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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

L'ISM nous a habitués à l'organisation de débats et tables rondes sur des questions brûlantes de l'heure. Ce jeudi 30, dans l'enceinte de l'école de formation pour l'enseignement supérieur, le sport était débattu, mais sur les enjeux et défis du sport sénégalais à l'horizon 2022. Et pour Ndongo Ndiaye, ministre conseiller du chef de l'État dans le domaine, ''il convient de faire, à l'image de la transition numérique et celle culturelle qui est en train d'être réussie, la transition du sport''. Cela veut dire, selon lui, qu'on ne doit plus rester dans les mêmes considérations que nous avons toujours eu du sport''.
 
Le sport sénégalais mérite l'organisation d'assises. C'est ce qu'a compris le Groupe ISM qui, en prélude à la Master Class en Marketing sportif qui aura lieu du 25 au 28 février prochain avec les professionnels de Laliga Business School, a initié une table ronde autour du thème portant sur les enjeux et défis du sport sénégalais à l'horizon 2022. Justement pour y arriver avec des gloires, c'est moins le fait que le budget du département soit arrimé à 1% du PIB, que de changer, selon Ndongo Ndiaye, les mentalités pour être en phase avec l'évolution du secteur. Invité à animer la table ronde avec Mame Fatou Ndoye journaliste à la TFM, le ministre conseiller a laissé entendre ceci: "Désormais, on ne doit plus faire le sport après les choses importantes, mais considérer le sport parmi les plus importantes choses à faire''. En effet, s'explique-t-il, " il y a, de manière générale, une transition à faire après la transition numérique et les autres transitions en cours. Déjà, au niveau de la formation, il y a une tendance qui veut qu'on construise une faculté des sciences sportives''. Mais ce qui est sûr, c'est que le Groupe ISM a ouvert le vaste chantier qui est de débattre du sport sénégalais pour se hisser à des standards à l'horizon 2022.
Youssouf Ndiongue

Ceux qui s’activent dans le mouvement Nio Lank se singularisent par des attitudes hostiles à la quiétude et au respect des normes édictées par le pouvoir. Selon le bureau exécutif des personnes handicapées, par la voix de son président Toumany Camara, « au moment où Le Président Macky Sall prône le dialogue National et invite les participants à discuter de tout avec un grand T, on ne saurait comprendre l’attitude de Guy Marius Sagna et Compagnies attaquer le régime. Dans des situations pareilles qui interpellent le consensus et le dialogue pour trouver des solutions définitives et durables pour la cause nationale, il faut savoir raison garder et avoir le courage de se mettre autour d’une table plutôt que de faire la politique de la terre brulée. Cela ne nous étonne pas, outre mesure, d’autant plus que je les considère comme des énergumènes dans les mouvements sociaux qui agissent comme des opposants, à l’image de Sonko. Mais cette stratégie ne saurait prospérer car le peuple Sénégalais, ce grand Peuple, n’est pas dupe. Ils savent que la hausse est faite pour quelques temps et que le Sénégal sera bientôt un pays producteur de pétrole. Ce qui entraînera une plus-value et la révision pour une éventuelle baisse du coût de l’électricité et de tous les autres biens sociaux. On doit comprendre que l’argent gagné dans la hausse est destiné à l’extension du réseau électrique pour desservir le monde rural travers », a théorisé Toumany Camara.

Abordant la question sur la crise scolaire et la situation des Enseignants, le bureau exécutif du mouvement des handicapés républicains estime que l’enseignant doit être tout simplement un éducateur. Selon eux, « enseigner est un sacerdoce et une responsabilité à la limite divine, « c’est  angélique, car l’Ange Djibril a été le premier enseignant », rappellent Toumany Camara et ses camarades. Pour qui, « l’enseignant doit avoir comme arme la craie et la plume et doit s’adosser à un discours responsable, républicain qui forme le citoyen, plutôt que la pierre et un discours qui frisent la violence et la haine ». « Avec le Président Macky Sall, l’enseignant est le plus payé de la Fonction Publique. Le Gouvernement leur a octroyé beaucoup de privilèges dans les domaines de la formation, des logements Sociaux, l’augmentation des Salaires etc. », applaudissent-ils.

