Malal DIALLO Pithi
Bassirou Diomaye Faye élu Président : La Présidente du mouvement national des femmes de l’ACT Khady Ba soutient et promet de l'accompagner
La Présidente Khady Ba qui a été très active lors de la campagne électorale en faveur du candidat de la coalition Diomaye 2024 a lancé face à la presse : «Après votre brillante victoire, nous vous adressons nos vives et sincères félicitations. C'est la victoire de l'engagement, sans faille, du patriotisme pour servir la cause du Peuple Sénégalais. Notre soutien est total pour la réussite de votre mission en tant que 5ème président de République du Sénégal. Ceci, après le déploiement des efforts pour participer à votre victoire»
La lionne de Guédiawaye a aussi ajouté : «Nous restons ainsi à votre disposition pour la satisfaction des besoins et des préoccupations de notre cher Sénégal».
Mohamed Al Amine Thioune
L’Honorable Député Madame PAYE conseillère spécial du Président du CESE mobilise pour Amadou Ba a la cité Soprim
Madame Paye a organisé à la Cité Soprim, une caravane aux allures de meeting de campagne électorale. Cet événement a regroupé plus d’une centaine de femmes et il vise à soutenir le candidat Amadou Ba sous la houlette du Président Abdoulaye Daouda Diallo pour une victoire éclatante au soir du 24 mars prochain de la coalition Bby.
Dans une démonstration de force, Madame Paye Thérése Aida Seck du CESE une figure marquante du paysage politique à la cité Soprim, a mobilisé ces homme et femmes pour appuyer Amadou Ba, le candidat de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY) à la prochaine élection présidentielle sous la houlette de son mentor le Président du CESE Abdoulaye Daouda Diallo le 24 mars 2024 prochain.
Mamadou TOURE
LA VÉRITABLE RUPTURE, C’EST ÉLIRE UN PRÉSIDENT AUX MAINS LIBRES POUR GOUVERNER
De quoi le Sénégal a-t-il besoin pour les années à venir ? D’un président libéré de toute contingence politique. Car les calculs politiciens du régime en place pour se maintenir au pouvoir, combinés aux pratiques « des oppositions » pour le conquérir, nous ont conduit à la crise politique actuelle.
Cette liberté totale d’action du futur président ne sera possible que pour un président qui se limiterait à un seul mandat de 5 ans. Le Sénégal se trouve aujourd’hui dans une impasse politique et il lui faut imaginer des solutions politiques de sortie de cette crise. Il lui faut innover dans la manière de faire la politique et d’exercer le pouvoir.
Imaginons un président élu par les Sénégalais pour un mandat de 5 ans. Ce président ne consacrera pas de temps à des intérêts partisans, mais se concentrera entièrement sur le bien-être du peuple sénégalais.
Imaginons un mandat unique de 5 ans qui serait une garantie pour un exercice du pouvoir concentré et efficace porté par un président de la République défenseur de la Constitution, des libertés individuelles et collectives, et de l'égalité ; un président qui assurerait le strict respect de la séparation des pouvoirs et refuserait toute manipulation de la justice dans des affaires délicates. Et surtout un président qui travaillerai à apporter les réformes politiques, économiques et sociétales qui aujourd’hui s’imposent.
Enfin imaginons un président qui rompra pour la première fois dans l’histoire du Sénégal avec la quête d’un second mandat, source de tension et de compromis, voire de compromission.
Mahammed Boun Abadallah Dionne sera le premier président du Sénégal aux mains libres
Un seul mandat de 5 ans pour un président libre et efficace : c’est une rupture dans les pratiques politiques du Sénégal et c’est une innovation. Voilà la véritable rupture anti système qui pourrait permettre de transformer durablement le Sénégal. Voilà la véritable révolution dont le Sénégal, qui traverse une crise politique, a besoin. Et cette rupture commence tout simplement par montrer que la conservation du pouvoir à tout prix n’est pas le but ultime de la politique. Le 5ème Président de la République du Sénégal pourrait être le premier à se détourner de la politique politicienne pour se concentrer sur la gouvernance de la cité. Celui qui pourra guérir le Sénégal de ses pathologies politiques. Réparer le Sénégal et unir les Sénégalais.
