Malal DIALLO Pithi
FADILOU KEITA, CE FILS À MAMAN QUI TENTE D'EXISTER...EN VAIN.
L'arrivée au pouvoir du Président Bassirou Diomaye Faye s'est faite aussi, hélas, avec celle d'individus incultes et prétentieux.
Invité de l'émission grand jury, le directeur général de la caisse des dépôts et consignations, Fadilou Keita, s'est illustré par une utilisation catastrophique du français et une ignorance totale du fonctionnement de l'état.
À l'entendre, débiter des propos desarticulés tout au long de cette émission d'une heure qui lui a paru pourtant être une éternité, tant il avait du mal à convaincre, j'ai eu pitié pour mon peuple.
Ainsi, ce sont de tels individus qui sont chargés de conduire les destinées de nos populations ?
Non seulement, le sieur Fadilou Keita est resté superficiel, mais il a passé tout son temps à porter des accusations fantaisistes et dénuées de sens contre le Président Macky Sall et son gouvernement.
Et, comme d'habitude, on a l'impression que ceux qui nous gouvernent ne savent toujours pas quoi faire ni où mettre les pieds.
Ils se répètent et tournent en rond, tels des fourmis sans pheromones.
J'aurais pu mépriser Fadilou Keita et éviter de lui consacrer mon temps, tant il a été médiocre, s'il ne s'était pas evertué à tenter, vainement, de salir l'image du Président Macky Sall et à nier le bel l'héritage qu'il a laissé derrière lui.
D'abord, c'est indécent de mêler le nom du Président Macky Sall aux événements malheureux de mars 2021 et de tout ce qui s'en est suivi, tout simplement parceque le seul responsable de ces événements reste le pastef et son chef.
Aucun chef d'état n'ose laisser impuni des actes de vandalisme et de bravades face aux forces de l'ordre.
Le Président Macky Sall avait la responsabilité de l'ordre et de la sécurité publique et il l'a pleinement exercer, conformément, aux exigences de l'état de droit qui est le notre.
L'irresponsabilité de certains militants du pastef les conduit à toujours se décharger sur les autres pour ne pas s'assumer.
Ensuite, c'est de la pure prétention et de l'ignorance que d'affirmer, comme l'a fait, le sieur Fadilou Keita, que le Président Macky Sall aurait bradé les intérêts nationaux dans le domaine des hydrocarbures.
Cet individu ne sait peut être pas que son Excellence Macky Sall est l'un des meilleurs spécialistes de ce domaine, tant dans l'exploration que dans la connaissance des enjeux et défis liés à ce secteur.
Mais, quand on existe qu'à travers le nom de sa maman, comme Fadilou Keita, on ne peut avoir d'égards envers le savoir faire et l'expérience d'un homme doté d'une dimension internationale, tel que le Président Macky Sall.
Et, enfin, que ce Fadilou Keita se le tienne pour dit, nous ne laisserons pas le nom du Président Macky Sall vilipendé et servir à occuper le vide existentiel de politiciens sans vision et sans imagination, dépassés par la lourdeur des responsabilités qu'ils ont pourtant voulu exercer, à tout prix.
Le Président Macky Sall n'a jamais autant brillé qu'aujourd'hui dans le monde, où il fait honneur à notre pays et à son peuple à travers les nombreuses sollicitations dont il faut l'objet, notamment, pour la résolution des problèmes de développement dans un monde qui fait face à des changements inédits et périlleux.
Et, j'espère que la prochaine fois que le sieur Fadilou Keita sera invité à une grande émission, il fera l'effort de travailler ses sujets au lieu de faire honte aux autorités qui l'ont nommé avec sa si grande vacuité intellectuelle.
Vive le Président Macky Sall
Vive le Sénégal
n Visite à la ferme de Ngouye: Dr Mabouba Diagne se satisfait
En effet, c'est une visite qui a été effectuée par le Ministre Dr Mabouba Diagne au niveau de la Ferme agricole villageoise moderne de Ngouye. Occasion de faire l'état des lieux de la part du ministre qui se dit satisfait. D'importants mesures ont été également prises.
Ce lundi 15 juillet 2024 , Dr Mabouba Diagne, Ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Élevage, a visité la ferme agricole villageoise moderne de Ngouye, située dans la commune de Réfane, département de Bambey, région de Diourbel. Il faut signaler que cette ferme, réalisée par le Programme d’Appui régional à l’Initiative pour l’Irrigation au Sahel (Pariis-Sénégal), en collaboration avec l’Agence nationale d’Insertion et de Développement agricole ( ANIDA Sénégal ), représente un modèle d’innovation et de développement durable pour l’agriculture sénégalaise.
Le ministre Dr Mabouba Diagne a souligné l'importance de ce projet pour la promotion de la souveraineté alimentaire et la valorisation des ressources locales. Il a également félicité les acteurs impliqués pour leur engagement et leur contribution au développement rural.
