samedi 4 mai 2024 | Login
Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

Le 8 Mars, était une date pour célébrer la journée internationale de la femme. Une occasion qui a été saisie par les filles de l'ujtl pour prononcer le nom de Karim Wade à qui elles ont toutes choisies comme étant le candidat du Pds pour les élections présidentielles du 2024. La mobilisation avait été exceptionnelle, en ce jour à la permanence nationale de Mamadou Lamine Badji où tous les ténors représentatifs du Parti Démocratique Sénégalais étaient présents.

 

Pour madame Fatou Seck, " la mobilisation est synonyme de prestation de serment. Karim Wade reste le seul candidat des libéraux qui se sont tous donner la main pour travailler dans l'unité. L'ujtl ne sera pas en reste pour le travail qui a été déjà entamé". Force est de constater que cette journée du 8 Mars, avec une belle mobilisation et une ferveur, dont seul Fatou Seck et ses sœurs ont le secret, cette décision a été prise par acclamation debout. Les membres de l'ujtl de Dakar plateaux comptent investir les rues de Dakar pour réclamer le retour de Karim Wade.

 

En tant que secrétaire générale, Fatou Seck qui parle au nom de ses sœurs de DP, déclare que, ," ses paires ne restent pas insensibles au sort qui vient d’être réservé  à l’ex- Ministre sénégalais de la coopération internationale, des infrastructures, de l’aménagement du territoire et de l’énergie, M. Karim Wade. Pour protester contre, ce qu’elles appellent une forfaiture du régime du Président Macky Sall, ces filles libérales entendent battre le macadam dans les tout prochains jours", a-t-elle dit. Poursuivant ses propos F. Seck estime que, "nous allons lui apporter un soutien affectif et indéfectible.  Et nous avons la ferme conviction du triptyque Prison- Pouvoir- Président. Aujourd’hui, le régime  actuel est en panne d’idées. Depuis des années, il est dans une incapacité notoire à satisfaire les préoccupations les plus tenaces du peuple souverain", argue-t-elle.

 

La secrétaire générale de l'ujtl de Dakar plateaux n’a pas manqué le coche pour lances des missiles dans le jardin de Madame l'ancienne Ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Mimi Touré : " Nous pensons que cette affaire Karim Wade est une affaire politico- judiciaire. L'ancienne Ministre de la Justice, eu égard à ces propos, n’est qu’une politicienne en panne d'idées. Elle a du mal à se départir de son manteau de Ministre et celui de responsable de l’APR. Elle utilise, le chef de l’Etat aidant des méthodes fascistes, mobutuesques pour "casser" de l’opposant. Ils nous trouveront sur leur chemin. Les sénégalais sont témoins de l'histoire", a menacé  rageusement Madame la secrétaire générale de l'ujtl. Avant de terminer son discours de la journée du 8 Mars qui est dédiée aux femmes, Fatou Seck invite ses paires à rester debout et à travailler pour le retour de Karim Wade sans violence. Elle demande à l'assistance de formuler des prières pour Maître Abdoulaye Wade pour une longue vie et de santé. Les femmes libérales étaient venues de tous les 14 régions du Sénégal pour assister à la manifestation. Elles brandissaient des pancartes sur lesquelles on pouvait lire : " Karim Wade est le candidat du Parti Démocratique Sénégalais pour les élections présidentielles du 2024 à venir".

Sada Mbodj

 

Monsieur Mansour Faye, Ministre des Transports terrestres et du Désenclavement, et maire de la commune de Saint Louis, peut se glorifier d’un long chemin parcouru avant de devenir aujourd’hui une grande personnalité du pays. 

 

 Avant d’être homme politique, Monsieur Faye a a été un « self made man ». N’ayant jamais compté sur « un bras long », un « piston » ou un « traitement de faveur », il a réussi à se faire tout seul. Bannissant la triche, la paresse, la déloyauté, il a été le premier entrepreneur avec comme entreprise « Rouye Khalé yi ». Il s’est imposé dans l’échiquier politique dans l’humilité, l’honnêteté mais surtout dans le travail à côté du Président Macky Sall quand celui-ci était Premier ministre. Ensuite il a brigué le mandat des Saints-Louisiens deux fois de suite ; ce qui n’est pas une chose évidente d’autant plus qu’il s’agit des collectivités territoriales. Il a été délégué puis ministre. Jusqu’à nos jours, dans tous les postes de Ministres qu’il a eu à gérer, on constate d’énormes évolutions. Ce que lui a valu le renouvellement de la confiance du Président de la République. 

