mardi 26 novembre 2024 | Login
Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

AND JEF PADS AUTHENTIQUE est résolument opposé au report de l'élection présidentielle du 25février 2024. 

Pour notre parti en effet, l’élection présidentielle est comprise comme un moment décisif dans la vie de notre pays. C’est aussi un levier essentiel pour faire vivre la République et la démocratie. Par ailleurs, pour AND JEF PADS AUTHENTIQUE, le Sénégal n'est ni en situation de guerre, de crise ou dans une instabilité gouvernementale. Le pluralisme politique est garanti, l'Assemblée nationale est bien en place et les groupes parlementaires fonctionnent.

 

 En outre il n’y ni menace d’insurrection ni de coup de force. Le pouvoir politique en place est loin d'être déliquescent.

Mieux, notre pays continue d'être considéré par tous les observateurs avertis comme une démocratie majeure.

ANDJEF PADS AUTHENTIQUE considère que l'élection présidentielle a déjà commencé avec l’investiture des candidats par les partis et coalitions, l'examen et la publication des résultats des parrainages ainsi que de la liste des candidats habilités à  se présenter à  cette importante consultation populaire. 

 

Dès lors, AND JEF PADS AUTHENTIQUE prend position invariablement pour le respect du calendrier républicain, l'organisation d'une élection libre, transparente et apaisée et formule le souhait  d'une belle et éclatante victoire dès  le premier tour de M. Amadou  Ba, seul et unique candidat de la Coalition BENNO BOKK YAAKAAR.

 

 

La réaction du Président de l'Association des Maures de KEBEMER par ailleurs vice-président de la Fédération des Maures du Sénégal ne s’est pas fait attendre après la sortie du leader du parti Fulla ak Fayda Mamadou Guissé qui a traité Bougane Gueye de « simple maure  » ou "nar" khartani  .

Le Président résident Mawloud Dieng lui rappelle que les maures sont des sénégalais à part entière comme il y a des sérères sénégalais et des Wolofs mauritaniens et qu’ils sont fiers de participer à l’œuvre de construction nationale du Sénégal.  » Leur communauté n’a rien à voir avec vos querelles politiciennes. Dans sa déclaration il dit qu’il ne soutient pas Bougane Dany Gueye et qu’il parle en sa qualité de président de l’association des maures du Sénégal. Devant les journalistes, il lui rappelle le rôle historique de sa communauté dans l’islamisation au Sénégal et que les siens ont contribués à l’éclosion de l’homo-sénégalaises et se sont brassés avec toutes les ethnies du pays.

Concernant la saisie de la justice, tout dépendra de la réaction de l’auteur de ces propos qui n’ont pas de sens dans une démocratie.  

À cet effet, les Maures exigent des excuses publiques de la part de Mr Guissé. 

 

En direction de la présidentielle 2024, le président Mawloud Dieng lance un appel à tous les sénégalais en général et aux Maures en particulier à la sérénité et des élections apaisées pour s’attaquer aux urgences de l’heure c'est-à dire développer notre beau pays qui dispose assez de ressources naturelles.

Mamadou TOURE

C’est a Rome en Italie que le Président Macky SALL a participé aujourd'hui aux travaux du Sommet Afrique-Italie, qui porte sur la thématique de la coopération, du développement et des infrastructures.

 

Dans son discours, le Chef de l’Etat a salué la décision italienne de faire de l'Afrique une des priorités de sa Présidence du G7, avec le Plan Mattei. Le Président Sall a souligné la nécessité urgente d'instaurer un nouvel état d'esprit dans la coopération avec l'Afrique, en passant de la logique de l'aide à celle de l'investissement et du partenariat. 

 

Revenant sur le partenariat et l’investissement en Afrique, le Président de la République a mis en avant la nécessité de lever les obstacles qui entravent la coopération et le partenariat sur le continent , en reconsidérant les critères de notation des Agences d'évaluation, en assouplissant les règles de l'OCDE pour les prêts crédits export, en promouvant davantage les financements mixtes et en réformant les procédures. 

 

Le Chef de l’Etat a conclu son discours en soulignant l'importance de travailler ensemble pour répondre aux besoins multiples et urgents de l'Afrique, en respectant la diligence, la transparence et les autres normes qui encadrent la coopération pour le développement.

 

 

Analyser de manière approfondie le secteur du transport au Sénégal, couvrant les aspects terrestres, ferroviaires, aériens et maritimes, tel est l’objectif défini lors de la 2ème conférence annuelle initiée par le Project Management Institute (PMI). Dans le souci de diversifier l’offre de ses thématiques, cette institution opère véritablement dans le développement et fait intervenir des personnes-clés dans ses conférences.

