Nabou Dash se trouve présentement dans les locaux de la Division spéciale de cybercriminalité (DSC). Elle a été interpellée hier à la suite d'une plainte déposée par la famille Ndiaye. 

Seulement, cette arrestation risque de prendre une autre tournure. En effet, comme l’ont remarqué beaucoup d’internautes qui suivent la star sur les réseaux sociaux, Nabou Dash présente les signes d’une dépression de malade mentale. C’est d’ailleurs pour cette raison que Seynabou Kébé, de son vrai nom, sera d’abord conduite chez un psychiatre pour voir si elle ne souffre pas de troubles psychiques, avant d’entamer une quelconque procédure judiciaire. C’est ce que nous ont révélé des sources policières proches du dossier.

Un long processus qui a débuté en 2017 vient de voir son épilogue. Une histoire avec plein d'enseignements dont les enjeux font aujourd’hui que le Madd Casamance va faire l’objet d’une meilleure promotion dans les rayons internationaux, à l’image des produits classiques jusqu’ici bien cotés. Du moins, si l’on s’en tient aux informations livrées dans l’atelier ouvert ce jeudi, à Dakar, et relatif à la validation du cahier des charges de l’indication géographique (IG) Madd Casamance présidé, au nom du Directeur général, Makhtar Dia, par El hadji Samba Mbaye, directeur administratif et financier de l’Agence Sénégalaise de promotion de la propriété industrielle et de l’innovation technologique (Aspit).

Les indications géographiques communément appelées produits du terroir font aujourd'hui l'objet d'une meilleure promotion au regard des enjeux économiques. «Le Madd va non seulement constituer un produit phare avec d'importants financements en perspective», d’après Talla Samb, coordinateur du comité national des IG qui a finalisé le processus de labellisation du fruit exotique. Selon le Conseiller juridique de l’Aspit, «le chemin a été long  et il a fallu passer par beaucoup d'étapes. Mais aujourd’hui, on peut se féliciter de le porter à l’OAPI pour son enregistrement».

Evoquant le contexte, El hadji Samba Mbaye rappelle que «cette rencontre revêt un caractère doublement symbolique en ce sens qu'elle coïncide avec le 60ème anniversaire de l'OAPI qui sera célébré le 13 septembre prochain et consacre l'enregistrement à l'OAPI de la première IG sénégalaise qui s'est fait à la suite d'une résolution du conseil d'administration de l'OAPI à Ouagadougou en 2005». En effet, poursuit le DAF de l’Aspit, «dans le cadre de la promotion du système des indications géographiques (IG), l'Organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI) avait demandé à ses Etats membres de mettre en place un dispositif et un environnement propice à la labellisation des produits de terroir à travers leur protection en indication géographique.  Les indications géographiques sont des signes que l'on appose sur des produits ayant une spécificité, une réputation et une notoriété dues à leur terroir d'origine. Elles ont pour avantages d'augmenter les revenus des producteurs, de créer de la valeur ajoutée sur le produit, de préserver l'environnement et de lutter contre la contrefaçon». À ce jour, liste Samba Mbaye, «seuls sept (7) produits africains de l'espace OAPI, sont enregistrés sous ce label. Il s'agit du miel d'Oku et du Poivre de Penja du Cameroun, du Café Ziama-Macenta de la Guinée, de l'ananas Pain de sucre du Bénin, du Kilichi du Niger, entre autres». 

Youssouf NDIONGUE

Sa réputation d'homme rigoureux lui va parfaitement au regard des résultats tangibles qu'il est en train de glaner à la tête de l'institution financière qu'il dirige. Lat Diop peut se vanter d'avoir huilé la machine de fabrique de millionnaires qu'est la LONASE. Plus de 420 millions distribués aux gagnants grâce au seul produit Sen Loto Jackpot qui a fini de créer 19 nouveaux riches, «la LONASE se porte comme un charme», confient les agents qui n'hésitent pas à décerner une salve d'applaudissements et de remerciements pour celui qui s'inscrit, depuis l’année dernière, dans la dynamique du programme ‘’Xeyu Ndaw yi'', avec le recrutement de 1500 nouveaux vendeurs.

