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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

"Formalisez votre entreprise" est le module adopté pour tirer la leçon sur les activités qui ont été organisées par le Bureau International du Travail en collaboration avec d'autres partenaires. L'objectif visé c'est de renforcer la petite et moyenne entreprise au Sénégal. 

 

Des séances qui ont durées qui ont durées 5 jours. Il s'agit selon Dramane Aïdara, directeur du Bureau International du Travail, "la Formation Des Formateurs (FDF) qui a été initiée est une activité sous l’égide du projet pour la Promotion de l’entrepreneuriat formel et innovant au Sénégal et en Gambie (PROMEFI) mis en œuvre par le Bureau international du travail (BIT) et sur financement du Gouvernement italien, à travers l’Agence italienne pour la  Coopération au développement au Sénégal (AICS)Objectifs de la Formation : Ce module, intitulé « Formalisez votre entreprise », est développé pour renforcer la capacité des petites et moyennes entreprises par le biais d'organisations de soutien aux entreprises (ADEPME, UNACOIS, CHAMBRE DE COMMERCE, ANPEJ, CGA, CDES)".

 

20 formateurs ont été formés pour mieux dérouler des activités dans ce sens surtout dans la gestion des entreprises. Toujours est-il que pour monsieur Aidara," le plan d'action sera proposé pour aider les entrepreneurs informels à prendre des mesures concrètes en vue de la formalisation. La formation « Formalisez votre entreprise » a déjà été développée et pilotée avec succès en Côte d’Ivoire, puis en Gambie. Il s’agit à présent, après son adaptation au contexte du Sénégal, de procéder à la prise en charge dans ce domaine de formation aux formateurs, issus de structures de soutien aux PME, afin de leur permettre à terme d'en faire bénéficier les entrepreneurs de l’informel au Sénégal".

 

Notre interlocuteur nous signale que, " la formation s’adresse aux représentants des structures de soutien aux entreprises (ADEPME, CCIAD, ANPEJ, CGA, CDES, UNACOIS JAPPO, UNACOIS YESSAL)". Des attestations ont été délivrés aux bénéficiaires de la formation. Un geste qui a été magnifié par la représente de ceux qui ont été formés. Et parmi les intervenants, il y a la Représentante de L'Agence Italienne pour la Coopération au Développement et le Directeur de l'ADEPME, au dela du directeur du BIT. La Représentante du gouvernement italien a mis l'accent sur la contribution imminente de ltalie pour soutenir le secteur.

 

" La formalisation de 'entreprise est un devoir pour les entrepreneurs", explique le directeur de l' ADEPME, selon qui, " un savoir mérite d'être chercher pour la formalisation des entreprises. Le secteur informel est une réalité. Fournir des outils aux formateurs à travers des séances de formation créée des richesses pour améliorer les établissements". Une activité qui a été tenue au moment où plusieurs entreprises sont confrontées à des problèmes en matière de gestion à cause du Covid-19 qui n'épargne pas d'autres pays comme le Sénégal.

Modou Toure

Zone contenant les pièces jointes

 

S'il existe des populations qui sont insatisfaites de leur leader dans le département de Pikine, ce ne sont pas celles qui résident dans la commune de Mbao. En effet, c'est une assemblée générale, suivie d'une déclaration de presse qui a été organisée par les habitants de cette zone pour témoigner leur satisfaction sur la victoire d'Abdou Karim Sall qui faisait face à ses adversaires politiques et candidats pour briguer la mairie de Mbao lors des élections locales du 23 janvier 2022 dernier.

 

D'après le porte-parole des structures qui regroupent des jeunes de la localité, " l'élection du candidat de la coalition de Benno Book Yaakaar à la tête de la commune de Mbao était une démandee sociale. Mbao qui était une commune étouffée, a repris ses esprits. Abdou Karim Sall a commencé à servir la commune bien avant de devenir maire. Ce village traditionnel regorge de pêcheurs qui ont été soutenus en terme de matériels pour le déroulement de leurs activités professionnelles".

