Malal DIALLO Pithi
Pour un bon usage de l’invalidation de sa candidature : combattre les conditions qui ont rendu possible le succès de Sonko
L’extrémiste Ousmane Sonko, ce vulgaire et étroit d’esprit apprend, à ses dépens, que dans une démocratie libérale nul n’a besoin de marcher sur des cadavres pour accéder au pouvoir.
Ousmane Sonko est une menace contre le Sénégal avec ses fausses promesses, ses avis simplistes et sa surenchère populiste.
Si Sonko était autorisé à être candidat à l’élection présidentielle de février 2024, la menace contre la République et la démocratie qu’il représente ne pouvait que s’aggraver. Il est important de mettre un coup d’arrêt à l’ascension du populisme au Sénégal.
Toutefois, le péril Sonko, loin de disparaître, va perdurer si l’on ne combat pas résolument ses racines politiques, culturelles, économiques et sociales.
Avec ses appels à l’insurrection, la transformation de son parti en une entreprise terroriste et ses militants en une meute de casseurs, Ousmane Sonko a voulu tuer la démocratie qui a permis aux Sénégalais de choisir pendant 63 ans, les élus locaux, Députés et Présidents de la République.
Après sa mise hors-jeu électoral, le premier défi de la République du Sénégal est de tirer, de façon lucide, les leçons des facteurs qui ont généré les succès de Sonko en dépit du meurtrier bilan humain et matériel de son "Mortal kombat", gatsa gatsa et thioky fin.
Pour ce faire, nous devons aborder, avec une extrême gravité, l’emprisonnement, la dissolution de l’ex parti Pastef et l’invalidation de la candidature de Sonko.
Il s’agit de décrypter avec courage les fanatismes, colères, insatisfactions, insuffisances et inquiétudes multiformes des Sénégalaises et Sénégalais qui adhèrent, le plus souvent par ignorance, au projet populiste de Sonko qui, par nature, est dangereux pour le pays.
Dans cette perspective, les partisanes et partisans de Sonko ne sont pas à confondre avec lui. Ces Sénégalaises et Sénégalais énoncent des soucis, préoccupations personnelles et des peurs. Il s’agit d’y répondre par des politiques publiques ambitieuses et une gouvernance exemplaire.
En lieu et place de polémiquer avec les sonkolâtres et les élites opportunistes qui le soutiennent, les vrais démocrates, qui ont le souci du Sénégal et de la consolidation de son modèle républicain, laïque, progressiste et démocratique, doivent se mobiliser pour la seule tâche qui vaille : libérer le Sénégal des griffes du populisme, du dogmatisme, de l’intolérance et du culte de la personne. Il s’agit de les conduire à un niveau avancé de civilisation politique et intellectuelle.
Il faut, à ce propos, privilégier une analyse rationnelle de leurs comportements et travailler à les réhabituer à la libre discussion et au débat contradictoire apaisé.
Depuis que Sonko est entré en politique, les républicains et démocrates sénégalais ont commis l’erreur d’ignorer les effets pervers de son discours et sa dangerosité dans l’opinion, notamment, les jeunes.
Cette attitude n’était pas la bonne manière pour faire face au péril du populisme. Pour combattre plus efficacement Sonko et son populisme violent, il est urgent d’inventer un nouveau récit républicain, démocratique et progressiste.
En effet, par bien des aspects, Ousmane Sonko a réussi à imposer dans le débat public le patriotisme dénaturé et rétrograde en inoculant dans la jeunesse le venin de la haine, de la violence, de la xénophobie et de l’intolérance.
Ainsi est venu le temps des folles passions de 2021 à 2023. Au cours de ces dernières années, en bon manipulateur et entrepreneur du populisme, Ousmane Sonko a surfé sur le marché de la mal gouvernance, des détournements de deniers publics, pillages de biens de la nation, frustrations, colères, souffrances. Il a su capter des colères légitimes et avec beaucoup de cynisme convaincre des Sénégalais qu’ils sont spoliés de leur pays et ses richesses par l’Occident et les gouvernements qui se sont succédé depuis 1960.
Il n’en fallait pas davantage pour que ce pur délire, mais baume efficace sur les plaies de la pauvreté et de l’ignorance, permette à Sonko de s’imposer dans le débat public.
