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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

 

Loin d'être dans une logique de polémique, ce communiqué vise tout simplement à rétablir la vérité des faits. En effet, il ne s'agit pas de bitumage mais plutôt de construction d'une piste latéritique de 7km dont les 5 km ont déjà été construits et le reste neufs.

Dès l'adjuration du marché, nous avons été contacté par Monsieur Aliou LO par l'intermédiaire de son protocole Monsieur Djité pour une rencontre, durant laquelle Monsieur Aliou LO nous a proposé de l'argent pour le démarrage que nous avons refusé. Suite à cela, une connaissance commune nous a convaincu d'accepter le prêt de 5 millions (cf. fac similé) pour enregistrer le marché et procéder à l’installation du chantier, dès lors nous avons commencé les études topographiques, géotechniques et déposé le projet d'exécution intégralau niveau du bureau de contrôle qui l’a validé.

Nous avons ainsi procédé avec les topographes à l’implantation des piquets axes et déports, puis aux travaux de terrassement et la préparation de la plateforme, et enfin nous avons commencé à mettre en œuvre la latérite.

Depuis 2 (deux) mois la société « Build » a déposé une demande d’avance de démarrage auprès de la FERA, mais aucun franc n’a été encore reçu. D’ailleurs tous les chantiers de la FERA sont à l'arrêt ou au ralenti,ce qui est facilement vérifiable.Aussi, depuis lors nous fonctionnons avec les moyens du bord.

Nous tenons aussi à dire, que le seul arrêt des travaux qu'il y’a eu, a été signalé au bureau de contrôle et c'était pendant le « Gamou ».

Dans cette optique donc, ceux qui sont les parties prenantes de ce contrat à savoir "Build”, la mairie de Kelle, le contrôle Amary Dia sont en parfaite accord, mais ce sont des bénéficiaires qui s'agitent pour on ne sait quelle raison. La société "Build" s’engage solennellement,conformémentà ses maitres - mots que sont la qualité et l'efficacité, à livrer, comme elle l'a toujours fait, les travaux dans les délais impartis, pour le grand bonheur des populations. 

 

 Fait à Dakar,

Le 10 Novembre 2022

La cellule le Communication

Le discours du Président Sall qui a fait un vivant plaidoyer à l’endroit des femmes et des filles. “Je voudrais vous saluer toutes et tous, et vous remercier vivement pour votre participation à cette 2éme édition de la Conférence de l’Union Africaine sur la masculinité positive dans le leadership pour éliminer la violence contre les femmes et les filles.

 

Le Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République Démocratique du Congo, qui porte la cause des femmes et des filles auprès de l’Union Africaine, aurait certainement été à nos côtés aujourd’hui s’il n’était pas retenu par d’autres impératifs. C’est grâce à son leadership que la Première Conférence de l’Union sur la masculinité positive s’est tenue à Kinshasa en novembre 2021.

 

Merci aussi à vous, chères sœurs Ellen, Ameenah et Cathérine, pour votre engagement en faveur de la condition féminine.

Je félicite Madame la Ministre de la Femme, de la Famille et de la Protection des Enfants, ainsi que Madame Bineta Diop, Envoyée spéciale du Président de la Commission de l’Union africaine pour les femmes, la paix et la sécurité, et l’ensemble de leurs équipes pour la bonne organisation de cette rencontre et des activités parallèles.

 

Après la Conférence de Kinshasa, dont la Déclaration et l’Appel à l’Action ont été endossés par le Sommet de l’Union Africaine de février dernier, la voie est tracée pour l’élaboration d’une Convention sur la lutte contre les violences faites aux femmes.

 

Dakar doit capitaliser cette dynamique pour que cette rencontre ne soit pas un effet de mode qui s’évanouit avec la fin de ses travaux, mais le catalyseur d’énergies positives à l’échelle nationale et continentale pour une tolérance zéro contre les violences faites aux femmes et aux filles.

 

Nous sommes ici pour susciter une prise de conscience, mais aussi pour agir contre toute forme de violence à l’endroit des femmes et des filles.

