
La rédaction
Sortie du PM sur la justice: les Jeunes de la Collectivité léboue de Ouakam en phase avec Sonko
Lors de son live, le Premier Ministre Ousmane Sonko s'est défoulé vertement sur la justice.
Il y a décélé bien de failles (selon lui) qui entravent sa marche. Son appréciation vient d'être partagée par les jeunes de la Collectivité léboue de Ouakam.
Selon eux:"Nous partageons parfaitement l'avis du Premier Ministre Ousmane,par ailleurs, Président du Pastef/les Patriotes.
Il a osé dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas. En plus des lenteurs administratives, l'on note aussi des faits de corruption.
Ce qui ternit son image et entrave sa démarche", a laissé entendre Daouda Diop. Le Président du Collectif de rajouter:"Nous, membres de la Collectivité léboue de Ouakam, sommes victimes de ce que dénoncent l
e Président Sonko. L'on exerce de l'acharnement pour des raisons que l'on connait.
La justice doit être rendue au nom du peuple qui détient la souveraineté et non pour des considérations partisanes.
Malheureusement, elle est souvent orientée vers un sens unique si elle n'est pas manipulée à volontiers. N'empêche, nous tenons à rappelons qu'il ya de bons praticiens du Droit debout, libres et armés de dignité",a-t-il soutenu.
RABAT D'ARRÊT : SONKO RESTE ÉLIGIBLE* par le Professeur Mounirou Sy, Maître de conférences à l'université Iba Der Thiam
Le ciel nuageux du Sénégal ce mardi 1er juillet 2025 s'est dissipé avec l'arrêt rendu par la Cour suprême sur un recours en rabat d'arrêt. A la suite d'une requête des avocats d'Ousmane SONKO invitant la haute juridiction à réexaminer une précédente décision qui leur était défavorable, la requête a été jugée irrecevable et confirmant ainsi la décision précédente.
Depuis, les langues se sont déliées et toutes les conséquences possibles sont brandies ça-et-là. Ce qu'il faut retenir comme portée majeure de cette décision, c'est que monsieur Ousmane SONKO est et demeure éligible nonobstant le rejet du rabat d'arrêt.
Pour cela, les arguments sont les suivants et pour les besoins de la compréhension et de la démonstration, il faut revenir sur l'historique de cette affaire en relation avec la loi organique du 17 janvier 2017 sur la Cour suprême du Sénégal et la loi portant amnistie en 2024.
En premier ressort, le juge avait condamné, pour diffamation sur la personne de Monsieur Mame Mbaye Niang, Monsieur Ousmane SONKO à 2 mois avec sursis et le paiement de 200 millions de dommages et intérêts. Non satisfait par ce verdict jugé trop léger, Monsieur Niang interjecta appel devant la Cour d'appel de Dakar qui alourdit la sentence en retenant 6 mois avec sursis, réitérant les 200 millions de dommages et intérêts et en y rajoutant, comme pour corser, une contrainte par corps. C'est après cela que la défense du condamné se pourvut en cassation pour annihiler ce verdict.
Apportant sa réponse, la Cour suprême confirma la Cour d'appel mais ne retint pas la contrainte par corps. Pour en arriver à cela, elle prétend que *la diffamation en soi est une infraction politique.* Cette appréciation aura un cachet substantiel pour mieux cerner décision de rejet sur le recours en rabat d'arrêt rendu ce mardi.
Selon la loi organique de 2017, les décisions de la Cour suprême sont insusceptibles de recours sauf en cas de rabat d'arrêt tel que prévu par l'article l'article 51.
Rappelons que le rabat d'arrêt, contrairement à ce que pensent beaucoup de personnes, ne consiste pour la Cour suprême à se dédire. Plutôt, il s'agit d'apporter, par elle-même, des correctifs sur une décision maladroitement rendue. Pour que cela puisse prospérer, il faut un des 3 cas de figures retenus par l'article 51, à savoir :
1 - l'existence d'une erreur matérielle décelée dans la décision préalable ;
2- un moyen soulevé et non examiné par la Cour suprême pour rendre sa décision ;
3 - une erreur de procédure ayant impacté la décision.