 

Est-ce un crime d’être le beau frère du Président ? 

Est-ce un crime d’être le frère à Marieme Faye Sall ? 

Est-ce un crime d’être tout simplement Mansour Faye, fils de Oumou Diallo ?

 

L'Amazone en chef du Président

 

 Ce changement se justifie par la claire vision du chef de l’Etat. Ce qui fait de lui incontestablement majoritaire dans le pays. Nul doute que le président macky sall incarne le nouveau type de politicien grâce à ses exploits et sa politesse qui est reconnu par tous; grâce à son esprit de dépassement et d’ouverture qui l’a permis d’accéder au pouvoir avec une coalition qui le maintient jusqu’à présent. 

 

Son excellence accord par ailleurs du respect envers ses adversaires de l’opposition car personne ne l’a jamais entendu le Président sall jeter de l’opprobre ou discréditer les membres de l’opposition. Contrairement à ces derniers qui passent leur temps à dire des ragots, des calomnies , des contre vérités à leurs adversaires.

 

C’est dans ce sens que j’appelle le peuple Sénégalais à continuer d’accompagner le président pour l’émergence de notre pays. 

Les responsables qui sont autour de lui doivent subir davantage pour ne donner aucune chance aux adversaires du président qui sont minoritaires mais qui profitent toujours des divisions au sein de notre coalition pour exister. 

L’opposition a montré ses limites à la face du monde. Ils sont incapables de diriger un pays avec des institutions fortes car passant leurs temps à les insulter. 

 

L’unité qui nous a donné des résultats forts dans le Fouta doit être un exemple de tous les responsables dans leurs fiefs. Et j’attends ceux de Dakar faire la même chose dans l’unité de tous les responsables de la capitale pour l’intérêt de notre coalition. 

 

On ne défend pas des réalisations mais plutôt défendre la candidature du président par son bilan sans précédent. Si c’est le cas la réponse est au vu et su de tout le monde. Ce que le Président macky sall a fait pour ce pays aucun de ses prédécesseurs ne l’a fait.

Aujourd’hui notre mission consiste  à expliquer aux populations l’impact de ses réalisations sur la vie quotidienne des sénégalais.

 Dans chaque maison au Sénégal le salaire du père de famille a augmenté, les denrées de premières nécessités sont baissées, la santé des membres inscrits dans la Cmu est garantie, si on est locataire le prix a payé est diminué, si on se déplace il y’a des centaines de kilomètres déjà disponibles et des ponts qui rendent fluide la circulation en toute sécurité par la présence des forces de l’ordre dans les zones stratégiques. 

Si on est agriculteur les semences et engrais ont été subventionnés, les matériels agricoles disponibles, si on est chômeur les institutions financières comme la Der, l’ Anpej sont là pour accompagner les jeune entrepreneurs a réaliser leurs projets etc…

 

Bref à partir de celles là, les sénégalais sauront que réélire le président sera un intérêt pour une continuité de l’émergence. 

 

Mamadou Ndiaye Bambey 

Président des jeunes benno bokk yakkar du département de Bambey

 

La Plateforme des Femmes Cadres de BBY et de la Majorité Présidentielle, dans ce 23ème

Communiqué hebdomadaire souhaite une bonne ziarra du Daaka de Médina Gounass aux fidèles ainsi qu’à la Communauté musulmane. Le Chef de l’Etat son Excellence le Président Macky Sall présent à l’ouverture ce samedi 04 mars 2023 a adressé ses vifs remerciements au Khalife, Thierno Amadou Tidiane BA, de son accueil chaleureux, des prières formulées avec les fidèles pour la paix, la stabilité, le progrès économique et social du Sénégal.