Nous ne devrions JAMAIS oublier ceci : le Sénégal se trouve dans la situation actuelle à cause d’une guerre entre pro et anti 3ème mandat, une guerre qui aura duré 5 années !!!!
Nous ne devrions pas nous tromper : seule une rupture dans les pratiques politiques peut apporter des transformations profondes au Sénégal. Et le fait de se limiter à un mandat en serait le premier jalon.
Mahammed Boun Abadallah Dionne est ce président qui, en s'engageant à faire un unique mandat de 5 ans, pourra gouverner librement, sans passion ni pression. Sans attaches politiques partisanes, car sans parti politique, il a régulièrement déclaré à ses partisans et sympathisants : « je ne cherche pas de militants mais des compagnons, je ne cherche pas de foule apathique mais des citoyens engagés et participatifs ».
Il affirme clairement son intention lors de ses diverses prises de parole : après avoir exercé la fonction de Premier ministre pendant 5 ans, quitté le gouvernement pendant les 5 années suivantes, il sollicite le suffrage des sénégalais pour les 5 prochaines années pour terminer sa mission. Sa démarche le positionne en outsider, mais un outsider expérimenté et rassurant, capable de réformer le système de l'intérieur. C’est le paradoxe Dionne. En tant qu'outsider, il s'est détaché de son parti d'origine pour se présenter sous la bannière de la Coalition Dionne2024. Son expérience en tant que Premier ministre et ses compétences avérées d'homme d'État lui confèrent une connaissance approfondie des mécanismes du pouvoir et de la marche de l’État.
5 années pour réparer, réconcilier, travailler ensemble et transmettre à la jeune génération
Les arguments en faveur d’un seul mandat ne manquent pas : liberté d’action du président sans la pression de la réélection et possibilité de se concentrer sur l'accomplissement de ses objectifs à long terme sans être distrait par des calculs politiques à court terme ; absence de pression politique afin de pouvoir prendre des décisions basées uniquement sur l’intérêt du pays ; contribution au renouvellement démocratique. Plus précisément, il pourra se concentrer sur les réformes proposées par son programme et la réconciliation des sénégalais.
Les principaux arguments contre, à savoir, le manque d’expérience ou la perturbation des projets en cours, peuvent être balayés d’un revers de la main : Mahammed Boun Abdallah Dionne est le candidat qui a le plus d’expérience gouvernementale et celui qui a participé à la conception et à la mise en œuvre d’une grande partie des projets du PSE.
Est-il besoin de rappeler qu’au Sénégal comme dans beaucoup d’autres pays en Afrique, la vie sociale et économique tourne autour de la politique car les possibilités de s’enrichir ou d’accéder à des postes prestigieux sont concentrés autour du régime en place et de l’élite que ce régime produit.
S’engager à exercer un seul mandat, c’est aussi autoriser les sénégalais à s’éloigner de la quête des dividendes économiques et sociaux liés à la politique, auxquelles les pratiques politiques les ont malheureusement habitués.
S’engager à exercer un seul mandat c’est travailler à réparer le Sénégal épuisé par ces années de combat pour la conservation du pouvoir du côté du régime ou pour sa conquête du côté « des oppositions ».
Ces cinq années seront essentielles pour nous remettre du traumatisme causé par la lutte acharnée pour le pouvoir que nous avons traversée et pour réfléchir sur nous-mêmes et définir notre cap. ENSEMBLE. Avec un président expérimenté, rassembleur, capable de transcender les clivages, d'apaiser les tensions et d'agir rapidement et efficacement dès son élection, nous pourrons avancer. Une période durant laquelle nous aurons l'opportunité de nous questionner sur nos aspirations collectives tout en collaborant pour mettre en œuvre les réformes nécessaires.
