Malal DIALLO Pithi
Ce que je crois ! « Tel est pris qui croyait prendre »
Pour ceux qui ont des yeux et une cervelle, l’amorce du changement systémique avec le nouveau Pouvoir au Sénégal a eu un effet positif auprès de la population.
Les choses sont claires. Il y a d’un côté les optimistes majoritaires, qui saluent les premières décisions courageuses de rupture, et il y a de l’autre côté minoritaire, les charlatans qui prédisent à l’aide d’une boule de cristal que l’échec est imminent.
Contentons-nous de compulser et de revisiter les premières séquences des actions de Monsieur Bassirou Diomaye Faye, Président de la République, après 80 jours d’exercice du Pouvoir.
- Il ne fait pas l’ombre d’un doute que la composition du Gouvernement a été faite d’une manière objective et équilibrée avec la nomination de personnes dont le profil sied parfaitement à la fonction.
Les ministères de Souveraineté que sont les Forces Armées, de l’Intérieur et de la Sécurité Publique et de la Justice ont été confiés à des dignitaires apolitiques expérimentés, rigoureux, et au passé glorieux.
- La politique diplomatique de proximité déployée dès l’installation du nouveau Pouvoir en se rendant chez les pays voisins est un signal fort de l’ancrage du Sénégal dans le panafricanisme.
Il ne fallait plus ostraciser les Etats voisins, mais plutôt travailler à leur réintégration dans toutes les instances sous régionales et de les inscrire à nouveau dans le concert des nations africaines en les laissant mener leurs réformes et leur politique.
- La situation foncière au Sénégal était devenue inextricable, alarmante, telle une pandémie dans toute l’étendue du territoire provoquant de graves litiges fonciers pouvant déboucher à la révolte des populations.
Il est donc heureux et salutaire que l’Etat central veuille désamorcer une bombe sociale qui allait fragiliser la cohésion nationale.
L’annulation du partage de ‘’Bouki’’ sur l’immense superficie de Mbour 4 à Thies et son affectation pour des projets immobiliers nationaux est une source de satisfaction générale.
Il en est de même sur les scandales de l’Aéroport Léopold Sédar Senghor, de la bande des filaos à Guédiawaye, sans oublier l’audit sur le bradage du patrimoine bâti de l’Etat.
- Dans des difficultés financières très aigues depuis des années, le monde paysan était dans une grande détresse, frisant l’agonie.
Grace à la diligence de l’Etat, la catastrophe a été évitée de justesse avec le paiement de plusieurs années d’arriéré de paiement. Avec ce geste fort, l’Etat a assumé sa responsabilité pour sauver la présente saison agricole.
- La Publication des rapports des corps de contrôle a révélé la très mauvaise gouvernance, liée à une corruption endémique qui a prévalu sur une très longue période au Sénégal.
Les sénégalais ont été abasourdis tant la prédation de nos maigres ressources ont été spoliées et saccagées.
Il y a eu tellement d’orgies financières que le ressort social de confiance entre l’ancien Pouvoir et le peuple s’est cassé pour aboutir à ce fort sentiment de rejet envers la classe politique traditionnelle.
- La tenue du Dialogue National, consacré aux Assises sur la Réforme et la Modernisation de la Justice va permettre à l’amélioration du système judiciaire sénégalais, qui depuis quelques années a été chahuté, mettant en mal notre modèle démocratique.
Certainement, les Conclusions de ce dialogue sociétal réconcilieront les sénégalais avec leur Justice.
- Les récentes actions citoyennes avec le Set-Setal ont été massivement suivies par les populations qui veulent un meilleur Cadre de vie, démontrant ainsi son adhésion totale à tout appel patriotique des Autorités étatiques.
C’est une relation fusionnelle que l’Etat doit susciter auprès de cette merveilleuse jeunesse, enthousiaste et engagée dans la voie du redressement national.
Et l’Etat doit veiller avec vigilance à ce que ne s’installe pas un Casus Belli entre les différentes générations pour une bonne et sereine transmission du bâtonnet ‘’témoin’’.
- L’allégement remarquable et remarqué du dispositif de sécurité à Dakar a été bien apprécié par les populations qui ont été traumatisées durant des années par la présence intempestive et envahissante des Forces de Sécurité et de Défense.
L’Etat vendait de la peur aux citoyens sénégalais qui se retrouvaient dans un environnement délétère et angoissant.
Nous assistons aussi aujourd’hui à une gestion frugale de l’Etat, avec une sobriété protocolaire aux déplacements de Monsieur le Président de la République et des membres du Gouvernement.
