jeudi 17 juillet 2025 | Login
La rédaction

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Responsable politique de l'Alliance Pour la République (APR) dans la Commune de Yeumbeul/Sud (dép. Keur Massar), M. Oumar Sow revient avec force détails sur la réception, sans remonter si loin, du Train Express Régional (TER). Le Conseiller spécial du Président de la République Macky Sall qui salue vivement la pertinence du projet ayant abouti à la concrétisation de cette vision large de son mentor politique, affirme : «Avec cet outil de transport moderne, notre pays le Sénégal vient d'amorcer sa vitesse de croisière dans sa trajectoire vers l'émergence socio-économique». C'est pourquoi, il en appelle au bon sens de tout le monde pour un sursaut national, histoire de contribuer grandement au  maintien de la paix sociale et l'unité nationale, seul gage pour arrimer notre chère nation dans le peloton des pays respectables et respectés. 

 

«Je félicite son Excellence Monsieur le Président de la République Macky Sall pour la transformation de notre pays à tous points de vue. Depuis son arrivée au pouvoir, il a beaucoup fait pour le Sénégal. Le rayonnement de notre diplomatie et le leadership éclairé ont forgé une autre image de nous. Sur le plan infrastructurel, l'inauguration récente du TER, le BRT, le Port de Ndayane pour décongestionner le Port Autonome de Dakar, les autoroutes tous azimuts, la construction d'aéroports et autres pistes de production à l'intérieur du pays en disent long sur sa volonté ferme de pousser notre pays vers la réussite. Sur le plan social,  le programme "Xéyu Ndaw gni" avec la DER, les Bourses de Solidarité Familiale, la CMU soulagent nos familles. Que dire des mille milliards sortis par l'Etat pour la résilience des ménages  durant la pandémie  du Covid-19? L'inauguration, hier,  du nouvel avion d'Air Sénégal  vient d'étoffer notre parc .Tout cela est à l'actif du Chef de l'Etat qui est un développeur mais, pas un beau parleur. Voilà un homme qui fait plus de sillage que de remous», s'est expliqué M. Sow.

 

Et le géniteur de l'APR au Gabon, d'inviter: «Aujourd'hui, il faut  être atteint de cécité pour ne pas voir ou sentir  les belles relations du régime du Président Macky. Le Fast-Track  est maintenant au cœur du développement du Sénégal. Il est devenu une réalité dans le management du pays. Sur ce, je lance un appel, pour un sursaut collectif, afin de  consolider la paix sociale,  sauvegarder  l'unité nationale, la stabilité, garantir l'équité, mais aussi, assurer  le bien-être à tous les citoyens sénégalais. Je crois dur comme fer que c'est à ce prix seul qu'on aura un "Sénégal de tous, un Sénégal pour tous", une terminologie très chère au Président de la République  Macky Sall».

 

 

Le garde des Sceaux, ministre de la Justice, Me Malick Sall a présidé, ce jeudi, la Conférence nationale des chefs de parquet. Ce qui contribue à procéder à la vulgarisation des deux nouveaux mécanismes en l’occurrence le bracelet électronique et l’ONRAC. Sous le thème « les innovations majeures introduites par les dernières réformes des lois portant Code pénal et Code de Procédure pénale : les exemples du bracelet électronique et de l’Office national de Recouvrement des Avoirs criminels (ONRAC)», qui permet à des plaignants de pouvoir recouvrir leur biens saisis, la rencontre s’inscrit dans la réalisation de l’Objectif de Développement Durable (ODD) 16 qui vise à promouvoir l’avènement de sociétés pacifiques et ouvertes aux fins du développement durable, assurer l’accès de tous à la justice et mettre en place, à tous les niveaux des institutions efficaces, responsables et ouvertes. Elle marque le début des activités du parquet pour l’année judiciaire nouvelle.

 

A l’en croire son Excellence Me Malick Sall, le Gouvernement ne ménagera aucun effort pour entamer et poursuivre les grands chantiers et changements, sur instruction du chef de l'État Son Excellence le Président Macky Sall pour que notre pays continue de peser et de la plus belle manière dans le concert des nations d'où 250 Milliards seront investie pour 69 infrastructures sur une durée de 6ans 2021-2023 / 2023-2025/ 2024-2027 dont: 9 prison, 41 tribunaux, 12 centres d'accueil. Dans un contexte où le crime devient de plus en plus transnational, le ministre exhorte aux chefs de parquet à s’approprier de ces instruments internationaux et ceux pris aux niveaux régional et sous-régional en l’occurrence, la Convention de l’Union africaine contre la corruption et les conventions de la CEDEAO en matière d’entraide et de lutte contre la corruption.

