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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

  • Mon fils, si tu sais être bon sans être pédant, si tu sais être courageux sans être imprudent, ni être en rage, si tu sais entendre tes paroles travesties par des gueux, si tu vois en un seul jour détruire l'ouvrage de ta vie et te mettre à rebâtir, tu seras un homme mon fils" disait un jour le grand penseur et écrivain britannique Reaw Kipling à son fils face à l'adversité parfois inouïe des gens qui s'opposent aux hommes qui travaillent sans véritablement s'opposer avec pertinence. Comme quoi, ce n'est pas à l'opposition d'imposer le débat pour divertir le régime et l'opinion publique nationale sur la volonté irréductible du Président Macky Sall, décidé à inscrire sur du marbre son nom parmi les bâtisseurs du Sénégal post indépendance.
    Et pour régler un problème, il faut en connaître l'historique. Car en rebobinant le film de l'histoire politique, on voit que Son Excellence Monsieur Macky Sall est le premier Sénégalais, Chef d'Etat né après l'indépendance du pays qu'il a la grâce par Allah de diriger aujourd'hui. Un pays qui, bien avant lui, était une colonie française. D'ailleurs pour peu qu'on convoque l'histoire, on se rend aisément à l'évidence que les Français dans leur schéma colonial avaient privilégié Dakar, Saint-Louis, Gorée et Rufisque. Parce que ces 4 communes sont adossées sur l'Océan Atlantique avec comme particularité que notre actuelle capitale est une ville amphibie, aquatique, balnéaire, présentant un fort intérêt économique et commercial de la métropole tournée autour de la mer. Le reste du Sénégal était un désert laissé dans la précarité et la pauvreté.
    Avec l'arrivée du Président Macky Sall, on a assisté à une démocratisation des ressources du pays à travers des programmes qui répondent de sa vision comme le PUMA en vue de mieux s'occuper des localités longtemps délaissées par les autorités coloniales.  Il en est de même pour le PUDC qui a inauguré une révolution dans le monde rural qui s'est vu doté de matériels agricoles, de forages et de pistes de productions. A ces programmes viennent s'ajouter les 300 mille familles bénéficiaires du programme de bourses familiales. Que d'injustices réparées à la faveur d'une politique bâtie autour des valeurs républicaines qui voudraient que les citoyens dans leurs localités respectives puissent se sentir pris en compte par le pouvoir central à travers des mécanismes de gestion des affaires publiques. Que de frustrations éradiquées par un Président de la République, pur produit de l'école publique sénégalaise en ce sens qu'il incarne l'exemple achevé de ce que l'enseignement supérieur au Sénégal peut présenter au monde.
    Tout le pays est en chantier. Et ce n'est pas en ce moment où Dakar tapie de ses infrastructures de dernière génération qui en ont fait une destination attrayante par un  changement véritable de la carte postale qu'il faut briser l'élan de construction au profit des réactions épistolaires et épidermiques d'une opposition professionnelle de palabres.
    Davantage de courage et de silence Monsieur le Président ! Surtout qu'aujourd'hui vous avez focalisé votre action politique sur  l'emploi des jeunes et le changement de la condition des femmes qui représentent la démographie dominante. 
    Chers citoyens, l'heure du réveil à sonné pour barrer la route aux fossoyeurs de l'ordre républicain et de l'émergence portés par Son Excellence le Président Macky Sall.
    Vous êtes dans le peuple tant que vous demeurez imperturbable sur votre ligne d'action qui a pour leitmotiv le changement de la condition de la femme, de l'enfant et de la jeunesse de votre pays. 
    Davantage de silence ! Le Président travaille, point de bavardage.
     