 

Lamine, le porte parole des délégués de quartiers, des imams et les notables s’en explique : " les lieux de cultes de Mbao ont été réfectionnés, des groupements de femmes ont été formés et financés sans parler des efforts qui ont été faits dans le domaine de la lutte contre le chômage et la pauvreté. C'est ce qui fait que les populations de Mbao se sont réunizs pour témoigner leur satisfaction sur l'élection d'Abdou Karim Sall à la tête de la municipalité", a-t-il dit à la presse, en présence des sages de la zone. Force est de constater que la sortie des populations de Mbao a eu lieu au moment où le ministre de l'environnement et du développement durable qui vient de battre ses adversaires politiques lors des élections locales qui l'ont porté à la tête de cette localité, est en traîn de dérouler des projets visant à sortir la commune de sa situation.

Modou Toure

 

 

 Beaucoup de peuples aveuglés par des politiciens marchands d'illusions ont fini par regretter leurs chefs d'état. Longtemps après la chute du mur de Berlin, les allemands de l'est ne revenaient de leurs illusions devenues traumatismes. Les peuples iranien, irakien, lybien, chilien,  gambien, malien -et j'en passe!- vivent  aujourd'hui des cauchemars après avoir insulté leur propre histoire,  leurs propres bâtisseurs.

Nous ne souhaitons point que cela nous arrive au Sénégal. !Mais entre le souhait et le  vaste travail politico idéologique qu'il faut entreprendre dès à présent, il y'a encore des mètres cubes de sueur à verser sur le terrain pour pérenniser les acquis, et inverser les tendances négativistes ou nihilistes alimentées par une puissante machine de propagande et de victimisation. Surpris par l'ampleur dans un laps de temps des réalisations du président ingénieur bâtisseur, les opposants aveugles ou aveuglés développent la grisaille ,disons, tentent de cultiver une atmosphère maussade, en surdimensionnant les  difficultés liées conjoncturellement aux lourds impacts de la pandémie covid19 sur l'économie mondiale en général, ainsi que sur les pays peinés par les programmes d'ajustements structurels et par le poids de la dette et de son service.

 

Malgré tout, et  grâce à une ingénierie financière doublée d'un climat de confiance, à travers des réformes du code d'investissements et une démocratie consolidée et sécurisée, l'état du Sénégal attire des partenaires convaincus que notre pays s'est bien lancé dans la voie du développement que confirment les nombreuses infrastructures que ne cesse d'inaugurer avec panache le président de la république. Nous sommes loin de croire à l'unanimisme unipolaire dans la lecture ou l'interprétation des immenses réalisations du président en quelques 9 ans, après 2 ans de correction ou de redressement d'un lourd héritage relatif aux  types de montages des dossiers de financements et  leurs amortissements,  tout en  poursuivant le paiement de la  lourde dette et  de son  service. La population apprécie la large gamme de grandioses réalisations: hôpitaux avec un plateau relevé, écoles et universités de proximité, développement de l'économie numérique, la mobilisation des financements innovants pour la prospection, l'exploitation, la production future et le partage du gaz et du pétrole. Le secteur informel s'est avéré  à la fois pourvoyeur de nombreux emplois et vecteur de croissance dans l'industrie transformationnelle. 

 

Les dorsales électriques, routières et autoroutières,  les nouveaux autoponts, ponts,  ports et aéroports, les pôles urbains et les hubs et zones industriels  ont largement modifié le visage physique du pays, et en plus  considérablement amélioré le climat des affaires.Nous ne connaissons plus les longues périodes de délestages électriques et de pénuries de toutes sortes. Certes, l'hydraulique rurale reste un casse-tête,  malgré les centaines de forages et ouvrages mis en service. Le seul déficit à combler reste le civisme .

L'ennemi des sénégalais est leur propre tendance à  sous-estimer leurs acquis quand le reste du monde nous envie pour notre grande résilience face aux sérieux défis de développement.

Ne jouons pas avec le feu de la violence et de l'intimidation auquel semble avoir pris goût une certaine opposition qui prépare ainsi sans en rendre compte le lit de son autodestruction.

 

"La violence appelle la violence" a t'on coutume de dire. La paix est plus  indispensable que la violence pour le développement d'un pays. 

