vendredi 22 novembre 2024 | Login
Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

La situation économique du pays pose un grand problème, avec un faux taux de croissance annoncé par les autorités, et démenti par la suite par l’Uemoa. Ce mensonge a fait sortir le leader du parti Disso de ses gonds qui n’a pas manqué de le souligner et de le regretter lors de la réunion de son comité directeur. Devant une telle situation, Dr Ibn Taimya Sylla craint pour le peuple qui va encore, selon lui, vivre les affres d’une mauvaise gestion qu’il impute au Président Sall. Pour éviter aux sénégalais des lendemains incertains, M. Sylla, ingénieur  informaticien de son état décide de se présenter lors de la présidentielle de 2024 afin de dégager l’actuel régime qui cache mal qu’il est aux abois.

La réunion du comité directeur de Disso était riche en déballages. Pour les partisans de Dr Ibn Taimya Sylla, « il faut craindre le pire si jusqu’à présent Macky reste encore à la tête de ce pays. En effet, sur le plan économique, à la suite de la publication des statistiques de l’Uemoa qui contredisent carrément le gouvernement en dévoilant des chiffres en deçà de ce qu’on nous avait annoncé, il est temps que le sénégalais moyen comprenne enfin  que joindre les deux bouts relève d’une utopie. Maintenant que le taux de croissance de 7% annoncé est revu  à la baisse, cela explique pourquoi le front social est en ébullition, et en conséquence, les sénégalais risquent gros pour leur avenir. Pire encore, en indiquant qu’on ne va jamais augmenter le coût de l’électricité, ce qui, du reste, est un grand mensonge sur leur dos, l’Etat a fini de montrer qu’il manque de respect aux administrés, et fait preuve d’une irresponsabilité incompréhensible », a ainsi réagi le leader de Disso. Listant toujours les griefs à l’encontre du régime de Macky Sall, l’ingénieur informaticien fait remarquer que l’Etat n’a pas tenu un langage de vérité et cela depuis longtemps déjà. « Vouloir dire qu’on ne va jamais augmenter le coût de l’électricité alors qu’on maitrise pas les coûts de production du pétrole, cela laisse un sentiment de dépit. Les sénégalais doivent se méfier des politiciens ». Evoquant le changement de monnaie, le leader de Disso rappelle qu’ «on était d’accord sur le fait qu’on devait faire un grand pas vers la bonne direction. Nous sommes encore loin de la souveraineté monétaire que nous voulons pour le Sénégal, l’Afrique et la Cedeao, certes, mais, il faut se féliciter du rapatriement du compte d’opération de la France vers l’Uemoa. Du coup, il ne faut pas se leurrer, car, nous devons éliminer cette parité fixe entre l’Eco et l’euro. C’est cette parité qui agit négativement sur notre balance commerciale. Nous allons donc nous battre pour avoir une indépendance financière vis- à-vis  de la France, et c’est un travail à faire en amont comme en aval », préconise le leader du mouvement pour l’émergence économique et le développement.

Youssouf NDIONGUE

C’est à croire que les poulains de Birane Ndour, directeur du Groupe Futurs médias jouent mieux au ballon que les autres confrères. En remportant cette 8ème édition du tournoi presse-foot organisé par Sambou Biagui et Abdou Khadre Lo, les voilà encore vainqueurs du trophée dénommé coupe Serigne Aly Cissé, du nom de l’ancien reporter sportif du quotidien national Le Soleil aujourd’hui disparu.