 

N’oublions surtout pas que cette violence n’est pas que physique. Elle est aussi morale, par le harcèlement, les menaces, les insultes et autres propos désobligeants ou humiliants qui blessent autant, sinon plus que les violences physiques.

 

Lutter contre ces pratiques d’un autre âge est d’autant plus juste et légitime qu’aucune religion, aucune loi, aucune règle sociale ne fait l’apologie de la violence contre un être humain.

Bref, il ne saurait y avoir de fondement légal ou moral à la violence, sous quelque forme que ce soit.

 

Au demeurant, à travers l’histoire, les femmes ont toujours occupé une place prépondérante sur ce continent.

 

Souvenons-nous de Néfertiti en Egypte, des Amazones du Bénin, de la Reine Zingha d’Angola, de l’impératrice Taytu Betul d’Ethiopie, de la Reine Aminatu de Zaria, au Nigéria, et plus près de nous ici au Sénégal, des Linguères Ndieumbeut Mbodj et Ndaté Yallah Mbodj, sans oublier la résistante Aline Sitoe Diatta, entre autres figures historiques féminines du continent.

Souvenons-nous que la première poétesse noire américaine est née ici même au Sénégal, en 1753.

 

De son nom d’esclave Phyllis Wheatley, elle surmontera ce statut handicapant pour publier son premier recueil intitulé Poems on various subjects, à juste 20 ans, en 1773, trois ans avant le début de la Révolution américaine.

 

Aujourd’hui, les femmes occupent de hautes fonctions sur le continent, dont certaines pionnières ici présentes.

Elles sont nombreuses à exercer les mêmes qualifications que les hommes : ingénieurs, médecins, enseignantes, pilotes, militaires, sportives de haut niveau, et j’en passe.

 

Elles sont nombreuses au bureau, à l’usine, au foyer et dans les champs ; femmes d’affaires prospères ou modestes vendeuses au marché ou au coin de la rue, mais toutes habitées par la même dignité et la même détermination de nourrir, loger, soigner, éduquer leurs enfants, entretenir leur famille et contribuer à la prospérité nationale.

 

Elles sont nombreuses, les filles, dans nos écoles, nos lycées et nos universités, à égaler ou dépasser les performances des garçons.

 

Tout cela pour dire que rien dans l’histoire, rien dans la religion, rien dans la vie sociale ne peut justifier qu’une femme ou une fille soit violentée, marginalisée ou discriminée.

 

Tous ensemble, pouvoirs publics, leaders religieux et traditionnels, membres de la société civile et citoyens, nous devons élever la voix et dire : ça suffit !

Ça suffit la brutalité, ça suffit la maltraitance, ça suffit le harcèlement, ça suffit les brimades, les insanités, le viol et autres sollicitations non désirées.

 

 

Le leader de Manko Wattu Sénégal (MWS) s’inscrit totalement en faux face aux allégations prononcées par Ousmane Sonko. Le leader de Pastef fait croire, en effet, à l’opinion à un deal perpétré sur le patrimoine de l’Etat et va jusqu’à insinuer une exonération qu’aurait signée l’ancien Ministre des Finances Abdoulaye Daouda Diallo. Ousmane Faye n’hésite donc pas à le brocarder et le traiter d’ignorant doublé d’un menteur en tant qu’ancien inspecteur des impôts censé au moins savoir qu’on ne paie pas la TVA lors d’une transaction foncière.

 

Face à la presse ce jeudi 10 novembre, Ousmane Sonko parle de scandale concernant le patrimoine bâti de l’Etat, en faisant allusion à un décret accordant à une société dénommée AD, six titres fonciers faisant au total près de 5.000 M2. Pour Ousmane Faye, «il est temps que les sénégalais sachent, une bonne fois pour toute, qu’avec Sonko, les sénégalais ont affaire à un mythomane qui n’hésite jamais à invoquer le diable pour charger le pouvoir. En tant qu’ancien inspecteur des impôts, il ne maitrise pas les B.A BA du métier, allant jusqu’à fomenter  des choses.  Il est devenu un danger public et ne se gêne pas en proférant des mensonges qui frisent la dépression». Le leader de MWS de lancer un appel en guise d’alerte afin de bien étudier la personne de Sonko qui, apparemment n’a pas encore fini de nous montrer des facettes sur ses intentions de pyromane après ses nombreux appels insurrectionnels sans succès.

