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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

La sortie d’Idrissa Seck Président du Conseil Economique Social et Environnemental qui déclare sa candidature pour les  élections présidentielles du 2024, n’est pas du goût des membres du Conseil Economique Social et Environnemental. Ces derniers réclament son départ à la tête de cette structure. Le président de la république est interpellée sur cette question. Une conférence de presse a été tenue à cet effet au niveau de la permanence nationale de l’Alliance Pour le République par ces ténors pour se prononcer sur ce sujet qui domine l’actualité,  ces derniers temps dans notre pays. Il faut signaler qu’Idrissa Seck qui est jusque-là président du CESE avait rejoint la coalition de Benno Bok Yakaar, avant d’être nommé par le président de la république en remplacement de  Madame Mimi Touré.

Ce sont les  membres du Conseil Economique Social et Environnemental. Selon eux, « il est aujourd’hui question de se rencontrer en tant que responsables politiques pour partager sur la situation de la coalition de BBK. Il suffit d’apporter une réponse à la sortie politique de notre président. Idrissa Seck devrait prendre le temps de réfléchir un peu. Sa sortie était malheureuse pour lui. Il devrait avoir la hauteur en démissionnant  de la coalition de Benno Bok Yakaar de même qu’au niveau du CESE. Le président de la république lui a tout donné. Il est habitué des faits. Son jeu favori ne marchera pas avec nous », expliquent les membres du CESE. Et parmi eux, il y a madame Dabel Ban Sohna Astou Walo, Abdou Aziz Ndiaye  entre autres. Ils ont tous pris la parole à tour de rôle. D’après Abdou Aziz Ndiaye, « Prendre cette décision politique pour pouvoir se présenter en tant que membre de la coalition de Benno Bok Yakaar, montre qu’Idrissa Seck n’est pas sincère dans son compagnonnage avec Macky Sall. Il est temps de le recadrer et son rôle devrait être de servir le Conseil Economique  et non de se servir la structure. Et les membres du CESE de déclarer que : «  Idy avait dit qu’il ne va pas siéger à cause de sa maladie car il doit aller se soigner pour honorer on rendez-vous médical.  C'est parce qu’il exprime sa volonté de trahir Macky Sall pour porter sa candidature. Il ne lorgne que le poste du Président de la République. A-t-elle dit, il doit donc démissionner. Le leader du Parti Rewmi est loin d’être d’une personne de référence dans un état comme le Sénégal. Il doit être cohérence dans ses démarches. Malheureusement, c'est tout ce travail qu'il est en train de faire ».  Des déclarations qui ont été tenues par les membres du CESE pour recadrer Idrissa SECK qui avait fait une sortie pour déclarer sa candidature alors qu’il reste de nos jours membres de la coalition de BBY.

Modou Touré

Une bonne partie de la population de ndiormi sera désormais fourni en eau potable, grâce à la réalisation d’un deuxième forage flambant neuf pour les habitants du quartier. La cérémonie d’inauguration s’est tenue sous la présidence de madame la 4ème adjointe au maire Madioula Diawara, qui a représenté le maire Ousmane Sylla empêché et en présence du bureau municipal, du délégué de quartier, les groupements de femmes et notables du quartier Madame coumba bindia, porte parole des femmes dudit quartier a remercié le maire Ousmane Sylla pour avoir achevé les travaux de ce joyau entamé par son prédécesseur Mamadou Cisse. Elle a témoigné la considération du maire envers les habitants du quartier. Ainsi elle demande à présent au maire et à l’équipe municipale à redoubler d’efforts pour équiper la mosquée avec des ventilateurs, des nattes ect… elle a ainsi plaidé pour le désenclavement du quartier, en rehabilitant les routes et la fourniture d’éclairage public. Quant à la 4ème adjointe au maire Madioula Diawara, elle a salué les efforts du maire Sylla et de toute l’équipe municipale. Elle a fait un petit rappel des réalisations du premier magistrat de la ville depuis son accession à la tête de la commune. Elle a ainsi exhorté les habitants du quartier à mettre en place un comité de gestion qui se chargera de la gestion de l’outil et de son entretien au bénéfice des habitants du quartier.

