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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

100 tonnes de riz et de sucre, ce sont là les denrées alimentaires mises à la disposition des populations de la Médina. Ce geste de solidarité, de partage et d’entraide en ce mois béni de ramadan marqué par la crise du COVID 19, émane du DG de la Caisse de Dépôt et de Consignation et Responsable politique APR Cheikh Ahmed Tidiane BA.

Le DG Ameth Tidiane BA, venant en aide à l’Association 100% MEDINA, a procédé ce mercredi6 Mai 2020 dans l’enceinte du siège de l’association, à la distribution de 100 tonnes de riz et 100 tonnes de sucre à plusieurs familles nécessiteuses de la Médina pour leur permettre d’accomplir, sans difficulté, le jeûne du mois béni de ramadan marqué par la crise du COVID. Selon le DG, « cet acte qui rentre dans le cadre de solidarité est non politique dans la mesure où il n’est pas sélectif. On verra au niveau de la Médina toutes les personnes nécessiteuses afin de leur venir en aide selon nos moyens ». Poursuivant, Cheikh Ba déclare : « ce don rentre dans le cadre de politique de solidarité et d’entraide et sera pérennisé dans la mesure où il y aura des situations difficiles après la crise du COVID. Pour y remédier, il est prévu un fonds d’appui qui sera mis sur pied pour soulager les populations ». En compagnie de certains membres de l’association 100% MEDINA, le DG a procédé à la livraison symbolique de quelques sacs de riz et du sucre à certaines populations qui ont beaucoup apprécié ce geste de grande portée solidaire. Le Président de l’Association 100% Medina s’est dit très satisfait de l’accompagnement du DG de la CDC, acte qui vient à son heure pour apporter des solutions aux difficultés que vivent les populations. Ce geste de solidarité, de partage et d’entraide, a été salué à sa juste valeur, par les bénéficiaires.

Meissa Thiam

Devant la gravité de l’heure et l’imminence du danger, l’humanité a besoin plus que jamais aujourd’hui d’exemples vivants qui exaltent les esprits et qui permettent de regarder de plus haut un monde matérialiste, inquiet, partagé entre la crainte et l’espoir, avec des ambitions démesurées d’hommes ayant perdu le sens de la réalité et qui, apprendre à dominer leurs passions, ont dominé la nature grâce au développement des sciences et des techniques qui ont modifié leur vie. Le monde traverse non seulement une crise spirituelle mais métaphysique, un monde très dérangé par « une conscience moderne » (les jeunes filles défilant nues, de femmes se posant nues, de prostituées, d’homosexuels, de lesbiennes, d’infanticides, de victimes de tabagisme et d’alcoolisme, de drogués, de mauvais gens, de querelleurs, de corrupteurs, de charlatants, de fabricants de véritables engins de destruction massive conçus spécialement pour tuer les êtres humains et de détruire leurs biens, que sont les armes chimiques et celles nucléaires, de virus comme le sida, l’ébola, et celui qui fait l’actualité, l’inoubliable coronavirus « COVID 19 » ou la privation de liberté ou la pause forcée, mettant le monde en deuil, en somme de tous ces fléaux qu’Allah (LSI) en a horreur méritent de siffler la fin de la récréation en donnant une valeur à la journée de la Miséricorde « Besssu yermande » « Santati Serigne Saliou » initiée en 2005 sous le ndiguël et la bénédiction du 5e Khalif des mourides reconnu par toute la Umma comme le pôle de son époque, le Saint sauveur, se tiendra tous les 05 Mai. Actuellement, nous vivons une époque très critique où les ordres du Créateur et de son prophète Mohamed sont abandonnés et oubliés ainsi que les conseils des sages de la religion. Aucune valeur morale ne compte aux yeux des gens, leur matérialisme dépasse les bornes, seules les jouissances terrestres les préoccupent. Donc, comment faire pour que l’humanité vive dans un monde de paix, d’équilibre, de communion, de fraternité, de compassion, de tolérance, de partage, d’entraide, de pardon, d’amour, de pureté surtout, bref de tout ce qui peut garantir une vie saine sur terre, prémisse d’une autre qui sera 2 éternellement tranquille ? c’est à cette question que j’invite l’humanité toute entière afin de cultiver les bases d’une misèricorde entre l’homme , en grand H, dans ses relations avec son prochain, sa relation avec la nature et les éléments qui la composent, et sa relation avec l’infiniment micéricordieux ; qui a envoyé Mohamed le sceau des prophètes et les autres apôtres, le Coran est sa parole incréée, celui qui est éternel, éternel par le passé comme dans l’avenir, vivant, omniprésent, omniscient, voit tout, entend tout, très et tout puissant, Maître du Trône et de la Chaise, Créateur des cieux, de la terre, des anges, des génies, des humains, etc… Il a les plus beaux noms et les plus beaux attributs, Il est celui qui fait et qui défait, différent de ses créatures et de tout ce qu’on peut imaginer, Il est sans associé, il se suffit à lui-même.. jusqu’à la fin de la profession de foi musulmane. D’où cette propension à vouloir inciter les décideurs politiques, ceux sur qui reposent la destinée des citoyens, par leur decret et leur signature, à d’abord comprendre les enjeux d’un tel projet. En réalité, il s’agit d’instituer une journée nationale, voire même une journée internationale de la miséricorde. Dans notre conception de la vie et la compréhension que nous avons d’un monde de paix et de miséricorde, nous avons anticipé sur la matérialisation de cette vision afin que les rapports soient teintés de grandeur et de noblesse et cela, la miséricorde en est la base. Ce serait tout de même prétentieux, de vouloir humaniser toute la planète, mais avec ce projet, nous voulons jeter les bases d’un monde qui serait un havre de paix et de jouissance licite. Ô fils d’Adam, vous les gens de bien, formons un milieu sain susceptible d’entrainer les adhérants dans la voie du salut. Que la miséricorde et la gloire d’Allah (LSI) soit sur nous, louange à Allah Seigneur de l’univers. NB : Victime du COVID 19, Cette année qui devait être la 15e édition 2005/2020 journée de la miséricorde ou 28e édition 1992/2020 Santati serigne Saliou, sera célébrée par des prières à titre individuel en restant à la maison, respectant toujours les gestes barrières, tous unis dans la prière et Allah le Tout Puissant répande sa miséricorde divine sur toute l’humanité et éradique cette pandémie qui nous a mis dans un vide saisissant remportant tout sur son passage sauf la foi. Prières à faire à votre choix – chaque point peut éradiquer cette pandémie COVID 19 par la grâce divine. 3  Lecture du Saint Coran démarrée depuis le 1er janvier 2020 et sera· cloturée le 05 Mai à 17 h00 Khatmoul Khourane  1947 Astaghfiroulah ou Yacine·  12000 Basmala·  5995 Ya Rahmanou Ya Rahimou·  70000 Ya badi’ou sama wati wal ardi·  Sourate Yacin (à chaque moubine faire le vœux – arriver jusqu’à· salamoune khawlane mine rabil rahin (28 fois)  12000 salatoul ala nabi – salatoul fatihi.·  3000 Ya hayyou ya hayyoumou (la main sur la poitrine)·  6666 La illaha illa lah· Certains ouvrages écrits par nos vaillants érudits: - Asmaoul Tahlil – Matlaboul chifahi – Iniakhoulou – Ya rabi bil moustafa – diawartou kamal et autres sacrifices (lakhou thiep) (laver les mains avec bismilahi rahmani rahim et manger le avec bismilahi rahim) éradique et soigne toutes maladies. - Suivez attentivement les recommandations de vos vaillants et incontournables guides spirituels et temporels. Allahouma salli ala Seydina Mouhamed wa ala alihi wa sahbihi wa khadimihi wa oumatihi wa salama taslima inalaha mahana sadaha lahou azim.

