mercredi 15 mai 2024 | Login
Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Une journée de set setal a été organisée a la Sogas par son Directeur General l’honorable Député Maire Arona Galo BA

Cette grande opération d’une grande envergure a vu la participation des autorités de la SOGAS en présence du Ministre de la tutelle ministre de l’agriculture, de la souveraineté alimentaire et de l’élevage en compagnie du sous-préfet du maire de Dalifort de la gendarmerie des service de l’hygiène avec l’appui des homme de l’eau, les Sapeurs-Pompiers

Une occasion pour le Ministre,  de se féliciter d’une telle initiative qui rejoint les directives de l’État pour une amélioration durable de sécurité sanitaire des aliments en lien avec l’objectif de souveraineté alimentaire et un engagement est également pris par les autorités de la SOGAS pour la pérennisation  de cette opération.

M. TOURE

 

Qu’ils soient géostationnaires ou en orbite basse, les satellites de télécommunications peuvent fournir une meilleure couverture sur la planète. Les opérateurs télécoms africains peuvent y trouver une alternative pour combler les lacunes de couverture de leurs réseaux et toucher plus de personnes.

Les satellites de communications pourraient aider les opérateurs de télécommunications et fournisseurs d’accès à Internet (FAI) à améliorer la couverture de leurs services en Afrique. C’est ce qu’avance l’Association mondiale des opérateurs et constructeurs de téléphonie GSMA dans son rapport « The Mobile Economy 2024 » publié en mars 2024.

« Les réseaux de télécommunications couvrent aujourd’hui plus de 95 % de la population mondiale, mais moins de 45 % de la masse continentale. Les satellites et les RTN [réseaux non terrestres, NDLR] sont bien adaptés à la fourniture de connectivité dans les zones maritimes, éloignées et polaires où le déploiement de réseaux terrestres conventionnels pourrait s’avérer coûteux et difficile », peut-on lire dans le rapport de la GSMA.

La GSMA estime que les progrès réalisés dans le domaine des satellites et des solutions RTN au cours des dernières années ont permis d’améliorer les performances, de réduire les coûts de déploiement et d’élaborer des modèles commerciaux plus viables. Ces avancées sont à l’origine de nouveaux partenariats avec les opérateurs de télécommunications, qui pourraient remodeler le paysage de la connectivité.

 

Les opérateurs télécoms africains s’intéressent de plus en plus à la solution satellitaire 

 

Les partenariats entre les opérateurs de télécommunications et les opérateurs de satellites sont basés sur différents modèles d’exploitation. En décembre 2023, MTN Group a révélé qu’il explorait des partenariats avec des sociétés de satellites en orbite basse (LEO), dont Lynk Global, AST SpaceMobile, Starlink, Eutelsat OneWeb et Omnispace. La société a opté pour deux approches distinctes. L’une permet à l’opérateur de réceptionner les signaux des satellites sur ses sites télécoms avant de redistribuer les services aux clients. L’autre, appelée « Direct to Device (D2D) », permet de connecter directement l’appareil mobile du client au satellite.

« Pour les opérateurs de télécommunications, le D2D offre un accès à de nouveaux clients dans les zones mal desservies et la possibilité de fournir une connectivité aux services d’urgence et aux clients existants lorsqu’un signal terrestre n’est pas disponible », écrit la GSMA.

Au cours des deux dernières années, on a assisté à un nombre croissant de partenariats entre les opérateurs de télécommunications et les sociétés de satellites, couvrant plusieurs continents et cas d’utilisation, notamment la couverture rurale et les secours en cas de catastrophe. Plusieurs essais ont été menés, et les services commerciaux par satellite devraient s’intensifier au cours des 12 prochains mois, selon la GSMA.

En Afrique, on peut citer les accords de distribution signés par OneWeb (aujourd’hui Eutelsat OneWeb) avec les opérateurs télécoms Airtel Africa et Orange, respectivement en novembre 2022 et en mars 2023. Les deux sociétés télécoms se sont engagées à tirer parti des capacités de la constellation en orbite basse (LEO) de l’opérateur de satellites pour étendre la couverture de leurs services sur leurs marchés respectifs. Airtel a procédé en mars dernier au lancement d’une nouvelle solution de connectivité par satellite dénommée « Airtel Satellite » qui sera plus tard étendu aux autres pays dans lesquels la société est présente.