L'hôtel King Fahd Palace de Dakar a abrité ce samedi 15 avril 2023, la 2ème édition de la conférence religieuse des Femmes Leaders Modernes, avec comme thème : « Rôle et responsabilité de la femme leader moderne face aux crises sociales et la perte des valeurs ».

 Organisé, en plein mois béni du Ramadan, le thème de cette 2ème édition, coïncide avec les remous de l'actualité politico-sociale, que traverse le Sénégal à quelques encablures des élections Présidentielles de 2024. C'est pourquoi à travers plusieurs activités, et plus particulièrement cette conférence animée par un éminent érudit, les Femmes Leaders Modernes veulent pleinement jouer un rôle par rapport à la paix sociale. 

 « C'est le contexte qui nous impose cette thématique. Nous avons perdu nos valeurs, que nous avaient enseigné nos ancêtres », s'indigne Madame MBACKÉ Mariame SYLLA, Présidente de ladite association, qui poursuit : « Et aujourd'hui, vous voyez ce qui se passe dans ce pays ? Ce sont des insultes, qu'on entend partout et à longueur de journée. Dans les réseaux sociaux, les télévisions, un peu partout et même dans le système éducatif ».

 Toujours, selon la Présidente du mouvement des femmes leaders, ce thème a été choisi pour faire revaloriser les valeurs enseignées par les ancêtres. 

 LA FEMME PRIMORDIALE POUR UNE PAIX DURABLE AU SÉNÉGAL 

 « La femme est l'épouse, la mère et la sœur, donc elle est un peu partout et je pense que si nous Femmes sont debout aujourd'hui. C'est vraiment pour dire à la société que nous déplorons ce qui se passe dans ce pays » dixit Madame la Présidente en présence de toutes les membres, avant de marteler : « Et parce que ça inculque aussi l'éducation de nos enfants qui seront l'avenir de demain. Et s'ils perdent les valeurs, malheureusement le Sénégal de demain sera en instabilité ».

 Il faut rappeler par ailleurs, que l'association des Femmes Leaders Modernes qui compte plusieurs femmes évoluant dans divers secteurs et activités, a été créé dans les fonds baptismaux, pour mettre en évidence, le rôle, le potentiel et la valeur ajoutée d'une femme dans notre société :

 « Jadis, les femmes étaient au foyer s'occupant de la maison et des tâches quotidiennes. Aujourd'hui, nous sommes debout, nous sommes professionnelles, commerçantes, nous sommes dans différents métiers et c'est pour accompagner et appuyer nos maris, nos frères à la maison » rappelle madame Mbacké 

 

SN/YD/SHN

 

130 laboratoires des universités publiques et centres de recherche vont bénéficier de matériels neufs d’une valeur de 52 milliards.

Le Chef de l’Etat a présidé la cérémonie de réception en présence des autorités académiques qui attendaient impatiemment le renouvellement des matériels scientifiques.

Différentes filières comme l’informatique, l’électricité, la biotechnologie, la biologie, la chimie, la physique, la mécanique, le génie civil, la médecine, l’agriculture et l’agroalimentaire et les sports, entre autres sont servies par le programme.

 Dans son allocution, le Président Macky Sall a souligné l’importance des sciences, de la Recherche et de l’Innovation dans le processus d’émergence du Sénégal.

Auparavant, le recteur de l’UCAD, Pr Ahmadou Aly Mbaye a salué les efforts de l’Etat pour le monde universitaire avec l’élargissement de la carte et le relèvement des prestations salariales des différentes catégories de personnel.

 Mame Coumba Kébé des classes préparatoires aux grandes écoles a parlé au nom des étudiants pour remercier le Chef de l’Etat.

#kebetu #senegal #innovation

La journée du 07 avril, déclarée journée mondiale de la santé est un prétexte pour le Syndicat Unique des Travailleurs de la Santé et de l'Action Sociale (SUTSAS) de rappeler le sens de son éternel combat pour un système de santé et d'action sociale cohérent, performant,résilient, motivant et mobilisateur depuis le début de la lutte en 1981,veille de l'obtention de son récépissé en 1982 avec évidemment des fortunes diverses dans son bilan quarantenaire.