Papa Saliou DIOP Initiateur de la Journée 5.5, Président de l’Association pour la Miséricorde et l’Assistance aux Orphelins (APAO) Cité Soprim Villa 121 A Tel : 77 643 46 52 – 33 835 83 14

Dans le contexte du Covid 19, où toutes les activités sont gelées, Serigne Idrissa THIAW LAYE, fils du Khalife Général des Layènes Abdoulaye THIAW LAYE, a tenu à commémorer la journée dédiée à son grand-père Seydina Issa Rohou Laye, activité qu’il organise le 1ER Mai de chaque année. Pour magnifier cette journée pour l’édition 2020, le jeune marabout  a fait une déclaration de presse au cours de laquelle il s’est prononcé sur l’actualité marquée par l’avènement du Coronavirus et où il cite l’exemple de son grand père si on veut arriver à une bonne gestion de la maladie du coronavirus et les développements qui s’y opèrent.

Sur la demande de certains de ses disciples, Idrissa Thiaw Laye a donc respecté la tradition, mais sobrement. Juste pour se prononcer sur les questions de l’heure et pour évoquer des fléaux qui secouent actuellement le monde entier passant de la pandémie du COVID 19 à la crise des valeurs. A travers des illustrations émanant des versets du saint coran et des hadiths du prophète Mohamed PSL, le marabout Serigne Idrissa THIAW LAYE a été on ne plus clair dans sa déclaration. Evoquant de la maladie du COVID 19, le guide religieux se dit être en phase avec les autorités sanitaires et étatiques dans le respect dans mesures barrières édictées pour l’éradication de cette pandémie. Toutefois il dira que « ces dernières ont failli dans la communication dés le début de la pandémie, car, elles devraient travailler en étroite collaboration avec les guides spirituels afin de trouver une solution idoine à cette crise qui commence à perdurer. Ainsi il demande aux autorités de bien revoir leur copie pour apporter une autre forme de communication.

