mardi 30 avril 2024 | Login
Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Quelle mouche a piqué le jeune Oumar Sow de Yeumbeul pour accuser ouvertement le président de la 4eme institution du Sénégal d'assassin ? A cette question, Moustapha Ndiaye, le leader du Collectif des jeunes de la grande majorité présidentielle (CJGMP) répond par le sourire. ''On ne pouvait jamais penser que la folie pouvait s'emparer à ce jeune qui ne sait pas qu'il accuse un chef d'institution. Ce gosse est tellement idiot qu'il ne mérite pas qu'on s'attarde sur son cas. Mais nous lui disons simplement qu'il se trompe de priorité. En tant que responsable politique comme il se réclame, il avait plus à faire dans sa propre reconnaissance dans le parti où il ne représente absolument rien du tout que de se permettre de chercher du buzz. Qu'il sache que les jeunes Mackystes ne lui donneront aucune possibilité pour exister politiquement '', a répondu le leader des jeunes Mackystes.

 

Pour Moustapha Ndiaye et ses camarades, ''le jeune Oumar Sow, habitant Yeumbeul Sud semble ne plus être avec son esprit. Sinon comment peut-il une seconde regarder le président du CESE Abdoulaye Daouda Diallo et penser à un meurtrier ? C'est énorme comme écart pour ce jeune aliéné qui doit certainement reconnaître un meurtrier dans son propre cercle pour pouvoir accuser d'honorables autorités. Il ne sait pas qu'il peut facilement bousiller sa vie si une plainte lui était adressée. Mais quand on est à la recherche frénétique de buzz pour exister politiquement, ça donne ces genres d'hallucinations.

 

Pour Moustapha Ndiaye, '' tout cela est à ranger dans le lot d'une folie et d'une ambition démesurée qui s'emparent des jeunes qui ne savent pas où mettre les pieds. Et quand on a petite tête, on doit se garder de prendre des comprimés'', raille le leader des jeunes Mackystes.

 

Le Directeur Général de l'Artp, par ailleurs maire de Mbao, soutient fortement la décision du président Macky Sall d’abroger le décret convoquant le corps électoral à l’élection présidentielle prévue le 25 Février 2024. Une déclaration qu'il a fait quelques heures après le discours du président, contrairement à certains proches de l'opposition qui souhaitent reporter leur réaction par apport à la question qui demeure l'actualité.

 

Le maire de Mbao a soutenu, lors de la rencontre organisée par la Cojer de Mbao, que «les raisons de cette décision les rassurent, car le Sénégal est un pays de dialogue, de fraternité et de démocratie très avancée. Macky Sall est républicain et est encore démocrate». Abdou Karim Sall se félicite d’entendre le chef de l’État laisser, au nom de la séparation des pouvoirs, «la commission d’enquête parlementaire faire la lumière sur des accusations de corruption présumée et d’un processus électoral fustigé par la classe politique». Le Directeur Général de l'Artp rappelle que l’article 42 de la constitution donne des prérogatives au chef de l’État, en ce sens que le Président de la République est le gardien de la Constitution. Il est le premier Protecteur des Arts et des Lettres du Sénégal. Il incarne l'unité nationale. Il est le garant du fonctionnement régulier des institutions, de l'indépendance nationale et de l'intégrité du territoire».

 

Par la même occasion, le maire de Mbao appelle ses pairs de la coalition de Benno Book Yakaar du département de Pikine à l'unité et à être en phase avec le président de la république qui a tout donné pour le Sénégal. Il invite les acteurs politiques à militer pour le triomphe de la vérité, à travailler main dans la main pour des institutions fortes et crédibles, et à faire du Sénégal notre priorité. Abdou Karim Sall est en train de poser des actes pour renouveler sa confiance au président Macky Sall et s’engage à ses côtés. La décision de reporter les élections au Sénégal pour la première fois depuis l'indépendance a fait réagir beaucoup de responsables politiques, des analystes, des experts, des constitutionnalistes et entre autres. Il faut rappeler qu'Abdou Karim Sall était le plénipotentiaire de la mouvance présidentielle à Thiaroye si les élections avaient été maintenues.