 

Les Femmes Cadres en l’honneur de la journée internationale de la femme rendent tout d’abord hommage à la première Dame du Sénégal, Mme Marième Faye SALL. Femme, Epouse, Mère, Sœur, Complice et Partenaire. Son humilité, sa piété, sa générosité, son empathie, sa spontanéité légendaire, son élégance, sa beauté naturelle font d’elle une référence et un modèle pour les femmes du Sénégal.

 

Ensuite, elles félicitent toutes les Femmes Ministres du gouvernement en commençant Madame Fatou Diane Gueye, Ministre de la Femme, de la Famille et de la Protection des Enfants, pour la qualité du travail abattu au sein de son Ministère en un laps de temps très court, accompagnée de ses Directrices et de l’ensemble de son équipe.

 

Un hommage particulier est rendu à Mme Aissata Tall Sall, première Femme responsable de la Diplomatie du Sénégal, Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, éminente juriste et avocate, défenderesse de la Femme.

 

Elles sont fières de la pertinence et de la rigueur scientifique de Madame Oulimata Sarr, Ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération.

 

Elles encouragent Madame Marie Khémesse Ngom Ndiaye, Ministre de la Santé et de l’Action sociale qui a su traduire en plan d’actions la vision de son Excellence.

 

Elles se réjouissent du brillant travail quotidien effectué par Madame Sophie Gladyma, Ministre du Pétrole et des Energies.

 

Elles saluent les réalisations de Madame Victorine Ndèye, ministre de la Microfinance, de l’Economie sociale et solidaire.

 

Et félicitent Madame Annette Seck Ndiaye, Ministre auprès du ministre des Affaires Etrangères et des Sénégalais de l’extérieur, chargée des Sénégalais de l’extérieur, Présidente du Conseil départemental de la Région de Sédhiou pour son action auprès de la Diaspora.

 

La Plateforme de Femmes Cadres rend hommage à toutes les Femmes du Sénégal, de la Diaspora, des villes et des campagnes Elles encouragent les femmes : agent de police, de gendarmerie, militaires ainsi que celles dans le commandement territorial, les directrices, les cadres, les employées, les commerçantes, les femmes de ménage, les femmes en activité ou non. Les épouses, les mères, les sœurs. Elles sont fières de ces femmes incroyablement courageuses, combatives, résilientes, énergiques, pleines de ressources et d’espoir, elles leur souhaitent une bonne fête de la FEMME.

 

A son Excellence le Président de la République, Macky Sall, le Défenseur des Femmes, le Champion He for She, celui qui incarne la masculinité positive, les Femmes Cadres adressent leurs sincères remerciements pour l’évolution de la condition féminine depuis 2012. Que cela soit en termes d’autonomisation, de décentralisation, d’accès à la formation, à l’emploi et à la santé, tout en souhaitant et en plaidant pour l’éclatement du plafond de verre en entreprise pour les femmes, mais aussi une plus grande représentativité des femmes à des postes institutionnels et politiques mais également une protection sans faille de la femme alliée à des mesures fortes de répression de toute violence faite filles et aux femmes.

 

Aussi, la Plateforme des Femmes Cadres de BBY et de la Majorité Présidentielle, salue le Visionnaire son Excellence le Président de la République, le Meilleur de Sa génération, qui offre à chaque sénégalaise et sénégalais de l’espoir et une égalité des chances. Ainsi, est-elle fière de réaffirmer son engagement à l’accompagner vers un deuxième quinquennat en 2024.

 

Depuis qu’elle a été démolie en 2022 pour un projet de reconstruction concocté par le comité de pilotage des jeunes du dit établissement islamique, la grande mosquée de la rue 10 est objet de vives controverses.  Le comité de pilotage mis en place par les jeunes attire l’attention de l’opinion sur la  gestion alambiquée dit-on des affaires de la grande mosquée héritée et la non délivrance de l’autorisatio de construire par la mairie de la commune de Pikine nord.

 

Pour le rappel historique, les premiers travaux de construction de la grande mosquér de la rue 10 ont débutés en 1968 avec la bénédiction de Serigne Abdou Aziz Sy qui a posé la première pierre. En 1972 le khalife général des Tidianes inaugure et dirige la premiere prière avec la présence de Serigne Seydou Nourou Tall.