Le Ministre Matar Ba a présidé la finale de la 8ème édition du tournoi. Il était en compagnie des représentants du Ministres de la Culture et de la Communication, de la Présidente du CESE, du parrain Abdoulaye Sow, directeur du Coud et des partenaires qui ont accompagné l’organisation du tournoi. Au départ, ils étaient nombreux au départ, mais en phase finale, les groupes GFM et DMEDIA ont encore prouvé que dans leur rédaction respective, il n’y a pas que des journalistes. Habitués au podium, Birane Ndour, Youssou Barro, Ibrahima Kandé et leurs collègues l’ont remporté sur le score de 2 buts à 1, avec un spectacle digne d’un match de championnat vu le relèvement du niveau. Pour Sambou Biagui, l’initiateur du tournoi presse-foot, « nous nous réjouissons de l’initiative qui, il faut le dire, n’a pas été de tout repos. Jouer une trentaine de matches en un mois, il faut du punch pour le réussir, mais dans l’ensemble, nous tirons un bilan très satisfaisant. Cela nous a permis une retrouvaille entre confrères pendant un mois, pour oublier les micros et jouer au ballon dans le fair-play, la confraternité et dans la sportivité », s’est ainsi réjoui le confrère du monde sportif. Pour qui, « en citant le nom de Serigne Aly Cissé, on pense à ceux-là qui nous ont fait aimer le métier de journaliste d’abord avant celui de reporter sportif. Je veux parler de Abdoulaye Diaw, Pathé Fall Dieye, feu Bachir Kounta, Balla Basse Diallo, Abdoulaye Dabo, bref, des monuments du monde sportif qui nous ont comblés ». Ouvrant les perspectives pour le tournoi presse-foot, Biagui comme on le surnomme entre-nous, ouvre les brèches : « Nous allons travailler, car il y a de l’engouement avec un désir de tous les organes de vouloir y participer. Nous allons ouvrir les portes et ils devront respecter les conditions de participation. Notre ambition, c’est d’organiser un tournoi d’une dimension africaine, du genre CAF de la presse. Nous comptons, à partir du Sénégal, créer une compétition africaine qui va regrouper l’ensemble des acteurs de la presse. Les discussions sont en cours depuis la fin de l’édition dernière, avec le Mali, les deux Guinée, la Mauritanie, la Gambie bref, bref, les pays limitrophes. Nous sommes également en discussion avec  les autorités sportives, notamment la Fédération Sénégalaise de Football, la CAF, la zone de l’UFOA. Cela va permettre à toute la presse sportive du continent de se retrouver autour du ballon et c’est important en tant que journalistes ».

Youssouf NDIONGUE

 

Le Ministère de l’Eau et de l’Assainissement du Sénégal et SEN’EAU, dont SUEZ est le partenaire technique de référence, ont signé le contrat d’affermage pour la gestion du service public de production et de distribution d’eau potable en zone urbaine et périurbaine. Ce contrat, d’une durée de 15 ans, permettra d’assurer un approvisionnement en eau potable à une population initiale d’environ 7 millions d’habitants. Avec ce contrat, l’Etat du Sénégal souhaite mettre au service des habitants l’expertise du Groupe SUEZ afin de répondre aux besoins en eau potable d’une population en forte croissance. L’accès à l’eau en quantité et en qualité est en effet au cœur des enjeux du pays et une priorité du Plan Sénégal Emergent lancé par le Président Macky SALL. Le contrat, pour lequel sera créée une société de droit sénégalais avec un actionnariat majoritairement sénégalais (55%), prévoit l’intégration par SEN’EAU des 1 200 professionnels sénégalais actuellement en exercice. Un dispositif d’accompagnement de la gestion des carrières sera mis en place, afin de continuer à développer les talents, avec une attention particulière accordée aux jeunes et aux femmes. Dès le 1er janvier 2020, un plan d’actions pour assurer l’accès à l’eau pour tous, garantir l’excellence du service et une performance durable sera mis en œuvre. Une place centrale sera accordée à l’innovation avec, notamment, l’ouverture prévue à Dakar d’un Centre de Recherche et d’Innovation en partenariat avec des universités sénégalaises, qui rayonnera dans la région. « Nous sommes honorés de la confiance accordée par les autorités sénégalaises pour les accompagner dans l’émergence et le rayonnement de ce pays. L’augmentation et l’urbanisation de la population, associées au développement économique, génèrent des attentes nouvelles quant à la qualité des services publics. Le Groupe déploiera des solutions innovantes pour piloter en temps réel l’ensemble des infrastructures, et améliorer la performance des réseaux. Notre longue expertise internationale dans la production et la distribution d’eau potable, alliée au savoir-faire des professionnels sénégalais, nous permettra de délivrer aux familles, entrepreneurs et industriels sénégalais, la qualité de service qui réponde à leurs aspirations. » a déclaré Bertrand Camus, Directeur Général de SUEZ. Ce contrat renforce la présence de SUEZ à l’International et positionne le Groupe comme un acteur clef de la distribution d’eau potable en Afrique. Présent sur le continent depuis la construction de la station d’eau potable de Sherbine en Egypte en 1948, SUEZ a construit plus de 500 usines d’eau potable et d’assainissement qui desservent la plupart des capitales africaines et gère les services d’eau potable et d’assainissement du Grand Casablanca et d’Alger.

