mercredi 27 novembre 2024 | Login
Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

L’opération de fermeture du chantier de reconstruction du centre commercial Gueule tapée est sur toutes les lèvres à Gueule Tapée - Fass – Colobane. Tellement les riverains et autres commerçants du marché ne peuvent comprendre l’arrêt du vaste chantier de modernisation du bijou qui va non seulement faire rentrer plus de recettes dans les caisses de la mairie, mais permet l’agrandissement des espaces de vente des acteurs qui évoluent dans le secteur.

Le maire de la commune de Gueule tapée Abdou Aziz Paye, accompagné du commissaire du 4ème  arrondissement, a procédé ce lundi 11 décembre 2023, à la fermeture du chantier du promoteur privé Kerely Building Sénégal, et ceci, sans mandat et sans préavis, presque en toute méprise du contrat qui le lie au promoteur. Ce qui a mis Mbaye Ndiaye et les commerçants du marché dans tous leurs états, organisant même, d’urgence, une rencontre avec les journalistes pour fustiger, avec la dernière énergie, ce qu’ils considèrent comme un acte de trop.  

«C’est un acte abusif basé», selon les commerçants qui se prononcent sur une délibération frauduleuse brandie par le maire pour justifier son acte. En effet, Abdou Aziz Paye a convoqué son conseil le 31 octobre 2023 pour demander son autorisation afin de renégocier le contrat signé par Kerely Building et son prédécesseur Ousmane Ndoye. Seulement il a porté devant le sous-préfet de Dakar une délibération pour résilier le contrat de reconstruction du marché

. «Cet acte frauduleux a permis au maire d’obtenir le concours de la force publique, et de procéder, sans aucun document légal, à la fermeture du chantier de Kerely Building Sénégal. Abdou Aziz Paye, pourtant maitre d’ouvrage du projet, souhaite changer de promoteur ce qu’il a promis à son conseil. Il estime que : les 300 millions qui reviendront à la commune au titre de la responsabilité sociétale ainsi que les recettes municipales estimées à 36 millions mensuels à l’ouverture du centre commercial ne suffisent pas à la mairie. Il a déclaré au promoteur qu’il souhaite obtenir un patrimoine (des cantines et une compensation financière importante), alors que la mairie n’a pas participé au financement du projet», dénoncent Mbaye Ndiaye et les commerçants.

Le projet, contrairement aux allégations du maire, n’accuse aucun retard comme en atteste le permis de construire délivré par le ministre de l’Urbanisme le 1 janvier 2022. Le maire a rejeté, à ce jour, toutes les propositions amiables faites par Kerely Building pour éviter un contentieux qui empêche l’ouverture partielle du centre commercial de Gueule Tapée prévue dans 15 jours. Selon une dame, membre de Ascodem, «le maire est simplement réfractaire à la modernité. Il sait qu’il n’aura pas de second mandat, et il veut s’opposer au projet d’embellissement du centre commercial».

Le comité directeur de l’ASC Golf Sud (Zone 1 de l’Odcav de Guédiawaye) est très remonté contre les dirigeants de la Zone. Pour de violences supposées provenir des supporters de leur équipe, après leur défaite en demi-finale contre l’ASC Alliance Atlantique, ils se voient infliger une lourde sanction d’un million FCFA et d’une non- participation à des rencontres pendant un an, plus une autre saison avec sursis. Ce qu’ils dénoncent devant leurs supporters venus en masse

 

Selon Bass Agnila Mbacké et ses camarades, «dans son procès-verbal du 26-11-2023, pour les mêmes motifs qu'elle reproche à l'ASC golf sud, la zone avait décidé de suspendre l'ASC Alliance Atlantique, à un an avec sursis en sus d'une amende pécuniaire de deux cent cinquante mille francs CFA, payable avant sa prochaine rencontre, et de suspendre l'ASC Alliance Nation Unies- Camberene 2 (ANC), à deux ans avec sursis en sus d'une amende pécuniaire d'un million de francs CFA, payable avant sa prochaine rencontre. Compte tenu de ces remarques et de ces éléments, l'ASC Golf Sud demande à la zone 1 et les acteurs du mouvement navetane au respect des principes d'égalité de traitement entre les ASC. Même au cas où l'ASC Golf Sud aurait commis des actes de vandalisme, nous estimons que cette mesure est inadaptée et elle foule du pied une jurisprudence».