La visite a également permis de constater les avancées notables réalisées dans le domaine de l’agriculture moderne et de l’élevage, ainsi que les perspectives prometteuses pour les agriculteurs locaux.
Mamadou Touré
Bassirou Diomaye Faye rassure le chef des Nations unies du ‘’plein soutien’’ de son pays
Le président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, a assuré le secrétaire général des Nations unies, António Guterres, mercredi, à New York, du ‘’plein soutien’’ du Sénégal à l’exercice de ses fonctions à la tête de cette organisation internationale confrontées à ‘’de grandes turbulences mondiales’’.
‘’Je salue également l’engagement constant du secrétaire général, monsieur António Guterres, dont les efforts pour promouvoir la paix, la dignité humaine et le multilatéralisme sont plus que jamais nécessaires. Le Sénégal renouvelle son plein soutien à sa mission en ces temps de grandes turbulences mondiales’’, a déclaré M. Faye en s’exprimant depuis la tribune des Nations unies, à l’occasion de la 79e session ordinaire de l’Assemblée générale de l’institution.
‘’L’unité dans la diversité est la clé pour garantir la paix, le développement durable et la dignité humaine pour tous, partout dans le monde’’, a ajouté le chef de l’État sénégalais en parlant du thème de la 79e Assemblée générale des Nations unies : ‘’Ne laisser personne de côté : agir ensemble pour la paix, le développement durable et la dignité humaine des générations présentes et futures’’.
Il estime que le choix de ce thème est une invitation faite aux dirigeants des pays membres de l’organisation de ‘’repenser [leurs] responsabilités collectives’’. ‘’Ce thème […] nous invite à repenser nos responsabilités collectives et à nous assurer que les principes fondateurs des Nations unies, définis il y a près de huit décennies, continuent de porter la promesse d’un monde plus juste et plus équitable.’’
‘’Nous vivons dans un monde troublé, où les principes de la charte des Nations unies, qui prônent l’égalité, la justice et le respect des droits humains, sont chaque jour mis à mal’’, a signalé Bassirou Diomaye Faye.
‘’Les conflits s’étendent, les inégalités se creusent, et les crises climatiques aggravent la vulnérabilité de millions de personnes à travers le monde’’, a-t-il martelé, estimant que ‘’nous assistons à une remise en cause inquiétante du multilatéralisme, à un moment où l’humanité en a le plus besoin’’.
Éloigner le spectre de la guerre et œuvrer à l’avènement d’un monde meilleur
Le dirigeant sénégalais pense que ‘’le monde doit se regarder en face, sans complaisance’’, dans un contexte où ‘’les valeurs que nous avons juré de défendre sont piétinées dans plusieurs régions du globe’’.
‘’Chaque être humain est porteur de cette égale dignité, une dignité qui transcende les frontières, les cultures et les appartenances religieuses’’, a-t-il relevé, soulignant que ce constat est le même, aussi bien à Gaza, à Tel-Aviv, à Dakar qu’ailleurs dans le monde.
Tout le monde a le devoir de veiller à ce que cette dignité soit protégée et respectée pour tous les êtres humains, sans exception, a soutenu le président sénégalais. ‘’Ce devoir est l’essence même des Nations unies.’’
‘’Nous constatons chaque jour que le droit international, ciment de la paix mondiale, est souvent violé. Des résolutions adoptées par cette même Assemblée sont ignorées’’, a dénoncé M. Faye.
Il pense que le fait de tolérer ‘’ces violations répétées’’ revient à fouler aux pieds les principes de la charte des Nations unies et à saper ‘’les fondements mêmes de cette maison de la paix’’.
‘’Jamais les fondements des Nations unies n’ont autant vacillé qu’en ces temps de violence, de peur et d’incertitude. Si nous voulons éloigner le spectre de la guerre et œuvrer à l’avènement d’un monde meilleur, alors il est temps de changer de paradigmes’’, a soutenu Bassirou Diomaye Faye.
Le gouvernement face à la presse le jour du naufrage du Joola : Non à la banalisation de la commémoration (Par Mamoudel BOCOUM)
La question est sur toutes les lèvres. Faut-il organiser un face-à-face avec la presse le jour de l’anniversaire du naufrage du bateau «Le Joola» pour faire un déballage de la gestion de l’ancien régime et présenter un nouveau cadre de référence économique, Sénégal 2050 ? Ce 26 septembre est une journée noire qui commémore la mort de presque 2000 personnes. Non à la banalisation du 26 septembre et un peu de respect aux victimes et à leurs familles ?
Ce 26 septembre les familles des victimes du «Joola», commémorent, aussi bien à Ziguinchor qu’à Dakar, l’événement le plus douloureux de l’histoire des drames maritimes.
Pourquoi le nouveau gouvernement de Diomaye et Sonko a décidé en ce jour de deuil, de prières et de recueillements d’organiser un face-à-face avec la presse pour faire un déballage sur la situation du pays ?