 

Cadre de haut niveau, Ibrahima Diouf n'a pourtant pas oublié qu'il est issu de Ngothie, une zone qui éprouve encore des besoins en termes d'infrastructures scolaires, sanitaires, etc., et où les populations sont toutes mobilisées pour répondre à l'appel de relever ensemble les défis de l'heure de leur village. Dans cet entretien, le contrôleur aux Impôts et Domaines justifie les conditions de naissance de son mouvement, fait un bilan des activités à son actif et étale ses ambitions de faire de Ngothie et de sa commune, des entités émergentes.


Merci de vous présenter


Je me nomme Ibrahima Diouf, contrôleur des Impôts et Domaines au Centre des Services Fiscaux de Fatick, en charge du Bureau de recouvrement. Je suis natif de Ngothie, village situé dans le département de Kaolack, dans l'arrondissement du même nom, sur la route nationale entre Fatick et Kaolack, à hauteur de Gamboul à 2.5 km au Nord-Est, chef-lieu d'arrondissement de Ngothie.


Qu'est ce qui justifie la création de votre mouvement et quels en sont ses objectifs ?


Le Mouvement Agir pour une Commune Active et Solidaire (Macas) a été mis sur les fonts baptismaux, il y a un an de cela. Son objectif est de rassembler tous les fils de la localité, résidents comme non-résidents, à l'effet de diagnostiquer les difficultés qu'on vit ensemble, d'en trouver des solutions de manière collective et sans exclusion aucune. Mais de manière générale, il faut comprendre que les difficultés au niveau local sont assez nombreuses. Déjà, au plan sanitaire, il y a un problème d'infrastructures et d'accessibilité en termes de distances qui se posent avec acuité, tout comme un accès à des soins de qualité. Dans le même temps, au plan scolaire, les problèmes tournent de l'existence d'abris provisoires, l'absence de murs de clôture, d'accès aux fournitures scolaires mais aussi d'infrastructures (lycées). Nos élèves parcourent des kilomètres (6 à 7) pour y accéder, ce qui parait paradoxal au moment où l'on brandit partout le concept de ''l'éducation pour tous''. Chez les étudiants, de réels problèmes de logements se posent à Dakar, avec une prise en charge défectueuse par la commune de leur loyer. Chez les agriculteurs, des problèmes d'encadrement sont notés, mais aussi l'accès à des semences de qualité reste leur préoccupation majeure, surtout quand il y a une salinité des terres qui menace du côté de Sibassor. Cependant, dans le secteur de l'élevage, on note certaines attaques, et les acteurs éprouvent surtout un besoin d'encadrement, à l'effet de bénéficier de manière optimale aux avancées de la médecine animale. Voilà, entre autres, quelques points qu'on peut décliner ainsi.


Quelles sont les activités que vous avez déjà menées dans le cadre du MACAS ?


