mercredi 27 novembre 2024 | Login
Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Le mouvement solution va renforcer la coalition présidentielle au niveau du département de Mbour dans la région Thiès, précisément dans la commune de Diass.

‘’Solution’’ comme son nom l’indique, la personne morale a gagné la confiance des populations de sa localité grâce à sa politique de développement social qui reste en parfaite adéquation avec les aspirations profondes des populations.

Les jeunes, les femmes, les chefs religieux reconnaissent en lui la solution de leurs problèmes. Et pourtant, Selon Mamadou Ndiaye de la cellule de communication du mouvement, «  Djiby Cissé n’a rien obtenu du gouvernement, ni une nomination, ni rien, et ce qu’il est entrain de faire, en terme d’emplois et de financements des femmes, aucun leader du département n’arrive à le faire. A cet effet, le président pourra bien compter sur ses forces nouvelles au niveau des bases pour une réussite totale de son programme avec les 10 milles femmes du mouvement solution ». 

Tout porte à croire que Bara Ndiaye, Administrateur de la Maison de la Presse, a franchi le rubicon dans sa croisade contre Aminata Touré, la Présidente du Conseil économique, social et environnemental. Une sommation interpellative lui a été en effet envoyée par voie d'huissier pour qu'il confirme ses déclarations de recrutement de 72 Chargés de Mission et Conseillers en un jour

Invité par Maïmouna Ndour Faye, le maire de Méouane avait accusé l'ancien Premier ministre en ces termes: « Je vous donne une information et si Aminata Touré la nie qu'elle porte plainte contre moi pour diffamation : en un jour, elle a recruté soixante-douze Chargés de Mission et Conseillers. Elle l'a fait ces derniers jours au Conseil économique, social et environnemental. Je parle à la télévision, nous sommes dans un état de droit avec une justice, si ce que je dis n'est pas avéré, qu'elle porte plainte. Elle tisse son réseau », avait-il déclaré.

Considérant que cela relève de la pure diffamation dans le but de porter atteinte à sa réputation, Mme Aminata Touré a immédiatement saisi ses avocats pour servir une citation directe à Bara Ndiaye. Dans un communiqué signé par ses services et rendu public, l’on peut lire ceci : « ça craint pour l'Administrateur de la Maison de la Presse pris aux mots par Aminata Touré. S'il ne parvient pas à démontrer devant le tribunal le recrutement par la Présidente du Cese de soixante-douze Chargés de Mission et Conseillers en une seule journée, il pourrait se retrouver dans une situation peu enviable ».

 

Youssouf NDIONGUE

 

La question du 3ème mandat en Afrique est loin d’être résolue. Aussitôt que le président ivoirien a annoncé son retrait des prochaines joutes de son pays, ses homologues africains lui tournent le dos, en tout beaucoup d’entre eux alors. Selon une source bien enfouie, « dès que Ouattara a fait son annonce aujourd'hui, Paul Biya l'a bloqué sur WhatsApp, Alpha Condé a quitté le groupe et un autre président a carrément désinstallé l'application ». Qui a désinstallé ? lui demande-t-on, « Ghazouani dit que c'est pas lui car il n'a même pas fini de goûter au 1er mandat. Il dit faut voir de l'autre côté du fleuve, là où il y a eu corona à Guédiawaye », raille-t-il. Scène humoristique: toute ressemblance à une personnalité publique n'est que pure coincidence...