    Cheikh Sall, Directeur du Centre des œuvres universitaires et sociales de Thiès
     

 
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C’est un lycée public d’excellence très réputé dans la cité religieuse de Taslima en fonction de la qualité de l’enseignement qui y est dispensé. Avec trois langues étrangères dans les modules (français, anglais et arabe), ce lycée franco arabe fait d’excellents résultats qui ont fini d’attirer le plus grand nombre d’inscrits. Mais, de plus en plus, il se meurt, atteignant un niveau de délabrement avancé, et ceci, devant l’indifférence totale. C’est pourquoi, le khalife de Taslima Cheikh Sidiya Diaby en fait une priorité et demande à ce qu’une solution urgente soit trouvée. Selon El hadji Khalifa Diaby le porte-parole de la famille, « à la veille du grand Gamou de Taslima, notre khalife très regardant de l’environnement de la cité religieuse ne peut plus voir l’état de ce lycée sans rien faire. Ainsi, il lance un appel aux autorités étatiques pour sauver cette école en venant en appui pour évacuer les grands problèmes décelés ».
 Avec de si brillants résultats, soit 46,66% d’admission au Baccalauréat et 100% d’admis au Bfem cette année, ce lycée public franco arabe ne mérite pas le sort qui s’abat sur lui, avec un effectif très réduit et un grand besoin de construire de nouvelles salles de classes. Déjà, El hadji Khalifa Diaby se félicite du fait qu’ils sont nombreux ces étudiants sénégalais sortis du lycée public franco arable de Taslima qui fréquentent aujourd’hui les grandes universités françaises.
 
Donc l’appel citoyen de Cheikh Sidiya Diaby doit être entendu par les autorités pour faire le nécessaire afin de sauver véritablement cette formidable institution scolaire.
 
 

Sous le thème général de : ‘’Vie et œuvre du Prophète Mohamed (PSL) : Quelle place pour le social’’, le Gamou annuel de Taslima aura lieu dans un contexte de coronavirus où toutes les dispositions seront prises pour éviter la transmission. Joint au téléphone pour de plus amples informations, le porte-parole de la famille et du khalife, El hadji Khalifa Diaby a laissé entendre que « toutes les mesures barrières seront prises par le comité d’organisation, notamment le port des masques, le lavage à l’eau de savon, l’utilisation de gel hydro alcoolique, etc. Dans ce cadre, le khalife a déjà reçu l’autorité administrative, en l’occurrence, le sous-préfet de Bona Khadim Guèye ».

Cette année, la cité religieuse qui se trouve dans le département de Bounkiling, (région de Sédhiou) sera la destination de plusieurs pèlerins qui vont quitter la sous-région et même de la diaspora pour les besoins de la célébration du Maouloud. Pour rappel, cette activité religieuse a été initiée depuis 1945 par Cheikh Mohamad Fodé Diaby. Pour la 75ème édition, de grandes innovations seront apportées afin de permettre une bonne célébration du Maouloud. La naissance du prophète (PSL) a toujours été célébrée dans ce village religieux avec les nombreux fidèles qui tiennent à respecter la tradition. En guise préparation, des opérations de saupoudrage de la cité religieuse pour lutter contre la Covid-19 ont été menées, en plus des kits sanitaires achetés par le khalife pour prémunir les pèlerins

Condé ordonnerait de faire arrêter Cellou Dalein Diallo et impose le couvre-feu à 18h, c'est l'information à chaud recueillie du côté de la Guinée.

C'est une élection presque insolite ce 18 octobre en Guinée! En plein processus de vote, le président sortant abuse et fait arrêter le scrutin à 18h. Une décision que personne ne peut comprendre surtout que le couvre feu est décrété ce jour à 18h et certaines forces militaires sont en route pour faire arrêter Cellou Dalein Diallo, le principal opposant sur qui repose l’espoir de tout un peuple. Présentement, à écouter les médias, on se rend compte que l’information n’est pas ébruitée, ou encore, ils font semblant de jouer le jeu pour camoufler les forfaitures de l’homme fort de la Guinée. Dans de pareilles circonstances, les observateurs électoraux accrédités devraient être les premiers à crier et à pondre des rapports qui devraient accabler Condé qui, en fin de journée, devrait simplement préparer la cérémonie de passation de service. Mais peut être que dans les prochaines heures, les choses vont évoluer et le monde se rendra compte que le forcing est en train d’être orchestré pour saboter l’élection qui voit les partisans de Condé refuser d’aller voter. Ce qui fait sortir le président sortant de ses gonds et procéder purement au sabotage.