La gestion des affaires de la grande mosquée a été dévolue à un groupe de notables. En 2014 et avec le temps qui passe, la presque totalité des vieux notables ne sont plus de ce monde. Après des tractations, le délégué de quartier de Diacksao 2 prend le relais de la gestion des affaires de la grande mosquée dont les documents et le fonds de caisse de 165000 frs lui ont été remis. Onr révélé nos interlocuteurs.Puis la jeune génération s’implique des affaires de la grande mosquér, met en place une commission et crée un comité de pilotage qui prend désormais les choses en main. L’état des lieux en 2018 fait découvrir l’existence d’un fonds de caisse de 645000 frs cfa constaté sur le papier.

De 2018 à 2023, le fonds de caisse de la grande mosquée est passé à plus de 60 millions de frs cfa, en plus de 150 tonnes de cimrnt plus des bons de fer. Le constat est fait par le comité de pilotage des jeunes volontaires de la grande mosquée devant la presse. Il a été relevé lors de cette rencontre que le délégué de quartier de Diacksao Fass 2 au vu de ces résultats et de cette gestion remarquable, est revenu en première ligne avec l’embobinement de l’imam ratib et d’autres imams satellites a-t-on fait remarquer. Cependant que les nouveaux fonds, le ciment et les bons sont minutieusement confiés et gardés chez un opérateur économique et propri »taire d’une quincaillerie de la place.

Le comité de gestion des jeunes a poursuivi son travail. En 2020 il confectionne un projet et un plan de freconstruction de la grande mosquée. En 2022 le comité s’est attelé à la démolition de la grande mosquée. La demande d’autorisation déposée depuis septembre 2022 à la mairie de Pikine nord est toujours restée sans suite. Dans ce sens, le comité de gestion des jeunes soupçonne des manœuvres souterraines, pour le blocage du processus. Le comité de pilotage pense que face à une œuvre divine et d’intérêt public, la raison pourrait revenir, pour que les pendules soient remises à l’heure.

Al Amine  

 

 

Si cette culture existe et prospère, si les organisateurs et conseillers politiques ne cessent de se creuser les méninges pour élaborer les mensonges les plus habiles, c'est que ceux ci se louent. Pourquoi ? Parce que les citoyens ont rarement le courage de voir la vérité en face.La vérité est complexe, subtile et triste elle est miroir. Elle nous dit qu'il n'y a ni solutions simples ni héros, que les «autres» ne sont pas les seuls responsables, qu'il faut faire un effort. Aussi nous préférons généralement le politicien qui plante un  décor sensible à celui qui éclaire d'une lumière crue les problèmes de notre société.Certes, nous disons le menteur balourd.

 

Mr Cheikh Hadjibou Soumaré soutenant que le Président de la République son Excellence Mr Macky Sall a donné récemment de ’argent à une personnalité politique française tout de même croire à la magie, un montant de 12 millions d’euros soit environ 7,9 milliards.

Gravissime ce Mr Soumaré fait désormais partie de cette race de politicien qui ne ment pas le moins, mais qui ment le mieux. Paton disait que ce qu’i en coûte aux gens de ne pas s’occuper de politique, c’est d’être gouvernés par des gens pires qu’eux-mêmes. La classe politique semble aujourd’hui condamnée sans appel.

 

Le jugement est souvent catégorique. On prend parti; on proclame haut et fort ses coureurs. Et plus on les brandit, plus on estime être une personne de conviction. Dans le débat sur la morale politique, la thèse la plus répandue soutient que es politiciens sont des menteurs Mr Soumare Aguibou vous savez pertinemment que le mensonge politique constitue un abus de confiance et un bris de contrat. Il est donc condamnable, quels qu’en soient la forme et le degré. Allons plus loin. Mentir, c’est «affirmer ce qu’on sait être faux.