 

 

On en parle partout dans le monde, mais le Coronavirus tant redouté n’aura pas d’effet majeur sur la tenue à Dakar de la 4ème édition du forum des organisations de la société civile des pays membres de l’Organi­sa­tion de la conférence islamique (Oci). D’ailleurs, à l’entame de la cérémonie d’ouverture présidée par Moustapha Niasse, des prières ont été formulées pour s’en prémunir, rassurant du coup les participants venus des quatre coins du monde

Toutes les attentions sont portées sur le covid 19 qui fait mal. Et Dakar ne fera pas exception, surtout en accueillant dans ses terres des participants qui auront voyagé d’un continent à un autre. Et le contexte était bien chois pour reporter toute activité qui nécessite de rassemblements mais devant la croyance et l’abnégation des organisateurs, le forum de deux jours s’est ouvert et le Président de l’Assemblée Nationale a ouvert le bal, accompagné de la première dame de la Guinée de Alpha Condé. Choisie grâce à sa réputation de ville sûre, dotée d’infrastructures routières modernes, Dakar, seule ville d’Afrique noire à avoir organisé le sommet de l’Oci à deux reprises, tient le Forum des organisations de la société civile des pays membres de l’Oci, après l’Egypte et l’Irak, les 5 et 6 mars.
Après le protocole et les solennités, Bamba Ndiaye, ancien ministre des Affaires religieuses, porte-parole du Comité de pilotage, a rappelé que ce forum est organisé dans un contexte marqué par un monde dominé par des conflits et surtout d’attaques terroristes. Il a cité aussi les guerres fratricides, les tentatives de division de la Ummah, les catastrophes naturelles qui appellent des actions concertées des pays de l’Oci. Pour le président Niasse, en effet, « la Ummah islamique est confrontée aux défis de l’extrémisme, de la division et de l’ignorance». Ar conséquent, les organisations de la société civile se sentent aussi responsables que les individus. Et en décidant de conjuguer leurs efforts pour définitivement éradiquer ces fléaux qui gangrènent nos sociétés et menacent dangereusement la paix et la sécurité dans le monde, elles auront forcément aidé et soulagé les états des pays membres de l’OCI dans la quête d’un espace de paix ».

Youssouf NDIONGUE

La crise sanitaire provoquée par le coronavirus s'apparente pour les économies africaines et les marchés financiers à une perspective noire, à savoir un choc externe imprévu et majeur. Au Sénégal, après des manifestations contre la hausse des factures d’électricité, les grèves des enseignants et des étudiants pour des indemnités  à percevoir ou des bourses qui tardent à être payées, les paysans qui n’ont pas encore fini d’épiloguer sur la campagne d’arachide, ou même des chômeurs en quête perpétuelle et vaine d’emploi, voilà qu’on a un invité de marque, le coronavirus qui n’est certes pas le bienvenu, mais qu’on va véritablement prendre en charge dans les grosses dépenses, faussant du coup toute prévision économique.

Apparue mi-décembre en Chine, l'épidémie qui s'est propagée à une cinquantaine de pays, a entraîné des changements profonds. En Chine, n’en parlons pas, mais ailleurs comme au Sénégal, déjà avec plus de 1000 milliards FCFA transférés par les émigrés, des montants qui suscitent une grande bouffée d’oxygène pour les familles et pour l’économie nationale, il n’y a aucune raison, sauf miracle bien sûr, ou sauf si les premiers barils de pétrole commençaient à sortir de mer, d’espérer de grands changements positifs, surtout pour les économies extraverties et tournées vers l’extérieur. En filigrane, et en prévision, ce ne serait pas une surprise si l’on annonce une baisse du taux de croissance de l'économie. Et là, le coronavirus aura forcément bon dos !