 

Face à la presse sportive de la banlieue dakaroise, les membres du comité informent que «l'ASC Golf Sud n'est ni de près, ni de loin impliquée aux actes de violences qu’on leur incrimine. Et si la zone cherche un bouc émissaire, qu'elle regarde ailleurs, car les jeunes arrêtés lors des évènements ne sont pas de Golf Sud. Ainsi, nous rejetons la responsabilité des accusations de la Zone. Nos supporters ont été encadrés jusque chez nous. Et ici, oui des affrontements que nous condamnons ont eu lieu avec les forces de l'ordre». Le comité directeur informe ses supporters, fans, sympathisants et les populations de l'ensemble des quartiers de la commune de Golf Sud, de sa décision d'apporter des éclaircis sur un certain nombre d'évènements survenus après sa rencontre de navetane l'opposant à l’ASC Alliance Atlantique que nous félicitons pour sa victoire acquise sur le terrain.

 

«Cette décision de faire ce point de presse intervient suite au manque de respect répétitif infligé à notre ASC depuis plusieurs années. Aujourd'hui, elle ne se limite pas à travers un PV de Zone, mais par médias et réseaux sociaux. Nous tenons d'abord à condamner fermement les violences survenues ayant entrainé des dégâts matériels dans les différents quartiers de l'ASC Alliance Atlantique après le match, mais aussi, nous pensons qu'un match de football, de surcroit de navetane, ne saurait ternir nos relations fraternelles», fait remarquer le Comité. Pour qui «l'ASC Golf Sud invite la Zone 1 et les acteurs du mouvement navetane à plus de retenue et de tenue dans leurs décisions. La Commission d'enquête de la Zone 1 a réussi, de manière exceptionnelle, avec une célérité remarquable et remarquée, en 8 heures, à une conclusion sur les événements survenus.

 

Le Président du mouvement "Mon pays, mon avenir" a exprimé son optimisme quant à la validation de sa candidature  à l’élection présidentielle de 2024. C'était à l'occasion d'une manifestation politique tenue à Keur Massar. Il a également révélé avoir mobilisé un nombre conséquent de parrains. Il invite le conseil constitutionnel à entrer dans l’histoire en ne bloquant aucun candidat qui réussit à remplir les critères de participation

A ce stade du processus électoral, les états-majors politiques rivalisent de collecte de parrainages. En effet, pendant que certains candidats à la candidature à l’élection présidentielle peinent à obtenir le nombre de parrains requis, d’autres affichent déjà leur optimisme. C’est le cas de Ibrahima Cissokho, président du mouvement « Mon pays, mon avenir » et candidat de la coalition Président Cissokho 2024 : " malgré les contraintes et autres obstacles liés à la collecte de parrains, nous avons réussi à en mobiliser cinquante mille " a-t-il révélé lors d'une manifestation politique tenue samedi à Tivaouane Peulh. D’ailleurs, il a même déposé sa caution à la caisse de dépôts et de consignations (Cdc) qui lui a remis une quittance. Il en a profité pour appeler les sages du conseil constitutionnel à faire preuve de neutralité et à baser leurs décisions finales strictement sur le droit.

 En le faisant, a-t-il affirmé, ils entreront sans nul doute dans l’histoire. Le Président Ibrahima Cissokho a adressé ses vives félicitations à tous les militants et sympathisants du mouvement qu’il dirige pour leur engagement et leur détermination qui, selon lui, ont été déterminants dans la mobilisation du nombre de parrains obtenu. Il a également déclaré que les personnes vulnérables y compris handicapées sont prises en compte dans la conception du programme dudit mouvement. Cette tribune a aussi été l’occasion pour le candidat de la coalition Cissokho 2024 de rappeler le contexte socioéconomique difficile dans lequel vivent les populations des zones reculées du pays. Avec un déficit d’infrastructures diverses, un plateau médical quasi inexistant dans les rares structures de santé qui y existent, un chômage chronique chez les jeunes etc. Non sans insister sur sa volonté de travailler à réduire les souffrances de ses compatriotes.

