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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

L’expert sénégalais Bachir Dramé a fait et réussi un excellent exposé sur les investissements pétroliers en Afrique. Du haut de la tribune pour cette conférence internationale sur le pétrole en terre Marocaine, et devant d’éminents experts des ressources minières et minéralières, le Directeur de la Communication et des Relations Publiques à Petrosen a pris en référence le cas du Sénégal nouvel Eldorado, suite aux nombreuses découvertes de pétrole et de gaz. L’expert sénégalais a fièrement démontré comment le modèle sénégalais sur l'exploitation du pétrole et du gaz, ainsi que sur les innovations majeures apportées par le Président Macky Sall, peut être cité en exemple dans un secteur aussi névralgique et qui ne concernait que seules quelques grandes puissances économiques du monde. Dans un style pédagogique qui lui est particulier, M. Dramé a surtout insisté sur le contenu local et sur la bonne gouvernance, des concepts que le Sénégal sous le Président Macky Sall a fini de promouvoir et qu’il convient de montrer désormais à la face du monde. A la fin de sa présentation, et devant un parterre de professionnels, du secrétaire général de l’OPEP, du ministre koweïtien du pétrole, du ministre marocain de l'énergie, un vibrant hommage lui a été rendu par les organisateurs qui lui ont remercié de par sa maîtrise des questions pétrolières. Et face à la presse spécialisée, le sénégalais Bachir Dramé est revenu sur l'exception sénégalaise dans l'exploitation du pétrole et du Gaz grâce au Président Macky Sall. Il s'est dit fier de noter que le Sénégal est très bien apprécié par les investisseurs internationaux.            Youssouf NDIONGUE

Le Conseil de surveillance de l'ASPIT s'est réuni ce matin 23/01/20 en Session Ordinaire sous la Conduite de son Président. Monsieur Makhtar DIA, en sa qualité de Directeur Général de ladite structure, est invité par les Administrateurs à examiner entre autres points, la gestion  de 2019 mais également le projet de Buget 2020, le Plan Stratégique de Développement 2020-2024, le Projet d'activités 2020 et la coopération Internationale, Tous les points inscrits à l'ordre du jour ont été adoptés à l'unanimité avec motion de félicitations à l'endroit du DG et son Équipe pour les nombreux résultats positifs obtenus, le Conseil se félicite également des récentes dispositions prises par le Gouvernement et les partenaires et renouvelle son plaidoyer dans ce sens pour l'augmentation du Budget qu'il juge très faible au vu des nombreux défis et missions assignées à la Structure , le Conseil souhaite, pour l'ASPIT, un budget de trois (3) milliards conformément à son niveau de catégorie et sa position stratégique au plan National et International en vue de maintenir et renforcer le Cap afin de respecter tous les engagements pris dans le Contrat de Performance signé entre l''Etat et l'ASPIT

 

Un bus malien tombe avec 300 kilogrammes de chanvre indien

300 Kilogrammes de chanvre indien ont été saisis hier à la Gare interurbaine des baux maraîchers de Pikine dans un bus immatriculé BG 3315 MD en provenance du Mali et apparentant à la société Diallo transport. C’est un agent en civil au niveau du Commissariat de Pikine qui aurait sommé au véhicule de s’arrêter pour un contrôle de routine. Il découvre par la suite qu’il y avait 129 paquets de kilogrammes de chanvre indien qui étaient conditionnés. Par la suite, l’agent de Police a fait signe à ses camarades pour venir lui prêter main forte. C’est en ce moment précis que choisit le conducteur du bus pour prendre la clé des champs en laissant ses 02 apprentis-chauffeurs sur place. Une conduite du bus au niveau du Commissariat de Pikine a permis également la découverte de 21 autres paquets de 02 kilogrammes chacun. Toute la drogue estimée à 300 kilogrammes a été saisie. Les 02 apprentis chauffeurs sont également gardés à vue pour les besoins de l’enquête ouverte par la Police de Pïkine.

Les initiatives politiques prises par Moustapha Diakhaté, sous le double rapport d’une entreprise de décrédibilisation du Président Macky Sall et d’une implosion de l’APR, constituent, au regard du contexte politique ambiant, un défi majeur à relever, expressément et de la meilleure des manières.   Dans les conditions où l’alliance nouée entre l’Opposition et la médiasphère imbibe négativement, les imaginaires citoyens, prendre en charge ce défi devient une exigeante urgence.