 

La prévention des risques professionnels revêt un aspect humanitaire autant qu’elle peut consister en un investissement pour le développement. Du moins, c’est tout le sens de l’intervention hier le ministre du Travail, du Dialogue social, des Organisations professionnelles et des Relations avec les institutions, Samba Sy. Il présidait l’ouverture du salon Preventica qui a vu la présence d’un panel d’experts dont ceux du SPIS.

 

Pendant deux jours, d’intenses réflexions et d’échanges vont ponctuer le déroulement du salon-Congrès. «Cette rencontre vient à point nommé, au regard des enjeux et défis majeurs que soulève la problématique de la sécurité et de la sûreté sur les lieux de travail, dans le monde en général, et dans les pays en développement en particulier», souligne le SG du SPIS pour qui, avec le concours de Préventica International, en partenariat avec la Caisse de sécurité sociale (CSS) du Sénégal, «ce congrès-salon mise sur une forte dimension scientifique, avec 100 experts, 96 exposants et 48 ateliers-salons sous forme de conférences». Pour Samba Sy, «la prévention revêt deux aspects : d’une part, un aspect humanitaire, car il s’agit de préserver des vies humaines et la sécurité des familles, et, d’autre part, un aspect économique, car elle constitue un investissement pour le développement de l’entreprise et celui du pays, alors que la maîtrise globale des risques nécessite la synergie de tous les acteurs pour une meilleure prise en charge de la prévention dans les domaines d’activités tels que la sécurité routière, la sûreté/malveillance, la sécurité incendie, entre autres», a indiqué le ministre du Travail. Mais, la rencontre de Dakar devrait enregistrer la participation de 50 organisations professionnelles de 20 pays africains, si l’on en croit le commissaire général international de Préventica, Eric Dejean-Servières. Elle devrait contribuer à informer et sensibiliser sur la prévention et la gestion des risques tels que la menace malveillante, l’incendie, les inondations, l’explosion ainsi que la gestion communale en situation de crise. Pour ce faire, les mesures de sécurité prises contre ces risques seront abordées, grâce aux retours d’expériences, aux ateliers solutions ainsi qu’aux panels inscrits à l’agenda de la rencontre. Assane Soumaré, directeur général de la Caisse de sécurité sociale du Sénégal, co-organisateur de cette rencontre, note lui que «la protection sociale a une dimension économique qu’il est nécessaire de prendre en compte». Le Ministre du Travail, pour terminer, a évoqué les nouveaux chiffres publiés par l’OIT, l’Organisation internationale du travail, à l’occasion du 21e congrès mondial sur sécurité et santé au travail, tenu à Singapour, en septembre dernier (3-6). Il explique que ces statistiques montrent que les blessures et les maladies mortelles liées au travail sont passées de 2,3 millions à 2,78 millions par année avec un coût estimatif de 3,94 PIB mondial par an».

  1. ND

La prévention des risques professionnels revêt un aspect humanitaire autant qu’elle peut consister en un investissement pour le développement. Du moins, c’est tout le sens de l’intervention hier le ministre du Travail, du Dialogue social, des Organisations professionnelles et des Relations avec les institutions, Samba Sy. Il présidait l’ouverture du salon Preventica qui a vu la présence d’un panel d’experts dont ceux du SPIS.

