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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Le couronnement du DG Cheikh Oumar TALL, un entrepreneur résilient, endurant et véritable self made man, n’est en rien une surprise. Ceux qui le connaissent ou l’ont côtoyé savent que le désormais lauréat, du prix ‘’Meilleure Entreprise’’ de Malaw d’Or 2024, se verra octroyer d’autres distinctions.

Le samedi 2 février 2024, s’est tenue à Thies, la 11ème édition du prix Malaw d'or, cérémonie organisée par l'Unacois. Pour cette année, le Groupe Kima Afrique s’est brillamment distingué. Créée en 2001 sous la forme d’une entreprise individuelle, Kima Afrique est devenue aujourd'hui le Groupe Kima, une structure qui joue un rôle prépondérant dans le milieu du BTP et du Génie Civil au Sénégal et à l’international.

Dirigée par M. Cheikh Oumar TALL, ce dernier a su gérer, de main de maître, cette société, malgré certaines turbulences rencontrées à mi-parcours. Le prix Malaw d'Or 2024 qui lui est décerné vient juste à son heure, dans la mesure où, en plus d'être entrepreneur chevronné, Mr TALL a permis à beaucoup de jeunes sénégalais de bâtir leur propre structure ; ce qui prouve son ouverture d'esprit et son sens élevé de la vision entrepreneuriale.

C'est pourquoi il faut bien encourager les initiatives du genre Malaw d'Or, car, ça permet de dénicher des expertises nationales, avec un fort impact dans l'économie du pays. Cette année, l'édition a été très spéciale, car son Excellence Monsieur le Président Macky Sall, s'est vu décerné le prix Lat DIOR d'Or, de par la réalisation de beaucoup de projets liés au programme du Plan Sénégal émergent (PSE).

Après les remises des distinctions, le clou de la soirée a été effectué à travers une prestation de l’artiste de renommée internationale Viviane Chidid, et son groupe le Djolof Band.

 

MEISSA THIAM

 

Le Président Macky SALL s’est adressé à la nation sénégalaise à seulement quelques heures du début de la campagne électorale de la présidentielle qui avait été fixée au 25 février 2024. Dans son discours tenu ce samedi, le chef de l’Etat a d'abord manifesté son attachement aux fondamentaux de la République, ce qui fera dire au responsable politique de l'APR Ziguinchor, Docteur Ibrahima Mendy que le chef de l'état, qui s'est aussi prononcé sur ce conflit ouvert sur un fond supposé de corruption de juges constitutionnels, a simplement estimé que la lumière doit être faite sur cette situation grave et confuse.

 

A cela, soutient toujours Dr Ibrahima Mendy, ''le cas d’une candidate qui a une double nationalité est venue perturbé et chamboulé tout le processus et doit aussi être élucidé''. ''Tout ceci constitue une violation de la Constitution et ainsi, les germes d’un contentieux pré et post électoral.'' argumente le Directeur de la DAPSA. Dr Ibrahima Mendy qui se félicite de la décision du chef de l'état qui, en sa qualité de Président et garant des institutions, ne pouvais intervenir selon lui entre les institutions par respect au principe de séparation des pouvoirs. ''Il a pris acte de la saisine du parti démocratique sénégalais, et en conséquence, compte tenu de la délibération en cours, a signé le décret abrogeant le décret portant convocation du corps électoral et invite l’Assemblée nationale à poursuivre son travail'' dit-il avant de se réjouir de l'annonce faite sur la tenue d'un dialogue national pour davantage réconcilier les Sénégalais.

 

''Macky Sall a une nouvelle fois, fait preuve de grandeur en réaffirmant son engagement a ne pas se présenter à la prochaine présidentielle, c'est qui est la manifestation d'une posture rassurante'' a insisté le responsable politique qui appelle les Sénégalais a faire preuve de patriotisme et de compréhension devant cette situation particulière, cet épisode particulier de la vie de notre démocratie'' souligne-t-il pour conclure

 

 

 

Toutes les attentions étaient rivées sur le Sénégal à l'annonce de la déclaration du chef de l'État sur la situation politique nationale. Mais au finish, le président Macky Sall a pris la ferme décision historique d'annuler la tenue de l'élection présidentielle, avec beaucoup d'adresse et de maîtrise de la chose juridique. Ce qui fait jubiler le leader de la coalition Manko Wattu Senegal (MWS).

