lundi 16 septembre 2024 | Login
Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

*Radioscopie d'un Régime sans vision et d'une morosité économique due à l'effet conjugué de l'incompétence et de l'incapacité des stagiaires débiles jusqu'à la moelle et allergiques aux critiques sont leur seule arme est l'emprisonnement.* *Halte aux théoriciens de la Guérilla et à l'extermination !* *Le peuple est dans l'obligation de les corriger dans les urines en les imposant une cohabitation* 

 

Son Excellence Macky Sall reste et demeure capable de rétablir les fondamentaux et la bonne marche économique.

 

Il est tant que les Sénégalais se réveillent, ils pourront, passé le temps de l'initiative et du courage, retrouver pour consolider la République en donnant la majorité parlementaire à l'opposition et surtout à l'Apr, afin de pouvoir penser la vie que nous appelons de nos vœux, et donner aux sénégalais la possibilité de reprendre en main leur destin .

La tâche ne sera pas facile. Nous en sommes conscients. Mais , il faut justement reprendre ici, pour le compte du courage ce que Danton , grand révolutionnaire Républicain de 1789 disait de l'audace : pour vaincre les ennemis de la République, des tarikhats et du tissu social, il faut du courage, encore du courage , toujours du courage. Il faut tuer la peur de la peur et de faire à cette Dictature rampante. Nous devons nous battre pour lutter contre la tolérance de l'homosexualité. Dans ce pays qui se nomme Sénégal, l'homosexualité ne doit jamais être tolérer .

Du courage, certes pour penser , Mais aussi du courage pour agir, comme si l'impératif de penser sen homme d'action et d'agir en homme de pensée , s'imposait, à nous , plus que jamais.

C'est dire qu'une mobilisation de toute les bonnes volontés, de toutes les énergies, toutes les intelligences s'impose. Au Sénégal dans ce beau pays ce beau, naguère envié , et où l'organisation et la méthode étaient l'idéal à incarner, où la compétence et le respect des guides religieux était sans condition , tout est , hélas , à reconstruire et à rebâtir, tant les chantiers sont nombreux. La seule façon de corriger fléau qui risque de gangréner notre République, la cohabitation à l'assemblée nationale est une demande sociale.

 

 *Mal-élire , c'est semer le chaos et brutaliser le bon fonctionnement des institutions et malheureusement les Sénégalais sont en train de vivre le pire de leur expérience quotidienne,le désarroi est total avec une montée flagrante de l'insécurité alimentaire, routière, économique et surtout sociale et sociétale.* 

Les Sénégalais regrettent déjà le départ de Son Excellence Macky Sall. La seule façon de corriger l'incompétence de ces avatars est de voter massivement dans notre coalition afin de faire face à ces débiles allergiques aux critiques.

 

Le Sénégal a, il est vrai, traversé ces chocs exogènes ,en faisant preuve de beaucoup de résilience et de pari hardi afin de préserver les fondamentaux de notre économie, au moment où des pays comparateurs ou même développés étaient sous l'escarcelle de la récession économique sans précédent. On en a pour preuve, la richesse générée par les entreprises sénégalaises qui a connu une croissance moyenne de 3,96 % entre 2018 et 2021.

 

Sans ambiguïté, sous la pertinente vision de Son Excellence Macky Sall, qui, par ailleurs connaît les rouages stratégiques pour l'économie avait agi avec justesse pour maintenir la santé économique.

C'est sans doute, l'une des explications de l'efficacité des politiques de relance et de résilience initiées par le Régime de Son Excellence Macky Sall à travers le programme de résilience économique et sociale ( PRES) et le plan d'Actions prioritaires Ajusté et Accéléré ( PAP2A).Le PAP2A ayant fait des preuves économiques visibles en changeant positivement le quotidien des Sénégalais.

 

Et actuellement malgré les attaques des anciens opposants, devenus stagiaires à la tête de notre État sont dans l'obligation de travailler avec le PAPIII .