 

Placé sous le thème «le transport multimodal au Sénégal: intégration et perspectives pour un développement durable», l'événement ne pouvait pas ne pas faire venir le Ministre Directeur général de la Senter, Abdou Ndéné Sall, tout comme des invités chevronnés. Dans son intervention, Abdou Ndéné Sall a fait savoir que «les autoroutes à péage, l'aéroport international Blaise Diagne, le train express régional et le Bus Rapid Transit (BRT) sont quelques-uns des projets majeurs ayant transformé le paysage des transports au Sénégal».

 

En tant qu’invité d'honneur pour cette deuxième conférence, il a salué l'importance de la rencontre avant de se réjouir des échanges d'expériences entre les gestionnaires de projet. Ce qui, selon lui, est essentiel pour identifier les meilleures opportunités sur la chaîne de valeur et résoudre les difficultés inhérentes aux projets d'infrastructure en Afrique.

 

 D’ailleurs, dans ses observations, le ministre a mis en avant l'importance des investissements à long terme, soulignant que les projets d'infrastructure sont des legs pour les générations futures. Il a également souligné l'impact positif des projets de transport de masse, tels que le BRT, sur la mobilité entre Dakar et sa banlieue, contribuant ainsi à l'amélioration de la vie des Sénégalais. La conférence a donc constitué un moment clé pour la collaboration et l'échange d'idées, visant à renforcer la gestion des projets, à trouver des solutions aux défis actuels et à œuvrer ensemble pour le développement durable du Sénégal. .

 

Il faut rappeler que cette activité du PMI a réuni des centaines de professionnels de la gestion de projet. Oumar Diop, président du Project Management Institute, chapitre Sénégal, est revenu sur l'importance cruciale de la conférence en déclarant qu’aujourd'hui, «l'ensemble de la communauté de gestionnaires de projets au Sénégal discute du transport multimodal au Sénégal, de ses enjeux et de ses perspectives. C'est une conférence annuelle extrêmement importante pour la communauté des gestionnaires de projet».

 

Le Ministre des Finances et du Budget M. Mamadou Moustapha Ba a invité les agents du Trésor, à davantage veiller au maintien des acquis durement obtenus par leurs devanciers, faisant la  prestigieuse réputation de ce corps de l’Administration publique.

S'adressant à eux, il leur a dit : " Vous avez le devoir de maintenir ces acquis durement obtenus et qui font la prestigieuse réputation du corps des inspecteurs du Trésor. A cette fin, aucun sacrifice ne sera de trop." 

Avant de poursuivre : "Votre mission requiert nécessairement la correcte prise en charge des besoins de nos concitoyens, ces usagers devenus, et à juste titre, de plus en plus exigeants, et ainsi apporter les réponses appropriées aux différents défis de notre époque." 

C'était à l'occasion du week-end d'intégration organisé par l'Amicale des Inspecteurs du Trésor du Sénégal sur le thème : 

"Quelle retraite pour l’agent du Trésor ? Etat des lieux et perspectives d’amélioration."

C'était en présence du Secrétaire général du Ministère des Finances et du Budget, M. Abdoulaye Samb, du Directeur général de la comptabilité publique et du Trésor,  M.Cheikh Tidiane Diop et de nombreux responsables et agents du Trésor. 

 Le prétexte de la célébration de ses étudiants gradués a été pour le directeur de l’Institut Supérieur Equipement Santé de revenir sur la mesure prise par le président de la République de procéder à des audits dans ce secteur très couru. Pour Souleymane Aliou Diallo, «nous devons nous réjouir d’une telle mesure parce que «ce n'est qui veut qui doit enseigner, surtout en matière de santé». Voici en extenso sa déclaration en marge de la cérémonie de graduation des sortants de son école.

«Nous célébrons la graduation des 3èmes  et 4èmes  promotions d'étudiants infirmiers et infirmières, sages-femmes et assistants infirmiers. C'est une fête qui sanctionne la fin de formation de trois bonnes années d’études de jeunes africains, en général, et sénégalais, en particulier. Ils sont 80 étudiants et 5 nationalités de la sous-région ouest africaine, et c’est avec une participation inclusive et ouverte au continent que nous avions mis en place cet institut. Vous savez, l'enseignement supérieur au Sénégal est très prisé, c'est même une attraction. Sauf qu'avec les mesures prises par le gouvernement dans ce secteur complexe, il convient de se déterminer pour leur application. Il faut savoir qu'est-ce qu'il y a lieu de faire pour un état des lieux correct dans ce milieu concurrentiel.