Ainsi, selon l'article 52, la Cour se réunit avec ses quatre chambres sans la présence de ses membres qui avaient rendu la première décision pour se prononcer sur le rabat d'arrêt.
Maintenant, que faut-il retenir sur la décision de rejet ?
D'abord, la Cour suprême a confirmé sa décision antérieure avec la condamnation à 6 mois avec sursis et le versement de 200 millions en dommages et intérêts.
Toutefois, prétendre avec ce verdict qu'Ousmane SONKO est redevenu inéligible pour les prochaines élections locales, présidentielle et législatives, c'est méconnaître totalement le droit positif du Sénégal surtout avec l'effectivité de la loi d'amnistie intervenue en 2024.
N'oublions pas que *c'est la Cour Suprême, elle-même, qui a qualifié la diffamation d'infraction politique* pour ne pas retenir la contrainte par corps décidée par la Cour d'appel.
La loi d'amnistie a effacé toutes les infractions de nature politique intervenues entre 2021 et 2024. Dès lors, l'action publique était de facto éteinte. C'est pourquoi, on pouvait se demander quel était d'ailleurs l'objectif visé, dans ce domaine, par le recours en rabat d'arrêt, puisque les droits politiques de l'intéressé étaient déjà rétablis ? C'est pour cela qu'il a été candidat et élu lors des dernières législatives.
Mais, autre est l'action civile portant sur le versement de 200 millions. Si le rabat avait abouti avec infirmation de la décision de la Cour d'appel, le versement serait annulé et aucune somme ne serait versée. Cela peut être vu comme le soubassement et une raison d'une telle requête.
Mais avec ce rejet et la loi d'amnistie, l'infraction est effacée. On pourrait en déduire que la sanction pécuniaire aurait le même sort par voie de conséquence. Hélas, non ! La loi d'amnistie prévoit en son sein que même si toutes les infractions étaient anéanties, l'amnistie ne pourrait pas porter préjudice aux droits des tiers. Donc, l'action civile continue et Monsieur Sonko est toujours sous la condamnation du paiement des 200 millions.
En définitive, l'effet attendu pour les requérants était plus l'effacement des dommages et intérêts que l'annulation de la condamnation pénale puisque la loi d'amnistie ayant éteint l'action publique de manière absolue, Monsieur Ousmane SONKO est réintégré dans le fichier électoral, et, donc, reste éligible sans nul doute.
*La loi ayant amnistié les infractions politiques intervenues entre 2021 et 2024 ; la Cour Suprême ayant qualifié cette diffamation d'infraction politique : la nature et la temporalité rentrent dans le champ d’application de loi portant amnistie.*
Ainsi, Ousmane SONKO peut bel et bien se présenter à toute élection future, qu'elle soit locale ou nationale.
Comme nous l'avions dit en 2021, on combat un adversaire politique sur le terrain politique et non dans le champ judiciaire, encore moins dans sa vie privée. Mais, tout acteur politique, qu'il soit au pouvoir ou à l'opposition, doit respecter et honorer les acteurs de la justice au premier chef desquels les membres de la Cour Suprême, de la Cour des Comptes et du Conseil Constitutionnel qui, avec toutes les autres juridictions, suppléés par les vaillantes forces de défense et de sécurité, sont les garants de notre État de droit et de notre démocratie. Ils ne rendent pas la justice en leur nom, mais au nom du Peuple, seul détenteur de la souveraineté et donateur de légitimité. Seul.
*Lex dicitur* .
Gloire à la justice sénégalaise !!!
La justice dans notre pays, osons le dire, se distingue par son professionnalisme et son impartialité. Cela est incontestable. Depuis notre accession à la souveraineté internationale, elle n'a jamais varié dans sa démarche de rendre dignement et librement justice au nom du peuple souverain. Elle assume avec brio cette mission si noble et si délicate.