Selon le gouvernement, il s’agit de faire l’état des lieux des finances publiques et de la gestion de l’ancien régime qui sera mis à nu pour montrer aux Sénégalais le legs de Macky Sall.
Ironie du sort, l’actuel premier ministre et chef du gouvernement fut un ancien maire de Ziguinchor, une localité qui a payé le plus lourd tribut à ce drame de la plus grande catastrophe maritime, en termes de pertes en vies humaines (plus de 1863 morts officiellement et 64 rescapés), que l’humanité ait connue, le 26 septembre 2022.
Ce 26 septembre est une journée noire pour le Peuple sénégalais qui commémore le 22 ème anniversaire du naufrage du Joola qui a fait presque 2000 morts dans la nuit du 25 au 26 septembre 2002. C’est un souvenir terrible, qui risque de tomber dans l’oubli ou d’être noyé par les deballages du nouveau régime.
Ce 26 septembre le gouvernement ne doit pas être au building administratif Mamadou Dia pour parler aux sénégalais mais à Ziguinchor, à Dakar, auprès des familles des victimes. La date choisie par le gouvernement pour faire face à la presse n’est pas la bonne.
En effet 22 ans après le naufrage du «Joola», les cérémonies, sur fond de promesses et d’engagements étatiques non tenus se suivent et se ressemblent. Aujourd’hui, les causes du naufrage restent encore floues. Ce gouvernement avec son slogan « Jub Jubbal Jubanti » est attendu sur ce dossier. Les familles des victimes se battent contre « l’injustice » et « l’oubli ». Elles qui fondaient beaucoup d’espoirs sur le duo Diomaye-Sonko pour une réouverture du dossier devant la justice et le renflouement de l’épave risquent de déchanter.
Mamoudel BOCOUM
Le Mackyste Républicain Convaincu et engagé.*
*Mon oeil sur la morosité économique et la démocratie piègée
*
*Subsister par la violence exige la ruse , la duperie, le mensonge et la manipulation, la raison, elle exige la franchise et le respect des engagements. User de la tricherie, de l'acharnement , de la rancune et de la revanche relève de la stupidité.*
En juin le FMI était au Sénégal et avait chanté la santé économique qui était un legs de Son Excellence Macky Sall et en septembre le FMI est revenu au Sénégal, suite à leur travaux ils ont dressé un tableau très sombre et avec un avenir économique inquiétant . Cela prouve suffisamment que ces incapables ne méritent même pas un député.
La pauvreté dans une démocratie est aussi préférable à la prospérité sous un despot sans parole ni signature que la liberté à l'esclavage.
Au Sénégal avec ce régime actuel,le plus grave déficit que nous ayons est le déficit de la démocratie et le respect à la parole donnée.
La politique au Sénégal est devenue , ainsi, par la force des choses, autour des tenants du pouvoir sans parole, sans signature, le lieu de l'avilissement des hommes et de leur promotion sociale. L'impuissance de gouvernement à résoudre les problèmes qui se posent aux populations n'a pas d'autres sources que dans cet effacement du pouvoir de la politique et de son pouvoir de décision, au profit d'une cour, animée par des lobbies et des intérêts et que l'on gouverne par la peur et l'avidité. Ces deux versants expliquent les valeurs triomphantes dans cet univers : Chacun pour soi, au mépris du vivre ensemble ; les intérêts particuliers contre l'intérêt général ; les privilèges de l'entourage ou de la naissance contre le mépris du peuple.
Les conséquences de cette évolution désastreuses sur le plan moral. Ces stagiaires ont fragilisé la stabilité du pays et consume le jeu démocratique. Et seul le peuple est capable de parer à cette dictature.
La Démocratie : du grec dêmos( peuple)et Cratein( Gouverner).En philosophie politique, la démocratie peut être considérée comme une type d'organisation politique dans laquelle c'est le peuple, c'est à dire l'ensemble des citoyens sans distinction de naissance, de richesse ou de compétences, qui détient, ou qui contrôle, le pouvoir politique.
La démocratie est d'abord une forme de gouvernement. On distingue la démocratie directe et la démocratie représentative, où le peuple par le truchement de représentants, élus ou désignés ( les démocraties parlementaires modernes) .
La démocratie est aussi une théorie de la souveraineté
, selon laquelle l'autorité de l'autorité politique a son fondement dans le libre pouvoir qu'a chaque homme de se gouverner lui-même.
Ainsi , pour Rousseau, la société politique naît d'un contrat social au terme duquel le seul souverain légitime possible est le peuple, c'est-à-dire l'ensemble des citoyens votants les lois ( expression de la volonté générale) et acceptant de s'y mettre.
La démocratie suppose la loi de la majorité, la liberté des individus ( respect des droits de l'homme) et l'égalité des citoyens.