D’ailleurs, en guise de preuve de cette volonté, il a évoqué les  actions de portée sociale qu’il a déjà réalisées en termes de consultations médicales gratuites, de formations et de remises de financements aux femmes afin de leur permettre d’avoir une autonomie financière. En outre, il a affirmé avoir investi le terrain politique très tôt. Ce qui lui a permis de pouvoir expliquer les enjeux de l’élection présidentielle de 2024. A l’en croire, cette approche lui a valu des adhésions massives au mouvement " Mon pays, mon avenir ". Enfin, le candidat de la coalition Président Cissokho 2024 a appelé les responsables, les militants et les sympathisants à maintenir la dynamique afin de pouvoir l’objectif visé par le mouvement.

 

 

 

La radiodiffusion  et télévision Lamp Fall de Mbacke  a été le week-end dernier la proie à un incendie dévastateur. Il a ravagé, par des flammes, les instruments et outils de production. Une enquête est ouverte  pour déterminer les causes de cet incendie qui a réduit en silence la première station régionale décentralisée  de la maison mère dirigée par ‘’the big one’’ et patron de presse Alioune Thioune.

 

De la solidarité et du soutien ont fusé de partout, comme celui de la présidente  nationale de l'alliance  pour la relève citoyenne, Anta Babacar Ngom. Au nom de cette dernière, le coordonnateur national de ARC Magatte Wade a informé de sa présence attendue auprès des autorités de la première chaîne de télévision Sénégalaise et africaine.

  

Mohamed Al AmineThioune

 

Avec la foi et l'engagement propres aux leaders qui veulent soulever les montagnes sur leur passage, la fille de son père, Anta Babacar Ngom, continue de prendre d'assaut, et tous azimuts, les différentes régions du pays. Ceci, pour l'élargissement des bases de son Mouvement, mais aussi pour mieux optimiser et sécuriser ses opérations de parrainage.

 

Pendant qu'elle se déploie comme une lionne dans le Nord du pays, ses bases-arrières assurées par la coordination nationale s'activent dans la gestion des affaires courantes. C'est dans cadre qu'il faut comprendre l'organisation, ce weekend, au King Fahd Palace, du Gala de l'association nationale des bijoutiers du Sénégal qui a jeté don dévolu sur la présidente d’ARC. Ils en ont fait leur marraine.

 

A cet événement, elle est représentée par le coordonnateur national d’ARC, Magatte Wade. Il faut dire que la présidente Anta Babacar a accordé une place prépondérante à l'artisanat dans son programme de développement social et économique. Ainsi, le coordonnateur national a révélé que ce programme qui tient compte du grand rôle joué par le secteur de l'artisanat dans sa globalité, va mettre en place un fonds spécial de plusieurs milliards de francs CFA pour le secteur de l'artisanat qui pourrait aussi développer un partenariat public prive. Dans ce programme, il sera aussi procédé à la création de pôles artisanaux régionaux où l'on procédera à la formation au renforcement de capacités à l'exercice de tous les corps de métiers. Aujourd'hui l'on sait que ce secteur relève de l'informel, pour la présidente d’ARC, il s'agira de mieux l'organiser et le hisser au niveau industriel afin que son taux de participation au Produit Intérieur Brut (pib) soit plus élevé.

 

Mohamed Al Amine Thioune

 

 

Une partie de la presse sénégalaise pratique le double standard lorsqu’il s’agit d’accusations à l’encontre de Monsieur Ousmane Sonko. 

 

Avec certains journalistes, qui agissent plus en mercenaires qu’en professionnels objectifs, toutes les accusations ne se valent pas. Il y a une hiérarchie à faire valoir lorsque le mis en cause s’appelle Ousmane Sonko. 

 

Il y a quelques années, la presse sénégalaise avait largement repris, sans demander la moindre preuve, un reportage de la BBC intitulé « Sénégal : un scandale à 10 milliards de dollars », dont le contenu visait M. Aliou Sall, membre de la majorité présidentielle et frère du chef de l’Etat. 

