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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

L’ELARGISSEMENT DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE

J’ai suivi et apprécié les nouvelles relations politiques entre la majorité présidentielle, le président Idrissa SECK, Oumar SARRet compagnie comme tous les observateurs de la scène politique. Une situation qui a fait couler beaucoup d’encre car de nombreux sénégalais ont trouvé renversant cette alliance stratégique. Il faut juste noter, à mon avis, que ce ne sont pas les événements qui nous affligent mais l’interprétation que nous en faisons. Les sénégalais ajoutent souvent au réel tout une série d’évaluations, de craintes et de désirs aussi vains, puérils qu’accablants. Ils, les politiques, anticipent, extrapolent et exagèrent ce qui arrive parce qu’ils y projettent leurs passions et ambitions au lieu d’en faire une occasion d’observer un jugement correct en formulant des appréciations saines et vraies. Les organisations politiques ont desprogrammes propres qu’elles déroulent suivantun agenda et des réalités du moment.

Comme vous le savez, avec REWMI et d’autres partis politiques, le Grand Parti était en œcuménisme dans la grande coalition c’est pourquoi le Président Malik n’a pas été épargné par la vague de contestationsinjustifiées découlant de cette nouvelle donne.

En tout cas pour le Grand Parti, je veux clarifier le faitque les responsables et militantsrenouvellent leur confiance au Président GAKOU qui avait mandat de prendre toutes les décisions appropriées faisant suite à l’esprit qui avait motivé notre engagement dans le dialogue national et compte tenu du contexte socio-économique national et des intérêts exclusifs du parti.

« Je ne suis pas du tout pacifiste, j’adore quand les gens s’engueulent, mais je n’aime pas quand ils ne s’adressent pas la parole. On dirait que c’est grave de ne pas être d’accord. Mais c’est quand on est tous d’accord que ça commence à être inquiétant » JOHAN SFAR. L’action politique est le lit d’un jeu d’acteurs fait d’accords,de désaccords, d’enjeux,de contrainteset de moyens d’actions mais l’essentiel c’est toujours de faire bouger les lignes pour l’intérêt exclusif du Sénégal.

 

PANDEMIE DU COVID 19

J’avais compris et estimé à sa juste valeur la démarche, le 25 mars 2020,du Président Macky SALL après qu’il ait déclaré la guerre à la pandémie du covid19 et reçu tous les acteurs politiques représentatifs et ceux de la société civile pour, ensemble, faire face dans un élan solidaire, concerté et patriotique.

Au Grand Parti, nous avions fait notre la pensée d’EUGENE LONESCO : « Les idéologies nous séparent, rêves et angoisses nous rapprochent », en y puisant toute la pertinence de l’instruction faite au président Malick GAKOU de faire siennes les préoccupations sanitaires du chef de l’Etat.

Je constate malheureusement, à quelques encablures d’une année de lutte commune, que la maladie du coronavirus, dans sa progression macabre, continue de faire des dégâts énormes tant du point de vue socio-économique que sanitaire avec plus de 560 personnes mortes enregistrées. Cette deuxième vague, plus meurtrière,a éprouvé le civisme, la civilité et la solidarité qui fondent la citoyenneté nationale qui devait se traduire, individuellement, par le respect des lois et règles en vigueur, mais aussi par une conscience collective des droits et devoirs envers la société. Le constat est malheureusement amer, il y a une rupture manifeste dans l’attitude de respect de soi, des autres citoyens, mais aussi du respect de l'espace et du bien public.

 

Cette situation est manifestement à l’origine du comportement des populations en violation flagrante de la loi n° 69-29 du 29 avril 1969 relative à l’Etat d’urgence et à l’Etat de siège et des arrêtés n° 000030 et n° 000031 portant respectivement interdiction temporaire de manifestations et de rassemblements et port obligatoire de masque de protection dans les lieux publics et privés.

Un constat qui cache mal la rupture du contrat de confiance entre le peuple sénégalais et son élite intellectuelle. Une brouille qui peut s’expliquer par la posture condescendante de cette minorité détentrice, le plus souvent indument, d’une part relativement importante des richesses nationales en toute impunité.

 

LE PROJET DE VACCIN

Je n’ai aucun doute, à l’instar du monde entier, que le Sénégal prépare son programme national de vaccination contre le covid19 même si, par ailleurs, beaucoup de suspicions ont fini d’installer un climat d’incertitudes autour de ce vaccin. Les autorités sanitaires sénégalaises attendent les premières doses de vaccins au mois de mars dans le cadre de l’alliance des acteurs majeurs de la vaccination GAVI. Je pense que la meilleure façon de protéger définitivement les sénégalais consiste à mener une campagne de sensibilisation rassurante qui devrait aboutir à une large couverture vaccinale.

Le Grand Parti reste dans sa logique d’honorer cetélan d’unité nationale face à cette crise sanitaire. D’ailleurs je réclamerai la troisième dose pour le Président GAKOU, un légendaire patriote, après celles du Président Macky SALL et du ministre de la santé Abdoulaye Diouf SARR. La bonne gouvernance c’est aussi par l’exemple et c’est le lieu de lancer un appel aux chefs de parti, guides religieux et autres personnalités publiques de s’approprier cette campagne de vaccination pour une large et efficace protection vaccinale.