Evoquant le cas de Moustapha DIAKHATE, Toumany Camara sort le sabre : « Moustapha Diakhaté sait pertinemment qu’une structure politique est régie par la discipline et que le principe du secret d’Etat régit la marche d’une nation. Il a tort d’être dans l’APR et de l’attaquer dans les radios, télévisions, voire dans la rue. Nous ne sommes pas surpris par son attitude parce qu’il est coutumier des faits. Seulement nous avons honte par son attitude et son discours au rabais indigne de sa part. Qu’est-ce que Le Président Macky Sall n’a pas fait pour Moustapha DIAKHATE ? Président de groupe parlementaire de Benno Bokk Yakkaar, ministre chef de cabinet, ministre conseiller entre autres privilèges à lui accordés et dont nous ne pouvons tout évoquer ici. Nous saluons à sa juste valeur la décision du Conseil de discipline du parti qui l’a exclu. On ne peut pas être partisan et opposant », déclare Toumany. Sur le plan International, le bureau exécutif salue la dimension de la carrure du Président Macky Sall. « Il a une dimension internationale qui force le respect. Il a noué des relations d’amitié, de convivialité avec beaucoup de pays du Monde et surtout avec les puissances occidentales. Sa vision sur ce plan est à l’origine de la venue des bailleurs qui investisseurs pour notre économie. Nous le félicitons de l’accueil qu’il a réservé à son hôte le Président Turc Recep Taib Erdogan dont la visite a accouché de la signature de beaucoup de conventions de partenariat bénéfiques à notre pays ». Le Bureau Exécutif National salue a décerné une mention spéciale à son président, e l’occurrence le Président Toumany CAMARA qui ne ménage aucun effort pour la marche du Mouvement National des Handicapes Républicains du Sénégal. « Sa disponibilité pour le mouvement, son sens de l’écoute et sa promptitude à l’action ne sont plus à démontrer. Il lance donc un vibrant hommage au Président de La République du Sénégal Macky Sall, Président du Parti pour son courage et sa lucidité d’Homme d’Etat. Il lui renouvelle sa fidélité et son attachement indéfectible pour un Sénégal émergent.

mercredi, 29 janvier 2020 22:12

POUR TOUT SAVOIR SUR AKILEE

 AKILEE a été créée par Amadou LY, Victor NDIAYE et Samba Laobé NDIAYE qui accumulent à eux 70 ans d’expériences professionnelles cumulées. Ils sont diplômés des grandes écoles françaises Centrale Paris, Grenoble INP et HEC ; et ont travaillé dans les plus grandes entreprises au monde avant de réunir leurs compétences au service de leur continent car l’Afrique est bien la cible d’AKILEE.

  • Le contrat entre AKILEE et Senelec dont on parle, n’est pas le seul contrat entre les deux sociétés. Il y’en a eu plein d’autres pourquoi c’est celui là qui attire les regards. Ce n’est pas seulement à cause du montant, c’est aussi et surtout parce qu’il y avait tout un réseau de dealers/intermédiaires dont l’activité ne consistait en rien sinon se débrouiller pour accéder à des informations confidentielles sur les marchés à Senelec, en corrompant des agents impliqués dans les marchés, pour faire en sorte de faire gagner les entreprises qu’ils représentaient. Naturellement celles-ci les payer pour ces services. Il n’y aucun emploi créé, aucune connaissance transférée, aucune technologie maîtrisée et on renforce la dépendance de nos pays. Peut-on accepter cela ? La réponse est non.
  • Le contrat de 186 milliards dont il est question ambitionne de réduire les pertes de près de 325 milliards et de réduire les charges d’exploitation de près de 200 milliards sur 10 ans. Soit plus de 500 milliards de gains escomptés sur 10 ans. Ces impacts ne tiennent pas compte du fait que Senelec est actionnaire à 34% d’AKILEE et que donc toute la valeur créée par AKILEE dans les années à venir reviendra à Senelec à hauteur de cette participation. C’est une formidable source de diversification des revenus quant on connait le potentiel d’AKILEE.
  • On parle d’un contrat de 186 milliards en faisant exprès d’occulter quelques points fondamentaux :

o   D’abord le fait qu’il s’agit d’un contrat cadre sur 10 ans pour déployer, installer et exploiter un système de comptage intelligent qui sera constitué à terme, entre autres, de 2742600 compteurs et qui s’appuie sur des logiciels développés et appartenant à des Sénégalais (question de souveraineté et de sécurité nationales).