 

L'élaboration du PAPIII a été l'occasion de procéder à un diagnostic complet de la première décennie de mise en œuvre du PSE et de relever les secteurs porteurs de la dynamique de création de richesse et d'emplois . Cet exercice a été rendu possible par la réalisation d'une taxonomie qui constitue une classification des branches d'activités économiques en quatres (4) grands secteurs parmi lesquels les secteurs émergents et les secteurs moteurs de croissance.

 

Les secteurs émergents et moteurs , constituant 44% du PIB, sont fondamentaux dans l'orientation des investissements. Pour les cinq ( 2024-2028) prochaines années qui coïncident avec la venue de ces incapables à la tête pays qui ont tant vendu un projet inexistant, nous leur permettons de plagiat parce qu'ils sont sans vision économique .

Pendant ces cinq années, le Sénégal devait consolider la position du Sénégal sur la trajectoire de l'émergence, horizon 2035:

 

Sous le référentiel économique du PSE, ces stagiaires qui peinent à comprendre les stratégies économiques doivent impérativement répondre aux exigences du PSE :

 

. La construction d'une économie compétitive, inclusive et résiliente ;

 

. le développement d'un capital humain de qualité et capture du dividende démographique;

 

. le renforcement de la résilience des communautés face aux risques de catastrophes ;

 

. la consolidation de la gouvernance et d'une Administration publique moderne, transparente et performante ;

 

. l'adaptation d'un financement intégré de l'économie.

 

L'objectif global de PAP IlI est d'impulser une croissance inclusive et durable à travers l'accélération de l'industrialisation et la promotion d'une économie résiliente. Pour y parvenir Son Excellence Monsieur Macky Sall propose à ces stagiaires du palais et au perroquet de la primature doivent s'appuyer sur Neuf ( 9) domaines moteurs : la souveraineté alimentaire, le hup Multi services et Tourisme, la Modernisation graduelle de l'économie sociale, le développement durable, l'habitat social et l'écosystème de la construction, la transition et la sécurité énergétiques , les Infrastructures et le Hup logistique industriel et régional, l'industrialisation et la transition numérique.

 

Ces domaines regroupent un portefeuille de projets et de réformes dont l'exécution obéit à une logique de filière, en lien avec les stratégies de développement du secteur privé qui a identifié 24 filières à haut potentiel de valeur ajoutée et de création d'emplois. La mise en œuvre du paquet de réformes avait permis l'essor du secteur privé national fort et le renforcement de l'inclusion financière.

Son Excellence Macky Sall avait mis sur place toute une gamme pour booster l'économie nationale.

Pour cela les zones économiques spéciales ( ZES) . Ces ZES constituent une priorité dans le cadre de la mise en œuvre du PSE. Cette initiative avait permis au Sénégal d'atteindre une compétitivité commerciale et industrielle.

 

Oui! LES ZES avaient joué un rôle crucial dans le renforcement de la compétitivité Commerciale et industrielle du Sénégal.

 

Les ZES sont des zones géographiques délimitées qui offrent des avantages fiscaux, réglementaires et infrastructures spécifiques pour attirer les investisseurs nationaux comme étrangers et stimuler le développement économique. 

Depuis 2017 , Son Excellence Macky Sall a créé 5 ZES. Il s'agit du parc industriel de Diamniadio,de la ZES intégrée de Diasse , la ZES de Sandiara, la ZES de Bargny dont les travaux doivent démarrer en 2024 et la ZES de Fatick où l'État avait dû'injecter 60 milliards lors du dernier conseil des ministres décentralisés . Au total les ZES avaient déjà créé 3040 emplois sur 123000 emplois qui devaient être attendus à terme. L' investissements privés a réalisé dans les ZES au total 104,2 milliards et l'État avait déjà investi 60,2 milliards dans les ZES.

Voici 8 canaux par lesquels les ZES contribuent déjà à la compétitivité du Sénégal,six ans après leur début :

 

Ces ZES initiées par Son Excellence Macky Sall constituent un véritable moteur économique pour faciliter l'expansion économique.

Elles devaient permettre: 

l'attractivité des investissements étrangers;

Développement industriel ;

Création massive d'emplois ;

Transfert de technologie ;

Infrastructures améliorée ;

Amélioration de la productivité ;

Stimulation des exportations ;

Renforcement de la compétitivité Régionale.