- Les différentes mesures prises par le Gouvernement pour l’acheminement des pèlerins à la Mecque, et le déplacement des sénégalais dans les régions à l’occasion de la Tabaski ont été positivement appréciées par les populations, ainsi que la gestion de l’approvisionnement du marché en moutons et denrées.
- La nouvelle et grande volonté de l’Etat pour une transparence dans la gestion de nos ressources naturelles avec l’envoi d’une forte délégation ministérielle dans la région aurifère de Kédougou donne de l’espérance aux populations pour un avenir meilleur.
- L’engagement solennel de Monsieur le Président de la République Bassirou Diomaye Faye avec le démarrage de la production pétrolière de Sangomar a amplifié la croyance que le Sénégal est entré dans une nouvelle ère de croissance et de développement.
- La décision salutaire de revisiter les contrats et conventions défavorables au Sénégal est à magnifier à plus d’un titre.
Elle permettra de rétablir une équité dans le partage des richesses produites à partir de nos ressources naturelles.
Pour dire, nos ressources halieutiques, nos phosphates, notre or, notre pétrole, notre gaz, notre zircon, notre lithium et autres doivent servir d’avantage au peuple qui en est le dépositaire et propriétaire.
Dans un post sur la page Facebook de la Convention des Dakarois du 23 Mai 2023, nous écrivions :
« Il nous semble aussi important que l’Etat du Sénégal doit avoir une plus grande confiance et empathie envers son secteur privé.
Il y a un complexe et une immortalité manifeste dans l’attribution de certains marchés de travaux d’envergure aux entreprises étrangères, alors que l’expertise et les ressources humaines qualifiées ne font pas défaut au Sénégal.
Le secteur privé sénégalais est outillé pour exécuter toute ingénierie technique et financière. Il y a de l’entregent, disposant d’un portefeuille relationnel important à travers le monde pour trouver des partenaires techniques et financiers de références.
Malheureusement l’Etat n’est pas à leur écoute, préférant traiter et négocier dans de lugubres officines avec ceux
Qui ont été initiés et informés des projets. Ces délits d’initiés font le lit de la corruption, de la concussion et de la surfacturation.
Dans tous les pays réellement souverains, il existe une discrimination positive pour protéger et appuyer son secteur privé. »
Comment comprendre qu’un simple aménagement de la Corniche Ouest de Dakar soit confié à une entreprise étrangère, alors que le Sénégal regorge d’architectes paysagers et d’environnementalistes ?
L’Etat doit comprendre que la pauvreté ne se partage pas et qu’il doit créer des richesses qui bénéficieraient à la Nation sénégalaise par l’augmentation du pouvoir d’achat. L’Etat doit libérer les immenses énergies novatrices des jeunes sénégalais dont le génie et le talent sont reconnus.
Le renouveau économique du Sénégal, passera indubitablement par l’endogénisation d’une agriculture performante, adossée à une industrie de transformation et de valorisation des produits.
Comment comprendre que le Sénégal, gros producteur d’arachide, n’arrive pas à produire de l’huile d’arachide, malgré ses différentes unités industrielles qu’il faut simplement réhabiliter (SONACOS) ?
Comment comprendre qu’il n’existe pas au Sénégal une tannerie pour la transformation des peaux et cuirs, alors que nous en produisons énormément avec les fêtes religieuses (Tabaski, Magal, Gamou, etc) ?
D’autres exemples peuvent être cités à volonté, tant le potentiel est énorme.
C’est ce paradoxe à inverser qu’il faut saluer le narratif de la vision du Gouvernement qui s’adosse sur une endogénisation intégrale du secteur tertiaire, à savoir l’Agriculture, l’Elevage et la Pêche, sans oublier l’Artisanat.
L’Etat, désormais sous la férule des nouvelles Autorités, devra faire preuve de ténacité et de fermeté.
Face aux groupes d’intérêt, au poids des habitudes et des droits acquis, il faut un réel courage politique pour réformer en profondeur.
Le Gouvernement du Sénégal doit poursuivre et intensifier ses efforts avec détermination pour engager des initiatives audacieuses et visionnaires qui inviteraient la jeunesse sénégalaise, porte étendard de la Nation, à s’approprier le PROJET.
Pour l’Agriculture, la mère des batailles, il s’agira d’avoir une stratégie pertinente en concentrant les moyens sur les filières prioritaires (riz, maïs, mil, arachide), et résoudre enfin la problématique de la conservation des produits horticoles en cas d’abondance de production.
Ce n’est pas le moment de nous divertir sur une production de blé au Sénégal, même si c’est possible.