Comment peut-on accuser le Ministre Abdoulaye Daouda Diallo sur une affaire dont il n’est, ni de prêt ni de loin, mêlé, et qui a vu une réaction du parti ? C'est mal connaître le Ministre des Finances qui jusque-là, fait preuve d e  constance, fidélité et loyauté, toujours au service du Président de la république Macky Sall. Mais si ce sont ces valeurs portées par le Ministre ADD qui dérangent certains responsables au point d'user des services d'un mercenaire comme Abdoulaye Khouma, alors c'est peine perdue. Abdoulaye Daouda Diallo n'a pas de temps à faire des élucubrations sur des futilités'', a réagi Dame Ndiaye, responsable des jeunes de là Coalition Manko Wattu Sénégal (MWS).
 
Selon Dame Ndiaye, '' quelqu'un qui s'aventure à tirer sur les hommes de confiance du chef de l'État ne rend pas service au président Macky Sall. L'heure est aujourd'hui à la relance économique après des mois de crise sanitaire,  comme il a été décrété par le Président, et c'est ce qui fait concentrer Abdoulaye Daouda Diallo  sur ses grands dossiers. Quelqu'un qui est sur les grands projets de relance économique n'a pas de temps à consacrer à de petits types dont le seul souci est de se remplir la panse. Abdoulaye Khouma est de ces genres de politiciens à la solde de responsables encagoulés et qui travaillent contre le régime''. En effet, décrètent les jeunes de MWS, '' ils sont enfin  détectés et ils verront qu'on ne peut pas médire des autorités sans en payer les frais''. Pour finir, Dame Ndiaye alerte les Kaolackois sur des genres de petits types comme Khouma qui se réclame de l'APR. Maintenant c'est clair. Il vient de montrer qu'il ne peut se gérer lui même à plus forte raison les destinées d'une ville comme Kaolack. En tirant sur d'honnêtes  citoyens et responsables de haut niveau,  Abdoulaye Khouma est disqualifié pour toute élection dans ce pays. C'est un énergumène qui s'aventure à discréditer les hauts cadres du parti alors qu’il ne peut même pas gagner un bureau de vote, dixit Ousmane Faye.     .                

Les acteurs du sous-secteur de l’Alphabétisation étaient hier en conclave dans le cadre d’un forum sur la promotion des langues nationales et le développement de l’alphabétisation. Les activités ont démarré sous la présidence du Ministre de l’Education Nationale Mamadou Talla et ont permis aux acteurs d’interpeler le gouvernement sur l’urgence à mettre les bases d’une bonne promotion des langues nationales assortie d’un accompagnement financier.

Les acteurs ont été nombreux à se prononcer sur l’urgence de promouvoir les langues nationales. Selon Ousmane Ly, le président de ‘’Goodal’’, association pour la promotion et le développement des langues nationales, spécialement de la langue Pulaar, « cette rencontre est une bonne opportunité pour nous les acteurs de l'alphabétisation et des langues nationales, en ce sens qu’elle nous permet de rappeler à l’autorité nos recommandations pour qu’enfin nos langues soient vulgarisées. Il convient de souligner en effet que le Sénégal dispose de 25 langues codifiées, mais jusqu'à présent il y'a des blocages pour leur vulgarisation et leur application, même si on a démarré les apprentissages dans les écoles. Nous sentons que ça ne bouge pas et qu'il y a encore des efforts à faire pour davantage les promouvoir. Nous savons tous qu'on ne peut aspirer au développement si on n'utilise pas nos langues nationales, et on est jamais mieux à l'aise qu'en parlant sa propre langue. Et tous les pays développés le sont en utilisant leur propre langue et jusqu'à présent, on réfléchit Français, on parle anglais et on ne fait pas beaucoup d'efforts pour promouvoir nos langues ». Pour le journaliste et acteur de l’alphabétisation, « il est plus facile pour les enfants d'apprendre avec la langue maternelle. Même les étrangers cherchent à apprendre nos langues une fois arrivés chez nous, mais ils ne trouvent pas des écoles appropriées et adaptées et on est train de voir quelle orientation prendre pour arriver à vulgariser nos langues nationales. Nous félicitons nos devanciers dans cette cause, notamment Silèye Gorbal Sy et les autres acteurs qui ne ménagent pas leurs efforts à cet effet. Même dans les rédactions, les journalistes doivent apprendre à écrire et communiquer avec nos langues. On retient alors que la langue ne peut se développer sans la pratique communicationnelle ».

