mardi 26 novembre 2024 | Login
Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Dans son œuvre intitulée « Ifham almunkir al-jânî » ou « Réduction au silence du dénégateur », notre vénéré Guide et Maitre, le Savant Seydi El hadji Malick dit : « Lorsqu’il est établi que des croyants sont attaqués, surtout lorsqu’il s’agit de saints, de purs et de dévots, il devient un devoir pour tous ceux qui se réclament de l’islam, de les défendre. Car Dieu (Qu’IL soit exalté et glorifié) a déjà pris leur défense en disant : « Certes Dieu défend les croyants ».

 Il est établi que le Sieur Oumar SALL s’est tristement distingué ces dernières années par une insolence entretenue et des propos diffamatoires à l’endroit de Seydina Cheikh Ahmad Tidjane Cherif le Pôle des Pôles, le Sceau du cycle des Amis de Dieu (wali) les bien aimés, l’Intermonde scellé, l’océan des Vérités et des Connaissances essentielles, notre Maître et Refuge. Pour moins que ça, des citoyens sénégalais ont traduit en justice des compatriotes pour laver leur honneur. Il est établi que sans retenue, le Sieur SALL s’est distingué dans la production de mensonges et de propos diffamatoires et arrogants à l’endroit de Seydina Cheikh (RTA) et des adeptes de sa tarikha, principaux auteurs reconnus des Zikr en groupe, dans les mosquées tous les vendredis.

Conscients que dans une république comme la nôtre, aucune expédition punitive n’est tolérable, quoi de plus naturel et normal qu’individuellement et collectivement, des adeptes de la tarikha tidjane saisissent la justice sénégalaise pour laver l’honneur de toute une communauté d’honnêtes et paisibles citoyens attaqués dans leurs croyances. Plus qu’un problème religieux, il s’agit d’un problème de droits communs. Les auteurs des plaintes contre Oumar SALL ont fait avec sagesse et lucidité ce que tous les talibés ou sympathisants de Mawlana Seydi Ahmad Tidjani Cherif auraient dû faire par devoir. Ne pas comprendre cet impératif véhiculé à travers cette saisine du juge, au regard de la géopolitique sous régionale et l’avancée des extrémistes « anti- tarikha » dans le Sahel relève d’une naïveté déconcertante. Comme l’a fait et conseillé Seydi El hadji Malick avec sa plume bénie dans « Ifham almunkir al-jânî », il devient un impérieux devoir pour nous, adeptes de la Tijaniyya, voire pour tout croyant, et chacun sans excès, ni faiblesse, et dans la mesure des possibilités offertes par le droit commun, de prendre la défense de Seydina Cheikh et des autorités religieuses contre leurs détracteurs parmi nos contemporains dont des wahhabites extrémistes qui s’arrogent à tort le pouvoir d’inclure ou d’exclure leurs frères musulmans du cercle des sunnites. Ces nouvelles pratiques portées par des jeunes endoctrinés sont importées et ne sont pas anodines.

Le Sénégal est un pays exceptionnel qui a le mérite d’avoir réussi à fédérer ses fils autour d’un vivre ensemble dans le respect des différences et des croyances. Nos valeureux ancêtres qui ont réussi à implanter l’islam au Sénégal sont pour l’essentiel des adeptes du soufisme. Qui peut retracer l’histoire de la résistance des musulmans en ignorant El hadji Oumar Foutiyou TALL, Tafsir Maba Diakhou BA, Seydi El hadji Malick SY, Cheikh Ahmadou Bamba khadimou Rassoul, Cheikh Abdoulaye NIASS pour ne citer que ceux là parmi les plus anciens. Certains adeptes du wahhabisme ont leurs méthodes et leurs convictions qui leur sont propres, mais qui ne dérangeraient personne sans les injures, les fakes news, les calomnies insoutenables, les caricatures ; toutes choses aux antipodes de l’enseignement du Prophète (PSL). Le Coran n’encadre-t-il pas le prêche quoique recommandé à travers le verset 125 de la sourate 16 « Les abeilles », en ces termes : « Par la sagesse et la bonne exhortation, appelle (les gens) au sentier de ton Seigneur. Et discute avec eux de la meilleure façon. Car c’est ton Seigneur qui connait le mieux celui qui s’égare de Son sentier et c’est Lui qui connait le mieux ceux qui sont bien guidés ».