 

Son Excellence Macky est une véritable chance pour le Sénégal. Les Sénégalais peuvent réparer l'erreur qu'ils ont commise.

 

Voter pour ces incompétents , ces stagiaires débiles qui sont à la tête de l'État c'est participer activement à chute de notre économie et à la destruction du tissu social.

La cohabitation à l'assemblée nationale est une demande sociale. Et c'est la seule manière de pouvoir juguler et contrôler de façon indépendante gestion des fonds publics et des politiques publiques.

 

 *Samba Ndong Responsable politique Apr Biscuiterie*

Une reconnaissance de plus au tableau pour le Directeur Général de l'Agence Sénégalaise d'études Spatiales (ASES) qui reçoit le PRIX SPECIAL DU JURY lors de la 7e édition du Space forum organisé par le groupe La Tribune le mardi 10 septembre, à La Cité de l'Espace à Toulouse. 

 

Cette septième édition pleine de nouveautés soutenue par des partenaires comme Airbus, la Région Occitanie, Toulouse Métropole, a reçu la participation de près de 600 experts du secteur spatial européen. 

 

Panéliste sur la table ronde sur « L'Afrique, nouvel eldorado du spatial ? » Maram Kairé, le directeur général de l'agence sénégalaise d'études spatiales, a présenté les ambitions du Sénégal dans le spatial et insisté sur la nécessité de redéfinir la collaboration internationale dans une dynamique "gagnant-gagnant" qui place l'Afrique comme un acteur et non plus un spectateur.

 

Ce forum a vu la participation du Général Philippe Adam, le Commandant de l'espace français, le Colonel Daniele Donati, nouveau Commandant de l'espace italien, Philippe Baptiste, président du Cnes, agence spatiale française, le vice-président de l'agence japonaise, Yasuo Ishii, Antoine Bouvier, le conseiller du président exécutif d'Airbus, Hélène Blanchard, la responsable des programmes de surveillance spatiale chez ArianeGroup, Antoine Fourcade, le CEO de Sirius Space, Stanislas Maximin, le CEO de Latitude... Mais également, par vidéoconférence, le Président de l'Agence Spatiale Européenne (ESA), M. Josef Aschbacher.

 

Une rencontre de très haut niveau qui consacre une fois de plus le travail acharné de Maram KAIRE depuis plusieurs années mais plus particulièrement depuis la création de l'agence Spatiale ASES à la tête de laquelle il porte efficacement l'ambition du Sénégal de devenir une nation spatiale.

Il ne passe pas un mois où le maire de la commune de Yeumbeul Nord ne pose pas des actes allant dans le sens de changer positivement le visage de cette localité. Des réalisations qui impressionnent les populations qui se disent satisfaites du travail de leur premier magistrat.

 

Et dans cette contrée, c’est un terrain de sport du basket multifonctionnel qui a été construit sans citer des écoles, du stade municipal communal, de la station d’essence, entre autres infrastructures. Sur le plan de la lutte contre les inondations, certains ouvrages ont été réalisés. Chaque mois, le maire de la commune de Yeumbeul Nord procède à une cérémonie de pose de première pierre pour la construction des écoles ou des structures de santé. Des actes qui soulagent vraiment. Suffisant pour que des délégués de quartiers, des imams et des notables de la localité, sortent pour témoigner leur satisfaction à l’endroit de leur maire . «Nous sommes tous rassurés que cette commune soit sur la voie du développement. De telles réalisations n’ont pas été faites au niveau de cette localité depuis son érection en commune, mais grâce à Babacar Ndao, les populations se sentent soulagées», martèle un imam. Au-delà des investissements qui ont été faits, le maire s’active également dans le social. D’après un délégué de quartier, « Babacar fut le maire qu’il faut pour les populations. Depuis son installation à la tête de la commune, des problèmes d'éclairage publics sont devenus de vieux souvenirs. Sur le volet assainissement, beaucoup de choses ont été faites. Aujourd’hui Yeumbeul Nord est devenu une commune de référence sur plusieurs plans ». Il y a moins d’une semaine, le maire a procédé à la cérémonie de pose de première pierre pour la construction d’une structure de santé dans l’un des quartiers de la cité. Et les travaux ont été démarrés. Des actes qui améliorent les conditions de santé des habitants de la localité. Des réalisations qui ont été faites et qui fascinent tout une commune.