Notre justice mérite plus que ces extravagances de délateurs à la petite semaine, de gens ivres de pouvoir personnel qui cherchent,au quotidien,à la réduire au néant. Ce comportement déshonore leur(s) auteur(s). Il leur ridiculise,leur réduit plus bas que terre. En dépit des conditions de travail souvent très difficile,de nombreuses tentatives de pression et d'influences qui s'exercent sur eux, les fonctionnaires de la justice sénégalaise résistent de manière farouche. Ils restent toujours debout,
solides comme un roc ! C'est pour cette raison qu'ils font notre fierté.
Les auteurs de Dame justice (magistrats, avocats, juges, greffiers,pour ne citer que ceux-là) sont donc à féliciter et à encourager vivement. Ils méritent tous des honneurs . Aucun signe d'irrespect ne doit être manifesté contre ces braves soldats du corps social. Ces praticiens émerites du Droit, on leur doit alors respect considération. On se rappelle en 2024 des actes de courage à l'actif de notre justice qui,il faut le reconnaître,
avait réussi à sauver notre pays d'un chaos indescriptible. Face aux manies et autres lobbies d'un groupe qui se croyait indispensable en tentant de briser les fondamentaux de notre chère République bâtie au prix de mille sacrifices, elle avait su faire face. Elle avait fait entendre sa voix avec bravoure. Oui ! Elle avait sauvé le Sénégal des dérives contraires à son émergence socio-
économique et politique. Nous devons alors louer son indépendance, sa transparence et son équité à tous les égards. Il ne saurait avoir de République sans une justice digne de ce nom.
Gloire à tous ses braves auteurs qui se donnent,nuit et jour, pour sa brillance,son éclat lumineux à travers l'Afrique et le monde entier.
Trêve d'enfantillage(s) !
Le Citoyen modèle,
lanceur d'alerte.
GEORGES
Visite de courtoisie: une délégation du Parlement de la CEDEAO chez Cissé Lô
Le Président Moustapha Cissé a été gratifié,ce mardi,d'une visite de haute portée symbolique. Il a reçu chez lui, à Dakar,une délégation du Parlement de la Communauté Économique des États de l'Afrique de l'Ouest
(CEDEAO). Avec ses hôtes, nos indiscrétions ont noté des échéanges de civilités empreintes de nostalgie. L'ancien Président de l'institution communautaire(2016-2020) se dit profondément touché et honoré par ce déplacement. La délégation a été dirigée par Madame Adjaratou Traoré, vice-présidente du Parlement de la CEDEAO qui avait à ses côtés le Secrétaire Général de l'institution mais aussi du Directeur des Affaires Parlementaires et de la recherche ainsi que des membres du personnel. Lors de la cérémonie d'ouverture de la réunion de la Commission mixte Éducation ,
Science et Culture/ Télécommunications et Technologies de l'information tenue à Dakar, un vibrant hommage a été rendu au Président Moustapha Cissé Lô pour ses actions dignes de louanges au niveau de ce Parlement.
Rappelons que le thème de la rencontre de Dakar est:"Prioriser les technologies de l'éducation et l'innovation dans l'espace CEDEAO".
Journée d'intégration du CERAN/UASZ: le Dr Mamadou Diouf,parrain, galvanise les étudiants
La Journée d'intégration scientifique et culturelle du Collectif des Étudiants Ressortissants de l'Arrondissement de Niakhar
(CERAN
(région Fatick)de l'Université Assane Seck de Zinguinchor
(UASZ) a vécu, ce week-end. Ainsi, le Docteur Mamadou Diouf, fils prodige du Sine, a été choisi comme parrain de cette activité annuelle. Le responsable politique du Pastef/les Patriotes a aussi mis le moment à profit pour exhorter les membres du CERAN/UASZ à plus d'efforts pour relever les défis du futur:"Nous vivons dans un monde de plus en plus difficile, voire complexe. Je vous invite alors au travail bien. Ayez foi en l'avenir car avec elle (la foi), vous pouvez soulever des montagnes. Vous êtes appelés à être des citoyens utiles,de vrais patriotes. Soyez des fiertés pour vos parents et pour la localité qui vous a vu naître.
Quant'à moi, je m'honore
d'être le parrain de cette journée". Après avoir remis un soutien financier conséquent aux étudiants,le Dr Diouf a reçu, lui aussi,une attestation de reconnaisance du CERAN/ UASZ des mains de son Président sortant.