Détruire et brûler pour accéder au pouvoir est une arme à double tranchant.  Le cas du Tchad en est une parfaite illustration. Les cadres de Benno Book Yakaar,  de Vision Macky 535,  du Club Sénégal Emergent, de la majorité présidentielle mais  également  ceux de l'opposition consciente ont l'impérieux devoir de préserver la démocratie des urnes pour ne pas se transformer  en fossoyeurs d'un grand dessein: le Sénégal de tous pour tous pour lequel le président Macky Sall a jeté les fondamentaux!

 

Mamadou Touré journaliste reporter senegalnews.sn

 

Amener un partenaire qui soutient Iday dans sa fonction de réseau de plaidoyer afin d'engager d'autres partenaires potentiels pour le soutien des initiatives des ONG, tel est l’objectif de la visite effectuée, ce jeudi à Guédiawaye, d’une équipe conduite par Ababacar Sadikh Ndiaye, président de la coalition nationale éducation pour tous (Cnept). «Ce soutien aux coalitions sera surtout financier afin de mener à bien leur travail de plaidoyer qui rassemble toutes les ONG locales en Afrique et qui permettent d'engager leurs autorités à s'inspirer de leur projet à travailler de concert pour une éducation pour tous au Sénégal et en Afrique», réaffirme Nathalie Schots, représentante du réseau Iday international, en marge de la visite de l’école pilote Golf Nord située dans la Ville de Guédiawaye.

 A l’école Golf Nord de Guédiawaye, la délégation est venue pour comprendre le rôle de cette institution scolaire et du maire de la ville dans le processus d'obtention des actes de naissance des enfants qui n'en disposent pas, afin qu'ils ne soient pas handicapés par le simple fait qu'ils n'ont pas été enregistrés à leur naissance. «C’est pourquoi  nous encourageons les autorités du Sénégal, de concert avec l'école, le maire de la ville, les mamans de quartiers où ‘’badiénou Gox’’ de la localité à continuer ces actions de facilitation les actes de naissance», préconise Nathalie Schots. Selon la représentante de Iday International, «il est important pour nous, en tant qu'acteurs de l'éducation pour tous, d'impliquer les autorités locales à travailler ensemble avec la société civile, parce que tous sont conscients du problème. C'est ainsi que nous arriverons à des résultats, comme l'année passée dans cette même école précisément, où justement, nous avons estimé que c’est un formidable exemple d'une parfaite collaboration».

Dans le même sens, le Pr Ababacar Sadikh Ndiaye, président de la coalition nationale éducation pour tous, structure membre de Iday, renchérit : «le choix de l’école pilote s’explique par le fait que nous avions tenu, ici, l'année dernière , le 16 juin,  la journée de l'enfant africain, avec beaucoup de succès. Nous avions fait un focus sur les enfants qui n'avaient pas d’État Civil, mais nous savons que c'est un des points importants avec tout ce que cela induit comme conséquences». Mais, au-delà des problèmes d'état civil, explique le Professeur Ndiaye, il y a lieu de combattre tout ce qui peut amener l'exclusion. «Je me permettrai de saluer l'exemple de nos camarades de Tambacounda qui ont érigé des centres d'état civil secondaires pour rapprocher ces structures afin d'éviter des dizaines de km aux jeunes pour obtenir le précieux bulletin de naissance.  Mieux, nous pensons aussi à  l'informatisation de l'état civil, en tant que partenaire de l'Etat», se réjouit le président de la Cnept. Tout compte fait, l'école pour tout le monde est certes un vœu pieux, mais l'école partout fait partie de notre crédo. «Nous comptons arriver à intéresser tout le monde par des innovations majeures, notamment dans le numérique et dans tant d'autres domaines, mais l'enjeu, c'est véritablement de parvenir à asseoir une école de qualité accessible à tous», se veut Pr Ndiaye.

 

 

 Dans le but de dérouler le tapis rouge à Abdoulaye Daouda Diallo pour ses importants efforts dans leur émancipation économique et leur autonomisation, les femmes du département se mobilisent pour se rendre le 27 mars à Bokki Dialloubé, le fief du Ministre. D’ores et déjà, c’est l’effervescence dans le département, car, la coordinatrice Yata Sow est en train de mettre les bouchées doubles pour démontrer à la face du monde que les femmes du département, en tant que forces vives de la coordination, sont derrière leur parrain, le Ministre Abdoulaye Daouda Diallo qui, sous l'égide du Président Macky Sall et dans la mise en œuvre de sa politique à l'égard des femmes, s'est toujours mis aux premiers rangs pour les distinguer, notamment dans leur autonomisation économique. 