o   Ensuite que le projet est financé par AKILEE à hauteur de 85% et que Senelec bénéficie d’une facilité de remboursement du CAPEX sur 4 ans avec un an de différé, ce qui signifie que le contrat est payé en 14 ans.

o   Enfin que les compteurs en question ont été spécifiés pour une durée de vie garantie de 20 ans. Ce qui signifie que le coût de revient d’un compteur, tout équipé, sécurisé et exploité, est d’environ 283 FCFA/mois/compteur. Chaque sénégalais paye une redevance mensuelle de 429 FCFA déjà aujourd’hui pour justement permettre à Senelec de lui installer un compteur, d’exploiter ce compteur et de maintenir ce compteur. Cela signifie que le projet structurant qui a été lancé pour éviter au Sénégal de perdre 1273 milliards FCFA dans les 10 prochaines années, n’a aucun impact financier sur la facture. Au contraire, il va contribuer à baisser la facture en augmentant les revenus de Senelec.

  • AKILEE a créé à ce jour 87 emplois directs (dont 70% est constitué d’emplois hautement qualifiés Bac+5 et au-delà) et près d’une centaine d’emplois indirects (prestataires installateurs, gardiennage, restauration et divers autres services). L’ambition affichée rien qu’au Sénégal est de créer au moins 750 emplois directs et près de 2500 emplois indirects.
  • Qu’est-ce qu’AKILEE a apporté à Senelec ? De l’efficacité et des économies. AKILEE a permis de faire économiser à Senelec près de 3 milliards de FCFA depuis 2017. Ces économies pour les projets déjà démarrés sont estimées à près de 40 milliards dans les 10 prochaines. AKILEE a permis de réduire les délais d’approvisionnement des compteurs Woyofal actuels de plus de 75% en passant de 12 mois en moyenne lorsqu’on passe par les appels d’offres à 2,7 mois. AKILEE a permis de supprimer les frais financiers liés à ces transactions.
  • Qu’est-ce que les nouveaux compteurs vont apporter à la clientèle. Aujourd’hui près de 40% de la clientèle de Senelec est au prépaiement (Woyofal) ; mais nombre de ces clients se plaignent de ne pas pouvoir recharger leurs compteurs à distance et surtout d’avoir à taper un long code de 20 chiffres sur un clavier, de ne pas comprendre réellement l’autonomie dont ils disposent parce que tout le monde n’est pas familier avec le kWh (kilo Watt heure) utilisé pour compter l’énergie. Avec les nouveaux compteurs fournis par AKILEE, baptisés Woyofal+, les clients pourront : suivre leurs consommations depuis n’importe quel endroit au monde, acheter du crédit depuis n’importe où, transférer ce crédit automatiquement au compteur sans taper un seul chiffre, être alertés à distance, quand ils sont hors de chez eux, du crédit qui s’épuise (plus besoin d’être à côté du compteur ou du clavier Woyofal pour entre ou voir l’alarme), voir leur autonomie de consommation exprimé en jours ou en FCFA, ce que tout le monde comprend plus aisément... Définitivement Woyofal+ va transformer l’expérience du client Senelec, sans parler maintenant de la traçabilité qu’il y aura sur la qualité de l’énergie qui est fournie à chaque client (notamment la tension) pour faciliter l’arbitrage en cas de réclamation d’un client sur de potentiels dommage sur les équipements électriques.
  • Pourquoi il n’y a pas eu appel d’offres ? Parce qu’AKILEE comme toutes les filiales de Senelec (Excellec, Simelec, ERS…) peut signer avec Senelec des contrats dans le cadre de convention réglementés tel que permis par les actes uniformes de l’OHADA. Senelec est une société anonyme à laquelle s’applique ce droit communautaire. Mais le plus important est de se demander s’il y avait une concurrence. La réponse est oui, mais précisons tout de suite que touts les autres sociétés sont étrangères (y compris la Sonatel dont le nom a été évoqué par le journaliste, malgré le fait de ne pas avoir la compétence chez eux et de vouloir s’accaparer des cette opportunité stratégique pour le pays dans le secteur de l’énergie comme ils l’ont déjà fait dans les télécoms). On peut citer ENEL, HUAWEI, CLOU, SAGEMCOM, ENEDIS, ITRON, EL SEWEDY, CONLOG… Toutes ces sociétés ont en commun de n’avoir jamais voulu passer par un appel d’offres. Elles ont toutes proposé une solution de financement pour une signature en gré à gré alors même que Senelec n’a aucun lien avec eux ; contrairement à AKILEE où elle détient 34% des parts, sans parler encore du fait qu’il n’y aurait aucun transfert de compétences parce que toutes ces sociétés savent que le cœur de ce projet est dans les systèmes et auraient proposé que leurs systèmes soient juste utiliser par Senelec sans aucune propriété locale, encore moins la moindre capacité d’adaptation ou d’évolution locale. Cette dépendance représenterait un risque extrême pour le pays. D’ailleurs tous les pays qui ont déployés ces systèmes de comptage intelligents ont toujours gardé le contrôle du système.
mercredi, 29 janvier 2020 22:05