D'importantes activités sont menées. Chez les élèves, quand on a noté une baisse du niveau d'études, nous avions organisé des cours de vacances suivis de remise de prix pour un rehaussement justement de leur niveau. Par la suite, on a eu des échos favorables, comme quoi, les cours dispensés gratuitement, par des étudiants et des gens du village, ont eu des effets bénéfiques surtout au BFEM et au Bac, où on a eu un taux de réussite assez satisfaisant. Nous avions aussi lancé un slogan ''Un Ngothois, un sac de ciment'', avec pour objectif de faire cotiser tous les fils du village dans le but de clôturer le mur du dispensaire, à l'achat des tables bancs, à badigeonner les tableaux des salles de classe qui étaient dans une situation de délabrement très avancé, etc. C'était juste symbolique et pédagogique pour faire comprendre que devant certaines insuffisances de l'Etat, il appartient aux villageois de mettre la main à la pâte et de rien attendre des politiques. Nous avions pu regrouper également les femmes du village dans le cadre de leurs activités économiques pour les appuyer côté financement. Un certain montant a été dégagé et des activités génératrices de revenus étaient déjà entamées. Jusqu'à présent, les ASC et les autres regroupements en bénéficient. 
Par ailleurs, il faut retenir qu'à l'approche de l'hivernage, des semences ont été distribuées à des nécessiteux, tout comme le matériel d'attraction qui faisait défaut pour certains paysans a fait l'objet d'un achat et d'une remise gratuite. En dehors de ça, nous organisons des activités sportives, et l'innovation de cette année a été d'impliquer les jeunes filles du monde rural à travers le hand-ball féminin pour développer les potentialités qui dormaient en elles. Mais aussi pour faire comprendre que la pratique sportive est possible dans le monde rural, et là, l'objectif est d'avoir une équipe locale de hand-ball avec reconnaissance administrative qui pourra compétir au niveau national, et de cette compétition, des talents pourraient être détectés pour notre plus grande fierté. Du côté du football, une compétition a été organisée récemment et la finale a eu lieu le vendredi 27 décembre. Cela a été sanctionné par une remise de trophée et de maillots, de même que des ballons remis aux équipes du hand-ball pour un bon démarrage dès l'entame de la prochaine saison. Il faut dire que le tournoi a été une bonne occasion pour les jeunes compétiteurs de se connaitre d'abord, d'échanger et de cultiver entre eux une bonne entente et un esprit conquérant afin de pouvoir, ensemble, trouver des solutions aux problèmes qui nous sont communs.


Quelles sont les perspectives qui se dessinent pour le MACAS ?


Nous comptons organiser très prochainement un forum dans chaque village, afin de réunir toutes les sensibilités et les différentes couches sociales qui seront accompagnées de techniciens dans les domaines de l'agriculture, de l'éducation, de l'élevage etc., pour diagnostiquer ensemble les problèmes et trouver des solutions qui seront consignées dans un tableau de bord qui servira de référence pour toute action de développement interne comme externe. Je rappelle que nous avions eu à recevoir une délégation de partenaires venus de la France, ils ont visité le village et en partant, ils ont promis, dans le cadre d'un partenariat, de nous accompagner dans nos projets de développement. Nous avons donc exploré le partenariat extérieur qui pourrait bien être source de financement des collectivités locales, notamment celle de la nôtre.
Autre perspective à court ou moyen terme, c'est la clôture de nos deux cimetières. Pour cela, une délibération a été adressée au maire et on va mobiliser l'équipe cadastrale de Kaolack pour avoir un plan bien ficelé. L'autre grande activité phare, c'est l'organisation d'une journée de consultations médicales gratuites avec un suivi en médicaments. Ce sera au plus tard pour le mois de Mai 2020. Cette activité s'étalera sur deux à trois jours, avec toutes les spécialités pour consulter toutes les franges de la population communale, avec éventuellement une distribution de médicaments quand c'est nécessaire.
Youssouf NDIONGUE

Le début de l'année 2020 est bien lancé pour les enfants de l'hôpital Fann, notamment ceux de Albert Royer qui viennent de recevoir un don composé de jouets éducatifs, d'une quinzaine de matelas, de blousons et autres cadeaux. Pour le donateur, Massogui Sylla, responsable politique de l'APR, "nous avons une pensée pour les enfants malades et qui ont besoin de cadeaux de fin d'année, comme l'ont bénéficié les autres qui en ont eu l'opportunité. Nous nous approprions, à travers ce geste purement humaniste, la politique sociale du chef de l'État qui vise à appuyer les plus démunis et les plus vulnérables".