 

Pendant deux jours, d’intenses réflexions et d’échanges vont ponctuer le déroulement du salon-Congrès. «Cette rencontre vient à point nommé, au regard des enjeux et défis majeurs que soulève la problématique de la sécurité et de la sûreté sur les lieux de travail, dans le monde en général, et dans les pays en développement en particulier», souligne le SG du SPIS pour qui, avec le concours de Préventica International, en partenariat avec la Caisse de sécurité sociale (CSS) du Sénégal, «ce congrès-salon mise sur une forte dimension scientifique, avec 100 experts, 96 exposants et 48 ateliers-salons sous forme de conférences». Pour Samba Sy, «la prévention revêt deux aspects : d’une part, un aspect humanitaire, car il s’agit de préserver des vies humaines et la sécurité des familles, et, d’autre part, un aspect économique, car elle constitue un investissement pour le développement de l’entreprise et celui du pays, alors que la maîtrise globale des risques nécessite la synergie de tous les acteurs pour une meilleure prise en charge de la prévention dans les domaines d’activités tels que la sécurité routière, la sûreté/malveillance, la sécurité incendie, entre autres», a indiqué le ministre du Travail. Mais, la rencontre de Dakar devrait enregistrer la participation de 50 organisations professionnelles de 20 pays africains, si l’on en croit le commissaire général international de Préventica, Eric Dejean-Servières. Elle devrait contribuer à informer et sensibiliser sur la prévention et la gestion des risques tels que la menace malveillante, l’incendie, les inondations, l’explosion ainsi que la gestion communale en situation de crise. Pour ce faire, les mesures de sécurité prises contre ces risques seront abordées, grâce aux retours d’expériences, aux ateliers solutions ainsi qu’aux panels inscrits à l’agenda de la rencontre. Assane Soumaré, directeur général de la Caisse de sécurité sociale du Sénégal, co-organisateur de cette rencontre, note lui que «la protection sociale a une dimension économique qu’il est nécessaire de prendre en compte». Le Ministre du Travail, pour terminer, a évoqué les nouveaux chiffres publiés par l’OIT, l’Organisation internationale du travail, à l’occasion du 21e congrès mondial sur sécurité et santé au travail, tenu à Singapour, en septembre dernier (3-6). Il explique que ces statistiques montrent que les blessures et les maladies mortelles liées au travail sont passées de 2,3 millions à 2,78 millions par année avec un coût estimatif de 3,94 PIB mondial par an».

  1. ND

La prévention des risques professionnels revêt un aspect humanitaire autant qu’elle peut consister en un investissement pour le développement. Du moins, c’est tout le sens de l’intervention hier le ministre du Travail, du Dialogue social, des Organisations professionnelles et des Relations avec les institutions, Samba Sy. Il présidait l’ouverture du salon Preventica qui a vu la présence d’un panel d’experts dont ceux du SPIS.

 

Pendant deux jours, d’intenses réflexions et d’échanges vont ponctuer le déroulement du salon-Congrès. «Cette rencontre vient à point nommé, au regard des enjeux et défis majeurs que soulève la problématique de la sécurité et de la sûreté sur les lieux de travail, dans le monde en général, et dans les pays en développement en particulier», souligne le SG du SPIS pour qui, avec le concours de Préventica International, en partenariat avec la Caisse de sécurité sociale (CSS) du Sénégal, «ce congrès-salon mise sur une forte dimension scientifique, avec 100 experts, 96 exposants et 48 ateliers-salons sous forme de conférences». Pour Samba Sy, «la prévention revêt deux aspects : d’une part, un aspect humanitaire, car il s’agit de préserver des vies humaines et la sécurité des familles, et, d’autre part, un aspect économique, car elle constitue un investissement pour le développement de l’entreprise et celui du pays, alors que la maîtrise globale des risques nécessite la synergie de tous les acteurs pour une meilleure prise en charge de la prévention dans les domaines d’activités tels que la sécurité routière, la sûreté/malveillance, la sécurité incendie, entre autres», a indiqué le ministre du Travail. Mais, la rencontre de Dakar devrait enregistrer la participation de 50 organisations professionnelles de 20 pays africains, si l’on en croit le commissaire général international de Préventica, Eric Dejean-Servières. Elle devrait contribuer à informer et sensibiliser sur la prévention et la gestion des risques tels que la menace malveillante, l’incendie, les inondations, l’explosion ainsi que la gestion communale en situation de crise. Pour ce faire, les mesures de sécurité prises contre ces risques seront abordées, grâce aux retours d’expériences, aux ateliers solutions ainsi qu’aux panels inscrits à l’agenda de la rencontre. Assane Soumaré, directeur général de la Caisse de sécurité sociale du Sénégal, co-organisateur de cette rencontre, note lui que «la protection sociale a une dimension économique qu’il est nécessaire de prendre en compte». Le Ministre du Travail, pour terminer, a évoqué les nouveaux chiffres publiés par l’OIT, l’Organisation internationale du travail, à l’occasion du 21e congrès mondial sur sécurité et santé au travail, tenu à Singapour, en septembre dernier (3-6). Il explique que ces statistiques montrent que les blessures et les maladies mortelles liées au travail sont passées de 2,3 millions à 2,78 millions par année avec un coût estimatif de 3,94 PIB mondial par an».