 

COMMENT SE PORTE LE GRAND PARTI DANS LA BANLIEUE

Je crois en la liberté qui consiste à se déterminer infailliblement au bien et non au choix entre le bien et le mal. Malheureusement notre jugement dans ce choix n’est pas libre car asservi au pouvoir qu’exercent sur lui nos convoitises, celles-là mêmes dictées par notre statut d’acteur politique ou par les impératifs de notre parti politique. Cette situation de fait avait poussé le Président GAKOU, concernant GUEDIAWAYE, à se déterminer, en toutes responsabilités, dans la prise en charge des affaires locales. Maintenant il arrive souvent qu’on se trompe dans des prises de décision mais l’essentiel est qu’un homme doit être à la hauteur de ce qui lui arrive, sans nourrir ni désir de changement ni rêve de fuite. Le Président est assez rompu à la tâche pour faire une analyse sans complaisance de la situation et remettre les pendules à l’heure. Dans les départements de Dakar, Pikine et Rufisque, les responsables sont en train de repiquer son modèle. Une ligne politiquequi consiste à mettre en place un tissu local fait de réseaux de collaboration et de liens de coopération qui fondent un projet commun autour d’une identité, d’un ancrage territorial.

Je crois que l’animation, la vie et/ou la survie des territoires vont dans le sens d’agir sur la possibilité de leurs développements différenciés, de la spécialisation des espaces, en fonction notamment de leurs ressources, leurs capacités technologiques et modes d’organisation dont ils disposent. L’identité territoriale et la mise en évidencedes caractères spécifiques locaux ont fondamentalement fait du Président GAKOU et de ses collaborateurs que nous sommes, des décideurs et acteurs des dynamiques de développement dans la banlieue.Le GP se porte bien.

LE PROJET DE SUPPRESSION DES VILLES

Je l’avais évoqué tantôt cette propension alarmiste à s’extasier et extrapoler de tout et de rien. Les acteurs politiques sont prompts à prendre position suivant leurs ambitions et intérêts subjectifs. Ville, métropole ou communauté de communes quel que soit le type de collectivité locale proposée à Dakar et ailleurs, seuls les contenu et ambition qui leur seront attribués feront la différence et méritent que l’on s’y attarde. Dakar, à l’instar de Thiès, Diourbel ou Kaolack, restera une ville du point de vue administratif. L’important est de mettre en place les bons dispositifs pour faire jouer pleinement leur rôle d’investisseurs mutualistes aux collectivités territoriales mises en place. Le Sénégal ne peut pas réinventer la roue, les futures collectivités locales ne pourront pas disposer, je le pense, d’une fiscalité propre au point d’avoir une envergure métropolitaine. Elles continueront certainement de faciliter une intercommunalité productive pour faire bouger les choses.

Dans ce pays, les ambitions font les positions. Taxawu Dakar, par exemple,a fusillé ce projet de suppression des villes à cause de Dakar, prétextant une éventuelle adversité entre le chef de l’Etat et son mentor. Je pense personnellement que c’est illusoire pour Khalifa SALL, après avoir rompu le pacte de confiance avec la capitale, de croire qu’il peut encore gagner à Dakar. Il n’avait que ses larmes comme éléments de défense face aux accusations de malversations. Je vous épargne la suite. Ce qui est clair c’est que Khalifa et Dakar c’est dans l’histoire.  

 

LE FONCIER A MBOUR 4

 

Je constate que dans cette affaire les populations sont encore une fois victimes des promoteurs véreux qui spolient leurs maigres épargnes avec la complicité de quelques agents de l’administration. En lisant le décret 2021-66 proclamant l’état de catastrophe sanitaire, je me suis dit que le chef de l’Etat vient de rater l’occasion de décréter en même temps l’état de catastrophe foncière (rires). 

Il aurait permis aux ministères concernés de prendre les mesures pour traquer et sanctionner sévèrement tous ces promoteurs qui semblent bénéficier d’une impunité injustifiée et injuste.

Le chef de l’état doit impérativement prendre les dispositions qu’il faut pour aider ces pères de famille en les rétablissant dans leur droit de propriété. Les conditions de délivrance des autorisations de lotissement des espaces par les promoteurs doivent être mieux encadrer et sévèrement contrôler pour protéger les sénégalais.

 

 

MAMADOU BADIANE GRAND PARTI (GP)

MEMBRE DU BUREAU POLITIQUE

COORDONNATEUR DU DEPARTEMENT DE PIKINE

Les recommandations du chef de l’Etat formulées le 17 septembre dernier, lors de sa visite dans les zones inondées de keur Massar et ses environs, et s’inscrivant dans le cadre de la phase d’urgence du programme décennal de lutte contre les inondations, sont en train d’être mises en œuvre. C’est, en effet, un montant de 15 milliards FCFA qui est débloqué par le budget consolidé d’investissement (BCI) pour entamer les travaux de drainage des eaux pluviales et de construction de bassins de rétention. Le  ministre des Collectivités Territoriales, du Développement et de l’Aménagement des Territoires, Oumar Gueye a effectué, ce lundi, une visite de chantiers pour voir l'état d'avancement des travaux qui s’inscrivent dans le cadre de la phase 2 du PROGEP (Projet de Gestion des Eaux Pluviales et d’Adaptation au Changement Climatique) conduit par l’Agence de Développement Municipale (ADM).