Il faut dire que cette cérémonie de remise de dons s'est tenue dans une ambiance sobre mais combien importante pour les bénéficiaires et leur personnel qui ont pris soin des exigences de tranquillité qu'impose l'hôpital. "Nous avons voulu partager quelques moments de bonheur avec les enfants malades. Ce geste est un moyen de nous rapprocher d'eux, mais aussi des populations qui, parfois, éprouvent ce besoin d'assistance. Ainsi, nous prions pour eux pour que l'année 2020 démarre sous de bons auspices. Nous félicitons le chef de l'État pour l'important travail abattu dans le domaine de la santé et de la prise en charge des aspirations des citoyens. Je souligne aussi que le choix des cadeaux éducatifs s'explique par notre souci de contribuer à leur éducation".
Au nom de Dr Issa Tall Diop, directrice de Albert Royer, Mansour Dieng, chef du service social de Albert Royer, a remercié le donateur Massogui Sylla pour ce don d'une importance capitale. "Déjà, je dois souligner que la prise en charge médicale des enfants de zéro à cinq ans est gratuite. Et donc nous sommes confiants que la couverture médicale prônée par les autorités est bien lancée et est devenue une réalité. Nous plaidons ensuite pour l'ouverture des mutuelles de santé à travers tout le pays pour permettre aux populations de bénéficier des soins médicaux à moindre coût. L'hôpital a besoin de vous et vous venez de le montrer", a-t-il reconnu.
Youssouf NDIONGUE

 

La loi sur la criminalisation des actes de viol et de pédophilie va être soumise à l’Assemblée nationale dès ce lundi. Un atelier a été organisé ce vendredi par le collectif des femmes parlementaires en collaboration avec le ministère de la justice ainsi que différentes organisations de la société civile plaidant pour la cause de la femme. Parmi ces organisations nous pouvons citer : le réseau Siggil Jiguène, CLVF, Onufem etc… Ces femmes parlementaires regroupées au sein d’un collectif, ont estimé qu’au-delà des efforts fournis, il sera important que les populations s’impliquent dans la lutte contre les violences faites aux femmes en dénonçant ces actes de viol et de pédophilie pour faciliter la tâche aux autorités judiciaires...

Sénégalaises, Sénégalais, Hôtes étrangers qui vivaient parmi Nous,

 

Nous voilà à la fin de l’année 2019 et à l’orée de l’année 2020. Comme à l’accoutumée, nous Handicapés Républicains, présentons nos vœux de bonne et heureuse année 2020. Qu’elle soit une année de paix, de santé, de bonheur, de convivialité, d’amour pour tous les sénégalais, et davantage pour le Président de la République Monsieur Macky Sall dont l’œuvre et les réalisations sont si gigantesques qu’essayer de faire le bilan de ses actions de l’année 2019 relèveraient de l’utopie, car il faudra des millions et des millions d’hectolitres d’encre et des tonnes de papiers pour tenter un tel travail titanesque. Cependant la tradition voudrait qu’on fasse une esquisse de bilan.

 

Très-tôt, le Président Macky Sall a compris qu’il faut procéder par de grands travaux pour sortir le pays du sous-développement endémique dans lequel il se trouvait. Il fallait aller au-delà des actions symboliques pour oser le développement. Il fallait un mental fort pour faire face aux adversités qui frisent la jalousie de la part des opposants. Le Président Macky Sall a axé sa politique sur l’amélioration des conditions de vie et d’existence des plus faibles, des plus pauvres, bref des plus démunis; il ne laissera personne au bord de la route. La patrie, encore la patrie, toujours la patrie. Adossé sur le PSE, le Président Macky Sall a semé les graines de l’émergence, tel le semeur, à travers tout le pays, favorisant le ‘’YOKUTE’’ des populations. Aujourd’hui, une nouvelle conscience humaine et citoyenne  bâtie sur l’amour, la paix et la concorde nationale est née. C’est ce que n’ont pas compris les opposants. Vouloir coûte que coûte accéder au Pouvoir ne doit pas leur fermer les yeux sur les nombreuses réalisations du Président Macky Sall. « Lou né fang ken douko diekh » .Pour preuve, les semences, le matériel agricole, l’eau, l’électricité, ont permis de relever le niveau de vie du monde rural. La CMU, la carte d’égalité des chances  et la bourse de sécurité familiale sont venues régler un problème récurrent de santé publique. Désormais, tous les Sénégalais peuvent se soigner à moindre frais, le Président a rétabli une injustice en ce sens que seuls les fonctionnaires bénéficiaient d’une imputation budgétaire. Certes, il reste beaucoup à faire, mais si ces prédécesseurs avaient commencé à investir dans le monde agricole, le Sénégal serait l’Eldorado ! Il a amélioré les conditions d’existence des enseignants en relevant leur émolument et en leur octroyant des terres habitables. Une politique nationale de construction de salles de classes pour remplacer les abris provisoires est lancée. Le nombre de km de routes et d’autoroutes construites par le Président Macky Sall dépasse de loin toutes les réalisations dans ce sens faites par ces prédécesseurs. Le TER, le BRT sortent de terre. Le gaz et le pétrole viennent accompagner ‘’le Macky 535’’. Les logements sociaux ont permis à beaucoup de Sénégalais moyens d’avoir un toit. La nouvelle ville de Diamnadio est une réalité. Les sportifs ne sont pas en reste : Aréna Tour, l’arène Nationale, la réfection et la réhabilitation des stades partout dans le Sénégal. Ces énumérations ne sont qu’exhaustives tellement que l’œuvre du Président Macky Sall est grandiose. En ce qui nous concerne nous Handicapés, nous ne cesserons de remercier le Président Macky Sall. Son  avènement à la tête du pays a entraîné une nette amélioration et une prise en compte des personnes en situation de handicap. De la carte d’égalité des chances en passant par le recrutement dans la fonction publique, les Conseillers dans les Ministères au CESE, au HCCT à l’Assemblée Nationale, à la Présidence de la République, et aujourd’hui leur présence dans le comité de pilotage du dialogue national ( une première au Sénégal ) ne saurait ne pas être magnifié. C’est la raison pour laquelle nous renouvelons notre engagement indéfectible et sans faille aux côtés du Président de la République pour l’achèvement de son programme défini dans ‘’Macky 535 ‘’.

