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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

L'Amical sénégalaise de la communauté du Centre D'Études Stratégique de l'Afrique (CESA) a organisé a Dakar un colloque scientifique sur le thème, " la démocratie a l'épreuve des nouveaux défis sécuritaire en Afrique de l'ouest et au Sahel organisé par L'ASCESA à l'occasion des 25 ans du CESA.

 

Le colloque a réunis environ 60 participants notamment des universitaires, des représentants des forces de défense et de sécurité (FDS), des membres de la société civile, des ONG ainsi que du secteur privé, des membres d'associations de jeunes, de femmes, d'institutions partenaire de ll'ASCESA, des PTF et des représentations diplomatiques accrédité au Sénégal.

 

Présidé par le Ministre des forces armées le Général Birane Diop qui est largement revenu sur le contexte même de la rencontre.

Le ministre qui est revenu sur les nombreuses défis que nous avons dans notre sous région liée a l'extrémisme violente, au terrorisme, au catastrophe naturelle qui demande une résilience très forte, aux crimes Transnational organisé, aux inégalité social avec leur lot de conséquences pour ne citer. Que ces défis la.

 

Ces défis peuvent mettre en cause la sécurité de nos états et la sécurité dans la sous région.

Vous conviendrez avec moi que la démocratie et la sécurité se soutiennent mutuellement.

 

Si la démocratie s'affaiblit celà aura des impacts négatifs sur la sécurité de la communauté, de la société, nous devons travailler de façon a renforcer et notre démocratie parce que les deux vont de paire et celle se fait au niveau national mais aussi au niveau sous régionale compte tenue de la Transnationalité des défis.

 

Les défis ne connaissent pas les frontières et nos réponses doivent être transnationaux et pour cela nous devons mettre en place des mécanismes très efficace, réaliste qui nous permet ensemble dans les sous région, au niveau continental de nous donner la main pour prendre en charge de manière durable des problématiques sécuritaire.

 

Cette responsabilité n'incombe pas seulement a l'état, c'est une responsabilité qui incombe aussi a la société civile a toutes les parties prenantes de nos sociétés mais aussi a nos citoyen individuellement, qui mieux que le citoyen pour prendre en charge sa propre sécurité car le citoyen de plus en plus doit être conscient du rôle extrêmement important qu'il a a jouer dans la sécurité mais aussi, dans le renforcement de processus démocratique qui sont en cours dans notre sous région et sont encore fragile. Contre tenue de la qualité de l'expertise et de l'expérience de nos camarades qui participent à ce colloque, il n'y a aucun doute les conclusions seront faites a l'issue de ce colloque vont nous servir à sensibiliser d'avantage les populations et a faire un plaidoyer auprès des preneurs de démission qui permettront de créer de conditions nécessaires de promotion de la paix et de la démocratie dixit le Ministre.

 

Pour rappel, l'Afrique de l'ouest et la sous région du Sahel sont confrontés a des défis sécuritaire croissant qui fragilise les systèmes démocratique notamment la montée du terrorisme, les coup d'état militaire, les conflits intercommunautaires, et les crimes transfrontalière.

 

Depuis plus d'une décennie, la montée en puissance de groupes armés et djihadistes a conduit a des crises politiques majeures dans plusieurs pays tel que le Mali, Burkina fasso, Niger, impactent la stabilité régionale en mettant à rude épreuve les processus démocratique.

 

La démocratie en tant que système, est mise à l'épreuve dans ces contexte de violence et d'insécurité.

La gouvernance démocratique doit désormais trouver un équilibre entre la gestion de la sécurité et de la protection des libertés fondamentaux 

Les régimes démocratique en Afrique de L'ouest et au Sahel sont appelés à répondre à ces nouveaux défis sécuritaire tout en assurant une gouvernance transparente et inclusive.

 

Fort de cette ambition, au cours de ce quart de siècle le CESA a contribué à faire progresser la compréhension des enjeux sécuritaire en Afrique en offrant une plateforme d'échange entre décideurs et acteurs favorable au dialogue et à l'émergence de partenariat solides gage d'une synergie des solutions stratégiques durable face a la complexité des menaces sécuritaire en Afrique.