 Voudrions-nous alors inviter le Sieur Oumar SALL et ses semblables à méditer bien cette parole d’ALLAH avant de s’arroger fallacieusement le droit d’apostropher d’autres musulmans dans leurs pratiques quotidiennes solidement adossées au coran et à la sunna du Prophète (PSL). Par ailleurs, si les propos et les critiques des provocateurs de la trempe de Oumar SALL ne cessent d’émettre sur les fondamentaux de la tarikha tidjane sont fondés sur des arguments solides, pourquoi n’acceptent-t-ils pas le débat contradictoire ? Ils sont régulièrement invités à des débats civilisés dans tous les aspects de nos pratiques religieuses qui suscitent en eux une haine incontrôlable, source de maladresse et d’arrogance. Pourquoi fuient-ils le débat pour privilégier le monologue dans leur zone de conforts entourés d’adeptes pour insulter, calomnier et affecter en enfer des frères musulmans ? Je répète que nous rêvons d’un plateau où leur Principal maitre Docteur Ahmad LO accepte de débattre enfin sur son livre devenu tristement célèbre par les attaques contre le soufisme et particulièrement Seydi Cheikh Ahmad Tidjani Cherif. Pourtant l’offre est toujours renouvelée avec des disciples tidjane pressés de saisir cette occasion pour démolir les arguments développés dans ce livre diffamatoire à la face du monde. Nous nous réservons le droit légitime de ne pas respecter quiconque manque du respect à Seydina Cheikh Ahmad Tidjani Cherif (RTA) sans le regretter. Nous invitons à la retenue et à la prudence certains « moukhadams » de la tarikha tidjane qui ne réagissent jamais lorsque des ennemis qui ne sont plus encagoulés racontent des balivernes sur Seydina Cheikh et insultent nos Guides religieux et qui, malheureusement, s’arrogent de manière inopportune le droit de « raisonner » des talibés qui n’ont fait que réagir légitiment par une plainte afin que cela cesse.

 Un adepte averti de la tarikha tidjane ne peut ni aimer, ni tolérer un ennemi déclaré de Seydina Cheikh. Quiconque prône le contraire est dans l’erreur manifeste. Comme l’a si bien dit Docteur Mamadou Mansour DIOUF dans une contribution partagée dans les réseaux sociaux, le problème entre Oustaz Oumar SALL et la communauté tidjane est un problème de droit commun. En effet, nous sommes d’accord avec lui que « les juges ont été saisis pour juger un délit d’offense à autrui, d’atteinte à l’honneur, à la foi et à la dignité d’autrui comme ils le font au quotidien pour le délit de diffamation. ». Sans provocation, avec retenue, responsabilité et sagesse, nous estimons que tous les talibés cheikh non retenus par des contraintes professionnelles doivent appuyer cette démarche par une mobilisation au tribunal, le jour de l’audience. Chaque génération doit résoudre les équations de son époque et prendre en charge les impératifs de sa survie. Les tarikhas sont naturellement les cibles de l’extrémisme totalitaire musulman. Les injures proférées régulièrement à l’endroit de nos guides, les attaques verbales violentes sans retenue, la qualification de bida de nos pratiques les plus connues, Gamou, Magal, ziarras et autres sont les manifestations du moment.

Nous devons mieux nous organiser dans les dahiras et associations qui nous sont propres pour prendre en charge correctement les défis de chaque instant. A la violence verbale dictée par la méchanceté propre aux jaloux et l’ignorance coupable de l’esprit de l’islam, développons des réflexes qui nous permettent de répondre dans le calme et avec la volonté inébranlable de respecter dans la pratique toutes les exigences de notre tarikha. Notre éducation ou notre tarbiya ne doit laisser aucune place à la haine. Remplissons davantage les mosquées, soyons assidus aux séances de wazyfa et aux « Hadaratoul djouma » pour clamer en groupe, en haute et intelligible voix « LA ILAHA ILA LAH » et cela n’en déplaise à Oumar SALL et ses semblables. Notre constante fidélité à la pratique régulière des fondamentaux de la tarikha tidjane doit être notre réponse quotidienne à ces provocations sans raison. Adeptes du soufisme adossé sur le coran et la sunna du prophète (PSL) ! Nous avons intérêt à rester très vigilants et solidaires !

Babacar DRAME Citoyen sénégalais, Talibé Cheikh

Ces dernières années, le paysage des paris sportifs au Sénégal a connu une transformation dynamique, et en tête de cette évolution se trouve Premier Bet. Cette plateforme internationale de paris est non seulement devenue un nom familier dans le pays, mais elle s'est également révélée être un contributeur significatif au bien-être global de la population.

