral », déplore-t-il.

 

Dans la foulée, il dit ne pas espérer cela par rapport au régime de Macky Sall qui selon lui, a été «élu pendant des moments extrêmement durs, ou la démocratie avait suffoqué du temps d'Abdoulaye Wade, celui qui a été élu par 65%  des Sénégalais, qui l'on soutenu qui l'on accompagné. Mais aujourd'hui, cette régression démocratique. Tous ces gens-là là qu'on affirme, on ne sait même pas aujourd'hui, sur quel fichier les gens ont travaillé. Personne aujourd'hui parmi les candidats ne peut te dire que l'algorithme de ce logiciel, on ne sait quels sont le résultat  qui peuvent être sortis de l'algorithme de ce logiciel ».

 

Je pense que c'est énormément d'éléments qui compromettent aujourd'hui le processus électoral »

 

«Devant la presse nationale et internationale et devant la communauté internationale, nous en appelons à la raison pour que raison revienne à ceux qui ont en charge ce processus électoral», a dit Mansour Ndiaye.

 

Membre signataire également de l’ACFI dit : «Nous sommes effectivement dans le cadre d'une trentaine de candidats avec un nombre assez significatif de personnes de sénégalais dont nous détenons les données personnels, et qui nous ont parrainés, et qui sont aujourd'hui, considérées comme exclus du fichier électoral. C'est un fait grave et sans précédent que nous dénonçons et que nous allons effectivement à nous battre pour que ces gens-là soient restitués dans le fichier, pour que ces élections se passent de la façon la plus apaisée possible pour que ces élections également soient le plus inclusives possible », peste-t-il.

 

 

Le Dr Boubacar Sy, Président du mouvement le MONDE, soutien indéfectible du Premier ministre Amadou Bâ dans la commune de Latmingué( dép. Kaolack), explique que sa structure a toujours été motivée par la volonté de promouvoir le développement, l'innovation et l'égalité d'opportunités pour tous:"Nous cherchons à mettre en avant des leaders qui incarnent ces valeurs, des leaders prêts à donner le meilleur d'eux-mêmes pour notre beau pays. C'est pourquoi nous exprimons notre soutien officiel et inébranlable à un tel leader, le Directeur Général de la Senelec, M. Papa Mademba Biteye, responsable politique. Il est non seulement un leader avéré dans le secteur de l'énergie, mais aussi, le Président du mouvement "Krem", et soutien de taille du Premier Ministre Amadou Ba", s'est-il expliqué. Et il ajoute :"M.Papa Mademba Bitèye a démontré et ce, à maintes reprises, son intégrité, son professionnalisme et sa détermination à servir le peuple. Ses efforts pour stimuler l'efficacité et l'innovation à la Senelec symbolisent sa vision d'un Sénégal plus moderne et plus prospère."

 

Pour le Dr Sy, l'engagement du DG Bitèye ne se limite pas à l'énergie. En soutenant le Premier Ministre Amadou Ba, il montre son engagement à participer à la construction d'un Sénégal meilleur, plus démocratique et plus équitable. Nous invitons les différents responsables de Kaolack à nous rejoindre dans cette démarche. Soutenons ensemble ces leaders. Car, lorsque nous soutenons des leaders comme le DG Papa Mademba Bitèye et le Premier ministre Amadou Ba, nous soutenons non seulement l'électrification de notre pays, mais aussi, l'éducation de nos enfants, la santé de nos familles, et la prospérité de notre économie.

A l’occasion de la cérémonie de remise de distinctions de la douzième édition du prix Ragnée, tenue le vendredi 5 janvier au Grand théâtre de Dakar, Le PDG du groupe VCOM Média et du journal GRAND PANEL, Papa Alioune Sakho, s’est vu décerné le prix du meilleur jeune patron de presse.

S’exprimant en marge de cette importante activité qui honore les plus méritants dans la corporation, M. Sakho a laissé entendre toute sa reconnaissance. «Je tiens tout d’abord à remercier tous les membres du jury du prix Ragnée sur le choix porté sur ma modeste personne pour recevoir le prix du meilleur jeune patron de presse. Cette distinction me touche profondément et je tiens à exprimer ma sincère reconnaissance à l’ensemble des équipes qui ont contribué à cette appréciation honorifique», a affirmé le plus jeune patron de presse du Sénégal.

