samedi 23 novembre 2024 | Login

L’élection  du 24 Mars 2024  est un tournant important pour  notre pays. Dans le cadre du parrainage, le RASSEMBLEMENT NATIONAL SENEGALAIS / JAALAL LEYDI  avait soutenu la candidature de Aly NGOUILLE NDIAYE. Cependant, après avoir évalué notre compagnonnage, nous considérons que  notre mouvement ne se retrouve, n'y dans l'organisation, encore moins dans le programme. 

 

En outre, le pays se trouve dans une situation délicate où les forces populistes, soutenues par des lobbies lugubres, cherchent à mettre la main sur notre économie. Et donc :

 

Considérant, la nécessité de maintenir la trajectoire d'émergence de notre pays, dans la paix et la stabilité, 

 

Considérant l'impérieuse nécessité d'éviter au Sénégal une dislocation de notre tissu social, avec des aventuriers sans expériences politiques et techniques avérées, 

 

Considérant, le profil du candidat du Benno et l'engouement noté autour du candidat Amadou Ba, notamment dans le monde rural, 

 

Considérant le programme du candidat qui met en avant le renforcement des acquis et un engagement pour une prospérité partagée, 

 

Considérant les statuts du mouvement du RASSEMBLEMENT NATIONAL SENEGALAIS / JAALAL LEYDI, 

 

Le RASSEMBLEMENT NATIONAL SENEGALAIS  / JAALAL LEYDI  soutient le candidat Amadou Ba pour une victoire au premier tour au soir du  24 Mars 2024

 

Dr Bassirou NIANG, Président RASSEMBLEMENT NATIONAL SENEGALAIS/JAALAL LEYDI,  ex Coordonnateur Coalition Aly NGOUILLE,  Commune de Ourossogui

 

Publié dans Politique

Le discours du Chef de l’état, en cette veille de célébration de notre  63eme  anniversaire de la fête nationale, est un moment fort pour un pays. Cette fête, il est bon de le rappeler, chante la République. Pour les plus jeunes, il s’agit simplement de leur signifier que l’indépendance n’était pas acquise d’avance. Par exemple, notre budget était voté ailleurs où nous étions sous représentés.  Ne serait-ce que de ce point de vue, il faut célébrer cette date. Gloire aux anciens et à nos morts. Gloire à nos soldats et nos forces de défense qui veillent pendant que nous dormions, surtout en ces moments d’incertitudes au niveau mondial.

 

D’emblée, le Président a dit l’essentiel et a rappelé que la vie d’une nation est une continuité. Chacun en ce qui le concerne doit jouer sa partition pour que le relais soit transmis aux générations futures sans anicroche. Une opposition en panne d’inspiration et porteuse d’un scénario du chaos va déchanter. Je le dis souvent, la démocratie est une question d’élégance. Malheureusement, pour nous, le roi argent est entrain de corrompre le système et la politique, pour certains, devient un jeu de casino. Il faut miser pour récupérer toutes les autres mises. 

 

C’est ahurissant de voir dans une République, comme la nôtre, que des politiques entretiennent un faux débat depuis plus deux ans maintenant. Une véritable confusion entretenue par de lugubres officines. Ces gens ne sont pas intéressés par le salut national. Ils ont peut-être la pièce d’identité du pays, mais j’ose proclamer …’’qu’ils ne sont pas des sénégalais’’.  Être patriote, en ces moments,  c’est mettre la paix et la stabilité du pays au centre de ses préoccupations. On ne brûle pas la maison qu’on aime, on n’insulte pas les institutions de notre République. On le doit aux anciens et à nos diambars.

 

Par ailleurs, il est bon de dire au Chef de l’état qu’il est grand temps de balayer sa maison. On est révolté parfois d’entendre des ministres de la République se comporter comme de vulgaires chiffonniers à la petite semaine. Il y  a trop d’intrus et d’amateurisme. En exemple, je viens de voir une conversation par vidéo entre le Chef de l’état et un Chef de clan, en cette veille de fête nationale. Cela fait désordre,  quelque soit le sujet abordé. A neuf mois des élections présidentielles, on se rend brutalement compte que les jeunes du département de Matam sont à la recherche d’emplois. Il faut être en panne d’inspiration pour dessiner un tel tableau.

 

Trois erreurs s’y glissent : On ne met pas un chef de l’état devant un fait accompli,  ce n’est pas100 emplois qu’il faut à ces jeunes, mais des milliers. Je sais ce que je dis, j’en ai rencontré des milliers durant les législatives. Parfois, le zèle crée le chaos et met en relief nos limites. Et il faut connaître ses limites. J’avais pas mal de choses à dire, ce soir, mais je préfère chanter l’hymne national avec nos vaillants soldats, pour que vive la Nation. 

Excellente fête à tous et toutes !

 Dr Bassirou NIANG Président RASSEMBLEMENT NATIONAL SENEGALAIS

 

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Brutalement sortie des méandres de l’administration centrale, une bande d’amis avait décidé  de renverser le système.  Ils sont moulés par le ‘’système’’,  qui les a façonnés et comme dans le mythe de Sisyphe, il faut tuer le père pour épouser la mère. Le mouvement pastéfien né dans l’opportunisme et enfanté par la violence n’avait qu’un discours articulé autour du triptyque : Mensonge,  révélation et violence verbal.  

 

Malheureusement,  c’était mince comme doctrine, car aucune religion,  aucune culture  n’admet le mensonge. Et, j’aime rappeler cette pensée de Confucius : «seuls les fous pensent qu’entre le vice et la vertu, ce n’est qu’une question d’opinion». Une personnalité qui souhaite nous diriger et n’à comme source que Google et autres moteurs de recherche est tout sauf  sérieux.

 

 L’attaque contre le Ministre du tourisme,  il  l’a appris à ses dépens, que les gens ne réagissaient pas pour deux raisons. La première, c’est que tout le monde n’est pas comme lui, et pour beaucoup, le sens du secret professionnel  signifie quelque chose. C’est-à-dire la base d’une administration  sérieuse. Si on se mettait à  déballer, il est clair que la charpente de la nation va s’écrouler. La deuxième raison est simplement attachée à l’éducation de ses adversaires. 

 

La valeur de kersa est profondément vécue par beaucoup de Sénégalais. Jouer au  Zorro avec des mensonges qu’il a du mal à assumer montre simplement que cette  bande avait une mission autre que l’épanouissement des Sénégalais, surtout de la jeunesse. L’autre angle d’analyse repose sur le renversement de perspective. En effet, les grèves dans le secteur de l’éducation, combinées aux effets des réseaux sociaux, ont fait que la plupart des jeunes ne sont pas préparés à recevoir une information, à l’analyser et à le comprendre l’essentiel.  Autrement dit, le doute sceptique est le parent pauvre chez la génération actuelle.  

 

Il faut nécessairement renforcer le service civique national pour ne pas dire qu’il faut ramener le service militaire, afin que cette jeunesse comprenne le sens de la nation et de la citoyenneté. Le mythe du petit monsieur va sans doute disparaître comme du beurre au soleil. Le mensonge et l’affabulation ne sauraient être un programme politique.

 

Dr Bassirou NIANG

 

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