La démocratie, comme régime politique où la souveraineté est exercée par le peuple.Cette définition a été améliorée par le Président Américain Abraham Lincoln. Sa formule, considérée comme la définition classique de la démocratie, est « le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple »
Reconnaissons d'emblée que la démocratie est un idéal ; et que certains pays s'en approchent plus que d'autres sans l'atteindre pour autant.En disant cela,nous avons à l' esprit l'image d'une asymptote dans la géométrie euclidienne.
Les pays dits démocrates ont des régimes qui sont comme des courbes asymptotiques tendant vers une ligne droite : l' axe des coordonnées que représente la démocratie idéale, n'est jamais réellement atteinte. La courbe asymétrique ne touche jamais la ligne droite qui représente l'axe des coordonnées. La concrétisation de la démocratie est donc une œuvre difficile et de longue haleine menacée par toutes sortes de dérapages, comme nous aurons l'occasion de le constater. La réalisation de la démocratie est un défi constant.
En effet, de nos , un Etat étant une unité beaucoup plus vaste qu'une petite famille ou un petit village où tous les membres peuvent facilement se réunir pour examiner les problèmes les concernent et prendre les décisions appropriées, la démocratie, au niveau de nos États modernes, est nécessairement représentative . Ainsi, la démocratie contemporaine est principalement indirecte ; car le peuple délégué ses pouvoirs à un groupe de personnes qu'il choisit, en principe librement, et qui délibèrent et décident en son nom , étant entendu qu'une consultation populaire par référendum devrait pouvoir être organisée à tout moment pour permettre au peuple de se prononcer directement sur des problèmes cruciaux concernant son bien-être et l'avenir du pays et pour lesquels il n'a pas donné un mandat spécial ou spécifique à ses représentants.
Si l'assemblée nationale est une représentation du peuple, le dissoudre relève d'une haute trahison de l'expression du peuple.
Au Sénégal cette dissolution de l'Assemblée nationale est due à la quête acharnée de la recherche d'un pouvoir absolu pour installer la terreur afin de pérenniser la dictature absolue.
Les tenants de ce régime, ne connaissent ni la moralité,ni le sens de la responsabilité. Ils sont tous des éternels revanchards , haineux et roublards .
Ils ont dupé le peuple et les orientent de leur quotidien. La médiocrité ambiante et la voyoucratie commencent à gagner et contaminer les tenants du pouvoir actuel.
Le quotidien des Sénégalais ne les intéresse guère.
Cet homme sans parole , sans signature use de la ruse la plus perfide et la plus machiavélique pour tromper le Peuple.
Ces élections législatives anticipées ne sont qu'une hérésie politique parce que" Ngoundou" cherche à satisfaire son leader politique.
Au lieu de s'intéresser aux urgences actuelles c'est-à-dire : la montée exponentielle des accidents de la route, l'augmentation des denrées de première nécessité, le coup cher des factures d'eau, d'électricité, l'émigration clandestine entre autres.
Face à tous problèmes socio-économiques , l'État fait fi à tous ces problèmes. Comme le peuple n'existe plus. Face à tel mépris, les Sénégalais doivent leur imposer la cohabitation pour ces élections législatives.
Quelques soient les pratiques politiques, la société doit être fondée sur le respect de la parole donnée.
Au Sénégal nous assistons actuellement, le plus désolant spectacle de la défection de la parole. Une société qui n' a pas de principe, comme individu qui n'en a pas , ne va ni droit ni loin . L'interdiction de se dédire ou de se contredire est fondatrice de tout ordre social qui se veut viable.
Le parjure politique n'est pas une ouverture politique. C'est un coup fatal sur la démocratie.
Il va à l'encontre de la morale sociale et politique qui voudrait qu'on ne revoque pas une promesse, qu'on ne retrace pas une profession de foi, qu'on ne revienne pas sur un engagement et que l'on n'informe pas une affirmation.
Au lieu de vivre un ordre social fondé sur des contrats, des conventions, des serments et des signatures, et de les sécuriser par des gages et des garanties, les Sénégalais ont assisté à des alliances faites au gré des sautés d'humeur, des lubies imprévisibles, des pièges des intérêts. Ce que la reconnaissance recherchait par la constance et le mérite, le pouvoir politique actuel à lui-même organise sa dissolution définitive parce qu'ils ont failli. Ainsi, en très peu de temps, incohérences , trahison, reniement sont devenus les choses les mieux partagées dans notre pays . On ne s'indigne plus .
C'est dans cette mouvance que j'ai pris mon courage en mains pour dresser les pas sombre de l'exécutif.
Comment, dès lors, ne pas s'étonner d'une crise de valeurs que tout le monde évoque, sans toutefois en avoir une idée précise ? Lorsqu'un homme concentre entre ses mains tous les privilèges et qu'en face de lui se trouvent des millions de courtisans qui ne croient pas ni à l'effort ni au travail, encore moins le mérite, il en résulte un ordre social fondé sur le parasitisme, le mensonge et la lâcheté. Le Cancer de notre organisation économique ne réside t'il pas dans ce système parasitaire érigé , non en marge, mais en modèle économique dominant.