Renforçons et développons d’abord les filières porteuses pour le rééquilibrage de notre balance de paiement, et encourageons les sénégalais à consommer du pain fait de blé et de mil.
C’est de la redondance que de le souligner.
Tous les leviers sont en place, il suffit de la volonté pour les actionner fermement.
Dans tous les domaines, le secteur privé national est en mesure de proposer un accompagnement complet qui inclut la phase amont (conception, études, financements, et exécutions).
Les Autorités sénégalaises doivent relever le défi de construire la confiance avec le secteur privé national qui doit être le moteur de la croissance, créatrice de richesses.
Certes, depuis son installation, le Gouvernement fonctionne avec des pare-feu car les urgences surgissent de partout, en prenant en compte la grande impatience des populations.
Néanmoins, il faut de la prospective et de la réactivité quand se présente des opportunités pour asseoir les bases des réformes économiques.
Avec toute la bonne volonté du Gouvernement, le Sénégal ne se développera pas sans une approche inclusive de tous ses fils.
Dans quelques années, un rendez-vous sera très attendu pour évaluer concrètement la tenue des engagements pris par le couple Diomaye-Sonko.
Il y sera moins de questions de promesses que de constats.
Babacar Louis Camara
Président de la Convention des Dakarois
Avec la pose de la 1ère Pierre du Complexe Socio-Culturel Keur Serigne TOUBA
Un pan de l’histoire va être revivifié à Bargny
Samedi 29 Juin 2024. Une date historique dans le calendrier de la Communauté Musulmane Mouride de Bargny.
En effet, la localité de Bargny s’apprête à vivre un de ses plus grands jours.
Avec l’avènement de la pose de 1ère Pierre du Complexe Socio-Culturel Keur Serigne Touba en présence de Serigne Bassirou Mbacké Ibn Serigne Abdou Khadr, Porte-Parole du Khalif Général des Mourides,
La Communauté Musulmane Mouride de Bargny va rappeler les nombreux passages de Serigne Touba Khadimou Rassol dans la localité.
C’est ici même à Bargny Ngoud au quartier Bayé chez le Grand Moufti Mme Thierno Yoro NDIAYE, que venait Le Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké, rendre visite à son Grand frère Mame Mor Diarra.
Mame Mor Diarra Mbacké avait été un des disciples du Grand Moufti.
Donc ce n’est pas un hasard si la Communauté Musulmane Mouride de Bargny décide donc de matérialiser un des souhaits si chers aux différents hommes religieux venus de tous les coins du pays apprendre les percepts islamiques chez le Guide Emérite, à coté de Mame Mor Diarra pendant une huitaine d’années.
Entre Touba et Bargny, c’est une longue histoire de fraternité et de mysticisme.
D’ailleurs c’est la raison pour laquelle le Khalif Général des Mourides Serigne Mountakha Bassirou a ordonné avant tout, la construction de la Mosquée avant de s’attaquer aux autres volets du Complexe dont la Résidence Khadimou Rassoul , son Annexe, et le Daara Moderne
La Communauté Musulmane Mouride de Bargny lance un Appel à toutes les sénégalaises, à tous les sénégalais, particulièrement aux Bargnois-ses de la diaspora mondiale pour qu’-ils-elles apportent leur contribution à ce grand édifice qui va sortir de terre.
Le Complexe a été cédé à la Communauté Musulmane Mouride de Bargny représenté par Serigne Mbacké SECK représentant le Khalif Général des mourides à Bargny. Le complexe sera érigé sur le titre Foncier 549/R appartenant à l’Etat du Sénégal.
A noter que la maquette du complexe socio culturel a été réalisé par Style Architect de Mme CISSE Fatoumata Fall sa Présidente Directrice Générale.
Le Complexe est au Cout Total d’un Milliard Trois Millions Quatre Cents Mille Francs CFA (1 003 400 000 FCFA) dont 400 Millions pour la Grande Mosquée….
Cheikh Fadel WADE
Petit Fils du Grand Moufti Thierno Yoro NDIAYE
Disciple de CHEIKH AHMADOU BAMBA
MAUVAISE NOUVELLE POUR LES CONSOMMATEURS: LES MEUNIERS REFUSENT UN SUICIDE COLLECTIF ET ANNON TTCCENT UNE GRÈVE À COMPTER DE CE LUNDI.
La baisse du prix de la baguette de pain annoncée par les autorités sénégalaises risque de ne pas être effective comme prévue ce lundi.
Si l’on en croit l’Association des Meuniers Industriels du Sénégal (AMIS), le coût moyen du blé qui est en hausse constante ne permet pas d’apporter une réponse basée sur la baisse de l’essentiel des facteurs de production de farine.