Le Dr Mamadou Diouf qui a été aussi le parrain d'une cérémonie de récital à Palmarin, y a envoyé une honorable délegation pourle représenter.
Vers une République Inclusive : Le Cri du Cœur du Mouvement National des Patriotes Handicapés
Le Mouvement National des Patriotes Handicapés (MNPH) a tenu un point de presse fort en symboles et en messages ce mardi à Dakar. À travers la voix de sa cellule communication, représentée par Amadou Niang, cadre administratif et manager de réseau social, le mouvement s’est adressé à la nation, appelant à une inclusion réelle et structurelle des personnes handicapées dans les politiques publiques.
Une respiration démocratique à saluer, mais une vigilance à maintenir car le communiqué s’ouvre sur une note d’optimisme : le Sénégal semble entrer dans une nouvelle ère démocratique. Le MNPH salue la séparation des pouvoirs, désormais plus tangible, ainsi que la restauration de l’autorité judiciaire et le respect des principes républicains. La collaboration entre majorité et opposition à l’Assemblée nationale est aussi perçue comme un signe de maturité politique.
Le gouvernement actuel, porté par une vision claire – du référentiel Sénégal 2050 à la stratégie de transformation 2025-2029 – pose les bases d’une gouvernance orientée vers la souveraineté, la justice et la prospérité.
Le handicap, toujours à la marge des priorités nationales certe mais ce tableau encourageant est nuancé par une critique ferme : l’inclusion des personnes handicapées reste trop timide. Malgré les discours volontaristes du président de la République et de la Première ministre, la mise en œuvre concrète tarde.
Le MNPH dénonce le retard de l’application de la loi d’orientation sociale promulguée depuis juillet 2010, la suspension des bourses de sécurité familiale et le manque d’accessibilité des services publics dédiés. Ces défaillances renforcent le sentiment d’abandon chez de nombreux citoyens en situation de handicap.
« La reconnaissance pleine et entière des personnes handicapées passe par leur implication réelle dans les sphères décisionnelles les plus élevées », martèle le mouvement.
Le MNPH ne se limite pas à la dénonciation. Il reconnaît plusieurs efforts louables :
Le recrutement massif d’enseignants handicapés par le ministère de l’Éducation nationale,
Les initiatives inclusives du CROUS de l’Université Iba Der Thiam,
Le soutien actif d’institutions telles que la Délégation Générale à l’Entrepreneuriat Rapide (DER), le Fonds de Garantie des Investissements Prioritaires (FONGIP), la Couverture Maladie Universelle (CMU) ou encore le 3FPT.
Mais le mouvement appelle à généraliser ces bonnes pratiques à tous les secteurs : transport, santé, famille, infrastructures, emploi, culture, urbanisme.
Le MNPH conclut son adresse en réaffirmant sa détermination à œuvrer, aux côtés de l’État, pour un Sénégal véritablement inclusif. Il rappelle son engagement historique aux heures les plus difficiles de l’opposition et sa volonté inébranlable d’être acteur du changement.
> « L’inclusion ne saurait être différée. Elle est la condition même de notre avenir commun. »
Mamadou Touré
Attaques contre les Grands maîtres Soufis du Sénégal: "And Sam Diiné Ji" fustige et invite l'État à réagir
Depuis quelque temps, les Grands Maîtres Soufis du Sénégal et leurs descendants essuient de vives critiques sur les réseaux. Des individus s'ingénient à remettre en cause les tarikhas
(confréries) en usant des discours si violents à tous azimuts sur facebook et sur tiktok. La plateforme "And Sam Diiné" dirigée par Serigne Modou Guèye se dit indignée. Sesr responsables viennent de monter alors au créneau pour déplorer cette attitude qui s'apparente, à les en croire, à du sacrilège:"
Depuis un certain temps,nos tarikhas sont les cibles d'attaques violentes et irréverencieuses. Des individus claiement identifiés sur les réseaux éjaculent leur haine sur les croyances d'autrui. Ils vont jusqu'à injurier nos Maîtres Soufis qui ont activement participé au rayonnement de l'Islam au Sénégal et,
même, au delà de nos frontières. Nous condamnons fermement ce comportement malsain. Cela ne peut plus prospèrer", se désole le Coordonnateur de "And Sam Diiné Ji". Et il interpelle l'État:" Ces grandes figures qui ont réussi à tirer les masses de la mécréance:"On les doit reconnaissance et considération par ce qu'ils ont combattu jusqu'au péril de leur vie pour le triomphe de la cause de l'Islam. Leurs héritages doivent être jalousement préservés et non piétinés. Nous invitons alors l'État du Sénégal à traquer ces piètres négateurs du travail de nos braves guides religieux. Aucun combat ne sera de trop pour les mettre hors d'état de nuire", note Serigne Modou Guèye et Cie
.