 «Ce n'est qui veut qui doit enseigner, surtout en matière de santé''. Nous pensons que l'audit recommandé par le président de la république vient à son heure. C'est aux établissements de santé de s'adapter par rapport aux normes édictées par les autorités de l'ANAQSUP (autorité nationale d'assurance qualité sur l'enseignement supérieur) pour être dans les normes standards universelles. Pour avoir un agrément au Sénégal, c'est tout un processus. C'est cette difficulté la qui fait que certains établissements sont dans l'irrégularité. Ce n'est pas donné, ce n'est pas d'un simple claquement de doigts. Les choses sont très bien régulées, de sorte qu’on doit respecter le règlement mis en place par l'autorité. Par rapport aux sortants, il faut dire que la demande est encore forte en termes de besoins de santé. Ils sont aussitôt opérationnels et c'est un secteur qui n'éprouve pas de manque de d'infirmiers ou de sages-femmes. Ce secteur est très difficile et complexe, il faut beaucoup d'attention et de considération pour accompagner les apprenants».

 

C'est une cérémonie pleine d'émotions qui a été organisée, ce samedi, pour dire au-revoir au directeur sortant de l'hôpital CHU de Fann. Pr Cheikh Tacko Diop a eu droit à une reconnaissance de ses collègues pour assistance et services rendus au personnel et à la structure hospitalière. Un au-revoir symbolisé par des cadeaux pleins la vue pour celui qui devra désormais diriger l'Hôpital général Grand Yoff Idrissa Pouye.

 

Le communiqué du Conseil des Ministres qui  a révélé l'affectation du Pr Cheikh Tacko Diop, remplacé à la tête du CHU de Fann par Mme Khadidiatou Sarr Kebe, aurait suscité moult commentaires auprès du personnel de l'hôpital. Mais la vie à la tête des institutions étant ainsi faite, des départs et des arrivées rythment la vie des institutions. Et c’est en toute modestie que le Pr Diop a déclaré, en marge de la cérémonie de pot d'honneur: «Je pense avoir seulement fait quelques petits résultats, c'est plutôt le travail en équipe qui a été le plus déterminant. En effet, il s'agissait pour moi de dispatcher le travail et de le contrôler. Que ce soit le personnel médical ou paramédical, ou même le personnel administratif, ils se sont tous dressés comme un seul homme pour que, de manière qualitative, la gouvernance et la gestion des ressources humaines soit parfaite». 

 

Le Pr Cheikh Tacko Diop, qui vient de faire un passage réussi au Cames, soutient dans le même sillage: «Mme Khadidiatou Sarr Kebe, qui prend les rênes du CHU de Fann, va devoir poursuivre, le temps de se consacrer aux nouveaux défis à Idrissa Pouye où il y a des choses à faire». Se prononçant sur la difficile période de COVID, le tout nouveau patron de l'hôpital de Grand Yoff se rappelle: «la période de la pandémie a été extrêmement difficile, surtout pendant la deuxième vague où on a connu des décès à un nombre extrêmement important. On avait fait face à un nombre insuffisant de lits pour un nombre de malades beaucoup plus supérieurs que la capacité. Une période assez difficile donc et on s'était tous investi pour prendre en charge cette pathologie qui finalement a du reculer. Mais on a eu l'appui du ministère de la santé, car, durant cette période, aucune structure n'a reçu autant d'équipements que Fann.

 

Cela a permis d'investir sur des services comme celui des maladies infectieuses, comme le service de neurologie qui va être inauguré d'ici quelques jours par celle qui nous a succédé. D'autres structures ont aussi été réhabilitées et améliorées, notamment le centre des épidémies dont Fann a bénéficié pendant cette épidémie. Donc ça a été hyper dur pour la structure, pour les populations et en termes de recettes, il y a eu une perte drastique de recettes mais le manque à gagner a été complété par les autorités de ce pays. Même si certains  ne cessent de faire allusion aux 1000 milliards dépensés par l'état pour faire face, de manière multiforme, à cette pandémie, le Pr Diop tempère. «Des gens ont beaucoup épilogué sur ce montant, mais pour ce que j'en sais, la gestion était très correcte pour avoir permis de prendre en charge les patients. Le plus important était de se dresser comme un seul homme pour faire face à la pandémie. Je m'en vais à un terrain totalement inconnu mais un hôpital reste un hôpital, c'est les mêmes personnes, les mêmes difficultés, les mêmes défis qu'il convient de relever. Quelqu'un a fait pas mal de résultats, mais quelqu'un d'autre devra continuer, comme ça a été le cas ici à Fann. Mais il faut retenir qu'à l’hôpital Idrissa Pouye, c'est une autre forme de défi qu'il faut relever, mais aussi de motivations, car, quand on fait 12 ans dans une structure de santé, c'est déjà quelque chose d’acquis».