Pour Djinda Dem, actrice et écrivaine, « il faut qu’on revoie nos habitudes à promouvoir nos langues nationales. En tant que conseillère départementale de ma ville à Matam, nous avons beau relancer les autorités pour qu’elles nous accompagnent dans ce vœu cher, mais à chaque fois, nous faisons face à des obstacles. Je suis même allée jusqu’à produire un livre intitulé ‘’DARNDE DEBBO PULLO E’BAMTAARE’’, mon seul souhait était de participer à vulgariser la langue Pulaar et j’estime qu’avec les échos recueillis à l’étranger où le livre est bien perçu, nous avons espoir que nos langues nationales ont de beaux jours devant elles ».

 

Revenant sur les blocages, Ousmane Ly retient les orientations politiques qui changent souvent et ne prennent pas en compte certaines réalités. Déjà, déplore Ibrahima Lo, président de l’ONG Défi, « il faut regretter que l’alphabétisation n'ait pas été érigée en département. Dédiée jusque-là en simple direction, alors que l'idéal aurait été d'implanter un ministère de l'alphabétisation et des langues nationales pour mieux prendre en charge ces préoccupations, l’alphabétisation mérite d’être davantage promue. D’ailleurs, c’est dans ce cadre que j’ai traduit en trois langues nationales le magnifique livre du chef de l’Etat ‘’le Sénégal au cœur’’ ».

 

Youssouf NDIONGUE

Ce dimanche 18 octobre, les électeurs guinéens se rendront aux urnes pour une présidentielle déjà très controversée après une campagne électorale mouvementée et des violences exercées dans le camp de certains leaders de l’opposition. Pour éviter qu’un scénario cauchemardesque ne se répète sur le sol africain, l'UE partenaire commercial le plus important de la Guinée, doit agir de manière décisive et rapide. Mais, voilà qu’elle a été zappée de la liste des superviseurs accrédités par les autorités, et n’enverra donc pas d’observateurs sur le sol Guinéen. Ce sera donc un événement qui sera suivi avec une inquiétude croissante pour les différents enjeux que cela comporte, tant au niveau économique pour ce pays pauvre très endetté qui occupe la 174ème place sur 189 dans l'indice de développement humain que sur l’urgence d’un impératif de paix à asseoir.

Les événements en Guinée seront, dans trois jours, sous tous les projecteurs des différentes capitales du Continent africain et du monde. Envoyés normalement pour s'assurer que les élections se passent librement, de manière équitable, et, non frauduleuses, les observateurs de l'Union Européenne (UE) ne seront pas de la partie et devront, hélas, suivre les évolutions via les médias et en dehors du territoire guinéen. Alors que le monde suit de très près les derniers développements de l’actualité de ce pays, la non invitation des observateurs européens n’empêche, cependant, pas que l’UE a appelé à des élections justes et libres, mais aussi et surtout, qu'elle réponde à toute violation électorale par des sanctions exemplaires. Nabila Massrali, porte-parole de l'UE pour les Affaires Etrangères et la politique de sécurité, a déclaré à cet effet: «Alors que la date limite des élections du 18 octobre approche, l'UE partage les préoccupations déjà exprimées par les acteurs régionaux et internationaux quant aux conditions dans lesquelles elle se prépare. L'UE n’a pas encore fini de déplorer les violences et les affrontements de mars qui ont fait plusieurs victimes, qu’elle appelle les autorités à mener des enquêtes indépendantes et approfondies afin de poursuivre les auteurs. Des sentiments similaires ont été exprimés par Willy Fautre, directeur de Human Rights Without Frontiers, une importante ONG de défense des droits basée à Bruxelles, qui a déclaré que « l'élection était intrinsèquement truquée ». Selon lui, « l'actuel président ne devrait pas être autorisé à se présenter car le nombre de mandats est limité à deux et ce sera sa troisième candidature. Et dans ce cas, l'UE devrait collaborer étroitement avec la CEDEAO, l'Union africaine, les Nations Unies et les Nations Unies à Conakry pour s'assurer que le vote est crédible, transparent, inclusif et sans violence. Aux dernières nouvelles, la CENI vient de décider de ne pas donner copies des PV des bureaux de vote aux représentants des candidats en lice pour cette joute qui sera indédite. Mais, au cas où l'élection serait truquée, Bruxelles ne devrait pas hésiter à rejeter les résultats si elle veut rester un phare de la démocratie et des droits de l'homme aux yeux du peuple guinéen et des Africains en général. Après les élections, l'UE devrait investir son énergie pour poursuivre les responsables des violences qui ont accompagné les élections. L'UE doit, de ce fait, renforcer ses liens avec la Guinée, pays jeune et dynamique ». .