Pour lui, «il y a exactement 18 mois que j’ai mis sur pied une agence de communication VCOM MEDIA puis un organe de presse, le GPSN groupe, éditeur de votre nouveau quotidien en vogue ‘’le Grand Panel’’. Je pense que la vidéo a été explicite. Recevoir un tel prix est une source de fierté non seulement pour moi en tant qu’individu, mais surtout pour l’équipe exceptionnelle de VCOM et du Grand Panel. J’ajoute que le rôle de la presse, au-delà de la diffusion de l’information, est une responsabilité sacrée de rapporter la vérité, d’interpeller les consciences et de servir l’intérêt public». Poursuivant, le plus jeune patron de presse soutient «qu’étant acteur de ce quatrième pouvoir, nous portons la lourde responsabilité de contribuer à une société éclairée, informée et engagée. Je tiens donc à exprimer ma reconnaissance, à nos lecteurs, à nos internautes et à nos abonnés  pour leur soutien indéfectible  qui est le moteur  qui alimente  notre passion pour la presse».

Pour terminer, «disons que nous nous engageons à rester une source fiable d’information, crédible et attentive aux besoins des sénégalais, en conclusion, je réitère ma reconnaissance pour cette nomination prestigieuse que je porte avec toute humilité et je dédie ce prix à toute l’équipe du Grand Panel et de VCOM médias», rend-il hommage à ses mentors, notamment ces personnes, autorités politiques et personnes de la vie socio active qui ont marqué ma carrière, comme l’honorable président Dr Malick Diop, M. Abdou Salam Fall, PDG de Seneweb, M. Boubacar Diallo, Directeur de ITV. «Je dédie ce prix à ma charmante épouse, ici présente, ma source d’inspiration Mme Sakho, la grande dame à mes côtés, à toute ma famille de Dakar en passant par Mbour, à tous les résidents de la commune de Fann point E, amitié plus particulièrement l’ensemble des Fannois, mon quartier natif Fann Hock, ma fierté. J’exprime aussi ma gratitude à Moustapha Ba, Ibrahima Ndiaye, Abdou Karim Sall et Pape Mademba Bitèye, ces personnalités étatiques qui ont également m’ont apporté leur soutien à tous les niveaux, en tant jeune entrepreneur qui participe activement au développement de son pays.

 

 

 

En prélude à la 23ème édition du forum du premier emploi organisé par le Mouvement Des Entreprises du Sénégal (MDES), le Ministre du Commerce, de la Consommation et des Petites et Moyennes Entreprises du Sénégal, Abdou Karim Fofana, a présidé un atelier training des demandeurs d’emploi, ce jeudi 04 janvier 2024 à Dakar.

 

Revenant sur l’importance du forum, le Ministre a salué un cadre privilégié d’échanges et de réflexions autour des enjeux économiques, et plus particulièrement, ceux liés à l’emploi des jeunes, auquel fait face notre pays. A cet effet, le Ministre Porte-parole du gouvernement a invité les jeunes à s’impliquer, de façon dynamique, dans la course entrepreneuriale pour nourrir, habiller, loger les Sénégalais, au moment où toutes les opportunités sont réelles désormais au Sénégal. Mieux, le ministre a demandé aux jeunes sénégalais de s’inspirer de nos richesses locales pour se faire une place devant ce monde concurrentiel. 

 

  1. Fofana a également saisi l'occasion pour réitérer l’engagement, le soutien et l’ambition de l’Etat à travers des politiques claires visant la promotion de l’entreprenariat, le consommer local, le financement des projets, la formation professionnelle.

 

Le Ministre du Commerce, de la Consommation et des Petites et Moyennes Entreprises, a tenu, ce jeudi 04 janvier 2024, à Diamniadio, une réunion d'échanges avec les distributeurs de Gaz butane pour discuter des perturbations constatées à Dakar dans l'approvisionnement. 

 

Cette rencontre a permis aux différents acteurs d'apporter des éclairages au Ministre sur la supposée "pénurie" qui en réalité reste liée à l'applicabilité de l'arrêté ministériel consacrant l'interchangeabilité des bonbonnes de Gaz. 

À l'issue de cette rencontre, présidée par le Ministre entouré de ses proches collaborateurs, Directeurs et Chefs de Services, il a été retenu d'élaborer un nouvel arrêté pour corriger les impairs notés dans l'actuel arrêté ministériel mais aussi de garantir à chaque distributeur le retour des bouteilles vides avec un taux de consignation acceptable pour éviter la fuite dans les pays limitrophes.