  1. ND

Sidiki KABA, Ministre sénégalais des Forces Armées, en présence de tous les officiers africains (une vingtaine de Chefs d'état-major d'armée de l'air) et partenaires internationaux, notamment des sociétés et groupes industriels spécialisés dans le domaine de l'aviation militaire a lui-même présidé la cérémonie officielle du forum. En marge de cette importante manifestation, Madame Rosa Seabra, Présidente d'un Cabinet de Courtage et d'Assurance a qualifié cette activité de "Messe des Corps Habillés" dédiée à l'aviation militaire.

 

Le forum a réuni des experts, des Cabinets de courtage d'assurance et de réassurance spécialisés en aéronautique, des sociétés d’audit, bref différentes spécialités dont la mise en place de programmes d'assurance adaptés spécifiques à chaque client, constitue une réponse à des appels d'offres étatiques,  l'assistance pour les demandes particulières et enfin l'analyse des contrats pour défendre les intérêts du client. Cette rencontre de la communauté aérospatiale est une opportunité pour aborder l’évolution du rôle des forces aériennes dans les opérations de contre-insurrection. Elle devrait constituer un cadre propice à l’avènement d’un réseau de communication pour les chefs d’état-major d’armée de l’air et des fournisseurs de solutions. La coopération et l’interopérabilité des forces aériennes régionales sont aussi discutées, afin de permettre de relever les défis communs afin d’instaurer un meilleur environnement sécuritaire. Ce forum qui connait la participation d’une vingtaine de chefs d’état-major d’armée de l’air d’Afrique et de plusieurs sociétés spécialisées dans le domaine de l’aviation militaire, est également une occasion pour identifier les besoins clés des armées de l’air régionales.

Au programme de ce forum de deux jours, plusieurs panels axés notamment sur le leadership et la coopération dans l’action ont été développés, notamment «la présence croissante de la force aérienne internationale en Afrique, un rôle au-delà de la lutte contre le terrorisme et la contre-insurrection» et «l’impératif de modernisation de l’armée de l’air et la mise en place des priorités claires et une stratégie ciblée».
Revenant à Madame Rosa Seabra dont le Cabinet a totalisé des années d'existence, et qui a qualifié cette activité de "Messe des Corps Habillés" dédiée à l'aviation militaire, elle compte se placer parmi les grands intermédiaires mondiaux de l'Assurance et de la Réassurance en offrant des couvertures d'assurance-aviation de haute qualité, ainsi que des services exclusifs d'assurance à des compagnies aériennes internationales réputées. «Nos nombreuses années d'expérience à travailler avec le Lloyd's de Londres et les assureurs aviation internationaux basés à Paris nous ont fourni un accès très étendu aux meilleurs souscripteurs, les plus réputés et les plus expérimentés», dixit la jeune chef d'entreprise qui a pu intégrer le département spatial de Marsh France pour cinq bonnes années.

Youssouf NDIONGUE

 

 

Sous la présidence de leur coordinateur Ibrahima Ndiaye, les membres du Task force départemental de Keur Massar ont analysé la situation nationale et magnifié les décisions issues des concertations sur la lutte contre la vie chère avec l’ensemble des acteurs concernés. Ils ont cependant invité les commerçants à respecter les baisses opérées sur les prix. pour éviter sanctions que pourraient prendre les services étatiques présents dans le département.