 

Cette année, le CESA célèbre ses 25 ans, un évènement exceptionnel et est l'occasion choisis par L'ASCESA pour organiser ce colloque scientifique à Dakar sous le thème " LA DÉMOCRATIE A L'ÉPREUVE DES NOUVEAU DÉFIS SÉCURITAIRE EN AFRIQUE DE L'OUEST ET AU SAHEL.

 

Ce colloque sera un cadre d'échange et de réflexion sur les modalités pour refonder la démocratie au service de la paix, la stabilité et le développement de la sous région en tenant compte des nouveaux défis et des menaces multiformes.

Mamadou Touré 

Revenant sur la démarche de Ousmane Sonko dans son processus de quête du pouvoir, le maire de Dakar l’accuse d’avoir usé de la manipulation des masses teintées de mensonges. «Nous le savons tous. Ni la religion musulmane, ni celle chrétienne n’accepte le mensonge. Il est banni par ces deux religions. Il a beaucoup menti. Comment croire une personne qui passe tout son temps à mentir», lance-t-il. Et d’ajouter : «Il est parti à Dakar Arena pour dire que tout ce qu’il faisait n’était que du mensonge. Au moins, 83 personnes sont décédées à cause de ses mensonges. Nous allons lui montrer que le mensonge ne dirigera pas le Sénégal», défie le maire de Dakar

Porte-parole du jour, Pape Djibril Fall affirme qu’il urge de corriger les erreurs de Sonko et Diomaye. «Non seulement ils n’ont pas recruté, mais ils ont envoyé en prison un employeur, en la personne de Bougane Guèye Dany», dit-il. C’est pourquoi il recommande aux jeunes de s’inspirer de Serigne Moustapha qui a été de tous les combats démocratiques, de Khalifa Sall qui a passé tout son temps à lutter pour les causes justes. «L’inter-coalition regroupe de personnalités de tous bords, des hommes d’Etat, des hommes intègres. Notre coalition défend l’intérêt général. Elle a été mise en œuvre pour le bien du Sénégal, des Sénégalais», lance-t-il. Selon lui, le choix de la tête de liste de Dakar, incarnée par Pape Babacar Mbengue, maire de Hann Bel Air, «est justifié et pertinent». «C’est un maire irréprochable, intègre (…) Les Dakarois qui ne s’identifient pas à la politique, doivent opter pour notre liste. Cette inter-coalition incarne l’espoir de la jeunesse. Nous avons besoin d’une cohabitation au soir du 17 novembre 2024», dit-il.

La campagne électorale pour les élections législatives anticipées du 17 novembre a démarré. Et pour sa première sortie, son premier meeting, la tête de liste de la coalition « Jamm Ak Njarin » a choisi la banlieue Dakaroise, Guédiawaye, plus précisément. Et en compagnie de l’ancien maire de la ville, Aliou Sall, Amadou Bâ a invité la population à faire confiance à leur liste, et pour cause. L’ancien Premier ministre a promis, qu’une fois la majorité dans la poche, les députés de la coalition vont s’investir pour la baisse du coût de la vie. Sur ce, il tenu à préciser : «nous ne voulons pas une majorité pour bloquer le pays».

 

Nous voulons l’Assemblée nationale, informe t-il, «pour accélérer les choses. Si nous avons la majorité, je promets la réduction de l’eau et de l’électricité en trois mois et je vais vous dire comment dans une semaine. En cas de majorité, nous allons imposer la reprise de tous les chantiers en 4 mois maximum. Nous n’avons pas besoin de nous battre, de nous chamailler, nous avons besoin de développer notre pays. Plus rien ne marche à Guédiawaye depuis le départ de Aliou Sall. Certes, c’est la démocratie mais la population doit savoir qu’il y a des personnes qui sont dans l’action et d’autres qui privilégie la parole. Maintenant, il faut faire le bon choix».

Amadou Bâ est, aussi, revenu sur les raisons pour lesquelles il a choisi Guédiawaye pour démarrer sa campagne électorale. Selon lui, il a choisi cette localité à cause d’une absence de politique dans «le Projet» par les autorités actuelles. «Je ne vois pas de projets dans le Projet, pour Guédiawaye. J’ai l’impression que le régime actuel a oublié cette partie de la banlieue. Or il y a une forte population dans cette localité, sans compter que les questions d’urbanisme, d’assainissement sont des priorités ici». Donc, souligne t-il, «il faut trouver des solutions. Il faut aussi des solutions par rapport à la question du financement et de l’autonomisation des femmes. On en a les moyens. Concernant les jeunes, j’ai toujours dit que la jeunesse n’est pas l’avenir, dans notre situation, la jeunesse s’est surtout le présent».