 

Pour Ousmane Faye, '' c'est juste que nous tenons à adresser nos vives félicitations au président Macky Sall qui a pris toute la grandeur qui sied pour prendre cette mesure forte et courageuse d'abroger le décret convoquant le corps électoral pour le 25 février 2024. Mais du coup, il y a lieu d'interpeller tous les acteurs politiques face au manque de professionnalisme avéré dont ils ont fait montre et la cacophonie qui a entouré le processus électoral. Ils doivent impérativement changer de comportement.et éviter que pareille situation ne se reproduise, car tout est de leur faute''.

 

Mais, le patron de la coalition MWS se veut clair. ''La politique n'est pas aussi laxiste qu'une certaine classe politique veut nous le faire croire. Et que tout le monde ne peut pas se lever un beau jour et vouloir être président de la république. Il faut qu'on s'arrête un peu et se dire les vérités. Conséquence, aujourd'hui les acteurs politiques sont les seuls responsables de cette situation délétère que nous vivons. Donc nous les invitons à plus de sérénité et de lucidité à répondre à l'appel au dialogue du président pour des élections libres, démocratiques, transparentes et inclusives.''.

 

En tout cas, selon Ousmane Faye, ''la coalition Manko Wattu Sénégal se félicite de la noble décision du président de la république, garant de la bonne marche des institutions qui, face à la situation politique trouble qu'on a vécue, a fait preuve de fermeté et de rigueur qui lui ont valu de bien tenir la barque. Par conséquent, nous devons encore une fois nous réjouir d'avoir un vrai chef d'État qui place le Sénégal au-dessus de toutes les contingences. Pour quelqu'un qui avait déjà fini de faire ses adieux à la fin de son mandat, nous sommes heureux que sa bonne conscience de républicain et de chef dévoué pour la cause nationale l'aient forcé à ne pas laisser le bateau tanguer''.

 

AND JEF PADS AUTHENTIQUE est résolument opposé au report de l'élection présidentielle du 25février 2024. 

Pour notre parti en effet, l’élection présidentielle est comprise comme un moment décisif dans la vie de notre pays. C’est aussi un levier essentiel pour faire vivre la République et la démocratie. Par ailleurs, pour AND JEF PADS AUTHENTIQUE, le Sénégal n'est ni en situation de guerre, de crise ou dans une instabilité gouvernementale. Le pluralisme politique est garanti, l'Assemblée nationale est bien en place et les groupes parlementaires fonctionnent.

 

 En outre il n’y ni menace d’insurrection ni de coup de force. Le pouvoir politique en place est loin d'être déliquescent.

Mieux, notre pays continue d'être considéré par tous les observateurs avertis comme une démocratie majeure.

ANDJEF PADS AUTHENTIQUE considère que l'élection présidentielle a déjà commencé avec l’investiture des candidats par les partis et coalitions, l'examen et la publication des résultats des parrainages ainsi que de la liste des candidats habilités à  se présenter à  cette importante consultation populaire. 

 

Dès lors, AND JEF PADS AUTHENTIQUE prend position invariablement pour le respect du calendrier républicain, l'organisation d'une élection libre, transparente et apaisée et formule le souhait  d'une belle et éclatante victoire dès  le premier tour de M. Amadou  Ba, seul et unique candidat de la Coalition BENNO BOKK YAAKAAR.

 

 

La réaction du Président de l'Association des Maures de KEBEMER par ailleurs vice-président de la Fédération des Maures du Sénégal ne s’est pas fait attendre après la sortie du leader du parti Fulla ak Fayda Mamadou Guissé qui a traité Bougane Gueye de « simple maure  » ou "nar" khartani  .

