samedi 23 novembre 2024 | Login
Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Les ‘’défanté’’ et les ‘’tontous’’ (attaques et répliques) vont être rangés aux oubliettes dans la section féminine de l'APR Pikine. Lors de l'AG de lancement qui marque le démarrage des activités de remobilisation et d'occupation du terrain, un vibrant appel a été lancé pour que les retrouvailles tant chantées soient enfin une réalité pour le bien du parti présidentiel, du moins dans cette partie où règne la plupart du temps des querelles intestines. Et pour Sadio Bodian, responsable de l’APR D&alifort, « bientôt l’unité sonnera dans nos rangs. Nous allons organiser ce grand meeting pour définitivement sceller l’unité pour le bien de l’APR Pikine ».

Il y a des tendances dans la commune de Pikine. Les militants sont divisés, c’est le grand constat fait par les membres de la section féminine. Les grands responsables sont tout aussi indexés dans les divisions qui minent le fonctionnement du parti, avec des comportements qui portent préjudice à l'unité. D'ailleurs, pour sceller ces retrouvailles, les militantes de la section féminine exigent l’organisation d'un meeting départemental devant tout ce que le parti comme responsables. ''Nous devons montrer au président que nous  ne méritons pas l'étiquette qu'on nous colle. Nos retrouvailles s'imposent à tous les niveaux et dans les prochains jours, ce sera définitivement réglé », rassure Sadio Bodian.

Youssouf NDIONGUE

 

L'ISM nous a habitués à l'organisation de débats et tables rondes sur des questions brûlantes de l'heure. Ce jeudi 30, dans l'enceinte de l'école de formation pour l'enseignement supérieur, le sport était débattu, mais sur les enjeux et défis du sport sénégalais à l'horizon 2022. Et pour Ndongo Ndiaye, ministre conseiller du chef de l'État dans le domaine, ''il convient de faire, à l'image de la transition numérique et celle culturelle qui est en train d'être réussie, la transition du sport''. Cela veut dire, selon lui, qu'on ne doit plus rester dans les mêmes considérations que nous avons toujours eu du sport''.
 
Le sport sénégalais mérite l'organisation d'assises. C'est ce qu'a compris le Groupe ISM qui, en prélude à la Master Class en Marketing sportif qui aura lieu du 25 au 28 février prochain avec les professionnels de Laliga Business School, a initié une table ronde autour du thème portant sur les enjeux et défis du sport sénégalais à l'horizon 2022. Justement pour y arriver avec des gloires, c'est moins le fait que le budget du département soit arrimé à 1% du PIB, que de changer, selon Ndongo Ndiaye, les mentalités pour être en phase avec l'évolution du secteur. Invité à animer la table ronde avec Mame Fatou Ndoye journaliste à la TFM, le ministre conseiller a laissé entendre ceci: "Désormais, on ne doit plus faire le sport après les choses importantes, mais considérer le sport parmi les plus importantes choses à faire''. En effet, s'explique-t-il, " il y a, de manière générale, une transition à faire après la transition numérique et les autres transitions en cours. Déjà, au niveau de la formation, il y a une tendance qui veut qu'on construise une faculté des sciences sportives''. Mais ce qui est sûr, c'est que le Groupe ISM a ouvert le vaste chantier qui est de débattre du sport sénégalais pour se hisser à des standards à l'horizon 2022.
Youssouf Ndiongue