Le clientélisme et favoritisme occupent actuellement tous les segments de l'administration. Des recrutements des militants, des chargés de mission comme un gouvernement au sein de la primature en est une illustration parfaite.
*Samba Ndong Responsable politique Apr Biscuiterie et Coordonnateur du Mouvement PATRIES-les éternels Mackystes*
*Les Chroniques de Samba Ndong, militant convaincu de l'apr .*
*Radioscopie d'un Régime sans vision et d'une morosité économique due à l'effet conjugué de l'incompétence et de l'incapacité des stagiaires débiles jusqu'à la moelle et allergiques aux critiques sont leur seule arme est l'emprisonnement.* *Halte aux théoriciens de la Guérilla et à l'extermination !* *Le peuple est dans l'obligation de les corriger dans les urines en les imposant une cohabitation*
Son Excellence Macky Sall reste et demeure capable de rétablir les fondamentaux et la bonne marche économique.
Il est tant que les Sénégalais se réveillent, ils pourront, passé le temps de l'initiative et du courage, retrouver pour consolider la République en donnant la majorité parlementaire à l'opposition et surtout à l'Apr, afin de pouvoir penser la vie que nous appelons de nos vœux, et donner aux sénégalais la possibilité de reprendre en main leur destin .
La tâche ne sera pas facile. Nous en sommes conscients. Mais , il faut justement reprendre ici, pour le compte du courage ce que Danton , grand révolutionnaire Républicain de 1789 disait de l'audace : pour vaincre les ennemis de la République, des tarikhats et du tissu social, il faut du courage, encore du courage , toujours du courage. Il faut tuer la peur de la peur et de faire à cette Dictature rampante. Nous devons nous battre pour lutter contre la tolérance de l'homosexualité. Dans ce pays qui se nomme Sénégal, l'homosexualité ne doit jamais être tolérer .
Du courage, certes pour penser , Mais aussi du courage pour agir, comme si l'impératif de penser sen homme d'action et d'agir en homme de pensée , s'imposait, à nous , plus que jamais.
C'est dire qu'une mobilisation de toute les bonnes volontés, de toutes les énergies, toutes les intelligences s'impose. Au Sénégal dans ce beau pays ce beau, naguère envié , et où l'organisation et la méthode étaient l'idéal à incarner, où la compétence et le respect des guides religieux était sans condition , tout est , hélas , à reconstruire et à rebâtir, tant les chantiers sont nombreux. La seule façon de corriger fléau qui risque de gangréner notre République, la cohabitation à l'assemblée nationale est une demande sociale.
*Mal-élire , c'est semer le chaos et brutaliser le bon fonctionnement des institutions et malheureusement les Sénégalais sont en train de vivre le pire de leur expérience quotidienne,le désarroi est total avec une montée flagrante de l'insécurité alimentaire, routière, économique et surtout sociale et sociétale.*
Les Sénégalais regrettent déjà le départ de Son Excellence Macky Sall. La seule façon de corriger l'incompétence de ces avatars est de voter massivement dans notre coalition afin de faire face à ces débiles allergiques aux critiques.
Le Sénégal a, il est vrai, traversé ces chocs exogènes ,en faisant preuve de beaucoup de résilience et de pari hardi afin de préserver les fondamentaux de notre économie, au moment où des pays comparateurs ou même développés étaient sous l'escarcelle de la récession économique sans précédent. On en a pour preuve, la richesse générée par les entreprises sénégalaises qui a connu une croissance moyenne de 3,96 % entre 2018 et 2021.
Sans ambiguïté, sous la pertinente vision de Son Excellence Macky Sall, qui, par ailleurs connaît les rouages stratégiques pour l'économie avait agi avec justesse pour maintenir la santé économique.
C'est sans doute, l'une des explications de l'efficacité des politiques de relance et de résilience initiées par le Régime de Son Excellence Macky Sall à travers le programme de résilience économique et sociale ( PRES) et le plan d'Actions prioritaires Ajusté et Accéléré ( PAP2A).Le PAP2A ayant fait des preuves économiques visibles en changeant positivement le quotidien des Sénégalais.
Et actuellement malgré les attaques des anciens opposants, devenus stagiaires à la tête de notre État sont dans l'obligation de travailler avec le PAPIII .
L'élaboration du PAPIII a été l'occasion de procéder à un diagnostic complet de la première décennie de mise en œuvre du PSE et de relever les secteurs porteurs de la dynamique de création de richesse et d'emplois . Cet exercice a été rendu possible par la réalisation d'une taxonomie qui constitue une classification des branches d'activités économiques en quatres (4) grands secteurs parmi lesquels les secteurs émergents et les secteurs moteurs de croissance.