Vive Le Sénégal !

Vive Le Président Macky Sall !

Vive Le Mouvement National des handicapés Républicains du Sénégal !

Ensemble pour Un Sénégal émergent

 

                                                                                        Le Coordinateur National

                                                                                                Toumany CAMARA

 

 

Moustapha Ba ne mérite pas d’être traité de la sorte dans la presse de la part d’un mercenaire de la plume. « Et d’ailleurs, comment peut-on, un beau jour, se lever et attaquer un si brillant commis de l'état, cadre supérieur du ministère des finances et du budget connu pour ses aptitudes et son dévouement au service de son pays, pour qui il se sacrifie depuis des années, qui bénéficie du soutien du PR Macky Sall et de ses supérieurs hiérarchiques, et dont le travail est vivement apprécié à sa juste valeur?, s’interroge Dame Ndiaye, leader du ‘’M3M avec Macky’’ qui ne pouvait rester sans apporter une réaction à cet article dénué de tout fondement et commandité par des mercenaires.

L’auteur de l’article paru sur le site www.directnewsinfo.com a laissé apparaitre ses intentions calomnieuses et dégradantes à l’égard du petit fils de Maba Diakhou Ba, un haut et digne cadre que toute l’administration adoube et félicite pour son travail acharné et productif, exclusivement au service de l’Etat et du Président de la République. « Mais c’est peine perdue, car, en parcourant son texte, édicté par des mercenaires qui certainement lorgnent le fauteuil de Moustapha Ba, on se rend compte que ses propos sont sans fondement. Par exemple, le protégé de Pape Diogaye Faye, propriétaire du site, veut faire comprendre que si les caisses sont vides au Conseil Economique Social et Environnemental, c’est dû aux caprices et au refus du Directeur du Budget d’engager des bons pour des  institutions qui ne souffrent d’aucun problème de trésorerie. Voilà ce qui est hilarant : Comment le Directeur du Budget peut-il être imputé d’une gestion qui ne le concerne guère, et dont il n’est pas l’ordonnateur des dépenses. Cela traduit forcément la haine et la méchanceté que le signataire de l’article fait montre », fustige Dame Ndiaye. Selon le leader de ‘’M3M avec Macky’’, « Non, Moustapha Ba n’est pas connu pour orchestrer des machinations, au contraire sa présence pendant un mois ferme, aux côtés du Ministre des Finances et du Budget Abdoulaye Daouda Diallo, lors du vote des budgets à l’Assemblée Nationale, témoigne de son sérieux et de sa haute prise de conscience que le bon fonctionnement des institutions reste son souci premier », a réagi Dame Ndiaye. Qui s’offusque du fait que l’ennemi de Moustapha Ba déclare que la signature du ministère des Finances n’est plus crédible au niveau des banques. « C’est même dangereux de soutenir de telles allégations. Comment peut-on faire comprendre que la signature du Ministère des Finances n’est plus crédible ? Je pense que l’Etat devrait arrêter ces genres de personnes qui ne cherchent qu’à semer la zizanie auprès des partenaires de l’Etat. Là, ce n’est plus la personne de Moustapha BA qui est visée, mais, la stabilité et le bon fonctionnement de notre Etat qui entretient des relations de confiance avec ses partenaires au développement, au premier rang desquels se trouvent les institutions financières. D’ailleurs, c’est archi-faux, car, les banques sont plus confiantes avec les chèques émis par le trésor, car, elles sont sûres qu’elles rentrer dans leurs fonds ».