 

« C’est un truisme d’affirmer que beaucoup d’actions ont été menées dans le secteur de la Justice ces dernières années, le rendant ainsi de plus en plus performant au bénéfice du peuple sénégalais. Les réformes concernent aussi bien le système pénitentiaire que le dispositif juridique et institutionnel de gestion des biens saisis et confisqués en matière pénale et le recouvrement des avoirs », a-t-il soutenu avant de poursuivre : « En faisant le choix cette année d’échanger sur certaines innovations introduites dans le Code pénal et le Code de Procédure pénale, l’objectif fixé est clair : il s’agit de procéder à la vulgarisation des deux nouveaux mécanismes en l’occurrence le bracelet électronique et l’ONRAC, qui font partie désormais du paysage judiciaire sénégalais. Ces nouveaux dispositifs, une fois mis en œuvre, je n’en doute point, permettront d’une part, d’éviter ou d’amenuiser, l’effet désocialisant de l’incarcération et d’assurer d’autre part, la valorisation des biens saisis ou confisqués ainsi que l’effectivité de la sanction pénale et notamment la peine complémentaire de confiscation.

En vos qualités d’autorités de poursuite, acteurs clés du dispositif judiciaire, je vous exhorte, à vous approprier ces outils qui contribueront à assurer l’efficacité des activités des parquets et par-delà du secteur public de la Justice ».

 

La Conférence Nationale des Chefs de Parquet doit être ainsi, pour le ministre, une occasion pour promouvoir la coopération et les échanges entre autorités de poursuite ainsi que le partage de vos intérêts communs. « C’est également le lieu, de rappeler une requête portant sur l’unification des pratiques des parquets dans les domaines qui vous sont communs. Enfin, la Conférence devrait à travers une démarche constructive se prononcer sur les projets législatifs ou les lois déjà adoptées et mises en œuvre lorsque, dans votre pratique quotidienne, des difficultés sont relevées. Le format de la conférence pourrait être revu, en vue de renforcer davantage et régulièrement la communication entre autorités de poursuite.

 

Ainsi, je voudrais-je, sous la coordination de la DACG et des procureurs généraux, mettre en place très rapidement des groupes de travail permanents qui devront appuyer la Conférence en se penchant notamment sur des thématiques majeures telles que le crime organisé, l’enquête de police, la coopération judiciaire, l’exécution des peines et l’aménagement des peines.

Vos contributions sont attendues dans ce sens. Cela facilitera des rencontres périodiques et dynamiques mais aussi, une meilleure prise en main des questions qui vous interpellent tous dans l’exercice de vos missions respectives. Une plateforme de collecte et d’échange de bonnes pratiques pourra être mise en place. La législation pertinente dont vous aurez besoin ainsi que toute la documentation relative aux thématiques majeures utiles, pour ne citer que ces aspects, la nourriront », a-t-il assuré.

 

Son Excellence Me Malick Sall Garde des sceaux, estime qu’à l’étape de l’enquête, la justice ne fait que traiter les cas semblables de façon identique. « Les dossiers seront traités correctement et de la même façon. Les droits (des uns et des autres) seront respectés et la justice fonctionnera normalement. Tout le monde sera traité de la même façon », a dit le ministre.

  1. Touré

 

C’est sous l’impulsion du regretté champion de l’industrie sénégalaise feu Ameth AMAR, que les Grands Moulins de Dakar ont rejoint le Ministère de la Santé en 2019 dans le projet de réhabilitation du pôle Mère-Enfant de l'hôpital Régional Abdoul Aziz Dabakh. C'est dans le cadre des actions RSE que le bâtiment de l'hôpital a été rénové et  équipé a coût de 34 millions. 