Dans le cadre de la lutte contre la pauvreté en zones vulnérables du Sénégal et de la Guinée, deux pays concernés par le projet de la Cedeao, l’Association des femmes de l’Afrique de l’Ouest (Afao) a expérimenté une méthode qui allie versement d’allocations monétaires directes ou cash flow et distribution de coupons alimentaires. Deux composantes qui ont fini de faire le bonheur des cibles et qui, à l’heure du bilan du projet, suscitent un regain d’intérêts pour les partenaires de l’Etat, notamment la Dgpsn, la Seconda, la CLP, le Pnbsf, entre autres, mais aussi auprès des partenaires tels que l’Agence Espagnole pour la Coopération de Développement Internationale.
L’expérience, la bonne gouvernance, l’intégration de la dimension genre, la lisibilité des opérations, etc. tous ces facteurs ont été déterminants et mis en exergue par l’Afao dans le cadre de la mise en œuvre du projet de réalisation de la résilience des populations du Sénégal, notamment dans les localités de Ngothie (Département de Bambey) et Ndoksarré (Département de Gossas), et de la Guinée Conakry àTougnifilli (Préfecture de Boffa/Région de BOKE) et de Tana (Préfecture de Forecariah / Région de KINDIA. « C’est par souci de conscience qu’on devait toucher les principales cibles que nous avions proposé de combiner simultanément ces deux composantes de remise cash flow et de kits alimentaires de 8 kilogrammes composés de céréales sèches transformées en produits finis. Nous avions, en effet, estimer que le simple fait de disposer seulement de céréales sans d’autres produits pourrait pousser certaines populations à les écouler pour avoir du cash, et cela pourrait avoir des conséquences dans l’impact de promouvoir la résilience. Et donc, le couplage avait été envisagé », s’est justifiée Mme Khady Fall Tall, Présidente de l’Afao, en réunion avec ses partenaires dans ses locaux à Dakar pour apprécier le bilan du projet. Selon elle, « dans la mise en œuvre des filets sociaux de sécurité pour améliorer la santé et l’état nutritionnel des femmes enceintes, allaitantes, pauvres et vulnérables en milieu rural du Sénégal et des enfants orphelins victimes de l’épidémie à virus d’Ebola qui sévissait en Guinée, il fallait développer une stratégie efficace qu’il fallait définir par rapport à ces cibles très affectées. Et donc, l’un dans l’autre, l’importante décision avait été prise de procéder au couplage des 2 principales composantes du projet, à savoir, le versement de cash et de distribution de kits alimentaires. Aujourd’hui, les partenaires se satisfont de cette stratégie, car selon Moustapha Seck, du bureau national de la Cedeao, il y a de réels motifs de satisfaction. Et donc, nous ne manquerons pas, une fois à Abuja, où se discute la suite à donner par rapport à cette initiative, de défendre et de vulgariser l’expérience de l’Afao en la matière ». Dans ce même ordre d’idée, la représentante de l’Agence Espagnole de Coopération tout comme les représentants partenaires des structures de l’Etat se félicitent du résultat d’adhésion des populations qui, in fine, sont non seulement sensibilisées sur les bonnes habitudes alimentaires, l’hygiène et la propreté dans les ménages et les quartiers de leurs localités respectives, mais sont aussi appuyées de manière efficace et efficiente.

Youssouf NDIONGUE

Le ministre du Développement Industriel et des Petites et moyennes industries (PMI), Moustapha Diop, était ce samedi à Louga pour présider un méga meeting organisé par les jeunes de sa localité en l'occurrence Ibrahima Ndiaye Ndiaye qui a quitté Dolly de Mamour Diallo. Une occasion pour l’édile de la ville de renouveler son engagement de faire de la localité une région émergente. Ibrahima Ndiaye Ndiaye, initiateur de ce mega-meeting s’est réjoui de l’engagement et de la disponibilité de l’homme fort de Louga avant de lui renouveler son engagement pour le soutenir à continuer les grands projets qu’il a entamés dans la région. Une occasion également pour les Ndiambour-Ndiambour de témoigner leur fidélité au ministre maire.
 
Le responsable politique Ibrahima Ndiaye Ndiaye a organisé un grand rassemblement dans son quartier natal Artillerie au terrain Ndiangane. Une occasion de réunir toute la jeunesse pour renouveler leur engagement à leur leader Moustapha Diop, ministre de l’Industrie. “Je salue tout le monde ici présent. Je salue monsieur le ministre Moustapha Diop et le remercie pour sa disponibilité de nous avoir honoré par sa présence. Quand j’ai décidé de quitter Mamour Diallo pour Moustapha Diop c’est parce que j'étais persuadé que c’est lui la personne idéale. Il est travailleur et n’est intéressé que par le développement de notre très cher Louga. Les gens ont beaucoup parlé de ma posture mais je tiens à vous assurer que Moustapha Diop est le meilleur des choix. Travailler avec lui revient à contribuer au développement de la localité. Ainsi nous disons au président de la République que Moustapha Diop a tout fait pour la localité. Dans tous les domaines, il a abattu un travail remarquable et colossal. Ce qui a fait d’ailleurs de Louga une ville émergente. Au-delà du social, il est très impliqué dans tout ce qui se passe dans la région. Nous profitons de cette occasion pour assurer le chef de l’Etat qu’il ne s’est pas trompé sur son choix. Il est très engagé, courageux et ne cesse de vanter la politique du président Macky Sall de faire du Sénégal un pays émergent. Ainsi je remercie tout le monde et renouvelle mes engagements auprès du ministre pour un Sénégal émergent”, a laissé entendre Ibrahima Ndiaye Ndiaye.
 
Le ministre Moustapha Diop, prenant la parole, a remercié son frère avant de décliner ses ambitions de continuer le travail entamé.
 
