dimanche 22 décembre 2024 | Login
Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Les promesses électorales, n’engagent-elles que ceux qui y croient ? Dans son programme électoral, qui s’est inspiré du « Projet » Pastef, le nouveau président Bassirou Diomaye Faye avait promis d’instituer des concours et surtout « un appel à candidatures pour les postes de directeurs généraux ». Un engagement réitéré, mais « reprécisé », lors du Conseil des ministres du 17 avril dernier. 

 Selon le communiqué dudit Conseil, il a demandé au chef du gouvernement, Ousmane Sonko, de « préparer un projet de décret relatif à l’appel à candidatures pour certaines hautes fonctions dans les secteurs public et parapublic ». Le président de la République a également demandé au Premier ministre et au ministre en charge de la Fonction publique, Olivier Boucal, « de finaliser, dans les meilleurs délais, un projet de loi relatif à l’accès à la fonction publique, en vue d’assurer l’égalité des chances d’accès aux emplois et fonctions dans l’administration publique ».

Une semaine plus tard, Bassirou Diomaye Faye a procédé à plusieurs nominations de directeurs généraux de sociétés publiques et d’agences étatiques. Ces changements concernent notamment la Radiotélévision sénégalaise (Rts), l’Aéroport international Blaise Diagne (Aibd), le Port autonome de Dakar, entre autres.

Cette promesse, fortement agitée de nominations sur la base d’un appel à candidatures, suscitait beaucoup d’espoir, car elle s’inscrit dans une perspective de rupture. Ce serait une première dans l’histoire du Sénégal que de si de hautes responsabilités puissent être soumises à des appels d’offres, au détriment d’un système archaïque qui se préoccupait davantage du clientélisme politique, une avancée majeure pour la bonne gouvernance et la transparence.


Mais le chef de l’Etat et son Premier ministre semblent se confronter à la réalité du pouvoir politique et aux exigences de la gestion des affaires publiques.

En tout cas, pour ce qui est des 17 nouvelles nominations, ils ont bien placé leurs hommes, en attendant peut-être les dizaines d’autres directions et agences nationales. 

Ces appels à candidatures n’étant pas encore actés, il faut juste rappeler qu’une promesse reste une promesse.

 

 

Dans le cadre de la finalisation de   la construction de la ligne haute tension et du poste de Touba 2 d’une capacité de 2x40MVA ,du projet « Boucle du Ferlo»,

Senelec informe son aimable clientèle que pour sécuriser davantage l’alimentation électrique de Touba et préparer l’édition 2024 du Grand Magal, des travaux importants vont nécessiter une interruption du fonctionnement du poste  225/30kV de Touba les 27 et 28 avril 2024 de 08h à 17h.

 

Ces dits travaux vont permettre le raccordement de la nouvelle ligne 225kV qui relie l’ancien poste Haute Tension (Touba 1)   et le nouveau poste haute tension (Touba 2), la maintenance des ouvrages du poste actuel Touba 1 pour garantir leur disponibilité surtout en période de Magal et la préparation à la mise en service du nouveau poste prévue en juin 2024.

 

Cette interruption de service va impacter les localités de Darou Khoudoss, Gouye Mbinde, Taïf, Darou Minam, Mbacké, Darou Marname.

Senelec présente ses excuses à sa clientèle pour les désagréments occasionnés par ces perturbations indépendantes de sa volonté.

                                                                      

                                                                                      La Directrice

Le Sénégal cité en bon exemple pour son processus électoral réussi.

  1. Amadou Mame DIOP a présidé la 15e Conférence des Présidents d’Assemblées et de Sections de la région Afrique de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie (APF) à Balaclava, à Maurice, les 18 et 19 avril 2024. A cette rencontre de haut niveau qui a enregistré la présence de nombreux Présidents d’Institutions parlementaires et Présidents délégués de sections africaines, le Sénégal a été cité en exemple pour son processus électoral réussi.