Le Président résident Mawloud Dieng lui rappelle que les maures sont des sénégalais à part entière comme il y a des sérères sénégalais et des Wolofs mauritaniens et qu’ils sont fiers de participer à l’œuvre de construction nationale du Sénégal.  » Leur communauté n’a rien à voir avec vos querelles politiciennes. Dans sa déclaration il dit qu’il ne soutient pas Bougane Dany Gueye et qu’il parle en sa qualité de président de l’association des maures du Sénégal. Devant les journalistes, il lui rappelle le rôle historique de sa communauté dans l’islamisation au Sénégal et que les siens ont contribués à l’éclosion de l’homo-sénégalaises et se sont brassés avec toutes les ethnies du pays.

Concernant la saisie de la justice, tout dépendra de la réaction de l’auteur de ces propos qui n’ont pas de sens dans une démocratie.  

À cet effet, les Maures exigent des excuses publiques de la part de Mr Guissé. 

 

En direction de la présidentielle 2024, le président Mawloud Dieng lance un appel à tous les sénégalais en général et aux Maures en particulier à la sérénité et des élections apaisées pour s’attaquer aux urgences de l’heure c'est-à dire développer notre beau pays qui dispose assez de ressources naturelles.

Mamadou TOURE

C’est a Rome en Italie que le Président Macky SALL a participé aujourd'hui aux travaux du Sommet Afrique-Italie, qui porte sur la thématique de la coopération, du développement et des infrastructures.

 

Dans son discours, le Chef de l’Etat a salué la décision italienne de faire de l'Afrique une des priorités de sa Présidence du G7, avec le Plan Mattei. Le Président Sall a souligné la nécessité urgente d'instaurer un nouvel état d'esprit dans la coopération avec l'Afrique, en passant de la logique de l'aide à celle de l'investissement et du partenariat. 

 

Revenant sur le partenariat et l’investissement en Afrique, le Président de la République a mis en avant la nécessité de lever les obstacles qui entravent la coopération et le partenariat sur le continent , en reconsidérant les critères de notation des Agences d'évaluation, en assouplissant les règles de l'OCDE pour les prêts crédits export, en promouvant davantage les financements mixtes et en réformant les procédures. 

 

Le Chef de l’Etat a conclu son discours en soulignant l'importance de travailler ensemble pour répondre aux besoins multiples et urgents de l'Afrique, en respectant la diligence, la transparence et les autres normes qui encadrent la coopération pour le développement.

 

 

Analyser de manière approfondie le secteur du transport au Sénégal, couvrant les aspects terrestres, ferroviaires, aériens et maritimes, tel est l’objectif défini lors de la 2ème conférence annuelle initiée par le Project Management Institute (PMI). Dans le souci de diversifier l’offre de ses thématiques, cette institution opère véritablement dans le développement et fait intervenir des personnes-clés dans ses conférences.

 

Placé sous le thème «le transport multimodal au Sénégal: intégration et perspectives pour un développement durable», l'événement ne pouvait pas ne pas faire venir le Ministre Directeur général de la Senter, Abdou Ndéné Sall, tout comme des invités chevronnés. Dans son intervention, Abdou Ndéné Sall a fait savoir que «les autoroutes à péage, l'aéroport international Blaise Diagne, le train express régional et le Bus Rapid Transit (BRT) sont quelques-uns des projets majeurs ayant transformé le paysage des transports au Sénégal».

 

En tant qu’invité d'honneur pour cette deuxième conférence, il a salué l'importance de la rencontre avant de se réjouir des échanges d'expériences entre les gestionnaires de projet. Ce qui, selon lui, est essentiel pour identifier les meilleures opportunités sur la chaîne de valeur et résoudre les difficultés inhérentes aux projets d'infrastructure en Afrique.

 

 D’ailleurs, dans ses observations, le ministre a mis en avant l'importance des investissements à long terme, soulignant que les projets d'infrastructure sont des legs pour les générations futures. Il a également souligné l'impact positif des projets de transport de masse, tels que le BRT, sur la mobilité entre Dakar et sa banlieue, contribuant ainsi à l'amélioration de la vie des Sénégalais. La conférence a donc constitué un moment clé pour la collaboration et l'échange d'idées, visant à renforcer la gestion des projets, à trouver des solutions aux défis actuels et à œuvrer ensemble pour le développement durable du Sénégal. .