 

Y.NDIONGUE

Le Mouvement des Handicapés Républicains du Sénégal décerne ses vives félicitations  au Président Macky Sall, après une analyse sereine de la situation du pays. En effet le contexte actuel est jugé trop chargé à cause des contestations des acteurs politiques divisés entre ceux dont la déclaration recevable à participer à l'élection présidentielle du 25 février 2024 et irrecevable pour d'autres.

 

Le Président de la République a proposé une esquisse de solutions pour apaiser les contestations, suite à la consultation des acteurs institutionnels, notamment les têtes d’institution telles que ĺ'Assemblée Nationale, le Chef du Gouvernement, le Conseil Constitutionnel etc., le CESE. A l'issue de celles-ci, Macky a pris d'importantes mesures à savoir l'abrogation du décret portant convocation du corps électoral, et a proposé un appel á un dialogue national, avant de réitérer son objectif de ne pas se représenter pour un troisième mandat. Ainsi, toutes ces mesures entrent dans le cadre de l'apaisement du climat sociopolitique.

 

Y.ND

Les 4 anciens présidents de la république sont catégorisés selon le monde digital. Mais, des orientations fournies au prochain président sont nécessaires à cette ère-ci pour le prochain chef d’Etat. D’où ce condensé de 72 pages et 8 chapitres développé pour tous les citoyens et plus particulièrement les acteurs politiques.

 

En marge de la séance de dédicace de ce livre qui se veut innovant, selon son auteur, El hadji Amadou Samba a déclaré : «c’est un livre digeste, mais l’innovation y est dans la présentation. Les 8 chapitres sont assez explicites et répondent à des questions primordiales pour faire sortir des orientations et des stratégies. Il s'adresse aux candidats alignés pour la présidentielle, mais aussi aux citoyens. Il faut constater aussi que c’est une production de 3 fois 24 pages, une manière de faire la symbolique entre le titre et l'année électorale». Pour l’auteur, «il faut le prendre comme un condensé d'orientations et d'idées de programmes, et aussi de ce qu'on attend d'un chef d'Etat».

 

S’exprimant sur les  raisons de cet outil, «tout est parti du contexte agité dans le quel nous vivons et qui se présente sous forme de scénarios dont cette inflation généralisée sur le plan économique et qui est persistante, et d'autres part, on est dans une sous région très dynamique avec des coups d'état, des zones de tension et où le Sénégal qui présente 260 candidats à l'élection présidentielle, qui a des potentialités, avec des attentes. Ce livre arrive et se met à la place des candidats qui d'habitude produisent des livres de plus de 200 pages, donc difficile pour les citoyens de les lire. Il fallait alors proposer un livre digeste de 72 pages. C'est en tout cas dans les approches qu'il faut innover et on a voulu en faire un livre interactif», soutient El hadji Amadou Samba. Pour qui, «l'autre fait marquant dans ce livre, c'est la création d'une route constitutionnelle que nous justifions et la création de certains fonds, etc. Bref, c'est un ensemble de stratégies qui, si elles sont bien planifiées au delà des solutions et des maux que nous connaissions, pourraient justement venir à bout des problèmes que rencontrent les politiques.

 

Youssouf NDIONGUE

 

Depuis la publication de la liste des candidats à l’élection présidentielle de février 2024 par le Conseil  constitutionnel,  le peuple sénégalais est soumis à une épreuve de transparence et de sauvegarde de la stabilité nationale. Une occasion qu’il a bien saisie pour montrer devant le concert des nations sa maturité politique et son  attachement profond aux valeurs de la paix et de l’inclusion électorale. A travers l’assemblée nationale, instrument d’expression démocratique de  notre pays, le PDS, acteur important de l’arène politique, a saisi cette institution pour exiger que la lumière soit faite sur des soupçons de corruption touchant des membres du Conseil constitutionnel supposé arbitrer les joutes électorales. Convaincu de la justesse de la cause qu’il défend et des conséquences  désastreuses sur notre pays que la volonté aveugle d’organiser l’élection présidentielle, coûte que coûte, pourrait engendrer, ce parti a demandé au Président de la République, à travers ses représentants à l’hémicycle, le report de l’élection présidentielle.