POUR TOUT SAVOIR SUR AKILEE

 AKILEE a été créée par Amadou LY, Victor NDIAYE et Samba Laobé NDIAYE qui accumulent à eux 70 ans d’expériences professionnelles cumulées. Ils sont diplômés des grandes écoles françaises Centrale Paris, Grenoble INP et HEC ; et ont travaillé dans les plus grandes entreprises au monde avant de réunir leurs compétences au service de leur continent car l’Afrique est bien la cible d’AKILEE.

  • Le contrat entre AKILEE et Senelec dont on parle, n’est pas le seul contrat entre les deux sociétés. Il y’en a eu plein d’autres pourquoi c’est celui là qui attire les regards. Ce n’est pas seulement à cause du montant, c’est aussi et surtout parce qu’il y avait tout un réseau de dealers/intermédiaires dont l’activité ne consistait en rien sinon se débrouiller pour accéder à des informations confidentielles sur les marchés à Senelec, en corrompant des agents impliqués dans les marchés, pour faire en sorte de faire gagner les entreprises qu’ils représentaient. Naturellement celles-ci les payer pour ces services. Il n’y aucun emploi créé, aucune connaissance transférée, aucune technologie maîtrisée et on renforce la dépendance de nos pays. Peut-on accepter cela ? La réponse est non.
  • Le contrat de 186 milliards dont il est question ambitionne de réduire les pertes de près de 325 milliards et de réduire les charges d’exploitation de près de 200 milliards sur 10 ans. Soit plus de 500 milliards de gains escomptés sur 10 ans. Ces impacts ne tiennent pas compte du fait que Senelec est actionnaire à 34% d’AKILEE et que donc toute la valeur créée par AKILEE dans les années à venir reviendra à Senelec à hauteur de cette participation. C’est une formidable source de diversification des revenus quant on connait le potentiel d’AKILEE.
  • On parle d’un contrat de 186 milliards en faisant exprès d’occulter quelques points fondamentaux :

o   D’abord le fait qu’il s’agit d’un contrat cadre sur 10 ans pour déployer, installer et exploiter un système de comptage intelligent qui sera constitué à terme, entre autres, de 2742600 compteurs et qui s’appuie sur des logiciels développés et appartenant à des Sénégalais (question de souveraineté et de sécurité nationales).

o   Ensuite que le projet est financé par AKILEE à hauteur de 85% et que Senelec bénéficie d’une facilité de remboursement du CAPEX sur 4 ans avec un an de différé, ce qui signifie que le contrat est payé en 14 ans.

o   Enfin que les compteurs en question ont été spécifiés pour une durée de vie garantie de 20 ans. Ce qui signifie que le coût de revient d’un compteur, tout équipé, sécurisé et exploité, est d’environ 283 FCFA/mois/compteur. Chaque sénégalais paye une redevance mensuelle de 429 FCFA déjà aujourd’hui pour justement permettre à Senelec de lui installer un compteur, d’exploiter ce compteur et de maintenir ce compteur. Cela signifie que le projet structurant qui a été lancé pour éviter au Sénégal de perdre 1273 milliards FCFA dans les 10 prochaines années, n’a aucun impact financier sur la facture. Au contraire, il va contribuer à baisser la facture en augmentant les revenus de Senelec.