Ainsi ces jeunes engagés du département de Keur Massar engagés derrière le Président de la République saluent les onze (11) mesures portant sur la baisse des prix des denrées de première nécessité, du loyer et le soutien à la consommation des ménages, prises par le Président Macky SALL à l’issue du Conseil national spécial sur la Consommation, tenu ce samedi 05 novembre 2022, «Cela constitue incontestablement, une réponse à la fois pertinente, efficace et durable à la demande sociale. Dans un contexte marqué par les effets combinés de la pandémie Covid 19 et de la crise russo-ukrainienne qui ont fortement entamé l’économie mondiale, une telle décision vient consacrer le choix du chef de l’Etat d’une gouvernance sociale, orientée vers la prise en charge des préoccupations fondamentales des populations sénégalaises», se réjouit Ibrahima Ndiaye.

Le Task force du département de Keur Massar félicite le Président Macky SALL pour ses décisions majeures qui entrent dans le cadre de la grande offensive déclenchée contre la vie chère et salue leur haute portée sociale du fait de la baisse immédiate et de leur contribution au renforcement de notre souveraineté alimentaire. Les apéristes apprécient à sa juste valeur cette option résolue d’un État protecteur et défenseur des couches les plus démunies qui doivent être au cœur de la mise en œuvre des politiques publiques. «Ces décisions prises par le Chef de l’Etat montrent, une fois de plus, le degré humanitaire de l’homme qui préside aux destinées de 17 millions de sénégalais, car, cette nouvelle mesure contribue à la stabilité du pays. À ce titre, le Task Force se félicite de la mise en œuvre de sa politique socioéconomique, consignée dans le PSE, avec le renforcement du filet social et l’équité comme marqueurs essentiels de l’axe 2 de notre référentiel unique des politiques publiques», magnifient-ils.

Mais, le Task force invite les commerçants véreux au respect de ces décisions prises par le Président Macky Sall face aux difficultés économiques qui guettent tous les pays, car l’allègement du panier de la ménagère est une source de stabilité et de cohésion sociale. Par ailleurs, Ibrahima Ndiaye annonce une tournée départementale qui débutera le samedi 12 novembre au rond-point de Keur Massar. «Cette action aura pour but de sensibiliser les populations sur les réalisations du Président dans le département. Les leaders du Task force veulent ainsi se dresser en sentinelles de la république. Ils comptent aussi contribuer à la promotion et au rayonnement de la jeunesse de Keur Massar», se décident les camarades de l’APR.

  1. NDIONGUE

Ca doit être la désillusion, le découragement et le désespoir pour les femmes de Benno Bokk Yakaar qui, depuis longtemps, accompagnent Racine Talla. Conséquence, c’est la grogne et des départs énormes pour trouver un cadre porteur d’espoir et prêt à prendre à bras le corps les soucis des populations. Selon Satou Gaye, désormais ex membre de Benno, «nous savons que ce responsable n’est personne d’autre que Mame Cheikh Seck qui a fini de nous ontrer tout le bien qu’o pensait de lui».

 

Interpellée sur les mouvements dont elle et ses camarades font l’objet, Satou Gaye est assez explicite : «Après plus d'une décennie de compagnonnage, nous avons constaté que les profils désignés ici par Macky Sall sont responsables de tous les problèmes politiques de la coalition Bby à Wakhinane nimzath. Cela nous a toujours frustrées. Constatez avec nous que nous avons, dans notre localité, 03 directeurs nationaux, des conseillers à la présidence, au Hcct, au Cese et autres chefs de service dans le gouvernement, comment pouvons-nous perdre tous les bureaux de vote de la commune. C'est humiliant et on en a assez des défaites».

 

Par conséquent, poursuit la responsable politique dans la commune de Wakhinane Nimzatt, «nous, les femmes de Wakhinane nimzath avons quitté Racine Talla et la coalition Benno Bokk Yakaar pour accompagner le Président Mame Cheikh Seck qui dispose d’un excellent projet politique à la base». Ainsi, conclut Satou Gaye, «après avoir partagé notre démarche à travers les médias, nous allons désormais devoir nous ouvrir des horizons nouveaux afin de participer aux compétitions présidentielles de 2O24. Car l'enjeu est encore plus important à court terme».