Face à cette situation inédite, le Président Monsieur Macky Sall a encore confirmé sa qualité de leader et d’homme d’état en prenant la responsabilité d’abroger le décret convoquant le corps  électoral et en appelant à un dialogue national pour s’entendre sur les conditions propices d’organisation d’une élection libre et transparente, tout en préservant la cohésion nationale et la fiabilité de nos institutions. Le Mouvement national des arabisants républicains (MNAR), à travers son  coordonnateur, Souleymane GADIAGA, se réjouit de cette décision courageuse et salvatrice et soutient le Président Macky Sall dans sa détermination de sauver nos institutions et d’éviter le chaos à notre pays. Aussi, il le félicite très chaleureusement pour son sens élevé des responsabilités, son  patriotisme et son amour indéfectible du Sénégal, car, ce sont ces valeurs, qu’il a toujours incarnées, qui l‘ont poussé à  refuser d’organiser une élection présidentielle dans un contexte de crise  institutionnelle. En demeurant, le MNAR rend un vibrant hommage au peuple sénégalais souverain et mature pour sa compréhension et son désaveu d’une frange immature et irresponsable de l’opposition affamée et obsédée par le pouvoir qui utilise la désinformation, l’intoxication, la manipulation et la calomnie  pour tenter de diviser la majorité présidentielle et dissimiler ses insuffisances et sa légèreté. Pour terminer, le MNAR invite le Chef de l’Etat à être ferme avec les déstabilisateurs qui menacent de battre campagne et à accélérer le processus de dialogue  national, sans exclusion, ni discrimination, pour trouver une issue consensuelle à la crise.

Youssouf NDIONGUE

 

La presse internationale s’intéresse de près à la situation politique sénégalaise avec les derniers développements liés à l’abrogation, par le chef de l’Etat, du décret présidentiel convoquant le corps électoral pour le scrutin du 25 février 2024. Via une déclaration retransmise en direct à la Radiodiffusion Télévision Sénégalaise (RTS), le Président Macky Sall a simplement évoqué qu’il annule le décret appelant le corps électoral à la date indiquée. Mais cela a suscité des réactions auprès de la classe politique et de quelques membres de la société civile, occasionnant des manifestations de saccages de biens publics, des sorties par voie de presse pour se désolidariser de cette mesure, et autres pneus brûlés dans quelques endroits de la vile de Dakar.

C’est ainsi que les chaines de télévision internationales TV5 et France 24 ont voulu en savoir plus sur ces scènes de violences, ponctuées de menaces et autres appels à défier l’autorité publique, qui ont fini de ternir l’image reluisante de la capitale sénégalaise. Et c’est le Ministre du Commerce, de la Consommation et des Petites et Moyennes Entreprises, Porte-parole du gouvernement du Sénégal, Abdou Karim Fofana  qui monte au créneau pour livrer la bonne information aux téléspectateurs des chaines françaises.

Le Porte-parole du gouvernement déclare d’emblée, en guise de rappel : «Le décret du Président de la République ne permet pas de reporter une élection, parce que la Constitution ne lui donne pas la compétence, ni le pouvoir. Mais le décret prend acte de ce que l’Assemblée Nationale est en train de faire. En effet, le Groupe Démocratie, Liberté et changement, membre de l’opposition, a fait une proposition de loi visant à reporter l’élection. Ce Groupe parlementaire a proposé la mise en place d’une commission d’enquête parlementaire sur le traitement des candidatures, ça c’est un. Ensuite, le Président de la République qui est le garant de la Constitution a pris la mesure de la gravité du conflit qui existe aujourd’hui entre l’Assemblée Nationale et le Conseil Constitutionnel sur des questions de traitement du processus électoral. Je pense qu’on ne doit pas opposer un dogme calendaire face à une nécessité d’avoir un processus électoral fiable reconnu par tous. Le Président n’a donc pris qu’un acte pour permettre à l’Assemblée de faire son travail, donc, il appartient aux acteurs politiques de se réunir, de se parler et de trouver une solution à cette crise institutionnelle ».