Les Parlementaires de la Francophonie ont exprimé leur fierté au peuple sénégalais et décerné un satisfecit à l’Assemblée nationale du Sénégal, qui a assumé sa mission avec responsabilité et joué pleinement son rôle tout au long du processus qui a mené à une alternance paisible et transparente. Sur la même lancée, ils ont rendu un vibrant hommage au Président Macky Sall pour son leadership et la parfaite organisation de la dernière élection présidentielle. Ils se sont particulièrement réjouis de la bonne passation de pouvoir, teintée de cordialité, entre le président sortant et son successeur, le Président Bassirou Diomaye FAYE, à qui ils ont adressé leurs chaleureuses félicitations. Revenant sur la situation politique dans l’espace francophone, les parlementaires ont particulièrement salué la maturité et la vitalité de la démocratie sénégalaise. Lors de la cérémonie d’ouverture, le Président de l’Assemblée nationale du Sénégal, M. Amadou Mame DIOP, Président de la 15ème Conférence des Présidents d’Assemblées et de Sections de l’APF de la région Afrique, a également mis l’accent sur l’importance de cette réunion statutaire, tout en relevant les sujets majeurs du moment, sources de préoccupation des Parlementaires du continent.

En marge de cette réunion, le Président Amadou Mame DIOP a eu des rencontres bilatérales avec son homologue de la République de Maurice, Monsieur Sooroodjev PHOKEER, Président de l’Assemblée nationale du Maurice et de la Section mauricienne et avec les délégations de la Côte d’Ivoire, du Gabon et du Cameroun. Enfin, en sa qualité de Président de la Conférence, le Président DIOP a remis, au siège de l’Assemblée nationale, à l’Honorable Pravind Kumar JUGNAUTH, Premier ministre de la République de Maurice, l’insigne de la Pléiade, Ordre de la Francophonie et du Dialogue des cultures, lors d’une cérémonie qui s’est déroulée en présence des membres du Gouvernement mauricien, des parlementaires et du corps diplomatique. Cette Conférence a été l’occasion pour le Délégué régional Afrique d’informer la Conférence des Présidents de la participation des Parlementaires africains aux réunions statutaires de l’APF, des missions politiques et électorales, de la participation de l’APF aux activités des organisations partenaires, de la tenue de la première édition du Parlement régional des jeunes d’Afrique, de la redynamisation des sections africaines et des actions de coopération.

 

 

Une sortie médiatique fortement relayée par la Presse sénégalaise en ce lundi 22 Avril. Cette proposition est impertinente et dénuée de sens pour un ancien Premier Ministre pensons-nous. Monsieur Mbaye, avant de faire cette sortie maladroite devait au moins se prémunir de certaines garanties à savoir :

- Qu’est-ce qui est à la base de l’achat d’un avion présidentiel?

- Qu’est-ce que cela rapporte au pays acheteur ?

Les avions présidentiels de Léopold S. Senghor à Macky Sall, quelle en est l’historique ?

Ne faudrait-il pas demander conseils aux spécialistes en la matière ?

 

Autant de questions légitimes qui auraient certainement aidé l’ancien Premier Ministre dans sa prise de position unilatérale. De Senghor à Sall, en passant par Diouf et Wade, la gestion de l’avion présidentiel a toujours fait l’objet de débats pertinents et parfois stériles. Pour exemple, alors que nous étions dans l’avion prêté par Kadhafi pour participer à un Sommet de l’Union Africaine à Syrtre, le Chef de l’Etat sénégalais de l’époque, à savoir Me Wade, s’est rendu compte à notre arrivée en Libye que tous les Chefs d’Etats, ou presque, étaient venus avec leur avion présidentiel. En témoignaient les drapeaux nationaux qui flottaient sur la devanture des avions. Grande fut la surprise du Président Wade de constater que le Sénégal faisait partie des rares pays qui ne disposaient pas d’un avion présidentiel. Ce jour là, le Chef de l’Etat sénégalais disait que disposer d’un avion présidentiel relevait d’une question de souveraineté nationale. Ainsi, Abdoulaye Wade s’en est ouvert au Président de la Guinée équatoriale qui, par la suite, l’a invité à visiter son avion personnel. Un véritable bijou qui avait beaucoup émerveillé le Président de la République.

 