 

 La très célèbre dénomination « saré sukabé », sobriquet attribué à la région de Kolda, est souvent mal appréhendée par certains. Selon ces derniers, Kolda est un lieu où les jeunes filles ne sont rien d’autres que du menu fretin dont on se sert à sa guise. Ainsi pour lever toute incompréhension notée autour des termes, nous avons jugé nécessaire de clarifier que Kolda n’est pas appelé « saré sukabé » pour la simple raison que « sukabé » revoie uniquement aux filles. Par ailleurs la région de Kolda est aussi appelée la capitale du fouladou.

Comme pour la plupart des villes, des régions, des pays ou même la nature qui ont, par périphrase, une appellation autre que leurs noms officiels : la région de Thiès par exemple est dénommée en wolof « Béneu deukk niari gaare » qui littéralement signifie « une localité deux gare routières », le Burkina, Pays des hommes intègres, La terre des pharaons, l’Egypte, La cité phocéenne, Marseille, La cité des Doges, Venise, Le toit du monde, l’Himalaya, etc. ; Kolda n’échappe pas à la règle. Mais sa dénomination « Saré sukabé » pose un problème au niveau de son appréhension et de sa compréhension suite à la restriction du terme « sukabé » arrimé à l’idée que la région abrite de très belles jeunes filles faciles à posséder. Cette restriction doit être l’œuvre d’hommes lubriques à l’esprit étroit qui imaginent que Kolda est un grenier à filles où l’on peut assouvir des penchants libidineux sans coup férir.

Ces béotiens ignorent que « saré sukabé » est une expression peulhe qui veut dire « village de jeunes ». Associée au nom Kolda, elle signifie que Kolda est une région à forte majorité de jeune. Et, une région se renouvelle de par sa jeunesse. La vaillante jeunesse Koldoise est aujourd’hui très engagée dans la lutte pour le développement durable de Kolda et l’épanouissement de sa population ; eu égard aux nobles actions effectuées par elle, à travers ses mouvements et collectifs, dans tous les secteurs de la vie : santé, éducation, sport, agriculture, élevage... Ainsi le collectif des jeunes SOS Scanner en est une parfaite illustration.  Au moment où l’hôpital régional de Kolda souffrait d’un manque de scanner, des « sukabé » se sont lancés dans une campagne de revendication afin que l’hôpital soit doté d’un scanner. Les jeunes les plus en vue dans cette lutte sont : Moudjibou R. Baldé, Abdou W. Baldé, Mamadou B. Mballo, Mamadou Kandé, Guélewar, Djibril Diédhiou et parmi tant d’autres.

Cependant, il est indispensable de rappeler que Kolda est une région très représentée dans les différentes universités du Sénégal. De l’UCAD à l’UVS, ses jeunes sont partout à la quête de la connaissance. Cette forte présence dans ces temples du savoir montre à quel point ils sont studieux et fortement attachés aux valeurs intellectuelles. Ils ont en effet fait sien de la célèbre formule du preux Cheikh Anta Diop : « Armez-vous de science jusqu’aux dents ». Aujourd’hui, grâce à cet armement scientifique, intellectuel, « saré sukabé » enregistre, sur le plan littéraire, de jeunes auteurs qui peuvent devenir de grands écrivains de la trempe d’Albert Camus ou d’Ibrahima Sall : il s’agit du jeune professeur de français Samba Diamanka, auteur de deux fabuleux romans : Un ange dans la gueule du crocodile et Au fond d’une prison, Ibrahima Baldé, auteur de La gibecière de l’oralité, Abdoulaye Fall avec ses deux magnifiques ouvrages : Parcours d’un enfant valeureux et Sous le regard de Dieu. Nous ne pouvons fermer cette liste loin d’être exhaustive sans y inscrire le jeune inspecteur de la jeunesse Abdoulaye Seydi, auteur de L’assaut final, etc. Ces enfants du fouladou s’occupaient plus de leur chapeau que de leur ventre lorsqu’ils étaient étudiants. La littérature étant un miroir qui reflète la société d’un pays, les lettres sénégalaises en particulier et africaine en général peuvent compter sur ces jeunes à l’avenir prometteur qui viennent de les honorer avec des œuvres littéraires digne de ce nom. 