“Je salue tous ceux qui sont ici présents en particulier mon jeune frère Ibrahima Ndiaye Ndiaye qui est à l’initiative de cette rencontre très importante pour nous. Je suis très honoré de me retrouver parmi vous pour échanger et communier avec tous ceux qui ont répondu chaleureusement à cet appel. Je suis très content et fier de vous. Cette forte mobilisation montre que vous êtes toujours unis autour de l’essentiel, c’est à dire travailler pour notre très cher pays en général et notre cher Louga en particulier. 
Je me félicite de travailler avec un jeune comme Ibrahima Ndiaye Ndiaye qui est sincère et courageux. Il n’a jamais triché avec moi et travaille sans relâche pour m’aider à réaliser le travail que je fais pour Louga et le Sénégal. Il est conscient de mon engagement auprès de Macky Sall et ne cesse de nous soutenir. Je le remercie et lui demande de continuer sur cette voie”, a-t-il dit.
Cependant, le Ministre-Maire a aussi profiter de cette occasion pour lancer un appel aux 23 comités de Louga de s’unir davantage pour nous aider à réaliser nos projets mais également de nous permettre à continuer le travail que nous avons déjà  démarré. " Ainsi, je tiens à dire que cette rencontre annonce  le début de ma campagne pour continuer le travail”, a-t-il prévenu.
Le ministre du développement  Industriel se dit très fier de la jeunesse de sa localité qui est très déterminée. Il rappelle ainsi son engagement pour faire de cette région une ville émergente.
Après avoir réalisé d’importants projets, Monsieur Diop rappelle que d’autres s'en suivront dont la mise en place de lampadaires dans la région. Par ailleurs, il a profité de cette cérémonie pour dire et lancer des piques aux membres de Aar Boulevard Abdou diouf qu' il ne va pas reculer et qu' il fera de ce boulevard comme les Champs Élysées de Paris.

Dakar abrite, du 5 au 6 mars 2020, la 4ème édition du Forum international des organisations de la société civile des pays membres de l’Organisation pour la Conférence Islamique (OCI). En prélude à cette importante activité, les organisateurs ont campé les enjeux d’une initiative commune des pays membres de l’organisation à faire face aux nombreux défis qui interpellent les musulmans…

Après les deux premiers fora tenus au Caire (Egypte) et le troisième à Bagdad (Iraq), les organisations de la société civile ont porté leur choix sur la capitale sénégalaise, les 5 et 6 mars prochain. L’objectif de la quatrième édition à Dakar est de parvenir à pouvoir mobiliser enfin les états membres de afin d’avoir une vision et des actions communes face aux agressions perpétrées contre les musulmans du monde de manière générale. Mais aussi pour Bamba Ndiaye, ancien Ministre et membre de l’organisation, « pour mieux déterminer le rôle desdites organisations dans l’unification du monde musulman et dans la protection de ses institutions ». En plus des états membres de l’OCI, les organisations de la société civile vont accompagner les initiatives et les politiques dans le cadre des interventions par la mise sur pied d’un cadre d’échange, de réflexion et d’action. Une façon de relever les défis liés aux guerres fratricides, attaques terroristes, catastrophes naturelles, tentatives de division des pays membres de la Oummah. « Le Forum vise à inviter l’Etat, les organisations de la société civile des pays membres de l’OCI de mieux renforcer leur unité, mais de travailler aussi dans le sens de sauver les populations de nos pays de l’ignorance, de la faim et des guerres », a soutenu Mamadou Bamba Ndiaye. Ce forum sera l’occasion de discuter des principales ressources naturelles, minières et minéralières dont disposent les états de l’OCI afin de les sauvegarder, mais aussi d’alerter les risques encourus. « La plupart des ressources naturelles se retrouvent chez nous, mais malheureusement, nos pays sont plus pauvres ». Selon le religieux, « cela est dû à l’ignorance et à l’analphabétisme dont souffrent lesdits pays. Face à cela, les organisations de la société civile se sentant aussi responsables que les Etats et les individus, décident de conjuguer leurs efforts, d’échanger leurs expériences et de mutualiser leurs forces pour éradiquer ces fléaux qui gangrènent nos sociétés et menacent dangereusement la paix et la sécurité dans le monde.

Youssouf NDIONGUE

L'ISM nous a habitués à l'organisation de débats et tables rondes sur des questions brûlantes de l'heure. Ce jeudi 30, dans l'enceinte de l'école de formation pour l'enseignement supérieur, le sport était débattu, mais sur les enjeux et défis du sport sénégalais à l'horizon 2022. Et pour Ndongo Ndiaye, ministre conseiller du chef de l'État dans le domaine, ''il convient de faire, à l'image de la transition numérique et celle culturelle qui est en train d'être réussie, la transition du sport''. Cela veut dire, selon lui, qu'on ne doit plus rester dans les mêmes considérations que nous avons toujours eu du sport''.
 
