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Henri Mendy

Henri Mendy

" Dans son édition n° 4453 du 31 juillet 2018, le journal « L’OBSERVATEUR » a titré, à la Une : « La CENTIF activée pour une enquête sur les biens de l’ex-Premier Ministre ».


Dans un article à la page 3 signé par Mamadou SECK et intitulé « Cheikh Hadjibou Soumaré dans le collimateur de la CENTIF », le journal affirme que « l’Etat a activé la CENTIF pour fouiller dans le portefeuille de l’ancien Président de la Commission de l’UEMOA. »

La CENTIF porte à l’attention de qui de droit qu’elle n’a reçu ni de déclarations d’opérations suspectes, ni été saisie pour mener des investigations au sujet de Monsieur Cheikh Hadjibou Soumaré. Par conséquent, l’information donnée par le journal est dénuée de tout fondement.

Pour rappel, la CENTIF dont les missions sont encadrées par la loi, est chargée de recevoir et de traiter les déclarations d’opérations suspectes faites par des personnes assujetties, limitativement désignées.

A ce titre, elle est dotée d’un pouvoir de décision autonome sur les affaires liées au blanchiment de capitaux et au financement du terrorisme. Ce pouvoir se traduit notamment par le traitement des déclarations qui sont communiquées à la CENTIF de manière confidentielle et sans interférence aucune."

Ministère de l’Economie, des Finances et du Plan
Cellule de Communication
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Dakar- Sénégal

Le verdict de la Haute Cour de la justice de la Cedeao sur l’affaire Khalifa Sall, rendue publique vendredi dernier, a été diversement interprétée et par les juristes et par les politiques.

Mouhamed Samb, Secrétaire général du cadre de concertation libéral, dément l’information selon laquelle le ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, Me Sidiki Kaba, aurait eu un Avc et serait évacué en France.

Bamako - Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta a décidé de "surseoir" à l'organisation d'un référendum sur son projet de révision de la Constitution, une décision célébrée samedi dans les rues de Bamako par plusieurs milliers d'opposants.

Le 21 juin, le gouvernement malien avait déjà décidé de reporter à une date ultérieure le référendum initialement prévu le 9 juillet 2017.

La révision de la Constitution de 1992, la première depuis 25 ans, vise notamment à "mettre en oeuvre certains engagements de l'Accord pour la paix et la réconciliation au Mali" signé en mai-juin 2015 entre le gouvernement et l'ex-rébellion à dominante touareg du nord du pays. Il prévoit aussi la création d'un Sénat et d'une Cour des comptes.

"Dans l'intérêt supérieur de la nation et de la préservation d'un climat social apaisé, j'ai décidé, en toute responsabilité, de surseoir à l'organisation d'un référendum sur la révision constitutionnelle", a déclaré IBK vendredi soir à la télévision.

L'opposition est descendue dans la rue pour célébrer ce qu'elle considère comme une victoire contre un projet qu'elle combattait.

Nous sommes ici pour célébrer une victoire, le retrait du projet référendaire. Nous remercions les milliers de militants qui sont présents au meeting. Nous resterons vigilants pour la suite", a déclaré Amadou Thiam, vice-Président de la plateforme "Touche pas à ma Constitution", qui a rassemblé quelques milliers de personnes dans les rues de la capitale malienne samedi, selon un correspondant de l'AFP.

Dans son allocution, le chef de l'Etat malien avait souligné que son "devoir" était "d'expliquer tous les bénéfices que la révision constitutionnelle apporterait au rétablissement de la paix, à la consolidation de nos institutions et à l'amélioration de la gouvernance".

"Je constate toutefois que dans le climat actuel ces explications peinent à être entendues et acceptées", avait ajouté Ibrahim Boubacar Keïta.

"Nous devons prendre le temps de nous retrouver pour échanger sans détour", a-t-il estimé, tout en regrettant que de "profonds clivages menacent d'ébranler durablement (la) cohésion nationale".