Selon le directeur de l’ADM, Cheikh Issa Sall, « nous sommes en plein dans
la phase 2 du PROGEP dont l’activité phare se décline en termes de réalisations d’ouvrages hydrauliques et de voiries, ainsi que divers aménagements paysagers pour lutter contre les inondations, surtout à Keur Massar qui a vécu, lors du dernier hivernage, une période noire de son histoire. Et pour que pareille situation ne se reproduise, le Président Macky Sall avait fortement recommandé la mise en branle de la phase d’urgence du programme décennal de lutte contre les inondations. Piloté par l’Agence de Développement Municipal (ADM) et exécuté par les entreprises ‘’Henan Chine’’ et la Compagnie Sénégalaise de Travaux Publics (CSTP), le travail entamé le 16 janvier dernier connaît un rythme accéléré et risque d’être livré à la fin du mois de Mai prochain. Pour le Ministre Oumar Gueye, qui faisait l’économie de la visite de terrain dans la forêt classée de Mbao et environs, « je suis rassuré parce que j’ai vu un engagement multiforme au niveau de l’ADM, des entreprises mais également du gouvernement et des autorités administratives. Il y a une synergie d’action et c’est ça qui nous a valu d’avoir ces résultats en très peu de temps. C’est quand même une performance qu’il faut saluer, surtout que c’est un chantier sur lequel, les populations attendent qu’une solution soit vite trouvée à ce phénomène ». Poursuivant, M. Gueye a rappelé qu’au plan financier, c’est 15 milliards qui ont été débloqués en urgence sur le budget consolidé d’investissement (BCI), en attendant l’intervention des partenaires. Mais, c’est surtout le sens de l’engagement du président Macky Sall et de son gouvernement pour régler définitivement ces problèmes d’inondation et soulager enfin les populations de Keur Massar et environs ». Le Ministre Oumar Gueye était accompagné du Dg de l’ADM, du Gouverneur de Dakar, des représentants de l’administration territoriale, des maires, des services de l’Etat concernés par le projet, entre autres.

Le Recteur de l’AUF, Prof. Slim KHALBOUS, a reçu le mardi 26 février, à la Direction Régionale Afrique de l’Ouest à Dakar, le Directeur du Bureau régional multisectoriel de l'UNESCO pour l'Afrique de l'Ouest (Sahel), M. Dimitri Sanga pour la signature d’une convention AUF-UNESCO dans le cadre de la production de ressources pédagogiques à destination des élèves et des enseignants. 

En effet, le Bureau régional multisectoriel de l'UNESCO pour l'Afrique de l'Ouest est attributaire d’un financement de la part de l’Agence Française de développement (AFD) pour produire des ressources pédagogiques à destination des élèves et des enseignants. L’AUF, de son côté, met en œuvre depuis juin 2018, le Programme APPRENDRE (Appui à la Professionnalisation des Pratiques Enseignantes et au Développement de Ressources), un pourvoyeur d’expertise et de mise en réseau des acteurs en charge de l’éducation (praticiens, cadres éducatifs, universitaires et chercheurs) dans 26 pays. Ce partenariat entre l’AUF et l’Unesco permettra, à ces deux projets complémentaires, une collaboration fructueuse. 

L'AUF et l'UNESCO ont exprimé leur volonté commune de renforcer le partenariat engagé dans le domaine de l'#éducation et de mettre en commun leurs compétences et expertises pour servir toute la chaîne du savoir.

L’UNESCO signera très prochainement la charte APPRENDRE et rejoindra la plateforme partenariale du programme.

 

Le Recteur de l’AUF, Prof. Slim Khalbous, s’est rendu au Sénégal du 25 au 27 janvier 2021. Cette mission était placée sous le signe de l’employabilité et de l’insertion professionnelle des jeunes. Elle a été ponctuée de rencontres avec différents partenaires du monde politique et universitaire. Le Recteur a également participé au lancement officiel du nouveau portail de la Francophonie dédié à l’égalité Femmes-Hommes dans les systèmes éducatifs : RELIEFH.

Le lundi 25 janvier,

Le Prof. Slim Khalbous a été reçu par le Ministre de l’emploi et de la formation professionnelle du Sénégal, M. Dame Diop.  Ils ont échangé sur leur volonté de travailler ensemble pour établir des passerelles entre la formation professionnelle et les universités. Deux actions seront notamment mises en place :

  • un partenariat entre le futur Centre de carrière dédié à l’employabilité et à l’insertion professionnelle qui sera créé par l’AUF et le centre dédié à l’entrepreneuriat sous la tutelle du ministère
  • un accompagnement concernant la plateforme mise en place par le ministère dans le cadre de sa stratégie de développement du numérique dans la formation professionnelle et technique

Le Recteur de l’AUF a également rencontré M. Cheikh Oumar Anne, Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation du Sénégal. Ils ont échangé notamment sur la mise en place du statut de l’étudiant entrepreneur au Sénégal, projet qui a déjà fait ses preuves en Tunisie, au Maroc et au Liban via les projets SALEEM (Structuration et Accompagnement de l’Entrepreneuriat au Maghreb) et DEEL (Développement de l’Entrepreneuriat Etudiant au Liban) coordonnés par l’AUF.