 

L'entrée de Premier Bet sur le marché sénégalais en 2013 a marqué un changement de paradigme dans l'industrie des paris sportifs. Avec un engagement à fournir une plateforme sécurisée et divertissante, Premier Bet a rapidement gagné du terrain parmi les adeptes de pari en tout genre. L'interface conviviale et les options de paris diversifiées ont fait de Premier Bet le choix privilégié des passionnés de sport à travers le pays.

 

L'intégration de la plateforme en ligne de Premier Bet a élargi la portée des loteries et des opportunités de paris, attirant un public plus large.

L'utilisation de mesures de sécurité de pointe a renforcé la confiance du public dans l'intégrité de l'industrie du jeu, consolidant la position de la Lonase en tant qu'autorité de jeu fiable et responsable.

La présence de Premier Bet au Sénégal a non seulement bénéficié à ses partenaires, mais a également eu un impact positif sur la population. Grâce à des partenariats stratégiques, Premier Bet s'est activement engagé avec les communautés locales, soutenant diverses initiatives socialessous forme de dons à plusieurs associations caricatives et en mettant en place par exemple des zones de jeux pour tous, des tournois de foot tout en promouvant des pratiques de jeu responsables. De plus, la plateforme a généré des opportunités d'emploi grâce à la création de bureaux locaux, de centres de service clientèle et plus de 130 demagasins sur l’étendue du territoire. Cela a contribué à la réduction du taux de chômage, fournissant une source de subsistance pour de nombreux citoyens sénégalais. L'incursion de Premier Bet sur le marché sénégalais s'est avérée être un véritable catalyseur, créant une synergie bénéfique pour la population. Le focus de la plateforme envers le jeu responsable et l'engagement communautaire, illustrent un modèle de succès dans l'évolution du paysage des paris sportifs au Sénégal. Alors que Premier Bet continue de progresser, il est évident que la plateforme n'est pas simplement un fournisseur de paris, mais un outil de changement positif et de développement au Sénégal.

 

Depuis fort longtemps, cet Expert en architecture parmi les plus éminents au plan continental et international, s'est particulièrement distingué dans son domaine professionnel. Son expertise et son ingéniosité ont été mises au service de son pays et de l’Afrique de l'ouest et au Centre, il a, avec des sacrifices personnels consentis, participé à leur construction. 

 

Dans un contexte social économique politique aux fortes convulsions, Goudiaby le cadre émérite qui a toujours gagné sa vie dans le privé, à la sueur de son front, ne pouvait pas ne pas répondre aux interpellations de ses compatriotes pour le mieux-être du Sénégal. Cela a rendu compte de son immixtion dans le champ politique à la présidentielle de 2019. Les explications sont de Magatte Wade de Atlantic Group.  Il a en outre expliqué que Pierre Goudiaby Atepa a continué à faire prévaloir les exigences de rigueur, de probité de sa carrière professionnelle, mais aussi sa dimension sociale et humaine.

 

De manière discrète, sans tambours ni trompette,  Atepa a continué d'être au chevet de ses proches, de ses parents, de ses compatriotes pour la satisfaction de leurs besoins et préoccupations sans distinction aucune. M. Wade a fait remarquer qu’au niveau de toutes les sphères, Pierre Goudiaby Atepa a révélé le comportement et les attitudes d'un personnage de premier plan, à la probité intellectuelle reconnue. Fortement imbu des valeurs de son terroir, mais aussi mu par des valeurs et vertus qui se dégagent toujours dans ses gestes et actions au quotidien.

 

Il s'est distingué au milieu des siens par l'amour profond envers sa région natale qu'est la Casamance pour la paix retrouvée  et le développement de cette partie du pays un et indivisible. Pour aussi, selon M.  Wade, que Pierre Goudiaby Atepa, qui est avant tout un panafricaniste confirmé, reste un grand patriote amoureux de son pays, et il reste préoccupé par la préservation de la paix sociale, des libertés démocratiques, de l'État de droit. C'est aussi le sens, selon M. Wade, des faits et gestes de ce digne fils du Sénégal et d'une Afrique mère où tous ses enfants doivent se donner la main pour relever les défis.

 

Mohamed Al Amine Thioune

 

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Il y a eu certes mobilisation à la permanence ce mardi pour les besoins de la remise de parrainages récoltés par les responsables de Matam. En effet, avec 46814 signatures remises à Abdoulaye Diagne, le coordonateur du pôle Parrainage de Bby, Me Malick Sall, M. Kalidou Wagué, des maires de Ogo et de Thilogne, entre autres, confirment l’important travail de terrain effectué en compagnie des responsables, hommes et femmes, jeunes et vieux, dans le Kanel, Matam et Ranérou-Ferlo. La cérémonie de remise des parrainages fait suite à une importante réunion de remobilisation entre cadres, responsables et militants de la coalition de Matam.