 

Sada Mbodj

Drame de Mbour : 36 corps repêchés en 24 heures (

 

Des jeunes, nos jeunes, noyés dans l'espoir brisé de trouver une vie meilleure. Sommes-nous vraiment conscients de ce qui se passe ? Je pense que non. Nous avons appris à vivre avec l'horreur. 

 

Chaque jour, l’émigration clandestine et les tragédies routières fauchent des vies, et nous regardons ailleurs, presque comme si c’était devenu une normalité. Il y a quelques années, nous étions prompts à critiquer les régimes passés, accusant leurs dirigeants d’avoir abandonné la jeunesse, de n’avoir su lui offrir que le désespoir comme seule perspective d’avenir. Nous disions que c'était la raison pour laquelle nos enfants fuyaient en mer, dans des pirogues de fortune, pour échapper à une vie sans horizon. Aujourd'hui, malgré la victoire historique aux élections présidentielles, malgré l'espoir suscité par l'élection de Bassirou Diomaye Faye et la nomination d'Ousmane Sonko comme Premier ministre, cet espoir tant attendu n'est toujours pas revenu pour beaucoup. La mer continue de prendre nos enfants, les routes continuent de dévorer les vies de ceux que nous aimons. Ce qui est effarant, c'est que nous semblons plus réactifs à la mort d'un seul manifestant qu'à ces centaines de vies anéanties par l'émigration clandestine ou les accidents de la route. 

 

Pourquoi ? 

 

Pourquoi la tragédie silencieuse de nos compatriotes qui meurent en cherchant à fuir leur propre pays ne suscite-t-elle pas la même indignation ? Pourquoi ces vies sont-elles perçues comme moins importantes ? Avons-nous, en tant que nation, accepté la mort de nos enfants comme une fatalité ? Sommes-nous si insensibles que la mort collective devient une statistique, alors qu'une mort isolée provoque une onde de choc ? Si les régimes précédents n’ont jamais pris ces questions au sérieux, nous, en tant que nouveau pouvoir, n'avons aucun droit de les traiter avec la même négligence. La vie de chaque citoyen sénégalais, qu’il soit sur une route meurtrière ou dans une pirogue qui chavire, est ce que notre République a de plus précieux. C'est notre devoir, en tant que dirigeants, en tant que citoyens, de faire de la préservation de chaque vie notre priorité absolue. Nous ne pouvons plus nous contenter de discours. 

 

Il faut agir.  Et agir maintenant. 

 

Redonner espoir à nos jeunes ne doit plus être un slogan politique, mais une réalité concrète. Créer des opportunités ici, pour qu'ils n'aient plus à risquer leur vie là-bas. Renforcer la sécurité routière, moderniser nos infrastructures, sensibiliser nos concitoyens pour que nos routes ne soient plus des cimetières à ciel ouvert. Nous devons sortir de cette indifférence mortelle. Ces drames ne sont pas des statistiques. Ils sont des vies, des familles, des rêves brisés. Ils sont le reflet de notre échec collectif. Et cet échec, nous ne pouvons plus nous permettre de le tolérer. Si nous voulons vraiment construire un Sénégal où chaque vie compte, il est temps de faire face à ces fléaux avec la détermination, la dignité et l’humanité que nos morts méritent. Parce qu'il n'y a rien de plus précieux que la vie, et c’est à nous de la protéger, coûte que coûte.

 

Ameth DIALLO, Habitant du département de Mbour,

 

Le contentieux électoral de 2010 concernant la Chambre de Commerce, d'Industrie et d'Agriculture de Dakar (CCIAD) refait surface, suite à une recommandation du Ministre des Finances et du Budget, datée du 30 août 2024. Cette recommandation appelle à l'exécution de l'arrêt de la Cour Suprême sur ces élections, suscitant un besoin urgent de clarifications sur un dossier qui a profondément marqué les institutions consulaires.