Le sport sénégalais mérite l'organisation d'assises. C'est ce qu'a compris le Groupe ISM qui, en prélude à la Master Class en Marketing sportif qui aura lieu du 25 au 28 février prochain avec les professionnels de Laliga Business School, a initié une table ronde autour du thème portant sur les enjeux et défis du sport sénégalais à l'horizon 2022. Justement pour y arriver avec des gloires, c'est moins le fait que le budget du département soit arrimé à 1% du PIB, que de changer, selon Ndongo Ndiaye, les mentalités pour être en phase avec l'évolution du secteur. Invité à animer la table ronde avec Mame Fatou Ndoye journaliste à la TFM, le ministre conseiller a laissé entendre ceci: "Désormais, on ne doit plus faire le sport après les choses importantes, mais considérer le sport parmi les plus importantes choses à faire''. En effet, s'explique-t-il, " il y a, de manière générale, une transition à faire après la transition numérique et les autres transitions en cours. Déjà, au niveau de la formation, il y a une tendance qui veut qu'on construise une faculté des sciences sportives''. Mais ce qui est sûr, c'est que le Groupe ISM a ouvert le vaste chantier qui est de débattre du sport sénégalais pour se hisser à des standards à l'horizon 2022.
Youssouf Ndiongue

Ceux qui s’activent dans le mouvement Nio Lank se singularisent par des attitudes hostiles à la quiétude et au respect des normes édictées par le pouvoir. Selon le bureau exécutif des personnes handicapées, par la voix de son président Toumany Camara, « au moment où Le Président Macky Sall prône le dialogue National et invite les participants à discuter de tout avec un grand T, on ne saurait comprendre l’attitude de Guy Marius Sagna et Compagnies attaquer le régime. Dans des situations pareilles qui interpellent le consensus et le dialogue pour trouver des solutions définitives et durables pour la cause nationale, il faut savoir raison garder et avoir le courage de se mettre autour d’une table plutôt que de faire la politique de la terre brulée. Cela ne nous étonne pas, outre mesure, d’autant plus que je les considère comme des énergumènes dans les mouvements sociaux qui agissent comme des opposants, à l’image de Sonko. Mais cette stratégie ne saurait prospérer car le peuple Sénégalais, ce grand Peuple, n’est pas dupe. Ils savent que la hausse est faite pour quelques temps et que le Sénégal sera bientôt un pays producteur de pétrole. Ce qui entraînera une plus-value et la révision pour une éventuelle baisse du coût de l’électricité et de tous les autres biens sociaux. On doit comprendre que l’argent gagné dans la hausse est destiné à l’extension du réseau électrique pour desservir le monde rural travers », a théorisé Toumany Camara.

Abordant la question sur la crise scolaire et la situation des Enseignants, le bureau exécutif du mouvement des handicapés républicains estime que l’enseignant doit être tout simplement un éducateur. Selon eux, « enseigner est un sacerdoce et une responsabilité à la limite divine, « c’est  angélique, car l’Ange Djibril a été le premier enseignant », rappellent Toumany Camara et ses camarades. Pour qui, « l’enseignant doit avoir comme arme la craie et la plume et doit s’adosser à un discours responsable, républicain qui forme le citoyen, plutôt que la pierre et un discours qui frisent la violence et la haine ». « Avec le Président Macky Sall, l’enseignant est le plus payé de la Fonction Publique. Le Gouvernement leur a octroyé beaucoup de privilèges dans les domaines de la formation, des logements Sociaux, l’augmentation des Salaires etc. », applaudissent-ils.

Evoquant le cas de Moustapha DIAKHATE, Toumany Camara sort le sabre : « Moustapha Diakhaté sait pertinemment qu’une structure politique est régie par la discipline et que le principe du secret d’Etat régit la marche d’une nation. Il a tort d’être dans l’APR et de l’attaquer dans les radios, télévisions, voire dans la rue. Nous ne sommes pas surpris par son attitude parce qu’il est coutumier des faits. Seulement nous avons honte par son attitude et son discours au rabais indigne de sa part. Qu’est-ce que Le Président Macky Sall n’a pas fait pour Moustapha DIAKHATE ? Président de groupe parlementaire de Benno Bokk Yakkaar, ministre chef de cabinet, ministre conseiller entre autres privilèges à lui accordés et dont nous ne pouvons tout évoquer ici. Nous saluons à sa juste valeur la décision du Conseil de discipline du parti qui l’a exclu. On ne peut pas être partisan et opposant », déclare Toumany. Sur le plan International, le bureau exécutif salue la dimension de la carrure du Président Macky Sall. « Il a une dimension internationale qui force le respect. Il a noué des relations d’amitié, de convivialité avec beaucoup de pays du Monde et surtout avec les puissances occidentales. Sa vision sur ce plan est à l’origine de la venue des bailleurs qui investisseurs pour notre économie. Nous le félicitons de l’accueil qu’il a réservé à son hôte le Président Turc Recep Taib Erdogan dont la visite a accouché de la signature de beaucoup de conventions de partenariat bénéfiques à notre pays ». Le Bureau Exécutif National salue a décerné une mention spéciale à son président, e l’occurrence le Président Toumany CAMARA qui ne ménage aucun effort pour la marche du Mouvement National des Handicapes Républicains du Sénégal. « Sa disponibilité pour le mouvement, son sens de l’écoute et sa promptitude à l’action ne sont plus à démontrer. Il lance donc un vibrant hommage au Président de La République du Sénégal Macky Sall, Président du Parti pour son courage et sa lucidité d’Homme d’Etat. Il lui renouvelle sa fidélité et son attachement indéfectible pour un Sénégal émergent.