« C’est donc avec regret que nous vous annonçons que l’Association des Meuniers Industriels du Sénégal engage ses 7 membres dans une mesure de retrait. Les Meuniers ne peuvent s’engager dans un dispositif de vente à perte et déclare officiellement un arrêt provisoire de production », informe le président Claude Demba DIOP dans un communiqué transmis à la rédaction de Dakarmedias.
Refusant d’engager toute une filière à la dérive, « Il est décidé, à compter de ce lundi 24 juin 2024 un arrêt périodique et collectif de production permettant de ralentir le niveau des pertes induites quotidiennement, ce jusqu’à ce qu’une réponse assurant la survie des meuniers soit apportée », précise-t-il.
Voici le communiqué in extenso
COMMUNIQUÉ DE L’ASSOCIATION DES MEUNIERS INDUSTRIELS DU SENEGAL
Dakar, le 23 juin 2024
Mesdames et Messieurs,
En 2021, vous aviez suivi les difficultés connues par l’industrie meunière sénégalaise. Une situation dont la gravité avait mobilisé tous les acteurs de la filière dans la recherche de solutions.
Comme tous les sénégalais, les Meuniers ont pris connaissance de la décision de l’État résultant du Conseil National de la Consommation du 21 juin 2024, de baisser le prix de la farine boulangère de 19 200 FCFA à 15 200 FCFA soit une réduction de 4000 FCFA.
Cette mesure intervient au moment où le coût moyen du blé est en hausse constante et dépasse 300 euros. Cette réalité ne permet pas d’apporter une réponse basée sur la baisse de l’essentiel des facteurs de production de farine. Les travaux menés en réunion technique avec les services de l’État ont permis de relever que larenonciation aux droits de douanes et taxes sur la valeur ajoutée (TVA) représenterait 1355 FCFA sur le prix du sac.
Dans ces conditions le financement de l’écart de 2645 FCFA sur le prix de la farine demeure incertain pour les entreprises meunières et pour l’ensemble des acteurs de la filière. La baisse de 4000 FCFA n’est pas financée à ce jour.
C’est donc avec regret que nous vous annonçons que l’Association des Meuniers Industriels du Sénégal engage ses 7 membres dans une mesure de retrait. Les Meuniers ne peuvent s’engager dans un dispositif de vente à perte et déclare officiellement un arrêt provisoire de production.Nous rappelons que l’article 30 de la loi du N°94-63 du 22 août 1994 (sur les prix, la concurrence et le contentieux économique) nous interdit formellement de vendre à perte.
Actuellement, la hausse continue des prix du blé est ignorée par les autorités. L’AMIS a alerté le Ministère de l’Industrie et du Commerce, sur les effets d’une mesure hâtive au regard des stocks de blé déjà dans le circuit de production et des volumes farines en vente dans les réseaux de distributeurs. Mais malgré ces alertes sur l’impréparation du secteur, le prix de revient de la farine annoncé au sortir du Conseil National de la Concurrence est bien en-dessous du prix de vente réel, et la date d’entrée en vigueur est un coup porté à l’activité des parties prenantes.De sorte que chaque sac de farine boulangère livré depuis les unités de production constitue une infraction manifeste à la loi sénégalaise en plus d’amplifier les pertes des entreprises productrices.
L’application des prix annoncés oblige indirectement les meuniers à subventionner le prix du pain. Une situation qui mènera inéluctablement les 7 entreprises vers une faillite programmée et collective.
Les Meuniers rappellent leurs attentes d’éclaircissements sur les 4 points qui suivent :Le régime de compensation de la baisse est flou. La prise en charge intégrale des 2645 FCFA restante de compensation sur le prix du sac de farine boulangère est sans réponse à ce jour. Il est nécessaire d’identifier la partie qui finance et d’en savoir sur les modalités de paiement.
Le régime de renonciation sur les droits de douane et la TVA, ainsi que la date d’entrée en vigueur manquent de clarté. Il est essentiel de clarifier les modalités de prise en compte des stocks de blé déjà taxés en attente chez les Meuniers du fait de la révision de prix sur décision unilatérale de l’État.
Le régime de compensation des volumes en vente chez les distributeurs et grossistes de farine boulangère est méconnu. Pourtant ces acteurs de la filière sont contraints eux aussi de vendre à perte.
Le régime de prix applicable en région et Dakar tenant compte du transport fait défaut. De sorte que toute la filière s’expose à des sanctions à la date d’entrée en vigueur annoncée.
Nous rappelons que les Meuniers Industriels sont des entrepreneurs consciencieux, des acteurs économiques responsables et des défenseurs indéfectibles de la production locale.