 

Cheikh Fadel Wade Water keeper, Président de l’Association Solidarité Ci Sutura, Coordinateur du Réseau des Associations pour la Protection de l’Environnement et de la Nature et Président de la Plateforme Nationale des Acteurs pour une Justice Climatique remercie les Nations Unies sur l'accord conclu par les délégués de la Conférence intergouvernementale sur la biodiversité marine des zones situées au-delà de la juridiction nationale. Il a félicité également les organisations non gouvernementales, de la société civile, les institutions universitaires et la communauté scientifique haute mer. Le Secrétaire général de l’ONU a félicité les pays membres de l'ONU d’avoir finalisé un texte « décisif » visant à assurer la conservation et l'utilisation durable de la diversité biologique marine dans les eaux internationales.

 

« Cette action est une victoire pour le multilatéralisme et pour les efforts mondiaux visant à contrer les tendances destructrices auxquelles est confrontée la santé des océans, maintenant et pour les générations à venir », a déclaré António Guterres dans un communiqué publié par son porte-parole samedi soir, quelques heures après la conclusion de l'accord au siège de l'ONU à New York, où d'âpres négociations sur le projet de traité se déroulaient depuis deux semaines.

L'accord conclu par les délégués de la Conférence intergouvernementale sur la biodiversité marine des zones situées au-delà de la juridiction nationale (BBNJ) est l’aboutissement de près de deux décennies de pourparlers facilités par l'ONU qui ont débuté en 2004.

« Traité sur la haute mer »

Déjà appelé « Traité sur la haute mer », le cadre juridique placerait 30% des océans du monde dans des zones protégées, consacrerait plus d'argent à la conservation marine et couvrirait l'accès et l'utilisation des ressources génétiques marines.

Par l'intermédiaire de son porte-parole, M. Guterres a souligné que le traité est « crucial pour faire face à la triple crise planétaire du changement climatique, de la perte de biodiversité et de la pollution ».

« Il est également vital pour atteindre les Objectifs et les cibles liés aux océans du Programme de développement durable à l'horizon 2030 et du Cadre mondial pour la biodiversité de Kunming-Montréal », indique le communiqué, faisant référence à l'engagement dit « 30 pour 30 » qui vise la protection d’un tiers de la biodiversité mondiale – sur terre et sur mer – d'ici 2030, qui est issu de la conférence historique des Nations Unies à Montréal en décembre dernier.

Le texte, qui s'appuie sur l'héritage de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (UNCLOS), sera formellement adopté lors d’une réunion ultérieure des délégations.

Ambition, flexibilité et persévérance 

Le Secrétaire général a félicité toutes les parties pour « leur ambition, leur flexibilité et leur persévérance ». Il a particulièrement salué l'Ambassadrice Rena Lee, de Singapour, pour son leadership et dévouement en tant que présidente de la Conférence.

« Mesdames et messieurs, le navire est arrivé à bon port », a déclaré Mme Lee dans la nuit de samedi, annonçant la conclusion de l'accord devant l’ovation prolongée des délégués dans la salle de réunion.

Selon la déclaration du porte-parole de l'ONU, le Secrétaire général a également reconnu le soutien essentiel des organisations non gouvernementales, de la société civile, des institutions universitaires et de la communauté scientifique.

« Il se réjouit de continuer à travailler avec toutes les parties pour garantir un océan plus sain, plus résilient et plus productif, au profit des générations actuelles et futures », conclut le communiqué.

 

 

 

Dans une tribune récente(parue le 28 février 2023),trois professeurs de droit évoquent la «politisation de l’appareil judiciaire » en qualifiant la magistrature, de «bananière». En critiquant la justice, ils réduisent la justice au pénal. Or, le baromètre d’un jugement du fonctionnement de la justice n’est pas réductible à la répression des faits délictuels et criminels. Juger tout un système judiciaire et ses acteurs sur la base des affaires pénales médiatisées révèle une posture imprudente et narcissiste. 

 

La matière brute de nos juridictions reste le nombre d’affaires traitées au quotidien par les professionnels de la justice. La fréquence des affaires pénales (vol, association de malfaiteurs, homicide ou blessures involontaires, abus de confiance, faux et usage de faux, escroquerie, coups et blessures volontaires, outrage et rébellion, voies de fait, etc.) montre que les juges et les procureurs sont sous extrême tension et sont préoccupés par rendre la justice au nom du peuple. Malheureusement, ceux qui rendent la justice sont souvent oubliés. Nul ignore que critiquer la justice, sa méthode de travail, ses moyens et décisions, peut se concevoir, dans une perspective de critique féconde dans un Etat de droit. Mais, cela devient de la délation si la critique emprunte la voie d’attaques ciblées et personnalisées. Jeter l’anathème ou le discrédit sur la justice est en soi facile.