Tout compte fait, Alpha Condé reste confronté à un défi d'une ampleur inattendue: l'ancien Premier ministre du pays, Cellou Dalein Diallo. A la veille de l'élection, M. Diallo lui même s'est adressé en exclusivité en déclarant: «Avec la mobilisation sans précédent de la jeunesse guinéenne déterminée à assurer un scrutin sans faille et le strict respect de son issue, Alpha Condé commettra une faute très grave en abusant des Guinéens dans leur choix comme en 2010 et 2015. L'agression et la violence que beaucoup craignent et qu’Alpha est sur le point d'utiliser, ne peuvent que répandre le sang des Guinéens qui ne se laisseront pas intimider. La Guinée est riche en diversité, et l'aspiration légitime de son peuple est de choisir librement ses dirigeants sans avoir à verser le sang ou à sacrifier la vie des jeunes ». Pour ce faire, la communauté internationale devrait anticiper et aider la Guinée à éviter ce gâchis. Après deux mandats d'homme fort au pouvoir, la Guinée est tombée à 174 pays sur 189 dans l'indice de développement humain. Beaucoup craignent que si Condé obtient un troisième passage à la tête de la Guinée, la nation africaine appauvrie ne fera que sombrer encore plus bas.

Afin de répondre  à l’appel  que le chef de l’état, le Président Macky SALL a lancé aux élites  de la région, les cadres de Matam se sont investis autour de cette plateforme Prospectives Républicaines.

Cette organisation vise à aider les populations dans le domaine de la santé, de l’éducation, de l’environnement, de l’économie solidaire, du sport etc...

Les cadres de la région de Matam s’engagent à prendre en charge les besoins des populations locales et les formuler en termes de projets réalisables pour un accompagnement de qualité s’inscrivant dans l’esprit et la lettre des ambitions de Me Malick SALL Garde des Sceaux Ministre de la Justice à travers des actions citoyennes concrètes.

L’activité d’aujourd’hui initiée par le mouvement DENTAL SOGUI, avec l’ensemble des composantes de la ville comme les éclaireurs, les ASC ou les GPF, et les amis de Me Malick SALL pour répondre à l’appel de la Direction de l’hôpital afin de combler le déficit de la banque de sang de l’hôpital de Ourossogui est un premier jalon. Cette mobilisation est  une réponse citoyenne aux préoccupations de la structure sanitaire.

A travers cette action le mouvement DENTAL SOGUI accompagne la communauté dans la prévention contre le paludisme grâce à une opération de distribution de moustiquaires.

Il faut noter que les jeunes bénéficient de cet élan citoyen avec la remise de lots de ballons et de maillots à différentes ASC de la Commune.

Les cadres de Matam réunis autour de Prospective Républicaine s’érigent en sentinelles pour défendre le bilan et concrétiser la vision de Son Excellence le Président Macky SALL.

En outre,  la plateforme Prospectives républicaines informe la population de Matam, que dans le cadre du plan de relance économique, le financement de la route du Dandé Mayo a été approuvé par la BOAD et le PAP(programme d’actions prioritaires) prévoit, le désenclavement du ferlo et le renforcement des ouvrages hydrauliques.

Au total, Dental SOGUI et ,les cadres de cette plateforme, avec  le Garde des Sceaux Me Malick Sall  seront  les interprètes avisés auprès des autorités pour une accélération des investissements en infrastructures sociales de bases, dans la région de Matam.