Contexte et décisions prises

En 2010, des irrégularités dans les élections de la CCIAD avaient conduit à des annulations. Conformément aux dispositions prévues, de nouvelles élections auraient dû être convoquées dans un délai de trois mois, soit avant le 20 mars 2013. Toutefois, le Président de la République de l’époque a convoqué les parties impliquées le 6 avril 2013, entraînant la signature d'un consensus le 6 mai 2013. Ce protocole stipulait que le Président Lamine Niang continuerait son mandat et que les postes au sein des organes de la CCIAD seraient répartis paritairement entre les deux listes concurrentes.

Développements ultérieurs

Après le décès du Président Mamadou Lamine Niang en 2019, les élections pour désigner son successeur ont eu lieu le 27 novembre 2019. Abdoulaye Sow a été élu pour compléter le mandat du défunt Président et a été officiellement installé en décembre 2019. Cette élection, organisée conformément aux règles en vigueur, a conduit à l'établissement d'un nouveau Bureau de la CCIAD.

En parallèle, la loi 2017-15 du 6 février 2017, portant création de la nouvelle Chambre Nationale de Commerce, d'Industrie et de Services, a abrogé le décret régissant les CCIAD, mais a permis aux chambres existantes de continuer à fonctionner jusqu'à l'instauration des nouvelles assemblées. Cette loi complique davantage la réorganisation des élections selon les modalités de 2010.

Problèmes et perspectives

Reprendre les élections avec un fichier électoral datant de 2010 représente un défi considérable, en raison de l’évolution des données et des changements intervenus depuis cette période. De plus, la liste "And Défarat CCIAD" considère que le contentieux est désormais réglé et met en avant les réalisations de la CCIAD depuis 2019, notamment en termes de soutien au secteur privé et de renforcement des partenariats public-privé.

Controverse en cours

Une agitation récente par M. Birame Yaya Wane, prétendant représenter la liste "And Défarat CCIAD", a ravivé le débat. Il est important de noter que M. Wane, signataire du protocole de 2013, n’a pas la légitimité de parler au nom de la liste, selon ses membres actuels.

 

En conclusion, bien que le contentieux électoral de 2010 reste une affaire délicate, les développements récents et les interventions législatives semblent avoir apporté une résolution effective. La CCIAD continue d'évoluer et de jouer un rôle central dans le soutien aux entreprises et le partenariat avec l'État, malgré les défis hérités du passé.

 

vendredi, 06 septembre 2024 18:57

SIGNATURE DE CONVENTION ASES - CNSA

 

Le Sénégal rejoint la station internationale de recherche lunaire (ILRS) et affirme ses ambitions de devenir une nation spatiale

 

Un pas important vient d'être franchi ce jeudi 05 Septembre dans la marche spatiale du Sénégal avec la signature par le DG de l’Agence Sénégalaise d’Études Spatiales (ASES), M. Maram KAIRÉ, et M. Li GUOPING, Ingénieur en chef, Directeur de l’Administration Spatiale Nationale Chinoise (CNSA), d’un accord de coopération (MoU) pour rejoindre la Station Internationale de Recherche Lunaire (ILRS).

 

Ce partenariat a été officialisé lors de la deuxième Conférence Internationale sur l’exploration de l’espace profond (Deep Space Exploration Laboratory, DSEL, Tiandu Forum 2024) qui s’est tenue du 5 au 6 Septembre en Chine. Cette rencontre internationale de haut niveau à regroupé plus de 400 experts mondiaux regroupés en provenance de plusieurs pays sous le thème de la Consultation, Co-Construction et Partage autour de l’ambitieux projet de la Station Internationale de Recherche Lunaire (ILRS).

 

Cette signature intervient alors que le Président chinois Xi Jinping s'est entretenu avec son homologue sénégalais, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye FAYE, en visite à Beijing pour le sommet du Forum sur la coopération sino-africaine (FOCAC) et une visite d'État.