 

 En effet, il en est ressorti de ce conclave des recommandations fortes pour peaufiner des stratégies dont la finalité reste l’élection de leur candidat Amadou Ba. Ensuite, il s’agira de travailler de sorte à demeurer la 1ère force politique de la 11ème région du Sénégal. Pour rappel, Me Malick Sall avait remis un premier lot de 1500 parrainages à titre personnel comme le président de la République avait demandé à chaque Ministre. Déjà au sortir de la réunion convoquée dans le but de voir comment atteindre les objectifs, deux volets étaient cités,  notamment la sécurité et la communication, ces importants leviers de toute organisation de masse, qui vont être réorganisées et redynamisées, en vue de faire des initiatives et/ou actions futures, une réussite totale.

 

Cette rencontre a, outre la présence des responsables, cités plus haut, enregistré la présence de grands et nombreux responsables politiques, des trois (3) départements de la région (Matam, Kanel et Ranérou Ferlo). Les questions des jeunesses et des femmes figuraient en bonne partie pour une redynamisation en tant que forces vives de la coalition.

 

 

Dans la vie des nations et des peuples, il arrive un moment où la sagesse doit habiter les vrais patriotes.  Il y  a peu, certaines voix se sont levées pour  suggérer le report  des élections Présidentielles.  A  y réfléchir, ils ont raison. 

 En effet,  depuis 2020, le Sénégal est en crise. D’abord  la crise sanitaire  dont les effets n’ont pas  encore fini  de secouer le pays,  crise politico judiciaire qui se prolonge dans le temps et crise externes qui impactent directement sur la balance commerciale et la compétitivité du pays.  

 

Une question se pose à nous tous. Faut-il sacrifier cette belle trajectoire du Sénégal sur l’autel d’une prétendue démocratie électorale.  Il  faut savoir raison garder.  A mon sens,  l’enjeu  n’est pas de changer de Président. 

 

 La finalité de l’action politique est de maintenir les acquis tout en corrigeant les erreurs. Le pays est fragile, pour ne pas dire en convalescence. Il ne faut pas imposer à un malade, fraîchement sorti de l’hôpital d’aller à une compétition olympique. 

Il faut  reporter les élections et mettre en place un gouvernement d’union national  dont la principale mission est d’assurer à notre pays une transition digne. Je propose que dans le cadre d’un  3ème Dialogue, au courant du mois de décembre que les acteurs politiques par une modification de la constitution prolongent le mandat du Président de deux ans. D’ailleurs,  cet alinéa manquait dans la mouture de la constitution de 2016. Dans la foulée, que  le Président nomme un premier ministre issu de la société civile, dont le rôle sera de proposer un  gouvernement d’union national de transition. 

Cette idée n’est pas une vue de l’esprit, mais le fruit d’une mure réflexion. Comme le disait le  sage de Bandiagara «  si les conflits vous menacent souvenez-vous des vertus de  l’arbre à palabre ». Il  nous faut inventer sur les obstacles et arrêter de nous faire peur inutilement.  Le Sénégal est au-dessus de tous et la nation vaut tous les sacrifices.

 

Dr Bassirou NIANG  Président RASSEMBLEMENT NATIONAL SENEGALAIS

Dans le but de promouvoir des emplois et de s’imprégner des enjeux économiques de la région de Thiès, la jeunesse dynamique du mouvement Renaissance Sociale pour l'Émergence (RSE) sillonne la capitale du rail. Mais cela démarre par un panel intitulé "Emplois et Enjeux Économiques à Thiès’’, une thématique qui a mobilisé un grand public dont, entre autres, des personnalités influentes, des jeunes engagés et des représentants des médias, tous réunis pour discuter des développements économiques majeurs qui transforment la région.