 

Cent millions soixante mille francs CFA (100.060000 FCFA) plus exactement, c'est le montant décroché par la parieuse Fama Diagne au Sen Loto Jackpot. La cérémonie de remise de chèque s’est déroulée dans les locaux de la direction générale de Lonase, sous la présidence du Directeur Abdourakhmane Baldé Doura qui a profité de l’occasion pour encourager le jeu responsable afin, dit-il, «de lutter contre les addictions chez les jeunes».

Avec une mise minimale de 300 FCFA, Fama Diagne, commerçante de son état, ne savait pas qu’elle allait décrocher la timbale. Grande a été sa surprise d’apprendre qu’elle est devenue millionnaire, et que ses projets vont prendre une nouvelle dimension. « Je remercie vivement la Lonase qui m’a permis de gagner cette somme conséquente. J’appelle ainsi les autres joueurs de lotos à ne pas se décourager. Le gain est réel et j’en suis la preuve. Alors je recommande de parier plus et gagner encore plus», a lancé Fama Diagne.

 

Présidant la cérémonie de remise de chèque, Abdourakhmane Doura Baldé, Directeur général de la Lonase, a félicité l'heureuse gagnante.  Il a par ailleurs encouragé l'ensemble des parieurs, la famille Lonasienne, les partenaires mais surtout tous les Sénégalais.  Profitant ainsi du nouvel an, Doura Baldé a souhaité une année de paix, de stabilité, de prospérité et de beaucoup de gains pour les parieurs. En cette période de préparation pour la Coupe d’Afrique des Nations, le DG de la Lonase entend accompagner les parieurs jusqu’en Côte d’Ivoire.

 

« A l'instar des années précédentes, la Lonase s’est souvent organisée pour accompagner l'ensemble des parieurs. Nous nous engageons à prendre en charge nos joueurs du départ au retour. D’ailleurs, tout récemment, lors de la Foire internationale de Dakar, nous avons procédé au lancement officiel du jeu concours «Lonase Bet CAN  2023 ». Il est prévu que des gagnants puissent être pris en charge totalement pour aller suivre, encourager et accompagner l'équipe nationale du Sénégal lors de cette édition qui se tiendra en Côte d’Ivoire», a dit Doura Baldé. 

 

D’ailleurs, poursuit le DG de la Lonase, «les heureux élus à l’issue du tirage sont en train d'être accompagnés pour les formalités pour aller encourager nos lions jusqu'à la fin de la CAN. Cependant, j’en appelle les parieurs à un jeu plus responsable afin de lutter contre l’addiction. Il convient de promouvoir donc le jeu responsable»

 

Youssouf  NDIONGUE

 

Avec ses mensonges, fanfaronnades, manipulations, Me Ciré Clédor LY est devenu une monstruosité de la profession d'avocat au Sénégal. 

Depuis Maîtres Lamine Coura Guèye, Waldiodio Ndiaye en passant par Doudou Thiam, la profession d'avocat jouit d'un grand prestige au Sénégal et d’un rayonnement incontestable hors de nos frontieres. Malheureusement l’avocat Me Ciré Clédor LY est entrain de ternir dangereusement l’image de ce beau et respectable métier.  

Spécialiste de la justice spectacle, des plaidoiries médiatiques, des maladies imaginaires, ses défaites retentissantes n’ont, aucune vertu pédagogique pour lui encore moins pour ses clients.

Me Ciré Clédor LY, la nouvelle dame de compagnie d’Ousmane Sonko dont il hypothèque dangereusement la carrière politique en étalant toute son incompétence par des procédures prématurées, confuses et mal pensées, des stratégies suicidaires et irresponsables, cherchant à tous prix la lumière pour lui au point d'oublier les intérêts de son client, dans un communiqué rendu public ce 29 décembre 2023 dit signé par lui-même, a de nouveau menti à l’opinion nationale et internationale lorsqu’il affirme, toute honte bue, « que l’Etat du Sénégal a introduit son recours à l’ultime heure, le dernier jour du délai prévu par le code électoral. »

Pour rappel, contrairement aux affabulations de Me Ciré Clédor LY, l’Agent judiciaire de l’Etat et ses avocats n’ont même pas épuisé le délai de 10 jours qui leur était imparti à compter de la notification de l’ordonnance du Président du Tribunal d’instance de Dakar pour former un recours devant la Cour suprême. Le pourvoi de l’Etat a été déposé le mardi 26 décembre alors que le délai courait encore jusqu’au 29 du même mois puisque l’ordonnance lui a été notifié le 18 décembre.  