En célébrant cette mémorable journée, n'est-il pas besoin de rappeler, entre autres évolutions institutionnelles, la réforme hospitalière, la couverture médicale universelle, le remembrement de l'Action sociale,la loi d'orientation sociale, l'érection de la Direction des Ressources Humaines, de la Direction des infrastructures des équipements et de la maintenance, de la Direction de la santé maternelle, celle générale des Etablissements Publics de santé, des Directions régionales de la Santé et de l'Action sociale, etc...

A la lumière de ces importants acquis salutaires indispensables à l'amélioration de la santé des populations nonobstant d'innombrables manquements ou gaps,la lutte continue dans notre orientation de syndicalisme républicain autonome, indépendant et de développement, loin de tout nihilisme abject.

C'est pourquoi apprécier positivement les avancées en dents de scie des progrès réalisés dans l'augmentation de l'offre de soins, l'augmentation du budget de la santé, l'élargissement et de la carte hospitalière et les augmentations substantielles et inédites du pouvoir d'achat des travailleurs de la santé et de l'Action sociale, malgré un contexte national et international hostile, relève de l'honnêteté intellectuelle, du réalisme et de la gratitude de notre part.

Néanmoins,à l'opposé du "côté jardin", "le côté cour" présente une réforme hospitalière de 1998 insuffisamment accompagnée financièrement et matériellement à cause d'un Top management dont le casting quelconque devient de plus problématique avec des Directeurs généraux ou nationaux incapables de conduire les réformes dont ils sont les principaux obstacles par ignorance des objectifs entre autres causes.

En conséquence de quoi la loi hospitalière, rompant avec la logique administrative traditionnelle pour une performance dans les soins de qualité et dans la gestion dans une double tutelle administrative (Ministère de la Santé) et une tutelle financière (Ministère des finances), consacre un hôpital de type nouveau dénommé Etablissement Public de Santé (EPS) est encore à la croisée des chemins malgré la volonté du Chef de l'Etat. Par ailleurs, le plan national de développement sanitaire et social (PNDSS)2019-2028 et ses démembrements tels que le plan  décennal de développement des ressources humaines (PNDRH) en l'absence de la dévolution du recrutement pour10 ans, plan national de développement de la maintenance, la  perspective du financement holistique de la santé qui amoindrit le paiement direct par le patient,la verticalisation des programmes de santé et leurstélescopages dans les mêmes cibles et les acteurs au grand dam de la mutualisation des ressources, la réforme du District sanitaire, la médecine traditionnelle non encadrée pendant que 70% (en Afrique d’après l’OMS) la population l'utilise avant ou après la médecine moderne, la mise en place d’une véritable politique de prise en charge des urgences à tous les niveaux de la pyramide sanitaire constituent des sur-priorités de l’heure.

En plus, une judiciarisation qui découle d’une médicalisation outrancière du système de santé à laquelle s’ajoute l'absence totale d'un Conseil de l'ordre des Sages-femmes et des Infirmiers pour la régulation des pratiques dans des normes à l'instar de ceux des médecins, pharmaciens et chirurgiens constituent de grands chantiers inachevés gages de succès que certains hauts responsables foulent au pied pour des agendas individuels cachés. 

En souhaitant une excellente célébration de cette mémorable journée mondiale de la santé, le SUTSAS salue les efforts quoi que insuffisants du Gouvernement au regard des besoins immenses et de la modicité du budget du secteur(- de 10% du budget national) le SUTSAS et engage les camarades à plus de conscience professionnelle et de sacrifice dans notre quête quotidienne d'un système de sante performant et résilient dans la perspective d'une souverainement sanitaire. 

          

 

 (Par Me Malick Sall, ancien Garde des sceaux)

Il n’y a guère longtemps, un ami du Président m’a dit d’un ton taquin : « Dites au PR que s’il ne se présente pas, je risque d’être dans l’obligation de l’attaquer en justice pour haute trahison !!! »

Comme vous pouvez le remarquer, mon texte concerne la Prochaine Élection Présidentielle prévue le Dimanche 25 Février 2024.

Un Rendez-vous qui charrie des débats, des passions et même des tensions entre différents camps et acteurs ainsi que de la part des observateurs de tous bords.

Rien de plus normal, me diriez-vous.