En septembre 2023, Vodafone a annoncé un accord avec Amazon (« Project Kuiper ») pour étendre la couverture des services 4G et 5G en Afrique. L’accord inclut Vodacom, la filiale de la société télécoms britannique. Cette dernière avait déjà signé un accord similaire avec la société américaine AST SpaceMobile en décembre 2020. La mise en œuvre de l’accord était prévue pour 2023.

En avril 2023, Telecel Group a annoncé un accord avec Lynk Global Inc. pour des services de téléphonie directe par satellite à ses abonnés au Ghana, même dans les zones rurales. Openserve, la filiale de fibre optique de la société télécoms sud-africaine Telkom a également signé un accord de partenariat avec Intelsat pour moderniser environ 900 sites télécoms.

 

Les impacts sur le marché africain de la connectivité

 

Les partenariats avec les opérateurs télécoms devraient contribuer à renforcer la concurrence sur le marché des télécommunications en Afrique. Cela permettra d’accélérer l’adoption de ses services par les populations.

Selon les données de la GSMA, l’Afrique subsaharienne comptait 489 millions d’abonnés uniques à la téléphonie mobile en 2022 pour un taux de pénétration de seulement 43 %. Le nombre d’utilisateurs des services Internet s’élevait à 287 millions, soit 25 % de la population de la région. En Afrique du Nord, le taux de pénétration des services de téléphonie mobile était de 67 % en 2022.

Les réactions des gouvernements africains face au regain d’intérêt pour les services télécoms par satellite

Les gouvernements africains sont conscients de l’opportunité que représente les satellites télécoms pour réduire la fracture numérique. Toutefois, ils exigent des sociétés étrangères comme Starlink qu’elles satisfassent aux exigences réglementaires en vigueur pour obtenir des licences d’exploitation. La société américaine fait l’objet d’interdictions dans les pays où son service est utilisé alors qu’elle n’y a pas encore lancé ses activités commerciales.

Au Zimbabwe, le gouvernement zimbabwéen envisage des partenariats avec plusieurs fournisseurs d’accès à Internet par satellite pour étendre les services dans le pays et réduire les coûts. « Nous sommes un pays enclavé, donc le simple fait d’acheminer des données depuis leur lieu d’origine engendre déjà des coûts. Ce que nous pouvons faire, c’est d’envisager d’autres moyens innovants. Si cela signifie que nous devons faire appel à des sociétés de satellites, cela ne peut pas concerner uniquement une société en particulier, à savoir Starlink », a déclaré Tatenda Mavetera, ministre des Technologies de l’information et de la communication, des Services postaux et de courrier.

 

Au Cameroun, par exemple, l’avènement de Starlink inquiète les autorités qui redoutent que cette offre représente une menace pour Camtel, l’opérateur public des télécoms. « Nous savons qu’au Cameroun, il y a Camtel qui est l’opérateur historique. C’est le seul qui est compétent pour gérer les infrastructures de transport. Si Camtel ne se réveille pas pour être performant, Starlink va le balayer », a déclaré Minette Libom Li Likeng, ministre des Postes et Télécommunications. Elle a d’ailleurs indiqué aux représentants de Starlink que le marché camerounais est ouvert, mais réglementé.

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Une forte chaleur prévaudra sur une grande partie du pays, annonce l'Agence nationale de l'aviation civile et de la météorologie au Sénégal (Anacim). Des régions comme Matam et Kaffrine enregistreront des températures jusqu'à 48 degrés.
 
"Au courant des prochaines 24 heures, un ciel dégagé sera noté sur la quasi-totalité du territoire, hormis la zone extrême sud-est où quelques voiles nuageux seront aperçus par endroits. Une très forte chaleur restera de mise sur le pays au courant de cette journée, particulièrement dans les localités de l’intérieur où les pics de température fluctueront entre 41°C à Fatick et 48°C à Matam", annonce l'Anacim.
 