Parlant de la crise des valeurs qui secoue actuellement le monde entier, le guide religieux estime qu’il est grand temps que les tenants du pouvoir et les guides religieux s’adonnent à beaucoup plus d’humilité. Selon lui, le seul détenteur d’un pouvoir éternel, c’est Dieu le Tout Puissant, Créateur de l’Univers. Toujours égal à lui-même et dans une verve sans commune mesure, Serigne Idrissa THIAW LAYE rappelle les grands rôles joués par son grand père Seydina Issa Rohou LAYE lors de la maladie de la peste qui avait secoué le monde vers les années 1914. Mieux, se réjouit Idrissa Thiaw Laye, « il était même allé jusqu’à être décoré par la légion d’honneur des épidémies. Voici un exemple parfait si on veut arriver à bien gérer la maladie ». S’adressant à la jeunesse sénégalaise, Serigne Idrissa THIAW LAYE les exhorte à beaucoup plus de rigueur dans le travail et dans le respect des valeurs de l’islam. Enfin, le jeune marabout demande à tout un chacun de formuler des prières sincères profondément basées sur un repenti absolu pour bouter hors du pays et hors du monde entier cette maladie du Covid 19 qui n’a pas encore dit son dernier mot.

Meissa THIAM                                                    

 

 

 Si ce n’était le contexte du Covid 19, les membres du Syndicat National des Travailleurs des Industries et de la Confection du Sénégal (SNTICS) allaient se faire entendre concernant la situation des sociétés ‘’ESPI S.A’', ‘’Biscuisen S.A’’ sur le cas de ses ex-travailleurs et ceux de ‘’Black Pearl’’. Par la voix de du SG de la SNTICS, Doudou Cissé, par ailleurs SG de la Confédération Nationale des Syndicats professionnels  (CNSP), ces travailleurs ont publié un communiqué ce 1er Mai, pour fustiger le comportement de certaines sociétés qui ne sont pas en phase avec les revendications de leurs travailleurs, et interpellent, du coup, les Ministères du Travail et de la Justice.

 

Pour Doudou Cissé, « je dénonce, avec véhémence, la situation de ‘’ESPI S.A’’, société située à Rufisque Ex-Icotaf, qui est en arrêt d'activités depuis 2018, après une année de chômage technique en 2017.’’ESPI’’ a été achetée par Mr Ababacar Kébé qui refuse systématiquement de payer au personnel les arrières de salaires qu'il reste devoir au personnel depuis près de deux ans Il tient des engagements et des promesses qu'il ne respecte pas tout en demandant au personnel de saisir la justice afin de lui permettre de jouer sous levier de la dilatoire pour gagner du temps. Aujourd'hui, les travailleurs sont exposés à d'énormes difficultés pour subvenir aux besoins vitaux de leurs familles et lancent un cri de cœur pour que le Ministre du Travail et celui de la Justice s'impliquent dans cette lutte pour qu'il paie les salaires et libère le personnel pour qu'il puisse trouver de nouveau un emploi ». Pour le cas des ex travailleurs de BISCUISEN S.A qui était dans la zone franche et l'affaire des ex-travailleurs de Black Pearl implanté à Ndoukhoura, sur la route de Yenn, « le syndicat et les travailleurs s'inquiètent des lenteurs et s'impatientent de la procédure judiciaire engagée par le cabinet d'avocat Me Cheick FALL », fait savoir le SG de la SNTICS et de la CNSP.

 

Youssouf NDIONGUE

 