mercredi, 29 janvier 2020 22:12

POUR TOUT SAVOIR SUR AKILEE

 AKILEE a été créée par Amadou LY, Victor NDIAYE et Samba Laobé NDIAYE qui accumulent à eux 70 ans d’expériences professionnelles cumulées. Ils sont diplômés des grandes écoles françaises Centrale Paris, Grenoble INP et HEC ; et ont travaillé dans les plus grandes entreprises au monde avant de réunir leurs compétences au service de leur continent car l’Afrique est bien la cible d’AKILEE.

  • Le contrat entre AKILEE et Senelec dont on parle, n’est pas le seul contrat entre les deux sociétés. Il y’en a eu plein d’autres pourquoi c’est celui là qui attire les regards. Ce n’est pas seulement à cause du montant, c’est aussi et surtout parce qu’il y avait tout un réseau de dealers/intermédiaires dont l’activité ne consistait en rien sinon se débrouiller pour accéder à des informations confidentielles sur les marchés à Senelec, en corrompant des agents impliqués dans les marchés, pour faire en sorte de faire gagner les entreprises qu’ils représentaient. Naturellement celles-ci les payer pour ces services. Il n’y aucun emploi créé, aucune connaissance transférée, aucune technologie maîtrisée et on renforce la dépendance de nos pays. Peut-on accepter cela ? La réponse est non.
  • Le contrat de 186 milliards dont il est question ambitionne de réduire les pertes de près de 325 milliards et de réduire les charges d’exploitation de près de 200 milliards sur 10 ans. Soit plus de 500 milliards de gains escomptés sur 10 ans. Ces impacts ne tiennent pas compte du fait que Senelec est actionnaire à 34% d’AKILEE et que donc toute la valeur créée par AKILEE dans les années à venir reviendra à Senelec à hauteur de cette participation. C’est une formidable source de diversification des revenus quant on connait le potentiel d’AKILEE.
  • On parle d’un contrat de 186 milliards en faisant exprès d’occulter quelques points fondamentaux :

o   D’abord le fait qu’il s’agit d’un contrat cadre sur 10 ans pour déployer, installer et exploiter un système de comptage intelligent qui sera constitué à terme, entre autres, de 2742600 compteurs et qui s’appuie sur des logiciels développés et appartenant à des Sénégalais (question de souveraineté et de sécurité nationales).

o   Ensuite que le projet est financé par AKILEE à hauteur de 85% et que Senelec bénéficie d’une facilité de remboursement du CAPEX sur 4 ans avec un an de différé, ce qui signifie que le contrat est payé en 14 ans.

o   Enfin que les compteurs en question ont été spécifiés pour une durée de vie garantie de 20 ans. Ce qui signifie que le coût de revient d’un compteur, tout équipé, sécurisé et exploité, est d’environ 283 FCFA/mois/compteur. Chaque sénégalais paye une redevance mensuelle de 429 FCFA déjà aujourd’hui pour justement permettre à Senelec de lui installer un compteur, d’exploiter ce compteur et de maintenir ce compteur. Cela signifie que le projet structurant qui a été lancé pour éviter au Sénégal de perdre 1273 milliards FCFA dans les 10 prochaines années, n’a aucun impact financier sur la facture. Au contraire, il va contribuer à baisser la facture en augmentant les revenus de Senelec.