La région de Dakar échappera toutefois à la vague de chaleur, avec 28°C attendus. 
 
 

Ce lundi 6 mai, la Présidence de la République a publié la photo officielle du chef de l'Etat Bassirou Diomaye Faye. Une photo réalisée par un jeune sénégalais : Abdou Karim Ndoye. 
 
Directeur artistique et photographe originaire de Rufisque, Abdou Karim Ndoye a longtemps travaillé avec Pastef. En plus de faire des affiches, il a travaillé avec Ousmane Sonko et ses hommes lors de la Présidentielle de 2019 et la dernière en 2024. Après la victoire de Bassirou Diomaye Faye, il a été choisi pour réaliser la photo officielle du président de la République. 
 
Sur sa page Facebook, il a fait part de toute sa satisfaction d'avoir eu la confiance du chef de l'Etat.  "C'est un honneur d'avoir réalisé la photo officielle du Président de la République, son Excellence Bassirou Diomaye Diakhar FAYE. Je lui adresse mes sincères remerciements et ma profonde gratitude pour avoir eu l’opportunité de participer à ce projet. Je me tiens à ses côtés pour l'accompagner dans la réalisation des projets pour un Sénégal souverain, juste et prospère. Remerciements à Makhtar Diop et toute l'équipe de la présidence pour l'assistance. Yarba Déco pour l'éclairage", a écrit Abdou Karim Ndoye.

«C’est un Taxawu divisé sur la question qui essaie d’envisager l’avenir avec la meilleure formule possible.» C’est parce cette phrase que Les Échos a conclu, dans son édition de ce lundi, une brève sur les dissensions dans le camp de Khalifa Sall au sujet d’éventuelles retrouvailles entre ce dernier et le PS, agitées ces derniers jours.

Le journal rapporte que les membres de la coalition dirigée par l’ancien maire de Dakar opposés à une telle éventualité, estiment que Khalifa Sall «n’a rien à faire de l’appareil [du PS]». «Selon eux, il peut s’en sortir sans cette machine», complète la source.

Mais ces partisans du statuquo font face à ceux qui, au sein de Taxawu Sénégal, plaident pour un rabibochage entre l’ancien maire de Dakar et les Socialistes. Ils pensent, selon Les Échos, «que Khalifa Sall doit avoir l’appareil socialiste pour la réalisation des objectifs de Taxawu».

Ces derniers jours, les médias ont fait état d’une rencontre entre Aminata Mbengue Ndiaye, la secrétaire générale du PS, et Khalifa Sall. Au menu des discussions entre les deux leaders politiques : les retrouvailles de la famille socialiste, dit-on.

Les deux derniers Conseils des ministres ont été le lieu des premières de nominations du Président Diomaye Faye au niveau des directions et autres institutions publiques. Plus d’une trentaine de postes ont été pourvus.

Au niveau de certaines stations, la passation de témoin s’est bien passée et la continuité du service est donc en marche. Pour d’autres entités en revanche, ça coince. «Tout est au ralenti», d’après Les Échos de ce lundi, qui a pointé des lenteurs dans la transition dans quelques directions nationales, sans préciser lesquelles.

Le journal explique : «Certains ‘DG’ [directeurs généraux] virés n’ont jusqu’à présent pas vu ou reçu de documents les informant [des modalités] de la passation de service avec leurs remplaçants. Conséquence : ceux qui ont fini de préparer leurs dossiers à transmettre ne signent plus d’actes administratifs.»

Les PCA (présidents de Conseil d’administration) ne sont pas mieux lotis. Les Échos informe que certains d’entre eux «ne savent toujours pas quand leurs DG vont faire la passation et le moment où ils seront eux-mêmes installés pour que le travail continue».

 

Le Groupe CANAL+ HORIZON, a organisé ce lundi dernier, dans un hôtel de la place de Dakar, la cérémonie de lancement de deux nouvelles chaînes de fiction en langues nationales, a savoir le MANDEKA  et le PULAAGU.