Sous la bénédiction et les encouragements du Khalife Général des Tidjanes, et avec le pilotage exclusif des agents de l’hôpital (personnel de santé et de maintenance), les travaux ont été entièrement menés par la main d’œuvre locale et ont coûté 34 millions. Ainsi, 50% ont été pris en charge par les Grands Moulins de Dakar dans le cadre d’un partenariat qui se veut novateur et développé avec toutes les parties prenantes. En rapprochant la maternité et la pédiatrie, les GMF rendent hommage aux professionnels de cet hôpital qui ont su être les principaux acteurs de l’organisation pour optimiser l’efficacité et l’effectivité de cette belle mission. Aujourd’hui ces professionnels vont travailler à l’aide d’un espace et d’une ergonomie repensée par eux-mêmes. La réussite de ce projet est une belle illustration de style managériale et de modernisation des établissements de santé. 

 A cet effet, la société les Grands Moulins de Dakar, connue pour son engagement citoyen et ses avancées dans une démarche RSE structurée, a démontré son positionnement en appui à la santé et au bien-être des populations. C’est aussi l’occasion de rappeler que la maison mère, le Groupe Seaboard, veut se placer sur une approche essentielle aux côtés des publics vulnérables et veut favoriser les actions prévues en matière de soutien et de lutte contre la malnutrition infantile. Ce partenariat Public-Privé, en associant toutes les parties intéressées, explique la réussite saluée par tous dans ce projet.

  1. Touré

 

Ce qui se passe à la Sapco mérite une intervention rapide et urgente du Président de la République qui, selon des agents de cette boîte qui tiennent à garder l’anonymat, ‘’a laissé partir le directeur le plus compétent qui a pu placer la société à un niveau jusque-là jamais atteint’’. En tout cas lors de leur réunion, ce week-end, le collectif des travailleurs du secteur touristique, regroupant des artisans, des plagistes, des antiquaires, etc., une entité mise en place pour la défense de leur profession menacée par un recul de leurs activités, ces acteurs n’ont pas manqué de fustiger le manque de vision de Dr Diop, pharmacien et actuel dirigeant de la Société d'Aménagement et de Promotion des Côtes et Zones Touristiques du Sénégal (Sapco). «Salaires jusque-là non payés au moment où le Dg est dans le Nord du pays en pleine campagne politique, injoignabilité continue, des investisseurs éconduits, refus de décrocher les appels, parfois, d’urgence, la liste étant loin d’être exhaustive», ces travailleurs demandent tout simplement au chef de l’Etat de trouver une solution urgente pour relancer les activités de la société à la traine depuis la prise de fonction du locataire de l’avenue Bourguiba.

C’est à croire que Amadou Mame Diop n’a pas sa place dans la boîte qu’il dirige, et qui parvient à masquer, difficilement, son incompétence en voulant salir l’ancien DG qui, au moins, a eu le mérite de changer le visage de la Sapco. Complètement déconnecté d’une vision stratégique véritable, le pharmacien DG semble ne rien comprendre de la gestion d’une société nationale. Du moins, selon un de ses agents (qu’on appelle Béta) qui s’est confié à votre serviteur, en marge de la réunion des travailleurs du secteur touristique. «Au lieu de critiquer, il n’a qu’à travailler comme Me Aliou Sow qui, lui, n’a jamais critiqué, mais qui a au contraire bien travaillé», relève Béta.

 Pour notre interlocuteur, «Dr Diop n'a ni le profil, ni la compétence pour diriger une société nationale. La preuve, depuis 09 mois, il n'est pas capable de produire une seule feuille de route. Pire encore, il n'est pas capable de proposer le budget de l'année, malgré les injonctions du Ministre et du Conseil d’Administration. Les investisseurs sollicitent des rendez-vous pour parler d’affaires, mais il ne les reçoit pas. Conséquence, deux grandes fortunes du monde se sont vu opposer une fin de non recevoir et finissent par bouder et prendre l’avion avec dans leurs valises, des sous qui pourraient relancer tous les projets lancés par son devancier. Mais, comme c’est un directeur qui ne décroche aucun appel, et qui n'est jamais au bureau, les comités de direction ne se tiennent plus et cela fait 09 mois durant, etc., bref une société nationale à la traine. Mais pour tous ces griefs, le Président doit agir, et vite, pour sauver la Sapco», râle Béta.  