Comment traiter le « cas Moustapha Diakhaté » ? 

  1. EN RAPPELANT SA TRAJECTOIRE POLITIQUE ET SON COMPAGNONNAGE AVEC L’APR

Nous devons rappeler, par le questionnement :

n Moustapha a été avec Macky Sall dans le PDS. Mais, a – t – il suivi Macky Sall, lorsque celui – ci décida de quitter le PDS ?

n Moustapha, a – t – il adhéré à l’APR quand Macky Sall lança sa magnifique initiative politique que fut la création de l’APR, le 01er Décembre 2008 ?

n Moustapha n’a – t – il pas affronté, au plan électoral, l’APR, à Dakar lors des Locales du 22 mars 2009 au cours desquelles, il préféra monter une Liste avec Lamine BA, contre nous, notamment aux Parcelles et au Plateau ?

n N’est – ce pas que ce fut au meeting de Nord Foire en Janvier 2010, que Moustapha fit sa 1ère apparition publique attestant de son intégration de l’APR ?

EN RESUME, MOUSTAPHA N’EST PAS UN MEMBRE – FONDATEUR DE L’APR QU’IL N’A REJOINTE QU’APRES L’AVOIR COMBATTUE !!!

Une fois dans l’APR, Moustapha fut responsabilisé et était en charge de l’Orientation idéologique du Parti. Mais, au bout de 05 mois seulement de compagnonnage, Moustapha balança au Président du Parti, sa fameuse Lettre de démission dans laquelle, il insultait le Parti qu’il assimilait à un « Fan’s Club » !!!

AUTREMENT DIT, AU REGARD DES TEXTES DU PARTI, MOUSTAPHA N’EST PAS MEMBRE DE L’APR CAR N’AYANT PAS ECRIT UNE LETTRE – DEMANDE DE REINTEGRATION, OU BENEFICIANT D’UN QUELCONQUE ACTE DE DROIT ATTESTANT DE SA QUALITE DE MEMBRE DU PARTI !!!!

Pour quelqu’un qui réclame le respect des Textes du Parti, cette situation ubuesque est un obstacle incontournable !!!!

  1. EN L’AFFRONTANT SUR LES GRANDES QUESTIONS POLITIQUES QU’IL SOULEVE

 Moustapha n’a vécu aucune des séquences historiques qui ont forgé notre identité partisane : il n’a pas participé aux grandes batailles politiques menées par notre Parti dans la phase de conquête du pouvoir : il n’était pas à Pikine ; il avait récusé l’insurrection citoyenne du 23 juin 2011 ; il avait refusé d’assister au Congrès du 10 Décembre 2011 à DIAMALAYE, aucun Comité, point de Meeting, aucune implication personnelle dans la construction et la formulation des Lignes Fondamentales du Parti et n’a découvert  le « YOONU YOKKUTE » qu’après notre accession au pouvoir…

BREF, MOUSTAPHA EST UN COMPAGNON DU POUVOIR, JAMAIS IL N’A ETE UN COMPAGNON POUR LA PRISE DU POUVOIR !!! 

Moustapha, après avoir menti sur la légalité de la Présidence du Parti (cf Motion du 30 Novembre 2018 publiée par Abdou MBOW), estime que la « non – structuration » du Parti est un frein à son avenir au pouvoir. 

Opposons - lui, avant tout, son inconséquence positionnelle et son incohérence politique : c’est ce Parti qui a vaincu de grands Partis admirablement structurés. C’est ce Parti qui a réussi « l’exceptionnel politique » au Sénégal. C’est au nom de ce Parti et grâce à lui, qu’il est devenu Député, puis Président de Groupe Parlementaire. 

A la vérité, Moustapha vise autre chose : l’élimination de Macky Sall du champ politique, à moyen terme, à travers un processus d’affaiblissement continu de son pouvoir. Pourquoi sommes – nous en devoir de le penser ?

En prenant l’initiative d’un « Mouvement » à l’intérieur du Parti, Moustapha rompt avec la tradition politique et l’histoire des dissidences dans les Partis, au Sénégal. 