Dans le souci d’apporter ma part de contribution à la panoplie de mesures pertinentes que Vous êtes en train prendre pour contenir la pandémie du covid-19, il m’a semblé d’une certaine opportunité d’appeler Votre Haute Attention sur les statistiques alarmantes de la population pénale et les pistes de solutions légales qui pourraient être prises pour désencombrer les prisons. Si nous partons d’une analyse de la population carcérale, nous pouvons, sans risque de nous tromper, retenir les éléments suivants : a) près de 19.72% de la population carcérale est en instruction pour des délits. On les appelle des inculpés. b) Près de 15% de cette population est renvoyée devant les juridictions de jugement pour commission présumée de délits, en instance ou en appel sans jugement. On les appelle des prévenus. c) Près de 60% des détenus sont jugés définitivement et sont en train de purger leur peine, dont 110 femmes et un mineur. On les appelle des condamnés. d) Près de 2.5% de la population pénale actuelle est en instruction pour des crimes. On les appelle aussi des inculpés. e) Près de 2.5% est en instance de jugements devant les chambres criminelles, en instance ou en appel. On les appelle des accusés. Il est à noter que près de 175 femmes et 123 mineurs seraient en détention provisoire, alors que 110 femmes et un enfant mineur seraient condamnés définitifs. Sur une population carcérale de près de 10.150 personnes, les condamnés à une peine supérieures à 5 ans pourraient avoisiner 1000 personnes et elles sont supposées avoir commis les crimes les plus graves. 2 f) Tous les jours les forces de défense et de sécurité interpellent et gardent à vue ou libèrent des personnes ayant commis des infractions mineure dans le contexte du Covid-19.  Pour la première catégorie (a) : Elle devrait en principe être libérée d’office sur le fondement de l’article 127 bis du code de procédure pénale dans un délai de deux à quatre mois, sauf si les procureurs et Juges d’Instruction allongeaient inutilement les procédures. En effet, dans le contexte actuel, renvoyer ces personnes présumées avoir commis des délits devant des juridictions de jugement ne ferait qu’encombrer davantage les prisons, sachant non seulement que la loi les libérerait d’office, mais encore qu’il n’y aurait pas d’audiences au fond dans les délais raisonnables. Certains juges d’instructions et procureurs s’érigent objectivement en juridictions de jugement, ce qui ne relève pas de leur office. Dans tous les cas de figure, pour cette première catégorie, elle est libérable après six mois de détention à compter du mandat de dépôt décidé par l’autorité judiciaire compétente. Pourtant il existe des mesures palliatives à la détention systématique, car une ordonnance de mise en liberté provisoire sous contrôle judiciaire ou sous cautionnement pourrait être prise à cet effet pour éviter la détention, comme le prévoit l’article 127 ter de la loi n° 85-25 du 27 février 1985 qui dispose que : « Dans tous les cas, le juge d’instruction peut, s’il l’estime nécessaire placer l’inculpé sous contrôle judiciaire. Le contrôle judiciaire consiste pour l’inculpé à se présenter à intervalles réguliers, fixés par le juge, soit à lui-même, soit à l’officier de police judiciaire qu’il désigne. Le juge aussi peut prescrire toutes autres mesures qu’il estime nécessaires pour empêcher que l’inculpé ne se soustrait à l’action de la justice ou éviter qu’il ne continue à commettre l’infraction pour laquelle il est poursuivi. Il peut notamment ordonner le retrait du passeport de l’inculpé ou interdire qu’il lui en soit délivré. » Quant à l’article 133 du code de procédure pénale, il dispose que : « La mise en liberté provisoire, dans tous les cas où elle n’est pas de droit, peut être subordonnée à l’obligation de fournir un cautionnement. Ce cautionnement garantit: 1. La représentation de l’inculpé, du prévenu ou de l’accusé à tous les actes de la 3 procédure et pour l’exécution du jugement ou de l’arrêt; 2. Le paiement dans l’ordre suivant: a) Des frais avancés par la partie civile; b) De ceux faits par la partie publique; c) Des amendes; d) Des restitutions et dommages intérêts. La décision de mise en liberté détermine la somme affectée à chacune des deux parties du cautionnement ». La mise en liberté provisoire avec ou sans contrôle judiciaire ou avec cautionnement, serait sans nul doute plus conforme dans le contexte actuel aux engagements internationaux de la plus part des Etats, car l’article 9-3 du Pacte International relatif aux Droits Civils et Politiques qu’ils ont ratifiés dispose que : « Tout individu arrêté ou détenu du chef d'une infraction pénale sera traduit dans le plus court délai devant un juge ou une autre autorité habilitée par la loi à exercer des fonctions judiciaires, et devra être jugé dans un délai raisonnable ou libéré. La détention de personnes qui attendent de passer en jugement ne doit pas être de règle, mais la mise en liberté peut être subordonnée à des garanties assurant la comparution de l'intéressé à l'audience, à tous les autres actes de la procédure et, le cas échéant, pour l'exécution du jugement. » Cette mesure protégerait aussi une autre valeur fondamentale, celle de la présomption d’innocence, puisque la tenue des audiences est suspendue et qu’une enquête judiciaire n’a pour seule vocation que d’établir son objet : rechercher pour établir des certitudes encore improbables. L’article 7 alinéa 1 de la Charte Africaine des Droits de L’homme et des Peuples dispose aussi que : « 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue. Ce droit comprend: (…) b. le droit à la présomption d'innocence, jusqu'à ce que sa culpabilité soit établie par une juridiction compétente; (…) d. le droit d'être jugé dans un délai raisonnable par une juridiction impartiale. » Par ailleurs, la gravité des faits qui constitue un leitmotiv pour certains juges et procureurs, n’est pas un motif suffisamment pertinent pour qu’un juge d’instruction qui a fini son enquête, décide d’anticiper une condamnation en prenant une mesure qui prolonge abusivement la privation de liberté. 4 En effet, dans le contexte actuel, nul n’ignore que le refus de libérer les personnes pouvant bénéficier des dispositions de l’article 127 bis du Code de Procédure Pénale, caractérise objectivement une condamnation sans jugement, dès lors que la mise en liberté ne fait que suspendre provisoirement l’action publique et ne fait pas obstacle à un jugement et à une condamnation ultérieure, de même qu’elle ne compromet nullement les intérêts des parties civiles. Libérer provisoirement d’ores et déjà toutes les personnes relevant de la catégorie (a) serait rendre justice à ces derniers et conforme à la loi et aux engagements internationaux des Etats. Pour la quatrième catégorie (d): A l’état actuel de notre législation pénale, une personne poursuivie pour un crime peut être gardé en prison le restant de sa vie tant que la durée de la peine probable encourue n’est pas couverte, car il n’existe aucune limitation de durée pour que le juge d’instruction le libère ou le renvoie devant une juridiction de jugement pour qu’elle se défende des accusations portées contre elle (induction de l’article 127 bis du code de procédure pénale qui ne vise que les délits). Ainsi, La politique pénale aveuglément répressive du parquet, rend encore plus désespérée les chances d’obtenir un procès équitable pour les mis en cause dans le contexte du Covid-19, puisque les audiences aux fonds pour se défendre des accusations pénales sont suspendues. Etre jugé dans les plus brefs délais ou libéré en attendant que sa cause soit programmée en jugement participe du droit à un procès équitable, et devrait être considérée comme une valeur hautement protégée dans un Etat de droit. La majeure partie des déviants en détention étant des délinquants occasionnels ou circonstanciels, des mesures comme la liberté sous contrôle judiciaire avec assignation à résidence pourrait être un palliatif au maintien en détention sans jugement et serait de notre très humble avis plus jute. Pour la deuxième et cinquième catégories (b) et (e) : Toute cette catégorie de personnes a été envoyée en jugement par les Cabinets d’instruction et elles subissent les rigueurs de l’alinéa deux de l’article 173 de la loi n°77-32 du 12 février 1977 qui se substitue d’office aux mandats de dépôt ou d’arrêt des juges. 