Le Ministre s’est montré très favorable à la mise en place d’un Centre de carrière dédié à l’employabilité et à l’insertion professionnelle pour le Sénégal qu’il souhaite installer à Diamniadio au cœur de la cité gouvernementale. L’AUF sera également partie prenante de la commission nationale de l’évaluation du parcours Licence-Master-Doctorat, aux côtés du Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.

Le mardi 26 janvier,

Le mardi 26 janvier, le Recteur s’est entretenu avec des responsables des 21 établissements membres de l’AUF au Sénégal, auxquels il a présenté les résultats de la consultation mondiale lancée par l’AUF en 2020. Il a également annoncé que la future stratégie de l’AUF, qui sera adoptée cette année, aura des applications spéciales, adaptées et conceptualisées en fonction des territoires et des besoins des établissements membres du réseau.

Le Recteur a également rencontré le Directeur du Bureau régional multisectoriel de l’UNESCO pour l’Afrique de l’Ouest (Sahel), M. Dimitri Sanga. Une convention AUF-UNESCO a été signée pour la production de ressources pédagogiques à destination des élèves et des enseignantes et enseignants. M. Sanga a exprimé le souhait d’aller au-delà de cet accord et de collaborer avec l’AUF autour des objectifs concourant à l’apprentissage tout au long de la vie.

Enfin, le Recteur a participé au lancement du nouveau portail de la Francophonie, RELIEFH, dédié à l’égalité Femmes-Hommes dans les systèmes éducatifs annoncé par la Secrétaire Générale de la Francophonie, Mme Louise Mushikiwabo.  Ce portail destiné aux enseignantes, enseignants et aux personnels d’encadrement désirant intégrer l’EFH dans leur pratique quotidienne d’enseignement, et plus largement à toutes les institutions et les personnes intéressées par ce sujet.

Le mercredi 27 janvier,

  1. Khalbous s’est déplacé dans la région de Thiès où il a visité le Centre de Recherche et d’Essais (CRE) et l’Institut Supérieur d’Enseignement Professionnel (ISEP).
  • Les CRE, créés par le Ministère en charge de l’enseignement supérieur et de la recherche,  sont implantés dans toutes les régions du Sénégal. Ils rendent accessibles les résultats de la recherche aux communautés. L’AUF étudie les possibilités qu’elle peut offrir en vue d’accompagner les initiatives nationales en matière de valorisation de la recherche universitaire.
  • Les ISEP offrent des formations professionnelles courtes centrées sur les besoins du marché du travail. L’AUF va apporter un soutien aux ISEP en leur proposant quatre axes de collaboration : employabilité des jeunes diplômés, entrepreneuriat, formations des formateurs et réseautage national et international.

Le Recteur a clôturé sa visite à Thiès en annonçant la création prochaine d’un Centre de carrière dédié à l’employabilité et à l’insertion professionnelle pour la région.

De retour à Dakar le Recteur a été reçu par l’Ambassadeur de France au Sénégal, S.E.M. Philippe Lalliot.

 

Lors d’une visite officielle, du 25 au 27 janvier 2021, au Sénégal, placée sous le signe de l’employabilité et de l’insertion professionnelle des jeunes diplômés, le Recteur de l’AUF, Prof. Slim KHALBOUS s’est rendu à la région de Thiès en compagnie de Mme Ouidad TEBBAA, directrice régionale de l’AUF Afrique de l’Ouest et de M. Ibrahima WADE, président du Conseil régional d’orientation stratégique (CROS). Il a visité le Centre de Recherche et d’Essais (CRE) et l’Institut Supérieur d’Enseignement Professionnel (ISEP) et a annoncé la création d’un centre de carrière dédié à l’employabilité et à l’insertion professionnelle au bénéfice de l’ensemble des établissements d’enseignement et de recherche et de l’écosystème socio-économique de la région.

Accueilli par le Prof. Amadou Gallo DIOP, Directeur de la Recherche et de l’Innovation au Ministère de l’Enseignement Supérieur, de M. Toumane DOUMBIA, Coordonnateur des Centres de Recherche et d’Essais (CRE) et du Prof. Fadel NIANG, président de la Commission régionale d’Expert de l’AUF -Afrique de l’Ouest et par ailleurs Directeur de l’ISEP de Thiès et Coordonnateur du RISEP (Réseau des instituts supérieurs d’enseignement professionnel), le Prof. KHALBOUS s’est d’abord rendu au CRE de Thiès. Créés par le Ministère en charge de l’enseignement supérieur et de la recherche, les CRE sont implantés dans toutes les régions du Sénégal. Elles traduisent la vision des autorités publiques de rendre accessibles les résultats de la recherche aux communautés, pour une plus grande efficacité du système d’enseignement supérieur et sa professionnalisation croissante.