Les secteurs émergents et moteurs , constituant 44% du PIB, sont fondamentaux dans l'orientation des investissements. Pour les cinq ( 2024-2028) prochaines années qui coïncident avec la venue de ces incapables à la tête pays qui ont tant vendu un projet inexistant, nous leur permettons de plagiat parce qu'ils sont sans vision économique .
Pendant ces cinq années, le Sénégal devait consolider la position du Sénégal sur la trajectoire de l'émergence, horizon 2035:
Sous le référentiel économique du PSE, ces stagiaires qui peinent à comprendre les stratégies économiques doivent impérativement répondre aux exigences du PSE :
. La construction d'une économie compétitive, inclusive et résiliente ;
. le développement d'un capital humain de qualité et capture du dividende démographique;
. le renforcement de la résilience des communautés face aux risques de catastrophes ;
. la consolidation de la gouvernance et d'une Administration publique moderne, transparente et performante ;
. l'adaptation d'un financement intégré de l'économie.
L'objectif global de PAP IlI est d'impulser une croissance inclusive et durable à travers l'accélération de l'industrialisation et la promotion d'une économie résiliente. Pour y parvenir Son Excellence Monsieur Macky Sall propose à ces stagiaires du palais et au perroquet de la primature doivent s'appuyer sur Neuf ( 9) domaines moteurs : la souveraineté alimentaire, le hup Multi services et Tourisme, la Modernisation graduelle de l'économie sociale, le développement durable, l'habitat social et l'écosystème de la construction, la transition et la sécurité énergétiques , les Infrastructures et le Hup logistique industriel et régional, l'industrialisation et la transition numérique.
Ces domaines regroupent un portefeuille de projets et de réformes dont l'exécution obéit à une logique de filière, en lien avec les stratégies de développement du secteur privé qui a identifié 24 filières à haut potentiel de valeur ajoutée et de création d'emplois. La mise en œuvre du paquet de réformes avait permis l'essor du secteur privé national fort et le renforcement de l'inclusion financière.
Son Excellence Macky Sall avait mis sur place toute une gamme pour booster l'économie nationale.
Pour cela les zones économiques spéciales ( ZES) . Ces ZES constituent une priorité dans le cadre de la mise en œuvre du PSE. Cette initiative avait permis au Sénégal d'atteindre une compétitivité commerciale et industrielle.
Oui! LES ZES avaient joué un rôle crucial dans le renforcement de la compétitivité Commerciale et industrielle du Sénégal.
Les ZES sont des zones géographiques délimitées qui offrent des avantages fiscaux, réglementaires et infrastructures spécifiques pour attirer les investisseurs nationaux comme étrangers et stimuler le développement économique.
Depuis 2017 , Son Excellence Macky Sall a créé 5 ZES. Il s'agit du parc industriel de Diamniadio,de la ZES intégrée de Diasse , la ZES de Sandiara, la ZES de Bargny dont les travaux doivent démarrer en 2024 et la ZES de Fatick où l'État avait dû'injecter 60 milliards lors du dernier conseil des ministres décentralisés . Au total les ZES avaient déjà créé 3040 emplois sur 123000 emplois qui devaient être attendus à terme. L' investissements privés a réalisé dans les ZES au total 104,2 milliards et l'État avait déjà investi 60,2 milliards dans les ZES.
Voici 8 canaux par lesquels les ZES contribuent déjà à la compétitivité du Sénégal,six ans après leur début :
Ces ZES initiées par Son Excellence Macky Sall constituent un véritable moteur économique pour faciliter l'expansion économique.
Elles devaient permettre:
l'attractivité des investissements étrangers;
Développement industriel ;
Création massive d'emplois ;
Transfert de technologie ;
Infrastructures améliorée ;
Amélioration de la productivité ;
Stimulation des exportations ;
Renforcement de la compétitivité Régionale.
Son Excellence Macky est une véritable chance pour le Sénégal. Les Sénégalais peuvent réparer l'erreur qu'ils ont commise.
Voter pour ces incompétents , ces stagiaires débiles qui sont à la tête de l'État c'est participer activement à chute de notre économie et à la destruction du tissu social.
La cohabitation à l'assemblée nationale est une demande sociale. Et c'est la seule manière de pouvoir juguler et contrôler de façon indépendante gestion des fonds publics et des politiques publiques.
*Samba Ndong Responsable politique Apr Biscuiterie*
NOUVELLE CONSÉCRATION INTERNATIONALE : Maram Kaïré reçoit le PRIX SPÉCIAL du Jury au SPACE FORUM 2024 à Toulouse
Une reconnaissance de plus au tableau pour le Directeur Général de l'Agence Sénégalaise d'études Spatiales (ASES) qui reçoit le PRIX SPECIAL DU JURY lors de la 7e édition du Space forum organisé par le groupe La Tribune le mardi 10 septembre, à La Cité de l'Espace à Toulouse.
Cette septième édition pleine de nouveautés soutenue par des partenaires comme Airbus, la Région Occitanie, Toulouse Métropole, a reçu la participation de près de 600 experts du secteur spatial européen.