La crise du coronavirus, qui secoue les marchés depuis quelques jours, doit être comprise comme un choc externe de type "chat noir", c'est-à-dire exceptionnel, sans précédent. Personne ne peut évaluer aujourd'hui précisément l'évolution de l'épidémie, sauf les aventuriers dans la spéculation. Et comme on compte beaucoup sur l’extérieur, du moins, nos productions alimentaires sont généralement complétées par les importations, il y a lieu, pour nos autorités de parer à toute éventualité. Il faut le dire et le répéter: Dès lors que personne ne peut prévoir la fin de l’épidémie, dont les conséquences sont telles qu’aujourd’hui, les grands pays producteurs ferment leurs frontières et leurs produits avec, l’Etat sénégalais devait rapidement mettre en place une structure de veille et d’alerte sur les produits à consommer et l’évolution et la disponibilité des stocks. De la même manière qu’on met en place des structures sanitaires de prise en charge, on devrait aussi par la même occasion, utiliser des milliers de jeunes sans emploi, les former en deux ou trois jours dans la sensibilisation auprès des ménages, dans les écoles, les daaras, les lieux de fréquentation de masse. C’est l’occasion aussi, et là c’est un vœu, pour les enseignants, de mettre à profit les jours de débrayage et de grève pour se mettre à la disposition de la société qui les a formés, recrutés, entretenus. En quoi faisant, en portant la communication du gouvernement par les séances de sensibilisations aux populations sur les mesures de prévention, d’hygiène, de prise en charge de certains aspects liés à l’hôte du Sénégal qui est le Covid 19.

En définitive, l’Etat doit inviter les populations à se baser sur les risques d’évolution du coronavirus, avec toutes les conséquences qui pourraient être produites, et dire, de manière claire, ce qu’il convient de faire dans les domaines de l’économie en période d’épidémie mondiale. Le nombre de nouvelles contaminations paraît ralentir en Chine mais ne fait que commencer sa phase d'accélération dans nos pays. ‘’Cette période est susceptible de durer au moins jusqu'à ce que la trajectoire de la contamination hors de Chine passe elle-même à sa phase de décélération", écrit Didier Saint-Georges, membre du comité stratégique d'investissement de Carmignac. "Sur le plan économique, cette période qui voit les gouvernements invités par l'opinion publique à prendre des mesures conservatoires fortes peut avoir un impact immédiat sensible sur la demande mondiale", renchérit-il.

Youssouf NDIONGUE                                    

 

 

Et de deux pour les cas de coronavirus au Sénégal! Et encore un Français ! Mais vivement que ça s’arrête là. En effet, le Sénégal vient d’enregistrer son second cas confirmé de Coronavirus. Selon les informations glanées par www.senegalnews.sn, il s’agit d’un français qui est arrivé à Dakar le 29 février à bord de Air Sénégal en provenance de Paris.  
Le patient qui vient d’être testé positif est rentré chez lui à sa sortie d’aéroport. Ensuite, il s’est senti mal et il est allé à l’hôpital Roi Baudouin à Guédiawaye. Une fois là-bas, il a été mis en quarantaine en attendant d’alerter les services sanitaires. Les testes effectués viennent de s’avérer positifs. Le patient est actuellement mis en quarantaine, mais cela ne suffit pas, car, l‘heure est grave et i convient maintenant de fermer nos aéroports comme l’ont fait certains pays d’Asie et d’Europe Nous y reviendrons

C’est sous forme de révélation que le marabout Thierno Ablaye Sow, appelé le moukhadam de Serigne Mansour Sy Borom Daradji, a reçu une bénédiction de son Seigneur pour que les sénégalais soient épargnés du coronavirus. C’est un message dont lui-même dit qu’il n’a pas le droit de garder, mais plutôt à transmettre à qui de droit, c'est-à-dire au premier des sénégalais, le Président Macky Sall, à son épouse aux autorités religieuses et coutumières.