 

Cette même presse a, depuis le mois de juin, préféré mettre sous le coude un article du journal français le Canard enchaîné sur un financement étranger en faveur de l’action politique de Monsieur Sonko. Ces informations graves non démenties par le mis en cause devraient faire l’objet d’une enquête sérieuse de la presse nationale. 

 

Ainsi, le traitement des accusations dépend des victimes politiques, selon qu'elles soient de l’opposition ou de la majorité. Il s’agit d’un refus délibéré d’objectivité dans la façon de considérer ce qui est bon à reprendre ou non en fonction du bord politique de la personne incriminée. 

 

Pour rappel, il y a quelques années, la presse avait relayé, avec enthousiasme, l’un des plus gros et célèbres mensonges de Monsieur Sonko : le pseudo incivisme fiscal des députés.

 

Avec le degré zéro de l’éthique et de la bonne foi des médias ont fait fi du fait que le Sénégal pratique la retenue à la source pour ce qui concerne la fiscalité sur les salaires ou émoluments. C’est ce régime d'imposition qui est appliqué aux agents de l’État y compris les parlementaires. Les retenues à la source doivent être prélevées et reversées au Trésor Public. Le non reversement de l’impôt des députés ne saurait leur être imputé. Ce travail relève des services compétents de l’administration de l’Assemblée nationale. A la même époque, Monsieur Sonko avait menti à affirmant que le trésorier de l’Assemblée nationale est un haut fonctionnaire détaché auprès de l’institution. Ce qui est archi faux. La nomination des agents de l’Assemblée nationale est une compétence exclusive du Président de l’institution. 

 

Il s’y ajoute que Monsieur l’ancien inspecteur principal des Impôts et ancien auditeur interne à la Direction du contrôle interne à la Direction générale des Impôts et Domaines ne peut pas ignorer que c’est bien la DGID qui est l’autorité de la République pour faire respecter l’ordre fiscal partout et par tous.

 

Par conséquent, accuser les députés d’incivisme fiscal c’est faire preuve d’ignorance ou de mauvaise foi ou les deux à la fois.

 

Sur l’affaire des 94 milliards de francs Cfa, la presse n’a jamais exigé à Monsieur Sonko d’apporter les preuves de ses accusations de détournement. Jusqu’ici aucun journaliste n’a osé interpeller Monsieur Sonko sur le nom de la banque ou le numéro de compte où seraient logés les milliards de francs cfa détournés alors que l’intéressé disait détenir tous les informations y relatives et avait même promis de les révéler à la presse. 

Cette inconduite malsaine de la presse est devenue la règle lorsque l’accusateur ou l’accusé s’appelle Ousmane Sonko. 

 

En réalité, l’affaire des 94 milliards de francs cfa du TF1451/R n’est qu’un canular, une accusation mensongère sans aucun fondement véridique. La preuve, convié devant la commission d’enquête du parlement sur le sujet, M. Sonko ne s’est jamais présenté. 

 

Aujourd’hui, l’heure de vérité est arrivée: Monsieur Sonko n’est pas l’homme propre qu’il prétend être. En tout état de cause, la presse doit exiger de lui qu’il d’apporte les preuves de ses accusations en indiquant la banque où serait déposé le pactole dérobé au contribuable sénégalais. 

 

La même presse qui réclame des preuves au Député Matar Diop et à l’ancien journaliste Cheikh Yérim Seck devrait avoir la même attitude de rigueur avec Monsieur Sonko sur ses accusations contre Messieurs Mamour Diallo et Mame Mbaye Niang. 

 

Pour contrecarrer les informations sordides sur Sonko et orienter l’opinion publique dans « la bonne direction », une certaine presse allume des contre-feux en demandant des preuves.

 

Depuis la publication d’un article sur l’omerta de la presse au sujet de la déclaration d’un député sur le financement étranger en faveur de Monsieur Sonko, l’heure est désormais, contrairement à ses habitudes, pour une certaine presse, à l’exigence de preuves.