Ainsi l’Etat a introduit son pourvoi quatre jours avant l’expiration de la durée légale de dépôt du pourvoi prévu par le Code électoral.

Au contraire, Me Ciré Clédor LY et son camp ont reçu la notification du pourvoi de l’Etat conformément à la loi c’est-à-dire par le Greffe du tribunal d’instance de Dakar et dans les deux jours qui ont suivi le dépôt, soit plus tôt qu'ils ne pouvaient espérer.

Me Ciré Clédor LY, ne pouvant pas ignorer les dispositions prévues pour introduire un pourvoi en matière électorale, a donc délibérément menti en énonçant ce qu’il sait être faux. Le pire est qu’il sait que le mensonge est contraire à la dignité qui figure dans le serment prêté par l’avocat pour exercer son métier.

La dignité devrait obliger Me Ciré Clédor LY à éviter tout ce qui pourrait affaiblir le respect que l’Avocat doit inspirer : acteur essentiel de justice et, participant à ce titre à l’œuvre de justice, l’avocat ne peut pas user de moyens vils et ignobles comme le mensonge, même pour une fin estimée bonne, à savoir la défense. 

Le mensonge est contraire à un autre grand principe qui guide l’avocat dans l’exercice de sa profession : la loyauté. 

La loyauté qui concerne l’attitude des avocats entre eux et vis-à-vis de leurs clients oblige Me Ciré Clédor LY à se comporter honnêtement vis-à-vis de ses confrères, de son client et de ses interlocuteurs. M

Un avocat loyal ne peut, ne doit pas mentir, même lorsqu’il n’a plus d’arguments, même lorsqu’il a vendangé les chances de son client en saisissant la Cedeao, sans y associer les brillants avocats sénégalais qui sont dans son collectif, pour mener une équipée solidaire avec des avocats qui n’ont pas la chance de fréquenter le prétoire, ni l'expérience de défendre des causes complexes.

 

On peut comprendre qu'il soit perturbé par le sort réservé à ses clients qu'il défend si bien à la radio et la télé et si mal devant les vraies juridictions au Sénégal, à la Cedeao, en Mauritanie et qui de Khalifa Sall à Barthélémy Diaz en passant par Ousmane Sonko et le Président Aziz ont eu l'infortune de croire en ses déclarations sentencieuses, tendancieuses et si souvent trompeuses.

 

La fin ne justifiant pas les moyens, l’avocat ne peut donc pas mentir sciemment ni au juge ni à l’opinion nationale et internationale, ni au prétoire ni dans la rue, ni en fonction ni en vacances, sans manquer gravement à son serment et nuire à son Ordre et à ses pairs.

 

Malheureusement Me Ciré Clédor LY est un habitué du mensonge et ce n’est pas la première fois qu'il divulgue des mensonges largement diffusés. 

M

Tout récemment, il s’est fait photographié à l’aéroport international Blaise Diagne, assis sur une chaise roulante, usant de son physique typique du sahel et donnant l’impression d’être très affaibli pour une fausse évacuation sanitaire dans un hôpital à l’étranger. Une image mensongère. Une mise en scène honteuse de notre "martyr" rattrapé par la patrouille en train de siroter un café, aux antipodes de la destination d'hospitalisation, puis en train de plaider dans un pays limitrophe du Sénégal, loin de tout médecin. 

 

Il ne souffrait en vérité que d’une maladie imaginaire comme le faux empoisonnement, le faux coma, le faux malaise, la fausse douleur lombaire et la fausse grève de la faim de son client Ousmane Sonko, dont il est le lanceur d'alerte dédié aux faux bulletins ou états de santé.

 

Peut-être bien qu'il cherche par tous moyens à se faire brutaliser par les forces de sécurité, ou se faire interpeller par le Parquet général ou se faire sanctionner par son Ordre, pour atteindre des objectifs personnels de victimisation ou pour se décharger de cette lourde charge qu'il a sur ses épaules d'avoir mal organisé la defense de ses clients, ici et ailleurs.

 

Sinon c'est un mystère de comprendre cet homme que ni ses cheveux blancs, ni sa robe, ni son ancienneté dans le metier n’empêchent d'affabuler sous le couvert d’une immunité dont le Barreau devrait nous expliquer les contours et le contenu, afin que l’on sache si les avocats ont tous les droits ou quelles en seraient les limites, dans le cas contraire.

 

 

 

Vive la République !

 

 

 

Vive le Sénégal !

 

 

 

Moustapha Diakhatéé 

CMU
cmu