 

 

Aussi, poursuit-il, «on a pensé qu’après 6 mois, les autorités allaient trouver des solutions face au phénomène de l’immigration irrégulière surtout qu’on avait mis en place beaucoup de stratégies pour cela. Donc s’ils n’ont pas les compétences nécessaires, ils peuvent reprendre nos idées, ils peuvent recopier nos idées et les appliquer. Ils sont dans la continuité même s’ils ont toujours refusé cela. Seulement, il faut reconnaître qu’ils sont trop lents, ils traînent. En 6 mois, on avait discuté avec toutes les parties prenantes, rédigé le Pse et trouvé le financement mais ils n’ont produit qu’un projet en 7 mois. À ce rythme, c’est en 2028, qu’ils vont concrétiser leur première réalisation.La campagne électorale pour les élections législatives anticipées du 17 novembre a démarré. Et pour sa première sortie, son premier meeting, la tête de liste de la coalition « Jamm Ak Njarin » a choisi la banlieue Dakaroise, Guédiawaye, plus précisément. Et en compagnie de l’ancien maire de la ville, Aliou Sall, Amadou Bâ a invité la population à faire confiance à leur liste, et pour cause. L’ancien Premier ministre a promis, qu’une fois la majorité dans la poche, les députés de la coalition vont s’investir pour la baisse du coût de la vie. Sur ce, il tenu à préciser : «nous ne voulons pas une majorité pour bloquer le pays».

 

Nous voulons l’Assemblée nationale, informe t-il, «pour accélérer les choses. Si nous avons la majorité, je promets la réduction de l’eau et de l’électricité en trois mois et je vais vous dire comment dans une semaine. En cas de majorité, nous allons imposer la reprise de tous les chantiers en 4 mois maximum. Nous n’avons pas besoin de nous battre, de nous chamailler, nous avons besoin de développer notre pays. Plus rien ne marche à Guédiawaye depuis le départ de Aliou Sall. Certes, c’est la démocratie mais la population doit savoir qu’il y a des personnes qui sont dans l’action et d’autres qui privilégie la parole. Maintenant, il faut faire le bon choix».

Amadou Bâ est, aussi, revenu sur les raisons pour lesquelles il a choisi Guédiawaye pour démarrer sa campagne électorale. Selon lui, il a choisi cette localité à cause d’une absence de politique dans «le Projet» par les autorités actuelles. «Je ne vois pas de projets dans le Projet, pour Guédiawaye. J’ai l’impression que le régime actuel a oublié cette partie de la banlieue. Or il y a une forte population dans cette localité, sans compter que les questions d’urbanisme, d’assainissement sont des priorités ici». Donc, souligne t-il, «il faut trouver des solutions. Il faut aussi des solutions par rapport à la question du financement et de l’autonomisation des femmes. On en a les moyens. Concernant les jeunes, j’ai toujours dit que la jeunesse n’est pas l’avenir, dans notre situation, la jeunesse s’est surtout le présent».

 

 

Aussi, poursuit-il, «on a pensé qu’après 6 mois, les autorités allaient trouver des solutions face au phénomène de l’immigration irrégulière surtout qu’on avait mis en place beaucoup de stratégies pour cela. Donc s’ils n’ont pas les compétences nécessaires, ils peuvent reprendre nos idées, ils peuvent recopier nos idées et les appliquer. Ils sont dans la continuité même s’ils ont toujours refusé cela. Seulement, il faut reconnaître qu’ils sont trop lents, ils traînent. En 6 mois, on avait discuté avec toutes les parties prenantes, rédigé le Pse et trouvé le financement mais ils n’ont produit qu’un projet en 7 mois. À ce rythme, c’est en 2028, qu’ils vont concrétiser leur première réalisation.