 

Il faut rappeler que cette activité du PMI a réuni des centaines de professionnels de la gestion de projet. Oumar Diop, président du Project Management Institute, chapitre Sénégal, est revenu sur l'importance cruciale de la conférence en déclarant qu’aujourd'hui, «l'ensemble de la communauté de gestionnaires de projets au Sénégal discute du transport multimodal au Sénégal, de ses enjeux et de ses perspectives. C'est une conférence annuelle extrêmement importante pour la communauté des gestionnaires de projet».

 

Le Ministre des Finances et du Budget M. Mamadou Moustapha Ba a invité les agents du Trésor, à davantage veiller au maintien des acquis durement obtenus par leurs devanciers, faisant la  prestigieuse réputation de ce corps de l’Administration publique.

S'adressant à eux, il leur a dit : " Vous avez le devoir de maintenir ces acquis durement obtenus et qui font la prestigieuse réputation du corps des inspecteurs du Trésor. A cette fin, aucun sacrifice ne sera de trop." 

Avant de poursuivre : "Votre mission requiert nécessairement la correcte prise en charge des besoins de nos concitoyens, ces usagers devenus, et à juste titre, de plus en plus exigeants, et ainsi apporter les réponses appropriées aux différents défis de notre époque." 

C'était à l'occasion du week-end d'intégration organisé par l'Amicale des Inspecteurs du Trésor du Sénégal sur le thème : 

"Quelle retraite pour l’agent du Trésor ? Etat des lieux et perspectives d’amélioration."

C'était en présence du Secrétaire général du Ministère des Finances et du Budget, M. Abdoulaye Samb, du Directeur général de la comptabilité publique et du Trésor,  M.Cheikh Tidiane Diop et de nombreux responsables et agents du Trésor. 

 Le prétexte de la célébration de ses étudiants gradués a été pour le directeur de l’Institut Supérieur Equipement Santé de revenir sur la mesure prise par le président de la République de procéder à des audits dans ce secteur très couru. Pour Souleymane Aliou Diallo, «nous devons nous réjouir d’une telle mesure parce que «ce n'est qui veut qui doit enseigner, surtout en matière de santé». Voici en extenso sa déclaration en marge de la cérémonie de graduation des sortants de son école.

«Nous célébrons la graduation des 3èmes  et 4èmes  promotions d'étudiants infirmiers et infirmières, sages-femmes et assistants infirmiers. C'est une fête qui sanctionne la fin de formation de trois bonnes années d’études de jeunes africains, en général, et sénégalais, en particulier. Ils sont 80 étudiants et 5 nationalités de la sous-région ouest africaine, et c’est avec une participation inclusive et ouverte au continent que nous avions mis en place cet institut. Vous savez, l'enseignement supérieur au Sénégal est très prisé, c'est même une attraction. Sauf qu'avec les mesures prises par le gouvernement dans ce secteur complexe, il convient de se déterminer pour leur application. Il faut savoir qu'est-ce qu'il y a lieu de faire pour un état des lieux correct dans ce milieu concurrentiel.

 «Ce n'est qui veut qui doit enseigner, surtout en matière de santé''. Nous pensons que l'audit recommandé par le président de la république vient à son heure. C'est aux établissements de santé de s'adapter par rapport aux normes édictées par les autorités de l'ANAQSUP (autorité nationale d'assurance qualité sur l'enseignement supérieur) pour être dans les normes standards universelles. Pour avoir un agrément au Sénégal, c'est tout un processus. C'est cette difficulté la qui fait que certains établissements sont dans l'irrégularité. Ce n'est pas donné, ce n'est pas d'un simple claquement de doigts. Les choses sont très bien régulées, de sorte qu’on doit respecter le règlement mis en place par l'autorité. Par rapport aux sortants, il faut dire que la demande est encore forte en termes de besoins de santé. Ils sont aussitôt opérationnels et c'est un secteur qui n'éprouve pas de manque de d'infirmiers ou de sages-femmes. Ce secteur est très difficile et complexe, il faut beaucoup d'attention et de considération pour accompagner les apprenants».