Contrairement à Me Aliou Sow qui selon lui, «est un DG visionnaire avec une feuille de route claire et validée.  C’est la raison qui fait que pour Béta, «Aliou Sow est le manager qui a révolutionné la Sapco. C'est en trois ans que le projet Pointe Sarène a connu sa réalisation, trois ans aussi que les études des projets des stations Kafountine et Abéné, Joal Finio, Mbodiène, sont prêtes à être exécutées, avec un plan de financement bien structuré par l’ancien dg qui a voulu que tous les Sénégalais se sentent concernés par la Sapco. D’où des recrutements efficients et qui entraient bien dans le cadre de la politique de recrutement définie par le chef de l’Etat. En réalité, Aliou Sow suivait parfaitement bien la politique définie par le Président Macky Sall, contrairement à son successeur qui apparemment, veut faire plaisir à un maire». Mieux, ajoute Béta, «sur le plan commercial et de la viabilité financière, la Sapco n'a jamais connu de problème, en tout cas du temps de Me Aliou Sow qui voulait faire de la boîte une entreprise financièrement autonome». Pour conclure, Béta soutient que le fond du problème c’est que le premier (Me Sow) maitrisait bien son sujet avec une compétence avérée, et le second (Dr Diop) n’à jamais fait rentrer un franc dans les caisses de la Sapco.

 

Le meeting d’investiture de Papa Demba Bitèye pour le poste de président du conseil départemental de Kaolack a vécu. Sur initiative de la Cojer départementale, en collaboration avec les jeunesses de la coalition Bby, cette grande activité politique a permis de mesurer le degré d’engagement des responsables, hommes et femmes de la mouvance présidentielle, à faire de l’actuel directeur général de la Senelec le prochain leader du Départemental de Kaolack au soir des locales du 23 janvier prochain. A cet effet, une motion d’investiture a été lue et approuvée par toute l’assistance et dont voici la teneur in extenso.

«Merci à tous les jeunes leaders des partis alliés qui n'ont ménagé aucun effort pour la réussite de ce rendez-vous historique. Mention spéciale aux camarades de la Cojer départementale de Kaolack qui se sont fortement mobilisés, et notamment dans les 14 communes.  Ce dimanche 12 décembre 2021, Considérant qu’il faut un Président dynamique au conseil départemental de Kaolack; Considérant qu’il est le candidat en qui chacun de nous s’identifie et qui s’identifie à nous tous; Considérant les efforts qu’il n’a, de cesse, consenti pour l’animation et la vie du parti; Considérant les différentes activités à son actif; Considérant son dynamisme et son engagement, sans faille, aux côtés de Son Excellence, le Président Macky Sall; Considérant son ouverture, sa disponibilité, sa neutralité; Considérant son sens aigu de responsabilités; Considérant son agilité intellectuelle tout à fait remarquable; Considérant l’adhésion unanime des jeunes de la coalition BBY autour de sa candidature; Considérant ses relations avec les responsables du parti, aussi bien à l’échelle locale que nationale; Considérant sa démarche inclusive, participative, fédératrice et consensuelle; Considérant ses engagements à faire rayonner le conseil départemental au summum du présidium de la sphère politique; Considérant, enfin, le choix de monsieur le président Macky Sall, l'accréditant comme mandataire à la tête de la coalition BBY dans le département de Kaolack; Considérant toutes ces raisons susdites: Nous, jeunesses de la coalition BBY du département de Kaolack, avons officiellement investi Monsieur Pape Mademba Bitèye comme candidat gagnant au conseil départemental de Kaolack au soir du 23 janvier 2022».

Youssouf NDIONGUE

 

 

 

Mame Gor devrait éviter d’attirer les yeux présentement sur lui en ces moments où c’est sa femme qui le traine dans les tribunaux. Mais comme il cherche à plaire à quelqu'un, en essayant d'analyser une situation économique alors qu'on n'en dispose pas les bagages intellectuels, il se ridiculise au vu et au su de tout le monde. C'est ce qui lui est encore arrivé, mais a suscité la réaction violente de Moustapha Ndiaye, le président du Collectif des Jeunes de la Grande Majorité Présidentielle (CJGMP : « ce piètre artiste reconverti politicien rase les murs tout simplement à la recherche de subsistance. Mais il ne surprend personne, comme un SDF, il passe ses journées entre un célèbre restaurant du Plateau et les bureaux des honnêtes citoyens. Un tel gars ne peut que débiter des sottises. Par conséquent, c'est même perdre son temps à vouloir le rectifier de ses mensonges fomentés pour plaire à des personnes tapies dans l'ombre».