JUSTICE: rebondissement judiciaire la Cour suprême se prononce en chambres réunies
Les chambres réunies de la cour suprême vient de se prononcer sur la procédure en Rabat de l'Arrêt rendu le 4 Janvier 2024 par la Chambre Pénale de la Cour Suprême.
Pour Rappel , la Chambre pénale avait refusé de surseoir à statuer et de renvoyer le dossier au Conseil Constitutionnel pour statuer sur la constitutionnalité de l'article 260 du code pénal.
Le Rabat d'arrêt n'est ouvert que lorsque l'une des Parties où le Procureur Général près la Cour Suprême saisie les Chambres réunies pour se plaindre d'une erreur se procédure commise par les juges memes de la Cour Suprême ayant connu de l'affaire, que cette erreur n'est imputable à aucune des parties au procès et qu'elle a affectée la solution donnée par la Cour suprême.
Pour les Avocats de Monsieur Ousmane Sonko, la Chambre pénale de la Cour Suprême avait refusé d'application la loi organique sur le Conseil Constitutionnel et sur la Cour Suprême qui lui faisaient obligation de surseoir à toute décision et de renvoyer le dossier devant les sages.
Les Avocats de Monsieur Mame Mbaye Khan Niang a l'exception de l' in d'eux , ont excellé dans leur art de vider leur haine sur Monsieur Ousmane Sonko et se souciait très peu des règles qui gouvernement les audiences devant la Cour Suprême .
Monsieur le procureur Général à demandé aux chambres réunies de déclarer la demande en Rabat, désormais sans objet en raison de la loi d'amnistie.
Les chambres réunies ont mis l'affaire en délibéré et rendront leur décision à 15 heures 30 ce jour même.
*Me Ciré Clédor ly*
*Membre du Collectif de Monsieur Ousmane Sonko.*
Nguélou illuminé : Idrissa Gana Gueye et l’association For Hope électrifient 13 villages grâce au solaire
L’association For Hope, en partenariat avec Vivo Energy Sénégal et sous l’impulsion de son ambassadeur, le footballeur international Idrissa Gana Gueye, a procédé ce dimanche à l’inauguration de la troisième phase de son ambitieux projet d’électrification rurale par énergie solaire.
La cérémonie s’est tenue dans la communauté rurale de Nguélou, située dans le département de Guinguinéo (région de Kaolack), où la population a accueilli chaleureusement cette initiative porteuse d’espoir et de transformation.
L’objectif du projet est clair : fournir une électricité fiable, durable et abordable aux communautés rurales, trop souvent laissées en marge du développement énergétique. Grâce à cette troisième phase, 13 villages et plus de 400 foyers bénéficient désormais d’un accès à l’électricité solaire.
Les visiteurs ont pu découvrir les nouvelles installations photovoltaïques, installées dans les foyers, écoles, postes de santé et dans une maison communautaire dédiée à l’autonomisation des femmes. Ces infrastructures représentent un pas concret vers une meilleure qualité de vie pour des milliers de personnes.
La journée s’est clôturée dans une ambiance festive avec un match de gala opposant l’équipe For Hope à une équipe locale. Le moment fort : l’ouverture du score par Idrissa Gana Gueye lui-même, auteur d’une superbe frappe. For Hope l’emportera finalement 2 buts à 0, scellant une journée de partage, d’émotion et de fraternité.
