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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

C'est vraiment pathétique d'entendre Guy Marius Sagna dans ses œuvres diaboliques dire: ''que le président Macky Sall a une haine contre la Casamance'' Je vous rappelle Guy, et vous le savez déjà, même si vous faites semblant de l'oublier: pour aller de Dakar en  Casamance, il fallait 24 heures, mais avec Macky Sall, seulement 8 heures grâce au pont de la Sénégambie et à 5000f. Avec l'étude des terres, des hectares de sol ont été récupérés et dessalinisés pour permettre au cultivateur d'avoir une bonne récolte, sans oublier les 2 flottes pour Dakar Ziguinchor. Guy Marius, 438 km de route pour un budget de 167 milliards, des infrastructures de 235 millards qui n'ont jamais eu en Casamance, mais avec Macky Sall c'est possible et acquis, sans compter le pont Marsassoume, le pont de Djouloulou, le pont de Mayla, ils ont été réalisés et des études sont faites concernant la boucle des Fogni. Etant donné que la boucle des Canoulaye a été inclue dans le projet Seneba ziguinchor pour un montant de 110 millards dans le cadre du Promoville Ziguinchor. L'appui que le gouvernement apporte à la mairie et à la commune de Ziguinchor cette année, avec le projet qui est en cour au boulevard Alpha et à la colonne est à candiagnan pour 10 millards avec le Promoville. Il y aura 14500 km de route bitumée dans la commune de Ziguinchor pour un montant de 20 milliards, donc Guy, ne sois pas ingrat, même si c'st le travail du président, aujourd’hui, on est uni pour amener la Casamance vers le développement et l émergence. Mon ami Guy, qu'Allah te délivre du diable, nous avons élu Macky Sall parce qu'il est cassamançais, serere, wolof, toucouleur et autres. C'est juste pour te dire Macky Sall a été élu car il est sénégalais. 
Vive la paix en casamance, le Sénégal est un et indivisible.
 
 
Mais pour qui se prend Moustapha Diakhaté pour se permettre de mal traiter nos autorités et nos autres responsables de ce pays ? Invité à une émission radio de la place, l'ancien parlementaire n'a pas eu de retenue et a dit du n'importe quoi dont la décence interdit de citer, alors qu'il devait se souvenir au moins des avantages que lui avaient octroyés le président Macky Sall. Mais selon Ousmane Faye,  leader de Manko Wattu Sénégal, '' un type de la trempe de Moustapha Diakhaté ne mérite pas qu'on s'attarde davantage sur lui. Mais je lui rappelle que le ministre Abdoulaye Daouda Diallo ne se mesurerait jamais à un traitre de sa trempe''.
 
Moustapha Diakhaté est devenu un cas clinique qu'il faut isoler. Il passe maintenant tout son temps à injurier ceux qui l'avaient élu et porté hier. Pour Ousmane Faye, '' ce monsieur a complètement perdu le nord. Hier président du groupe parlementaire de Bby, où il a eu tous les privilèges, on n'attend pas de lui qu'il se mette dans cette position de tirer à tout vas sur tout ce qui touche l'entourage présidentiel''. Mais quand il va jusqu'à traiter le vaillant Ministre Abdoulaye Daouda Diallo d'incompétent, de valet soumis, alors la, réagit le patron de MWS, ''il mérite qu'on lui  enlève la culotte pour qu'on lui coupe le zizi, tellement ses mensonges sont grotesques et infondés''. Il est en train de montrer à la face du monde qu'il ne méritait pas la confiance du chef de l'État. Moustapha Diakhaté n'a aucune classe à revendre, c'est un 'badolo'' de première catégorie. Mais on a tous fini par le découvrir''

Promouvoir et développer la langue Pulaar, tel a été le but de la réunion tenue le samedi 7 novembre 2020, du bureau élargi de la section Keur Mousseu de l’Association pour la Renaissance du Pulaar (Tabital Pulagu). Venus de différentes contrées, ses membres se sont donné rendez-vous aux Parcelles Assainies pour échanger sur la vie de la section et dresser une feuille de route dont la finalité est justement de voir les voies et moyens pour davantage hisser la langue Pulaar à des niveaux jamais égalés.