Qu’a-t-il fait, concrètement, depuis son arrivée aux Affaires Etrangères, pour prétendre relancer le dynamisme de la diplomatie sénégalaise ? 
Comment peut-il prétendre d’un coup de baguette magique obtenir pour le Sénégal l’expression du soutien d’un pays ami de longue date comme le Koweït. Oublie-t-il que les relations entre Koweït et le Sénégal sont très anciennes et riches de beaucoup de dons et de partage. Des dizaines de soldats sénégalais, nos Jambars, ne sont-ils pas morts, en 1991, en allant libérer, le pays frère qu’est le Koweït ? Le seul fait que son Excellence Monsieur le Président de la République ait décidé de se faire représenter pour présenter des condoléances au nouvel Emir Nawaf al-Ahmad al-Jabir al-Sabah, en cette période de Covid, constitue la marque d’une relation ancienne faite de proximité et d’estime entre nos deux pays. Par ailleurs, l’investissement du Fonds Koweitien au Sénégal qui s’élève à plus de 156 milliards fait de notre pays le premier pays bénéficiaire des prêts octroyés par le Fonds koweitien pour le développement économique arabe (FKDEA), en Afrique de l’Ouest. En quoi alors, sa très brève rencontre avec son homologue, lors d’une mission de représentation dont tous les éléments (rencontre avec le souverain, contenu du message) ont été, au préalable, fixés par le Cabinet du Président. 
Amadou Ba n’est pas responsable de la mobilisation des 14 mille milliards requis pour le financement du PAP2A. Il devrait avoir l’élégance de passer la main aux Ministres de l’Economie, du Plan et de la Coopération, et du Ministre des Finances et du Budget, maintenant en charge de la question. A la place d’une prétention que plus rien ne justifie aujourd’hui et qui, malheureusement crée des tensions. Ce qui est attendu du MAESE est un travail d’équipe qui optimise la mise de notre pays sur tous les plans, économique, financier et diplomatique, pour mieux attirer et faciliter l’engagement de nos partenaires, Etats comme entreprises privées. A cet égard, les relations entre notre pays et l’Union Européenne se joue bien au-delà des opérations de charme. Le Sénégal est un modèle-moteur parmi les pays Afrique-Caraïbes-Pacifique (ACP), partenaire depuis Yaoundé 1 des Communautés et ensuite de l’Union Européenne. Dans sa communication parue dans Direct News de ce lundi 12 octobre, M. Ba semble réellement ignorer de toutes les dimensions de tout ce qui se joue, au quotidien, entre notre pays et les institutions européennes ; qu’il s’agisse du Conseil Européen, du Parlement Européen et de la Commission Européenne, où notre pays en général et notre Président personnellement comptent de nombreux amis. 
 
Pape Moussa Cissé
Responsable APR Parcelles Assainies.
Ils sont nombreux ces opposants et autres membres qui se réclament de la société civile à tenir régulièrement des discours aussi violents que vulgaires à l'endroit du chef de l'État Macky Sall et ses alliés, mais au finish, rien ne se passe et on fait comme si de rien n'était. Par conséquent, la dernière sortie du député Alioune Sow qui demandait à ses partisans de tout faire pour soutenir le président Macky Sall le moment venu, quelque soit sa décision, ne mérite pas un tel tollé. Selon Ousmane Faye,'' rien ne sert d'amplifier les propos du député. Il est dans une logique de conservation du pouvoir, de légitime défense et demande simplement à ses camarades de se donner les moyens nécessaires pour y arriver''.
En présidant l’assemblée générale des jeunes de sa Coalition (MWS) , Ousmane Faye n'a pas esquivé le débat sur l'affaire du député. Selon lui, '' pour un rien on amplifie les choses. Quand certains membres de l'opposition ou de la société civile menacent d'aller déloger le président de la République, ou insultent à longueur de journée ses militants et alliés, et que personne ne s'alarme face à des propos aussi dangereux pour la première institution ou la majorité démocratique, qui du reste, gouverne avec brio le pays, je ne vois pas pourquoi les militants et alliés du Président ne se donnent pas les moyens pour protéger leur leader. L'appel que le député a fait ne s'inscrit que dans le cadre d'une logique de conforter la majorité politique et que rien ne sera de trop pour la conservation de leurs acquis démocratiques''. Pour Ousmane Faye, le président Macky a des militants et allies qui, de la même façon, cherchent à le protéger. C'est ainsi qu'on doit comprendre la réaction de Dembourou Sow''.

CMU
cmu