Le président de l’Association des juristes africains (AJA), professeur Ogo Seck, demande aux pouvoirs publics de travailler à mettre en place des “politiques d’urgence” qui permettraient d’apporter des solutions aux problèmes nés de la crue du fleuve Sénégal, en trouvant par exemple les moyens de drainer les eaux vers des terres cultivables.

 

“Il est urgent que des mesures soient prises pour drainer les eaux vers des terres, et que les paysans puissent les utiliser tranquillement au bénéfice de la nation”, a-t-il dit en marge d’un forum international sur le foncier, organisé ce week-end à l’université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis.

 

“Avec ces inondations, il y aura des problèmes fonciers qui vont se poser, car là où passent ces eaux, il y a des terres, et des problèmes de propriétés vont se poser”, a-t-il dit.

 

Il a également prévenu contre “des problèmes biologiques et environnementaux” pouvant résulter de cette situation, “de nouvelles menaces qui vont se poser” et qui nécessitent qu’il soit développé le concept de “politique d’urgence”.

 

“Rien n’empêche le gouvernement de réfléchir sur des concepts de développement d’urgence, car pour lui tout est urgent face aux nouvelles menaces biologiques”, a indiqué le juriste.

 

Il a plaidé pour la maîtrise de la terre qui suppose la maîtrise de l’eau, estimant que “tant que ces deux ressources ne sont pas maîtrisées, bien orientées et bien guidées, on n’ira pas vers une souveraineté alimentaire”.

 

Au cours de ce forum marqué par des interventions en ligne depuis la Cote d’Ivoire, le Canada et le Bénin, les autres participants ont passé en revue “la problématique du foncier non seulement au Sénégal mais en Afrique”.

 

“Nous devons aller vers un système qui nous permettrait d’apprendre des autres et d’harmoniser nos politiques”, a suggéré le professeur Ogo Seck, avant de se projeter sur d’autres rencontres similaires “pour approfondir la réflexion” sur cette question.

 

Les juristes doivent réfléchir pour trouver des solutions aux “problèmes posés par le foncier et harmoniser les politiques dans leur pays”, afin que les paysans africains “ne soient pas utilisés comme métayers par des exploitants étrangers”.

 

“Pour cela, il faut arriver à une révision de la législation, pour que de vastes étendues de terre ne soient pas attribuées à des particuliers ou entreprises surtout étrangères”, a-t-il préconisé

Expresso Sénégal a procédé hier vendredi , au lancement officiel de son nouveau produit dénommé "Méga Téral" à son siège.

Méga Teral est juste un moment de bonheur que Expresso Sénégal souhaite partager avec ses abonnés.

« Expresso Sénégal est connu par sa générosité légendaire depuis son existence au sénégal, on nous a toujours connu au côté des populations pour répondre à des besoins téléphoniques mais également à des besoins de connectivités . 

Aujourd’hui Exprsso Sénégal revient pour faire plaisir à la clientèle », a déclaré Madame kane directrice générale Expresso Sénégal.

Avec cette crise qui sévit, Expresso Sénégal vient au bon moment soulager ses clients en les aidant à gagner plusieurs lots comme l’argent, des bons d’achats ,une voiture et une maison

car nous sommes et restons dans ce crédo et ne va pas le quitter », a-t-elle ajouté.

Expresso Sénegal est en train de mener au travail exceptionnelle pour renforcer son réseau.

Mamadou Touré 

La transhumance politique est un sale business. A bas les politiciens "cube maggi" capables d'être dans toutes les sauces, pardon, avec tous les régimes pour ne pas dire "au pouvoir durant toute leur vie", pour paraphraser mon excellent confrère Momar Dieng. L'actuel DG du Port Autonome de Dakar et non moins membre influent du PASTEF le parti au pouvoir, Waly Diouf Bodiang, a lui aussi parfaitement raison de dire orbi et urbi et je le cite. "Après avoir gouverné, on s'oppose dignement. Après s'être opposé, on gouverne dignement". Vérité de Lapalisse ! 