La rhétorique de Sonko consiste à tromper les Sénégalais en captant ses proies au nom de fausses valeurs comme la préférence nationale, le patriotisme à la fois dénaturé et rétrograde. Il sait exciter les bas instincts du peuple, notamment de ces classes les plus précaires. Le discours de Sonko est une stratégie de manipulation des marginaux, incultes et esprits faibles.
Ousmane Sonko joue sur l’émotion au détriment de la raison et porte la dramatisation des difficultés à leur extrême : exacerbation de la crise, dénonciations mensongères, exaltation d’un leader sauveur.
Ousmane Sonko, comme tous les populistes, a besoin de frustrés, de pauvres, d’analphabètes, dans un état de forte insatisfaction, pour exploiter leur ressentiment.
Ousmane Sonko parle de la situation économique du Sénégal en insistant sur les entreprises étrangères qui s’accapareraient des richesses nationales. Un pur délire !
Pour Sonko, la source du mal est souvent désignée de façon floue : le système qu’il considère comme le coupable n’est jamais parfaitement identifié, de manière à laisser planer l’impression qu’il conduit les affaires en sous-main. Ce qui permet de suggérer l’existence de complots, une comparaison avec la notion peu pertinente d’État profond chez les partisans de Trump.
Le discours de Sonko fait croire que tout serait simple si ne s’opposait pas à l’aspiration des populations, un système qui bloque le Sénégal.
Nous ne pouvons pas, nous ne devons pas accepter le populisme ! Ousmane Sonko n’est pas la solution pour le Sénégal. Les républicains et démocrates doivent développer leur propre récit du présent, de l’avenir du Sénégal et trouver des réponses républicaines, démocratiques et pacifiques aux défis économiques et sociaux en les érigeant comme urgences nationales.
L’avenir de notre République et de notre démocratie ne peut pas être confié aux populistes d’extrême droite et d’extrême gauche qui pullulaient dans l’ex Pastef.
Un récit républicain et démocratique doit mettre l’accent sur les idées d’ouverture, de pluralisme, de progrès économique, d’intégration africaine et de coopération internationale : l’humanité doit en très grande partie ses avancées à ces principes !
Dans un monde à la complexité croissante, on ne trouve guère d’exemple de réponses simplistes d’extrême droite ou d’extrême gauche menant à des résultats satisfaisants.
Le recours à un patriotisme régressif n’est ni viable ni souhaitable. Les républicains et démocrates sénégalais doivent souligner le fait que l’ouverture à l’Afrique et au monde – combinée avec une production à grande échelle, une redistribution plus équitable des richesses et une bonne dose de régulation – peut être une voie pour créer de la valeur et faire du Sénégal une terre d’opportunités.
De ce point de vue, un regard rétrospectif sur les accomplissements passés et une vue optimiste de l’avenir de notre pays sont plus utiles que l'auto-dénigrement, le populisme, le tribalisme, la xénophobie, l’instrumentalisation de l’ethnie, de la religion, le patriotisme dénaturé et rétrograde qu’incarnent Sonko et l’ex-Pastef.
Vive la République !
Vive le Sénégal !
Moustapha Diakhaté
COMMUNAUTE LEBOUS DU CAP-VERT: Abdoulaye Samb intronisé Jaaraf à YOFF
Sous la présence des Ndeye ji reew, des jaarafs, des saltigués de Yoff, du DG d l’ASPT (Agence Sénégalaise de la Promotion Touristique) Pape Mawo Diouf, la communauté Lébous de Yoff a intronisé leur nouveau Jaaraf Abdoulaye Samb en remplacement du défunt Jaaraf Mbaye Nguirane.
Le Président des Waneer invite le nouveau Jaaraf à oeuvrer pour l’union et la cohésion au sein de la communauté lébous après son intronisation mysthique qui va durer 7 jours.
Sous le rythme des chants religieux et de récital de Coran, la communauté lébous , tous de blanc vêtus a intronisé Abdoulaye Samb nouveau Jaaraf à Yoff.