''La prévention sur l'usage des drogues en milieu scolaire, une approche inclusive et participative pour préserver l'avenir de la jeunesse sénégalaise'' a été le thème du panel débattu ce lundi au Centre Jacques Chirac des Thiaroye, et qui a réuni, outre les initiateurs, les femmes, les jeunes et les parents d'élèves  pour comprendre les méfaits de l'usage des drogues, mais aussi de l'importance de la prévention, surtout en milieu scolaire. ''Non à la drogue, boul ko lale, boul co diégué'' y a été lancé comme slogan afin d'armer les apprenants contre ce fléau qui continue de faire des ravages en décimant la population jeune. Selon Malal Diallo, coordinateur des volontaires pour l'émergence de Pikine et initiateur de l’activité, ''le choix du GL Matar Diop, Coordinateur du Comité interministériel de Lutte contre la Drogue (CILD) pour animer ce débat est plus qu'une opportunité. En ayant à ses côtés la jeune parlementaire Marème Soda Ndiaye, très impliquée dans la lutte pour la cause de la jeunesse et Abdoulaye Diouf, acteur infatigable dans le cadre de la lutte contre les drogues, les débats ne pouvaient qu'être enrichissants. En tout cas, c’est le but que nous recherchions à travers cette activité de sensibilisation. Nous ne comptons pas nous en arrêter là, nous allons toujours dans le cadre d’appuyer les populations de Thiaroye, organiser un arbre de noël, pour les tous petits afin de leur permettre aussi de bénéficier des cadeaux de fin d’année et pour leur rendre heureux. Comme quoi, les volontaires de l’émergence se mettent au niveau de la politique sociale du Président Macky Sall, notre mentor et leader charismatique ».

En effet, selon le coordinateur du CILD, ''la drogue, au regard des multiples méfaits sur les jeunes, est un sujet qui devrait être une préoccupation pour toute la population. Mais, c'est par des activités de sensibilisation qu'on l'on serait amené à poser des jalons pour prévenir la population jeunes. Par ailleurs, nous nous réjouissons de la présence de l'honorable député à qui nous demandons de porter le plaidoyer pour qu'au niveau de l'Assemblée Nationale, le vote des lois, dans le sens de durcir les sanctions, puisse être diligenté et accéléré. Le rôle de la société civile également est fortement attendu, et c'est l'occasion pour moi de féliciter Malal Diallo pour cette importante initiative. En tout cas, dans le cadre la célébration de la journée nationale de lutte contre la drogue, nous allons adhérer à la cause de susciter une importante participation de la société civile''.''Je lance un message à la jeunesse de ne jamais être tenté par un désir de découvrir. Sinon, il sera très difficile de s'en sortir. Donc en guise de prévention, je les exhorte à éviter l'usage de drogue. C'est finalement l'affaire de toute la famille qui doit être impliquée au premier plan'', dira Matar Diop. Qui déclare en marge de l’activité a déclaré: « le problème de la drogue est réel et est très présent dans le milieu scolaire. Donc, c’est bon d’agir en amont, comme c’est le cas aujourd’hui au centre Jacques Chirac de Thiaroye. Et donc, l’intervention de la société civile est tout aussi bénéfique et décisive. Mais des efforts sont faits, avec la mise en place d’une plateforme au niveau du Net et il existe aussi un module sur la drogue qui permet de familiariser les élèves et de les prémunir ».

Youssouf NDIONGUE

 

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