5 Cette disposition légale est d’ailleurs incompatible avec les principes et règles de droit relatifs à la présomption d’innocence et au caractère exceptionnel de toute décision de détention avant jugement, car elle est objectivement une décision de condamnation anticipée et sous-tend une présomption de culpabilité contraire à la Morale et au Droit. Dans le contexte actuel, cette catégorie de détenus ne peut être jugée dans des délais raisonnables conformément aux engagements des pays ayant ratifié le Pacte International relatif aux Droits Civils et Politiques et aux conventions régionales établissant le droit de chaque personne poursuivie en matière pénale de bénéficier de ce droit, lorsqu’elle est en détention et, d’avoir un procès public au cours duquel elle pourrait discuter des accusations pénales portées contre elle. Nous suggérons en conséquence :  Que les personnes en détention provisoire pour des délits ou crimes supposés, et dont les dossiers sont encore en instructions, puissent être libérées sous réserves des crimes commis dans le contexte du Covid-19.  Que les personnes dont les dossiers ont déjà été transmis aux juridictions de jugement et qui n’avaient pas été libérées par les juges d’instruction, fassent l’objet d’enrôlements systématiques de leurs demandes de liberté provisoire avec ou sans avocats, puisque dans le contexte actuel du Covid-19 ascendant elles ne peuvent bénéficier d’un procès pour discuter du bien ou mal fondé des accusations portées à leur encontre.  Qu’un juge unique puisse siéger dans ce contexte et à huis clos, pour minimiser aussi les risques auprès des magistrats du siège et accélérer le désengorgement des prisons, sur ordonnances de désignations du Premier Président de la juridiction après concertation avec le procureur compétent. Pareille solution pourrait s’appliquer aux dossiers pour lesquels les prévenus ou accusés ont interjeté appel pour faire réexaminer leur culpabilité et la peine qui leur avait été infligée et cela, avant qu’ils ne purgent la totalité de la peine objet de leur condamnation. En effet, il est à noter que paradoxalement dans le contexte actuel, toute personne ayant fait l’objet d’une condamnation définitive, a plus de chances d’obtenir sa liberté, car étant éligible à la réduction de peine ou à la libération conditionnelle ou enfin à la grâce présidentielle, ce dont ne peuvent bénéficier les inculpés, prévenus ou accusés en détentions pourtant présumés innocents. 6 Pour la troisième catégorie (c) : Je fais appel à la clémence du Chef de l’Etat pour accorder une grâce amnistiante à cette population carcérale désemparée et désespérée, car la majeure partie des condamnés ont eu des comportements déviants, qui ont pu être occasionnels ou circonstanciels. Cette clémence mettrait aussi fin au désespoir de tant de familles emprisonnées par la peur à la seule pensée d’un Covid-19 qui pourrait s’inviter dans une cellule et cette probabilité n’est pas à exclure. Pour la sixième catégorie (f) Pour cette catégorie de personnes pouvant être gardées dans les commissariats de police et les brigades de gendarmerie dans le cadre d’une interpellation ou d’une garde à vue, ou dans les caves des tribunaux dans le cadre de retours de parquets décidés en toute illégalité car sans base légale, lorsque ces interpellations ou garde à vue ou déferrements seraient liés à la violation de la loi sur l’état d’urgence ou du règlement sur le couvre-feu, l’amende pourrait être dissuasive et un palliatif aux mesures classiques. Ce palliatif éviterait l’encombrement et le regroupement de personnes dans ces abris provisoire de détention (caves ou cellules de commissariats ou de gendarmeries) et l’argent collecté pourrait être affecté directement aux forces de défense et de sécurité ainsi qu’aux gardes pénitenciers très exposés. Je reste convaincu que si ces propositions rencontraient Votre agrément, elles permettraient de réduire la population carcérale en dessous de 10%, en réponse à la lutte contre le Covid-19, sans qu’aucun droit ne soit compromis. Nos investigations nous ont également permis de savoir que les chambres 3, 4, 9, 10, 41 et 43 logeraient entre 200 à 250 personnes, à titre illustratif, pour attirer l’attention sur le danger objectif et réel que constitue le peuplement des prisons sous équipées, mal entretenues et pléthoriques. Par ailleurs le contexte du covid-19 invite à ce qu’on apporte une assistance aux détenus par un élargissement substantiel pour minimiser les risques, car ils sont objectivement en danger et, le maintien en détention sans jugement qui martyrise la présomption d’innocence pourrait être constitutif d’une mise en danger pouvant être évitée. 7 L’article 6 alinéa 1 et 2 de la Constitution du Sénégal dispose que : « La personne humaine est sacrée. L’Etat a l’obligation de la respecter et de la protéger. Le peuple sénégalais reconnaît l’existence des droits de l’homme inviolables et inaliénables comme base de toute communauté humaine, de la paix et de la justice dans le monde ». J’ose espérer qu’il Vous plaira EXCELLENCE, MONSIEUR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, prendre les mesures idoines au besoin par ordonnances, pour rétablir la population carcérale dans ses droits articulés autour du principe de liberté avant jugement, de la présomption d’innocence avant condamnation, du droit de comparaitre dans de très brefs délais devant son juge d’instruction et dans des délais raisonnables devant une juridiction de jugement pour discuter des accusations, du droit à défaut de pouvoir faire réexaminer leurs condamnations et leurs peines dans le contexte actuel de bénéficier d’une liberté provisoire ; du droit à la santé morale des familles qui s’inquiètent avec l’avènement du covid-19 de la vie des leurs confrontés à un confinement carcéral porteur de risques majeurs, à défaut d’un réaménagement de leur peine ; du droit au pardon. Je Vous suis reconnaissant et par avance, de toute disposition que Vous pourriez prendre ou faire prendre pour donner une suite favorable à ces requêtes que ne justifient qu’un souci de justice, de rationalisation et de prévention. Veuillez croire, EXCELLENCE, MONSIEUR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, à l’assurance de ma très Haute et Respectueuse considération. Votre très dévoué

