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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Un danger imminent guette les populations de Hann Bel Air. Selon le journaliste Doudou Coulibaly, Président du mouvement ‘’Membre du peuple’’, « il convient de sensibiliser les acteurs de la pêche sur la présence d’un bateau turc qui use et déverse du fuel lourd au détriment du gaz qui serait moins polluant et moins toxique. Les écologistes nous informent, d’ailleurs, que pendant les cinq bonnes années que ce bateau sera dans nos eaux, des conséquences négatives seront notées dans les périmètres et un lourd tribut sera constaté dans la production de nos ressources halieutiques ».

Ce qui s’est passé, c’est que le 2 octobre 2019, le gouvernement du Sénégal, à travers la Senelec, avait contracté avec un bateau turc pour qu’il lui vende de l’électricité. Le but de cette transaction, c’est de combler le gap de 15 mégawatts enregistré, suite à la panne de la centrale de Sendou Bargny. « Nos autorités ont donc loué les services du bateau pour une durée de 5 ans et jusqu’à présent, ni le dg de la Senelec, ni personne ne peut te dire combien le Sénégal devra débourser en échange. Mais ça, on y reviendra », promet le président du mouvement ‘’Membre du peuple’’.

Pour Doudou Coulibaly, « depuis qu’il est ici, le bateau commence à produire des effets écologiques négatifs très graves sur notre santé et sur notre patrimoine halieutique. On avait fait croire aux populations que le bateau allait être arrimé derrière l’île de Gorée, mais c’est archi faux, car on peut l’apercevoir tout près ici, au môle 8 du Port de Dakar. Et pourtant les experts en écologie nous font savoir que tant que le bateau sera ici, dans les 2 et 3 ans, à venir, il n’y aura plus de poissons dans les environs. Vous pouvez vous-mêmes constatez que depuis trois heures de temps qu’on est là, aucune pirogue n’a débarqué. Pire encore, les turcs avaient affirmé travailler avec du gaz moins polluant et moins toxique pour éviter des catastrophes écologiques, mais on se rend compte qu’ils utilisent, depuis lors, du fuel lourd, et cela depuis le 2 octobre. Le fuel tue toutes nos espèces halieutiques et agit sur 10 km à la ronde. D’où notre sortie pour sensibiliser les sénégalais sur cet état de fait, car non seulement il y a une nébuleuse, mais les dommages écologiques méritent de porter l’affaire pour qu’on dégage ce bateau hors d’accès des populations ».

La commune de Ouakam se dote d’une infrastructure sanitaire d’un niveau appréciable avec la pose de la première pierre du poste de santé à la cité Avion. Une initiative bien accueillie par ses populations dont 40% en seront bénéficiaires, selon le maire Samba Bathily Diallo qui a présidé ce jeudi matin, la cérémonie qui a vu la présence du représentant du Ministre de la Santé, des autorités coutumières et religieuses du village centenaire.

La population de Ouakam s’accroit et la ville continue son ouverture. De ce fait, le maire est conscient des mesures d’accompagnement nécessaires à son essor. C’est dans ce cadre que d’importantes initiatives de développement sont prises, tant sur les plans sanitaire, économique et social. Mais, le premier point mérite qu’on s’arrête pour restituer le compte rendu relatif à l’activité de pose de première pierre du poste de santé de la cité Avion où, selon le maire, « c’est 40% de la population qui seront bénéficiaires des services de santé dispensés par cette structure new-look ».

A l’instar de plusieurs communes de la Ville de Dakar, qui connaissent une explosion démographique, soutient le maire, « celle de Ouakam est passée du simple à plus du double entre 2000 à 2019. Sa configuration et sa position géographique montrent un lieu indiqué pour prendre en charge certaines politiques vitales dont la santé de proximité et les premiers soins ». En effet, explique Samba Bathily Diallo, « qui s’occupe de la santé de la prévention dans une société garantit toutes les chances d’un avenir radieux à cette dernière. Ce projet relèvera, à terme, la qualité et l’effort de santé en soins de santé primaires dans le quartier Cité Avion qui englobe une bonne frange de la population ouakamoise ». Enfin, conforte-t-il « le projet est financé sur le Pacasen à 80% et 20% sur le budget communal. Il est à encourager compte tenu de sa proximité et de son impact sur les campagnes de sensibilisation et de prévention. Mieux, le plateau technique de la commune sera rehaussé de manière inéluctable ».

