Le mouvement pour la défense de la République se veut toujours alerte. En conférence de presse ce vendredi, le coordonnateur Malal Diallo Pith, le président et les responsables du bureau fustigent les propos tenus par le maire de Dakar et les leaders de Yewwi Askan Wi (Yaw), qu’ils jugent dangereux pour la stabilité du pays. «En invitant les jeunes à un ‘’mortal kombat’’, Barthélémy Diaz, pour ses propres intérêts, veut rééditer le coup occasionné par la mort de 14 jeunes sénégalais lors des évènements de Mars 2021 avec l’affaire Ousmane Sonko – Adji Sarr. Non, il n’y aura pas de deuxième vague. Non seulement il nous trouvera sur son chemin, mais la prochaine fois qu’il tiendra des propos similaires, ce sera le début de la fin pour son règne à la mairie de Dakar», avertissent les leaders du Moder René Pierre Yéhoumé et Malal Diallo.

Aux institutions de la République, le Moder souhaite une protection renforcée et des moyens adéquats pour les forces de défense et de sécurité. «Il est temps que l’Etat prenne toutes ses responsabilités face aux dérives qui commencent à menacer la stabilité de ce pays. Et ceci n’est que l’œuvre de viles personnes qui n’ont pour seul souci que de préserver leurs intérêts acquis sur la base de mensonges et de manipulations. Mais c’est fini tout ça», réagissent ses responsables. En conférence de presse ce week-end, ils n’ont pas manqué de rappeler à l’ordre Barthélémy Diaz dont les propos bourdonnent encore  à l’oreille, tellement, ils sont gravité qui auraient dû lui permettre de ne plus humer l’air de la liberté (sic).

«YAW et le maire Barthélémy Diaz, sur un appel à manifestation après l'ajournement de ses listes, sont dans la provocation. Sachant que les autorités se concentrent sur les impératifs de notre développement, ils se croient ainsi tout permis, quid à provoquer un soulèvement inutile et risqué. Nous lançons un appel à faire face, et invitons les forces de sécurité à vieller aux agissements de ce petit type qui n'est pas digne d'un maire de ville comme Dakar. Les policiers sont d'abord des sénégalais et inviter les jeunes à leur faire face, c’est mettre de l’huile sur un feu ambiant», déplore Malal Diallo. Dans le même tempo, René Pierre ajoute : «les jeunes, à qui il fait appelle, ne doivent pas suivre des instructions d'un irresponsable de la trempe de Barth.

 J'en appelle le Président de la République, le Ministre de l'intérieur et les autorités coutumières et religieuses de ce pays à ne pas se laisser surprendre par un ‘’mortal Kombat’’ auquel ce fou pousse les jeunes. Barth ne devait pas passer la nuit chez lui après cet appel dont les conséquences seront lourdes si on n'y prend garde. Trop c'est trop, que ça soit lui, Sonko, et tous les leaders de l'opposition, nous les invitons à savoir raison garder. La Direction générale des  élections (DGE) qu'ils récusent aujourd'hui est pourtant l'institution qui a supervisé leur victoire il y a de cela 6 mois», fait savoir le coordonnateur du Moder. Qui dit non à cette cacophonie occasionnée par les dépôts des listes pour les législatives, et décrète ‘’plus jamais pareil désordre dans ce pays’’».

Le mouvement pour la défense de la République se veut toujours alerte. En conférence de presse ce vendredi, le coordonnateur Malal Diallo Pith, le président et les responsables du bureau fustigent les propos tenus par le maire de Dakar et les leaders de Yewwi Askan Wi (Yaw), qu’ils jugent dangereux pour la stabilité du pays. «En invitant les jeunes à un ‘’mortal kombat’’, Barthélémy Diaz, pour ses propres intérêts, veut rééditer le coup occasionné par la mort de 14 jeunes sénégalais lors des évènements de Mars 2021 avec l’affaire Ousmane Sonko – Adji Sarr. Non, il n’y aura pas de deuxième vague. Non seulement il nous trouvera sur son chemin, mais la prochaine fois qu’il tiendra des propos similaires, ce sera le début de la fin pour son règne à la mairie de Dakar», avertissent les leaders du Moder René Pierre Yéhoumé et Malal Diallo.

Aux institutions de la République, le Moder souhaite une protection renforcée et des moyens adéquats pour les forces de défense et de sécurité. «Il est temps que l’Etat prenne toutes ses responsabilités face aux dérives qui commencent à menacer la stabilité de ce pays. Et ceci n’est que l’œuvre de viles personnes qui n’ont pour seul souci que de préserver leurs intérêts acquis sur la base de mensonges et de manipulations. Mais c’est fini tout ça», réagissent ses responsables. En conférence de presse ce week-end, ils n’ont pas manqué de rappeler à l’ordre Barthélémy Diaz dont les propos bourdonnent encore  à l’oreille, tellement, ils sont gravité qui auraient dû lui permettre de ne plus humer l’air de la liberté (sic).

«YAW et le maire Barthélémy Diaz, sur un appel à manifestation après l'ajournement de ses listes, sont dans la provocation. Sachant que les autorités se concentrent sur les impératifs de notre développement, ils se croient ainsi tout permis, quid à provoquer un soulèvement inutile et risqué. Nous lançons un appel à faire face, et invitons les forces de sécurité à vieller aux agissements de ce petit type qui n'est pas digne d'un maire de ville comme Dakar. Les policiers sont d'abord des sénégalais et inviter les jeunes à leur faire face, c’est mettre de l’huile sur un feu ambiant», déplore Malal Diallo. Dans le même tempo, René Pierre ajoute : «les jeunes, à qui il fait appelle, ne doivent pas suivre des instructions d'un irresponsable de la trempe de Barth.

 J'en appelle le Président de la République, le Ministre de l'intérieur et les autorités coutumières et religieuses de ce pays à ne pas se laisser surprendre par un ‘’mortal Kombat’’ auquel ce fou pousse les jeunes. Barth ne devait pas passer la nuit chez lui après cet appel dont les conséquences seront lourdes si on n'y prend garde. Trop c'est trop, que ça soit lui, Sonko, et tous les leaders de l'opposition, nous les invitons à savoir raison garder. La Direction générale des  élections (DGE) qu'ils récusent aujourd'hui est pourtant l'institution qui a supervisé leur victoire il y a de cela 6 mois», fait savoir le coordonnateur du Moder. Qui dit non à cette cacophonie occasionnée par les dépôts des listes pour les législatives, et décrète ‘’plus jamais pareil désordre dans ce pays’’».