  • AKILEE a créé à ce jour 87 emplois directs (dont 70% est constitué d’emplois hautement qualifiés Bac+5 et au-delà) et près d’une centaine d’emplois indirects (prestataires installateurs, gardiennage, restauration et divers autres services). L’ambition affichée rien qu’au Sénégal est de créer au moins 750 emplois directs et près de 2500 emplois indirects.
  • Qu’est-ce qu’AKILEE a apporté à Senelec ? De l’efficacité et des économies. AKILEE a permis de faire économiser à Senelec près de 3 milliards de FCFA depuis 2017. Ces économies pour les projets déjà démarrés sont estimées à près de 40 milliards dans les 10 prochaines. AKILEE a permis de réduire les délais d’approvisionnement des compteurs Woyofal actuels de plus de 75% en passant de 12 mois en moyenne lorsqu’on passe par les appels d’offres à 2,7 mois. AKILEE a permis de supprimer les frais financiers liés à ces transactions.
  • Qu’est-ce que les nouveaux compteurs vont apporter à la clientèle. Aujourd’hui près de 40% de la clientèle de Senelec est au prépaiement (Woyofal) ; mais nombre de ces clients se plaignent de ne pas pouvoir recharger leurs compteurs à distance et surtout d’avoir à taper un long code de 20 chiffres sur un clavier, de ne pas comprendre réellement l’autonomie dont ils disposent parce que tout le monde n’est pas familier avec le kWh (kilo Watt heure) utilisé pour compter l’énergie. Avec les nouveaux compteurs fournis par AKILEE, baptisés Woyofal+, les clients pourront : suivre leurs consommations depuis n’importe quel endroit au monde, acheter du crédit depuis n’importe où, transférer ce crédit automatiquement au compteur sans taper un seul chiffre, être alertés à distance, quand ils sont hors de chez eux, du crédit qui s’épuise (plus besoin d’être à côté du compteur ou du clavier Woyofal pour entre ou voir l’alarme), voir leur autonomie de consommation exprimé en jours ou en FCFA, ce que tout le monde comprend plus aisément... Définitivement Woyofal+ va transformer l’expérience du client Senelec, sans parler maintenant de la traçabilité qu’il y aura sur la qualité de l’énergie qui est fournie à chaque client (notamment la tension) pour faciliter l’arbitrage en cas de réclamation d’un client sur de potentiels dommage sur les équipements électriques.
  • Pourquoi il n’y a pas eu appel d’offres ? Parce qu’AKILEE comme toutes les filiales de Senelec (Excellec, Simelec, ERS…) peut signer avec Senelec des contrats dans le cadre de convention réglementés tel que permis par les actes uniformes de l’OHADA. Senelec est une société anonyme à laquelle s’applique ce droit communautaire. Mais le plus important est de se demander s’il y avait une concurrence. La réponse est oui, mais précisons tout de suite que touts les autres sociétés sont étrangères (y compris la Sonatel dont le nom a été évoqué par le journaliste, malgré le fait de ne pas avoir la compétence chez eux et de vouloir s’accaparer des cette opportunité stratégique pour le pays dans le secteur de l’énergie comme ils l’ont déjà fait dans les télécoms). On peut citer ENEL, HUAWEI, CLOU, SAGEMCOM, ENEDIS, ITRON, EL SEWEDY, CONLOG… Toutes ces sociétés ont en commun de n’avoir jamais voulu passer par un appel d’offres. Elles ont toutes proposé une solution de financement pour une signature en gré à gré alors même que Senelec n’a aucun lien avec eux ; contrairement à AKILEE où elle détient 34% des parts, sans parler encore du fait qu’il n’y aurait aucun transfert de compétences parce que toutes ces sociétés savent que le cœur de ce projet est dans les systèmes et auraient proposé que leurs systèmes soient juste utiliser par Senelec sans aucune propriété locale, encore moins la moindre capacité d’adaptation ou d’évolution locale. Cette dépendance représenterait un risque extrême pour le pays. D’ailleurs tous les pays qui ont déployés ces systèmes de comptage intelligents ont toujours gardé le contrôle du système.
mercredi, 29 janvier 2020 22:05

POUR TOUT SAVOIR SUR AKILEE

 AKILEE a été créée par Amadou LY, Victor NDIAYE et Samba Laobé NDIAYE qui accumulent à eux 70 ans d’expériences professionnelles cumulées. Ils sont diplômés des grandes écoles françaises Centrale Paris, Grenoble INP et HEC ; et ont travaillé dans les plus grandes entreprises au monde avant de réunir leurs compétences au service de leur continent car l’Afrique est bien la cible d’AKILEE.

  • Le contrat entre AKILEE et Senelec dont on parle, n’est pas le seul contrat entre les deux sociétés. Il y’en a eu plein d’autres pourquoi c’est celui là qui attire les regards. Ce n’est pas seulement à cause du montant, c’est aussi et surtout parce qu’il y avait tout un réseau de dealers/intermédiaires dont l’activité ne consistait en rien sinon se débrouiller pour accéder à des informations confidentielles sur les marchés à Senelec, en corrompant des agents impliqués dans les marchés, pour faire en sorte de faire gagner les entreprises qu’ils représentaient. Naturellement celles-ci les payer pour ces services. Il n’y aucun emploi créé, aucune connaissance transférée, aucune technologie maîtrisée et on renforce la dépendance de nos pays. Peut-on accepter cela ? La réponse est non.
  • Le contrat de 186 milliards dont il est question ambitionne de réduire les pertes de près de 325 milliards et de réduire les charges d’exploitation de près de 200 milliards sur 10 ans. Soit plus de 500 milliards de gains escomptés sur 10 ans. Ces impacts ne tiennent pas compte du fait que Senelec est actionnaire à 34% d’AKILEE et que donc toute la valeur créée par AKILEE dans les années à venir reviendra à Senelec à hauteur de cette participation. C’est une formidable source de diversification des revenus quant on connait le potentiel d’AKILEE.
  • On parle d’un contrat de 186 milliards en faisant exprès d’occulter quelques points fondamentaux :

o   D’abord le fait qu’il s’agit d’un contrat cadre sur 10 ans pour déployer, installer et exploiter un système de comptage intelligent qui sera constitué à terme, entre autres, de 2742600 compteurs et qui s’appuie sur des logiciels développés et appartenant à des Sénégalais (question de souveraineté et de sécurité nationales).