C’est en cela que l’AMIS s’adresse à tous les partenaires économiques et gouvernementaux pour la préservation d’une production industrielle vitale pour tous.
Il est décidé, à compter de ce lundi 24 juin 2024 un arrêt périodique et collectif de production permettant de ralentir le niveau des pertes induites quotidiennement, ce jusqu’à ce qu’une réponse assurant la survie des meuniers soit apportée.
Par ce procédé nous faisons nôtres, les préoccupations de l’ensemble des acteurs de la filière face aux incertitudes persistantes concernant la baisse des prix.
Par ce procédé, nous ralentissons le chômage technique, inéluctable dans les prochaines semaines au regard des enjeux de sauvegarde de l’emploi préalable aux options de licenciement économique.
Par cette démarche responsable et citoyenne nous exhortons les autorités gouvernementales à veiller à la stabilité du marché dans l’intérêt de la filière et à relancer le dialogue nécessaire et salutaire. La filière est au bord d’une crise sans précédent et joue sa survie.
Les mesures que nous venons d’annoncer ont vocation à être reconduite à l’initiative des Meuniers Industriels du Sénégal tant qu’une réponse définitive n’est pas trouvée.
Nous restons convaincu que seule une industrie forte et dynamique peut apporter du développement, de l’emploi et des recettes fiscales nécessaires au devenir du Sénégal.
Les Meuniers Industriels du Sénégal remercient l’ensemble des collaborateurs, acteurs économiques et partenaires sociaux pour les messages d’encouragement et de solidarité reçus.
Les Meuniers ne peuvent engager toute la filière à la dérive !!!
Claude Demba DIOP
Président AMIS
Social: La Présidente du CF de la FSAPH s'insurge contre Maimouna Dièye et interpelle PR Diomaye
Pour un gouvernement dit de rupture, une grosse bévue a été relevée du côté du ministère de la Famille et des solidarités. La répartition et les opérations d'octroi et de distribution des aides pour la Tabaski à l'endroit des personnes indigentes et aux vrais ayant-droits ne se sont pas déroulées de manière juste. La dénonciation est venue du côté de la présidente du Comité des femmes de la fédération sénégalaise des associations des personnes vivant avec un handicap, Mme Khady Ba. ''Le mécontentement est généralisé au niveau de cette grande structure zappée et marginalisée de manière surprenante et incompréhensible. Alors que tous les critères et toutes les formalités ont été remplis et satisfaits conformément aux exigences requises par la Direction du ministère de la Famille et des solidarités''.
La Présidente Mme Khady Ba a en outre révélé que le Ministère les a mis dans une situation inconfortable en leur disant ne pouvoir satisfaire que 20 demandes d'assistance, alors que leur entité fait au moins 28 associations''. Mais au finish, aucune n'a été satisfaite, ce qui a plongé les membres de ladite entité des personnes vivant avec un handicap dans une déception totale. La Présidente Khady Ba fait savoir que les membres de sa structure continuent de venir aux nouvelles, alors qu'ils sont victimes d'un forfait et d'une marginalisation qui ne s'explique pas.
Ils ont fait remarquer que leur surprise a été plus grande qu'ils ont appris que même des personnes valides du département de Guédiawaye ont bénéficié des aides devant l'amertume d'autres compatriotes non seulement vivant avec un handicap, mais, aussi vulnérables au plan social.
Saisissant cette opportunité, la Présidente Khady Ba a exigé que le tir soit rectifié par la ministre Marietou Dieye elle-même, mais celle reconnue pour son engagement en faveur de ses compatriotes démunis. Elle a aussi directement interpellé le Président de la République Bassirou Diomaye Faye pour reconduire en leur faveur le poste de conseiller dans le Cabinet présidentiel, comme
du temps de l'ancien régime du Président Macky Sall. Cela aiderait a une meilleure prise en charge des personnes vivant avec un handicap qui représentent plus de 15 pour cent de la population sénégalaise.