Il est de notoriété, au Sénégal, qu’à chaque fois qu’une crise d’orientation ou de leadership se fait jour dans un Parti, la scission s’organise sur la base d’une séparation organique et autour d’Organisations en lutte pour la légitimité identitaire. Il en fut ainsi : pour le PDS où, le pouvoir de Wade fut contesté par Serigne DIOP (« SADAKHTA ») qui créa le PDS/R, bien avant le PLS de Me Ousmane NGOM et le REEWMI. 

Ce fut la même chose pour le Parti Socialiste dans lequel, le leadership de Diouf puis de Tanor, fut contesté par de grandes personnalités qui finirent par affirmer leur indépendance politique par la création d’Organisations propres (DJIBO avec l’URD, NIASSE avec l’AFP, SOUTY TOURE avec le PSA…). Ce fut le cas, récemment, avec la LD/DEBOUT !!

Moustapha ne compte pas emprunter cette voie. Pourquoi ?

Nous savons tous que Moustapha ne cherche pas à être Président en 2024. Car, il sait bien que quand bien même qu’il le voudrait, qu’il ne le pourrait ! Un homme qui n’a jamais exercé un Emploi digne de ce nom, bachelier – cartouchard n’ayant aucune expertise avérée dans un quelconque Département du Savoir, ne peut être qu’un homme – lige, un chambellan (« DUNGURU ») de premier ordre.  

C’EST DIRE QUE SON AGITATION INTEMPESTIVE SUGGERE DEUX POSSIBILITES AYANT TOUTES UN DENOMINATEUR COMMUN : IL EST EN SERVICE COMMANDE !!!!!

Entre son interview avec Mamoudou I. Kane et la publication du nom et des signes distinctifs de son « Mouvement », ne se sont écoulés que 02 jours. Moustapha témoigne, ainsi, d’une vérité : il a mûri et longuement préparé sa forfaiture. 

Plus grave encore, le nom même de son Groupuscule est suffisamment éloquent pour ne laisser aucun doute quant à sa volonté de nuire et de se situer sur la ligne de certaines franges de l’Opposition : « TAXAWU » est le concept – moteur de l’action politique de Khalifa Sall et « MANKOO » rappelle Wade et le FNR !!! Puiser ses oripeaux identitaires chez l’adversaire ou l’ennemi, dépasse la simple dimension du mimétisme. C’est une attitude de connivences et de convergences !!

Cependant, nous n’écartons pas l’hypothèse de la ruse stratégique qui voudrait que Moustapha masque son insertion plus profonde dans un Projet plus vaste encore, impliquant de grandes personnalités de la Coalition de Majorité Présidentielle.

Pour l’heure, nous soutenons que MOUSTAPHA VEUT FAIRE IMPLOSER LE PARTI ET VERSER DANS LA CORBEILLE POLITIQUE DE QUELQU’UN OU DE QUELQUES – UNS LES PANS DU PARTI QUI POURRAIT CAPTURER ET MANIPULER !!! 

Du reste, ce ne serait pas une première pour Moustapha. Incapable de vivre dans un cadre politique organisé, il a toujours développé la stratégie du loup solitaire. Comme en témoigne son expérience avec Wade dont il fut un « Chargé de Mission » (Grade le plus élevé auquel il a pu accéder dans sa vie, avant l’avènement de Macky Sall au pouvoir) et qu’il contourna avec son « WACCOO AK ALTERNANCE » qui lui permit, néanmoins, d’accéder aux ressources du pouvoir via la CAP 21 !!!

Au bout du compte, Moustapha est le prototype achevé de l’arriviste et de l’usurpateur. Son arrogance que rien ne fonde, à la limite de l’impolitesse crasseuse, flatte son ego surdimensionné par son statut de star médiatique. Une inacceptable impolitesse qui l’a poussé à manquer de respect aux Députés de la Majorité tout le temps qu’il fut Président du Groupe Parlementaire, à incommoder la Communauté Mouride et les Sages de la DAAKA de Médina – GOUNASS !!!!

IL PEUT TOUT FAIRE ET TOUT ENVISAGER. MAIS JAMAIS A NOTRE NOM !!!!!!  