 

Le néo politicien Mame Gor Diazaka s'est décrédibilisé de manière éhontée. Il avait toujours soutenu que Abdoulaye Daouda Diallo était le meilleur ministre que le Sénégal ait jamais connu. Et aujourd'hui, il cherche à lui faire porter les conséquences de la cherté de la vie. Une contradiction que personne ne peut comprendre et que Moustapha Ndiaye qualifie d'un homme qui n'hésite pas à retourner sa veste quand on n’a pas ce que l'on veut. Pour le coordonnateur du Collectif de la jeunesse de Macky, cet homme est un maître chanteur né, il ne vit que de pressions et de lobbying sur les autorités. Mais cela ne passe pas avec Abdoulaye Daouda Diallo dont le caractère intègre est partagé de tous. Il n'a jamais accepté et n'acceptera jamais de pressions venant de qui que ça soit.

Ce n'est  pas ces considérations de ce petit type qui vont avoir de la signification à ses yeux». Poursuivant ses diatribes' contre le musicien politicien, Moustapha Ndiaye rappelle que tout ce qui compte pour Abdoulaye Daouda Diallo, c'est les appréciations positives du Président Macky Sall. Et de mettre en garde Mame Gor Diazaka: «il faut arrêter de jouer au mercenariat politique en exerçant des pressions sur les gens. Mais tu es mal barré puisque Abdoulaye Diallo garde dans son actif les meilleures performances économiques et ne fait l'objet d'aucun doute sur la qualité du travail qu'il fournit quotidiennement au chef de l'État. Le conseil que nous te donnons est que tu devrais être occupé à chercher des alibis qui convaincraient ta femme et les tribunaux pour te sortir d’affaire, mais malheureusement tu préfères rester à la solde de types comme toi».

Cette ignorance dont Mame Gor fait montre est pire qu'une malhonnêteté pour quelqu'un qui est à la solde de leaders dépassés, et chez qui, il a toujours rasé les couloirs de son bureau. Cette époque est révolue et l'ère Abdoulaye Daouda Diallo s'inscrit dans la rigueur et le sens du travail bien fait

   

 

 

Le monde entier vit encore les stigmates d’une pandémie qui commence à perdurer après avoir affecté les économies, surtout celles africaines qui n’arrivent toujours pas à trouver le plus petit remède pour sortir de cette dépendance de médicaments, et devant tant de complications causées par un petit virus qui dicte encore sa loi, ses lois allons-nous dire, pour se métamorphoser à chaque fois qu’il semble nous quitter.

Fort de ces éléments, l’ONG One compte se faire accompagner par les médias pour la publication d’informations allant dans le sens de permettre aux dirigeants africains afin de prendre le taureau par les cornes et de trouver des solutions définitives face à la question de cette pandémie. Une rencontre d’échanges avec certains médias s’est tenue à cet effet et un réseau des journalistes a été mis en place pour réfléchir et développer des stratégies de sortie de crise et/ou donner des orientations dans la gestion globale de la pandémie.

Pour en finir avec la Covid 19, les médias sénégalais s’engagent à relever un certain nombre de défis. Pour Désiré Assogbavi, initiateur du programme et responsable de l'ONG One, «les médias ont un grand rôle à jouer. L'idée vise à lancer un appel de solidarité à travers des articles, blogs et des dossiers, participer à la semaine mondiale d'action contre le Covid». Pour mieux faire face, il faut partir du constat que, par exemple,  le nombre de personnes ayant pris une 3eme dose dans les pays riches est 3 fois plus important que ceux qui ont pris la 1ère dose dans les pays pauvres.

 Les distributions de vaccins ne respectent jusqu’ici pas les engagements pris, et la capacité de fabrication et le savoir-faire sont concentrés dans trop peu d’endroits dans le monde. Les contrecoups économiques paralysent l’économie, sapent notre capacité à lutter contre la pandémie et pénalisent les pays les plus pauvres dans leur marche vers le développement.