o   Ensuite que le projet est financé par AKILEE à hauteur de 85% et que Senelec bénéficie d’une facilité de remboursement du CAPEX sur 4 ans avec un an de différé, ce qui signifie que le contrat est payé en 14 ans.

o   Enfin que les compteurs en question ont été spécifiés pour une durée de vie garantie de 20 ans. Ce qui signifie que le coût de revient d’un compteur, tout équipé, sécurisé et exploité, est d’environ 283 FCFA/mois/compteur. Chaque sénégalais paye une redevance mensuelle de 429 FCFA déjà aujourd’hui pour justement permettre à Senelec de lui installer un compteur, d’exploiter ce compteur et de maintenir ce compteur. Cela signifie que le projet structurant qui a été lancé pour éviter au Sénégal de perdre 1273 milliards FCFA dans les 10 prochaines années, n’a aucun impact financier sur la facture. Au contraire, il va contribuer à baisser la facture en augmentant les revenus de Senelec.

  • AKILEE a créé à ce jour 87 emplois directs (dont 70% est constitué d’emplois hautement qualifiés Bac+5 et au-delà) et près d’une centaine d’emplois indirects (prestataires installateurs, gardiennage, restauration et divers autres services). L’ambition affichée rien qu’au Sénégal est de créer au moins 750 emplois directs et près de 2500 emplois indirects.
  • Qu’est-ce qu’AKILEE a apporté à Senelec ? De l’efficacité et des économies. AKILEE a permis de faire économiser à Senelec près de 3 milliards de FCFA depuis 2017. Ces économies pour les projets déjà démarrés sont estimées à près de 40 milliards dans les 10 prochaines. AKILEE a permis de réduire les délais d’approvisionnement des compteurs Woyofal actuels de plus de 75% en passant de 12 mois en moyenne lorsqu’on passe par les appels d’offres à 2,7 mois. AKILEE a permis de supprimer les frais financiers liés à ces transactions.
  • Qu’est-ce que les nouveaux compteurs vont apporter à la clientèle. Aujourd’hui près de 40% de la clientèle de Senelec est au prépaiement (Woyofal) ; mais nombre de ces clients se plaignent de ne pas pouvoir recharger leurs compteurs à distance et surtout d’avoir à taper un long code de 20 chiffres sur un clavier, de ne pas comprendre réellement l’autonomie dont ils disposent parce que tout le monde n’est pas familier avec le kWh (kilo Watt heure) utilisé pour compter l’énergie. Avec les nouveaux compteurs fournis par AKILEE, baptisés Woyofal+, les clients pourront : suivre leurs consommations depuis n’importe quel endroit au monde, acheter du crédit depuis n’importe où, transférer ce crédit automatiquement au compteur sans taper un seul chiffre, être alertés à distance, quand ils sont hors de chez eux, du crédit qui s’épuise (plus besoin d’être à côté du compteur ou du clavier Woyofal pour entre ou voir l’alarme), voir leur autonomie de consommation exprimé en jours ou en FCFA, ce que tout le monde comprend plus aisément... Définitivement Woyofal+ va transformer l’expérience du client Senelec, sans parler maintenant de la traçabilité qu’il y aura sur la qualité de l’énergie qui est fournie à chaque client (notamment la tension) pour faciliter l’arbitrage en cas de réclamation d’un client sur de potentiels dommage sur les équipements électriques.
  • Pourquoi il n’y a pas eu appel d’offres ? Parce qu’AKILEE comme toutes les filiales de Senelec (Excellec, Simelec, ERS…) peut signer avec Senelec des contrats dans le cadre de convention réglementés tel que permis par les actes uniformes de l’OHADA. Senelec est une société anonyme à laquelle s’applique ce droit communautaire. Mais le plus important est de se demander s’il y avait une concurrence. La réponse est oui, mais précisons tout de suite que touts les autres sociétés sont étrangères (y compris la Sonatel dont le nom a été évoqué par le journaliste, malgré le fait de ne pas avoir la compétence chez eux et de vouloir s’accaparer des cette opportunité stratégique pour le pays dans le secteur de l’énergie comme ils l’ont déjà fait dans les télécoms). On peut citer ENEL, HUAWEI, CLOU, SAGEMCOM, ENEDIS, ITRON, EL SEWEDY, CONLOG… Toutes ces sociétés ont en commun de n’avoir jamais voulu passer par un appel d’offres. Elles ont toutes proposé une solution de financement pour une signature en gré à gré alors même que Senelec n’a aucun lien avec eux ; contrairement à AKILEE où elle détient 34% des parts, sans parler encore du fait qu’il n’y aurait aucun transfert de compétences parce que toutes ces sociétés savent que le cœur de ce projet est dans les systèmes et auraient proposé que leurs systèmes soient juste utiliser par Senelec sans aucune propriété locale, encore moins la moindre capacité d’adaptation ou d’évolution locale. Cette dépendance représenterait un risque extrême pour le pays. D’ailleurs tous les pays qui ont déployés ces systèmes de comptage intelligents ont toujours gardé le contrôle du système.