 

En présence de Cheikh Amadou Bamba SARR, Directeur Général dudit Groupe, et en compagnie de plusieurs personnalités, dont une forte présence de producteurs, réalisateurs, acteurs, et tous ceux qui gravitent et font fonctionner le 7e art sénégalais et africain en général, la séance de présentation de ces deux nouvelle chaine venus dans la famille Canal+, a permis à son Directeur d'expliquer la pertinence de la

la première langue.

 

Le MANDEKA, la chaîne des séries et théâtres en Bambara et en Malinké.

Divertissante et authentique, MANDEKA est une invitation à découvrir ou à redécouvrir des séries incontournables et des théâtres tant appréciés en dialecte mandingue et principalement tournés en Guinée et au Mali., dixit Monsieur Cheikh Amadou Bamba SARR, avant de poursuivre sur la deuxième langue:

 

Le PULAAGU, la chaîne des séries en Pulaar.

Véritable miroir des coutumes et traditions, de la région du Fouta ou d’ailleurs, PULAAGU promet le meilleur des séries-cultes, plus récentes et inédites, tournées dans des décors naturels du Sénégal, du Mali, de la Mauritanie et de la Guinée.

 

En effet, grâce au partenariat récemment conclu avec Marodi TV, PULAAGU bénéficiera de productions inédites, dont DJAME & FATOUMATA, une histoire d’amour passionnée, diffusée dés le 29 avril 2024 (ndlr hier).

 

Il s'y ajoute d'autres séries telles que: Polel, Koudi, Fiibdé, Deougal Koyo Danke, puis le Poids du Silence, Aduna , No Waariwoo et  Mignan Gnanne Dioh.

Il faut rappeler par ailleurs, que le Groupe CANAL +, filiale de Vivendi est l'un de leader de la création et de la distribution dans le monde, avec une présence dans plus de 50 pays et 7600 collaboratrices et collaborateurs sur tous les continents. Ils comptent maintenant 26, 4 millions d'abonnés dans le monde dont 17,1 millions en Europe; 8,1 millions en Afrique et 1,2 million en Asie-Pacifique.

 

Mamadou TOURÉ

M. le PR

Nous, Citoyens sénégalais, réunis dans LA CONVENTION POUR LA CITOYENNETE ET LE DEVELOPPEMENT DU FUUTA, considérant votre brillante élection à la magistrature suprême de notre pays, le 24 mars 2024 ; ce dont nous nous réjouissons tout en vous adressant nos chaleureuses félicitations auxquelles nous joignons nos vœux les plus fervents pour la réussite de votre lourde charge ; Considérant le communiqué du Conseil des Ministres du mardi 09 Avril 2024, aux termes duquel vous avez instruit Monsieur le Premier Ministre, entre autres, de changer le référentiel de politique économique et sociale avec la consécration du « PROJET »; Considérant le Livre « PROJET POUR UN SENEGAL JUSTE, EQUILIBRE ET PROSPERE » de la « Coalition gagnante DIOMAYE PRESIDENT » ;

 Considérant le Chapitre 6 intitulé : « Pour un développement d’un tissu industriel basé sur la transformation de ce que nous produisons et la promotion de nos champions industriels nationaux » ; Considérant l’ancrage du tissu industriel proposé autour de huit pôles de développement économique que sont : - le Pôle industriel de Ndakaaru - le Pôle industriel de Kayoor - le Pôle industriel de Siin-Saalum - le Pôle industriel de Njammbuur - le Pôle industriel de Kaasamàas - le Pôle industriel de Ɓunndu - le Pôle industriel de Ferlo - le Pôle industriel de Waalo ; 3 Considérant que, dans ce découpage le FUUTA disparaît brutalement de la carte historique du Sénégal ; Considérant que le FUUTA est la première entité géographique organisée, en tant que réalité sociopolitique, confirmée par la Révolution théocratique de 1776 ; Considérant l’importance du caractère identitaire du découpage cité supra ;