Youssouf Ndiongue                                                            

 

 

Le siège du Fonds de développement et de Solidarité Municipale (FODEM a servi de cadre pour accueillir la cérémonie de remise d’attestation de fins de formation et de financement aux 11 groupements de femmes entrepreneurs pour une enveloppe globale de 18 millions FCFA. Ainsi, après la formation, et avant le démarrage de leurs activités génératrices de revenu, chaque groupement de jeunes et de femmes a reçu un son enveloppe dont les montants variaient entre 1.5 à 2 millions FCFA. Lors de la cérémonie de remise des attestations de formation et des financements, Mme Wardini a laissé entendre que le Sénégal est l’un pionnier au monde en matière de mise en œuvre de l’économie sociale et solidaire. « Avec nos tontines et nos autres activités d’épargne dans le micro crédit, le Sénégal n’a rien à envier aux autres pays qui font aujourd’hui dans l’économie solidaire. Comme quoi, ce pays est une vieille tradition dans la mise en œuvre de l’économie sociale et solidaire. Le Maire de la ville de Dakar, Madame Soham El Wardini, à travers le FODEM et en partenariat avec l’ONG RABEC avait initié durant tout le mois de février 2020, un programme de renforcement de capacités des groupements de jeunes et de femmes des collectivités territoriales de Dakar. 11 onze Groupements d’Intérêts Economiques (GIE) composés de 377 femmes au total ont bénéficié des programmes de formation sur l’entrepreneuriat féminin, l’initiation à l'éducation financière et l’économie sociale et solidaire. Pour Mme Samb Aminata Diop, Directrice du Fodem, « il convient de rappeler que le Fodem n’est pas une banque. C’est juste un fonds mis en place pour former les jeunes et les femmes entrepreneurs et à qui nous accordons un appui financier qui leur permet de démarrer leurs activités. Il faut aussi dire que nous comptons nous redéployer pour reprendre nos activités suspendues à cause de la maladie du Covid 19 »

Youssouf Ndiongue

 

 

La nouvelle du décès de Bamba Ndiaye aura eu des échos hors du territoire national. Dans le maghreb où l’ancien Ministre des Affaires Religieuses avait des confrères et sympathisants, c’est la tristesse et la désolation. Comme en atteste cette correspondance du secrétaire général de l’ANA, Bekki Benameur, qui témoigne de l’amitié et de la fraternité dont jouissait le défunt en dehors du Sénégal. La lettre produite in extenso de Bekki Benameur.

« Nous avons accueilli, avec une grande tristesse, la nouvelle de la disparition d’un frère, ami et prédicateur, Ahmed Bamba Ndiaye, ancien Ministre des Affaires Religieuses et Ministre d’Etat, après des souffrances qui ne se seront pas prolongées avec la maladie du Covid 19.

E tant que secrétaire général de l’Alliance des journalistes et juristes africains, au nom de tous nos militants, et sur l’impact de cette grande affliction, je ne peux m’empêcher  d’adresser la supplication et la miséricorde les plus bienveillantes au frère disparu, demandant au bon Dieu pitié et pardon pour lui, afin qu’il habite dans les vastes paradis, et pour sa famille et le peuple, patience et réconfort ».

Mohamed Gueye

Comment Amadou Ba, responsable politique aux Parcelles Assainies, peut-il s’autoproclamer seul et unique artisan de la victoire aux dernières élections référendaire et présidentielle ? C’est à cette question que le sieur Boua Souaré, président de Comité électoral à l’Unité 17 a démarré ses diatribes contre le Ministre des Affaires Etrangères, accusé d’écraser de grands responsables de son parti, dans son propre quartier, avec des pratiques d’exclusion et de mépris, pour promouvoir un petit type politique.