Mise sur les fonts baptismaux en 1968, l’association Tabital Pulagu ambitionne de développer la culture Hal Pulaar. Pour ce faire, ses membres mènent des réflexions et développent des actions en implantant des sections dans les différentes communes du Sénégal. C’est ainsi que la section Keur Mousseu de la région de Thiès a saisi l’opportunité de la réunion de son bureau élargi pour cogiter et peaufiner un plan d’actions qui, à terme, permettra de dresser un fil conducteur pour mener à bien les différents chantiers tracés dans ce sens. Selon Assane Sow, secrétaire général de la section Keur Mousseu, « pour arriver à notre objectif de développer la langue, il s’agira pour nous, de mettre sur pied des écoles Pulaar et créer un renouveau dans ce sens, ensuite de raffermir les relations entre nos différentes entités partenaires pour une intégration nationale afin de mieux lancer Tabital Pulagu à travers le pays. Il faut dire que c’est une approche nouvelle, avec une allure nationale et même internationale, qui nous pousse à poser les jalons pour un développement durable en cultivant l’intégration. Mais il est important de retenir que nous sommes dans 28 pays d’Afrique, et nous invitons nos membres à s’activer ».

Pour le Président Daouda BA, président de section de Tabital Pulagu de la commune de Keur Mousseu, « il est important de faire en sorte que le Pulaar soit davantage pratiqué, réhabilité et promu. Nous partons de l’hypothèse que tous les pays qui se sont développés l’ont réussi en utilisant leur propre langue. Dès lors, nous avons pris notre courage à deux mains pour sillonner les contrées et sensibiliser nos parents Hal Pulaar pour qu’ils étudient leur langue. Notre stratégie consiste, en fait, à aller dans chaque localité où résident nos membres pour y tenir une réunion du bureau élargi afin de promouvoir notre propre culture ».

 

 

Que les sénégalais se le tiennent pour dit : un fléau d’une autre nature guette le pays. Selon le jeune marabout Serigne Khadim Mbacké Kamal, « on doit se préparer à faire face à une autre calamité dont je ne vais pas révéler aujourd’hui la nature. J’aimerai profiter des deux jours de mon ‘’tiant’’ annuel pour m’entretenir avec les sénégalais sur l’imminence de ce mal et des moyens de s’en prémunir. Rendez vous est donné les 11 et 12 prochain », fait-il savoir lors de la conférence de presse tenue en prélude à cet évènement.

C’est un évènement qui se tient annuellement pour rendre grâces à Dieu et prier pour Serigne Saliou et Borom Darou, respectivement 5ème khalife de Serigne Touba et grand parent dignitaire mouride. A cet effet, Serigne Khadim Mbacké Kamal et la fédération Tazawoudou Sikkar sortent les gros moyens pour deux jours de festivité. Les 11 et 12 décembre donc, tout ce que la communauté mouride compte de disciples et de sympathisants vont se retrouver sur la corniche de Guédiawaye pour les besoins d’une séance de don de sang et de consultations médicales gratuites, activités prévues avant la cérémonie du soir qui permettra au jeune Mbacké Mbacké de revenir sur la recette pour conjurer le mauvais sort qui plane sur le pays et dont il détient seul le secret. « Nous vivons une période difficile avec l’apparition de la pandémie et le phénomène social ‘’Barça walla Barsax’’. C’est pour cela que nous avons apporté » de l’innovation dans l’organisation du tiant annuel qui draine des milliers de sympathisants qui trouveront sur les lieux des produits désinfectants mis en place dans le cadre des mesures de prévention et des gestes barrières », annonce le conférencier. Selon lui, « cela n’est rien par rapport à ce qu’on est en droit d’attendre et dont il convient de s’en prémunir ». Interrogé sur la nature de ce qu’il avance, Serigne Khadim Mbacké donne rendez-vous les 11 et 12 décembre pour en savoir plus, sinon, impossible de lui soutirer un indice.