Considérant le Chapitre 12 intitulé : « Pour des Infrastructures adaptées, sûres, résilientes, durables et à moindre coût » ; Considérant les lignes ferroviaires prévues ainsi qu’il suit dans le livre « PROJET »: - ligne principale Waalo – Ferlo ; - ligne principale Ndakaaru – Kayoor – Waalo ; - ligne principale Ndakaaru – Baol – Njammbuur – Ferlo ; - ligne principale Ndakaaru – Siin-Sàalum – Kaasamaas ; - ligne principale Ndakaaru – Siin-Saalum – Ɓunndu ; - ligne principale Ferlo – Ɓunndu ; - ligne principale Kaasamàas – Ɓunndu ; - ligne secondaire Waalo – Baol – Njammbuur ; - ligne secondaire Baol – Njammbuur – Siin-Saalum ; - ligne secondaire Kayoor – Baol – Njammbuur ; Considérant l’histoire du Sénégal, où les noms des pôles de développement pour un tissu industriel ont été le nom de royaumes ayant existé ; Considérant l’évolution des découpages administratifs depuis 1960, période au cours de laquelle la région Fleuve a toujours fait partie des entités géographiques rétrécies ou agrandies au fil des années, mais jamais effacées ;

Considérant le processus de décentralisation, enclenché depuis 1972 et dont l'esprit est de renforcer la gestion de proximité ; Considérant la mobilisation de la part de la population du Fuuta et les réactions suscitées par les tentatives d’accaparement de terres à Fanaye et à Dodel ; Considérant la mobilisation autour du Collectif pour la Défense des Intérêts du Bosséa contre la tentative d’un bail sur 500 mois d’une partie des terres du Bossea dans le Fuuta, au profit d’une firme italienne, dans un montage financier autour de capitaux provenant exclusivement de l’extérieur ; 4 Considérant la dynamique d’urbanisation au Fuuta autour de villes moyennes à l’image de Ndioum, Ourossogui, Podor, Kanel, Matam, entre autres et de petites villes dont Thilogne, Agnam, Sémmé, Galoya, Saldé, Madina Ndiathbé, Nguidjilone, Golléré, Fanaye, Sinthiou Bamambé, Donaye-Tarédji ; Considérant la configuration de la ligne Haute Tension Manantali – vers les centrales de transformation comme celle de Dagana ;

Considérant la disponibilité foncière et sa maîtrise par les populations de la moyenne et de la haute vallée du fleuve Sénégal ; Considérant la résilience du territoire du Fuuta face à de multiples chocs cycliques : Invasions acridiennes, épisodes de sécheresse de 1972, 1984, 1992, 2003, pluies hors-saison de 2002, crise politique de 1989, entre autres ; Considérant le peuplement cosmopolite du terroir du Fuuta où coexistent pacifiquement des Fulɓe, des Soninkés, des Sérères, des Wolofs, des Maures et bien d’autres ethnies; Considérant la richesse du sous-sol du Fuuta en eau, mines et minerais ; Considérant la dynamique organisationnelle structurée autour de grandes faitières dont ADENA, FAFD, ALDA, UJAK, FDL, AKNB, entre autres ;

 Considérant les projets qui ont organisé le territoire du Fuuta, dont le PEPAM, les grands aménagements hydroagricoles, les périmètres irrigués villageois, la dynamique des femmes et des jeunes autour des groupements de promotion féminine et d’associations sportives et culturelles ; Considérant la reconsidération des enjeux du climat sur les écosystèmes naturels et sur les humains à travers les initiatives endogènes et spontanées des VILLAGES VERTS : Thilogne Ville Verte, Golléré Ville Verte, Agnam Goly Ville Verte, entre autres ; Considérant les investissements réalisés par les populations du Fuuta elles-mêmes sans le concours financier de l’Etat du Sénégal : écoles, collèges, lycées, forages, structures de santé, etc. ; Considérant le potentiel de production en céréales locales, en lait, en viande, en riz, en niébé, en blé, en maïs, en produits maraîchers et fruitiers ; 5 Considérant les multiples cours issus du fleuve (marigot, méandre, lagunes, cuvettes) : Ngalenka, Doué, Ndiorol, Dialagne, Laalaadje, le Diamel, le Baleeru, le Gayo, le Yedja, Yooli Nguéloba, entre autres ;