Mais Lat Diop, avant d’être bombardé DG de la LONASE, en tant qu’administrateur civil, bénéficie tout de même d’un parcours riche. Il a été ordonnateur délégué du Fonds Européen de Développement de 2012 à 2019, et a eu, auparavant, à exercer le poste d’administrateur de la Banque Ouest Africaine pour le Développement et Gouverneur Suppléant pour le Sénégal au FMI. Il a donc bien flirté avec la haute finance pour avoir été Gouverneur Suppléant Banque Mondiale, administrateur Boad et Banque d’investissement de la Cedeao, et administrateur de la société de gestion de l’énergie de Manantali, et des Hautes Vallées. Vouloir faire mieux et encore est son sacerdoce. Il a fini de finaliser l'acquisition de terrains aux agents pour leur permettre d'avoir un toit pour qu’ils bénéficient d'une retraite paisible. Le projet social qu’il a institué ''Un Lonasien, un toit'' suit son processus normalement et compte enrôler de nouveaux adhérents.

Sur le plan politique, le responsable APR du département de Guédiawaye se lance dans la traque d'une opposition qu’il considère anti républicaine, irresponsable et qu'il qualifie juste de ''keutt gaine'' ou courte queue (personnes sans charisme et sans utilité significative). Aujourd'hui plus que jamais, malgré ses deux revers aux locales et aux législatives dernières, l'ancien directeur de la Coopération et des financements extérieurs au Ministère du Budget tient à la tenue du procès dans l’affaire dite Ousmane Sonko contre la jeune Adji Sarr. Lat Diop, qui avait boosté et embelli sa carrière professionnelle au point de se tailler un profil rare, estime que c’est une priorité, avant toute déclaration des candidatures pour la présidentielle de 2024, de vider ce dossier qui commence à trop durer sans qu’on y mette le contenu juridique qu’il faut.

Et en bon responsable engagé, Lat Diop ne se ménage pas s'il s'agit de mettre en œuvre son engagement auprès du président de la République Macky Sall. «Je le défendrai bec et ongle quoiqu'il puisse arriver. S'il décide de se présenter en 2024, je vais personnellement porter le combat», laissait-il entendre lors d'une émission télévisée. Le DG de la LONASE n’attend rien en retour du chef de l'État, sinon de continuer sa mission à la tête de l'État, où justement, Macky ne cesse d'allonger la liste de ses réalisations pour le bénéfice de ses compatriotes. Ses fortes contributions pour le développement du Sport sénégalais font de l’actuel Président de Guédiawaye Football Club (GFC) et non moins membre du comité exécutif de la Fédération Sénégalaise de Football (FSF) un as du mécénat et un sponsor leader.

Youssouf NDIONGUE

«S'il faut souligner un quelconque et regrettable accident de travail dans le milieu professionnel, c'est bien de partir à la retraite sans bénéficier d'un toit». Cette déclaration de Mamadou Diop, président de la coopérative d'habitat des travailleurs de la Lonase, structure dénommée ‘’Sama Leur Lonase'', sonne comme un déclic. Très sensible à ce sort, Lat Diop, le directeur général de la société nationale de jeux, se retrousse les manches et se donne les moyens pour faciliter à ses agents l'acquisition de terrains dont la cérémonie de remise des attestations a eu lieu ce mercredi, sous la présidence de Mamadou Gueye, secrétaire général de l’institution.

8 ha morcelés pour 300 parcelles au total, c'est la surface foncière sur laquelle les futurs toits des membres de la coopérative ''Sama Leur Lonase'' seront bâtis. Inspiré du projet social cher au Président Macky Sall ‘’Un Sénégalais, un toit’’,  ''un Lonasien, une maison'', s’inscrit dans le cadre de la politique toujours édictée pour accompagner les travailleurs. Du moins, c'est le principal souci de Lat Diop depuis son avènement à la tête de la Lonase.