De quoi s’agit-il ? Pour Thierno Ablaye Sow, les sénégalais doivent sortir une aumône constituée de sachets d’eau et c’est le chef de l’Etat qui doit le faire le premier. Après quoi, tous les sénégalais devront faire la même chose afin que le bon Dieu nous épargne de cette épidémie qui hante le sommeil des populations de tous les continents. Selon le Moukhadam de Borom Daradji (RTA), « le sacrifice doit d’abord commencer par le Président Macky Sall pour qu’on soit préservé de cette malédiction venue de la Chine et que Dieu a dispersée dans la nature ». En effet, poursuit Thierno, « seul Dieu peut nous en préserver et nous lui prions pour cela, l’aumône constituée d’eau est nécessaire et je l’ai reçu comme ça. Je me devais de donner ce message pour que nul n’en ignore. Après cela, c’est des prières que nous devons formuler dans les mosquées. Il s’agira de faire cette litanie suivante : Astahfiroulah (100 fois), prières sur le prophète Mohamed (PSL), c'est-à-dire Allahouma Salli alâ Seydina Mohamed Wa Salam (100 fois), Ya Salam (100 fois), Lâ ilâha illa Lâh (100 fois), la Basmala, c'est-à-dire Bismilâhi Rahmâni Rahîm (1000 fois). Ainsi, les sénégalais pourraient ne pas avoir de cas de coronavirus », prie le marabout de Sindia Thierno Ablaye Sow.

 

Et Bara Ndiaye entra dans la danse… ! Le petit maire de Méouane, qui a été honteusement battu dans sa localité par l’opposition lors de la présidentielle du 24 février dernier, a eu le culot d’associer le nom de Mme Aminata TOURÉ dans son jeu infantile. Mais, cela ne nous surprend pas en connaissant ses « amis » et le milieu où il fréquente. Nous y reviendrons le moment opportun. Toutefois, nous voulons faire savoir à ce petit Bara Ndiaye dont la nomination à la tête de la Maison de la presse est toujours controversée à cause de son incompétence que Mme Aminata TOURÉ n’est pas son égal pour qu’il puisse associer son nom à ses enfantillages. Mimi TOURÉ, devrions nous le répéter encore, a toujours été loyale, sincère et honnête envers le Président Macky Sall. Elle s’est toujours battue pour la réussite des projets du Chef de l’État. Elle ne fait pas dans la demi-mesure. Car, elle est une femme digne, engagée, croyante. Et sa seule ambition pour le moment est de voir le Président Macky Sall réussir sa mission à la tête du pays. Tout le reste n’est que distraction, mensonge et complexe d’infériorité…

 

Bassirou Dieng,

Responsable associatif 

Diamaguene

 

Par ces temps qui courent, l’Agence Sénégalaise pour la Propriété Industrielle et l’innovation Technologique (ASPIT) semble détenir les clés de la réussite de certaines structures nationales et internationales, d’où ce vaste défilé de grandes sommités d’ici et d’ailleurs dans les locaux du département que dirige Monsieur Makhtar Dia. Après la visite, ce lundi, de son homologue singapourien, c’est au tour de Mme le Professeur Ramatoulaye Diagne Mbengue, Recteur de l'université de Thiès d’être reçue, deux jours après, par le Directeur Général de l’ASPIT.

L’audience accordée par M. Makhtar Dia à Mme le Professeur Ramatoulaye Diagne Mbengue qui a été accompagnée par son dream-team, a été un moment fort et une belle occasion pour redynamiser la coopération et le partenariat entre l'ASPIT et l'Université de Thiès. Ce partenariat qui est noué va se concrétiser sur tous les plans, notamment l'enseignement de la Propriété intellectuelle dans les universités, la sensibilisation et la formation des Doctorants, des chercheurs à la technique de rédaction des brevets. Selon le DG Makhtar Dia, « le point d'orgue de cette rencontre a abouti à la création d'un comité mixte entre leur deux structures en vue de gérer tous ces aspects et la préparation de la finale du Concours de l'innovation pour des porteurs de projets au mois de Mai 2020 ».

Youssouf NDIONGUE

 

Le bureau exécutif du Mouvement National (BEN) des Handicapes Républicains du Sénégal s’est réuni sous la Présidence de  son coordinateur National Monsieur Toumany Camara, pour analyser l’actualité Nationale et Internationale. Mais d’emblée, ils ont tous réaffirmé leur soutien à Mohamed Boune Abdallah Dionne pour ce qui est de la question du mandat du chef de l’Etat. Selon eux, « il faudrait plutôt avoir une lecture croisée des propos de l’ancien PM. Sers propos sont pertinents mais, les gens sont obnubilés par des questions électoralistes ».