  • AKILEE a créé à ce jour 87 emplois directs (dont 70% est constitué d’emplois hautement qualifiés Bac+5 et au-delà) et près d’une centaine d’emplois indirects (prestataires installateurs, gardiennage, restauration et divers autres services). L’ambition affichée rien qu’au Sénégal est de créer au moins 750 emplois directs et près de 2500 emplois indirects.
  • Qu’est-ce qu’AKILEE a apporté à Senelec ? De l’efficacité et des économies. AKILEE a permis de faire économiser à Senelec près de 3 milliards de FCFA depuis 2017. Ces économies pour les projets déjà démarrés sont estimées à près de 40 milliards dans les 10 prochaines. AKILEE a permis de réduire les délais d’approvisionnement des compteurs Woyofal actuels de plus de 75% en passant de 12 mois en moyenne lorsqu’on passe par les appels d’offres à 2,7 mois. AKILEE a permis de supprimer les frais financiers liés à ces transactions.
  • Qu’est-ce que les nouveaux compteurs vont apporter à la clientèle. Aujourd’hui près de 40% de la clientèle de Senelec est au prépaiement (Woyofal) ; mais nombre de ces clients se plaignent de ne pas pouvoir recharger leurs compteurs à distance et surtout d’avoir à taper un long code de 20 chiffres sur un clavier, de ne pas comprendre réellement l’autonomie dont ils disposent parce que tout le monde n’est pas familier avec le kWh (kilo Watt heure) utilisé pour compter l’énergie. Avec les nouveaux compteurs fournis par AKILEE, baptisés Woyofal+, les clients pourront : suivre leurs consommations depuis n’importe quel endroit au monde, acheter du crédit depuis n’importe où, transférer ce crédit automatiquement au compteur sans taper un seul chiffre, être alertés à distance, quand ils sont hors de chez eux, du crédit qui s’épuise (plus besoin d’être à côté du compteur ou du clavier Woyofal pour entre ou voir l’alarme), voir leur autonomie de consommation exprimé en jours ou en FCFA, ce que tout le monde comprend plus aisément... Définitivement Woyofal+ va transformer l’expérience du client Senelec, sans parler maintenant de la traçabilité qu’il y aura sur la qualité de l’énergie qui est fournie à chaque client (notamment la tension) pour faciliter l’arbitrage en cas de réclamation d’un client sur de potentiels dommage sur les équipements électriques.
  • Pourquoi il n’y a pas eu appel d’offres ? Parce qu’AKILEE comme toutes les filiales de Senelec (Excellec, Simelec, ERS…) peut signer avec Senelec des contrats dans le cadre de convention réglementés tel que permis par les actes uniformes de l’OHADA. Senelec est une société anonyme à laquelle s’applique ce droit communautaire. Mais le plus important est de se demander s’il y avait une concurrence. La réponse est oui, mais précisons tout de suite que touts les autres sociétés sont étrangères (y compris la Sonatel dont le nom a été évoqué par le journaliste, malgré le fait de ne pas avoir la compétence chez eux et de vouloir s’accaparer des cette opportunité stratégique pour le pays dans le secteur de l’énergie comme ils l’ont déjà fait dans les télécoms). On peut citer ENEL, HUAWEI, CLOU, SAGEMCOM, ENEDIS, ITRON, EL SEWEDY, CONLOG… Toutes ces sociétés ont en commun de n’avoir jamais voulu passer par un appel d’offres. Elles ont toutes proposé une solution de financement pour une signature en gré à gré alors même que Senelec n’a aucun lien avec eux ; contrairement à AKILEE où elle détient 34% des parts, sans parler encore du fait qu’il n’y aurait aucun transfert de compétences parce que toutes ces sociétés savent que le cœur de ce projet est dans les systèmes et auraient proposé que leurs systèmes soient juste utiliser par Senelec sans aucune propriété locale, encore moins la moindre capacité d’adaptation ou d’évolution locale. Cette dépendance représenterait un risque extrême pour le pays. D’ailleurs tous les pays qui ont déployés ces systèmes de comptage intelligents ont toujours gardé le contrôle du système.