 Réunies derrière la coordonnatrice de Benno Bokk Yakaar, l’honorable député Yata Sow, elles ont déjà ficelé un riche programme qui démarre, le matin, par une journée de consultations médicales, avec des séances de dépistage du cancer du col de l’utérus et du sein. Cette activité sera suivie d’une foire commerciale pour valoriser les produits locaux. Dans l’après midi, va se tenir un panel sur l’autonomisation économique des femmes rurales, qui sera suivi, dans la soirée d’une animation culturelle avec le musicien Baaba Maal et les chanteurs locaux.

Le 27mars donc sera un moment d'intense communion et de remobilisation politique, en perspective aux prochaines législatives, et verra des invités d’honneur comme Mesdames Ndèye Saly Diop Dieng et Fatoumata Tall, respectivement Ministres de la Femme et de la Famille, et de la Jeunesse. Mais cet évènement grandeur nature sera marquée d'une empreinte indélébile avec un grand hommage qui sera rendu au parrain-Ministre des Finances, Abdoulaye Daouda Diallo, en guise de reconnaissance à ses efforts réussis dans le cadre de la promotion et l'accompagnement des femmes, mais aussi par rapport aux multiples services qu'il leur a toujours rendus en mettant en œuvre les instructions du chef de l'Etat Macky Sall. Ce sera aussi l’occasion pour toutes les femmes du département de réitérer leur allégeance au coordonnateur de BBY pour le rôle important qu’il a joué pour la coalition au pouvoir et les importants résultats électoraux qu’il a engrangés depuis l’avènement du Président Macky Sall au pouvoir, avoisinant même les 90%. De sorte qu’en perspective aux législatives, les femmes de Podor derrière Yata Sow se rassurent et savent que les choses se dérouleront comme elles ont toujours été.

   

 

Il est membre de l’association sénégalaise des Amis de la Nature et aussi membre de l’association Zéro Déchet, lui c’est Momath Diaw, étudiant à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis et se dit activiste environnemental par amour et par passion. Accroché à l’exposition de la fondation Heinrich Böll au Cices, dans le cadre du forum mondial alternatif de l’eau, le jeune Momath opte pour la sensibilisation pour éradiquer définitivement l’usage des produits plastiques, justement pour coller à la thématique intitulée ‘’Eau et pollution plastique’’.

Une exposition pour alerter sur les dangers du plastique organisée par la Fondation Heinrich Böll, c’est là où Momath Diaw a déclaré la nécessité de faire un plaidoyer en guise de sensibilisation contre l’usage des sachets plastiques. Mieux, conforte-t-il, «les régions de Dakar et Saint-Louis seront à l’honneur pour des séances d’informations et de partage sur les expériences engrangées dans la lutte contre la prolifération des entreprises de fabrique de sachets d’eau. Nous comptons les faire adopter les possibilités alternatives qui s’offrent aux citoyens et il est important qu’ils les adoptent si on veut préserver l’environnement des produits plastiques», a dit Momath Diaw.

Le forum social sénégalais et la société civile dans son ensemble ne voulaient pas être en reste par rapport à l’évènement phare de la semaine de l’eau qui se tient à Dakar depuis le lundi 21 Mars. «Il y a une corrélation entre la qualité de l’eau et l’essor pris par la vente de l’eau dans des sachets en plastiques, avec tout ce que cela comporte comme méfaits et dangers sur l’environnement, l’agriculture, l’élevage et bien d’autre secteurs. Parce que justement si l’eau était potable, on ne verrait certainement pas la floraison d’usines de fabrique et de vente d’eau dans des sachets», fait constater Momath Diaw

A la suite d’un décret présidentiel l’ayant récemment nommé Directeur du Patrimoine culturel national,  M. Omar Badiane a été officiellement installé dans ses nouvelles fonctions par le Secrétaire général du ministère de la Culture et de la communication, Habib Léon Ndiaye, représentant le ministre Abdoulaye Diop. C’était ce mardi 22 mars 2022 dans les locaux de la dite institution, en présence d’autorités administratives telles le directeur national du Grand- Théâtre M. Sané, de notabilités, de proches, de parents et des collaborateurs du promu.