Youssouf NDIONGUE

Le Ministre Cheikh Abdou Baly est allé trop loin en livrant ses sentiments personnels en réaction à la formation du dernier gouvernement. En affirmant que tous les responsables sont en phase avec les mesures prises par le chef de l'État, il a irrité le président du mouvement citoyen Gindi Askan Wi Fallou Ndiaye qui dans dans sa réponse, lui met les points sur les i.  ''Notre cher transhumant a tout faux dans son propos trop complaisant. Il devait simplement agir à son nom propre, mais pas pour les autres responsables. L'Apr Touba n'est pas sa propriété encore moins son Dahira. Certes nous sommes avec le président de la République, mais nous ne sommes pas d'accord avec les dernières mesures prises et on est libre de nous exprimer ainsi en tant que membre fondateur. Mais comme lui Chekh Abdiu Baly, on a mis du pain dans sa bouche, il est libre d'esquisser des pas de danse, cela n'engage que lui et son dahira. Mais il devait se garder de généraliser ses sentiments''. Pour Fallou Ndiaye, Cheikh Abdou Baly doit retenir que l'Apr Touba est loin d'être son appartenance, et que les jeunes qui l'avaient accompagné dans sa politique se refusent d'applaudir à tout va. Nous n'accepterons jamais que notre parti soit réorienté à des fins personnelles. La prochaine fois qu'il se débinera, nous l'intimons de le faire à son nom propre ou à celui de son Dahira'' recadre le président du mouvement Gindi Askanwi.Le parti a toujours connu des déboires et des revers sans que Cheikh Abdou Baly ne se prononce, donc s'il le fait aujourd'hui, on retient qu'il agit pour son propre compte et ça ne nous engage pas'' conclut Fallou Ndiaye

Madame Saly Diop DIENG, Ministre de la Femme, de la Famille, du Genre et de la Protection des Enfants a présidé, la cérémonie officielle de lancement de la 2ème phase du Projet d’Appui à la Stratégie nationale pour l’Equité et l’Egalité de Genre (PASNEEG Il ) en présence de Son Excellence Monsieur Giovanni Umberto DE VITO Ambassadeur de la République d’Italie au Sénégal. 
 
Le PASNEEG II de par son approche d’intervention va participer à la consolidation de la prise en charge des enjeux liés à l’équité et l’égalité de genre dans notre pays conformément à la vision de Son Excellence Monsieur Macky SALL Président de la République.
 
Madame le Ministre a magnifié le soutien important du Gouvernement italien principal partenaire de ce projet.
 
 

Suite à la formation du nouveau gouvernement, la COJER/MATAM félicite le Président de la République pour les changements en profondeur opérés dans le choix des hommes et des femmes devant conduire et matérialiser l'exécution des politiques publiques.

 
La COJER/Matam remercie vivement le Président Macky SALL pour la confiance renouvelée à l'endroit du Garde des Sceaux, ministre de la justice Me Malick SALL, fils du terroir. 
 
L'ouverture aux autres forces politiques est l'expression concrète de la vision du Chef de l'État à bâtir avec tous, un Sénégal prospère.
 
Nous exprimons au Président de la République, toute notre détermination à participer pleinement aux succès des missions assignées à ce gouvernement.

Les travailleurs du Lagon 1 ont rejeté la proposition faite par la Direction Générale pour un chômage technique renouvelé à hauteur de 50% des salaires. Evidemment, c’est un non catégorique qu’ils ont opposé, car déterminés à assurer leur survie. Du moins, c’est ce qui ressort de leur assemblée générale tenue ce 2 novembre.

Selon El hadji Ndiaye, SG syndicat national des travailleurs de l’hôtellerie, des restaurants et des casinos du Sénégal, « On ne peut pas accepter la décision de la Direction. Car, nous estimons que ce n’est pas six mois de pandémie seulement qui empêcheront à un hôtel, qui existe depuis plus de 30 ans, de payer le salaire des travailleurs ». Pour le moment, le bras de fer continue, et pour le Président du collège des délégués, Vieux Saloum Sagna : « les travailleurs restent entièrement déterminés face à cette forfaiture que le Lagon1 veut imposer alors que tous les services ont repris ». Venu apporter son soutien, Pape Bérenger Ngom, président de l’Aphore (association pour l’hôtellerie et de la restauration du Café de Rome) se dit déçu de l’attitude de la direction du lagon1, au moment où des hôtels comme le terrou bi, le café de Rome sont à 100% de salaire. « Nous ne pouvons pas le cautionner, le Lagon1 doit s’harmoniser comme les autres ont fait », a t-il laissé entendre. D’une part, il rejette la faute au patronat Sénégalais qui ne se préoccupe que de son propre sort. Mais, « il est aussi important qu’il regarde l’avenir des employés, car c’est eux qui créent la richesse », soutient-il. Sur ce, il exige de la transparence de la part de l’État à travers le fond de relance qu’il a attribué aux hôteliers. Ainsi pour faire face à ces difficultés, il appelle à une vaste fédération des travailleurs du secteur.