Tout est parti de la sortie sur la TFM de Amadou Ba en tant qu’invité spécial où il réclamait son allégeance totale au parti et au Président Macky Sall. Mais, regrette Boua Souaré, « j’avoue être resté sur ma faim. Il me semble que M Ba n'arrive toujours pas à mesurer la gravité de la situation. En des termes clairs, je lui reproche de vouloir tuer l’APR des PA pour pistonner ses hommes à l’image d'un figuier étrangleur qui étouffe d’autres arbres jusqu’à ce qu’ils meurent, pourrissent et produisent un humus servant à nourrir sa propre croissance ».

Poursuivant son argumentaire, le Président de Comité électoral U17 insiste sur les intentions inavouées de l’ancien Ministre de l’Economie qui, selon lui, est en train de creuser un trou béant à l’intérieur du ficus marron-beige des parcelles pour produire ses figues. « Les faits sont réels et les actes parlants, Amadou gouverne par procuration avec ses seconds couteaux barricadeurs qui usent et abusent comme bon leur semble.  Ainsi, il capitalise les bons résultats et se lave à grande eau en cas d’incident », déclare-t-il.

Comme pour conforter sa thèse, Boua Souaré avoue être victime des agissements du coordonnateur APR des Parcelles. « Je l’ai vécu à l'Unité 17 et je ne suis pas le seul. Certains cadres Mackystes se sont même vus débarquer de leur comité électoral pour céder la place aux ‘’Amadouistes’’. D’autres se sont vus pousser à la sortie comme des vulgaires. Et pourtant, ce sont ces mêmes responsables politiques qui avaient fait de la place pour lui. Mais, tout compte fait, je lui demande de mettre fin, immédiatement, à ses manœuvres de minage et de déstabilisation des responsables politiques de l’APR ». Par conséquent, « j’invalide sa sortie médiatique qui n’aura permis que de mettre de la poudre aux yeux de quelques militants et observateurs non avertis. Et si Amadou Ba se réclame de Macky, on attend de lui des actes concrets et non une simple parole, en attendant d’y voir plus clair », termine Boua Souaré.

               

C’est à croire à un faux départ pour Wave, le tout nouveau service de transfert d’argent, qui ambitionne de bien s’implanter sur le marché sénégalais. En effet, à peine que les activités ont démarré, ses travailleurs soulèvent des griefs contre leurs dirigeants. Rupture abusive de contrat (s’il y en a eu même), abus de confiance, etc. sont là quelques points sur lesquels ils vont revenir cet après midi lors d’un point de presse qu’ils vont animer afin que l’opinion soit édifiée sur les desseins inavoués  de cette institution financière.

Selon Ibrahima Diouf, un des agents de ‘’Wave’’, «nous sommes plus de 300 agents à être pris au dépourvu par la tournure prise par les développements concoctés par nos dirigeants. Sincèrement, ils ne nous avaient pas prédit une si mauvaise situation. Sans entrer dans les détails, le temps de rencontrer aujourd’hui les journalistes, je puis vous dire que nous avons saisi nos avocats pour déposer, dans les toutes prochaines heures, une plainte pour rupture abusive de contrat dont je me demande s’il y’en avait eu même. Le plus dur dans cette affaire, c’est que personne n’avait senti venir l’abus de confiance dont les 300 travailleurs sont aujourd’hui victimes. Mais bref, tout sera tiré au clair ».

La situation décrite au niveau de ‘’Wave’’ par ceux qui soutiennent être des travailleurs abusés remet au goût du jour l’éternel débat sur les relations entre les opérateurs mobiles qui font dans le transfert financier dans leur relation avec leurs partenaires et/ou agents d’une part, et d’autre part, avec leurs clients qui nourrissent de fortes reproches à leur endroit. Nous y reviendrons.

Dans une République comme le Sénégal, le chef de l'Etat est bien élu. Il n'est pas un Roi pour s'attacher les services d'un fou de la Cour de l'espèce de Moustapha Cissé Lo qui a vieilli sans jamais grandir une seule saison.