Dans une cérémonie sobre mais empreinte de chaleur et d’enthousiasme, il a appartenu à Mme Diarra Ngom assurant l’intérim d’un poste laissé vacant par le défunt directeur des lieux M. Abdou Aziz Guissé, de souhaiter la bienvenue au nouveau directeur qui, selon elle, n’est pas un inconnu du bataillon.  «  Nous t’accueillons à bras ouverts et nous t’assurons de notre engagement à tes côtés pour l’accomplissement de ta mission ». Au nom du ministre de la Culture et de la communication, Habib Léon Ndiaye, a d’abord vanté les qualités d’homme du sérail de Omar Badiane. « Sa connaissance profonde de la chose culturelle et son engagement vont suffire pour réaliser dans ce département, les performances attendues de lui ». Le répertoire des sites et monuments culturels,  la numérisation des données culturelles, auront suffi, entre autres, pour dresser les axes majeurs d’une lettre de mission » a-t-il ajouté.

Avec verve et brio, le nouveau directeur du patrimoine culturel national, qui a bien semblé avoir « pleine connaissance de la mission dévolue, dans un contexte aux enjeux socio- historico- économique assez complexes et aux défis multiples à relever », a ainsi campé le décor et les paramètres centraux de sa zone d’intervention. Ainsi, dans un monde globalisé marqué par le rendez- vous du donner et du recevoir, il n’a pas manqué de paraphraser le président- poète Léopold Sédar Sengor. Pour surtout « l’indication et l’ouverture de boulevards de collaboration, de partenariat au besoin, avec d’autres secteurs de la vie active et d’autres domaines aux imbrications certaines avec la chose culturelle ». C’est dans ce cadre qu’il aura ainsi compris et défini « la culture comme enracinement et promotion de l’identité d’un peuple et d’une société, mais aussi comme une donnée poreuse ouverte aux souffles fécondants de l’extérieur ».

M.

 

Omar Badiane, a finalement accordé une pleine gratitude accordée d’abord aux êtres chers qui l’ont formaté dès sa prime enfance et qui lui ont permis de devenir ce qu’il est aujourd’hui, aux différents collaborateurs, collégues qui ont jalonné son parcours professionnel ( Zuiguinchor, Kolda, Sdhiou, Dakar), au ministre de la Culture et de la communication Abdoulaye Diop, au président de la république Macky Sall.

Il a finalement compté sur la pleine collaboration et l’engagement de sa nouvelle famille ( retrouvée), pour pouvoir acomplir la mission dévolue, avec les résultats attendus et les performances escomptées.

Mohamed Al Amine THIOUNE

 

La LONASE a présenté ce lundi sa nouvelle offre de produits dans la gamme PMU : ‘’la masse commune internationale’’. «Cette nouvelle offre est une agrégation de mise entre 34 pays dont le Sénégal. Les parieurs sont soumis au même règlement et également au même type de calcul des rapports au prorata des mises et des devises par pays. Les 34 pays sont composés de 20 pays d'Europe, 3 d'Asie et d'Amérique et 11 d'Afrique. Les parieurs peuvent gagner 327 500 000 FCFA les dimanches, et une cagnotte allant jusqu'à 1million d'euros par an», explique le Directeur Lat Diop devant ses partenaires. 