A cet effet, l’AUF étudie les possibilités qu’elle peut offrir pour accompagner les initiatives nationales en matière de valorisation de la recherche universitaire.

Le Recteur de l’AUF s’est également rendu à l’ISEP de Thiès. Les ISEP ont pour mission de relever le défi de la pertinence du système d’enseignement supérieur au Sénégal en mettant l’accent sur les formations professionnelles courtes centrées sur les besoins du marché du travail. Après avoir rencontré les étudiants et les lauréats de l’ISEP le Prof KHALBOUS a indiqué que l’AUF soutiendra les ISEP à travers quatre axes de collaboration :

  • l’employabilité et l’entreprenariat avec la création du centre de carrière dédié à l’employabilité et à l’insertion professionnelle qui participera à valoriser les formations francophones et à soutenir la mise en place de compétences complémentaires (soft skills)
  • la formation des formateurs  pour accompagner l’émergence d’une nouvelle génération de professeurs coachs, tuteurs dans le domaine de l’entrepreneuriat
  • le soutien à la Recherche-Développement et à la Recherche Appliquée en favorisant des solutions innovantes, à fort potentiel de développement
  • le réseautage via les centres de carrière connectés à l’échelle nationale du Sénégal mais aussi à l’échelle internationale

Le Recteur a clôturé sa visite à Thiès en annonçant la création très prochaine d’un centre de carrière dédié à l’employabilité et à l’insertion professionnelle pour la région.

Le Recteur de l’AUF, le Professeur Slim Khalbous et la Secrétaire générale de la Francophonie, Mme Louise Mushikiwabo, ont choisi Dakar pour lancer, ce 26 janvier 2021, aux côtés du Ministre sénégalais de l’éducation nationale, M. Mamadou Talla, le portail dédié aux Ressources Educatives Libres pour l’Egalité Femmes-Hommes (EFH) (RELIEFH). 

 

RELIEFH, c’est un portail destiné aux enseignantes, enseignants et aux personnels d'encadrement désirant intégrer l'EFH dans leur pratique quotidienne d’enseignement, et plus largement à toutes les institutions et les personnes intéressées par ce sujet. Grâce à la collaboration étroite entre l'AUF et l’Institut de la Francophonie pour l’Education et la Formation (IFEF), cette nouvelle plateforme permet la recherche, l’échange et le partage des ressources et bonnes pratiques entre les pays de la Francophonie pour la promotion de l’EFH dans le domaine de l’Education.

 

Actuellement, 7 millions d’enseignants, du primaire, collège, et lycée exercent en Afrique subsaharienne, sans disposer de supports leur permettant d’intégrer le concept de l’égalité femme homme  dans leurs enseignements.

 

L’idée de ce portail est née à l’issue de la Conférence internationale sur l’éducation des filles et la formation des femmes dans l’espace francophone organisée par l’OIF et les autorités tchadiennes à N’Djamena, les 18 et19 juin 2019.

 

TAMBACOUNDA,  DES LIBÉRAUX QUITTENT LE PDS DE KARIM WADE POUR REJOINDRE  LE PLD/AS AVEC DR Oumar SARR 
 
Dans le cadre de la massification du PLD/AS, le Président Oumar SARR a reçu une délégation de militants venant de la Région de Tambacounda. composée de représentants et de conseillers dans plusieurs communes dont la plupart sont dimissionnaires du PDS, cette délegation a choisi Dr Oumar Sarr et son parti et lui garantit de  son soutien indefectible à toutes les épreuves pour la réalisation des objectifs politiques tels que déclinés dans le programme du PLD /AS.
 
Il s'agit, entre autres responsables politiques, de M Ibrahima SAKHANOKHO, Ex coordonnateur du PDS dans la commune de Koussanar et à Tamba, de M Lassana GASSAMA, Ex coordonnateur PDS de Toumboura à Bakel, de
M Boubacar BA Ex coordonnateur du PDS à Ndoga Ababacar dans la région de Tamba, de
M Mamadou DEME, militant-PDS à Kouthaba à Koumpentoum, de
M Khadim DIOP, militant-PDS à Maka koulibanta et de Mme Dalanda DIALLO, la sœur de Woury DIALLO, l’Ex-Maire de Tamba. 
 
Tous, Ils ont magnifié leur solidarité et ont renouvelé leur confiance à M Oumar SARR.
 
Par ailleurs, dans le souci de concrétiser leur adhésion au PLD/AS, ils envisagent proceder à des activités d'information et de large sensibilisation en vue donner au PLD/AS un ancragre local afin qu'il devienne  le premier parti dans la région de Tambacounda.

