Malal DIALLO Pithi
Bassirou Sow sur le différend entre l’Etat et la Fédération des écoles coraniques : « Le Président Macky Sall n’a jamais pensé combattre qui que ce soit, encore moins les daaras »
Des divergences profondes sont actuellement notées entre l’Etat, à travers le Ministère de Ndèye Saly Diop Dieng, notamment le département de la Protection de l’Enfance que dirige Niokhobaye Diouf et la fédération des écoles coraniques. Des problèmes qui se sont amplifiés jusqu’à susciter chez les maitres coraniques des menaces de mort et autres injures qui, finalement, atterrissent en justice. Mais Oustaz Bassirou Sow, le leader de la Fnjaas, qui suivait de très près cette affaire a condamné l’attitude des membres de la fédération des écoles coraniques qui, ses yeux, travaillent à gérer des intérêts bassement matériels en cherchant à récolter des fonds plutôt qu’à défendre les écoles coraniques.
Dans l’affaire opposant le Ministère de la Famille et la fédération des écoles coraniques, le coordonnateur de la Fnjaas (fédération nationale des jeunes afro arabes du Sénégal) tranche et met à nu certaines pratiques commises par les membres de la fédération des écoles coraniques. Selon Bassirou Sow, « j’ai assisté, du début à la fin, à toutes les réunions entre le Ministère et la Fédération des écoles coraniques. J’ai par devers moi tous les comptes rendus des rencontres, toutes les pièces justificatives et tous les procès verbaux des réunions, mais je m’inscris en faux contre ce que disent le Président et le secrétaire général de la fédération des écoles coraniques. Le Président Macky Sall ne combat pas les daaras, encore moins l’Islam. Ce qu’ils disent est totalement faux. Au contraire, c’est eux qui exercent des chantages et mettent la pression sur l’Etat afin de bénéficier de prébendes et des privilèges. J’en ai les preuves et je les mets au défi, s’ils contredisent mes propos, je les brandis », a menacé Oustaz Bassirou Sow qui regrette que la fédération travaille plus à se faire de l’argent plutôt qu’à être au service des écoles coraniques. « Ils squattent les ministères à la recherche de fonds, de passeports diplomatiques et de billets à la Mecque pour aller quémander auprès des organisations internationales au nom des écoles coraniques » dénonce le leader de la Fnjaas.
Faisant la genèse de cette affaire, Oustaz Bassirou Sow retrace : « Dans sa volonté d’interdire la mendicité des enfants-talibés dans les rues, l’Etat du Sénégal, à travers le Ministère de la Femme, de la Famille et de la Protection des Enfants avait saisi toutes les organisations des écoles coraniques à bien diligenter cette question afin de réussir ce projet. La Covid 19 intervenue entre temps accélère ce processus pour éviter une contamination rapide et grandissante auprès de ces mômes, surtout si l’on connaît les conditions dans lesquelles les talibés évoluent. Et donc grande a été la surprise des membres de la fédération des écoles coraniques qui, constatant que la Direction de la Protection des Enfants est sur le terrain en train de s’activer, estiment que l’Etat s’est joué d’eux et qu’il n’a pas respecté ses engagements et autres promesses de les accompagner. Et depuis lors, c’est des attaques par voie de presse par le bureau de la fédération, ou même des menaces à l’encontre de Niokhobaye Diouf, le Directeur de la Protection des Enfants. Ce dernier finit par saisir la justice et des rendez-vous sont aujourd’hui fixés au Tribunal pour vider définitivement cette question ».
Covid 19: L’AUF débloque un million d’euros pour soutenir les initiatives universitaires
Dans le cadre de son plan d'action spécial COVID-19, l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) a lancé, du 10 avril au 5 mai 2020, un appel à projets international pour soutenir, au sein de ses établissements membres, des initiatives d’étudiant·e·s, d'élèves-ingénieur·e·s et de jeunes chercheur·e·s liées à la pandémie. Si un fonds exceptionnel de 500 000 euros y était initialement consacré, le grand succès qu’a connu cet appel, près de 2000 projets de 79 pays, et la qualité des projets proposés ont conduit l’AUF à doubler sa subvention qui atteint désormais un million d’euros et permettra de financer 92 projets issus de 87 établissements membres dans 44 pays*.