De Bargny Ngor en passant par Yeumbeul, Cambère, les populations sont venues assister à cette journée historique. .Selon le président des Waneer, la communauté Lébous a une organisation précise consistant à une répartition des tâches entre les 12 matriclans. Au niveau de Yoff, la règle est que la fonction de Jaaraf soit dévolues aux matriclans Waneer, Khonkhabop et kes Diassirator. Avant de préciser qu’ Abdoulaye Samb fait partie du matriclan Waneer, habilité par sa lignée matriarcale à aspirer à une fonction de Jaaraf. Il y a un processus de concertation qui a été engagé et a abouti à cette cérémonie. « Je précise que je ne parle pas en tant que président de l’association des Waneer qui est une association apolitique régie par la loi et le règlement. Mais étant un proche oncle d’Abdoulaye Samb c’est un plaisir pour nous que de voir qu’il emporte une bonne partie de la confiance de ses citoyens de Yoff. Ce que nous lui demandant c’est d’œuvrer pour l’union et la cohésion au sein de la communauté Lébous », a conseillé le Président des Waneer. On fait un appel à toute la communauté lébous qu’il soit Sérigne Ndakarou ou Ndèye dji reew pour que régne la cohésion parce que là où il ni y a pas la cohésion, ni d’entente il ni y a pas de développement, a souligné Djibril Guèye. La mission que la famille des cinq lignée répartie dans toute la presqu’ile du Cap vert est qu’un parent aspire à une fonction telle que la fonction de Jaaraf, il est de notre devoir morale d’y assister. A ce titre nous demandons à Abdoulaye Samb de tout faire et d’œuvrer pour que les lébous aillent ensemble. On ne peut pas construire son pays, sans construire sa communauté. On ne peut pas construire sa communauté sans construire sa propre « Penc ». Le président du Waneer a profité de l’occasion pour lancer un appel à la présence du Saltigué de Rufisque Abdoulaye Guèye , il ne sert à rien de se chamailler. Ce qu’on demande à la communauté Lébous c’est de s’unir autour de l’essentiel, c’est d’agir d’abord en citoyen responsable. Il ya trop de querelles et ces querelles ne servent à rien. « Nous avons une histoire précise qui n’a pas été crée par le sérigne de Dakarou. Avant qu’il ait Sérigne de NDakarou Yoff, Ouakam et Ngor étaient déjà organisés. Nous avons une culture qui nous est propore, spécifique comportant des valeurs de nature à pouvoir faire avancer ce pays. Ces matriclans sont des symboles de valeurs de qualité qui peuvent aider à la cohésion sociale. Ce qui importe c’est de faire que ces valeurs soient véhiculées et qu’ils servent à la cohésion nationale », a fait-il savoir parlant des missions assignées à Abdoulaye Samb qui vient d’être intronisé Jaaraf à Yoff. Le Wooner est une association de matriclan culture à l’image des Nguelwaar qui sont bour sine . Au Cap Vert la fonction de représentation sont reparties entre les 12 matriclans, les 3 matriclans de Soumbédioune et les 9 matriclans de Beigne en raison de 3 matriclans par fonction de représentation. Nous souhaiterons les valeurs que cela renferme soient mises en œuvre pour la cohésion dans ce pays. En tant que citoyen et contribuable, il ne sert à rien de détruire les infrastructures publiques par ce que c’est l’argent du contribuable et c’est nous qui allons le payer en retour. Pour ces élections présidentielles, nous invitons tout le monde à un comportement responsable et citoyen et que le meilleur gagne, a lancé le président des Waneer. Priant pour cette intronisation, Chérif Mame mbaye Laye a invité à Abdoulaye Samb que cela ne change rien de sa religion et envers la société. Nous lui demandons de travailler avec les différents jaaraf et les autorités pour le développement de Yoff. « Nous remercions les populations de Yoff qui ont mis mis 50 millions pour le rayonnement de Diamalaye », s’est félicité Chérif Mame Mbaye Laye. Pour sa part, Le Jaaraf Penda Sarr demande à Abdoulaye Samba d’être un jaaraf à Yoff comme maitenant il est accepté, il doit œuvrer pour Yoff et la société. « On va t’aider et t’épauler pour te faciliter cette mission » lui a tendu la main le Ndèye ji reew Djibril Mbéngue.