Qui sont ces personnes de couleur blanche (excusez de la précision) aux alentours du palais de la République en train de faire du sport, alors qu’en pleine période de lutte contre le Covid, c’est interdit aux sénégalais bon teint ? Cette image ne passe pas inaperçue surtout qu’en ce lieu précis, il est pratiquement interdit d’y mener une quelconque activité. Et donc, si pour certains, elle est autorisée, le mouvement ‘Maa beug sama réw‘’ dénonce une politique discriminatoire de poids deux mesures. Awa Thiam la présidente de ladite organisation interpelle alors le Ministre de l’Intérieur Antoine Félix Diome pour que les sénégalais ne se sentent étrangers dans peur propre pays.

 

C’est donc un rappel bien formulé que Awa Thiam a servi aux autorités de ce pays. « Certains usagers de la plage n’y viennent pas pour leur propre plaisir, ils sont justement là pour des séances de rééducation sanitaire ou pour des raisons de prescription médicale, car soufrant de problèmes de nerfs ou de ruptures de ligaments. Par conséquent, au-delà du sport, c’est une raison bien fondée qui les y amène, et donc si on nous interdit l’accès aux plages et qu’on l’autorise à d’autres, surtout s’ils sont d’une autre couleur, loin de nous l’idée d’un esprit de ségrégation raciale, on se pose légitimement cette question de deux poids deux mesures ». En effet, poursuit la leader de ‘’Maa beug sama réw’’, « chacun peut faire ses propres observations : les sénégalais de peau noire et ceux de peau blanche ne sont pas traités à la même enseigne. Ce sont ces derniers qui vaquent  à leurs occupations et leurs loisirs au Lagon Ecurie Océanium Union, situé derrière le palais de Macky. Là,  même certaines salles de sport sont ouvertes parce qu’elles appartiennent à des personnes de couleur blanche, qu’ils soient  des sénégalais, français ou libanais. Mais, tout ça, sous les yeux des sénégalais qui sont impuissants : ‘’dou deugue dou yone’’ », fustige  Awa Thiam qui décrète : « Nous n’allons pas subir ces années d’esclavage et de colonisation. Aujourd’hui, le temps de subir une autre injustice causée par le complexe de nos frères de sang est révolu. Nous refusons de nous sentir étrangers chez nous ».

En tant que sportive de haut niveau dans une discipline très sélect, « nous voudrions profiter de cette période de froid où il n y’a pas pratiquement pas de rassemblement dans les plages pour nous adonner aux entrainements. Mais quand on l’interdit, ces sénégalais qui ont eu l’honneur de porter les couleurs du Sénégal, ont gagné des trophées et ont défendu avec honneur leur pays se sentent pénalisés », dit Awa Thiam.

A la Sénelec, nous avons une vision claire du service que nous devons apporter aux Sénégalais. Le personnel, pour la plupart de jeunes cadres ont une expérience et un niveau d’expertise qui permet de faire face à toutes les difficultés. Vous avez remarqué que depuis quelques années maintenant, il n’y a plus de coupures d’électricité. Nous le devons à la vision éclairée du Président, à l’engagement du personnel et à des valeurs qui nous conduisent sans cesse à privilégier l’intérêt national et les préoccupations des populations. On ne peut plus prendre le risque de perturber le service de l’électricité. C’est pourquoi, nous sommes très pointilleux avec les différents intervenants, d’où qu’ils viennent

 

ELECTRCITE POUR TOUS EN 2025

 

Le Président de la République, SEM Macky Sall nous a instruit de ramener l’électricité, partout au Sénégal en 2025. C’est l’objectif qu’il nous a assigné, alors que même la prévision des bailleurs et partenaires au développement était 2030. Au moment où je vous parle, 2540 localités vont être électrifiées 

Les bailleurs de fonds et les partenaires au développement ont reconnu qu’il y a un portage solide et une volonté politique très claire pour atteindre ces objectifs. Nous y travaillons avec l’ensemble du personnel. Dans le secteur de l’énergie, la vision est claire et on sait comment la concrétiser

 

Compteurs

 

Nous n’avons pas de problème de compteurs, contrairement à ce qui a été dit. Seulement, il y a des procèdures à respecter par le client.  Aujourd’hui tous  les types de compteurs sont disponibles et à la disposition des clientèles dès lors que toutes les pièces exigées sont données. Les abonnements se font tous les jours. Nous avons un bon stock sur place qui sera renforcé d’ici le 15 février, avec la disponibilité de nouveaux compteurs. 

 

SAR

 

Nous entretenons d’excellentes relations avec la Société africaine de raffinage (Sar) nouveau directeur est venu nous voir après son installations pour que nous puissions trouver un Plan d’anticipation d’éventuels problèmes qui pourraient survenir. Nous avons trouvé une solution et des procèdures adaptées.  En terme de facture échue, nous ne devons plus rien à la Sar. L’approvisionnement se fait bien à la satisfaction de toutes les parties prenantes

 

Relations Senelec Etat du Sénégal

 

Le gouvernement est l’actionnaire majoritaire de la Senelec. C’est lui qui définit les objectifs, à travers le conseil d’administration et nous donne toutes les garanties dans les investissement que nous faisons. Dans ce type de relations, on ne peut pas parler de dettes. L’essentiel est que le Président de la République a salué les efforts consentis par la Senelec, dans l’offre de service et dans la gestion . Projets lignes ont été définis par le Président. 