 

Depuis la sortie de Monsieur Madiambal Diagne, des médias, journalistes et chroniqueurs à la solde de Monsieur Sonko font feu de tout bois. Les plateaux télés se transforment en tribunaux médiatiques pour condamner voire injurier un confrère dont le seul tort est de réclamer plus de rigueur dans le traitement de l’information. 

 

Ainsi a-t-on pu aussi voir certains membres de la pseudo société civile rentière de tensions vociférer et spéculer sur les mobiles des révélations et l’absence de preuves sans jamais demander que toute la lumière soit faite sur ces graves accusations. Pourtant cette société civile parle de transparence, de lutte contre la corruption et de bonne gestion à longueur de séminaires, de tweets et de tribunes.

 

Vive la République !

 

Vive le Sénégal !

 

Moustapha Diakhaté

 

 

La demi-finale de la Zone 14 de Mbao opposant les ASC Deggo et Dal jamm a vécu ce vendredi 8 décembre  en apothéose au stade de Grand Mbao. L’édition 2023 parrainée par le Secrétaire Général de la LONASE Mr Mamadou GUEYE a été une grande selon le Mr Ibrahima Fall reporter et MC qui a assuré l'événement en travail de maitre. L’officiel, s’est engagé à accompagner davantage la zone pour l’organisation de chaque année cette fête de la jeunesse de Mbao.

Il a accepté volontiers cette main tendue du Président de la zone 14 de Mbao Mr Ibrahima Daniakho à la promotion du sport dans la zone  : "cette activité entre en droite ligne avec les orientations du gouvernement. d’accompagner la relance du sport."

Apres l'hymne national du Sénégal et la présentation des équipes au parrain du jour le match démarre sous les regards d'un public très motivé et enthousiaste. L'asc  Deggo tout de vert et blanc vêtue et Dal jamm de couleurs jaune et noire se sont séparées à la mi-temps par un score vierge.

C'est en 2e mi-temps que l'Asc Dal Jam a ouvert le score ce qui termine le match au score étriqué d'un but à zéro.

 

 

Meissa THIAM

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous avons constaté pour le regretter l’acharnement de YERIM contre le président Mame boye DIAO depuis La déclaration de candidature de ce dernier pour l’élection présidentielle de 2024 

Yerim SECK, réputé d’être un mercenaire de plume et de micro au service des hommes politiques depuis toujours de JEUNE AFRIQUE à YERIMPOST en passant dans tous les coins scabreux pour servir ses intérêts inavoués, a pris Mame boye comme cible pour le disqualifier et nuire ses chances au niveau des élections de 2024 tout en voulant mettre ce dernier dans la case des traitres. 

L’ancien journaliste de JEUNE AFRIQUE refuse de voir la montée en puissance de l’inspecteur des impôts et domaines qui sont en train de faire un travail immense dans le landerneau politique en se positionnant comme le candidat de la jeunesse. Connaissant sa pertinence, il cherche à mettre en mal le président MBD avec l’opinion sénégalaise et l’électeur sénégalais

Parmi les dissidents sortant sur les flancs de BBY, seul MBD est attaqué par YERIM pour des raisons subjectives, il a mis DIAO sur la liste de ses ennemis politiques à l’instar de IDRISSA SECK ET Ousmane SONKO

Compte tenu de la forte affluence des jeunes du Sénégal au projet de la coalition DIAO et des sondages consultés donnant le candidat DIAO en bonne position, l’ancien journaliste de DAKAR ACTU cherche à abattre par tous les moyens le futur président de la REPUBLIQUE.

L’amitié assumée de MBD avec SONKO constitue un danger pour le BBY à telle enseigne que YERIM cherche à semer le doute à chaque occasion sachant dans les moindres mesures que SONKO pourrait coaliser avec MBD ou verser son électorat au maire de KOLDA, il joue le rôle du diable pour manipuler l’opinion sur la sincérité de MBD lors de son compagnonnage avec le président SALL. Heureusement, les sénégalais ont compris la vraie nature de ce journaliste partisan. 