Face à la journaliste de TV5, Abdou Karim Fofana clarifie, citant Albert Camus : «Mal nommer les choses augmente au malheur du monde». En effet, pour le Ministre, « il n’y a pas d’annulation de l’élection présidentielle et que le report, c’est à l’Assemblée d’en décider. Beaucoup de médias soutiennent que le Président a prolongé son mandat, ou il est en train de reporter l’élection. Je dis qu’il n’en est rien. Cependant, le groupe Liberté, Démocratie et Changement a déposé une proposition de loi qui a été adoptée par le Bureau de l’Assemblée, qui est présentée aujourd’hui (ndlr : dimanche 4 février) en commission et adoptée, et qui va en plénières demain lundi (et là, je rappelle qu’on ne peut pas augurer de ce que sera l’issue de ce vote). Pour dire juste qu’on ne révise pas et on ne modifie absolument rien. Ce Groupe de l’opposition demande simplement une dérogation parce qu’il y a un conflit».

Répondant à la question de savoir s’il est d’accord pour repousser l’élection à 6 mois ou plus, le Porte-parole du gouvernement fait savoir qu’il est membre de l’exécutif, par conséquent, il ne peut pas se prononcer sur une question qui relève de la séparation des pouvoirs. Mais, précise-t-il, «on a aujourd’hui deux institutions qui sont dans une situation de conflit. Il y a des accusations portées par des acteurs politiques majeurs et soulevées au niveau de l’Assemblée Nationale. Ensuite, il y a eu, aujourd’hui, la proposition de report pour pouvoir revoir les règles du jeu. A préciser aussi que parmi les 49 recalés, il y en a qui ont demandé le report, tout comme il y en a qui se sont plaints du traitement de leurs dossiers lors des parrainages. Et ce sont les mêmes qui sont sur la VDN pour manifester contre ce report, alors qu’ils ont écrit au Président de la République pour le même désir; c’est ça aussi le problème».

Pour terminer, Abdou Karim Fofana renvoie à l’Assemblée Nationale la prérogative de dire ce qui va se passer après le 2 avril 2024. «Ce sujet est du ressort de l’Assemblée Nationale et ce sort va être jugé demain (lundi 5 février) et acter par les députés. C’est le jeu politique, il y en a qui vont faire recours, il y a une partie de l’opposition qui soutient cette proposition de loi, donc il faut laisser le jeu politique se faire. Mais il faut retenir que la position du Président de la République est de faire en sorte qu’il y ait un dialogue ; comme en 1967 où le Président Senghor a décalé une élection présidentielle. Donc l’idée, ce n’est pas d’annuler, ni de reporter, mais de permettre aux acteurs politiques de s’entendre sur les règles. Car, dans le processus, il y a des incompréhensions qu’il faudrait bien annihiler».

Youssouf NDIONGUE

La validation de sa candidature a suscité des réactions ça et là, mais le Pr Daouda Ndiaye a tout de même entamé sa marche vers le palais. En atteste la petite caravane, ce samedi, dans les rues de Pikine, en marge de laquelle, le Professeur Président s’est prononcé sur le report. «Ce que le Président de la République Macky Sall a fait est un coup d’Etat constitutionnel», a-t-i déclaré.

Entouré de ces militants et sympathisants, le Pr Daouda a craché du venin sur l’inopportunité du report prononcé par le Président de la République. «Je dois d’emblée dire que nous n’accepterons pas ce qui a été pris comme décision. L’élection présidentielle aura bel et bien lieu le 25 Février 2024. Par conséquent, j’invite solennellement le Chef de l’Etat Macky Sall de reprendre ce décret et de convoquer le collège électoral pour la stabilité de ce pays. Nous ne pouvons pas comprendre quelqu’un qui est juge et partie», a-t-il fustigé.