Les centaines de milliards annoncés avec pompe qui allaient pleuvoir dans les communes de Thilogne, Dabit, Oréfondé et Agnam, suite à la signature de convention de financement entre le GIC et OWAC Engineering Company risquent de semer les graines d’une discorde prononcée. En effet, le Collectif pour la défense des Intérêts du Bossea est monté au créneau ce mercredi pour souligner des incohérences qui invalident le projet. Ainsi, les Ministres Cheikh Kanté et Yaya Abdoul Kane qui avaient procédé à la signature de convention sont ainsi désavoués par Aliou Hamady Ba, Harouna Demba Seck et les défenseurs du Bossea.

« 700 milliards FCFA, soit le tiers ou le quart du budget du Sénégal pour des communes dont la population ne fait pas 100.000 habitants », c’est le président de la République qui doit s’intéresser à cette affaire. En tout cas, il y a tellement d’incohérences dans ce projet que le Ministre de la décentralisation avait refusé lors des mettre dans le présidium », a informé Harouna Demba Seck, porte-parole du collectif qui a fait face à la presse pour informer sur cette affaire qui sonne, pour eux, comme une nébuleuse. Pour rappel, le 9 décembre 2019, une signature de convention de financement axée sur l’économie circulaire dans le cadre du projet ‘’SénégalDévBossea’’, avait réuni à Dakar, plus précisément à l’hôtel Terrou bi, le Président du Groupement d’Intérêt Communautaire (GIC) Yaya Abdoul Kane, Francesco Martello, représentant l’entreprise italienne Owac Engineering Company, sous la présidence du Ministre en Charge du Suivi du PSE Cheikh Kanté. Se prononçant plus tard sur cette affaire, le député Farba Ngom spécifiait que cette affaire était entamée depuis le temps de Me Wade au pouvoir, et donc, c’est aujourd’hui qu’elle connait un aboutissement heureux. 50 jours plus tard, des jeunes de la région de la Matam soulignent des irrégularités qui risquent de capoter ce projet si les financements ne sont pas encore déboursés. Pour Aliou Hamady Ba et Harouna Seck, le Collectif pour la défense du Bossea a relevé neuf incohérences dont les plus visibles sont : 1) la signature d’une convention de financement d’un tel montant sans qu’il y’ait un projet clairement défini. 2) le GIC ne disposant d’aucun document de planification à court, moyen et long terme, la référence aux documents des communes respectives ne peut pas être une simple addition. 3) un contrat BOOT d’une durée de 500 mois est une forme de cession des ressources concernées. 4) la RSE jusqu’à présent, telle que recouverte dans nos collectivités territoriales, n’est pas encadrée et les principes de bonne gouvernance ont toujours fait défaut. 5) l’entreprise signataire, OWAC, étant spécialisée dans la construction d’usines de traitement de déchets, de leur recyclage à des fins de productions énergétiques, aurait peu ou pas de matière dans le contexte du Bossea. 6) l’idée de transformation du territoire du GIC en une zone économique spéciale (ZES) laisse entendre qu’il existe des ressources suffisamment inexploitées qui nécessiteraient le concours de plusieurs entreprises. Pour toutes ces raisons, ces jeunes interpellent le Président Macky Sall avant la mise en œuvre non souhaitée du projet dans ces conditions. Mieux, ils exigent des membres du GIC, notamment son président, la réponse aux questions ci-après : A combien d’hectares représente l’assiette foncière dont a besoin l’entreprise OWAC ? Quelles ont été les étapes de la négociation pour l’obtention de ce financement record dans l’histoire des collectivités locales au Sénégal ? Quelles sont les obligations du GIC dans le cadre de cette convention ? Quelles sont les garanties que l’entreprise OWAC a reçues du GIC pour venir investir dans l’environnement du Bossea ? Quel est l’objet principal de ce projet, distinctement des domaines d’activités qu’il va toucher ? Comment ce sera mis en œuvre ce projet sachant que le BOOT ne laisse aucune marge de manœuvre au GIC et que ce dernier n’a jamais mis en œuvre un projet d’envergure ? Quelle compétence dispose le GIC en matière de gestions de fonds privés, ou bien si les fonds sont gérés par l’entreprise OWAC comment seront-ils utiles pour le GIC ? Pour le Collectif pour la Défense des Intérêts du Bossea

Youssouf NDIONGUE

 