Sauf que l’orientation du débat sur « une 3eme candidature » semble prendre largement le pas sur les questions de fond, liées aux enjeux stratégiques, géostratégiques, économiques, environnementaux, culturels, sociaux, etc.

À notre humble avis, ce débat n’a pas sa raison d’être ou tout au moins l’ampleur que l’on semble lui donner me paraît exagérée pour plusieurs raisons.

Dont la première renvoie à la décision du Conseil Constitutionnel qui a déjà évacué le volet juridique.

Dès lors, il ne reste au Président sortant, M. Macky Sall et à tous les nombreux candidats déjà déclarés, que l’obstacle du Parrainage et de la validation par le même organe juridictionnel, compétent en la matière.

Enfin, tout ce beau monde sera soumis à la sanction du Peuple Souverain !!!

Et toc.

Gassi.

Jeex na.

Maintenant, vouloir bâtir sa précampagne et sans doute sa propre campagne autour du TSM (TOUT SAUF MACKY), cela nous paraît incongru, inopérant, insensé, contre-productif et anti-démocratique.

Car, il n’appartient pas à un concurrent de juger de la validité ou non de son adversaire.

« Kou sa woujou seuleum do set », littéralement quiconque se fait faire la toilette par sa rivale, ne sera pas propre.

Parlant de la rivalité quasi séculaire entre les coépouses, on est en droit de se demander ce que vaut toute cette agitation inutile autour de la candidature d’un concurrent.

L’on me rétorquera, peut-être, qu’il existe des possibilités de recours sur la candidature entre les différents concurrents.

Justement, ça se fait mais au moment opportun. C’est-à-dire une fois les dépôts actés.

Et cela se fait auprès du Conseil Constitutionnel qui, après avoir jugé recevables les requêtes, statue et rend, souverainement, sa décision.

Pour notre part, notre conviction, notre volonté et notre souhait, est, reste et demeure une candidature du Président Macky Sall.

Pour préserver le jeu démocratique, la stabilité de notre pays et préserver la pérennité de l’État et de nos Institutions.

Pour parachever ses grands projets dont l’accès universel à la santé, à l’eau, à l’électricité et à l’assainissement.

Pour renforcer et réformer notre système éducatif dans ses aspects qui l’exigent.

Pour accompagner les premiers pas de la marche de notre pays vers la production pétrolière et gazière.

Pour approfondir les droits des femmes, de l’enfant, des Personnes vulnérables et des couches défavorisées par l’accompagnement, la promotion, la formation, l’autonomisation avec le renforcement de la Cmu et des Bourses familiales.

Comme indiqué dans le communiqué du dernier Conseil des Ministres du Mercredi 29 Mars dernier. Bref pour aller toujours plus loin dans l’équité et la territorialisation des politiques publiques dont la pertinence n’est plus à démontrer avec des organismes et mécanismes efficients et efficaces comme le Pudc, le Puma, Promovilles, venus renforcer l’Adm, l’Agetip et autres Pndl qui ont fait leurs preuves, en matière de politique de proximité et de haute intensité en main d’œuvre.

Avec autant d’espoir et d’espérance pour un Sénégal prometteur et meilleur, j’invite tous ceux qui se reconnaissent ou se réclament de moi à se mobiliser dans la ferveur et l’enthousiasme pour renouveler notre confiance à notre candidat pour son deuxième et dernier quinquennat.

Qui sera à coup sûr celui de la cueillette des fruits de nos efforts combinés et de la promesse des fleurs du Sénégal Émergent avec une croissance à 2 chiffres dès l’année en cours et une première position historique dans l’Économie de l’UEMOA.

À l’image du football et de ses nombreuses médailles continentales, notre leadership intellectuel et diplomatique largement reconnu à travers le monde, voici venu l’heure du Lion Économique

Vive Le Sénégal !

Vive La République !

En avant pour 2024 avec le Président Macky Sall !

Ancien Ministre de la justice

SP COS-PETROGAZ

Le ministre des Collectivités territoriales, de l’Aménagement et du Développement des Territoires a présidé la table ronde avec les partenaires techniques et financiers pour partager les orientations stratégiques et les réformes de son département dans les domaines de la gouvernance, de l’aménagement et du développement territorial.