Mohamed Al Amine Thioune
Djbril War: (Ba Diakhaté Imame Ndao et Doro Geuye se portent bien)
J’ai été voir bah Diakhate, imam cheikh Tidiane Ndao et Doro Gueye. Ils se portent bien et vivent l’épreuve dans la foi et la dignité. S’agissant de Doro, les propos qui lui ont été prêtés de se de décharger sur le Président Macky Sall sont purs affabulations et mensonges. Doro revendique plus que jamais son amitié, sa loyauté au Président Macky Sall . C’est en toute bonne foi qu’il avait conclu avec le plaignant . Son avocat me Souleymane ndiaye est confiant . Doro ne mérite pas de telles attitudes lâches, lui qui s’est toujours consacré à ses compatriotes . La preuve la maison d’arrêt où il séjourne présentement a été rénovée par lui entièrement et de manière anonyme et fait preuve de générosité en l’endroit des couches défavorisées en bœufs et moutons denrées alimentaires. Prions pour ces personnes. Me Djibril War
Législatives françaises : Bruno Fuchs reçoit le soutien de monsieur Édouard Philippe
Bruno Fuchs est incontestablement le candidat idéal pour représenter les Français à l'Assemblée nationale. Il vient de recevoir le soutien de l'ancien Premier ministre, monsieur Édouard Philippe, ce qui renforce encore sa crédibilité en tant que défenseur des intérêts de ses compatriotes.
Un Soutien de Poids : Le soutien d'Édouard Philippe à Bruno Fuchs n'est pas anodin. Ce geste montre la confiance placée en lui pour mener à bien les projets et défendre les valeurs des Français au Parlement. Lors de son précédent mandat, avant la dissolution de l'Assemblée nationale, Bruno Fuchs a su représenter dignement sa région ainsi que l'ensemble de la population française. Bruno Fuchs est reconnu pour ses actions en faveur de la paix, de la stabilité sociale, et du renforcement des relations entre la France et l'Afrique. Son bilan parle de lui-même, et ses initiatives sont largement appréciées tant en France qu'à l'international. C’est pourquoi de nombreuses figures influentes se mobilisent pour soutenir sa candidature aux législatives. Une Candidature Plébiscitée. Le profil de Bruno Fuchs attire un large soutien, non seulement en France, mais aussi en Afrique et ailleurs. Sa campagne électorale, en pleine effervescence, reçoit des validations de plusieurs personnalités éminentes. Pour les électeurs français, l’heure est venue de faire un choix décisif et de réélire Bruno Fuchs, un candidat porteur d’espoir et d’innovation pour l’avenir du pays.
M.T
Binta Sy : Une Militante Déterminée pour le Développement de l’Afrique
Binta Sy, résidente en France depuis plusieurs années, déclare : « Nous sommes en train de travailler pour que l'Afrique bouge et aider Bruno Fuchs, c’est aider le continent ».
Parcours de Binta : Dame de fer et très influente, Binta Sy œuvre sans relâche pour le développement de l’Afrique. S'engageant en politique dès son jeune âge, elle a joué un rôle crucial dans l’apaisement de la crise qui a frappé la Mauritanie avant l'accession de l’actuel président. Binta nous parle de son parcours, de ses relations avec Bruno Fuchs et de la situation France-Afrique. Très engagée pour la cause africaine, Binta Sy vit en France depuis plusieurs années. Née en 1977 à Kaédi, elle détient une maîtrise en comptabilité de gestion. Après avoir obtenu son baccalauréat au Congo Brazzaville, elle a poursuivi ses études secondaires au Sénégal. Elle entame sa carrière politique à l'âge de 23 ans en tant que directrice de campagne d’Ely Mohamed Ould El Val au Sénégal et en Gambie lors des élections présidentielles de la République Islamique de Mauritanie.
Contribution à la Paix en Mauritanie
Binta a brillamment géré les tensions lors des évènements de 1989, soulignant la présence de nombreux Mauritaniens au Sénégal suite à ces événements. Elle a travaillé avec les autorités mauritaniennes et Jean Ping, alors président de l'Union Africaine, pour apaiser la situation après le coup d'État à Nouakchott. Grâce à ses efforts, les accords de Dakar ont été signés, même si son rôle n'a pas été officiellement reconnu.
Vision pour le Développement Africain
Binta Sy défend le concept de France-Afrique basé sur un partenariat gagnant-gagnant plutôt que sur l'aide. Elle croit fermement en la capacité des Africains à ne pas dépendre de l'Occident, citant l’exemple de la Mauritanie, riche en ressources naturelles. Elle appelle à une autosuffisance alimentaire et à la valorisation des ressources locales. Concernant l’émigration, Binta souligne que les enfants d’Africains en France bénéficient de l'éducation gratuite et de diverses aides, contrairement à l'Afrique. Elle met en lumière les avantages de vivre en France pour les Africains, tout en appelant à une plus grande sensibilisation et un soutien aux migrants.
Soutien à Bruno Fuchs
Binta Sy exprime son soutien à Bruno Fuchs, le décrivant comme un homme intègre et respectueux de tous, indépendamment de leur origine. Elle considère que soutenir Bruno Fuchs est bénéfique pour le développement de l'Afrique, en raison de son amour pour le continent et de son engagement à le voir prospérer. Binta Sy continue de se battre pour les causes africaines avec détermination, espérant sensibiliser et mobiliser la diaspora africaine pour un avenir meilleur.