L’objectif de cet appel à projets est d’accompagner la réponse de la communauté universitaire à la pandémie et de soutenir le développement de solutions à impact technologique et/ou social immédiat pour aider les systèmes de santé et les populations à faire face à cette crise sanitaire inédite.
Les dossiers recevables ont été évalués par les comités d’experts rattachés aux 10 directions régionales de l’AUF dans les Amériques, en Asie-Pacifique, dans la Caraïbe, en Afrique centrale et Grands Lacs, en Afrique de l’Ouest, en Europe de l’Ouest, en Europe centrale et orientale, au Maghreb, au Moyen Orient et en Océan Indien.
Ils présentaient une grande variété de domaines : programmes d’aide aux populations vulnérables, fabrication de matériels de protection pour les soignants, projets de recherche sur des médicaments, applications numériques pour étudier la pandémie, etc.
À l’occasion de l’annonce des résultats de l’appel à projets, le Recteur de l’AUF, Slim Khalbous, a déclaré : « L’appel à projets international « Jeunes Chercheurs » lancé dans le cadre de notre plan COVID-19 a connu un succès sans précédent et je me réjouis de cette large mobilisation de la communauté scientifique francophone ! L’AUF avait prévu d’allouer un fonds de 500 000 euros, toutefois, face aux très nombreux projets de qualité reçus, j’ai décidé de porter exceptionnellement ce fonds spécial à 1 million d’euros afin d’en accompagner un plus grand nombre. De plus, j’engage dès aujourd’hui des démarches auprès de nos partenaires pour rechercher des financements additionnels et les inviter à soutenir ensemble la jeunesse francophone innovante ! »
Au final, 92 projets portés par 87 établissements d’enseignement supérieur de 44 pays seront financés, pour une durée allant de trois à six mois, et leur mise en œuvre débutera, pour certains, dès le mois de juin.
Pour consulter la liste des projets sélectionnés, cliquez ici.
* Algérie, Argentine, Bénin, Bolivie, Brésil, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Canada, Chili, Chypre, Colombie, Comores, Congo, Côte d'Ivoire, Cuba, Djibouti, Espagne, Fidji, France, Gabon, Haïti, Inde, Iran, Liban, Luxembourg, Macédoine du Nord, Madagascar, Maroc, Maurice, Monténégro, Niger, République démocratique du Congo, République démocratique populaire lao, République de Moldavie, Roumanie, Sénégal, Suisse, Tchad, Thaïlande, Togo, Tunisie, Ukraine, Viet Nam.
À propos de l'AUF
L’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) est le premier réseau universitaire au monde avec 990 établissements membres dans 118 pays, et 59 implantations réparties sur les cinq continents. Opérateur expert en recherche et savoir de la Francophonie créé il y a près de 60 ans, l’AUF intervient dans de nombreux domaines comme la formation, la recherche, le numérique, la gouvernance universitaire, l’entrepreneuriat et l’employabilité des étudiants, ou encore le développement durable. www.auf.org
CROISSANCE ET EMPLOI EN AFRIQUE: UBA réaffirme son engagement en faveur du développement du continent
JOURNEE MONDIALE DE L’ AFRIQUE 2020: UBA va célébrer l’héritage panafricain de la banque
ABDOUL AZIZ SECK COORDONNATEUR DU MPSE, "POUR GAGNER LA GUERRE CONTRE LA COVID 19, ON DOIT FAIRE L'UNITÉ AUTOUR DE L'ESSENTIEL"
Mes chers compatriotes, camarades du Mouvement patriotique sénégalais pour L'émergence MPSE.