 

C'est vrai qu'éthique et politique ne font pas souvent bon ménage, mais la dignité humaine n'a pas de prix. Notre regretté Alioune Badara Diagne dit Golbert, me disait un jour, que "dans la vie, on ne peut pas avoir été et vouloir être".Le slogan des nouvelles autorités au pouvoir depuis pratiquement 07 mois, "JUB JUBAL JUBANTI" ne peut pas et ne doit pas s'accommoder avec la honteuse et vaste opération tous azimuts de recel de transhumants par l'actuel pouvoir, que nous constatons pour s'en offusquer, en cette veille de campagne électorale. Si ces fameux "transhumants", une expression propre au bétail à la recherche de verts pâturages, avaient vraiment du monde, les tenants de l'ancien régime seraient toujours aux affaires. "On ne peut pas avoir été et vouloir être". A bon entendeur salut 

Dans un communiqué publié ce vendredi 25 octobre 2024, le ministère des Finances et du Budget annonce le retrait du Sénégal de la “liste grise” du Groupe d’Action Financière (GAFI) qui identifie les juridictions dont les mesures de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme (LBC/FT) sont faibles dans deux documents publics du GAFI qui sont publiés trois fois par an.

 

“Le Sénégal vient d’être officiellement retiré de la liste grise, à l’issue de la réunion plénière du GAFI tenue ce jour à Paris. La liste grise appelée aussi « Liste des juridictions sous surveillance renforcée » identifie les pays dont le régime de lutte contre le blanchiment de capitaux, le financement du terrorisme et la prolifération des armes de destruction massive (LBC/FT/FP) présente des déficiences stratégiques”, a affirmé le ministère dirigé par Cheikh DIBA.

 

Qui rappelle que “le Sénégal, inscrit en février 2021 sur cette liste, avait pris l’engagement de remédier aux insuffisances identifiées par l’adoption d’un plan de vingt-neuf (29) actions déclinées en quarante-neuf (49) mesures. Le processus de mise en œuvre de ce plan d’actions s’est matérialisé par la présentation de neuf (09) rapports de suivi et d’un rapport de synthèse”.

 

Les services du ministère des Finances et du Budget d’ajouter: “A l’issue de ces revues documentaires, le Sénégal a reçu, du 12 au 14 août 2024 à Dakar, la visite des experts de l’International Cooperation Review Group (Groupe de Revue de la Coopération) du Groupe d’Action financière (GAFI), sous la présidence du Ministre des Finances et du Budget Monsieur Cheikh DIBA en présence de ses collègues membres du Gouvernement en charge de la justice et de l’intérieur”.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'affaire Daneguer-Nihat sera donc vidé aujourd'hui. Ces derniers doivent faire face au juge. Une affaire qui a été déjà tirée au claire. Nihat a déjà versé une importante somme d'argent et un terrain nu à son protagoniste.

 

En effet, Danzguer- et Nihat doivent faire face au pôle financier ce vendredi pour élucider l'affaire qui les avait opposés. Ils doivent tous répondre aux questions du juge. Il faut noter que Nihat avait déclaré qui'il ne doit pas de l'argent à Danzaguer. Une somme qu'il avait déjà versé avec un terrain. Cette information qui a été confirmée par Leina, l'une des témoins oculaires. Une affaire qui doit être close surtout quand on sait que l'accusé né doit plus à son plaignant qui a déjà reçu son dû.

Moussa T.

Le contexte sous-régional est marqué par la montée croissante des menaces et risques sécuritaires complexes et sophistiquées qui nécessitent une riposte appropriée, avec des personnels bien formés et des outils d'enquête performants, d'où l'impérieuse nécessité d'inscrire nos services de sécurité dans une posture d'anticipation et d'adaptation. C’est dans ce cadre que s’inscrit la tenue à Dakar, pendant trois jours, d’une réunion d’experts gouvernementaux afin d’examiner le système d’échanges de données du système d’informations policières en Afrique de l’ouest (Sipao).