C’est ce mercredi 29/01/2020 que le Conseil Départemental de Birkilane a tenu sa Session Ordinaire. Sous la Conduite du Président Makhtar DIA, et dans une bonne ambiance, les conseillers ont examiné les points de l’ordre du jour et se sont félicités de l’immense travail abattu durant les mandats précédents sous le coaching éclairé et la vision adoptée de leur président. Résultat, les réalisations se font sans obstacle majeur pour le bonheur des Birkilanoises et des Birkilanois. Il est donc rare de voir, dans les réunions de conseil départemental ou municipal, les points de l’ordre du jour adoptés sans heurt. Birkilane peut être cité comme un bon exemple parmi les collectivités où le consensus et l’unanimité font désormais loi. Ainsi, tous les points à l'ordre du jour ont été adoptés à l'unanimité avec acclamation notamment le vote du Compte Administratif 2018 et le Projet de Budget 2020. Enfin l'ensemble des conseillers ont salué et se félicitent des énormes réalisations faites par ledit Conseil sous la Vision éclairée de son Président. « Vive Birkilane Émergent dans un Sénégal Émergent », jubile Makhtar DIA.

Le Secrétaire d’État chargé des Sénégalais de l’Extérieur a réussi un coup de maître devant une situation qui allait créer un précédent familial et psychologique insurmontable pour la famille de Khady Samb, décédée en Belgique dans des conditions non encore éclairées. Moïse Diégane Sarr a donc créé un soulagement auprès de la famille éplorée résidant près de l’école 9, mais aussi auprès de tous les Pikinois qui, par la voix de Malal Diallo, responsable politique de l’APR, décernent une mention spéciale au secrétaire d’Etat chargé des sénégalais de l’Extérieur.

Les ressortissants sénégalais de Belgique ont vécu une situation qu’ils n’oublieront pas de sitôt. En effet, le mari Belge de Khady Samb avait décidé d’incinérer le corps de sa femme demain mercredi, alors que l’autopsie pour déterminer les conditions de sa mort était prévue pour jeudi. Face à cette farouche détermination des sénégalais qui exigeaient le corps pour son enterrement au pays chez la famille, l’époux ‘’incinérateur’’ accepte, mais à condition de recevoir en retour 3500 euros. Les démarches des uns et des autres ont permis de mobiliser presque la totalité de la somme requise. Informé de l’urgence à intervenir au plus vite pour sauver l’irréparable, Moise Diégane Sarr, entre dans la danse, trouve une solution définitive en prenant en charge les frais liés au rapatriement du corps de Khady Samb, pour le bonheur de sa famille, de nos compatriotes en Belgique et des habitants de Pikine. « Avec le dénouement de cette affaire, il faut saluer l’acte posé par Moise Diégane Sarr. En tout cas, tout le département de Pikine est fier d’avoir des ambassadeurs de cette trempe afin d’aider les sénégalais de la diaspora à faire face aux nombreux cas qu’ils vivent. Par ma voix, Pikine est heureux et le remercie du fond du cœur », se réjouit Malal Diallo.

Youssouf NDIONGUE

Du Certificat de mérite de l'organisation mondiale des Douanes (OMD) au certificat à la médaille d'honneur, le Directeur Général des Douanes a récompensé ses agents qui se sont positivement distingués dans le cadre de l’exercice de leur profession. A Tambacounda pour les besoins de la JID, le patron de Gabelous reconnait implicitement le travail réussi par ses éléments dans le cadre de la saisie des stupéfiants, des médicaments périmés, et d’autres produits pouvant porter atteinte à la santé des populations surtout celles des zones frontalières. Ces décorations ont donc valeur d’encouragement à davantage défendre les sénégalais et leur économie. Le DG s’inscrit dans la durabilité au cœur de l’action douanière pour les citoyens et la prospérité.

En terre égyptienne où il se trouve actuellement pour les besoins du forum africain arabe pour booster les initiatives de développement, le sénégalais Oustaz Bassirou Sow a fait une impressionnante entrée à la tribune officielle. L’adage dit souvent que nul n’est prophète chez soi, mais le leader de la fédération nationale des jeunes afro arabes du Sénégal qui représente la délégation nationale a montré qu’il mérite une plus grande considération de la part de ses compatriotes, ne serait ce que pour la maitrise de la langue arabe dont il est l’un des rares à en bénéficier, et qui lui vaut aujourd’hui d’être adulé et adoubé par les autorités marocaines, égyptiennes, palestiniennes, qui ne pouvaient que lui décerner la palme après sa brillante intervention en arabe.