Les centaines de milliards annoncés avec pompe qui allaient pleuvoir dans les communes de Thilogne, Dabit, Oréfondé et Agnam, suite à la signature de convention de financement entre le GIC et OWAC Engineering Company risquent de semer les graines d’une discorde prononcée. En effet, le Collectif pour la défense des Intérêts du Bossea est monté au créneau ce mercredi pour souligner des incohérences qui invalident le projet. Ainsi, les Ministres Cheikh Kanté et Yaya Abdoul Kane qui avaient procédé à la signature de convention sont ainsi désavoués par Aliou Hamady Ba, Harouna Demba Seck et les défenseurs du Bossea.

« 700 milliards FCFA, soit le tiers ou le quart du budget du Sénégal pour des communes dont la population ne fait pas 100.000 habitants », c’est le président de la République qui doit s’intéresser à cette affaire. En tout cas, il y a tellement d’incohérences dans ce projet que le Ministre de la décentralisation avait refusé lors des mettre dans le présidium », a informé Harouna Demba Seck, porte-parole du collectif qui a fait face à la presse pour informer sur cette affaire qui sonne, pour eux, comme une nébuleuse. Pour rappel, le 9 décembre 2019, une signature de convention de financement axée sur l’économie circulaire dans le cadre du projet ‘’SénégalDévBossea’’, avait réuni à Dakar, plus précisément à l’hôtel Terrou bi, le Président du Groupement d’Intérêt Communautaire (GIC) Yaya Abdoul Kane, Francesco Martello, représentant l’entreprise italienne Owac Engineering Company, sous la présidence du Ministre en Charge du Suivi du PSE Cheikh Kanté. Se prononçant plus tard sur cette affaire, le député Farba Ngom spécifiait que cette affaire était entamée depuis le temps de Me Wade au pouvoir, et donc, c’est aujourd’hui qu’elle connait un aboutissement heureux. 50 jours plus tard, des jeunes de la région de la Matam soulignent des irrégularités qui risquent de capoter ce projet si les financements ne sont pas encore déboursés. Pour Aliou Hamady Ba et Harouna Seck, le Collectif pour la défense du Bossea a relevé neuf incohérences dont les plus visibles sont : 1) la signature d’une convention de financement d’un tel montant sans qu’il y’ait un projet clairement défini. 2) le GIC ne disposant d’aucun document de planification à court, moyen et long terme, la référence aux documents des communes respectives ne peut pas être une simple addition. 3) un contrat BOOT d’une durée de 500 mois est une forme de cession des ressources concernées. 4) la RSE jusqu’à présent, telle que recouverte dans nos collectivités territoriales, n’est pas encadrée et les principes de bonne gouvernance ont toujours fait défaut. 5) l’entreprise signataire, OWAC, étant spécialisée dans la construction d’usines de traitement de déchets, de leur recyclage à des fins de productions énergétiques, aurait peu ou pas de matière dans le contexte du Bossea. 6) l’idée de transformation du territoire du GIC en une zone économique spéciale (ZES) laisse entendre qu’il existe des ressources suffisamment inexploitées qui nécessiteraient le concours de plusieurs entreprises. Pour toutes ces raisons, ces jeunes interpellent le Président Macky Sall avant la mise en œuvre non souhaitée du projet dans ces conditions. Mieux, ils exigent des membres du GIC, notamment son président, la réponse aux questions ci-après : A combien d’hectares représente l’assiette foncière dont a besoin l’entreprise OWAC ? Quelles ont été les étapes de la négociation pour l’obtention de ce financement record dans l’histoire des collectivités locales au Sénégal ? Quelles sont les obligations du GIC dans le cadre de cette convention ? Quelles sont les garanties que l’entreprise OWAC a reçues du GIC pour venir investir dans l’environnement du Bossea ? Quel est l’objet principal de ce projet, distinctement des domaines d’activités qu’il va toucher ? Comment ce sera mis en œuvre ce projet sachant que le BOOT ne laisse aucune marge de manœuvre au GIC et que ce dernier n’a jamais mis en œuvre un projet d’envergure ? Quelle compétence dispose le GIC en matière de gestions de fonds privés, ou bien si les fonds sont gérés par l’entreprise OWAC comment seront-ils utiles pour le GIC ? Pour le Collectif pour la Défense des Intérêts du Bossea

Youssouf NDIONGUE

 

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