 

Municipalité de Kaolack

Je n’ai aucune prétention ou ambition de diriger la municipalité de Kaolack. Je suis une solution. Je n’ai d’ambition que de réaliser les orientations du Président. Je ferais ce qu’il me dira

 

COVID

 

Nous avons un Plan de continuité de l’activité, malgré la pandémie. Nous avons fait souvent recours au télé-travail selon la progression de la maladie, ce qui nous a permis de faire face aux difficultés.  C’est le lieu de saluer l’action du personnel de la Santé et de leur minsitère de tutelle. Dès le début de la pandémie, la Senelec a contribué pour 50 millions F CFA dans la participation du ministère. Nous avons aussi  fait une participation à hauteur de 200 millions de F Cfa qui est contribution de tous les agents qui ont accepté que  des prélèvements soient faits sur leurs salaires. C’est une manifestation spontanée d’agents volontaristes qui a abouti à ces résultats. La souscription a été remise au ministère des Finances. Nous avons distribué beaucoup de masques à travers le Sénégal et nous participons à  chaque fois que de besoin à la sensibilisation de notre clientèle et de nos agents

Evidemment, nous restons sensibles aux effets de cette pandémie qui a complètement déstabilisé nos pratiques quotidiennes et qui mobilise tout le gouvernement. Nous nous inscrivons dans le sillage déjà tracé par le Président de la République, SEM Macky Sall que je salue à nouveau pour son leadership et la clairvoyance. Il a compris très tôt, avant tout le monde, qu’il nous fallait une mobilisation nationale et un consensus de tous les Sénégalais pour venir à bout de cette maladie

 

Syndicats

 

Les syndicalistes sont des partenaires. Le personnel a témoigné des avancées sur le plan social , valorisation des salaires, revalorisation salariale. Ce crédit est à mettre à l’actif du directeur et des partenares sociaux. Ma porte est ouverte parce que Senelec est une mécanique et un système où chacun a sa part de responsabilité

 

Situation de la Senelec

 

Alhamdoulilah, Senelec se porte à merveille. Vous avez entendu le Président de la République, son Excellence Macky Sall, exprimer son entière satisfaction envers la Senelec lors d’un récent conseil Présidentiel. Nous avons réalisé des bénéfices l’année dernière, ce qui ne s’est jamais fait par le passé. Et croyez moi, c’est une grande prouesse que de réussir à dégager un excèdent dans la gestion malgré un contexte économique et social très défavorable. Aujourd’hui, Il y a un consensus de l’ensemble des acteurs qui régissent le secteur pour saluer les performances enregistrées ces  deux dernières années. L’Agence WARA qui est connue par son intransigeance et sa crédibilité a reconnu dans sa dernière notation les immenses progrès qui ont été réalisés par Senelec autant du point de vue de la compétivité que de la performance et la transparence qui anime le secteur. Je vous répondrais donc en vous disant que  la situation est maitrisée et stabilisée. Les perspectives pour l’avenir sont optimistes pour plusieurs raisons 

  1. L’extension de notre maillage national se poursuit avec un taux d’électrification qui dépasse les prévisions de départ. Non seulement l’électricité progresse en milieu rural mais nous avons renouvellé le parc de production et les outils pour plus de sécurité. Plus de 7000 poteaux en béton sont en train d’être implantés dans plus de 400 villages du Sénégal

 

  1.    Notre plan stratégique 2020 a été cloturé avec beaucoup de succès. Tous les engagements qui ont été pris avec les partenaires ont été respectés à la satisfaction de tous. C’est le lieu de remercier le chef de l’Etat Macky Sall pour sa vision et les valeurs qui l’animent, mais égalemen pour la confiance placée à de jeunes cadres. Il nous a été d’un grand secours pour son appui, ses conseils et ses encouragements. Il accorde une attention toute particulière à la Senelec 

Source de production et appui du gouvernement

En dépit d’ne conjoncture économique et sociale particulièrement défavorable pour Senelec, , nous parvenons à maintenir la qualité du service. Nous sommes passés de 5 ans de situation de déficit chronique avec de multiples problèmes de production réputés insolubles, dispensant un service précaire à la qualité décriée, à une situation d’excèdent budgetaire avec surtout maintenant une Société capable de surmonter toutes les conjonctures et de pérenniser la qualité de son service Le Président qui maîtrise parfaitement les modalités de la tendance constamment en hausse de la demande d’électricité et les aléas qui peuvent affecter la production à tout moment, a choisi dès le départ de viser, non pas un niveau de production couvrant les besoins du moment, mais une production suffisante et toujours en hausse, aménageant un potentiel en réserve qui pourrait être tourné vers l’exportation ou à la demande intérieure en cas de besoin. Le Président nous a demandé de travailler en mode « Fast Track ». Sur le plan de la qualité aussi, la politique définie par le Président a misé sur les énergies renouvelables plus propres. La conséquence est que 22% de la production globale d’électricité dans notre pays est aujourd’hui d’origine renouvelable et nous avons 30% l’année dernière. Grâce à ces efforts conjugués, les potentiels problèmes d’approvisionnement en combustible jusqu’à un certain niveau peuvent être résorbés grâce à la politique de mix énergétique marquée par la diversification avec l’électricité d’origine renouvelable. 