Sur la route de la Can : La Lonase dope les comités de supporters à coup de millions
Les trois entités de supporters de l’équipe nationale que sont ‘’12ème Gaïndé’’, ‘’Allez Casa’’ et ‘’ASC Lebbou-Gui’’, tous dans un élan unitaire en partance pour la Côte d’Ivoire, ont reçu un montant global de 12 millions (5 millions pour les deux premiers cités en haut et 2 millions pour le club des rufisquois) de la Direction générale de la Lonase. A l’occasion d’une cérémonie organisée ce jeudi pour la remise des chèques, l’antre de la direction a vibré de sons de djembés et a brillé de couleurs de l’équipe nationale, comme un entrain sur la route de la Can.
En partance pour la Côte d’Ivoire, Abdourakhmane Baldé, le directeur de la Lonase, premier sponsor des ‘’Lions de la Téranga’’ renforce le dispositif financier des supporter officiels de l’équipe nationale. Accompagné de Mamadou Gueye, le secrétaire général de la Lonase, le dg Doura Baldé revient sur ce geste : «La remise de subvention aux clubs de supporters s’inscrit dans le cadre des préparatifs pour la Can, renforçant ainsi le lien entre la LONASE et les fervents supporters qui jouent un rôle essentiel dans la mobilisation de l’énergie positive de l’équipe nationale. Il faut souligner également que cette initiative traduit l’engagement de l’institution financière envers le sport et son rôle en tant que partenaire actif dans le soutien aux activités sportives nationales».
L’allégresse ressentie lors de la cérémonie de remise de subvention témoigne de l’unité et de l’entente des supporters, prêts à accompagner les Lions du Sénégal dans cette compétition africaine prestigieuse. La société financière de jeux aura encore fait parler d’elle avec ce geste qui sonne plus comme des prières et un vœu pieux de voir la seconde étoile floquée sur le maillot de l’équipe nationale.
Formation professionnelle et technique : Le RAFPRO à l’école de la formation duale
Le Sénégal accueille le 2ème atelier du Programme Régional Formation Professionnelle (PROFOR), une initiative du Réseau Africain des Institutions et Fonds de Formation Professionnelle (RAFPRO). Ce conclave sous régional porte sur l’identification des bonnes pratiques de formation duale au sein du RAFPRO et la sélection par pays, d’un centre de formation par apprentissage de type dual et des entreprises de secteurs, formel et informel, pouvant accueillir des formations par alternances.
«Cette rencontre sous régionale entre Etats membres de l'UEMOA et le Tchad favorise un rapprochement entre les différents acteurs de la formation notamment (le secteur productif, les travailleurs, l'Etat) et assure une meilleure insertion dans la vie professionnelle des jeunes en quête de qualification et d'emploi», a soutenu la Directrice générale du Fonds de Financement de la Formation Professionnelle et Technique (3FPT) du Sénégal, Mme Sophie DIALLO à la cérémonie d'ouverture.
Le Conseiller Technique du Secrétaire Général M. Sire BA a présidé, au nom de Madame le Ministre de la Formation Professionnelle, de l'Apprentissage et de l'Insertion, Mariama SARR, la cérémonie d'ouverture. Avant de clore ses propos, il s’est dit convaincu que des modèles de formation duale tout aussi pertinents existent dans les 13 pays respectifs qui prennent part à cette rencontre et qu’ils feront objet de partage pendant les 48h d’échanges entre acteurs. Pour rappel, l'atelier qui s’est tenu les 11 et 12 janvier 2024, a porté en outre, sur des établissements de référence de formation duale au sein du RAFPRO.
- NDIONGUE
Inauguration du BRT : Le système de transport sénégalais à l’ère de la modernité
Avec un budget de 419 milliards FCFA, le Bus Rapid Transit (BRT) va mettre sur la circulation 158 bus pour un linéaire de 18,3 km et transporter 300 mille voyageurs/jour.
Inauguré par le Président Macky Sall, hier, dimanche 14 janvier 2024, une date qui va rester dans l’histoire par rapport à l’originalité et la modernité du projet phare du Plan Sénégal émergent (PSE), ce nouveau système de transport va traverser 18 communes sur les 24 que constituent les deux départements de la région de Dakar. Sous l’égide du Ministère des Transports et du Désenclavement et la supervision du Cetud et de l’Ageroute, le financement est estimé à 419 milliards FCFA environ (69 % Etat et partenaires au développement et 31% Secteur privé). Le projet consiste en la réalisation d’une infrastructure BRT sur un linéaire de 18,3 km.