Le 5 juillet, la Cour constitutionnelle avait demandé au gouvernement d'apporter des "corrections" au projet de révision constitutionnelle, acceptant la requête de l'opposition sur l'article évoquant la durée du mandat des sénateurs désignés par le président, qui n'était nullement mentionnée dans la texte.

En revanche, la Cour avait rejeté une autre requête réclamant l'annulation du référendum déposée par l'opposition, qui avait organisé plusieurs manifestations.

Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes jihadistes liés à Al-Qaïda. Les jihadistes ont été en grande partie chassés par une intervention militaire internationale, lancée en janvier 2013 à l'initiative de la France.

Mais des zones entières échappent encore au contrôle des forces maliennes, françaises et de l'ONU, régulièrement visées par des attaques, malgré la signature de l'accord de paix de 2015. Depuis, ces attaques se sont étendues dans le centre et dans le Sud et le phénomène gagne les pays voisins, en particulier le Burkina Faso et le Niger. (AFP)

Lamine Bodiang, oncle du Roi des arènes donne son analyse sur l'accession de son neveu sur le trône de l'arène sénégalaise.

Une histoire de mœurs défraie la chronique à Pikine. Un tailleur du nom Adama T a été arrêté et déféré ce jeudi, au parquet par la police de Pikine. Il est accusé d’avoir abusé d’un malade mental, du nom de Youssou D, dans les buissons qui se trouve en bordure de la nouvelle arène nationale.

PARIS (Reuters) - Alexandre Benalla s’est exprimé vendredi sur le plateau de TF1 pour “rétablir un peu de justice” dans l’affaire qui le concerne et disculper Emmanuel Macron de toute responsabilité dans un incident qu’il a qualifié de “banal”.

Un journaliste vedette de CNN a été conspué mardi en plein direct lors d’un meeting du président américain, qui multiplie les attaques envers la presse. Qualifiés d’« ennemis du peuple » par Donald Trump, les médias américains, au premier rang desquels CNN et le New York Times, se rebellent et mettent en garde contre la montée d’un climat de haine en pleine campagne pour les élections de mi-mandat en novembre.

(Déclaration) Dakar et sa banlieue connaissent depuis plusieurs mois une perturbation dans l’alimentation en eau potable. Cette situation n’est pas sans précédent.
 
Pour rappel, en 2013, la panne d’une conduite de l’usine de Keur  Momar Sarr, avait assoiffé la région de Dakar pendant plus de trois semaines.
 
Ces dysfonctionnements récurrents, dans la continuité du service fourni, auxquels s’ajoutent les ruptures presque systématiques dans certains quartiers de Dakar, ne sont pas sans conséquence grave sur la vie quotidienne des populations. Ils conduisent ces dernières à recourir à d’autres sources d’approvisionnement en eau à la qualité douteuse, avec tout ce que cela implique en termes d’hygiène et de risques pour la santé publique surtout en cette période de chaleur torride.
La pénurie oblige les populations à consacrer une grande part de leur temps, de leur énergie et également de leur pouvoir d’achat à chercher à s’approvisionner dans des conditions très difficiles ayant même des conséquences dans leurs activités sociales.
 
Contrairement à l’expérience de 2013 due au retard dans le renouvellement des installations, la présente pénurie que vivent Dakar et sa banlieue, est essentiellement imputable à un déficit d’anticipation des besoins hydriques des populations, par les autorités compétentes dans la gestion  du service public de l’eau.
 
Il est à noter que cette situation ne se limite pas qu’à Dakar. Dans les régions comme Kédougou, les populations ont fini par se résigner à l’indisponibilité du liquide précieux pendant une certaine période de l’année.
 
Le Forum Civil considère que la présente situation est inacceptable au moment où l’accès à l’eau est reconnu comme un droit fondamental au moment où les pouvoirs publics sénégalais déclarent avoir atteint largement les OMD, en ce qui concerne l’eau.
 