 

Cette collaboration internationale dans ce projet d’exploration lunaire intervient tout juste 1 an après la création de l’ASES, Agence spatiale du Sénégal, et le récent lancement du premier nanosatellite, Gaindesat-1A, montrant ainsi son ambition de devenir un acteur dynamique de l’écosystème spatial mondial.

Elle permettra au Sénégal de bénéficier d’un important transfert de technologie et de développer les compétences de ses ressources humaines dans ce domaine. L’ILRS, conçue pour mener des opérations robotiques à long terme sur la Lune, renforcera la position du Sénégal dans le concert des nations spatiales.

 

Le Sénégal rejoint ainsi des nations africaines telles que l’Égypte et l’Afrique du Sud dans cette initiative internationale dirigée par la Chine, qui prévoit la construction d’une station robotique lunaire d’ici 2035.

Seul Dieu est capable de nous étouffer! Quelqu'un veut se placer à la place de Dieu Tempi pour lui!

 

La politique est une affaire de raison et d'intelligence. Le Sénégal me ressemble à un pays qui n'a jamais connu la démocratie, si aujourd'hui nous étions en sport, nous pouvons affirmer que nous sommes en septième division.

Nous n'avons plus une république, le Sénégal glisse dans la tyrannie et dans l'arbitraire.

Comment un pays peut-il se gouverner sans institutions ?

Comment peut-on expliquer l'annonce d'un décret avant sa signature ?

Après avoir échoué pour le projet de dissolution du HCCT et CESE , ils ont pris la tangente pour essayer de mettre les Présidents de ces institutions. 

Du jamais vu, la peur et le stress ont gagné ces stagiaires.

 

Dans un pays sérieux, la contradiction doit être en amont et en aval de toute chose.

 Le Sénégal est sous perfusion, la stabilité est sous la menace.

 

Un régime qui nomme des personnes qui attaquent nos tarikhats, brutalise la démocratie et discrédite les institutions.

On aura tout vu avec ce règne des stagiaires qui sont dépourvus de compétences et de connaissances.

 

Je suis convaincu qu'ils n'auront jamais la majorité à l'assemblée nationale et même après les élections législatives.

 

Ni Sonko ni Diomaye, personne n'a le droit ni le pouvoir de bloquer les fonds de ces institutions.

Le combat sera âpre et rude et nous assumerons jusqu'au bout.

 

Précision, personne ne peut nous étouffer et seul Dieu est capable de le faire. S'il souhaite se placer à la place de Dieu tempi !

 

Honorable Haut Conseiller Samba Ndong Responsable politique Apr Biscuiterie et Président de la commission 2 : Développement des pôles-territoires.

C’est par la transmission d’une lettre ouverte que le mouvement des arabophones du Sénégal a adressé ses remerciements et ses félicitations au Premier Ministre Ousmane Sonko après sa participation à la marche initiée pour la cause Palestinienne. Le Président dudit mouvement Souleymane Gadiaga a ainsi apprécié l’engagement et le leadership du PM, et n’a pas manqué de le lui faire savoir. Voici la lettre in extenso

A Monsieur le Premier Ministre du Sénégal.

Objet : Lettre ouverte à Monsieur le Premier Ministre du Sénégal             

Monsieur le Premier Ministre,

C'est avec un profond sentiment de gratitude et d'appréciation que je tiens à vous exprimer mes sincères remerciements pour votre engagement et votre leadership lors de la marche historique organisée en soutien à la Palestine. Cet événement a marqué un tournant décisif dans notre lutte pour la justice et la dignité du peuple palestinien, et votre présence témoigne de votre indéfectible engagement envers les valeurs de solidarité, de paix et de respect des droits humains. Le peuple palestinien, qui a trop longtemps souffert de l'injustice et de l'oppression, trouve en votre action un soutien inestimable et  redonne l'espoir à des millions de personnes à travers le monde. Votre décision de marcher à côté de citoyens de toutes origines, de différentes religions et opinions politiques est un signal fort qui résonne bien au-delà de nos frontières, affirmant ainsi la position inébranlable de notre pays en faveur de la paix juste et durable au Moyen-Orient. En unissant vos pas à ceux des autres, vous avez renforcé notre conviction que la solidarité internationale est essentielle pour mettre fin à cette tragédie humaine. De plus, votre geste vient non seulement renforcer la position du Sénégal sur la scène internationale, particulièrement au sein de la Commission des Nations Unies pour la Défense des Droits Inaliénables, mais il réaffirme également le rôle historique que notre pays a toujours joué sur cette question avec les anciens présidents, qui ont constamment défendu les droits du peuple palestinien.