Considérant les infrastructures existantes et celles en cours de réalisation : route du Daandé Maayo, la Route Nationale 2, la Boucle de l’Ile à Morphile, le marché à bétail de Thillé Boubacar, le Centre de Groupage de Boubé, l’expérience des GIPA ; la route du Diéri Ndioum – Namarel – Linguère, les ponts de Weendou Bosséyaabé, Madina Ndiathbé, Ndioum, Ganguel Soulé, Guédé Village, entre autres ; Voudrions, respectueusement, suggérer de faire:

  1. tenir compte, dans le cadre du découpage programmé, du Fuuta (qui s’étend de Ndieurba à Demmancané et de Yoli à Demette sur la rive gauche) comme un pôle de développement à part entière nécessitant un plan d’industrialisation basé sur les ressources agricoles, pastorales et halieutiques, dans l’optique d’une conservation des noms des anciens royaumes ;
  2. tenir compte de la superposition des 6 zones agro-écologiques et des Zones de Moyens d’Existence déjà configurées au Sénégal en rajoutant le Fuuta comme Pôle de développement ;
  3. privilégier les activités agrosylvopastorales sur l’exploitation des minerais de phosphates qui causent des dégâts socio-environnementaux sous-estimés et une saignée des ressources vers l’extérieur ;
  4. renforcer le désenclavement et l’interconnexion des sous-zones de l’Ile à Morphile, de Hakkunde Maaje et du Diéri du Fuuta ;
  5. considérer les petites et moyennes villes du Fuuta au même titre que d’autres contrées du Sénégal ;
  6. mettre en place des aménagements structurants sur ce territoire : curage du fleuve, construction des berges, réinvention du transport fluvial, postes de transformation d’énergie, interconnexion numérique et infrastructurelle des sous zones, relèvement du plateau médical des hôpitaux existants, achèvement des travaux de l’Université Professeur Souleymane NIANG ;
  7. créer une liaison ferroviaire entre FUUTA – JOLOF – NDAKAARU ;
  8. créer une liaison ferroviaire entre FUUTA – ƁUNNDU – KAASAMAAS ;
  9. créer une liaison ferroviaire entre FUUTA –WAALO – NDAKAARU.

Excellence, Monsieur le Président de la République ;

Cette préoccupation de la COCIDEF est partagée par tous les Fuutaŋkooɓe (les Habitants du Fuuta, à savoir : des Fulɓe, des Soninkés, des Sérères, des Wolofs, des Maures, etc.), pour la raison majeure que le FUUTA dispose de tous les facteurs de production nécessaires ; support d’une véritable politique de souveraineté alimentaire, dans un esprit de cohésion nationale.

Pour le Comité Directeur de la COCIDEF et P.O

Le Coordonnateur Dr Bassirou NIANG

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L’avènement de l’inauguration du premier baril du pétrole et/ou du gaz pointe à l’horizon. Tout est fin prêt, selon les dernières informations distillées dans les cercles du pouvoir. Mais pour le Directeur général de Société nationale d’électricité, «la Senelec est prête pour l'arrivée du pétrole et du gaz». Papa Demba Biteye a fait cette déclaration en marge de la célébration de la fête internationale du Travail, une bonne occasion de revisiter les importantes réalisations de la société nationale avec les travailleurs qui ont, à leur tour, reconnu les efforts inlassables déployés par leur patron pour l’amélioration de leurs conditions de travail et de vie.