D’aucuns ne pouvaient penser une séparation entre l’ancien argentier de l’Etat et son mentor de Président. Mais, avec le dernier remaniement du gouvernement, que certains assimilent à un simple réaménagement, ce n’est point une surprise au regard de l’écart adopté par Amadou Ba depuis un certain temps, chose qui fait dire qu’il lorgne le fauteuil de son chef. Pour le leader de la plateforme Intelligence Républicaine, « sur  cette question, je crois qu'il faut considérer la posture d'équilibriste qu'il a toujours eu depuis les législatives. C'est la confirmation de l'agenda caché de Amadou Ba. Il faut qu'il s'assume en dehors de l'espace gouvernemental. N'oubliez pas que nous sommes toujours dans une crise où la diplomatie économique est essentielle dans la relance de la machine économique ».

 

Commentant le retour de Idy, Bassirou Niang laisse entendre qu’on doit sortir des logiciels politiciens et d’assister à ce qu'on avait appelé "entrisme" en 1993 entre l'ancien chef de l'état et Abdoulaye Wade. « L'entrée de Idrissa et les autres constitue la suite logique du dialogue national. En politique aussi, il faut un peu de cohérence. Ils ne pouvaient pas accepter le dialogue et refuser aujourd'hui de partager la peine du Président de la République face à une crise multiforme. Lui-même, Idrissa Seck, l’a dit " il convient de construire et non déconstruire ". Je pense qu'il officialise une posture de conseil qu'il a toujours joué pour le chef de l'état. Comme d'autres pontes de l'espace politique d'ailleurs.

Bassirou Niang sur la question du 3ème mandat pense qu'il est trop tôt pour s’y prononcer. « On constate la cohérence du chef de l'état avec ses alliés d'hier. Et, parfois on oublie que APR ce n'est pas un parti classique avec des organes bureaucratiques. C'est une alliance pour la République. C'est ce qui justifie cette aisance du chef de l'état qui a conjugué les contraires. Aujourd’hui, le schéma est de relancer l'économie et d'obtenir un bilan. Et le reste est du domaine du futur ».

Partager le contenu des cours pédagogiques tout en informant sur les mesurées barrières pour l'ouverture de l'année académique qui se tient dans un contexte de Covid 19, tel est l’objectif de la rencontre entre la direction centrale des cours Sainte Marie et les parents d'étudiants du cycle préparatoire à l'école d'ingénieurs. Il faut dire que depuis 8 ans, l’école sise à Hann prépare, en partenariat avec des universités françaises, les bacheliers à une formation d'ingénieurs à travers deux ans de cours préparatoires

Selon André Sonko, directeur des Cours Sainte Marie de Hann, '' l'accent sera surtout mis sur les matières scientifiques (Mathématiques, Physique et Chimie), afin de permettre aux étudiants d'être mieux préparés et de se familiariser avec les outils du cycle d'ingénieurs. Ce sera un approfondissement de ce qui a été fait au lycée en classe de terminale. On peut dire aussi que c'est une ouverture aux curricula qui seront donnés dans les cycles d'ingénieurs. Mais nous saluons le partenariat qui est noué avec 12 universités françaises regroupées autour de la Feci (Fédération des écoles d'ingénieurs d'intérêt collectif). Cela permet à nos étudiants d'accéder directement à ces écoles d'ingénieurs sans passer par le concours qui, il faut le rappeler, est obligatoire après le Bac dans les autres écoles''. Selon l'ancien Ministre de l'Education Nationale du Sénégal sous le régime du Président Abdou Diouf, '' l'avantage est que les études que nous dispensons dans les cours  préparatoires sont suivies par le collectif des écoles, les examens sont validés par eux tout comme la fin de cycle. Ce qui fait que ceux terminent ici sont accueillis par le collectif. Par rapport aux perturbations des cours dans un contexte de Covid 19,  André Sonko se félicite malgré tout des brillants résultats acquis par son institution.

CMU
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