A cette époque, avec le NEPAD, les têtes de pont du leadership africain étaient incarnées par le Président Kadhafi de la Libye, Thabo Mbeki d’Afrique du Sud, Olesegun Obasanjo  du Nigéria et Abdoulaye Wade du Sénégal. Nous avons en mémoire l’escale du Président Nguema à Dakar pour permettre au Président Wade et au pilote de l’avion présidentiel, le Général Madické Seck, un pilote chevronné, de visiter l’avion très sophistiqué du Président Equato-guinéen. Quelques jours après notre retour à Dakar, le Président Abdoulaye Wade décida d’acheter un nouvel avion pour préserver l’honneur du Sénégal au cours des grandes rencontres internationales où chaque chef d’état venait avec son avion. Malheureusement, il s’en est suivi un débat inutile qui avait fini de polluer l’atmosphère politique au Sénégal. Nous avons tous en mémoire le brûlot d’Abdou Latif Coulibaly qui s’en était pris ouvertement au Président Wade et à son régime. La suite, nous la connaissons à travers des sorties médiatiques qui n’honorent pas notre pays. L’avion présidentiel est un outil de travail qui permet au Chef de l’Etat de voyager en toute indépendance et en toute quiétude pour défendre les intérêts du Sénégal. Nous devons en faire un bon usage et ne jamais le vendre pour quelque raison que ce soit.  Disposer d’un avion présidentiel est loin d’être un luxe, mais une question de souveraineté nationale et de sécurité pour marcher au rythme des temps modernes.

 

Mbaye DIOUF

Ancien conseiller spécial à la Présidence de la République

Leur présence auprès du Président sortant, Macky Sall, n’est pas passée inaperçue. Il s’agit du nouveau ministre sénégalais des Finances et du Budget, Cheikh Diba, et de son collègue de l’Économie, du Plan et de la Coopération, Abdourahmane Sarr.

D’après Enquête, qui donne l’information, les membres du premier gouvernement du Président Bassirou Diomaye Faye ont rencontré le prédécesseur de celui-ci, en présence des dirigeants de la Banque mondiale (BM) et du Fonds monétaire international (FMI), en marge des Assemblées annuelles de Printemps de ces deux Institutions financières.

Que se sont-ils dit ? Le quotidien d’information se demande si le nouvel envoyé spécial du 4 P (Pacte de Paris pour les peuples et la Planète) ne jouerait-il pas les chaperons pour les deux membres du nouveau régime ?

 

 

 

La faible représentation des femmes dans le nouveau gouvernement du Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, fait débat. Une pétition a été déjà lancée par les militantes féministes. De l’avis de Felwine Sarr, c’est un combat légitime.

« La politique, ce sont aussi des actes symboliques. Je crois qu’il a une vraie sous-représentation des femmes dans le gouvernement (4 sur 30). Elles représentent 49,6 % de la population totale, et donc, il était important que le Gouvernement reflète cela », justifie l’écrivain et philosophe sénégalais dans un entretien accordé au journal Le Soleil depuis l’Université Duke aux États-Unis où il enseigne.

Le professeur titulaire d’ajouter : « Sur le plan économique, elles représentent 80% de la force de travail dans le monde rural et agricole, mais ne possèdent que 2% des terres. Quand on regarde les statistiques sur la pauvreté au Sénégal, 33% des femmes vivent en dessous du seuil de pauvreté (2,15 dollars par jour), 94% travaillent dans le secteur informel, et elles ont trois fois plus de chances de ne pas être employées alors qu’elles représentent 40% de la force de travail dans le pays. »

« Dans les ménages, poursuit l’économiste, les travaux démontrent que lorsque l’on accroît le bien être et la prospérité ds femmes, il y a un effet bénéfique pour toute la famille, y compris en éducation et en santé. »

Pour lui, « un ministère de la Femme semble nécessaire » car appuie-t-il, « les femmes ont des problématiques qui leur sont spécifiques » mais également « une économie féminine » c’est à dire « qui prend en compte et améliore la condition des femmes parce qu’on ne peut pas avoir de la prospérité dans le pays si la moitié du corps social est victime d’un certain nombre de handicaps et d’asymétries. »

Felwine Sarr conclut : « Dans tous les domaines, on trouve des femmes qui sont très compétentes et capables de diriger des Ministères. C’est une revendication tout à fait normale et légitime. »

 

 

Dans le cadre de la 28ème édition du mois africain de la prévention des risques professionnels, l’Association des Paramédicaux d’Entreprise du Sénégal (APES), en partenariat avec la Caisse de Sécurité Sociale (CSS) a organisé, ce Samedi 20 avril 2024, un atelier autour du thème : «La sécurité et santé au travail dans les secteurs  d’activité à fort potentiel de risque : défis et stratégies d’interventions». La journée a été présidée par M. Alioune Sall, président de l’APES et El Hadji Abdoul Aziz Sarr, infirmier d’Etat qui pour étayer sur les accidents de travail, notamment sur les causes et la mise en place des actions de préventions et de sensibilisations pour supprimer ou réduire ces risques.