Cette performance, c’est le sacre de la vision du Président de la République et de la politique que lui-même a définie pour le secteur de l’énergie. Nous ne cesseront jamais de le remercier car, il ne faut pas se tromper, ce n’est ni le directeur général de Senelec, ni même le ministre en charge de l’Énergie qui décident de la politique  énergétique à mener pour notre pays. La définition des politiques publiques est du ressort exclusif du Président de la République et tout autre acteur qui y intervient n’agit que dans le cadre de la chaîne d’exécution. C’est le Président qui a décidé de ce qu’il fallait faire pour assurer un service public de l’électricité de qualité. Le résultat donne la qualité de service que vous observez aujourd’hui. Donc, le directeur général actuel et tous les directeurs généraux qui m’ont précédé n’ont  de mérite que du point de vue de leur capacité à s’approprier les politiques définies par le Président, à nous conformer à ses orientations et directives. Aucun de nous ne saurait légitimement revendiquer un mérite personnel dans ce que l’on pourrait qualifier de révolution du service public de l’électricité observée au Sénégal depuis 2012. En ce qui me concerne, étant un produit de Senelec et ayant vécu de l’intérieur les réalités de l’entreprise bien avant l’élection du Président Macky Sall, je dispose d’assez d’éléments référentiels qui me permettent d’apprécier la supériorité de sa vision sur tout ce que nous avons connu avant lui. Je vous ai déjà parlé de son expérience des politiques publiques et de son expertise sur la question énergétique. L’une et l’autre se sont manifestées dans le secteur en y apportant des innovations majeures, tant du point de vue organisationnel que sur le mode de production. C’est tout cela qui a permis de faire passer Senelec 

 

Dossier Akilee

 

J’ai déjà répondu à cette question à plusieurs reprises. Nous gérons au quotidien des choses très importantes pour le pays et je ne regarde plus sur le rétroviseur. La plèmique n’a pas sa vocation d’être parce que l’Etat du Sénégal est très clair sur la question. Je ne peux pas vous dire davantage, sauf que nous sommes en train de trouver une solution à la satisfaction de toutes les parties prenantes

 

Plan Yessal

 

Le Plan Yessal repose sur une vision fédératrice avec des objectifs stratégiques et des leviers d’action : apporter l’électricité à  tous, innovations et maitrise de nos relations avec la          clientèle, la transparence dans la gestion de l’entreprise et la performance. Je peux vous dire déjà que nous avons réalisé l’ensemble des objectifs. C’est d’ailleurs les raisons qui ont fondé l’agence Wara dont je vous parlais plus haut à donner une bonne notation à la Senelec. Nous sommes aujourd’hui une société excédentaire, ce qui ne s’est jamais produit avant. Nous générons  des excédents qui peuvent contribuer au soutien de l’action publique dans d’autres domaines. En ce qui concerne la clientèle, nous avons mis en place une relation fondée sur la confiance, la célérité dans le traitement des demandes et le suivi permanent. Quand à la transparence, elle est devenue l’axe stratégique de notre gestion qui nous a valu les résultats que nous enregistrons aujourd’hui

 

La commune de Keur Mbouki, dans le département de Birkilane (région de Kaffrine), va bientôt étrenner sa mosquée, à l’image des autres localités. En effet, c’est 5 tonnes de ciment que le Président du Conseil Départemental de Birkilane, M. Makhtar Dia vient de doter au vénéré guide Serigne Khadim Lo pour la construction de cette infrastructure religieuse qui avait nécessité le lancement d’un téléthon pour, en plus, achever les travaux du mur de clôture de la résidence religieuse. 

 

En répondant favorablement, avec ses propres moyens, à la demande des chefs religieux du département, le Président du Conseil départemental de Birkilane, par ailleurs Directeur Général de l’Agence Sénégalaise pour la Propriété Industrielle et l’Innovation Technologique (ASPIT) a fait sien l’important projet de modernisation et de réhabilitation des cités religieuses de Son Excellence M. Macky Sall.

 

Comme c’est le cas à chaque sollicitation dont il fait l’objet, M. Makhtar Dia vient d’ériger la commune de Keur Mbouki au rang des autres localités dotées d’une infrastructure religieuse comme celle construite à Diamal, Wanar, Keur Mademba (Mabo), etc.

 

C’est donc 5 tonnes de ciment qui ont été remises par l'honorable Badou Diop devant le Maire de la Commune, Abdoul Aziz Diagne, et plusieurs responsables de la mouvance présidentielle de la Commune et du Département. Pour sa part, le grand dignitaire et  marabout a salué ce geste hautement musulman du Président Dia, avant de prier le bon Dieu pour un Sénégal de paix et de prospérité, mais aussi et surtout, qu'Il bénisse ces efforts et répande Sa grâce sur Son Excellence le Président Macky SALL ainsi que sur l'ensemble de ses collaborateurs dont le DG de l’ASPIT

 

CMU
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