«J’interpelle la CEDEAO, les Nations Unies, pour qu’elles viennent arbitrer par rapport à ce qui se passe actuellement au Sénégal. Tout le monde sera responsable de ce qui se passera demain parce qu’on ne peut pas comprendre qu’à quelques heures de la campagne électorale qu’on nous fasse comprendre que le Sénégal ferait mieux de ne pas aller à la présidentielle, je n’ai pas été convaincu de ce qui a été dit».

Pour le Pr, «je suis de ceux qui pensent que le Sénégal est plus important que nous tous. Nous sommes prêts à donner notre vie pour le Sénégal. On s’est battu pour le Sénégal pendant des années et à tous les niveaux. Quand la Covid-19 était là, nous étions au front. Nous avions tout donné pour qu’on puisse se débarrasser de cette pandémie. A chaque fois que le pays a besoin de nous, nous sommes présents donc, personne n’aime mieux que nous ce pays. Personne n’est plus patriote et républicain que nous. C’est pourquoi, j’interpelle le Président pour lui dire que le peuple sénégalais n’accepte pas le report de ces élections». Le candidat déclaré d’inviter tous les candidats qui ont été laissés en rade depuis des semaines et à l’ensemble des candidats de se tenir debout et de faire face à cette situation. «Nous ne pouvons pas comprendre avoir travaillé des années, dépensé plusieurs milliards et à quelques heures de la campagne électorale qu’on nous dise qu’il ne peut pas y avoir d’élection, c’est inadmissible et incompréhensible. A mon humble avis, le peuple sénégalais doit se lever et dire non à cette situation», regrette le Pr Daouda Ndiaye.

On a voulu manipuler l’opinion à travers ma personne et d’autres personnes en disant que je suis de nationalité américaine, c’est qui est faux. Ils veulent tout simplement tromper l’opinion. Tout le monde sait que je suis exclusivement de nationalité sénégalaise. Il y a de la manipulation. S’ils veulent nous empêcher d’aller en campagne, ils n’ont qu’à m’arrêter parce que je vais battre campagne »

Youssouf NDIONGUE

Le couronnement du DG Cheikh Oumar TALL, un entrepreneur résilient, endurant et véritable self made man, n’est en rien une surprise. Ceux qui le connaissent ou l’ont côtoyé savent que le désormais lauréat, du prix ‘’Meilleure Entreprise’’ de Malaw d’Or 2024, se verra octroyer d’autres distinctions.

Le samedi 2 février 2024, s’est tenue à Thies, la 11ème édition du prix Malaw d'or, cérémonie organisée par l'Unacois. Pour cette année, le Groupe Kima Afrique s’est brillamment distingué. Créée en 2001 sous la forme d’une entreprise individuelle, Kima Afrique est devenue aujourd'hui le Groupe Kima, une structure qui joue un rôle prépondérant dans le milieu du BTP et du Génie Civil au Sénégal et à l’international.

Dirigée par M. Cheikh Oumar TALL, ce dernier a su gérer, de main de maître, cette société, malgré certaines turbulences rencontrées à mi-parcours. Le prix Malaw d'Or 2024 qui lui est décerné vient juste à son heure, dans la mesure où, en plus d'être entrepreneur chevronné, Mr TALL a permis à beaucoup de jeunes sénégalais de bâtir leur propre structure ; ce qui prouve son ouverture d'esprit et son sens élevé de la vision entrepreneuriale.

C'est pourquoi il faut bien encourager les initiatives du genre Malaw d'Or, car, ça permet de dénicher des expertises nationales, avec un fort impact dans l'économie du pays. Cette année, l'édition a été très spéciale, car son Excellence Monsieur le Président Macky Sall, s'est vu décerné le prix Lat DIOR d'Or, de par la réalisation de beaucoup de projets liés au programme du Plan Sénégal émergent (PSE).

Après les remises des distinctions, le clou de la soirée a été effectué à travers une prestation de l’artiste de renommée internationale Viviane Chidid, et son groupe le Djolof Band.