 

Selon M. Alioune Sall, «les accidents causent beaucoup de morts, et souvent c’est des négligences ou de l’indiscipline. Parfois aussi, c’est des défiances humaines qui causent ces accidents. Et à chaque fois qu’il y a des morts, il y a des problèmes de perte d’argent et de temps par rapport aux soutiens aux familles». Et pour apporter des solutions, Me Sall soutient qu’au niveau des entreprises, «il y a lieu de se conformer à la loi et aux règlements afin de mettre en place les matériaux qu’il faut à la disposition des travailleurs pour les protéger contre les accidents du travail. Et de faire de l’éducation auprès du personnel un moyen de sensibiliser les travailleurs. Parce que souvent, certains parmi eux, par rapport aux questions de sécurité et de santé, négligent certaines pratiques. La santé au travail, c’est surtout la prévention, elle n’est pas curative», a soutenu le président de l’Association des Paramédicaux d’Entreprise du Sénégal. 

 

Pour Cheikh Mbacké Diop, administration à la caisse de sécurité sociale et Expert en Sécurité et Santé au Travail, «la caisse de sécurité sociale a l’ambition de pérenniser le mois de la Prévention qui, pendant un mois, nous devons conscientiser les chefs d’entreprise et les travailleurs sur les accidents de travail. Il faut donc évaluer régulièrement l’efficacité des mesures de prévention mises en œuvre et ajuster les interventions en fonction des résultats obtenus, en vue d’améliorer continuellement la sécurité et la santé au travail». Pour l’Expert en Sécurité et santé au travail.  Ainsi, la caisse fait des descentes dans les entreprises pour sensibiliser. «Bien qu’on fasse du contrôle, la sensibilisation est extrêmement importante pour la caisse. On se rend dans toutes les entreprises du Sénégal pour sensibiliser.  C’est pour cela d’ailleurs qu’on initie des bourses aux étudiants pour les encourager à s’intéresser davantage sur la question des accidents au travail».

 

Le Directeur Général de l’AGETIP, M. El Hadji Malick GAYE, a participé ce jour à la réunion de prise de contact dans les locaux de la cour suprême, faisant suite à la saisine de cette dernière. A l’instar du building administratif Mamadou Dia, l’Agetip vient d’être sollicitée pour accompagner la cour Suprême dans le cadre du projet de rénovation et d’extension de son siège sis corniche Ouest. 

 

Le Directeur Général, s’est dit honoré et enthousiaste d’accompagner cette très haute institution judiciaire de l’Etat. Il a remercié le Secrétaire Général M Mamadou DIAKHATE pour cette marque de confiance et de reconnaissance de l’expertise d’AGETIP. Entouré de tout le staff du management de la cour, Monsieur DIAKHATE dira : « Ce projet entre dans le cadre du Plan Stratégique de Développement de la Cour qui passe de quatre (04) chambres à huit (08) avec des prévisions de massification accompagnées de plans de carrières. Ce projet dure depuis plus de 14 ans et c’est après maintes recherches que nous avons aboutis à saisir Agetip compte tenu de ses résultats que nous suivons. 

 

Il a remercié le Directeur Général de s’être personnellement déplacé alors qu’ils avaient sollicité une audience à l’Agetip. Ce qui est un signe d’humilité ». Le Directeur Général a marqué son accord donnant donc favorablement suite à la saisine et expliqué brièvement le mode d’intervention de l’Agence. Pour finir il a annoncé les étapes suivantes et immédiates pour que temps ne soit pas perdu. 

 

SN/SHN

 

Atos annonce avoir été choisi par l’institut Pasteur de Dakar dans le cadre d’un projet de grande ampleur visant à encourager la diversification des activités industrielles de l’Institut. Il consiste en la mise en œuvre d’un système de gestion intégrée des processus et de gestion de maintenance assistée par ordinateur. Ce contrat s'inscrit dans la stratégie de développement de l'institution, visant à diversifier ses activités industrielles, notamment dans la fabrication de produits pharmaceutiques innovants tels que des vaccins et des tests de diagnostic rapide, ainsi que leur distribution à l'échelle mondiale.

La mise en place du progiciel de gestion intégrée SAP, ainsi que d’une production et d’une maintenance assistées par ordinateur, joueront un rôle clé dans la réalisation des objectifs fixés par l’Institut Pasteur de Dakar. Ils permettront de renforcer la transversalité dans le fonctionnement de l’organisation et l’exécution des processus, de mettre en œuvre une solution unique partagée entre le siège et les unités opérationnelles, ainsi que d’accroître la productivité et l’autonomisation de certaines tâches, tout en optimisant le suivi budgétaire et l’expérience des collaborateurs.