OPPORTUNITES DU COVID-19 EN AFRIQUE: Tony Elumelu invite les dirigeants à réinitialiser le continent
Covid 19: L'appel de Thierno Lo à la classe politique
Covid 19 : Déclaration du Mouvement des handicapes républicains du Sénégal
En réunion concertation par Whatsapp, le bureau exécutif du mouvement national des handicapes républicain du Sénégal s’est penche sur le discours à la nation du président de la république son excellence monsieur Macky Sall du 11 mai 2020.
D’emblée le bureau exécutif salue le discours humaniste, rationnel, digne enrobé dans la maturité d’un homme d’Etat responsable qui croit en dieu, a son prophète Seydina Mouhamad (saw) au génie et à la capacité de résilience du peuple sénégalais. Apres analyse lucide le bureau exécutif a retenu du discours du président de la république deux axes majeurs
- La primauté de la logique sociale sur la logique épidémiologique
- -la responsabilisation <responsable< du peuple sénégalais
1/de la primauté de la logique sociale et sociétale sur la logique épidémiologique
Derrière toute grande personne il y a une grande dame.la présence de la première dame Marieme Faye Sall une femme typiquement sénégalaise pétrie d’une croyance religieuse exempte de toute reproche et d’un amour sans limite au sceau des prophètes rassoulilahi (saw) en ce mois béni du ramadan explique en partie cette sérénité ce courage et cette lucidité dans la prise de décision du président Macky Sall. Très ancré dans les valeurs de diom, de kersa, de respect, et très proche de son peuple, le président a compris les difficultés que vit la grande majorité des sénégalais dans la dignité stoïque. Ce digne peuple malgré la rareté des ressources a accepté les mesures de confinement édictées par les autorités en charge de la pandémie. Ainsi en grand humaniste, le président Macky Sall ne saurait ne pas entendre son brave peuple dans ses pulsions, ses plaintes et complaintes objectives. c’est ainsi qu’il a privilégié la logique humanitaire, humaniste, sociale et sociétale sur la logique épidémiologique. Nous saluons le caractère humain des mesures prises par le président qui visent la réouverture des marches, des loumas, l’assouplissement de l’État d’urgence, la réouverture des lieux de culte, le soutien économique, assouplissement des travailleurs saisonniers etc...toutes ces mesures ont été prises dans la concertation des spécialistes, des autorités religieuses, coutumières et en toute prudence. Le ben soutient sans réserve ces mesures et lui demande de rester dans sa logique très responsable de gestion de la pandémie du covid19
2/ de la responsabilisation <responsable< du peuple sénégalais
<il faut apprendre a vivre avec la présence du virus. Loin d’abdiquer comme le prétendent déjà les politiciens en perte de vitesse, oiseaux de mauvaise augure, le président donne confiance au peuple sénégalais grand peuple qui sait comprendre les enjeux de cette guerre avec un lâche ennemi, invisible, pernicieux, vicieux, sournois et dangereux. Pour vaincre cet ennemi, le président macky sall compte sur la responsabilisation de tout un chacun. De la responsabilité individuelle possède la responsabilité collective, en passant par les responsabilités médicale, gouvernementale, religieuse, confrérique etc. Aucune n’est
de trop pour vaincre le coronavirus et bouter hors d’Etat de nuire. Ne cédons ni à la peur, ni à la panique a l’idée de vivre en présence du virus qui recule et disparait avec l’application des mesures de lavement des mains, du port du masque, du respect de la distanciation physique, du bannissement des regroupement de personnes, bref de l’abandon des mauvaises habitudes qui frisent indiscipline et la saleté.