 

 

Contrairement aux perfides accusations de HRW, au Sénégal, il n’y a pas de répression préélectorale mais un combat contre une insurrection politique qui tentait de bloquer le fonctionnement régulier de la justice sénégalaise. Ousmane Sonko, qu’il qualifie honteusement d’ « éminente personnalité » montrant ainsi leur absence de retenue, de distance et leur parti-pris flagrant, voulait empêcher, par la violence, la tenue de ses procès pour viol et diffamation.

 

Les activistes américains de HRW et leurs laquais sénégalais ont certainement oublié qu’il n’y a guère longtemps, aux États-Unis, le FBI a abattu un individu pour avoir proféré des menaces de mort contre le Président Joe Biden.

 

Curieusement, HRW n’évoque pas une répression préélectorale lorsque l'ancien président républicain des États-Unis, Donald Trump, a été déclaré inapte à la fonction présidentielle par les États du Maine et du Colorado, à la suite de l'assaut du Capitole par ses partisans. Ils ne convoquent pas la rhétorique de l’acharnement quand Donald Trump, favori pour la prochaine élection présidentielle américaine, fait face à plusieurs accusations pour divers délits.

 

Au Sénégal, Ousmane Sonko n’a pas été abattu en dépit de ses menaces mort publiques contre le Président de Macky Sall lors d’un meeting organisé par son parti à Keur Massar en janvier 2022.

 

Contrairement aux mensonges de HRW, c’est pour garantir davantage et surtout protéger les libertés fondamentales que des hordes de voyous ont été arrêtées et mises en prison par les autorités judiciaires et les forces de défense et de sécurité intérieures.

 

A la différence des Usa, le Sénégal n’interne pas ses "terroristes" dans des camps de concentration comme Guantánamo.

 

Sur le troisième mandat, HRW a tout faux.

Au Sénégal il n’y a pas eu une seule manifestation contre la candidature du président Macky Sall pour un troisième mandat car tout simplement l'intéressé n’avait jamais annoncé sa volonté de briguer les suffrages des Sénégalais en 2024.

 

La soi-disante répression de la presse qu’évoque Human Rights Watch est un délire médiatique et le fruit de l’imagination fertile d’activistes qui vivent grâce à la rente de l’indignation.

 

Aucun journaliste sénégalais n’a été arrêté en raison de son travail. Ce sont des nervis médiatiques, dont le caractère partisan est connu de tous, qui ont été poursuivis pour diffusion de fausses nouvelles et atteinte à la sécurité de l’État.

 

Pour rappel, est américain et non sénégalais, Julian Assange, sans doute le prisonnier le plus célèbre au monde et qui risque de se perdre dans l’abîme du système judiciaire des Usa. Quid d’Edward Snowden, qui a révélé le système d’espionnage à l’échelle internationale mis en place par le gouvernement américain ? Il a été obligé de fuir et de vivre en exil en Russie pour échapper à la prison à vie chez lui.

Les autorités sénégalaises n’ont pas réprimé l’opposition encore moins les médias et la société civile. Elles combattaient une insurrection menée par un parti politique fasciste, qui s’est transformé en une entreprise terroriste.

 

Au Sénégal, les prisons ne sont pas remplies d’opposants politiques mais de voyous qui ont voulu tuer la démocratie.

 

Ici comme ailleurs, toute tentative visant à empêcher la tenue d’un procès est combattue avec la plus grande fermeté. Aucune ONG sérieuse ne peut accepter qu’une citoyenne soit privée de son droit de poursuivre, devant les juridictions de son pays, celui qu’il accuse de l’avoir violée. Les Sénégalais ont aussi le droit de savoir ce qui s’était réellement passé à Sweet beauté Spa, entre Adji Raby Sarr et Ousmane Sonko.

 

Tout gouvernement sérieux ne peut rester passif devant les saccages, pillages des entreprises étrangères par des politiciens terroristes.

 

Force est de constater que les appels à l’insurrection de Sonko ont occasionné des séries de manifestations violentes et des pillages et destructions des biens publics et privés. Les investigations menées par les autorités judiciaires ont identifié Ousmane Sonko, comme étant l’instigateur des troubles et violences. Il bénéficiera d’un procès équitable et le droit sera dit en dépit des agitations, pressions et mensonges de HRW et de ses laquais sénégalais.