Ainsi, le site de Ndiakhirate semble être, au regard de son cadre attrayant, le lieu de résidence des Lonasiens. Pour le SG Mamadou Gueye, représentant le Dg, «il y a lieu de rappeler qu’on en est à la célébration de la 4^ème coopérative. Mais la valeur ajoutée impulsée par l’actuel DG, Lat Diop, c’est qu’en plus de la relance, il a mis un important soutien financier. Une implication personnelle qui témoigne de son désir de voir le processus arriver à terme».

Mais, termine Mamadou Gueye, «il faut saluer cette forte implication des acteurs pour ce si long processus que connaissent ces genres de projet. Il y a aujourd’hui 66 agents qui disposent de leur terrain, mais d'autres agents vont venir. Donc, j'invite les uns et les autres à redoubler d'efforts pour que ce cher projet cher puisse se réaliser».

Youssouf NDIONGUE

La coalition Benno Bokk Yakaar de Keur Séga, dans la commune de Keur Moussa (région de Thiès) doit changer de méthode et de stratégie afin de se relever de la débâcle subie. En réunion pour tirer le bilan des dernières législatives et pour se préparer aux prochaines perspectives, Amar Sarr, coordonnateur de la Cojer locale et ses camarades regrettent que les populations se soient détournées des choix opérés sur les listes suite à un mauvais casting sur le profilage des responsables.  

Dans le Diender, ça n’avait pas trop bien marché lors des législatives. Maintenant, les responsables de la coalition au pouvoir se doivent de tenir des discussions franches afin d’arrondir les angles et de laver le linge entre membres d’une même famille politique. « Mais, d’ores et déjà, nous invitons notre leader, le Président Macky Sall, même si nous nous ne cesserons de le remercier pour l’important travail abattu, depuis 2012, à la tête du pays, à tirer les enseignements nécessaires après les piètres résultats des récentes élections législatives dans la commune de Keur Moussa. Ces résultats ont mis en lumière le boycott des populations estimées à plus de 22500 votants qui ont vu d'un mauvais œil la non-investiture de son maire qui, estiment-elles, est synonyme d'un manque de considération notoire».

 En effet, regrette Amar Sarr, «il faut reconnaitre que Keur Moussa a toujours été le porte-étendard de la coalition Benno Bokk Yakaar du département de Thiès, en tout cas depuis que le Maire Momar Ciss est à sa tête. Et que malgré l'énorme travail de sensibilisation, la population a préféré en majorité s'abstenir ou voter pour les coalitions de l'opposition». Ainsi, «nous attendons du président de République qu’il rectifie le tir avec la nomination imminente des 70 Hauts conseillers, d'inclure Monsieur Momar Ciss, afin de sceller la réconciliation définitive avec la population de Keur Moussa.

Un acte contraire signifierait laisser, pour de bon, Keur Moussa, entre les mains de l'opposition. 

Nous invitons son Excellence Monsieur Macky Sall à prendre au sérieux ces observations au bénéfice de la coalition Bby. De ce fait, nous lui réitérons notre engagement et notre loyauté», soutient Amar Sarr, Membre de la Cojer du département de Thiès et coordonnateur de la Cojer de Keur Séga.

Plus qu’une passion, l’artisanat est pour Léna Sène, la fille du très politique Ibrahima Sène du Parti de l’Indépendance et du Travail (PIT), un métier à promouvoir et à développer. Elle était reçue, dans ce cadre, par le maire de Ngaye Meckhé qui a posté sur son mur Facebook, l’importance de cette rencontre.

«Je veux apporter ma modeste contribution au développement de l'artisanat dans la commune de Ngaye Meckhé, le terroir de mon père», a-t-elle confié. Dans un cercle municipal restreint, Léna a tenu une séance de travail avec quelques leaders du secteur artisanal. Diplômée de la prestigieuse Université  Harvard Business School (USA) et spécialiste de la finance, Léna a un brillant parcours professionnel et académique.