Le ben ne saurait terminer la concertation sans saluer avec beaucoup de respect la mesure du chef de l’État qui consiste à rapatrier les corps de nos compatriotes décédés à l’étranger de coronavirus. Cela démontre encore de plus que le président Macky Sall est un grand croyant qui tient au respect de la
digne d’un musulman. La seule obligation est le respect des conditions d’hygiène édictées par
les autorités sanitaires. Aussi le ben remercie, encourage et félicite le corps médical, qui, nuit et jour ne ménage aucun effort pour porter le combat sans répit contre le covid19. Il demande au professeur Seydi et a ses collaborateurs de pardonner ces quelques désagréments du fait de certains ignorants illumines qui ne comprennent pas la valeur de la personne humaine ; en général ils ont démissionné de la vie. D’ailleurs le ben le peuple à respecter les médecins et à leur prêter une oreille attentive, de l’aide et de l’assistance accrue à l’image de la croix rouge : on ne pourra vaincre la pandémie que dans la discipline individuelle et collective en respectant les mesures barrières des autorités. Le ben salue le courage du ministre de la santé et de l’action sociale et son staff et lui demande de redoubler d’effort et de rester dans la ligne qu’il s’est trace. Nous présumons qu’il maitrise la situation. Les forces de l’ordre et de défense ne sont pas en reste dans leur rôle de sensibilisation, de protection des populations, de veille et d’éveil des consciences.
Le leadership africain voire mondial du président Macky Sall n’est plus à démontrer. Sa clairvoyance, la sérénité et la lucidité dans la prise de décision est à magnifier dans toute son exemplarité.
Le ben salue l’esprit pragmatique et le génie inventif de leur coordinateur le camarade Toumany Camara qui leur permet aujourd’hui de se concerter par Walschap et d’apporter leur soutien aux décisions courageuses du chef de l’État. Le ben exhorte ses membres a rester vigilants tout en respectant scrupuleusement les recommandations et directives des autorités sanitaires et administratives. Le ben a terminé sa concertation par d’intenses prières pour juguler le mal.
Vive le Sénégal : ensemble pour vaincre le virus du corona !!! Fait a Dakar le 12/05/20
Le coordinateur Toumany camara
Réouverture des écoles : Les écoles privées laïques étalent leurs frustrations
C’est sous forme de courrier adressé au chef de l’Etat que les écoles privées laïques ont fait part de leur surprise et de leurs frustrations suite à la décision de rouvrir les écoles dans le cade d’un déconfinement progressif. Par la plume de Ismaël Camara, c’est toute l’inquiétude qui est étalée à travers cette correspondance dont les auteurs espèrent une meilleure compréhension de la part du Président Sall. La lettre in extenso.
« Monsieur le Président de la République, nous venons de traverser une semaine de tension artificielle créée par des politiciens, des hommes analphabètes et fanatiques. Le savoir, tel que décliné dans le Coran et la Bible, est source de PAIX, d’apaisement du cœur et de l’esprit. L’absence d’argument fait toujours place à la violence verbale et physique. Dans l’assouplissement des conditions de l’état d’urgence, vous avez, une fois de plus fait preuve de hauteur et d’esprit d’ouverture. Vous avez prouvé votre statut d’homme d’état accompli. « Apprendre à vivre avec le virus » est loin d’être un slogan ; c’est une morale dans toute sa splendeur, un conseil rigoureux, un comportement salvateur. La vie de chaque individu est tributaire de son prochain. Vous avez abordé toutes les questions relatives à une reprise acceptable des Ecoles. Cependant le problème dramatique que vivent les enseignants du privé laïc a été occulté. En effet, depuis trois mois ces agents, pères et mères de famille, vivent sans ressources, sans salaires. Les bailleurs de fonds que constituent les parents d’élèves ne payent plus malgré l’engagement pris à la rentrée des classes. En outre, la décision prise de n’accepter provisoirement que les classes d’examens conforte les parents d’élèves dans cette décision. Les élèves des classes d’examens constituent à peine 1/10 des effectifs des écoles et seulement 1/6 du personnel sera sollicité pour assurer ces cours.