Législature française : Bruno Fuchs annonce sa candidature pour tous
Bruno Fuchs vient d’annoncer sa candidature suite à la dissolution de l’Assemblée nationale française. Il compte non seulement représenter sa région, mais aussi défendre les intérêts du peuple africain au sein de l’hémicycle pour cette sixième législature. Bruno Fuchs est un député engagé pour l’intérêt général, comme en témoignent ses nombreuses initiatives à travers l’Afrique et ailleurs.
Force est de constater que Bruno Fuchs est membre du groupe parlementaire du Mouvement des démocrates (Modem). Il siège à la commission des Affaires étrangères et a également été membre de la commission des Affaires culturelles et de l’Éducation. Il s’est toujours engagé pour le renforcement de la francophonie et occupe le poste de vice-président de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie. Sur sa page Twitter, Bruno Fuchs a annoncé le lancement de sa campagne pour continuer à représenter la sixième circonscription du Haut-Rhin à l’Assemblée nationale. « Il nous faut construire une offre stratégique plus claire avec l’Afrique », martèle Binta Sy, l’une de ses collaboratrices.
Relations Franco-Africaines
Bruno Fuchs, député du Haut-Rhin et membre de la commission des Affaires étrangères, joue un rôle clé dans les relations franco-africaines. En tant que délégué général de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie, il promeut activement la coopération entre la France et les pays africains. Promotion de la Jeunesse et des Valeurs Démocratiques. Bruno Fuchs souligne l’importance de la jeunesse africaine dans la construction d’un avenir meilleur pour le continent. Il encourage la mise en place de programmes favorisant l’éducation, l’entrepreneuriat et l’emploi des jeunes. Il met également l’accent sur la promotion de la démocratie, des droits de l’homme et de l’État de droit en Afrique.
Appel à une Coopération Renouvelée
Bruno Fuchs appelle à une coopération renouvelée et renforcée entre la France et l’Afrique. Il insiste sur la nécessité de construire une offre stratégique plus claire, adaptée aux besoins et aux spécificités de chaque pays africain. Il considère que la coopération économique, la promotion de la jeunesse et des valeurs démocratiques sont les piliers d’une relation fructueuse et équilibrée entre la France et l’Afrique. Lors de son séjour au Bénin, où il a été reçu en audience, Bruno Fuchs a déclaré : « Nous avons un espace
francophone aujourd’hui qui est concurrencé par les Chinois, les Russes, les Anglo-Saxons. Cet espace a des valeurs auxquelles nous croyons. Il s'agit de voir comment le Bénin peut jouer un rôle plus important dans les instances de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie. Je suis très satisfait de cette audience, car nous avons défini une stratégie et une ligne d’action pour les mois et les années à venir ».
Importance de l'Afrique
Ces déclarations montrent que Bruno Fuchs accorde une grande importance à l’Afrique, ce qu’il démontre également par ses interventions à l’Assemblée nationale française. Un rapport des Nations Unies a notifié que « l’Afrique est notre avenir ». Selon Bruno Fuchs, « ce constat semble toujours d’actualité pour quiconque accepte de se départir de certaines idées reçues sur le continent africain et de la vision misérabiliste qui a longtemps été posée sur lui. L’Afrique est le sujet n°1 de l’Europe pour les 50 ans à venir, et les Africains constitueront le plus grand groupe de personnes en âge d’activité maximale au monde, c’est-à-dire entre 24 et 54 ans. L’Afrique est notre avenir ». Bruno Fuchs, actuellement en campagne, se présente comme le candidat des Africains tout en représentant sa région au niveau de l’Assemblée nationale française. Il est reconnu à travers le monde pour ses actions en faveur de l’apaisement des conflits. Parmi ses collaboratrices les plus illustres, Binta Sy joue un rôle important sur le volet social et l’accompagne dans ses œuvres politiques.
Y7.D
Cheikh Ahmadou Bamba rapporte dans ses écrits sur l'injustice et les dangers de la fonction de Cadi (JUGE ou MAGISTRAT) par Mounirou Sarr
قصةزمانناامسوالصوصا
عمومافيالحقيقةلاخصوصا
« Les juges de notre époque sont tous devenus des brigands dans leur ensemble et non pas individuellement... »
Quant au fait d’être cadi, il suffit d’évoquer le poème que l’un d’eux dit à ce sujet : « Médites sur le Jour du Jugement (dernier) et de la Décision, et édifie-toi, lorsque Dieu ressemblera les créatures une à une »
Souviens-toi d’un hadith dont les rapporteurs sont véridiques, concernant la fonction du cadi et refugie-toi en Dieu, car qui s’y réfugie est sauvé :
« Abandonne la fonction de cadi, ô malheureux ! Ne t -y engage jamais, même si on te donnait pour fief ( en contre partie) Egypte et Bagdad ».Si on me demandait qui est le plus sot de tous les hommes, je montrerais le cadi en disant : « C’est celui-ci ».