 

LA CELLULE D’APPUI ET DE VEILLE STRATEGIQUE (CAVE) DE L’APR

 

jeudi, 23 janvier 2020 17:48

Lorsque le patriotisme est dénaturé…

Le patriotisme désigne le dévouement d'un individu envers le pays qu'il reconnaît comme étant sa patrie. Il est un sentiment partagé d'appartenance à un même pays, la patrie, sentiment qui en renforce l'unité sur la base de valeurs communes. Il conduit à ressentir de l'amour et de la fierté pour sa patrie. Le patriote est prêt à se dévouer ou à se battre pour elle afin d'en défendre les intérêts.

 

Aujourd'hui au Sénégal la notion de patriotisme est en train d'être dénaturé par une opposition qui, en perte de vitesse s'est allée se réfugier dans des mouvements citoyens.

Le parti ‘’Pastef les patriotes’’ s'est approprié la notion de patriotisme de manière ostensible mais avec une dénaturation exceptionnelle de cette notion. Si dans un combat politique national, revendiquer d'être ceux qui aiment le pays va de soi, il est inégalant d'ériger un patriotisme identitaire pour des gens de l'opposition, et plus restrictivement pour les militants de Pastef. L'incitation à la haine, le non-respect des institutions, la manipulation, la victimisation sont notamment les critères d'éligibilité pour mériter l'étiquette de patriote.

 

Chaque intervention de monsieur Ousmane Sonko est une occasion, pour lui, de déverser toute sa haine, et par la même occasion, inciter la population à haïr son excellence le président Macky SALL. 

Qui ne se rappelle pas de son désir de fusiller tous les anciens chefs d'État ? Qui ne se rappelle pas de ses propos irresponsables envers la population qui avait refusé de les suivre dans leur volonté de rendre le pays ingouvernable ? Qui ne se rappelle pas de son refus d'aller répondre à l'appel à témoins du procureur dans l'affaire Petrotim, après avoir accusé ouvertement monsieur Alioune Sall ? Qui ne se rappelle pas de son incapacité à fournir les preuves de son accusation envers Mamour Diallo, après avoir crié, haut et fort, détenir des preuves ? Qui ne se rappelle pas de sa rencontre avec le Pape du Sopi, Maitre Abdoulaye Wade, après avoir déclaré combattre le système et refusé même un appel de ministre Karim Wade ? Qui ne se rappelle donc pas... ?

 

Mais le plus inquiétant c'est que Sonko et le Pastef n'ont pas fini de démontrer leur démarche machiavélique. En effet ils n'ont pas hésité à utiliser les couleurs du Pastef sur les flyers distribués par ‘’Nio Lank’’, ce qui vient conforter la thèse selon laquelle la plupart des mouvements citoyens sont composés de politiciens encagoulés. Mais aussi de mentir sur la raison de leur arrestation qui était un rassemblement non déclaré de même qu'une occupation non autorisée de la voie publique au lieu de la distribution des flyers telle que rapporté. 

Comment aussi un patriote peut-il se glorifier d'avoir manqué respect ouvertement à la première institution du pays pour laquelle on se dit dévoué ? Et la vérité sur cette affaire est plus inquiétante, dans la mesure où elle montre le degré de manipulation et de mensonge du parti Pastef et de ses militants. En effet lors de la rencontre du président Macky SALL et des ressortissants sénégalais de Londres, le Pastef avait orchestré une confrontation avec les militants de l'APR. C'est à la suite du raclé subi face à ses derniers que cette dame qui avait réussi à infiltrer la foule a essayé de saboter le discours du président pour détourner les attentions, et en même temps, revendiquer la place d'une héroïne dans le coeur des sénégalais. Sauf que cette dame a oublié que récemment les sénégalais ont fait leur choix sur la personne du président MACKY SALL pour diriger ce pays. Et si Pastef pense que le président Macky SALL ne mérite pas leur respect et considération, ils ne peuvent méconnaître le choix du peuple pour lequel il se dit se battre. Le patriotisme se veut conservateur, c'est à dire respecter les principes sacro- saints qui fondent notre nation. Vous ne pouvez plus nous insulter, manquer de respect à notre président, nous manipuler, vouloir nous imposer un terrorisme intellectuel, nous inciter à la haine ou à la révolte, simplement à des fins politiques, et vouloir vous approprier la notion de patriotisme. HALTE DAFA DOY.