De sorte que Ngaye Meckhé reste fière et ambitieuse du dévouement de sa fille. Ce qu’il ya lieu de retenir en parcourant le cursus de la fille d'Ibrahima Sène, c'est sa participation dans l'équipe qui a géré la campagne électorale de l'actuel président des États-Unis, Barack Obama. C'est dire qu'elle a déjà capitalisé une certaine expérience dans le domaine de la gestion de la campagne électorale d'un candidat à la présidentielle.

Née au pays de l'Oncle Sam, Léna Sène est un crack qui a toujours relevé les défis partout où elle a servi. Elle a toujours été première de sa classe. On ose espérer qu’elle aura la baraka d’implanter dans le terroir de son pater d’importants projets pour le développement de Ngaye Meckhé

1. ND

"SUUDU MEN" (SAS) crée depuis trois (3) ans est une société qui  s’adosse aux trois axes stratégique du Plan Sénégal Emergent (PSE) a l’horizon 2035 et a l’agenda 2030 des ODD, et c’est dans ce contexte que SUUDU MEN SAS entend investir prioritairement dans les secteurs clés de développement,

SUUDU MEN SAS est une société engagée dans les transformations sociales, économiques et politiques, qui agit auprès des populations et communautés pour leur permettre de mieux s'organiser et de s'investir plus efficacement dans le développement endogène. Dans cette perspective, tout en conservant son identité et son autonome, elle développe des dynamiques économiques et sociales et accompagne les communautés et les pouvoirs publics, surtout au niveau local, dans la mise en œuvre des politiques publiques. En outre, soucieuse de l'intérêt et de l’épanouissement des populations à la base et au niveau de la diaspora, elle les accompagne dans la recherche de financement, le renforcement de capacités, les activités afférentes au conditionnement et à la transformation industrielle. De même, elle les appuie aussi dans la mise en place d'unités de transformation agricole, ainsi que dans l'exploitation de terres agricoles et de fermes intégrées. Elle sera aussi active dans les opérations commerciales, financières, mobilières ou immobilières.

SUUDU MEN SAS ambitionne d’être un instrument performant susceptible de contribuer, à moyen terme, au développement économique et social qui promeut les chaines de valeurs dans l’agriculture, l’élevage et la pêche principalement, en harmonie avec les savoirs locaux et les réalités culturelles du milieu.

Tout en choisissant de diversifier ses activités, le cœur de métier de SUUDU MEN SAS porte sur la promotion et le soutien d'actions et de pratiques contribuant efficacement à l'exploitation agricole des terres, au développement et à la mise en valeur des ressources agricoles, forestières, animales et halieutiques, dans le report des valeurs et dos réalités socioculturelles du milieu il s'agit, de manière générale, d'initier des actions citoyennes afin que les populations et les communautés Soient en mesure de participer à la transformation de leurs conditions de vie favorisant l'épanouissement à la fois de toux et de chacun dans le respect des droits humaine,

Selon les responsables de la structure " SUUDU M'EN" (SAS), " la structure dont ils pilotent a une grande responsabilité et mobilise aujourd'hui plus de 1758 et 4 actionnaires. Et la société est présente dans 18 départements du Sénégal. Elle est en coopérative avec la diaspora Mauritanienne, européenne, aux États-Unis et asiatique. La banderole affichée retrace les efforts de l'entreprise à travers monde. Ceci dit que la société est présente presque un peu partout à travers le monde". Une assemblée générale qui enregistre la présence de plusieurs actionnaires de la société. Selon le comité Directeur, " SUUDU MEN" (sas) d'active dans l'agriculture, l'élevage, la pêche mais aussi dans l'art et la culture et en plus touche le volet formation professionnelle. Elle a pour rôle d'apporter des solutions aux problématiques que rencontre la société sénégalaise et les autres communautés". Poursuivant ses propos le président explique, "Nous avons toute la documentation ici. Les actionnaires n'ont aucuns soucis. Il existe de la transparence dans la gestion. La société mobilise 1758 actionnaires, nous avons 176 million 750 qui sont en réalité des versements de 39999 et elle possède 173 million 0,45 - 851 de fond disponible. Il faut comprendre en réalité, il y a des coopérants actifs et dynamiques. Un comité de sage qui est composé de personnes ressources a été mis en place pour le déroulement des activités. Donc nous sommes contents nous sont fiers", dira-t-il en présence du conseil de surveillance. 