 

MEISSA THIAM

 

Le Président Macky SALL s’est adressé à la nation sénégalaise à seulement quelques heures du début de la campagne électorale de la présidentielle qui avait été fixée au 25 février 2024. Dans son discours tenu ce samedi, le chef de l’Etat a d'abord manifesté son attachement aux fondamentaux de la République, ce qui fera dire au responsable politique de l'APR Ziguinchor, Docteur Ibrahima Mendy que le chef de l'état, qui s'est aussi prononcé sur ce conflit ouvert sur un fond supposé de corruption de juges constitutionnels, a simplement estimé que la lumière doit être faite sur cette situation grave et confuse.

 

A cela, soutient toujours Dr Ibrahima Mendy, ''le cas d’une candidate qui a une double nationalité est venue perturbé et chamboulé tout le processus et doit aussi être élucidé''. ''Tout ceci constitue une violation de la Constitution et ainsi, les germes d’un contentieux pré et post électoral.'' argumente le Directeur de la DAPSA. Dr Ibrahima Mendy qui se félicite de la décision du chef de l'état qui, en sa qualité de Président et garant des institutions, ne pouvais intervenir selon lui entre les institutions par respect au principe de séparation des pouvoirs. ''Il a pris acte de la saisine du parti démocratique sénégalais, et en conséquence, compte tenu de la délibération en cours, a signé le décret abrogeant le décret portant convocation du corps électoral et invite l’Assemblée nationale à poursuivre son travail'' dit-il avant de se réjouir de l'annonce faite sur la tenue d'un dialogue national pour davantage réconcilier les Sénégalais.

 

''Macky Sall a une nouvelle fois, fait preuve de grandeur en réaffirmant son engagement a ne pas se présenter à la prochaine présidentielle, c'est qui est la manifestation d'une posture rassurante'' a insisté le responsable politique qui appelle les Sénégalais a faire preuve de patriotisme et de compréhension devant cette situation particulière, cet épisode particulier de la vie de notre démocratie'' souligne-t-il pour conclure

 

 

 

Toutes les attentions étaient rivées sur le Sénégal à l'annonce de la déclaration du chef de l'État sur la situation politique nationale. Mais au finish, le président Macky Sall a pris la ferme décision historique d'annuler la tenue de l'élection présidentielle, avec beaucoup d'adresse et de maîtrise de la chose juridique. Ce qui fait jubiler le leader de la coalition Manko Wattu Senegal (MWS).

 

Pour Ousmane Faye, '' c'est juste que nous tenons à adresser nos vives félicitations au président Macky Sall qui a pris toute la grandeur qui sied pour prendre cette mesure forte et courageuse d'abroger le décret convoquant le corps électoral pour le 25 février 2024. Mais du coup, il y a lieu d'interpeller tous les acteurs politiques face au manque de professionnalisme avéré dont ils ont fait montre et la cacophonie qui a entouré le processus électoral. Ils doivent impérativement changer de comportement.et éviter que pareille situation ne se reproduise, car tout est de leur faute''.

 

Mais, le patron de la coalition MWS se veut clair. ''La politique n'est pas aussi laxiste qu'une certaine classe politique veut nous le faire croire. Et que tout le monde ne peut pas se lever un beau jour et vouloir être président de la république. Il faut qu'on s'arrête un peu et se dire les vérités. Conséquence, aujourd'hui les acteurs politiques sont les seuls responsables de cette situation délétère que nous vivons. Donc nous les invitons à plus de sérénité et de lucidité à répondre à l'appel au dialogue du président pour des élections libres, démocratiques, transparentes et inclusives.''.

 

En tout cas, selon Ousmane Faye, ''la coalition Manko Wattu Sénégal se félicite de la noble décision du président de la république, garant de la bonne marche des institutions qui, face à la situation politique trouble qu'on a vécue, a fait preuve de fermeté et de rigueur qui lui ont valu de bien tenir la barque. Par conséquent, nous devons encore une fois nous réjouir d'avoir un vrai chef d'État qui place le Sénégal au-dessus de toutes les contingences. Pour quelqu'un qui avait déjà fini de faire ses adieux à la fin de son mandat, nous sommes heureux que sa bonne conscience de républicain et de chef dévoué pour la cause nationale l'aient forcé à ne pas laisser le bateau tanguer''.

 

CMU
cmu