Le tracé concerne 02 départements (Guédiawaye et Dakar), 18 communes et 02 mairies de ville situées dans l’agglomération dakaroise. Avec un parc de 158 bus 100% électriques dont 121 déjà réceptionnés, le bijou offert par le chef de l’Etat Macky Sall marque une étape décisive dans la marche de notre pays vers l’émergence. Il permettra de transporter environ 300 000 passagers par jour, sans pollution, avec internet à bord et dans les meilleures conditions de sécurité, de confort et de régularité. Sa réalisation a généré pas moins de 1000 emplois directs dont 35% au profit des femmes et 50% au niveau des communes traversées.
Les temps de parcours entre Guédiawaye et le Centre-ville passeront de 90 à 45 minutes dans des conditions de confort, de sécurité et de régularité substantiellement améliorées. En outre, la proportion de population régionale pouvant accéder au Centre-ville en moins de 60 minutes augmentera de 12%, passant de 57% à 69%.
Réussite enregistrée lors des opérations parrainages par Benno
Malal Diallo Pith responsable APR adoube Abdoulaye Diagne
Le coordonnateur du Pôle Parrainage de la coalition Benno Bokk yakaar a montré à la face des Sénégalais qu'être jeune n'empêche pas de porter les grands projets politiques. Abdoulaye Diagne a bien prouvé,ors des opérations de parrainages, qu'il mérite la confiance que lui avait faite le président Macky Sall. Suffisant pour le responsable APR Malal Diallo Pith de lui adresser ses félicitations nourries à l'instar de tous les jeunes qui y ont participé''. Les jeunes doivent se réjouir qu'un des leurs a bien réussi la mission de haute portée politique que le Président lui a confiée. C'est aussi un belle preuve que les autorités du parti doivent intégrer les jeunes dans le directoire de campagne pour la présidentielle afin d'octroyer au candidat Amadou Ba une écrasante victoire'', a déclaré Malal Diallo Pith. Selon lui, ''de plus en plus, les jeunes prouvent qu'ils méritent plus de confiance pour conduire les destinées de ce pays. Qu'on leur accorde ces opportunités de prouver aux Sénégalais de leur faire confiance''
ATTAQUES INJUSTIFIÉES CONTRE ANTA BABACAR NGOM
LA BAVE DU CRAPAUD NE PEUX ATTENDRE LE CIEL
Il est vrai qu'en seulement six à sept mois d'existence officiel sur le papier, L'ALLIANCE POUR LA RELÈVE CITOYENNE à était admise avec sa Présidente Anta Babacar Ngom dans le cercle restreint des prétendants au fauteuil Présidentiel. Le passage haut la main du filtre du parrainage par Anta Babacar Ngom a été la résultante de multiple effort, d'un engagement politique sans faille, d'un travail acharné et sans répis mais aussi de réel sacrifice consentis nuit et jour sur le terrain, au niveau de toute les régions du Sénégal, par le leader de ARC pour asseoir et élargir considérablement les bases de son entités politique mais aussi pour faire adhéré massivement les populations Sénégalaises à sa vision et à son ambition pour un mieux être pour son pays.
Voilà les raisons objectives qui ont rendu compte de l'avis favorable accordé par le conseil constitutionnel au dossier de parrainage de selle qui, en un temps record, et considéré comme une étoile montante de l'échiquier politique Sénégalais.
Des détracteurs de la dernière heure et à la traîne de histoire ont continué encore de ternir l'image d'une Lionne et d'une grande patriote, qui, en dépit de multiples Obstacles sur le terrain politique où elle a été martyrisée et gazée à plusieurs reprises à néant moins poursuit son action et ses activités, dont l'objectif principal est de sortir son peuple des difficultés quotidiennes vécues.
Ces pourfendeurs n'ont pas manqué d'évoquer des relations entretenues depuis 2012 entre la famille Ngom et le Camp Présidentiel. Cela a été relaté de manière tendancieuse et malhonnête. Si l'on sait surtout que dans l'histoire politique d'un pays, de Senghor à Momodou Dia jusqu'à nos jours, il est relevé des relations, des Alliances, dont la plupart aussi ont débouché sur des ruptures ou des divorces. Vouloir ainsi insinué des accointances ou une complicité avant la lettre entre ARC et l'origine en place et tout simplement une vie de l'esprit fondée sur des chimères.