Kolda est aussi terre d’artistes d’une grande renommée nationale et internationale. Nous nommons le groupe Guélongal, réalisateur de la première série sénégalaise : Un café avec, de grandes figures culturelles comme feu Diengui Bambado, feue Mayo Diao, Sana Seydi… Les diambadong, les journées culturelles le jingù fouladou par exemple sont l’occasion de voir de talentueux artistes et acteurs de la riche culture koldoise. Les « sukabé » koldois (es) ont le courage du Joola et la fierté du mankagne pour paraphraser Guélongal.                                               

Parler de la jeunesse d’une région c’est aussi une façon de valoriser des sommités religieuses, de figures historiques ou politiques qui constituent une référence pour les jeunes. En effet, Kolda est une contrée où la religion est au centre des préoccupations des populations. C’est en même temps une terre qui renferme en son sein des villages saints à la tête desquelles trônent de saints hommes vertueux, mystiques et spirituels. Nous citons le saint village de Sobbouldé où repose le grand Thierno Mouhamadou Diallo propagateur du Wird Tijaniyya dans cet espace du Sud du Sénégal. Il est l’un des maillons de la chaine de transmission que beaucoup de sénégalais ne connaissent pas. 

Tout le monde connait le Daaka qu’abrite Madina Gounass de Mama Seydou, père de l’actuel khalif Thierno Amadou Tijane Ba et du célèbre guide du fouladou Thierno Amadou Baldé de Madinatoul Houda. Que dire de Thierno Ali Thiam (Médina El Hadj Ali), du très mystique Thierno Mamadou Diouldé Seydi (Iliyao), de Chérif Cheikhna Aidara (Saré Mamadi), de Thierno Mamadou Wagué, de Thierno Mamadou Lamine Djibayrou… La jeunesse koldoise a de qui tenir. Le koldois est très pieux. Sa piété lui vient de sa pratique des actes d’adoration et de la connaissance de sa religion (chrétienne comme musulmane) plus approfondies par des hommes très attraits à l’enseignement des préceptes du noble coran et de la sainte bible, de la charia et de la sunna du vénéré prophète de l’islam Muhammad PSL pour la purification du cœur et l’éducation de l’âme. 

Aujourd’hui, la célèbre histoire du fils d’Alpha Molo Baldé, Moussa Molo n’est plus à présenter. Ce jeune digne fils du fouladou est le héros libérateur des peulhs qui étaient sous domination mandingue. Des hommes qui ont marqué l’histoire, la culture et la politique, la région de Kolda n’en manque pas. Elle a toujours eu des hommes qui ont occupé des postes de responsabilités dans le gouvernement du pays de Dia et de Senghor. En guise d’illustration nous citons M. Bécaye Diop qui fut ministre des forces armées sous le président Wade. Dans le gouvernement de l’actuel chef de l’Etat sénégalais S. E M. Macky Sall, des fils du fouladou en l’occurrence M. Moussa Baldé, ancien ministre de l’agriculture et de l’équipement rural et actuel ministre de l’enseignement supérieur de la recherche  et de l’innovation, y prennent part.

Kolda, « Saré sukabé » comme lieu où l’on peut trouver de belles filles, parfois même dans une large mesure lieu de débauche selon l’entendement de certains est loin de cette signification ou de ce sens dont on veut bien lui conférer.  Par sécheresse morale ou intellectuelle, des hommes ont effroyablement corrompue le sobriquet de la région de Kolda pour des besoins que nous connaissons très bien. Ainsi, au-delà d’être considéré comme « saré sukabé », Kolda est aussi « saré kélifabé » dont les jeunes emboitant les pas

 

CMU
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