En Casamance où les récentes attaques de El Pistelero sont assimilées à de la bave d'une grenouille qui n'atteindra jamais la blanche Colombe, c'est sans surprise que la riposte des jeunes s'organise naturellement pour mettre hors d'état de nuire les errances d'un aboyeur. Oui, il y a bien lieu de remettre en cage un type dangereux dont les errements et aboiements sont de nature à jeter du discrédit sur d'honnêtes gens.

Demain fera jour. Mais d'ici là, la Casamance sur ses deux extrémités de Gouloumbou à Diogué se charge tout de suite et maintenant de lapider dans sa course maléfique ce diable Lo et  ses œuvres aux relents sataniques.  Infailliblement, il faut en finir avec Satan. La Casamance debout pour "tuer" un fou, cette sorte de menace à la République dont il ignore les enjeux de l'heure.

 

De qui se moque-t-il Moustapha Cissé Lo ? Ce n'est certainement pas d’Assome Aminata Diatta, Ministre du commerce et des PME. Celle dont le siège dans le gouvernement reste une fierté qui réconforte plus d'un Casamançais eu égard à la pertinence du choix fait par le Président Macky Sall qui tient là une dame de valeur pour sa loyauté et sa sincérité paysanne au travail, érigée en vertus par une Sénégalaise, symbole d'une tête bien faite pour faire des résultats sans parlotte.

Naturellement, de telles personnalités dérangent des hommes dont on ne connait ni métier, ni activité licite, malheureusement, ils ont pignon sur rue, opérant par des méthodes révolues pour exister et survivre sans qualification aucune.

Pour qui roule Moustapha Cissé Lo ? Ce député de la mouvance présidentielle n'est plus dans le camp du pouvoir. Il est devenu un danger public errant pour le pouvoir et le Président Macky Sall, celà depuis qu'il a enfilé les habits de traître à la solde d'opposants aboyeurs dont il déroule  l'agenda. De sources justes, Cissé Lo a juré d'être ce ver à l'intérieur du parti au pouvoir, entretenu par les moyens du même pouvoir, prêt à nuire le régime en place de l'intérieur. C'est dans cette logique immorale de détruire le régime qui lui a tout donné que le vice-président de l'Assemblée nationale dit ne plus attendre du chef de l'Etat l'accès à un poste par nomination. L'homme semble changé d'alliés depuis qu'il a terminé son mandat au sein du parlement de la CEDEAO.

Au-delà des personnes d’Assome Aminata Diatta et de Abdoulaye Diouf Sarr ministre de la santé et de l'action sociale dont il réclame la tête, El Pistelero s'en est pris à tous les ministres qui ont occupé les plateaux de télévision après l'adresse à la nation du Président de la République, critiquant vertement la communication du pouvoir.

La cohérence voudrait que l'on ait le courage d'identifier Moustapha Cissé Lo comme un tireur qui a dans son videur Son Excellente Macky Sall dont il ne digère plus les ministres selon qu'ils sont acquis au chef de l'Etat.

Sinon, rien ne justifie l'acharnement noté contre madame le ministre du commerce, une travailleuse disciplinée qui a posé ses empreintes au sud sur les trois régions administratives de la Casamance par le langage du développement. Assome, c'est ce soldat infatigable, intrépide qui a posé des actes de Blouf à Fogny en passant par le Cassa pour le compte de la région de Ziguinchor. Cette dame de forte personnalité que la Casamance dispute à Keur Massar à Dakar est devenue l'amazone du Président Macky Sall; celle qui porte le combat du développement au-delà du périmètre régional de Ziguinchor en se déportant dans la région de Sédhiou, précisément à Goudomp dont elle a fini d'organiser les femmes à Djibanar. Aux ennemis de Macky Sall et du développement, s'attaquer à Assome pour espérer divertir l'opinion et saper le moral de la brave leader, c'est ignorer la foi d'un dur à cuire qui ne lâchera jamais prise. Aminata sait qu'elle tient le bon bout de la corde par des initiatives pour tirer les jeunes à la terre et à l'agriculture dans la verte Casamance. Combat perdu d'avance pour Moustapha Cissé Lo qui peut déchanter.