Panéliste sur la table ronde sur « L'Afrique, nouvel eldorado du spatial ? » Maram Kairé, le directeur général de l'agence sénégalaise d'études spatiales, a présenté les ambitions du Sénégal dans le spatial et insisté sur la nécessité de redéfinir la collaboration internationale dans une dynamique "gagnant-gagnant" qui place l'Afrique comme un acteur et non plus un spectateur.
Ce forum a vu la participation du Général Philippe Adam, le Commandant de l'espace français, le Colonel Daniele Donati, nouveau Commandant de l'espace italien, Philippe Baptiste, président du Cnes, agence spatiale française, le vice-président de l'agence japonaise, Yasuo Ishii, Antoine Bouvier, le conseiller du président exécutif d'Airbus, Hélène Blanchard, la responsable des programmes de surveillance spatiale chez ArianeGroup, Antoine Fourcade, le CEO de Sirius Space, Stanislas Maximin, le CEO de Latitude... Mais également, par vidéoconférence, le Président de l'Agence Spatiale Européenne (ESA), M. Josef Aschbacher.
Une rencontre de très haut niveau qui consacre une fois de plus le travail acharné de Maram KAIRE depuis plusieurs années mais plus particulièrement depuis la création de l'agence Spatiale ASES à la tête de laquelle il porte efficacement l'ambition du Sénégal de devenir une nation spatiale.
COMMUNE DE YEUMBEUL NORD Les populations se réjouissent des réalisations du maire
Il ne passe pas un mois où le maire de la commune de Yeumbeul Nord ne pose pas des actes allant dans le sens de changer positivement le visage de cette localité. Des réalisations qui impressionnent les populations qui se disent satisfaites du travail de leur premier magistrat.
Et dans cette contrée, c’est un terrain de sport du basket multifonctionnel qui a été construit sans citer des écoles, du stade municipal communal, de la station d’essence, entre autres infrastructures. Sur le plan de la lutte contre les inondations, certains ouvrages ont été réalisés. Chaque mois, le maire de la commune de Yeumbeul Nord procède à une cérémonie de pose de première pierre pour la construction des écoles ou des structures de santé. Des actes qui soulagent vraiment. Suffisant pour que des délégués de quartiers, des imams et des notables de la localité, sortent pour témoigner leur satisfaction à l’endroit de leur maire . «Nous sommes tous rassurés que cette commune soit sur la voie du développement. De telles réalisations n’ont pas été faites au niveau de cette localité depuis son érection en commune, mais grâce à Babacar Ndao, les populations se sentent soulagées», martèle un imam. Au-delà des investissements qui ont été faits, le maire s’active également dans le social. D’après un délégué de quartier, « Babacar fut le maire qu’il faut pour les populations. Depuis son installation à la tête de la commune, des problèmes d'éclairage publics sont devenus de vieux souvenirs. Sur le volet assainissement, beaucoup de choses ont été faites. Aujourd’hui Yeumbeul Nord est devenu une commune de référence sur plusieurs plans ». Il y a moins d’une semaine, le maire a procédé à la cérémonie de pose de première pierre pour la construction d’une structure de santé dans l’un des quartiers de la cité. Et les travaux ont été démarrés. Des actes qui améliorent les conditions de santé des habitants de la localité. Des réalisations qui ont été faites et qui fascinent tout une commune.
Sada Mbodj
Drame de Mbour : 36 corps repêchés en 24 heures (Par Ameth DIALLO, Habitant du département de Mbour)
Drame de Mbour : 36 corps repêchés en 24 heures (
Des jeunes, nos jeunes, noyés dans l'espoir brisé de trouver une vie meilleure. Sommes-nous vraiment conscients de ce qui se passe ? Je pense que non. Nous avons appris à vivre avec l'horreur.
Chaque jour, l’émigration clandestine et les tragédies routières fauchent des vies, et nous regardons ailleurs, presque comme si c’était devenu une normalité. Il y a quelques années, nous étions prompts à critiquer les régimes passés, accusant leurs dirigeants d’avoir abandonné la jeunesse, de n’avoir su lui offrir que le désespoir comme seule perspective d’avenir. Nous disions que c'était la raison pour laquelle nos enfants fuyaient en mer, dans des pirogues de fortune, pour échapper à une vie sans horizon. Aujourd'hui, malgré la victoire historique aux élections présidentielles, malgré l'espoir suscité par l'élection de Bassirou Diomaye Faye et la nomination d'Ousmane Sonko comme Premier ministre, cet espoir tant attendu n'est toujours pas revenu pour beaucoup. La mer continue de prendre nos enfants, les routes continuent de dévorer les vies de ceux que nous aimons. Ce qui est effarant, c'est que nous semblons plus réactifs à la mort d'un seul manifestant qu'à ces centaines de vies anéanties par l'émigration clandestine ou les accidents de la route.
Pourquoi ?