La masse commune internationale représente une innovation majeure pour la société nationale de jeux. Elle constitue un renforcement et un élargissement de la gamme du PMU. Autre innovation il y a également le développement du portefeuille des produits. «Un produit donc incontournable pour les parieurs. La masse commune internationale a non seulement des enjeux plus intéressants, mais également une gamme de paris beaucoup plus riches et de gains plus importants. Outre la satisfaction client, la masse commune internationale devrait permettre à la LONASE de recruter des clients qui seraient intéressés par les gains consistants qu’elle va présenter. Comme vous le constatez, notre PMU s’ouvre désormais au reste du monde. Nous sommes maintenant dans la cour des grands. Notre chère clientèle sera ravie d’être traitée au même titre que celles des grands hippodromes qui se trouvent à Paris, en Afrique du sud, en Allemagne, à Hong Kong, en Autriche pour ne citer que ceux-là. Ils percevront dorénavant les mêmes gains grâce à l’unicité des rapports», a fait savoir Lat Diop Directeur Général de la LONASE

Pour ce qui concerne le client, poursuit Lat Diop, «les avantages concernent plus de choix et de possibilités de gagner. La LONASE leur propose de continuer à jouer en masse séparée comme ils le font actuellement, mais également en masse commune. Les paris sont différents selon qu'on soit en masse séparée ou en masse commune. Quel que soit le budget du parieur, il aura la possibilité de pouvoir jouer. Le point fort de cette masse commune ce sont les gains». La LONASE propose aux parieurs jusqu'à 327 500 000 FCFA les dimanches. «Il y a le Quinté Plus pour que les parieurs qui trouvent l'arrivée dans l'ordre aient la possibilité de se partager cette somme. Lors des grands événements, il y aura des tirs libres jusqu'à un milliard, voire deux milliards. Le nouveau né de notre offre commerciale va inévitablement prendre en charge les deux préoccupations majeures de notre clientèle à travers le retour  du Quarte+ sur le marché et l’instauration des gains conséquents», a ajouté directeur général.

 

 

 

Le personnel administratif et enseignant du Groupe de l’Institut Supérieur de Management se désole du manque de volonté de l’administration de l’ISM pour faire avancer les choses et apporter des solutions à sa plateforme revendicative. En conférence de presse, ce mercredi 16 mars, au siège du SUDES de l’UCAD, les travailleurs ont rappelé leurs problèmes et ont décidé de se battre pour la satisfaction de leurs doléances. D’ailleurs, ils annoncent le dépôt d’un préavis de grève incessamment.

 

Nous poursuivrons toutes les étapes du processus afin de pouvoir déposer un préavis de grève qui nous permettra d’ouvrir une série d’actions syndicales que nous allons mener jusqu’à la satisfaction de nos réclamations de droit et revendications », a averti Mme Faye. Elle dénonce le mutisme de la direction et menace de déposer un préavis de grève.

 

Elle a aussi évoqué les réclamations de droit des enseignants, le droit à l’indemnité de logement, à la prime d’enseignement, à l’indemnité de recherche, à l’indemnité de résidence et à l’indemnité de sujétion spéciale des enseignants des cycles du secondaire et supérieur.

 

« En cas de récidive ou que la délégation note une certaine preuve d’indulgence de la part de la direction face à de tels agissements, nous saisirons les hautes juridictions et n’hésiterons pas à mener des actions syndicales » ajoute-t-elle.

 

Pour rappel, depuis le 09 novembre 2021, la direction générale de l’ISM, est restée silencieuse sur les revendications des délégués du personnel de cette institution. « Ceci est la raison pour laquelle nous avons décidé d’inscrire la lutte syndicale dans la constance jusqu’à obtention de gain de cause lors de la conférence de presse tenue ce mercredi 16 mars 2022 ».

MT

 

En prélude au Forum Mondial de l'Eau, la ville de Dakar a organisé une randonnée pédestre, une activité significative pour Dakar et son Maire Barthélémy. La Ville est co-organisatrice du Forum Mondial de l'Eau cette année et la vision du Maire est que les citoyens et citoyennes puissent sentir qu'ils sont impliqués dans ce processus de réflexion pour trouver des solutions à la problématique de l'Eau. 

 

‘’Et voilà pourquoi en prélude à ce forum qui débutera lundi 21 nous avons organisé au niveau de la ville de Dakar hier le pré-forum sur la thématique ‘’L’EAU A DAKAR, DAKAR DANS LES EAUX’’ et nous sommes heureux de constater que les Dakarois ont répondu présent pour assister à cette randonnée pédestre’’, selon Valérie Sokhna Dionne, Chargée du dialogue de la ville de Dakar

M Touré

 

CMU
cmu