Invité à prendre la parole, toute la salle s’attendait à un speech en français ou en anglais, mais quand les premiers mots arabes étaient prononcés par Oustaz Bassirou Sow, c’était presque le ‘’standing ovation’’ pour notre compatriote dont personne ne pensait qu’il avait une si grande maitrise de la langue arabe. C’est en tout cas, nous signale-t-on, l’une des rares fois où la délégation sénégalaise s’est exprimée en arabe devant une tribune internationale, ce qui lui a valu d’ailleurs d’être chaleureusement félicité par des arabes qui voulaient immortaliser ces instants par des prises de photos en compagnie du sénégalais.

Ce mardi sera consacré à la présentation des projets et Oustaz Bassirou Sow, depuis le Caire, soutient que « ce sont des projets que nous pourrons développer au Sénégal si toutefois, ils sont jugés parmi les meilleures initiatives africaines arabes pour le développement. Parmi les délégations présentes en Egypte, ou peut citer, en plus du Sénégal, le Libéria, l’Ouganda, le Burundi, le Soudan, le Mali, la Gambie, le Niger, le Nigeria, le Ghana le Tchad, le Cameroun, la Palestine, le Maroc, l’Arabie Saoudite, le Kenya, le Malawi, le Djibouti, les Emirats l’Egypte, l’Irak.

Youssouf NDIONGUE

 

 

 

 

Le Ministre du Développement Industriel et de la PMI Moustapha Diop a co-présidé, ce lundi,  avec Monsieur Christophe Yvetot, représentant de l’ONUDI, la réunion du Comité de Pilotage du Programme de Partenariat Pays (PCP) Sénégal- ONUDI. Sous le thème d’une industrie verte pour la, promotion économique des femmes, cette activité a permis au Ministre-maire de se féliciter des efforts d‘industrialisation de notre pays, ce qui place le Sénégal comme un modèle de développement industriel.

Le Ministre Moustapha Diop a salué les efforts entrepris par son département pour asseoir une parfaite autonomisation des femmes via la promotion d’une industrie verte. Cela résulte de la compréhension faite aux directives du chef de l’Etat qui, dans son message de fin d’année 2019, avait évoqué le pari de faire du secteur de l’industrie, le moteur de son développement et l’un des axes phares de sa stratégie. Ce message est donc perçu comme une directive et le Ministre-maire travaille à la mise en œuvre correcte, rapide et réussie de ce projet de soutien à la création de chaînes de valeur et de transformation des produits locaux, qui, in fine, ont un aboutissement sur une industrie verte, avec son corollaire d’autonomisation économique pour la femme, d’où l’intérêt de cet atelier ouvert en partenariat avec l’ONUDI. Ainsi, indique le maire de Louga devant ses partenaires, « 2020 est l’année que sera réalisée la deuxième phase de la Plateforme industrielle internationale de Diamniadio dont le financement sera assuré par la République Populaire de Chine, pour un montant de 60 milliards de francs CFA. Les accords de financement seront signés très bientôt et les travaux de construction démarreront certainement avant la fin du premier semestre 2020. Avec la deuxième phase de la Plateforme industrielle internationale de Diamniadio, qui est presque totalement remplie au regard du nombre important d’industries qui ont manifesté leur intérêt à s’y installer, nous sommes en train d’augmenter considérablement notre capacité d’accueil au niveau des sites industriels. En le disant, je pense également aux agropoles qui sont des sites industriels, mais aussi au Domaine industriel de Diamniadio dont le périmètre a été élargi de plus de 67 hectares et qui est en train de se remplir à un rythme exponentiel », dira-t-il. Ces efforts menés ont permis au Sénégal d’être élu comme membre du Conseil du Développement industriel de l’ONUDI. Dans cette lancée, poursuit Moustapha Diop, « le 04 février prochain, le processus d’actualisation de la Politique industrielle nationale sera officiellement lancé. Il s’agit là d’un moment fort intense de réflexion et de production d’idées au bout duquel notre pays se dotera d’un document consensuel et partagé qui définira, de manière claire et détaillée, les contours de sa stratégie de développement industriel. En poursuivant ces efforts « le Sénégal aura un positionnement international, reconnait le représentant de l’ONUDI ».

Youssouf NDIONGUE

 

 

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