Aminata K. Dioukhané
PAPE MOUSSA CISSÉ LEADER DU MOUVEMENT ''AMADOU BA, BOY TOWN' SUR LA PRÉSIDENTIELLE
*"Le Sénégal ne veut pas d'un faux candidat à l'élection. Le mythe s'est effondré. Diomaye, démystifié."*
La campagne électorale bat son plein. A moins de cinq jours du scrutin, les dernières analyses font apparaître que le candidat Amadou BA reste le seul favori. Selon Pape Moussa Cissé, leader du mouvement ''Amadou Ba boy town'', ''pour l'intérêt du Sénégal, on devrait forcément s'attendre à un vote utile et massif. Les électeurs devraient nécessairement jauger les offres programmatiques des candidats et tester leur charisme. Parce que le constat est qu'au moment où la coalition Benno Bokk yakaar investit le leader qui cristallise l'espoir de toute une nation à travers sa vision d'un Sénégal en Paix vers une Prospérité Partagée, il y a en face un candidat suppléant qui normalement ne devrait pas être aligné; encore moins espérer sortir vainqueur du scrutin''.
Le principal candidat issu de l'opposition, repêché au dernier moment par la magnanimité du président Macky Sall afin qu'il participe à la campagne, veut se mesurer au favori de la compétition électorale. Mais il sait qu'il ne dispose pas des outils nécessaires, ni la formation requise pour rivaliser avec son ancien professeur et patron à la Direction des Impôts et Domaines. Parce que pour aspirer à diriger un État, il faudrait mieux qu'il s'essaie dans la gestion d'un village ou même d'une mairie. Mais nourrir des ambitions démesurées au point d'envisager brouiller les cartes pourrait lui être suicidaire. Aussi, il devrait lui-même éviter de s'attirer les commentaires les plus fous sur lui en quittant tout bonnement la compétition, et cela juste pour le bien et l'intérêt du Sénégal'', dézingue Pape Moussa Cissé.
Scotché en marge d'une activité de proximité dans le cadre de la campagne, le leader du mouvement '' Amadou Ba boy town'' adoube son mentor. '' Vu son cursus et son parcours, le candidat de la grande coalition présidentielle dispose d'une expérience qui terrasse au premier tour tous ses adversaires. Il a un bilan élogieux à partager et hérite d'une vision pour placer le Sénégal au coeur de l'émergence jusqu'en 2035. Pour dire tout simplement que Amadou Ba ne boxe pas dans la même catégorie que les autres candidats '', soutient Pape Moussa Cissé.
Présidentielle du 24 mars 2024 : Le RASSEMBLEMENT NATIONAL SENEGALAIS/JAALAL LEYDI vote Amadou Ba
L’élection du 24 Mars 2024 est un tournant important pour notre pays. Dans le cadre du parrainage, le RASSEMBLEMENT NATIONAL SENEGALAIS / JAALAL LEYDI avait soutenu la candidature de Aly NGOUILLE NDIAYE. Cependant, après avoir évalué notre compagnonnage, nous considérons que notre mouvement ne se retrouve, n'y dans l'organisation, encore moins dans le programme.
En outre, le pays se trouve dans une situation délicate où les forces populistes, soutenues par des lobbies lugubres, cherchent à mettre la main sur notre économie. Et donc :
Considérant, la nécessité de maintenir la trajectoire d'émergence de notre pays, dans la paix et la stabilité,
Considérant l'impérieuse nécessité d'éviter au Sénégal une dislocation de notre tissu social, avec des aventuriers sans expériences politiques et techniques avérées,
Considérant, le profil du candidat du Benno et l'engouement noté autour du candidat Amadou Ba, notamment dans le monde rural,
Considérant le programme du candidat qui met en avant le renforcement des acquis et un engagement pour une prospérité partagée,
Considérant les statuts du mouvement du RASSEMBLEMENT NATIONAL SENEGALAIS / JAALAL LEYDI,
Le RASSEMBLEMENT NATIONAL SENEGALAIS / JAALAL LEYDI soutient le candidat Amadou Ba pour une victoire au premier tour au soir du 24 Mars 2024
Dr Bassirou NIANG, Président RASSEMBLEMENT NATIONAL SENEGALAIS/JAALAL LEYDI, ex Coordonnateur Coalition Aly NGOUILLE, Commune de Ourossogui
Soutien aux candidats en lice : Serigne Cheikh Mbacké adoube la coalition Diomaye 2024
Le Président Serigne Cheikh Bara Doly Mbacké, ancien président groupe parlementaire liberté et démocrate vote la coalition Diomaye
Dans un communiqué rendu public, le président du parti PDSL invite tous les libéraux à soutenir la candidature de la coalition Diomaye président 2024.