 

Monsieur le Premier Ministre, votre engagement ne s'est pas limité à un simple geste symbolique, mais vous avez rappelé à tous que la cause palestinienne n'est pas seulement une question de politique étrangère, mais une question de conscience morale et de justice universelle. C'est pourquoi, nous saluons le fait que vous soyez venu nous rejoindre dans ce combat, malgré les éventuelles menaces qui pourraient émaner des grandes puissances. Il est important de souligner que le peuple sénégalais préfère assumer fièrement sa position de principe, plutôt que de céder aux pressions ou de rechercher des intérêts économiques ou politiques. Notre engagement en faveur de la justice et des droits humains transcende toute considération matérielle, et nous sommes résolus à rester du côté de l'équité, quelle que soit la pression extérieure.

 

Pour terminer, nous demandons au Président de la République de prendre ses responsabilités en rompant les relations diplomatiques avec Israël, en cohérence avec les principes de justice que notre nation défend depuis toujours. Nous vous demandons également, Monsieur le Premier Ministre, de veiller à ce que cette initiative ne reste pas un simple protocole, mais qu'elle soit suivie d'actions concrètes qui traduiront notre engagement en faveur de la cause palestinienne avec des mesures tangibles et durables.

 

Veuillez agréer, Monsieur le Premier Ministre, l'expression de notre très haute considération.

 

Dr. Souleymane GADIAGA,

Président du Mouvement des Arabophones du Sénégal (MAS).

Tel : 77 568 97 02                  

Email : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.                                                                         

 

 

 

 

 

Ce dimanche, les membres du Rotary Millénium se sont retrouvés dans le département de Guédiawaye, sous la présidence de Pierre Albert Diatta, représentant du club à Dakar. Cette rencontre a été l'occasion de se concentrer sur des axes stratégiques tels que l'environnement. En effet, après la récente célébration de la Journée Mondiale de l'Arbre, il était essentiel pour nous de valoriser les arbres en les plantant à Guédiawaye, pour offrir un espace de vie aux générations futures.

 

L'endroit choisi pour cette action était une esplanade dépourvue de végétation, ne bénéficiant d'aucun ombrage malgré la présence de bancs. Le reboisement vise à améliorer le confort des habitants en leur fournissant un espace ombragé, surtout pendant les périodes de forte chaleur.

 

Le Rotary est une grande organisation internationale, présente dans plus de 200 pays avec 1 400 000 membres. Son action couvre des domaines variés, dont la santé, l'éducation, l'environnement et la paix. Cette initiative de reboisement illustre bien les engagements du Rotary à œuvrer pour le bien-être et la durabilité.

 

Nous avons bénéficié du soutien des agents des eaux et forêts, et la présence de Madame Mick Marsala, déléguée auprès du district Sénégal, a été particulièrement appréciée. Le lieutenant Mama Geuye, adjoint au chef de secteur environnemental de Guédiawaye, a exprimé sa gratitude envers le Rotary pour cette initiative, qui s'inscrit dans le cadre de la continuité de la Journée Mondiale de l'Arbre célébrée en août. Nous remercions vivement le Rotary Millénium pour les moyens mis en œuvre pour le suivi et la sécurité des arbres plantés.

  1. TOURE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 « Il y a un regain de violence manifeste depuis quelques mois au Sénégal.

Les gens deviennent de plus en plus violents. Il apparaît souvent des cas de mort d’homme provoqués par des actes violents commis directement par des personnes qui leur sont proches » disait le commissaire à la retraite Cheikhouna Kéita en avril 2023 à la suite d’une série de meurtres en 4 mois en début d'année 2023.