La candidate à la présidentielle Anta Babacar Ngom moulée aux valeurs intrinséques qui forgent la personnalité de l'homo Senegalensis et à l'école du patriotisme de son digne Père le capitaine d'industrie Babacar Ngom, va ainsi poursuivre inlassablement son chemin, vers le sommet de la pyramide.
Mohamed Al Amine Thioune
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE : Le MNER/PODOR sonne la remobilisation et sollicite audience avec le candidat Amadou BA
Le dimanche 7 janvier 2024 s'est tenue l'AG du MNER/ PODOR dans les locaux de la mairie de Dodel. Une fois encore toutes les 22 collectivités locales du département ont été représentées.
A l'entame de la rencontre, des prières ont été formulées pour une bonne rencontre et pour la victoire de notre candidat Amadou Ba.
L'ordre du jour s'articule autour des points suivants :
1/ Informations
2/ Réaménagement du bureau départemental
3/ Perspectives
Après amendements de l'ordre du jour, le coordonnateur du MNER/ PODOR a commencé par parler de la léthargie de notre mouvement au niveau de podor. Ceci est dû par lui même qui avait gelé toutes activités allant dans ce sens.
Il avait pris cette décision du fait que podor ne se retrouvait pas dans ce qui se faisait au niveau national. Il ya eu beaucoup de promotions mais aucun membre de notre département n'avait été promu. De ce constat amer, notre coordonnateur a cessé toute activité. Un tour de table a été fait à ce sujet. Les gens ont fustigé sans ambages son comportement.
Les républicains présents aujourd'hui ont décidé de reprendre unanimement les activités en vue de la victoire de notre candidat Amadou Ba.
Pour la réussite de notre programme, nous comptons sur la collaboration de nos leaders du département et de la coordinatrice nationale .
Dans les jours à venir, un plan d'activités sera mis en place et qui sera déroulé tout au long du département.
Entre autres points, il a été question de réajuster le bureau départemental.
Il est bon de noter que les changements ont été faits dans un consensus et que toutes les 22 collectivités ont été représentées.
Dans les perspectives le MNER de podor souhaite rencontrer dans les brefs délais le candidat de la coalition de Benno bock yaakar.
Fait à podor le 7/01/2024
Le chargé de la communication :
Mady Woury Sakho
Une Présidentielle n’est pas un casting ( Par Dr Bassirou Niang, président RNS)
Le spectacle désolant qui se déroule sous nos yeux est tout sérieux. Il faut jouer au plus rusé avec les Sénégalais, qui ne veulent qu’une chose. L’organisation d’élection libre et transparente. La fonction d’un chef d’état est tellement sérieuse, surtout dans notre système politique où il a des pouvoirs énormes, il faut être sérieux.
Il est établi que le système du parrainage citoyen est vicié pour une raison simple. Le hasard ne peut disposer de qui sera notre président. Le tirage au sort a largement impacté sur la vérification des parrainages. On n’a pas besoin de faire de hautes études pour le comprendre.
La deuxième anomalie flagrante est liée à la régularisation elle-même, pour ceux qui ont eu des doublons ( le hasard en dispose) . Le verbe « régulariser » signifie simplement « mettre en règle à posteriori ». La question qui saute aux yeux de tout le monde est celle-ci : Comment mettre en règle, si on ne dispose pas du référentiel de base ? Cette régularisation devient, ici un jeu de pocker. Le système est déséquilibré.
Le troisième élément est non le moins grave est la sortie récente de la CENA pour dire que le fichier qui circule sur les réseaux n’est complet. La CENA est tombée dans le piège en donnant une information capitale. A partir de quel fichier le conseil constitutionnel vérifie -t – elle les parrainages ?
Il y a oeu nous avions évoqué l’ impérieuse nécessité d’un report des élections et de la mise en place d’un gouvernement national de transition. La situation actuelle est inédite, il ne sert à rien de forcer les lignes. Un jeu électoral ne se juge pas le jour des élections, mais avant ,.pendant et après. En management , l’activité la plus importante est le contrôle. Et dans le cas des parrainages, le contrôle ne pourrait être efficace, par ce que le filtre est mauvais.