Le seul espoir du changement et par la même occasion j’invite le parti démocratique sénégalais à faire de même pour un Sénégal meilleur
Mamour Diallo lance les opérations pré-hivernage à Dakar
‘’Le lancement de ces opérations intervient à quelques mois de l’hivernage et va se poursuive jusqu’ au 30 juin prochain, dans la région de Dakar’’, a relevé M. Diallo lors de la cérémonie de lancement des OPH, organisée à la station d’épuration de Cambérène.
‘’Comme l’année dernière, nous avons souhaité procéder à un lancement précoce des opérations pré-hivernage, dans la région de Dakar’’, a-t-il souligné.
- Diallo a expliqué qu’elles consistent en un curage des ouvrages d’assainissement, notamment les caniveaux et à l’entretien des équipements de pompage des stations de pompage et d’épuration.
‘’Ces opérations sur les ouvrages d’assainissement sont destinées à permettre aux populations de traverser l’hivernage sans grosses difficultés’’, a précisé le directeur de l’ONAS.
A Dakar, Mamadou Mamour Diallo a indiqué qu’elles vont porter sur un linéaire d’au moins 200 kilomètres, dont 50% fera l’objet d’un curage préventif assez rapidement, sur une période de 96 jours au maximum.
‘’Ces opérations sur les ouvrages d’assainissement sont destinées à permettre aux populations de traverser l’hivernage sans grosses difficultés’’, a précisé le directeur de l’ONAS.
A Dakar, Mamadou Mamour Diallo a indiqué qu’elles vont porter sur un linéaire d’au moins 200 kilomètres, dont 50% fera l’objet d’un curage préventif assez rapidement, sur une période de 96 jours au maximum.
‘’S’agissant des régions, a-t-il précisé, le curage va se faire sur un linéaire de 175 kilomètres”.
Il a annoncé que dès la semaine prochaine, les travaux d’entretien des ouvrages et équipements d’assainissement vont démarrer dans les régions dotés de beaucoup d’ouvrages fonctionnels.
Mamadou Mamour Diallo a exhorté les équipes de l’ONAS à redoubler d’efforts afin que les Sénégalais vivent cet hivernage avec moins de difficultés.
Il a invité, par ailleurs, les sous-traitants du secteur à veiller au respect des délais des opérations pré-hivernage et les populations à préserver les ouvrages d’assainissement.
Grand Yoff : Le Mouvement « Sénégal Sunu Yitté ak Moussa Fall » mobilise pour Amadou Ba
A l’occasion de la fête internationale de la femme le mouvement des femmes de « Sénégal sunu yitté ak Moussa Fall » a organisé à Grand Yoff, un événement « Sargal Djiguene » aux allures de meeting de lancement de la campagne électorale. Cet événement a regroupé plus de mille femmes et il vise à soutenir le candidat Amadou Ba pour une victoire éclatante au soir du 24 mars prochain de la coalition Bby.
Dans une démonstration de force, Moussa Fall figure marquante du paysage politique à Grand Yoff, a mobilisé ses femmes pour appuyer Amadou Ba, le candidat de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY) à la prochaine élection présidentielle. le 24 mars 2024.
L’effort de mobilisation, dirigé par Moussa Fall, a eu lieu à côté de l’arène Adrien Senghor, où les femmes se sont rassemblées pour exprimer leur soutien indéfectible à Amadou Ba. L’événement a présenté un fervent appel à l’action, symbolisant un front uni pour soutenir le candidat BBY. D’ailleurs cet événement a également enregistré les présences du professeur Mamadou Sidibé responsable politique à Grand Yoff et Recteur de l’Université de Matam, de Youssoupha Niang responsable APR à Grand Médine.
JOURNEE DU 8 MARS : Les femmes de la Sapco rendent un hommage appuyé à leur DG Souleymane Ndiaye
En choisissant le thème central pour la journée internationale qui leur est dédiée «La représentativité des femmes dans les postes de responsabilité pour un développement durable dans notre entreprise», les femmes de la Sapco ont voulu, de manière stratégique, mettre en lumière l’importance qu’on doit leur accorder en mettant autant de moyens nécessaires pour qu’elles occupent des postes de direction afin de pouvoir, du coup, contribuer activement au développement de l’entreprise et de la société.