La réalité du terrain montre que la COALITION DIAO 2024 dérange les sondages de BENNO par rapport à sa supposée victoire au premier tour en 2024.  La visibilité de MBD dans les médias et sur le terrain surtout sa pertinence dans la démarche inquiète le candidat de BENNO. Son livre (LE SENEGAL QUI VIENT) retraçant sa vision du Sénégal et son ambition pour le devenir du pays intéresse les intellectuels du pays et pose un débat public. 

La démarche de YERIM dans les plateaux cache sa jalousie et sa frustration au niveau de l’homme fort de KOLDA. MBD l’a devancé partout au moment où il car toucha à SANAR. Le président DIAO réussit avec brio et sans difficulté. Sa mission commandée n’enlèvera en rien la montée en puissance de la coalition qui enregistre tous les jours des adhérents partout au Sénégal. 

La coalition DIAO ne négocie pas avec des comploteurs journalistes et des mercenaires de MICRO. 

NASIRE NDOME 

Membre de la COALITION DIAO2024, le Sénégal en mouvement

 

La capitale togolaise a accueilli la 3e édition de l’Africa Financial Industry Summit (AFIS) les 15 et 16 novembre 2023, rassemblant près de 1000 participants de 55 pays africains. Sous le thème « Construire une industrie financière africaine de classe mondiale : une opportunité à 1 500 milliards de dollars », Huawei, en tant que partenaire principal, a souligné son engagement en faveur de la transformation numérique pour renforcer l’inclusion financière sur le continent.

 

Les représentants de Huawei, dont Jean SUN, El Mehdi EL JAIR et Christophe GRENIER, ont partagé leurs perspectives sur les opportunités des technologies numériques pour stimuler un écosystème financier agile, avec un focus sur Mobile Money et Open Finance. Huawei a également organisé un sideevent sur « Accélérer la finance intelligente en Afrique – Créer de la valeur, ensemble ».

El Mehdi EL JAIR a souligné le rôle majeur de l’Afrique dans la finance numérique, mettant en avant ses 2500 acteurs de FinTech. Stéphane KOUAME a évoqué les bénéfices des innovations technologiques de Huawei, tandis que Christophe GRENIER a souligné les défis de la digitalisation, notamment les cyberattaques. Huawei se positionne comme un acteur clé, visant à contribuer à la sécurité et à la fiabilité du secteur financier africain. 

 

Gwendoline ABUNAW d’Ecobank a souligné l’importance des télécommunications en tant que partenaires pour accélérer le progrès, et Huawei réaffirme son rôle de partenaire stratégique, concentré sur le développement d’infrastructures innovantes et l’accompagnement de l’Afrique vers une stabilité financière cruciale pour son intégration durable dans l’économie mondiale.

 

Pour sa première sortie en France, Amadou Ba a tenu un discours rassembleur et inclusif à ses compatriotes. Conscient que les sénégalais constituent une seule et même famille et ceci en dehors de leur appartenance politique ou religieuse, il en a appelé à promouvoir la sénégalité d’abord avant toute autre considération, que ça des compatriotes membres de l’APR, de l’opposition ou de la société civile. Donc Amadou Ba est venu tendre une oreille attentive à l’ensemble de ses compatriotes pendant trois à quatre jours pour échanger avec eux sur leur devenir et sur celui du Sénégal. Il a profité de cette occasion pour se féliciter des acquis engrangés par le Président Macky Sall, tant sur le plan des infrastructures que sur les plans économiques et démocratiques.

 

Après sa séance de travail ave les autorités françaises, le PM Amadou a fait face à ses compatriotes de France pour, dit-il, échanger avec l’ensemble de ses compatriotes établis en France, et ceci, sans distinction de parti, de race, ou de sexe. « Je suis là en tant que Premier Ministre  d’abord, donc je suis censé représenter tous les sénégalais avec qui je dois apporter des solutions à vos nombreuses préoccupations. Cette démarche est inclusive et n’exclut personne ». ll était accompagné de Mamadou Moustapha Bâ, ministre sénégalais des finances et du budget de celui des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Mansour FAYE et de celui de l’Économie, du Plan et de la Coopération, Doudou Ka, entre autres personnalités sénégalaises.

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