Le BEN a jugé pertinents les propos de Boune Abdallah Dionne en ce qui concerne le mandat des députes qui est illimité. « Un Député peut demander le suffrage de ses concitoyens autant de fois qu’il en voudra, mais pourquoi l’interdire au chef de l’Etat qui bénéficie au même titre que les parlementaires d’un vote électif », se sont posés les camarades de Toumany Camara en guise de soutien. Le BEN ajoute dans son raisonnement que « le mandat des maires et des Présidents de Conseils Départementaux sont aussi illimites, d’où l’extension des mandats électoraux à tous les postes electifs.Dans beaucoup de pays du monde et davantage en France il n’est pas prévu la limitation des mandats », se résolvent-ils. Pour la Centralisation du processus électorale au Ministère de l’Intérieur, « des structures comme la CENA sont des organismes d’exception. Elles ne devraient être acceptées que dans les pays où il y’a une absence d’un système électoral fiable .Ce qui n’est pas le cas  au Sénégal, un pays de tradition électorale dans la démocratie transparente. Le Sénégal est doté d’un fichier électoral fiable sans commune mesure sous l’œil vigilant d’une presse libre et indépendante. Dés lors seul le Ministère de l’Intérieur devait organiser les élections », ont-ils fini de convaincre. 

Se prononçant sur l’inauguration de la centrale de Taïba, le BEN salue la lucidité du Président Macky Sall en matière de Politique Energétique. « L’inauguration de la Centrale Eolienne à Keur Taïba Ndiaye vient démontrer aux sceptiques que le Président est sur la voie du développement, car l’énergie, source de vie, sera à la portée de tous d’ici peu ». D’ailleurs, se projettent les camarades de Toumany Camara, « en 2023, le Sénégal sera en plein dans la production de pétrole et de Gaz,  ce qui augure des lendemains meilleurs pour la jeunesse qui ne sera plus confrontée à un problème de recherche d’emploi », espèrent les handicapés du Président Sall. Qui font preuve de reconnaissance à l’endroit du Président Sall suite à la pose de la première pierre du Stade de Diamniadio. « C’est une prouesse du Chef de l’Etat qui marque ainsi l’intérêt qu’il porte à l’épanouissement de la jeunesse. Ce stade gigantesque, tant en terme de capacité d’accueil que de modernisme et de commodité, sera rangé dans la catégorie des stades modernes du monde comme  le Stade de France », se réjouissent-ils. Non sans marquer leur affection à l’endroit du Président Ousmane Tanor Dieng à qui ils rendent un vibrant et dernier hommage.

« La présence du Président Macky Sall à la maison du Parti Socialiste, le jour de l’Hommage accordé au Président Ousmane Tanor Dieng, rassure et assure d’une dynamique de consolidation des relations entre acteurs de la mouvance présidentielle regroupés dans le Benno Bokk Yakaar. Le message lancé, ce jour à l’endroit des opposants et du Peuple Sénégalais pour l’unité, la concorde et l’union autour des enjeux du développement du pays, tout en s’oubliant, rien que pour l’intérêt du Sénégal, a marqué les consciences. Cela prouve que le Président de la République vise plus  l’intérêt général qu’il met  en avant plus que toute autre chose: la patrie avant le parti », soutient le président Camara. Qui qualifie le chef de l’Etat comme un Homme d’Etat et non un homme de détail, un panafricaniste très écouté par ses pairs qui, au plan international, s’associe à la lutte contre le Coronavirus. Le ben a fini par saluer la pertinence des mesures prises le gouvernement pour anticiper sur l’épidémie.

Youssouf NDIONGUE

 

CMU
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