 

Le problème du foncier est vivement agité ces derniers temps, mais certains en profitent pour mêler les pinceaux et régler des comptes personnels et politiques. On ne peut comprendre cet acharnement sur le décret de bail accordé a la famille du grand industriel sénégalais, Monsieur Idrissa Seydi, cet homme intègre et travailleur infatigable, qui mérite plus une reconnaissance de la nation, pour les importants investissements menés dans les secteurs de l’agriculture et de l’élevage. Idrissa Seydi voit son travail depuis plus de 30 ans dans ce site couronné de succès. « Mais si certains s’agitent à cet effet, c’est parce qu’ils ont besoin qu’on leur rappelle qui est véritablement Idrissa Seydi, ce capitaine d’industrie et créateur d’emplois hors pair, qui a fini de montrer l’exemple en Afrique et dans son pays », explique le Président de ‘’ Banlieue en Actions avec Macky’’, Mamadou Moustapha Ndiaye.

 « Le nom de Feu Idrissa Seydi a été cité pour occuper les devants de la scène médiatique. Et pourtant son glorieux passé d’entrepreneur dévoué, depuis l’époque du Président Abdou Diouf, où il a fait de gros investissements dans les domaines de l’agriculture et de l’élevage, reste encore dans les annales. Ce qui a poussé certains gros bonnets  du pays et du Continent à imiter ses fructueuses actions, et à se lancer eux aussi dans l’implantation de fermes », rappelle Mamadou Moustapha Ndiaye.  Pour lui, « l’histoire est là, encore récente. On se souvient que l’une des premières sorties du président Wade, à son accession à la souveraineté nationale, était réservée durant une journée entière dans ce ferme de M Idrissa Seydi pour non seulement contempler ce que l’homme d’affaires avait fini de réaliser dans ce domaine, mais aussi et surtout, pour que son exemple soit copié par le patronat sénégalais qui devait voir en cet homme, un grand investisseur et créateur d’emplois pour la jeunesse de ce pays ».

Aujourd’hui, sa famille continue à perpétuer l’œuvre de leur digne père, avec des investissements beaucoup plus importants dans ce site exploité depuis plus de 30 ans. Maintenant qu’elle bénéficie officiellement de son bail, des langues fourchues commencent à se délier de manière éhontée et malhonnête ». Pour le président de ‘’Banlieue en Actions avec Macky’’, « et pourtant, cela fait plus de 30 ans que M. Seydi est concentré sur ses activités. Résultat, beaucoup de Ministres ont pu se féliciter de son travail. Mais une telle compétence nationale devait normalement  bénéficier de ce bail depuis très longtemps pour avoir disposé de ses terres qu’il avait, lui-même, acquises auprès des véritables propriétaires. Pour dire que le retard accusé dans la délivrance de ce fameux sésame était une injustice injustifiée, que le Président Macky Sall vient de réparer. C’est un homme respectable et respecté qui a été l’un des premiers investisseurs de ce pays. Si aujourd’hui, on parle de fermes, que ce soit des fermes avicoles, de Wayembam ou autre usine de Socas du défunt Premier Ministre Habib Thiam, il faut le reconnaitre à Idrissa Seydi, qui mérite quand même de disposer légalement de son bail ». En effet, pour Mamadou Moustapha Ndiaye, «  voilà un modèle dans la sous région, qui à inspiré de grands industriels européens. Donc si certains s’agitent pour refuser à ce capitaine d’industrie le bail qu’on vient de lui attribuer, c’est par ce qu’ils sont animés de sentiments lugubres. C’est de petites gens qui auraient dû lui rendre un hommage appuyé et faire pour que justice lui soit rendue. Dommage qu’ils sont habités par une méchanceté qui ne dit pas son nom, mais qui ne peut effacer le résultat de 30 ans d’investissement ».