Ce qui pousse Désiré Assogbavi à se projeter : «ce que nous voulons faire, c’est de sécuriser suffisamment de doses de vaccins pour couvrir 70% des populations, collecter suffisamment de fonds pour soutenir la livraison des vaccins, les tests, les équipements et la fabrication de vaccins, encourager les populations à se faire vacciner et combattre la désinformation, mobiliser au moins 200 milliards de dollars pour la réponse économique (y compris le recyclage de 100 milliards de dollars des droits de tirage spéciaux des pays riches, et s’assurer de la transparence dans son utilisation».

Désiré de lancer par dire qu’ : «il faut la mutualisation des forces pour faire le plaidoyer et tenir de grandes campagnes de sensibilisation au niveau local, national, continental ou mondial. Les actions seront orientées, entre autres, vers la sécurisation de doses de vaccins pour couvrir la majorité des populations et en finir avec la pandémie».

 

 

Le collectif des jeunes de la grande majorité présidentielle (CJGMP) était ce weekend à Kaolack et Kaffrine dans le cadre de la tournée nationale de sensibilisation sur l'impératif de voter les listes de Benno Bokk Yakaar (Bby) le jour des élections locales. Mais dans sa déclaration de clôture, Moustapha Ndiaye, le président dudit collectif se félicite des fortes avancées notées dans la région Centre du pays, avant de faire noter la petitesse des leaders de l’opposition et des bandits de Y’en a marre qui se cachent derrière le petit doigt de Moundiaye Cissé et faire marche arrière. «Ils ont eu peur et ont fui face à notre détermination qui était si grande qu’ils ont sauté devant la première offre de médiation enclenchée par Moundiaye Cissé pour faire avorter la marche», raillent les jeunes du Président Macky Sall.

Très déterminés à faire gagner les listes de Bby au soir du 23 janvier 2022, Moustapha Ndiaye et ses camarades estiment que le travail  effectué par le président Macky Sall dans le Sine Saloum a fini de convaincre les populations sur la nécessité de lui octroyer des victoires dans toutes les communes de la région du bassin arachidier mais aussi de décerner des félicitations et des encouragements à toute l’équipe gouvernementale. «Par conséquent, «la razzia sera au rendez-vous le jour des locales. Et que personne ne soit surpris si les résultats des élections affichent zéro commune pour l'opposition toute entière. En fait, les réalisations du président Macky Sall constituent le premier élément de vote des Kaolackois qui ne sentent pas l'opposition et elle ne sera pas au rendez-vous», s’est ainsi exprimé le leader du CJGMP, par ailleurs patron des jeunes de Manko Wattu Sénégal (MWS).

Concernant la marche avortée de l'opposition, le CJGMP se félicite d'avoir annoncé, devant l'opinion, faire face à ces délinquants qui ne savent rien du fonctionnement normal d'un État démocratique. «ils ont reculé et ne voulaient pas nous rencontrer, simplement parce qu'on était plus nombreux et plus engagés à en découdre avec des voyous. Et donc ils ont brandi la non autorisation du préfet et l’offre de médiation de tierces personnes pour se tirer d'affaire», réagit Moustapha Ndiaye. Mais ce qui fait mal à la jeunesse de Macky Sall, c'est qu’ils ont profité de l'intervention inopinée de Moundiaye Cissé qui jouait à la médiation. «Nous savons tous qu’ils ont eu peur parce que nous les avions avertis, c’est pourquoi ils ont accepté la main tendue des médiateurs pour se rendre compte du risque qui les guettait. Mais ils ont toujours annoncé faire une marche malgré l’autorisation ou non du Préfet. Par conséquent, c’est un faux argument quand ils brandissent l’arrêté du Préfet qui ne voulait pas qu’ils sillonnent la capitale», répond le président du CJGMP. Selon lui, «personne ne peut les arrêter quand ils décident d’organiser une manifestation. On les connait tous belliqueux, réactionnaires et vindicatifs, Même les chefs religieux ont lancé des appels sans qu’ils les respectent, encore moins Moundiaye Cissé. Et ils sont même allés jusqu’ à dire publiquement qu’ils ne signent aucune charte de non violence, donc, s’ils reculent cette fois-ci, c’est parce que ce qu’ils ont vu une forte détermination des jeunesses Mackystes très décidées à les poursuivre et les combattre. C’est le seul élément qui a démobilisé les bandits de grand chemin qui allaient recevoir la pire humiliation de leur vie».