Alors demander aux enseignants du privé laïc de reprendre le chemin de l’école relève véritablement du volontarisme. L’aide financière promise aux écoles privées reste floue et les critères d’attribution éventés n’augurent rien de bon. Par ailleurs, nos élèves seront inéluctablement exposés au virus au danger. Le Ministère de l’éducation et les pouvoirs décentralisés (les MAIRES), dans l’attribution des dons, de la formation pédagogique, des fournitures scolaires ignorent royalement les écoles privées qui se prennent entièrement en charge. Le matériel sanitaire (lave mains, mouchoirs, thermo-flash, robinet, savons,….) restera du luxe inaccessible pour nous et nos élèves. Nos vies, celles de nos enfants, celles des familles importent-elles très peu pour vous ? Je ne le pense pas. Je suis certain que dans votre approche tous les citoyens sont concernés à tous les niveaux par vos actions salvatrices. En est-il de même pour votre gouvernement, vos collaborateurs ? Vous me permettrez de rappeler que les écoles privées laïques font les meilleurs résultats chaque année : du CFEE au BAC (régulièrement entre 95% et 100%). En développant ces écoles dites de proximité, le taux de scolarité et le rendement scolaire ont été décuplés. Les parents d’élèves y trouvent leurs comptes plus particulièrement nos émigrés qui nous confient leurs enfants. Leur confinement et leur chômage technique en Europe ajoutent une couche supplémentaire au chaos qui frappe ces écoles. Nous savons que cette situation est extrêmement difficile, les plaies béantes multiples et les moyens limités. Mr le Président, je fais appel à votre sens élevé de vos responsabilités, à votre profond humanisme pour solutionner, dans les tout prochains jours ce drame qui nous assaille, pour étayer le pan essentiel de notre système éducatif.
Doyen Ismaïla CAMARA
Covid 19 / Distribution inquiétante des denrées alimentaires à Guédiawaye, Mame Cheikh Seck monte au créneau et dénonce avec la dernière énergie les manquements
La distribution des denrées alimentaires dans le cadre de la lutte contre la propagation du Covid 19 commence à prendre une tournure inquiétante à Guédiawaye. C’est la Génération des Forces Citoyennes (GFC) qui monte au créneau pour dénoncer des manquements dans le ciblage des ménages. En dehors de ces déboires, il y a aussi la discrimination sur le recensement des personnes vulnérables. Ainsi, les membres de la GFC ne vont pas tarder à saisir le président de la République et le Général Ndiaye qui gère le dossier. D’où la tenue d’un point de presse pour dénoncer la gestion de l’aide alimentaire par les autorités locales. Selon son président Mame Cheikh Seck, « nous constatons pour fustiger amèrement ce qui se passe à Guédiawaye dans la distribution de denrées alimentaires destinées aux ménages. Ce qui se passe ici dépasse l’entendement, car, non seulement il y a beaucoup à dire dans le choix des ménages, mais même pour procéder au recensement des personnes, il y a encore des problèmes. On se demande même comment ces autorités là font pour ne pas procéder dans la justice et dans la légalité dans leur choix. Pour toutes ces raisons, parmi tant d’autres, nous allons incessamment saisir le chef de l’Etat pour lui faire de la situation qui se passe à Guédiawaye. Mieux, nous allons faire une ampliation au Gl Ndiaye pour y remédier au plus vite, sinon les vrais bénéficiaires de cette aide risquent d’être laissés en rade au détriment de ceux qui n’en ont absolument pas le droit », dénonce avec vigueur Mame Cheikh Seck. Par rapport aux mesures d’assouplissement édictées par le Président Sall, Mame Cheikh Seck et ses amis déclarent avoir vu venir. « Vers un déconfinement progressif, c’est ce à quoi on s’attendait. En tant qu’acteurs de la société civile, réunis autour de GFC Guédiawaye, nous avons estimé que l’Etat ne pourrait continuer à supporter la prise en charge sociale de tout en peuple pendant une éternité. Par conséquent, « on allait droit vers un déconfinement progressif et c’est ce que le chef d’Etat a annoncé hier lors de sa déclaration télévisée ».
Youssouf NDIONGUE