 

La construction du futur Port, dans la région de Thiès n’a pas échappé à la vigilance des organisateurs. Avec des possibilités de futurs milliers d’emploi, cette nouvelle infrastructure économique a figuré au cœur des discussions qui avaient fini par être une véritable passion  chez les participants, car, le partenaire Dp World promet de redéfinir le paysage économique de Thiès. Ainsi, sous la présidence de Dr Papa Amadou Ndiaye, ministre délégué auprès du ministère des Infrastructures, des Transports Terrestres et du désenclavement chargé des Chemins de Fer, et en présence du coordonnateur du mouvement RSE, Ibrahima Salem Badara Cissé, le panel a fait ressortir des retombées de ce grand projet du futur, avec la création d'un hub aéroportuaire, d'une ligne de train express régional, et d'une nouvelle industrie pharmaceutique. Ce projet symbolise l'engagement profond de la RSE envers l'émergence économique de la région de Thiès.

 

Cet évènement a également fait ressortir la nécessité d’une plateforme essentielle à la RSE pour mettre en avant son dévouement envers l'essor économique local. De sorte que d’autres thématiques ont été abordé telles que les enjeux économiques par rapport aux perspectives liées à l'exploitation imminente des ressources gazières et pétrolières du pays. Pour Salem Cissé, le Coordinateur du mouvement, «je me réjouis de la tenue de ce dialogue constructif pour l'avenir économique de Thiès. Ce panel démontre la vitalité et l'implication de la jeunesse locale dans la construction d'un avenir prospère».

 

Après quoi, la tournée se poursuivra avec des étapes stratégiques dans différentes localités de Dakar ville et sa banlieue pour rencontrer d’autres mouvements de même vocation. Avant de rallier, durant ce mois de décembre, les villes comme Bambèye, Diourbel et Saint-Louis, un autre panel économique sur l'Entrepreneuriat  et un forum sur la formation et l'insertion professionnelle vont se tenir aux Parcelles Assainies le 9 décembre. Mais il faut signaler aussi que ces étapes marqueront des moments clés dans la mobilisation de la jeunesse en faveur du Premier Ministre du Sénégal, Amadou Bâ, et de son programme ambitieux. «La RSE continue de se positionner comme une force motrice dans la promotion du développement économique et de l'émergence du Sénégal, et cette tournée s'avère être une étape cruciale dans cette démarche», se veut Salem Cissé.

 

Youssouf NDIONGUE

 

Le leader du mouvement "Njerin Askan Wi" a organisé un grand rassemblement devant ses militants venus nombreux et des ténors politiques de la mouvance présidentielle. Une belle occasion saisie par Oumar Yaya Sow pour lancer un appel à l'unité de la famille de l'Apr et de ses alliés de la coalition Benno Bokk Yakaar.

 

Oumar Yaya Sow affiche comme priorité Unir la famille de la coalition de Bby et élire Amadou Ba à la tête du Sénégal pour les élections présidentielles à venir, telle est l’ambition du leader de Njerin Askan Wi, à travers un rassemblement organisé dans le département de Keur Massar, notamment à Yeumbeul Sud commune. Selon lui, «le candidat de la coalition de Bby et qui a été choisi par le président de la république a le meilleur profil pour piloter le Sénégal. L'état doit soutenir les jeunes qui ont besoin de la formation. J'ai resté longtemps à observer avant de murir le plan de soutien à Amadou Ba. Il faut être acquis de l'expérience pour comprendre les conséquences, les risques et les avantages de l'exploitation du pétrole. Et notre pays traverse un tournant très important. Raison pour laquelle nous devons choisir l'homme qu'il faut à la place qu'il faut. Et seul le premier ministre peut aujourd'hui succéder Macky Sall à la tête du Sénégal».

 

Omar Yaya Sow a aussi appelé tous les militants à l’unité et à la mobilisation afin de réussir cette noble ambition de la réélection du candidat Amadou Ba dès le premier tour au soir du 25 février prochain. En marge de l’activité, une projection de film qui retrace ses actes sur le volet social a l'endroit des populations a été faite. Avec son mouvement " Njerign Askan Wi", Omar Yaya Sow a aussi excellé dans le social en assistant des personnes en situation modestes. Il s'active dans la formation des jeunes qu'il aide à trouver de l'emploi. Les groupements féminins ne soucient de rien sans parler des efforts qui ont été faits dans les lieux de culte. C'est ce qui lui a valu une popularité.

 

Omar Yaya Sow a lancé cet appel depuis Yeumbeul sa base dans le cadre des festivités marquant l’anniversaire de son mouvement. «Je reste convaincu que notre vœu sera exaucé et si je dois me prononcer avec l’opinion nationale et internationale, je dois porter les ambitions de la banlieue qui a besoin de l'appui de l'état» dira t-il.  Pour cette grande activité, des artistes ont défilé pour apporter une originalité et de la gaieté dans l’animation politique. Avant de terminer son discours, Omar Sow a lancé un appel solennel à ses pairs de venir s’aligner derrière le Président et d’appuyer cette candidature logique et légitime. Pour cela, il a surtout convié les militants à rester debout et solidaires.