Avec 122 sélections en équipe nationale, Idrissa Gana Gueye n’est pas seulement une légende sur les terrains : il s’impose aussi comme un acteur engagé pour le développement social, plaçant son influence au service de causes nobles. Son engagement au sein de For Hope incarne une vision solidaire du sport et une volonté sincère d’apporter la lumière là où elle manque.
> « Une lumière qui donne de l’espoir » – tel pourrait être le slogan de cette belle initiative citoyenne, qui allie innovation, solidarité et impact durable.
Mamadou Touré
M. L. Massaly: ''Nous n’accepterons jamais que le Sénégal soit dirigé par un satrape despotique''
« La hawla wa la quwwata illa billah" : "Il n'y a de force ni de puissance qu'en Allah". Le masque d’Ousmane Sonko tombe. Le leader de Pastef révèle enfin son visage de «dictateur». Qui eût cru que le pouvoir d’Etat que Pastef a conquis avec la confiance de la majorité de l’électorat sénégalais, offrirait, un an après, la face indigeste d’un régime autoritariste, budgétivore, politicien, populiste et je-m’en-foutiste qui met la gouvernance vertueuse à l’abime ? « Dieu sait pourquoi je ne suis pas devenu Président. Si j’étais le président de la République, beaucoup de gens se tairont», menace-t-il en wolof comme pour fonder sa prétendue légitimité sur l’apologie de la dictature. Ça ne passera pas dans notre cher Sénégal.
C’est une tragédie de constater les galéjades d’Ousmane Sonko devenu irascible et autoritariste, que la puissance du mal politicien met sur une orbite de désastre. Abus de pouvoir, responsabilisation politique désinvolte, réplique politicienne ordurière, ainsi se singularise Sonko et son régime qui, aveuglément, donnent le sceptre du parjure au nom d’un pouvoir absolutiste qui n’a que faire du bon sens.
Il avait promis la démocratie et la rupture. Mais le peuple découvre qu’il a été abusé. Il a prédit la rationalisation. Les citoyens se rendent compte qu’ils ont été leurrés. Son gouvernement est composé de peu de cadres et de beaucoup de cancres qui entourent une table largement élargie par un menuisier pour la tenue de Conseils des Ministres.
Ils sont « jeunes », dit-on. Mais l’histoire politique de l’Afrique renseigne que tous les despotes et les dictateurs sont arrivés au pouvoir à un âge jeune, les délices d’Etat les transformant tous en oppresseurs. Certes la démocratie est le vent qui souffle sur la civilisation sénégalaise. Mais l’abus de pouvoir et la folie gouvernante la menacent par un régime sûr de son impopularité grandissante et du rejet massif des actes qu’il pose.
Un despote à déchoir
Ce régime est démasqué par d’abjects actes et de viles méthodes politiciennes qui ne répondront jamais à la question de la rupture et d’une émergence qu’il clame sans aucune apparition de bourgeons. Sonko se considère comme un Vice-Dieu! Qu’il sache que personne ne peut nous faire taire. Ce pays, le Sénégal est un État de Droit que Sonko ne peut altérer.
Au moment où le front social est ébullition avec des grèves dans les secteurs (Justice, Education, Santé…), l’heure n’est plus aux Parlottes et aux menaces mais au Travail. Sonko est invité à diversifier la parole politique dans l’agriculture, l’emploi, la justice, la sécurité et la santé publique, l’éducation et la formation professionnelle, entre autres, lesquels sont les urgences nationales.
En ce seuil du 21ème siècle, il serait inconcevable qu’un satrape absolutiste, impérieux et despotique tienne un pouvoir dans un Sénégal peuplée d’âmes pures et mûres en phase avec la marche du temps ! La presse est muselée, les opposants atrocement oppressés, des journalistes embastillés. Mais tout ceci aura très bientôt une fin tragique. Dans l’histoire du monde, les dictateurs ne finissent par quitter les Pouvoirs soit par l’exil, soit par les armes.
Mouhamadou Lamine Massaly
Président du Parti UNR (Union pour une Nouvelle République)