Pourquoi la tragédie silencieuse de nos compatriotes qui meurent en cherchant à fuir leur propre pays ne suscite-t-elle pas la même indignation ? Pourquoi ces vies sont-elles perçues comme moins importantes ? Avons-nous, en tant que nation, accepté la mort de nos enfants comme une fatalité ? Sommes-nous si insensibles que la mort collective devient une statistique, alors qu'une mort isolée provoque une onde de choc ? Si les régimes précédents n’ont jamais pris ces questions au sérieux, nous, en tant que nouveau pouvoir, n'avons aucun droit de les traiter avec la même négligence. La vie de chaque citoyen sénégalais, qu’il soit sur une route meurtrière ou dans une pirogue qui chavire, est ce que notre République a de plus précieux. C'est notre devoir, en tant que dirigeants, en tant que citoyens, de faire de la préservation de chaque vie notre priorité absolue. Nous ne pouvons plus nous contenter de discours.
Il faut agir. Et agir maintenant.
Redonner espoir à nos jeunes ne doit plus être un slogan politique, mais une réalité concrète. Créer des opportunités ici, pour qu'ils n'aient plus à risquer leur vie là-bas. Renforcer la sécurité routière, moderniser nos infrastructures, sensibiliser nos concitoyens pour que nos routes ne soient plus des cimetières à ciel ouvert. Nous devons sortir de cette indifférence mortelle. Ces drames ne sont pas des statistiques. Ils sont des vies, des familles, des rêves brisés. Ils sont le reflet de notre échec collectif. Et cet échec, nous ne pouvons plus nous permettre de le tolérer. Si nous voulons vraiment construire un Sénégal où chaque vie compte, il est temps de faire face à ces fléaux avec la détermination, la dignité et l’humanité que nos morts méritent. Parce qu'il n'y a rien de plus précieux que la vie, et c’est à nous de la protéger, coûte que coûte.
Ameth DIALLO, Habitant du département de Mbour,
CONTENTIEUX ELECTORAL DE LA CCIAD 2010 La vérité des faits rétabli par les Membres de And Défarate CCIAD
Le contentieux électoral de 2010 concernant la Chambre de Commerce, d'Industrie et d'Agriculture de Dakar (CCIAD) refait surface, suite à une recommandation du Ministre des Finances et du Budget, datée du 30 août 2024. Cette recommandation appelle à l'exécution de l'arrêt de la Cour Suprême sur ces élections, suscitant un besoin urgent de clarifications sur un dossier qui a profondément marqué les institutions consulaires.
Contexte et décisions prises
En 2010, des irrégularités dans les élections de la CCIAD avaient conduit à des annulations. Conformément aux dispositions prévues, de nouvelles élections auraient dû être convoquées dans un délai de trois mois, soit avant le 20 mars 2013. Toutefois, le Président de la République de l’époque a convoqué les parties impliquées le 6 avril 2013, entraînant la signature d'un consensus le 6 mai 2013. Ce protocole stipulait que le Président Lamine Niang continuerait son mandat et que les postes au sein des organes de la CCIAD seraient répartis paritairement entre les deux listes concurrentes.
Développements ultérieurs
Après le décès du Président Mamadou Lamine Niang en 2019, les élections pour désigner son successeur ont eu lieu le 27 novembre 2019. Abdoulaye Sow a été élu pour compléter le mandat du défunt Président et a été officiellement installé en décembre 2019. Cette élection, organisée conformément aux règles en vigueur, a conduit à l'établissement d'un nouveau Bureau de la CCIAD.
En parallèle, la loi 2017-15 du 6 février 2017, portant création de la nouvelle Chambre Nationale de Commerce, d'Industrie et de Services, a abrogé le décret régissant les CCIAD, mais a permis aux chambres existantes de continuer à fonctionner jusqu'à l'instauration des nouvelles assemblées. Cette loi complique davantage la réorganisation des élections selon les modalités de 2010.
Problèmes et perspectives
Reprendre les élections avec un fichier électoral datant de 2010 représente un défi considérable, en raison de l’évolution des données et des changements intervenus depuis cette période. De plus, la liste "And Défarat CCIAD" considère que le contentieux est désormais réglé et met en avant les réalisations de la CCIAD depuis 2019, notamment en termes de soutien au secteur privé et de renforcement des partenariats public-privé.
Controverse en cours
Une agitation récente par M. Birame Yaya Wane, prétendant représenter la liste "And Défarat CCIAD", a ravivé le débat. Il est important de noter que M. Wane, signataire du protocole de 2013, n’a pas la légitimité de parler au nom de la liste, selon ses membres actuels.
En conclusion, bien que le contentieux électoral de 2010 reste une affaire délicate, les développements récents et les interventions législatives semblent avoir apporté une résolution effective. La CCIAD continue d'évoluer et de jouer un rôle central dans le soutien aux entreprises et le partenariat avec l'État, malgré les défis hérités du passé.