Des Premières dames d’Afrique ont appelé mardi à "combattre la souffrance" que vivent les femmes africaines victimes de l’infertilité, en misant sur l’éducation et l’autonomisation par le biais d’activités génératrices de revenus.
Elles participaient à la 5e conférence de la Fondation Merck en tant qu’ambassadrices de la campagne "Merck More than a mother".
"Nous devons sensibiliser, mettre l’accent sur l’éducation pour combattre la souffrance causée par l’infertilité", a par exemple souligné la Première Dame du Botswana, Néo Jane Masisi.
Pour la présidente de la Fondation "Cri de cœur d’une mère" et Première dame de la République Centrafricaine, Brigitte Touadera, "l’autonomisation des femmes sans enfant est une manière de les réhabiliter sur le plan social et de combattre la stigmatisation dont elles victimes".
Dans ce sillage, la Première dame du Sénégal, Marième Faye Sall, estime que "l’engagement de la fondation Merck dans le domaine de la santé est une grande marque de l’humanité".
"Des millions de personnes sont aidées à préserver ce qui est précieux d’elles", a indiqué Mme Sall, en rappelant que l’infertilité, le diabète, l’hypertension artérielle et le cancer sont les principaux thèmes de cette rencontre.
Selon Aissata Issoufou Mahmadou, Première dame du Niger, "il faut désormais prendre en compte ce sujet sensible. Malgré le taux de fécondité élevé dans mon pays, l’infertilité est importante".
"Des activités génératrices de revenus, des soins de santé appropriés doivent être donnés au femmes infertiles pour créer un changement de comportement sur cette question", a préconisé Mme Issoufou.
"Je suis particulièrement sensible à l’amélioration de la santé des femmes et plus précisément celle des femmes sans enfant", a pour sa part souligné la Première dame du Ghana, Rebecca Akufo Addo.
"Nous devons les autonomiser mais surtout travailler sur la sensibilisation avec toutes les violences que ces femmes subissent. Des études ont même montré que 50 % des cas d’infertilité sont dus aux hommes", a ajouté Mme Addo.
Cette rencontre, présidée par la Premier ministre du Sénégal Mahammed Boun Abdallah Dionne, avait comme invités d’honneur, outre Marième Faye Sall, les Premières dames du Botswana, du Ghana, du Niger, de la République centrafricaine, de la Sierra Leone, du Tchad et de la Zambie.
Elles participaient à la 5e conférence de la Fondation Merck en tant qu’ambassadrices de la campagne "Merck More than a mother".
"Nous devons sensibiliser, mettre l’accent sur l’éducation pour combattre la souffrance causée par l’infertilité", a par exemple souligné la Première Dame du Botswana, Néo Jane Masisi.
Pour la présidente de la Fondation "Cri de cœur d’une mère" et Première dame de la République Centrafricaine, Brigitte Touadera, "l’autonomisation des femmes sans enfant est une manière de les réhabiliter sur le plan social et de combattre la stigmatisation dont elles victimes".
Dans ce sillage, la Première dame du Sénégal, Marième Faye Sall, estime que "l’engagement de la fondation Merck dans le domaine de la santé est une grande marque de l’humanité".
"Des millions de personnes sont aidées à préserver ce qui est précieux d’elles", a indiqué Mme Sall, en rappelant que l’infertilité, le diabète, l’hypertension artérielle et le cancer sont les principaux thèmes de cette rencontre.
Selon Aissata Issoufou Mahmadou, Première dame du Niger, "il faut désormais prendre en compte ce sujet sensible. Malgré le taux de fécondité élevé dans mon pays, l’infertilité est importante".
"Des activités génératrices de revenus, des soins de santé appropriés doivent être donnés au femmes infertiles pour créer un changement de comportement sur cette question", a préconisé Mme Issoufou.
"Je suis particulièrement sensible à l’amélioration de la santé des femmes et plus précisément celle des femmes sans enfant", a pour sa part souligné la Première dame du Ghana, Rebecca Akufo Addo.
"Nous devons les autonomiser mais surtout travailler sur la sensibilisation avec toutes les violences que ces femmes subissent. Des études ont même montré que 50 % des cas d’infertilité sont dus aux hommes", a ajouté Mme Addo.
Cette rencontre, présidée par la Premier ministre du Sénégal Mahammed Boun Abdallah Dionne, avait comme invités d’honneur, outre Marième Faye Sall, les Premières dames du Botswana, du Ghana, du Niger, de la République centrafricaine, de la Sierra Leone, du Tchad et de la Zambie.