 

Son emploi du temps très chargé n’a pas empêché Makhtar Dia, le Directeur général de l’Agence Sénégalaise pour la Propriété Industrielle et l’Innovation Technologique (ASPIT) et non moins Président du Conseil Départemental de Birkilane (région de Kaffrine) de recevoir une délégation de l’Union Nationale pour la Promotion de l’agriculture Durable (UNAPAD). Dans le cadre de leur tournée de sensibilisation et de faire part de leur initiative, Sadimbe Cissé, le président et les représentants départements et régionaux de ladite structure, sont sortis de leur rencontre avec Makhtar Dia, heureux d’avoir eu une écoute attentive et un appui à la dimension de leur attente de voir leur structure voler de ses propres ailes.

L’Union nationale pour la promotion de l’agriculture durable (UNAPAD) est une nouvelle structure dédiée au secteur agropastoral. Désirant être présente dans les 552 communes sur 557 possible, et dans 9000 villages du Sénégal, avec plus de 250.000 membres, l’UNAPAD ambitionne de contribuer à révolutionner les activités rurales, notamment l’agriculture, la pêche, l’élevage tout en sauvegardant l’environnement. Une sorte de transition vers l’agro écologie qui mérite soutien et appui au regard des forts impacts économiques, sanitaires et écologiques attendus., Sadimbe Cissé indique à cet effet que « nos objectifs sont de révolutionner l’agriculture, l’élevage et reconstruire les forêts du Sénégal en nous organisant, en impliquant l’Etat du Sénégal et en galvanisant nos membres pour qu’ils puissent s’engager à relever ce défi ». Le président Cissé fait noter aussi « qu’il y a beaucoup d’organisations paysannes", mais l’UNAPAD est tout à fait différente par rapport aux autres, elle vient pour installer sa structure à la base dans les villages, les communes, les arrondissements, les départements et régions, contrairement aux autres qui n’ont pas de représentations dans toutes les localités ».

Dans son intervention, le DG de l’ASPIT a rassuré ses hôtes de son soutien sans faille et que d’ores et déjà, « l’UNAPAD fera partie intégrante du Comité sur les indications géographiques. Cette appartenance à cette structure permettra aux ‘’Unapadiens’’ de pouvoir intensifier leurs productions agricoles tout en exploitant les possibilités d’une exportation accrue dans les rayons commerciaux des grands pays du monde », confirme Makhtar Dia. Le Président du Conseil Départemental de Birkilane de multiplier par la suite ses bonnes intentions à ses hôtes : « Je vous accompagnerai, par une enveloppe de 2 millions FCA au minimum, si mes espérances de rentrée de fonds s’avèrent exactes. Ensuite, ce qui me parait important, c’est de vous installer un Centre d’Appui à la Technologie et à l’Innovation (CATI) si vous disposerez d’un siège. Mais bref retenez que je réitère ma disponibilité à accompagner vos initiatives et je vous encourage à accélérer la cadence pour être parmi les fiertés de notre pays », a confié le patron de l’ASPIT.

Youssouf NDIONGUE

Avoir un parti fort et répondre aux besoins et aux préoccupations des sénégalais, retenir les leçons tirées des échecs qui ont précipité la chute du précédent régime du président Abdoulaye Wade, voilà les questions majeures dont il importe de se pencher aujourd'hui pour relever les défis et éviter de tomber dans des impasses et déconvenues. L'avis est du conseiller municipal et jeune leader apériste de la commune de Djiddah Thiaroye Kao Malal Diallo. Face à certains remous qui secouent actuellement l'APR tenaillé par des querelles de clochers entre différents responsables, les élucubrations sur la succession éventuelle du président Macky Sall avec les noms avancés comme ceux des ministres Amadou Ba, Makhtar Cissé, Abdoulaye Daouda Diallo, Ali Ngouille Ndiaye, Malal Diallo a fait remarquer " Je dirai d'abord qu'un parti au pouvoir ne peut être exempt de soubresauts, surtout lors de son second mandat où les positionnements et repositionnements se font à différents niveaux des sphères de l'Etat et du parti. Les attitudes et comportements peuvent aussi découler de l'ambition des uns et des autres. Mais il faudrait toujours avoir raison gardée, pour ne pas franchir le rubicond. Les leçons du passé doivent servir à quelque chose. La mise en place de commissions de discipline par exemple pour sanctionner, clouer au pilori ou renvoyer des responsables et membres du parti, nous parait inopportune. La mise en quarantaine dans des partis présidentiels comme le PDS a été préjudiciable au régime du président Wade qui ne s'en n'est pas relevé. Les personnages et responsables différent dans un même parti. Leurs rôles diffèrent aussi. Des répliques comme celles de Abdou Mbao contre Moustapha Diakhaté ne sont pas ainsi les bienvenues. Si comme il le dit Moustapha Diakhaté n'a pas de base politique, d'aucuns n'ont pas manqué de se poser la question de savoir pourquoi l'avoir nommé président de groupe parlementaire". Le jeune responsable apériste a d'autre part affirmé " Chaque membre ou responsable a la liberté de décliner ses ambitions. Il faut savoir que Wade n'a jamais désigné Macky comme successeur. De même, il ne faut pas s'attendre à ce que ce dernier, dans ce contexte du moment, tombe dans les mêmes travers. Aujourd'hui le président Macky est en phase avec les sénégalais qui se préoccupent plutôt de la satisfaction des questions liées à leurs conditions de vie et d'existence. C'est delà où se trouvent ses priorités du moment". Mohamed El Amine THIOUNE