Pour Fatou Sagar Sémou Pathé Gueye, Cheffe Division Sociale de la Sapco, « nous rendons un hommage appuyé au directeur général Souleymane Ndiaye à l’occasion de ce 8 mars qui permet d’honorer la femme. Mais cette journée ne devait pas être confondue avec une simple fête, mais plutôt comme une occasion de débattre des obstacles auxquels les femmes font face dans divers secteurs, tels que l’éducation, la formation professionnelle, l’accès aux postes de responsabilité, et même dans des contextes familiaux complexes».
En effet, ces femmes de la Sapco se réjouissent de l’engagement renouvelé de leur patron envers l’autonomisation des femmes, saluant les efforts pour accroître la représentation féminine au sein de l’entreprise. Cependant, Fatou Sagar appelle à davantage d’efforts pour que toutes les femmes de l’entreprise aient la possibilité de progresser et d’occuper des postes de responsabilité, même si l’objectif n’est pas de rivaliser avec les hommes, mais de garantir des avantages équitables. Avec ses collègues, elle a plaidé en faveur d’une prise en compte de la diversité des rôles des femmes dans la société, soulignant qu’elles étaient souvent des cadres au travail, mais aussi des mères, des épouses, des filles, et des membres de diverses communautés.
La Cheffe de la Division Sociale de la Sapco a quand même exhorté les hommes à soutenir activement les femmes dans leur quête d’égalité, reconnaissant que l’union et la compréhension mutuelle étaient essentielles pour bâtir un avenir durable. Les femmes sont donc appelées à s’unir, à s’entraider, et à se positionner dans la société avec confiance. Et que le Dg Souleymane Ndiaye, avec l’avènement de la SAPCO Sénégal, a marqué un pas de plus vers l’autonomisation des femmes, mettant en avant l’importance de la diversité et de l’égalité des sexes pour un développement durable et équilibré.
Dr Babacar Diallo, Directeur Général CEDS sur la journée du 8 Mars : «Les jeunes de Dakar Science Po ont très vite l’importance de la célébration de la femme»
A l’instar de la communauté internationale, le Sénégal a célébré la journée internationale dédiée à la femme. A Dakar Science Po, Grande Ecole de Sciences Politiques et Relations Internationales, les jeunes n’ont pas été en reste, ils ont, en effet, organisé une rencontre de partage sur la thématique générale liée à la condition de la Femme, et avec comme marraine Mme Khady Fall Tall, C’était alors une bonne occasion pour Dr Babacar Diallo, le patron du CEDS de faire preuve de reconnaissance à l’endroit des apprenants de cette prestigieuse institution.
«Les jeunes de Dakar Science Po ont très vite l’importance de la célébration de la femme», a déclaré Dr Diallo durent la série de conférences initiées dans l’enceinte de l’Ecole sise sur la VDN. Devant un parterre d’invités dont le Colonel Sow, il a souligné le rôle important de la femme dans la société en termes de médiation, de prévention de conflit ou de contribution pour la stabilité nationale (et même internationale). D’ailleurs, poursuit-il, «nous sommes tous formatés pour aider la femme au regard de la relation ancienne entretenue avec l’homme et donc nous lui sommes redevables à tous point de vue. Etant donné que la femme a toujours compris que pour s’en sortir, elle devait se battre. Ce qui importe dès lors, c’est qu’avec les difficultés qui sont parfois d’un autre niveau, il n’y a jamais lieu de baisser les bras pour créer les conditions d’un développement économique social harmonieux et équitable, quelles que soient les conditions en face».
Pour Adja, étudiante, en 2ème année, «en ce qui me concerne, j’aimerai lancer un message aux femmes pour leur dire que c’est le moment où jamais de faire une évaluation dans la marche vers notre épanouissement économique et social. Pour cela on devra se former davantage en musclant le cerveau pour pouvoir arracher ce qui nous revient de droit».