 Ainsi, pour éviter un décalage entre les priorités définies par l’Etat du Sénégal, les politiques locales, les objectifs visés par les projets et programmes exécutés par les partenaires bilatéraux et multilatéraux ainsi que les principes retenus y afférents, il est important qu’un dialogue s’établisse entre le Ministère et ces derniers.

 Dans le cadre du PACASEN, cinq-cent-vingt-cinq (525) projets ont été financés. Le montant de l’ensemble des contrats signés par les communes pilotes est de dix-sept milliards six cent soixante-quinze millions vingt mille sept cent trente-deux (17 675 020 732) F CFA ;

Concernant l’état civil, on peut noter la validation de la Stratégie nationale de l’Etat civil (SNEC) axée principalement sur le renforcement du pilotage et de la gouvernance de l’Etat civil, la construction et la réhabilitation de centres d’état civil, l’établissement d’une situation de référence de l’état civil et d’un fichier biométrique national unique

 Pour une concrétisation de la vision fondatrice de l’Acte III de la décentralisation, il est important que la territorialisation des politiques entre dans une phase active, a déclaré le Ministre Mamadou Talla. À cet effet, il s’agirait, d’abord, selon lui, de poursuivre la mise en œuvre de la deuxième  phase de l’Acte III de la décentralisation. Il sera marquée par le renforcement des compétences transférées notamment celles à caractère économique aux collectivités territoriales, la mise en œuvre de la Stratégie nationale de l’état civil, la mise en œuvre du Pacasen rural, la poursuite de l’opérationnalisation de la Fonction publique locale, l’opérationnalisation d’un dispositif de financement efficace des collectivités territoriales et l’amélioration de la gouvernance budgétaire des collectivités territoriales.

 Selon le ministre, le démarrage du PACASEN-Rural, en 2022, avec un fonds d’amorçage de l’Etat de 20 milliards de FCFA et l’engagement de la BAD à accompagner le financement de 100 sur les 478 collectivités territoriales ciblées par le programme. Ainsi, il a invité les autres partenaires au développement à faire de même pour le financement des autres collectivités territoriales restantes.

 Pour terminer, il a remercié l’ensemble des partenaires et des acteurs de la décentralisation pour leur implication effective dans la mise en œuvre de cette politique par mon département

Abdou Aziz Ndiaye, membre du conseil économique social et environnemental reste plus que jamais déterminé et pose des actes allant dans le sens de réélire Macky Sall à la tête du Sénégal. Il a déroulé aujourd’hui plusieurs programmes pour mobiliser les troupes avant l’heure en s’activant à la promotion et à la création des secteurs dans la commune de Biscuiterie.

Abdou Aziz Ndiaye milite dans la commune de Biscuiterie. Il est l’initiateur d’un programme pour rassembler les ténors de Benno Bok Yaakaar dont il échange sur les réalisations du président de la république.  Selon lui, « la commune de biscuiterie ne sera pas en reste dans le combat. Une localité qui opte pour deux (2) millions de militants ». Il exhorte ses camarades de procéder à l’installation des comités. « Biscuiterie est un symbole pour les autres communes ». Abdou Aziz Ndiaye travaille en collaboration avec d’autres responsables politiques qui sont favorables à la mouvance présidentielle comme maître Mohamed Djibril Waar, Rama Ndiaye et entre autres. Ilr n’a pas manqué à recadrer Arona Coumba Ndoffène qui avait fait une sortie pour critiquer les réalisations du chef de l'État. Selon lui, « Arouna n’a milité dans l’Apr qu’après 2008. Le président de la république lui a tout donné. C’est un candidat malheureux lors des élections locales passées, en voulant briguer les suffrages des populations qui n’ont pas voté pour lui au niveau de sa base politique. Il n’a qu'à continuer son chemin et arrêter de ternir l’image du président de la république qui est sur la bonne voie. Tout ce que Arouna dit n‘est que du vent ». Pour rappel Arouna avait déclaré dans l’une de ses sorties que Macky Sall a vendu le pétrole du Sénégal. Des déclarations qui n’ont pas été du goût d’Abdou et ses camarades qui demandent à Arouna de taire. « Des efforts que monsieur Ndiaye et les autres membres du comité sont en train de faire sur le terrain, visent simplement à réélire Macky Sall à la tête du Sénégal », dira-t-il.