Ce projet illustre l’expertise du Global Delivery Center (GDC) d’Atos au Sénégal dans le déploiement du progiciel SAP et sa capacité à répondre aux exigences de qualité spécifiques au secteur pharmaceutique. Le GDC est outillé pour prendre en charge des projets ERP de grande envergure et les délivrer dans des délais optimaux. Ce projet complexe devra être livré dans un délai de 15 mois.

DR Amadou SALL, Administrateur Général, Institut Pasteur de Dakar a souligné : « Il s’agit d’un projet stratégique pour l'Institut Pasteur de Dakar et nous sommes heureux de pouvoir compter sur l’expérience et l’expertise d’une entreprise telle qu’Atos pour proposer des solutions innovantes et de qualité dans un secteur aussi spécifique que l’industrie pharmaceutique. »

Momadou NDOYE, Directeur Général d’Atos au Sénégal a déclaré : « Cette collaboration renforce notre position en tant que contributeur actif du processus de transformation digitale à l’œuvre au Sénégal. Nous sommes déterminés à dépasser les attentes de l'Institut Pasteur de Dakar et à contribuer de manière significative au succès de ce grand projet de modernisation ».

 

À propos d’Atos

Atos est un leader international de la transformation digitale avec environ 105 000 collaborateurs et un chiffre d’affaires annuel d’environ 11 milliards d’euros. Numéro un européen du cloud, de la cybersécurité et des supercalculateurs, le Groupe fournit des solutions intégrées pour tous les secteurs, dans 69 pays. Pionnier des services et produits de décarbonation, Atos s’engage à fournir des solutions numériques sécurisées et décarbonées à ses clients. Atos est une SE (Société Européenne) cotée sur Euronext Paris.

La raison d’être d’Atos est de contribuer à façonner l’espace informationnel. Avec ses compétences et ses services, le Groupe supporte le développement de la connaissance, de l’éducation et de la recherche dans une approche pluriculturelle et contribue au développement de l’excellence scientifique et technologique. Partout dans le monde, Atos permet à ses clients et à ses collaborateurs, et plus généralement au plus grand nombre, de vivre, travailler et progresser durablement et en toute confiance dans l’espace informationnel.

À propos de l’Institut Pasteur de Dakar

Créé en 1924, l'Institut Pasteur de Dakar IPD) œuvre pour accélérer l'accès équitable, durable et abordable à la santé en Afrique. Fondation sénégalaise à but non lucratif reconnue d'utilité publique, l'IPD fournit aux communautés des solutions de santé et des services de laboratoire, s'engage dans la recherche biomédicale de pointe et l'innovation, fabrique des vaccins et des diagnostics essentiels pour les populations africaines, développe le capital humain et s'engage dans des activités de santé publique telles que la veille épidémique, la réponse aux épidémies et la surveillance.

Le directeur général de l’Agetip, M. El hadji Malick Gaye, a participé ce jour à la réunion de prise de contact dans les locaux de la cour suprême, faisant suite à la saisine de cette dernière. A l’instar du building administratif Mamadou dia, l’Agetip vient d’être sollicitée pour accompagner la cour suprême dans le cadre du projet de rénovation et d’extension de son siège sis corniche ouest. 

 

Le directeur général, s’est dit honoré et enthousiaste d’accompagner cette très haute institution judiciaire de l’état. Il a remercié le secrétaire général M. Mamadou Diakhate pour cette marque de confiance et de reconnaissance de l’expertise d’Agetip. Entouré de tout le staff du management de la cour, monsieur Diakhate dira : « ce projet entre dans le cadre du plan stratégique de développement de la cour qui passe de quatre (04) chambres à huit (08) avec des prévisions de massification accompagnées de plans de carrières. Ce projet dure depuis plus de 14 ans et c’est après maintes recherches que nous avons aboutis à saisir Agetip compte tenu de ses résultats que nous suivons. 

 

Il a remercié le directeur général de s’être personnellement déplacé alors qu’ils avaient sollicité une audience à l’Agetip. Ce qui est un signe d’humilité ». Le directeur général a marqué son accord donnant donc favorablement suite à la saisine et expliqué brièvement le mode d’intervention de l’agence. Pour finir il a annoncé les étapes suivantes et immédiates pour que temps ne soit pas perdu. 

 

CMU
cmu