 

Au service du Sénégal. Tout le Sénégal.

 

Vive la République !

 

Vive le Sénégal !

Les jeunes étudiants ressortissants de la Casamance qui ont élu domicile dans un bâtiment et pris en charge par la mairie de Ziguinchor ont été  tout bonnement délogés de leur lieux d'habitation. Ils squattent les rues et n'ont plus où passer la nuit suite au non paiement de leur édile Ousmane Sonko qui avait pris sur lui l'engagement et la promesse de leur payer le loyer.

 

Fatigué de ne plus entrer en possession de son argent, le bailleur les met tous à la porte. Ces jeunes étudiants vivent à la belle étoile et sont dans une situation embarrassante. Ce qui a irrité Malal Diallo Pith, responsable l'APR du département Pikine et membre du cabinet présidentiel.

 

''Nous sommes vraiment désolés de voir ces jeunes étudiants dans une telle situation. C'est pour cela que je demande solennellement le Ministre de l'Economie Doudou Ka, lui-même originaire de Ziguinchor, à prendre en charge, même de manière provisoire, le loyer pour ces jeunes étudiants. Nous sommes tous sénégalais et en tant que responsable, M. Ka est vraiment invité à réagir, lui qui était à deux doigts d'être élu maire'', a dit Malal Diallo Pith

 

L'accès à l'énergie est un problème pour certains pays,  raison pour laquelle des acteurs étaient en conclave à Dakar à la recherche de solutions. Et pour ce fait un salon a été tenu dans un hôtel de la place ou plusieurs sujets liés à l'énergie ont été abordés lors de cette rencontre. L'objectif visé c'est d'échanger sur ce sujet pour permettre aux Etats africains d'accéder à l'énergie facilement. Le ministère du pétrole et des énergies, l'Association Sénégalaise pour le Développement de l'Energie en Afrique ( ASDEA) et l'association pour le Développement de l'Energie en Afrique (ADEA) sont les initiateurs de ce salon.

 

La 21e édition où plusieurs sujets liés aux énergies ont été abordés. Force est de constater que l'organisation de ce salon est le fruit de la collaboration entre l'Adea et l'Asdea. Le thème qui a avait été choisi est de: quelles solutions des états africains face aux défis de la transition énergétique et de l'accès universel à l'électricité. Et le représentant du ministre Antoine Diome de déclarer que, " le siepa est une conférence annuelle de deux jours comprenant le sommet de l'énergie en Afrique et la 8e exposition des professionnels de l'énergie". Une occasion qui a été saisie par visiter les standards. Lors de ce salon, des acteurs et experts dans le domaine de l'énergie nationaux et internationaux ont véhiculé des sur les derniers tendances et les défis de l'industrie énergétique. Plus de 150 exposants ont présenté des innovations technologiques et des solutions durables dans le domaine de l'énergie et du pétrole. L'organisation de cet événement intervient au moment où le Sénégal entre dans la phase de production d'hydrocarbures suite à la découverte d'importants gisements de pétrole et de gaz en 2024. Les débats sont axés sur les grandes évolutions du secteur de l'énergie à moyen et long termes, offrant ainsi un nouvel éclairage sur les perspectives énergétiques en Afrique et dans la sous région. Suffisamment pour que ces acteurs dont l'Asdea, l'Adea et le ministère en charge de la question de l'énergie conjuguent leurs efforts à la recherche de solutions pour faciliter l'accès à l'énergie aux pays africains. Un salon qui dure deux jours et qui a été organisé ce mardi 23 janvier 2024 au Sénégal.  " L' Adea dispose d'un ensemble d'outils promotionnels pour pouvoir prendre certaines initiatives liées à l'énergie", explique le président de cette association. l'Asdea a pour mission de réfléchir sur les enjeux énergétiques en Afrique et sur l'accès à l'énergie dans des conditions de coût et de sécurité raisonnable pour un développement durable et autres. Raison pour laquelle cette initiative a été prise par les différents acteurs qui s'engagent à mettre en place des programmes, permettant aux Africains d'accès à l'énergie. Plusieurs pays de la sous région ont été représentés lors de la tenue de ce salon. D'après les panelistes, " il s'agit de déterminer les moyens à mettre en œuvre pour développer la production et la consommation d'énergie en particulier d'électricité mais également des énergies alternatives comme le solaire et le bio carburant, à des coûts compatibles avec le niveau de des populations". Au terme de cette rencontre, les acteurs se disent satisfaits et ils s'engagent à travailler main dans la main pour mettre en place des mécanismes permettant aux Etats africains d'accéder à l'énergie.

Modou Touré 

CMU
cmu