Mais cela concerne seulement le cadi injuste. Quant à celui qui est juste comme Omar Bén Abdel-Aziz, son exercice est parmi les meilleures formes d’adoration, quand bien même il serait un cas assez rare.
La plupart des cadis de notre époque ressemblent au cadi de Sodome qui est bien connu.
On rapporte parmi les exemples de son injustice ( le Cadi de Sodome) , qu’un homme en compagnie de sa femme ( ensceinte) , sur un âne, passe à côté d’une assemblée d’hommes. Ceux-ci frappent l’âne, coupent ses deux oreilles et sa queue.
L’âne, sentant vivement la douleur, se débat, saute et désarçonne la femme qui rejette son fœtus. Ils comparaissent tous devant le tribunal de Sodome. Le cadi décrète que l’homme leur donne sa femme pour qu’ils aient des rapports (sexuels) avec elle ; et ainsi, quand elle sera enceinte à nouveau, ils la rendront à son époux ; Ensuite qu’il leur donne également l’âne qu’ils utiliserons à leurs propres services jusqu’à ce que sa queue et ses oreilles renaissent, pour que son âne lui soit rendu.
On rapporte que l’homme a prié (Dieu) en invoquant le malheur sur eux et la terre les engloutis, et personne parmi les habitants de Sodome n’a survécu.
Extrait du recueil Silkoul Jawahir
Mounirou Sarr
Militant de la Révolution Pacifique
Conseiller municipal à la comme de Grand-yoff
Communiqué de Presse du Mardi 18 juin 2024 :
La cellule de communication se désole de la tentative du site Sanslimites à vouloir mettre en mal le Guide Cheikh Ahmadou Kara Mbacké avec le leader de Gueum sa Boppu Mr Bougane Geuye. En effet ceci fait suite à la sortie de ce dernier qui semblerait dans ses propos de la matinée, s'attaquer au Premier Ministre Ousmane Sonko sans toutefois le citer.
Ainsi Ce site a délibérément titré dans une vidéo du Guide reprise sans notre avale : " Don sathe moma gueunal don fén kat " Kara corrige Bougane " Na rafet njort te tey ci Sonko ak Diomay ".
Dans l'après-midi de la Tabaski le Guide Cheikh Ahmadou Kara Mbacké dans sa traditionnelle allocution envers les Sénégalais a délivré un message dans lequel comme à l'accoutumé, a appelé au calme et surtout à beaucoup compréhension et de solidarité à l'endroit des nouveaux dirigeants qui viennent juste d'être élu. Un message délivré à l'endroit de tous les sénégalais mais nullement un droit de réponse personnelle ou à contre pieds de Bougane dont le Guide n'était même pas informé des propres de ce dernier.
Le Général de Bamba est un cas d'école du leadership Positif et pacifique. Il ne répond ni aux invectives ni aux calomnies de ses détracteurs. Tout au contraire en humaniste, il prie pour eux et leur prodigue des conseils. Au-delà de son statut de Guide religieux, il est certes un leader politique mais ne s'est jamais aventuré dans l'adversité nocive des acteurs politiques et ceci autant pour les tenants du pouvoir que ceux de l'opposition. Sa feuille de route reste limpide : la bonne intention, la bonne parole et la bonne action. Il est constant dans sa démarche et ses ambitions politiques restent intactes : vulgariser le projet de société inédit de Cheikh Ahmadou Bamba.
À la direction de ce site nous rappelons que Cheikh Ahmadou Kara est un révolutionnaire qui n'a jamais été dans la partisannerie opportuniste mais dans la quête perpétuelle de la Vérité.
Ne lui cherchez pas d'ennemis ni de partie prise. Son parti est Hizbul Haqq.
KARA a un objectif clair, connu de tous les gens doués de raison. Il est juste très patient.
Le Général de Bamba a été courtois avec les Présidents Diouf, Wade, Sall et pourquoi n'en ferait-il pas autant pour ce nouveau jeune régime dont il appelle affectueusement "ses neveux" dans la vidéo.
Toute création à un début et une fin. Seul Dieu est Sans-limites. Revoyez votre titre !!!
La cellule de communication