 

C’est lancé et rien ne sera plus comme avant. Sur les chapeaux de roue, le Conseil des Notables du Département de Rufisque qui vient à peine d’être porté sur les fonts baptismaux, a convié l’ensemble des chefs coutumiers, dignitaires lébous, les jeunes ainsi que les femmes des groupements et autres associations de promotion féminine, à la Cérémonie officielle d’ouverture d’un Séminaire –Atelier au Centre National de Formation et d’Action CNFA, situé en plein Centre ouest de la Ville éponyme. Grace à l’appui de son partenaire potentiel, Le Ministre Conseiller Pape Amadou Sarr, Patron de la Délégation Générale à l’Entreprenariat Rapide des Femmes et des Jeunes DER, le Conseil des Notables pouvait réunir en conclave pendant trois jours, les 123 participants issus des 12 Collectivités Territoriales.   

Ndey Ji Reew, Jaraaf, Ndeyi Njambur, freys, chefs de Penc pour ne citer que ces notabilités coutumières de la Collectivité Léboue, sont venus massivement répondre à l’appel de leur Président Départemental, le Grand Saltigué de Rufisque, El hadj Maodo Malick Ngom, en cette matinée du Mardi 21 Janvier 2020.

                                            Le cachet particulier de l’intégration africaine

Ce Séminaire –Atelier initié par le Conseil des Notables du Département de Rufisque a revêtu un caractère intra africain par la seule présence d’éminentes personnalités du Continent venues communier avec leur frère membre du Conseil Supérieur Panafricain.

En effet, en accueillant Sa Majesté Docteur Robinson du Cameroun siégeant à Cotonou Capitale du Bénin qui abrite le Siège des Chefferies Traditionnelles Africaines et la Délégation qui l’accompagne, en terre sénégalaise, le Président du Conseil Départemental des Notables du Département de Rufisque et Secrétaire Général du Conseil Panafricain sur toute l’étendue de l’Afrique de l’Ouest est entré de plain-pied dans la trajectoire de l’intégration africaine des peuples ; puisque les communautés dont il conduit les destinées, sont les creusets du développement endogène du Continent ;  adossés à de tels socles, bien incrustés d’une aire géographique  à l’autre , articulés au bon management des décideurs traditionnels –pays , et en bonne intelligence avec les gouvernants d’aujourd’hui, alors le savoir-faire et le savoir être africains trouveront le véritable chemin de l’éclosion qui appelle l’émergence.

                                     Agir pour faire valoir l’équité et l’inclusion sociale

La présence de l’Autorité Déconcentrée en la personne de Mme le Sous-Préfet de l’Arrondissement de Rufisque, de l’Autorité Décentralisée portée par les Maires des Communes Alioune Mar de l’Ouest, Mame Omar Mané du Nord, Boubacar Albé Ndoye de l’Est représentant également Daouda Niang, Maire de la Ville, ainsi que celles d’autres personnalités et cadres de la République, tout cela dénote l’importance donnée à une telle rencontre. De mémoire d’observateur et de spécialiste en Sociologie et en Développement local, cette initiative prise de vouloir former les dignitaires traditionnels et décideurs à la base constitue une première dans les Annales de l’Economie Sociale Solidaire.   