 

  • Le 02 mars 2020, le coronavirus à fait son entrée au Sénégal. Aprés plus de 04 mois passés à lutter et à vivre en présence du virus, le moment est venu de féliciter le président Macky Sall pour l'ensemble de ses décisions courageuses et sereines prises afin d'endiguer la pandémie. Parmi ces decisions:
    - le non raparteniement des étudiants en Wuhan, en son temps critiqué, mais dont la pertinence a fini par sauter aux yeux du peuple, après quelques semaines;
    - la fermeture des frontières, terrestres, aériennes, et maritimes pour freiner les cas importés. 10 jours aprèsl'effectivité de la mesure, le Sénégal n'enregistrait plus de cas importés.
    - Après trois mois en présence du virus dans notre pays, avec une plus ou moins grande connaissance du virus, surtout des mesures pouvant l'empêcher de circuler, le président a pris des mesures d'assouplissements à savoir : la réouverture des transports interurbains, les restaurants, les marchés. Bref la relance d'une économie qui est fortement impacté par la Covid 19.
    Tout ceci démontre que le Président, selon l'évolution de la pandémie, a pris les mesures qui s'imposaient et mis en avant l'élément le plus déterminant dans l'arbitrage ultime à savoir la santé des populations et l'économie nationale pour gérer les équilibres sociaux notamment.
     
    C'est aussi l'occasion de féliciter le général, le ministre de la santé et de l'action sociale, M. Abdoulaye Diouf Sarr, pour sa gestion efficace, sa persévérance, son engagement, son management et surtout son leadership. Il a encore une fois démontré, si besoin encore en était, les qualités d'un vrai leader, qui a su s'entourer de Sénégalais compétents et surtout montrer la voix à ses collaborateurs.
    C'est ce qui a valu au Sénégal ces résultats remarquables, surtout en termes de taux de guérison avec plus de 66% au-delà de la moyenne mondiale. Ce qui place le Sénégal comme le premier pays de la sous région pour ce qui concerne le nombre de malades guéris. 
     
    Nos hommages appuyés et notre reconnaissance vont également au personnel soignant qui est en première ligne dans cette guerre contre un ennemi invisible.
    Aujourd'hui le combat s'articule contre les cas dits communautaires.
     
    Les chefs religieux, les chefs coutumiers , les badjenou gox, les ASC, les associations de femmes et de jeunes doivent jouer leur partition pour sensibiliser la population afin que la Covid 19 soit rapidement un souvenir pour le Sénégal.
     
    En attendant tout relâchement reste coupable et les gestes barrières - port de masques, distanciation physique, lavage des mains - sont plus que jamais nécessaires.
    Alors faisons honneur à notre belle devise : un peuple uni, dans le seul but de vaincre le virus avec une foi inébranlable dans l'avenir.
    Ensemble nous vaincrons.
    Abdoulaye DOUMBYA 
    Membre de la Convergence des Cadres Républicains (CCR).
     

 
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 Les membres du mouvement des jeunesses de la mouvance présidentielle (JMP) ont tenu à célébrer la journée du 23 juin. Sobrement, ils ont organisé un point de presse pour se rappeler des efforts mobilisés dans la lutte contre certaines pratiques qui pouvaient écorcher notre belle démocratie. Pour Malal Diallo, Massogui Sylla, René Pierre Yéhoumé et les autres membres de JMP, « aujourd’hui, 9 ans après, notre démocratie sous l’impulsion du Président de la République se porte mieux ».

Dans le même tempo, René Pierre développe, « le 23 juin n’est pas une affaire de casseurs ! Il n’est pas et ne sera point une possession politico-opportuniste de certains détracteurs patentés de la République et de la démocratie, et au nom de l’intérêt supérieur de la république, cette date du 23 juin sera désormais le socle fondateur de «Yokoute Ndaw yi » avec la jeunesse du pays au cœur de la construction, de la Défense de la république et du dialogue républicain en tant que média incontournable du pacte républicain ». Pour l’économiste Massogui Sylla, « il faut se féliciter du travail du Président Macky qui a fait de la jeunesse une arme pour développer, créer et performer dans tous les domaines de la vie économique et sociale du pays. Aujourd’hui, les performances économiques et les différents plans de relance nous donnent plus d’outils de façonner et d’ériger le Sénégal Émergent. Nous devons nous mobiliser ici et maintenant pour prendre l’initiative de dégager les pistes de sortie de la crise sanitaire afin de mieux préparer les prochaines échéances ».

Youssouf NDIONGUE          

 

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