 

L’enthousiasme et la joie se lisaient sur le visage des travailleurs venus des différentes centrales syndicales pour les besoins de la fête qui leur est dédiée. Ils ont profité de ce moment important de communion avec leur patronat pour échanger et communiquer sur leur outil travail et les conditions sociales et professionnelles. C’est ainsi Abib Haidara, SG du Sutelec a reconnu : «les travailleurs saluent les performances et demandent une amélioration de leurs conditions de travail et de vie. Mais tout comme le DG, il a exhorté les travailleurs à la pérennisation des performances réussies ensemble sous la direction de Papa Demba Biteye. Le Dg, quant à lui, a mis l'accent sur les réalisations majeures, non sans magnifier le rôle du personnel, dans les résultats constants et positifs. Devant les travailleurs et les partenaires, Papa Demba Biteye s’est réjoui du soutien et l'accompagnement permanent de l'état, a également réaffirme sa disponibilité auprès du personnel afin de poursuivre l'objectif de fournir un service public de qualité. Avant de souhaiter une bonne fête à tous les travailleurs de Senelec pour ensemble maintenir la flamme de la lumière et de l’électricité très haute.

La fête du travail a été pour le directeur général de la Lonase de revenir sur les importantes réalisations qu’il a réussies à la tête de l’institution financière. Mieux, avec un chiffre d’affaires de 18 milliards brut, soit 12 milliards FCFA, Abdourakhmane Baldé Doura a cassé la baraque après seulement 7 mois de gestion. De quoi réjouir les travailleurs qui, à l’occasion de la fête du Travail qui leur est dédiée, sont revenus sur les acquis sociaux et leurs conditions de travail sensiblement améliorées.

 

«J e vous encourage à persévérer pour encore atteindre voire dépasser tous nos objectifs pour bâtir « Un groupe LONASE moderne, agile et performant à l’horizon 2028 » comme stipulé dans le PSD. L’augmentation généralisée du Salaire de base à hauteur de 15%. Le thème retenu cette année : « PAS DE DÉMOCRATIE SANS LES SYNDICATS) conforte ma posture d’homme de dialogue et de concertation qui s’ouvre à toutes les organisations syndicales, le personnel et les amicales afin qu’ensemble nous puissions explorer des pistes de solutions aux multiples revendications légitimes des travailleurs», a expliqué Doura Baldé. Selon lui, la fête du Travail donne l’occasion non seulement de partager des moments de bonheur avec tous les LONASIENS, mais également de m’adresser à chacun d’entre vous pour faire un bilan de la situation de l’entreprise. Je voudrais vous rappeler que nous avons élaboré un nouveau plan stratégique de développement (PSD) pour la période 2024-2028 adossé à un Contrat de Performance avec l’Etat du Sénégal pour 2024-2026».

 

Donc, il y a lieu de se féliciter de la réalité du management inclusif dans le cadre du dialogue social entre la direction générale et les organisations syndicales. Ce dispositif de concertation qui contribue significativement à la réussite des actions menées est bien le reflet de notre volonté commune de préserver l’image de marque de la LONASE.  Aussi voudrais-je saluer la forte contribution de tout le personnel à l’instauration d’un climat sain, apaisé et propice au travail, préalable à la poursuite et à la réalisation de nos ambitions. La stabilité que nous vivons au sein de notre entreprise a contribué à l’accroissement considérable de la performance de la société ce qui a facilité en partie la prise en charge des conditions des travailleurs et guide notre conduite qui ‘’PLACE L’HUMAIN AU CŒUR DE NOS ACTIONS’’».

 

Les espaces de dialogue déjà existants ont permis la mise en place des accords collectifs d’entreprise fortement appréciés et la tenue régulière des travaux de la commission paritaire : L’augmentation généralisée du sursalaire à hauteur de 50 000 FCFA ; la revalorisation de la prime de Prudence allouée aux chauffeurs à 100 000 FCFA par semestre ; une indemnité de fonction de 50 000 FCFA allouée aux Chefs d’agence Adjoint et la revalorisation de l’enveloppe du Car Plan pour les Cadres à hauteur de 2.000.000 FCFA en raison de la hausse des coûts des véhicules au niveau international ; la création d’un comité de recrutement quinquennal des prestataires.

https://youtu.be/NwTBM9vRUjM

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