Déjà en 2016, nous notions une série de crimes : Fatoumata Matar Ndiaye, Vice-présidente du Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE), à Pikine a été égorgée chez elle ; le taximan Ibrahima Samb est assassiné par balles ; un jeune étudiant est tué pour une histoire de moins d’un euro, un pharmacien et son vigil sont assassinés à Ndioum.

 En janvier 2023, une Franco-sénégalaise est ligotée, violentée et tuée en pleine journée. Ensuite survinrent la mort suspecte d’un jeune talibé de 13 dans le quartier de Ndayane à Diourbel, le meurtre d’un homme à Kaolack (une jeune fille de 16 ans est accusée de l’avoir poignardé). Ce mois d’août 2024 nous renouons avec cette série : à Darou Rahman (Guédiawaye), Sylvie Mendy a été attaquée sauvagement par son voisin ; à Pikine, Aziz Dabala et Le Réseau Paix et Sécurité pour les Femmes de l’Espace CEDEAO (REPSFECO) son ami Waly sont retrouvés morts dans son appartement après avoir reçu plus de 15 coups de couteau ; dans un canal à Bargny, Aïcha Ndong (14 ans) a été retrouvée morte ; à Grand-Yoff, un taximan a été tué par balle perdue, à Thies un double meurtre impliquant les jakartaman nous donne un mort par couteau et un autre par calcination.

Quelle cruauté ! Le constat sur ces séries est que les auteurs présumés de ces meurtres sont le fait de “jeunes personnes qui ont fait de la cruauté leur mode d’expression”. Cette cruauté se note dans d’autres faits antérieurs comme cette femme tuée par son mari à coups de couteau, un maître coranique poignardée à mort dans son sommeil par son talibé âgé seulement de 11 ans, ce corps calciné de la jeune femme Awa Bâ découvert en plein forêt dans le département de Tivaouane. Ainsi, la peur s’installe comme le souligne un jeune sénégalais interviewé par Seneplus « nous avons plus le droit de nous promener librement dans les rues de Dakar à cause des agresseurs et c’est dommage parce que cela impacte le peuple. » Nous, femmes du Réseau Paix et Sécurité pour les Femmes de l’Espace CEDEAO (REPSFECO), faisons une lecture inquiétante de cette série macabre et attirons l’attention sur l’extrémisme violent qui commence à faire son lit dans notre cher pays, le Sénégal.

 Le Réseau Paix et Sécurité pour les Femmes de l’Espace CEDEAO (REPSFECO) Nous ne manquons pas non plus, d’être d’accord avec les experts en pointant du doigt “la dislocation sociale”, la pauvreté, le manque de socialisation des jeunes pour ces faits qui deviennent une banalité. La violence commence à prendre des proportions inquiétantes au Sénégal surtout dans les grandes agglomérations. Pendant ce même temps, le REPSFECO s’inquiète aussi du traitement de ces faits à travers les réseaux sociaux et par une certaine « presse » où les intervenants/auteurs de posts et articles s’érigent en enquêteurs, criminologues et diffusent sans cryptage des images choquantes. La situation est suffisamment grave pour ne pas la dénoncer avec véhémence et inviter la société surtout au sein des familles à se départir d’une certaine culture de la violence. Cette invite est d’autant plus importante que nous notons la récurrence d’accidents mortels qui sont le fait, selon les experts, de l’irresponsabilité des chauffeurs. En témoigne la dernière vidéo en ligne montrant en direct un accident causé par une conduite folle et irrespectueuse d’un chauffard. Nous faisons là face à une culture de l’irresponsabilité.

Notre invitation va aussi à l’endroit des leaders d’opinion (religieux, politiques, coutumiers…) et de l’État mais surtout des organisations de femmes. Nous leur Le Réseau Paix et Sécurité pour les Femmes de l’Espace CEDEAO (REPSFECO) demandons à s’impliquer dans une campagne continue de sensibilisation et de dénonciation des violences dans notre pays et à prendre les mesures nécessaires pour arrêter ces séries.

 Fait à Dakar, le 30 aout 2024

Le Bureau Régional et National du Réseau Paix et Sécurité Pour les Femmes de l’Espace CEDEAO (REPSFEC

 

 

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