Cible d’attaques depuis un moment, l’entreprise de destruction massive continue contre le Ministre du Pétrole et des Énergies Makhtar Cissé, nous dit Sénégal24…

Un « puissant soutien … »
Et selon les informations de nos confrères, « un ancien ministre … éternel qui se prévaut d’un puissant soutien« , serait toujours à la commande avec, d’après la même source, « l’espoir de redevenir ministre… »

« Nouvel angle d’attaque…»

« Après le faux scandale Akilee qui, malgré les millions dépensés n’a pas intéressé le grand public, le nouvel angle d’attaque serait de parler d’Excellec qui comble du ridicule, avait un contentieux avec l’ancien ministre… éternel en question.

De nombreux journalistes auraient reçu un « soukeurou korr » renforcé afin de publier du contenu caustique à partir de demain pour attaquer le MPE et Excellec..», nous disent nos confrères.

La montée des cas de coronavirus commence à inquiéter plus d'un. Au niveau des Parcelles Assainies, ce sont les jeunes de la Cojer, derrière le responsable politique et non moins chargé de communication de ladite structure Pape Moussa Cissé, qui montent au créneau pour davantage porter la sensibilisation chez les différentes franges de la populations afin de stopper l'évolution de la maladie. 

Pour Pape Moussa Cissé, '' il est important de renforcer la communication dite communautaire afin d'apporter une réponse à la demande du PR Macky Sall. Il avait insisté, en effet, sur la nécessité de bâtir une communication et une sensibilisation adaptées en direction des populations, c'était lors du Conseil des ministres passé ''.

Ainsi, à en croire le chargé de communication de la Cojer des Parcelles, '' il convient de mettre en exergue ces trois éléments de langage pour justement répondre à la demande du chef de l'Etat qui est de renforcer la communication de proximité afin de mieux contrecarrer la propagation communautaire du virus ''. Mieux, estime Pape Moussa Cissé, ''  la commune des Parcelles est fortement peuplée et mérite une attention particulière dans la sensibilisation, surtout au niveau des points de rencontres opérationnels tels que les marchés et les boulangeries, notamment à certaines heures de la journée. Sillonnant les rues et les artères dans les coins et recoins pour faire entendre le message que la maladie évolue, Pape Moussa soutient que des initiatives pareilles doivent être davantage promues mais en collaboration avec le ministère de la santé pour bien harmoniser sur le contenu.