La rencontre qui devrait se tenir entre les responsables de l'Unacois-Jappo vise à diagnostiquer la situation du marché. Une occasion qui sera saisie pour partager avec les autorités de l'Université Virtuelle du Sénégal sur le plan du travail.

Force est de constater que cette rencontre du genre est organisée mensuellement par l'Unacois-Jappo. Le bureau exécutif débattra sur les sujets de digitalisation du secteur du commerce avec l'université Virtuelle du Sénégal. Une rencontre de haute portée d'où l'importance consiste à évaluer encore la situation du marché de certaines denrées alimentaires. Et l'activité qui sera organisée durant ce mois sera une occasion pour les responsables de l'Unacois-Jappo d'aborder sur des questions liées à la hausse de certaines denrées les plus consommées. Il faut signaler que l'institution a toujours posé des actes allant dans le sens de réglementer le secteur du commerce.

Modou Toure

Ce qui se passe au Sénégal, avec les fortes inondations et les dures conditions de vie des populations, doit pousser à se poser des questions sur nos comportements, surtout ceux de l'opposition habituée à la médisance et aux propos malsains et violents. Le leader de Manko Wattu Sénégal MWS est d'avis que les autorités étatiques  se démènent et se déploient comme elles peuvent pour éviter aux Sénégalais ces genres de fléau, mais aucun pays, quelque soit ses moyens, ne peut prévenir et faire face à une calamité naturelle. '' Nous savons qu'au delà des 766 milliards débloqués par le Président Macky Sall dans le cadre du plan décennal de lutte contre les inondations et le déploiement du plan Orsec, il y a lieu, dans un pays à forte croyance religieuse, de formuler sans cesse des prières, mais surtout, d'éviter de colporter des mensonges et des médisances sur les honnêtes personnes, un fait qui peut occasionner une malédiction divine  si on n'y prend garde'', alerte Ousmane Faye. 

 Au Sénégal, les gens sont prompts à s'épancher et à s'epoumonner sur une situation qu'ils sont loin de maîtriser.  Avec l'avènement d'une opposition irresponsable et anti républicaine, ils ont pris goût à débattre de choses qu'ils ne maitrisent pas, et se lancent dans des fomentations et des mensonges grotesques. Pour Ousmane Faye, '' ce qui intrigue maintenant, c'est que personne n'est épargné. Ni les khalifes généraux, ni les autorités étatiques, ni de simples personnes, honnêtes et célestes, ne sont épargnés de la furie de ces politiciens qui occupent les médias à longueur de semaine pour ne proférer que de la fabrication. Un tel phénomène est dangereux et propice à l'avènement de malédictions, que DIEU nous en préserve''.

Pour le leader de MWS, '' les.gens réfléchis savent qu'après le travail énorme déployé dans le cadre des réalisations d'infrastructures et des programmes de lutte contre les inondations, le seul plan Orsec peut venir à bout de ces fortes pluies qui s'abattent sur la capitale et dans quelques contrées du pays. Ces importants travaux de l'État sont à magnifier et à louer, et pouvaient apporter confort et soulagement chez les populations, mais gardons nous encore une fois, de jeter le discrédit sur les autorités et sur les honnêtes citoyens dont le seul souci est de finaliser le programme d'émergence qu'ils se sont fixé''. En tout cas, nos vénérés khalifes généraux nous ont toujours averti de ne point cultiver la malédiction divine en proférant des mensonges sur les citoyens de bonne vertu'', dixit Ousmane Faye. Qui s'adresse aux Sénégalais de manière générale à éviter ces manipulateurs de premier plan dont le seul souci est de se remplir les poches. ''Les voilà qui se disputent de postes à l'Assemblée en menant de manière ridicule et dangereuse une politique de positionnement. Leur seul plan est de se servir. Heureusement que les Sénégalais commencent à comprendre '', déclare M. Faye