 

Youssouf NDIONGUE

 

Le président du mouvement « Nieup », Khadim DIA a procédé, ce lundi 27 novembre 2023, à la remise d’un lot de 28.353 parrains à Abdoulaye Diouf Sarr, délégué régional au parrainage. Ce, dans le cadre de soutenir la candidature de la mouvance présidentielle d’Amadou Ba.

Revenant sur l’incident qui a récemment eu lieu au siège de l’APR, le leader du mouvement « Nieup » a fait savoir devant le délégué national au parrainage que la «bataille doit se faire sur le terrain et non à la permanence». Sur cette même lancée, il invite ses collaborateurs à continuer le travail de terrain déjà entamé.

Poursuivant son allocution, le président du mouvement « NIeup » s’est réjoui de l’effort incontestable de ses militants et les exhorte à s’engager davantage pour offrir une victoire au candidat Amadou Bâ au soir du 25 février 2024.

Khadim Dia a, par ailleurs, remercié l’ensemble des membres de son mouvement ainsi que ceux venus des quatre coins du Senegal.

(Avec Moussa Diallo, ledakarois221.com)

Le ministre du commerce Abdou Karim Fofana et des responsables de Benno Bokk Yakaar de Dakar, ont  remis vendredi des fiches de parrainages collectées au profit du Candidat de la majorité présidentielle, Amadou Ba. Ainsi, se réjouit-il,  la région de Dakar, durant la journée du 24 novembre, a pu collecter plus de 122 mille fiches de parrainages. Le parrainage, avance le ministre du commerce, c’est la préparation physique voire l’échauffement,  et durant le mois de décembre, il y aura une descente à la base, vers les forces vives pour leur proposer le programme de notre candidat, Amadou Ba.

Le responsable départemental de l’APR Dakar a regretté quelques bousculades, entre responsables, dues à des questions de places assises. «Mais, il n’y a aucun différend entre des responsables de Bby», s’est-il empressé de préciser. M. Fofana a remercié tous les responsables de la région de Dakar pour le travail accompli. Et de donner rendez-vous pour le mois de décembre prochain pour l’occupation sans partage du terrain

 

Ils auraient pu être exemptés du fastidieux travail de collecte de parrainages citoyens en perspective à la prochaine élection présidentielle, mais les handicapés républicains refusent d’opter pour la facilité. Ils ont en effet récolté 1270 signatures malgré leur mobilité fortement réduite pour certains parmi eux, et une déficience visuelle pour d’autres. Le président de leur mouvement, Toumany Camara a procédé, ce samedi, à la remise des fiches de parrainage à Abdoulaye Diagne, le coordonnateur du Pôle Parrainage de la coalition Benno Bokk Yakaar.

Cela aurait pu constituer une belle leçon d’engagement et de détermination pour ceux et celles qui seraient tentés de faire le fainéant pour les initiatives communes. Le mouvement des handicapés républicains, comme à  chaque évènement politique, se mobilise et répond aux attentes des responsables de leur parti/coalition. Cela leur a valu de la part du coordonnateur du Pôle Parrainage de Bby des félicitations et des encouragements, c’était en marge de la remise des 1270 signatures qu’ils ont récoltées pour le compte de leur candidat Amadou Ba.

Pour Abdoulaye Diagne : «Nous sommes bien au courant des importants et fructueux efforts que les protégés de Toumany Camara mènent à chaque grand évènement. Ils ne se lassent jamais et répondent toujours présents, malgré la rigueur que cela peur exiger parfois. Pour cela, nous en sommes reconnaissants et fiers. Surtout qu’ils ont vite adhéré au choix de Amadou Ba comme candidat de la coalition présidentielle».

En réponse à ces mots prononcés à leur endroit, Toumany Camara déclare : «les 1270 signatures ne constituent qu’un premier jet en notre disposition. Nos membres sont encore et toujours sur le terrain pour terminer le second jet qui sera aussitôt remis à M. Diagne. Mieux, ils en profitent pour sensibiliser davantage sur les  performances du Président Macky Sall, tout en ayant pour objectif de mobiliser au maximum les adeptes de la continuité et de la stabilité afin de voter le candidat Amadou Ba. Notre objectif, comme tous les autres sympathisants et militants, c’est une victoire nette et sans bavure de la coalition BBy», dixit Toumany Camara.

 

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