 

Qu’on se le tienne pour dit : personne n’est laissée en rade par la pandémie de COVID19 ; nulle n’est pas non plus épargnée par ce fléau du 21e siècle. Soucieuses des impacts négatifs que la maladie à coronavirus laisse déjà sur son passage en termes de frein à l’économie, cessation de la quasi-totalité des activités de développement fussent-elles génératrices de revenus, les femmes transformatrices des produits de mer du site historique de Khelcom Bargny, leur Présidente Fatou Samba en tête se sont mobilisées, voilà déjà un peu plus d’un mois, pour barrer la route à la propagation de la pandémie.

 

Pour que triomphe la vérité

En effet est ce qu’il n’y a pas de plus vrai, de plus important que de lutter pour la survie ? Les femmes transformatrices de poissons et d’autres produits provenant de la mer l’ont démontré à plusieurs reprises ; en reprenant le flambeau de l’exploitation sur le site des mains de leurs mères qui elles aussi, avaient fait la même chose en poursuivant le travail de leurs ascendants ; à quelles fins ? dans le seul but d’assurer la vie et la survie des familles dont les nombreuses progénitures sont entretenues grâce aux revenus tirés de l’exploitation des ressources halieutiques.D’autre part, ce sont encore ces milliers de femmes qui durant la Décennie 2009-2019 ont mené, à côté de leurs frères et sœurs réunis au sein de leurs associations, collectifs et entités, la bataille épique contre l’implantation d’une Centrale à Charbon de Catégorie 1 (classée comme très dangereuse) ; l’implantation de cette centrale signifiant la disparition quasi imminente du site d’exploitation signant du coup l’arrêt de mort des activités génératrices de revenus de près de 1500 femmes et 500 hommes en plein régime.  Par la voix de leur Présidente, la Conseillère municipale Fatou Samba elles ont voulu éclairer la lanterne de l’opinion. Elle dit : ... » les responsables de la Centrale depuis le début ont toujours fait des propositions allant dans le sens de nous appuyer mais nous avons toujours refusé leurs offres ; récemment leur chargé de communication et de relation nous a approché pour disait-il, pouvoir faire un geste à notre endroit dans le contexte de Covid 19 ; nous lui avions encore servi un niet catégorique.

Notre stupeur a été grande d’avoir entendu dans les ondes d’une radio que des responsables de cette Centrale avait fait un don aux femmes. Réunies de manière expresse au niveau des 15 Groupements polarisant chacun 50 travailleuses, nous avons rejeté avec la dernière énergie une telle information ; Cela n’engage que ceux qui courent toujours derrière la nostalgique exploitation de Charbon dont vient de se départir, il n’y a pas encore longtemps, Monsieur le Président de La République. Par contre, ajoute-t-elle le seul don que nous avons jusqu’ici reçu, en attendant la promesse des plus Autoritésde l’Etat, émane d’un partenaire qui, depuis le début de notre lutte contre l’implantation d’une Centrale à Bargny, nous a toujours soutenu. En l’occurrence l’ONG Lumière Synergie Développement que dirige notre compatriote Aly Sagne. Rien ne l’oblige à nous soutenir maismême pour nos voyages et rencontres avec d’autres partenaires comme WOMIN International, il met la main à la poche. Mieux, le 08 Mars dernier il était encore à nos côtés nous accompagnant financièrement dans nos activités génératrices de revenus ; ce n’est pas lui comme le font certains démagogues et êtres cyniques qui guettent comme à la chasse le gibier opportunité.... Nous lui serons toutes toujours très reconnaissantes, déclara –t-elleavant de conclure : ce n’est pas Aujourd’hui après tant d’années que nous luttons contre la Centrale et ses souteneurs qu’on va les solliciter, même pas pour une aiguille «.

Moustapha Seck  

 

Qu’on se le tienne pour dit : personne n’est laissée en rade par la pandémie de COVID19 ; nulle n’est pas non plus épargnée par ce fléau du 21e siècle. Soucieuses des impacts négatifs que la maladie à coronavirus laisse déjà sur son passage en termes de frein à l’économie, cessation de la quasi-totalité des activités de développement fussent-elles génératrices de revenus, les femmes transformatrices des produits de mer du site historique de Khelcom Bargny, leur Présidente Fatou Samba en tête se sont mobilisées, voilà déjà un peu plus d’un mois, pour barrer la route à la propagation de la pandémie.