 

Il y a une nécessité sous régional est marqué par la montée croissante des menaces et risques sécuritaires complexes et sophistiquées qui nécessitent une riposte appropriée, avec des personnels bien formés et des outils d'enquête

 

et un grand espoir que le SIPAO occupe une place importante dans l'architecture sécuritaire de l'Afrique de l'Ouest, puisqu'il permettra de fournir immédiatement aux services d'enquêtes, les renseignements utiles sur les antécédents judiciaires de toute personne poursuivie, mais aussi de retrouver des personnes recherchées, des armes, des véhicules et d'autres objets d'intérêt. A travers des renseignements statistiques fiables sur le niveau de la criminalité dans la sous-région, la plateforme sous régionale du SIPAO servira d'outil de décision aux Etats membres de la CEDEAO. Selon Cheikh Niang, secrétaire général du Ministère de l’Intérieur, qui a présidé la cérémonie d’ouverture de cet atelier ouvert ce mercredi, «après avoir largement répondu aux exigences d'une coopération inter- services, au niveau national, n'est-t-il pas venu l'heure d'étendre ce partage d'information policière au niveau régional pour faciliter plus efficacement les mouvements de personnes et de marchandises aux points de passage frontaliers ?? ». Selon lui, «il faut reconnaitre que sans détours, la réponse à cette interpellation est affirmative. Les Services d'application de la loi de l'Afrique de l'Ouest ont effectivement besoin d'échanger leurs données criminelles via une plateforme sécurisée pour démasquer les criminels qui évoluent, entre nos frontières poreuses, sous plusieurs identités frauduleuses ». Il faut rappeler que sous l'égide de la Commission de la CEDEAO, le Programme SIPAO vise une phase ultime qui est de mettre en place, une plateforme régionale et de donner la possibilité d'une connexion aux bases de données mondiales d'INTERPOL pour un échange avec la communauté mondiale des agences d'application de la loi et de rendre notre région plus sûre. Pour Dr Abdourakhmane Dieng de la Cedeao, «l’objectif de cette réunion est de finaliser le projet d’acte additionnel relatif à la plateforme régionale du SIPAO, comme recommandé par le 10ème Comité de pilotage du SIPAO et la réunion du Comité d’experts de la CEDEAO tenue en mai 2024 et consacrée à la création de la plateforme régionale du SIPAO, pour présentation au Conseil de médiation et de sécurité aux fins d’adoption. Le Système d’information policière d’Afrique de l’Ouest (SIPAO) vise à relever les défis en matière de sécurité auxquels les pays d’Afrique de l’Ouest sont confrontés en permettant la collecte efficace des informations de police via un système national centralisé et en donnant la possibilité d’échanger les informations recueillies aux niveaux national, régional et international».

La municipalité de Notto Diobasse, une localité située dans la région de Thiès traverse une période tumultueuse, marquée par des accusations de malversations financières à l’encontre de son maire, Monsieur Alioune Sarr. Ancien ministre du commerce, Monsieur Sarr, qui a récemment rallié le camp présidentiel sous la bannière de PASTEF, se retrouve au cœur d'une controverse politique et foncière qui suscite de vives réactions.

 

Les tensions ont été exacerbées par des allégations selon lesquelles certains adjoints et membres de son conseil juridique seraient impliqués dans des opérations immobilières douteuses, avec des chèques attribués à des promoteurs mais non émis en son nom. Cette situation a alimenté les critiques de l'opposition, qui soutient que ce soutien politique est motivé par des enjeux financiers.

 

En réponse à ces accusations, la mairie a réagi vigoureusement. Des plaintes ont été déposées contre des promoteurs impliqués dans des lotissements illégaux, notamment dans les villages de Mbomboye, Dakhar Mbaye, et Thieo. Le maire a annulé des conventions de lotissement non réalisées, et une enquête a révélé l’existence de titres administratifs délivrés de manière illégale.

 

« Ces actions visent à protéger le patrimoine foncier de notre commune et à mettre fin à la spéculation foncière qui nuit à nos populations », a déclaré un représentant de la mairie.

 

Malgré les tensions, le maire a réaffirmé son engagement envers le développement communautaire. Il a annoncé la création d’une commission chargée des lotissements, ainsi que des mesures pour sécuriser les ressources foncières de la commune. Une plainte a également été déposée auprès des autorités compétentes pour récupérer des terres spoliées, dans un effort pour restaurer la confiance des citoyens.

 

« Nous continuerons à lutter pour le bien-être de notre communauté, malgré les cabales orchestrées contre nous », a souligné Alioune Sarr.

 

La situation à Notto Diobasse met en lumière les défis complexes liés à la gestion foncière et à la politique locale. Alors que la mairie tente de redresser la situation, les tensions politiques et les enjeux fonciers continuent de peser lourdement sur la dynamique de la commune.

CMU
cmu