En effet, le 28 juillet 2010, l’Assemblée Générale des Nations Unies a adopté une résolution sur le droit de l’homme à l’eau et à l’assainissement par laquelle elle met l’accent sur l’importance que revêt l’accès équitable à l’eau potable et l’assainissement, faisant de cet accès une partie intégrante de la réalisation de tous les droits humains.
 
Par conséquent, le Forum Civil  regrette et déplore cette situation, et condamne fermement cette attitude habituelle des autorités consistant à réagir tardivement aux problèmes des citoyens plutôt qu’à les prévenir en vue de leur apporter les meilleures solutions. Dans la même veine, le Forum Civil déplore les retards constatés dans les investissements et dans la disponibilité des infrastructures à temps pour faire face à la demande croissante des populations.
 
Le Forum Civil invite l’Etat à situer les responsabilités et à prendre des mesures fortes afin de mettre fin à de tels manquements graves et récurrents.
 
Le Forum Civil invite les autorités à renforcer toutes les dispositions nécessaires afin de soulager définitivement la souffrance des populations.
 
Le Forum Civil appelle à  une meilleure harmonisation entre les ministères dans la définition et la mise en œuvre des politiques publiques. Particulièrement, les plans directeurs d’urbanisme et d’aménagement des territoires doivent être mieux articulés aux politiques de développement du secteur Eau-Assainissement-Electricité, et inversement.
 
Il est également grand temps que la responsabilité des délégataires exploitant les installations d’alimentation en eau potable soit engagée en cas d’interruption ou carence par un Comité de régulation à l’image de ce qui existe dans le secteur de l’électricité et ayant en outre les prérogatives du Comité interministériel de suivi et d contrôle.
 
Les usagers pourraient s’adresser à ce Comité de régulation pour faire prévaloir leurs droits.
Pour un Sénégal où l’accès équitable à l’eau potable et à l’assainissement demeure une réalité partout !

Le PSG a vu qu'il pouvait compter sur ces jeunes, qui ont fait le boulot sur le troisième but. Lancé sur le côté gauche, Nsoki a débordé Raggi avant de centrer pour Timothy Weah (67e). La frappe sur le poteau de Nkunku, décalé par Verratti à la suite d'une superbe percée dans le camp monégasque, a fait frémir les joueurs de Jardim, qui ont de nouveau cédé en toute fin de match face à Di Maria (90e+2). «Je suis très content, nous avons fait un bon match, très offensif, s'est réjoui Tuchel au micro de beIN Sports. Il fait très chaud ici, l'équipe était très jeune, mais ils ont travaillé comme une équipe, ça j'aime beaucoup. Nous avons mérité de gagner, je suis très content.»

 L'autre bonne nouvelle pour le PSG, c'est le retour à la compétition de Neymar qui est entré en jeu pour le dernier quart d'heure à la place de Marco Verratti.

Le joueur : Di Maria déjà très en jambes

Après la déception du Mondial où l'Argentine a été sortie dès les huitièmes de finale par la France (3-4), Angel Di Maria semble avoir envie de passer à autre chose. L'ancien joueur du Real Madrid et de Manchester United a livré un match remarquable face à Monaco. Malgré une altercation en début de rencontre avec Jemerson, il a montré beaucoup de sérénité durant le reste de la partie et s'est procuré un grand nombre d'occasions. Dès la 9e minute, Di Maria a vu une première frappe détournée en corner par Glik. A la 15e, son tir à la suite d'un service de N'Soki n'a pas trompé Benaglio. Ses coups de pied arrêtés ont été précis et c'est logiquement sur coup franc qu'il a ouvert le score (33e). Après la pause, il a gardé un niveau élevé de performance, s'offrant deux frappes lointaines coup sur coup à la 49e. Il a aussi trouvé le petit filet à la 58e à la suite d'un excellent travail de Verratti. A la 70e, sa frappe a été détournée par Benaglio. Il a finalement marqué son deuxième but en fin de rencontre sur un service de Rabiot (90e+2). Il a logiquement été élu homme du match.

CMU
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