 

Engagée pour la bonne cause aux côtés des populations de sa localité de par ses actions sociales récurrentes depuis plusieurs années, Mme Dieng Ndèye Marie NDIAYE est incontestablement une actrice à qui on peut compter pour jouer un rôle prépondérant lors des échéances locales de janvier 2022. Son parcours élogieux sur le plan scolaire en tant que diplômée dans le secteur des collectivités locales, enrichi par ses riches expériences sur le plan administratif et politique, en plus de sa casquette de Directrice chargée des relations, font incontestablement d’elle un pion de taille sur qui la population de Dieuppeul-Derklé peut compter.

Son programme axé sur le développement durable soutenu par l'accompagnement et le financement des femmes actrices, et le projet d'amélioration des conditions des populations, dans un cadre de vie assaini et aménagé, militent aussi favorablement sur le choix à faire sur Mme Dieng. Qui, pour mieux peaufiner sa stratégie de conquête de la commune, compte, dans les jours à venir, sillonner les quartiers environnants, en vue de la préparation du lancement de son investiture, en tant que candidate et tête de liste de la coalition Bunt Bi. C'est ainsi qu'elle sera accueillie le Samedi 11 Décembre 2021 à liberté 5 par une de ses amazones, Mme Ndao Ndioura Dieng Sarr, qui lui a promis de l'accompagner dans ce combat de très grande envergure.

Meissa THIAM

 

Le mardi 7 Décembre 2021, la cellule genre du ministère de la justice du Sénégal, sous la houlette de sa coordonnatrice, Mme Khadidiatou Dia NDAW, a procédé au lancement d’une brochure de partage et de vulgarisation d’extraits et de commentaires d’instruments juridiques pour l’équité et l’égalité de genre. Cet événement de grande envergure s’est tenu dans l’enceinte du camp pénal de liberté 6 au service de la Direction de l’Administration pénitentiaire.

 

La Fondation Konrad ADENAUER, partenaire stratégique de la cellule genre du ministère de la justice, a accompagné le processus de financement du projet de conception du dit ouvrage traduit en trois langues nationales sénégalaises à savoir le wolof, le Pulaar et Sérère. Cet ouvrage de 105 pages est un recueil d’extrait et de commentaires d’instruments juridiques pour l’équité et l’égalité de genre. C’est ainsi que prenant la parole pour l’ouverture des travaux du lancement, Mme Khardiata DIA NDAO dira sa satisfaction de voir cet ouvrage publié aujourd’hui après un travail de très longue haleine, effectué par un conseil scientifique et un comité de rédaction de haute facture. Toujours dans son allocution Mme NDAO dira que «ce document permettra aux femmes et personnes des coins les plus reculés du Sénégal de pouvoir s’imprégner de leurs droits en vue de veiller à leur application». Mr Soulèye DIOUF, Directeur des droits humains du Ministère de la justice représentant le garde des sceaux Ministre de la Justice Me Malick SALL s’est bien réjoui de cet événement et a bien loué le travail de la cellule genre du ministère.

 

Apres avoir retracé la genèse de certaines lois, allant de la protection à la répression, par le code pénal, des violences basées sur le genre, en passant par celles relatives à l’autonomie de la femme jusqu’à celles relatives à la parité homme et femme, il a demandé à Mme la Coordonnatrice, Mme NDAW de poursuivre, avec son équipe, le travail entamé avec l’accompagnement de la Fondation Konrad  ADENAUER. Mme Khardiata KA, Niokhor NGOM et Aida MBAYE ont respectivement présenté l’ouvrage en Pulaar, sérère et wolof. Plusieurs organisations nationales et groupements féminins, la DEEG représentée par Mr Abdoul Aziz Ndaw, la RADDHO, la Belgique, le Luxembourg en plus des services de l’administration pénitentiaire et AJS ont assisté à la cérémonie de lancement de l’ouvrage. Après une demi-heure, la cérémonie a été clôturée par le DAGE du Ministère de la justice. Un cocktail a mis fin à la cérémonie pour terminer la séance en beauté.

   

 

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