 

Pour que triomphe la vérité

En effet est ce qu’il n’y a pas de plus vrai, de plus important que de lutter pour la survie ? Les femmes transformatrices de poissons et d’autres produits provenant de la mer l’ont démontré à plusieurs reprises ; en reprenant le flambeau de l’exploitation sur le site des mains de leurs mères qui elles aussi, avaient fait la même chose en poursuivant le travail de leurs ascendants ; à quelles fins ? dans le seul but d’assurer la vie et la survie des familles dont les nombreuses progénitures sont entretenues grâce aux revenus tirés de l’exploitation des ressources halieutiques.D’autre part, ce sont encore ces milliers de femmes qui durant la Décennie 2009-2019 ont mené, à côté de leurs frères et sœurs réunis au sein de leurs associations, collectifs et entités, la bataille épique contre l’implantation d’une Centrale à Charbon de Catégorie 1 (classée comme très dangereuse) ; l’implantation de cette centrale signifiant la disparition quasi imminente du site d’exploitation signant du coup l’arrêt de mort des activités génératrices de revenus de près de 1500 femmes et 500 hommes en plein régime.  Par la voix de leur Présidente, la Conseillère municipale Fatou Samba elles ont voulu éclairer la lanterne de l’opinion. Elle dit : ... » les responsables de la Centrale depuis le début ont toujours fait des propositions allant dans le sens de nous appuyer mais nous avons toujours refusé leurs offres ; récemment leur chargé de communication et de relation nous a approché pour disait-il, pouvoir faire un geste à notre endroit dans le contexte de Covid 19 ; nous lui avions encore servi un niet catégorique.

Notre stupeur a été grande d’avoir entendu dans les ondes d’une radio que des responsables de cette Centrale avait fait un don aux femmes. Réunies de manière expresse au niveau des 15 Groupements polarisant chacun 50 travailleuses, nous avons rejeté avec la dernière énergie une telle information ; Cela n’engage que ceux qui courent toujours derrière la nostalgique exploitation de Charbon dont vient de se départir, il n’y a pas encore longtemps, Monsieur le Président de La République. Par contre, ajoute-t-elle le seul don que nous avons jusqu’ici reçu, en attendant la promesse des plus Autoritésde l’Etat, émane d’un partenaire qui, depuis le début de notre lutte contre l’implantation d’une Centrale à Bargny, nous a toujours soutenu. En l’occurrence l’ONG Lumière Synergie Développement que dirige notre compatriote Aly Sagne. Rien ne l’oblige à nous soutenir maismême pour nos voyages et rencontres avec d’autres partenaires comme WOMIN International, il met la main à la poche. Mieux, le 08 Mars dernier il était encore à nos côtés nous accompagnant financièrement dans nos activités génératrices de revenus ; ce n’est pas lui comme le font certains démagogues et êtres cyniques qui guettent comme à la chasse le gibier opportunité.... Nous lui serons toutes toujours très reconnaissantes, déclara –t-elleavant de conclure : ce n’est pas Aujourd’hui après tant d’années que nous luttons contre la Centrale et ses souteneurs qu’on va les solliciter, même pas pour une aiguille «.

Moustapha Seck  

 

Le ministre de l’Agriculture a lancé un appel au monde rural dans le cadre de la lutte contre le Covid-19. Cet appel s’est fait en direction du monde rural pour une bonne campagne agricole, eu égard surtout au contexte de crise actuelle. Le ministre de l’agriculture et de l’équipement rural Moussa Baldé a offert la somme de 5 millions de nos francs à la lutte contre le coronavirus. Par ailleurs, le ministre a salué l’énorme travail abattu par la presse dans la lutte contre le covid-19.

 

Aux producteurs du monde rural, il préviendra : « à l’endroit de nos parents du monde rural nous disons que c’est l’occasion de se prémunir parce que l’hivernage arrive. Et il ne faudrait pas qu’en plus du paludisme, on ait à gérer le coronavirus. Nous savons que dans nos villages, chaque année, on gère beaucoup de problèmes avec le paludisme. » 

Selon lui, l’avantage du coronavirus c’est qu’il ne se transmet par des insectes comme les moustiques, mais plutôt c’est entre les humains. Donc, il suffit qu’on soit plus prudent pour ne pas se le transmettre. Ainsi on pourra commencer l’hivernage dans de bonnes conditions. Qui plus est, selon lui toujours : «  Le ministère de l’agriculture avec les orientations du chef de l’État est en train de tout faire pour que les intrants soient en place au plus tard en fin juin. Nous recommandons vraiment l’extrême prudence, car le Sénégal compte sur l’agriculture pour l’après covid-19 ». À cette occasion, le ministre a chaleureusement remercié la presse pour le rôle qu’elle est en train de jouer dans la sensibilisation sur la pandémie. Et la communication faite dans les langues locales aussi, participe considérablement à la lutte contre le covid-19. Il a délivré ce message au monde rural, à l’occasion de la remise d’un montant de 5 millions dans le cadre de la lutte contre le covid-19. Il faut souligner que cette somme vient s’ajouter à celles déjà remises au début de la pandémie...

 

CMU
cmu