 

C'est une cérémonie pleine d'émotions qui a été organisée, ce samedi, pour dire au-revoir au directeur sortant de l'hôpital CHU de Fann. Pr Cheikh Tacko Diop a eu droit à une reconnaissance de ses collègues pour assistance et services rendus au personnel et à la structure hospitalière. Un au-revoir symbolisé par des cadeaux pleins la vue pour celui qui devra désormais diriger l'Hôpital général Grand Yoff Idrissa Pouye.

 

Le communiqué du Conseil des Ministres qui  a révélé l'affectation du Pr Cheikh Tacko Diop, remplacé à la tête du CHU de Fann par Mme Khadidiatou Sarr Kebe, aurait suscité moult commentaires auprès du personnel de l'hôpital. Mais la vie à la tête des institutions étant ainsi faite, des départs et des arrivées rythment la vie des institutions. Et c’est en toute modestie que le Pr Diop a déclaré, en marge de la cérémonie de pot d'honneur: «Je pense avoir seulement fait quelques petits résultats, c'est plutôt le travail en équipe qui a été le plus déterminant. En effet, il s'agissait pour moi de dispatcher le travail et de le contrôler. Que ce soit le personnel médical ou paramédical, ou même le personnel administratif, ils se sont tous dressés comme un seul homme pour que, de manière qualitative, la gouvernance et la gestion des ressources humaines soit parfaite». 

 

Le Pr Cheikh Tacko Diop, qui vient de faire un passage réussi au Cames, soutient dans le même sillage: «Mme Khadidiatou Sarr Kebe, qui prend les rênes du CHU de Fann, va devoir poursuivre, le temps de se consacrer aux nouveaux défis à Idrissa Pouye où il y a des choses à faire». Se prononçant sur la difficile période de COVID, le tout nouveau patron de l'hôpital de Grand Yoff se rappelle: «la période de la pandémie a été extrêmement difficile, surtout pendant la deuxième vague où on a connu des décès à un nombre extrêmement important. On avait fait face à un nombre insuffisant de lits pour un nombre de malades beaucoup plus supérieurs que la capacité. Une période assez difficile donc et on s'était tous investi pour prendre en charge cette pathologie qui finalement a du reculer. Mais on a eu l'appui du ministère de la santé, car, durant cette période, aucune structure n'a reçu autant d'équipements que Fann.

 

Cela a permis d'investir sur des services comme celui des maladies infectieuses, comme le service de neurologie qui va être inauguré d'ici quelques jours par celle qui nous a succédé. D'autres structures ont aussi été réhabilitées et améliorées, notamment le centre des épidémies dont Fann a bénéficié pendant cette épidémie. Donc ça a été hyper dur pour la structure, pour les populations et en termes de recettes, il y a eu une perte drastique de recettes mais le manque à gagner a été complété par les autorités de ce pays. Même si certains  ne cessent de faire allusion aux 1000 milliards dépensés par l'état pour faire face, de manière multiforme, à cette pandémie, le Pr Diop tempère. «Des gens ont beaucoup épilogué sur ce montant, mais pour ce que j'en sais, la gestion était très correcte pour avoir permis de prendre en charge les patients. Le plus important était de se dresser comme un seul homme pour faire face à la pandémie. Je m'en vais à un terrain totalement inconnu mais un hôpital reste un hôpital, c'est les mêmes personnes, les mêmes difficultés, les mêmes défis qu'il convient de relever. Quelqu'un a fait pas mal de résultats, mais quelqu'un d'autre devra continuer, comme ça a été le cas ici à Fann. Mais il faut retenir qu'à l’hôpital Idrissa Pouye, c'est une autre forme de défi qu'il faut relever, mais aussi de motivations, car, quand on fait 12 ans dans une structure de santé, c'est déjà quelque chose d’acquis».

 

 

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