Modou Touré

Venu présider l'atelier de formation du Crajhea, (cercle de réflexion et d'animation des journalistes pour l'hygiène l'eau et l'assainissement) sur les terminologies et le cadre juridique de l'assaisonnement au Sénégal, le Directeur général de l'Office National de l'assainissement (Onas) a donné son appréciation sur les pluies tombées sur la capitale Dakar ce mardi matin. Mamadou Mamour Diallo a en effet rassuré sur la qualité des ouvrages et le travail mené par ses équipes. «Nous avons présentement un bon taux de curage des canalisations, et donc, cette première pluie peut sonner véritablement comme une alerte par rapport aux opérations pré hivernales », explique  le Dg de l'Onas.

 

Cet atelier de formation des journalistes sur des questions relatives à l’assainissement est d’une importance capitale. Du moins, selon le Préfet de Pikine qui a rehaussé de sa présence à cette activité soutenue par International Budget  Partnership (IBP), premier partenaire du Crajhea dans le projet d’assainissement total de la banlieue. «Nous ne pouvons que saluer cette initiative qui permettra aux journalistes d’appréhender les concepts pour mieux comprendre et vulgariser le cadre juridique du secteur», a salué Moustapha Ndiaye qui a réaffirmé sa disposition à collaborer avec le Crajhea dont le coordonnateur Moussa Thiam a tenu à ce qu’on vulgarise les textes juridiques afin de dissuader les auteurs des mauvais comportements.

«C’est donc un défi de préserver les ouvrages, mais aussi d’accentuer la sensibilisation, la vulgarisation et surtout le respect des textes en vigueur», indique le Dg de l’Onas. Qui a rappelé que durant l’hivernage de 2021 et de 2022, les réseaux d’évacuation des eaux pluviales avaient fait l’objet d’obstruction délibérée à Pikine, à Rufisque et à Thiès. «C’est pourquoi, cette première pluie est une alerte pour nos services. Ils sont en train de travailler sur le terrain, et heureusement que nous avons commencé très tôt les opérations pré hivernales, le curage et nous avons atteint des taux très importants. L’ONAS va poursuivre cette collaboration avec la presse et les résultats de l’atelier seront une base de travail pour nous» a-t-il ajouté. Mamadou Mamour Diallo a quand même rappelé la nécessité de préserver les ouvrages afin d’éviter les sempiternels désagréments que vivent les populations.

 

C’est sous forme de courrier adressé à M. Souleymane Ndiaye, directeur général de la Sapco, que les professionnels de l’hôtellerie et de la restauration ont fait part de leur satisfaction après les nombreux obstacles surmontés par la société. En effet, après que les travailleurs ont connu des retards prolongés de salaires, suite à un déficit énorme financier accusé par l’entreprise, Pape Berenger Ngom, le Président de APHORES (association des professionnels de l'hôtellerie et de la restauration du Sénégal) et membre du conseil national du Tourisme et ses camarades adressent leurs félicitations pour le travail exceptionnel accompli par Souleymane Ndiaye à la tête de la Sapco.

 

«Vous avez fait la preuve d'un dévouement d'un professionnalisme remarquable. Les travailleurs de cette société nationale sont restés des mois sans salaires. Ils étaient convaincus que la tâche qui vous a été assignée par le président de la République n'était pas facile, mais vous avez su faire preuve d'un leadership exceptionnel pour surmonter les obstacles et mettre la Sapco sur la bonne voie», a déclaré Pape Berenger Ngom. En tant que président de l'APHORES, il a tenu à assurer le dg de la Sapco de leur soutien total et de leur admiration pour l’excellent travail accompli.

 

«Vous êtes un exemple de persévérance et de détermination pour tous ceux qui aspirent aux postes de responsabilité dans notre pays. Je suis convaincu que si tous les Directeurs Généraux suivaient votre exemple, le tourisme au Sénégal serait en mesure de décoller depuis. Vous êtes une valeur sûre pour la Sapco et pour l'industrie du tourisme dans son ensemble», a loué Pape Ngom.

 

 

CMU
cmu