Asseyons nous autour d’une table et redéfinissons les regles du jeu, pour que la victoire soit belle. Le Sénégal le mérite bien. L’égoïsme de certains acteurs politiques montre simplement leur niveau de patriotisme.
Dr Bassirou NIANG Président RASSEMBLEMENT NATIONAL SENEGALAIS
Recalé par le conseil constitutionnel : Mansour Ndiaye parle de forfaiture et appelle au combat pour lutter contre cette régression démocratique
Mansour Ndiaye, candidat de la coalition Mansour 2024 est monté au créneau pour fustiger le processus mis en place par le Conseil Constitutionnel pour les parrainages. Candidat recalé par le Conseil Constitutionnel parle de forfaiture et appelle en outre à l’unité pour combattre ce qu’il qualifie de régression démocratique.
«Sur le processus électoral nous nous attaquons à différents niveaux. On a vu le Conseil Constitutionnel lors du tirage. Ce tirage n'a pas permis de dire à des milliers de Sénégalais, et à tous ceux qui nous regardent dans le monde que le billet a été excend de ce qu'on n'a vu. Ce tirage également n'a pas permis de rendre crédible aujourd'hui le processus démocratique », a déclaré Mansour Ndiaye.
Le candidat recalé affirme : « Après ce tirage, ce que nous avons vu quand je prends le cas de Dakar, sur 7 milles rejets du fichier électoral pratiquement toutes les informations qu'ils nous ont renvoyé, ces informations sont identiques aux informations qui ont été collectées et fournies au Conseil Constitutionnel. Donc 5 milles et quels électeurs qui ont les mêmes informations. Et donc qui dénotent, que sur les 7 milles, pratiquement les 5 milles sont sur le fichier électoral même confirmer par le Conseil Constitutionnel. Mais que toutes ces personnes ont été considéré comme effectivement des gens qui sont en dehors du fichier électoral ». «Cette forfaiture nous ne n'accepterons pas », prévient-il «Parce que nous, nous connaissons effectivement les gens qui nous ont parrainés. Pour quelqu'un qui a été dans les dynamiques de ce pays, dans des dynamiques associatives, dans des dynamiques financières à travers la micro finance, à travers plusieurs réseaux et qui connait pratiquement les gens ont pris leurs parrainages et qui ont remis. Nous aujourd'hui on ne peut pas nous convaincre qu'aujourd'hui, près de 25 mille personnes parmi les 54 mille qu'on a remis ne sont pas sur le fichier électoral. Autrement on met en danger la clarté et la transparence de notre processus électoral », déplore-t-il.
Dans la foulée, il dit ne pas espérer cela par rapport au régime de Macky Sall qui selon lui, a été «élu pendant des moments extrêmement durs, ou la démocratie avait suffoqué du temps d'Abdoulaye Wade, celui qui a été élu par 65% des Sénégalais, qui l'on soutenu qui l'on accompagné. Mais aujourd'hui, cette régression démocratique. Tous ces gens-là là qu'on affirme, on ne sait même pas aujourd'hui, sur quel fichier les gens ont travaillé. Personne aujourd'hui parmi les candidats ne peut te dire que l'algorithme de ce logiciel, on ne sait quels sont le résultat qui peuvent être sortis de l'algorithme de ce logiciel ».
Je pense que c'est énormément d'éléments qui compromettent aujourd'hui le processus électoral »
«Devant la presse nationale et internationale et devant la communauté internationale, nous en appelons à la raison pour que raison revienne à ceux qui ont en charge ce processus électoral», a dit Mansour Ndiaye.
Membre signataire également de l’ACFI dit : «Nous sommes effectivement dans le cadre d'une trentaine de candidats avec un nombre assez significatif de personnes de sénégalais dont nous détenons les données personnels, et qui nous ont parrainés, et qui sont aujourd'hui, considérées comme exclus du fichier électoral. C'est un fait grave et sans précédent que nous dénonçons et que nous allons effectivement à nous battre pour que ces gens-là soient restitués dans le fichier, pour que ces élections se passent de la façon la plus apaisée possible pour que ces élections également soient le plus inclusives possible », peste-t-il.