 

                        Longtemps muri par les proches collaborateurs et non moins conseillers du Grand Saltigué, le Haut Conseiller des Collectivités Territoriales Mamadou Diop en tête, ce séminaire-atelier gracieusement offert par la DER, permettra au bout du compte de mieux outiller les actrices et acteurs de développement qui gravitent autour du Conseil Départemental des Notables de Rufisque. L’Education Financière est la thèmatique centrale autour de laquelle vont graviter d’autres thèmes non moins importants tels que la mise en place de la Mutuelle de Santé Communautaire, l’Observatoire du Développement Local du Dialogue Territorial et de la Croissance Economique, la Construction des Résiliences sociales entre autres ; d’éminents experts de la DER vont accompagner le pool de Formateurs constitué à cet effet      A suivre...    CHEIKH MBODJ

 

 

 

 

 

Il était l’ancien président du Groupe Parlementaire de Benno Bokk Yakaar à l’Assemblée Nationale, avant d’être propulsé par le Président Macky Sall comme Ministre Chef de Cabinet à la Présidence. Mais aujourd’hui, Moustapha Diakhaté est exclu des rangs de sa formation politique APR. Et c’est Moussa Sow, le coordonnateur de la Cojer qui est le premier à applaudir cette mesure qui vient à point nommé avant que les jeunes ne s’inspirent de cette mauvaise image d’ingratitude.

En effet, le Conseil de discipline du parti présidentiel, membre du Secrétariat Exécutif National (SEN), ayant constaté des manquements réguliers et maladroits dans ses nombreuses médiatiques, a d’abord estimé, par la voix de Abdou Mbow que M. Diakhaté s’est lui-même exclu de l’APR avant que ses collègues Abdoulaye Badji, Benoit Sambou et Mbaye Ndiaye ne lui emboitent le pas en signant le communiqué rendu public et notifiant son renvoi définitif de la formation politique de Macky Sall. Suffisant pour que Moussa Sow se réjouisse d’une telle mesure qu’il juge opportune et qui fait respecter les règles élémentaires de discipline dans leur formation politique. Selon le coordonnateur de la Cojer, « c’est comme s’il cherchait lui-même cette mesure. On a trop laissé à Moustapha Diakhaté le soin de tirer sur notre parti et son Président. A un moment donné, on se demandait même ce qui lui est arrivé au point de vouloir créer un courant dans l’APR. Selon lui « nous, les jeunes de l’APR, ne devons pas prendre Moustapha Diakhaté pour exemple. Car, on a fini de voir en lui un esprit tortueux, revanchard et ingrat à l’égard de son désormais ex-mentor, le Président Sall. Ceux qui l'ont manipulé et envoyé n'ont qu'à déchanter. Notre formation politique est un parti très fort et solide ».

 

Il était l’ancien président du Groupe Parlementaire de Benno Bokk Yakaar à l’Assemblée Nationale, avant d’être propulsé par le Président Macky Sall comme Ministre Chef de Cabinet à la Présidence. Mais aujourd’hui, Moustapha Diakhaté est exclu des rangs de sa formation politique APR. En effet, le Conseil de discipline du parti présidentiel, ; membre du Secrétariat Exécutif National (SEN), ayant constaté des manquements réguliers et maladroits dans ses nombreuses médiatiques, a d’abord estimé, par la voix de Abdou Mbow que M. Diakhaté s’est lui-même exclu de l’APR avant que ses collègues Abdoulaye Badji, Benoit Sampour et Mbaye Ndiaye ne lui emboitent le pas en signant le communiqué rendu public et notifiant son renvoi définitif de la formation politique de Macky Sall. Comme s’il cherchait lui-même cette mesure, Moustapha Diakhaté minimise et parle de diversion. « Je considère cela comme de la diversion, comme de la provocation. Je n'ai pas leur temps. J'ai fait le choix de mettre en place, avec ceux qui le souhaitent, le mouvement Manko Taxawu Sunu Apr. Une initiative pour la refondation de l’alliance et je m'en tiens à ça. Et je donne rendez-vous au peuple Sénégalais jeudi prochain pour plus d'information », a-t-il indiqué à nos confrères de la RFM..

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