 

Critiquer la justice et insulter les procureurs et juges sont devenus un fonds de commerce et un instrument de populisme universitaire. La dame justice est violemment attaquée sans fondement. La justice ne se vit pas sous forme de spectacle ou de vacarme. Elle est le lieu où bat le cœur des sénégalais. Réduire la justice à des cas d’arrestation ou de jugement de diffamation relève d’une méconnaissance totale des linéaments du monde judiciaire. La défense de la Justice est le propre de tout citoyen soucieux de la préservation des équilibres de la République. L’entreprise de certains professeurs de droit, visant à décrédibiliser l’institution judiciaire, en parlant de «magistrature, institution au service de l’exécutif» manifeste une absence de rigueur scientifique et méthodologique. Un professeur de droit n’a pas à livrer ses opinions politiques sur la justice dans l’espace public en usant son titre académique. Le public naturel de l’universitaire reste l’espace académique comme disait l’autre «mes étudiants ne connaissaient pas mes opinions politiques».Cette tentation à vouloir juger la justice avec les qualificatifs «juges du gouvernement», est prétentieuse, car la manifestation de l’Etat de droit se symbiose, à bien des égards, par l’intervention juge, indicateur, d’un besoin croissant de justice.

 

Pour rappel sur la question de l’indépendance du juge, il n’y a pas d’opinion tranchée. L’indépendance personnelle du juge puisqu’il s’agit de cela, est une culture et un état d’esprit conditionnant sa légitimité dans un régime démocratique. La justice elle-même n’est « ni un état de la société, ni une propriété des lois, mais une vertu, une attitude de ’homme dans les relations sociales ». Pour éviter de déclarer la « guerre entre les juges et la société lorsque les hommes politiques ont maille à partir avec la justice, il faut faire confiance au système judiciaire et exiger une recevabilité judiciaire. Par ailleurs, les réactions violentes et excessives à l’égard de la justice témoignent la dimension ingrate du spectre de « la société contentieuse ». Les qualificatifs sont nombreux et sévères : « justice instrumentalisée », « justice non indépendante », « justice inexistante », « justice téléguidée », « justice à géométrie variable ». Partant de là, aucune sympathie exprimée à l’endroit de la justice judiciaire comme à l’égard de la justice constitutionnelle considérée souvent avec virulence de simple « commis de l’exécutif » ou de « bras armé de l’exécutif ».

 

Le discrédit proféré à l’endroit des magistrats n’honore pas l’héritage de notre système judiciaire qui a connu d’éminents juges de renommée internationale (Kéba Mbaye, Ousmane Camara, Leyti Kama…). Les opinions politiques sur la justice ne doivent pas conditionner le regard citoyen sur le système judiciaire. La ligne de démarcation est à tracer pour préserver la justice. Les affaires impliquant des hommes politiques ne peuvent pas se base de réaction doctrinale pour les universitaires avec tout le respect dû à leurs rangs. La dimension politique de la justice existe dans tous les pays du monde, même dans les plus grandes démocraties. Par exemple, aux USA, « rares sont les questions politiques qui ne deviennent pas juridiques et inversement » (Tocqueville).La condamnation d’hommes politiques ne signifie pas « politisation de la justice ». Le juge dit le droit en se basant sur les faits, même si l'estimation une contrainte textuelle et systémique. Il applique la loi, au besoin, pratique le « law in context ».L’autre disait «même nos erreurs s’imposent à vous».

 

Faire le procès de la justice sur la base d’enquêtes et poursuites conformément au Code pénal et au Code de procédure pénale, montre une absence de culture de a critique judiciaire. Ce qui confirme le savoir juridique en danger dans nos universités. Le propre de l’enseignant chercheur est de produire le savoir et développer a recherche en dehors des contingences politiques. D’où l’urgence de tenir des «états généraux sur l’enseignement du droit au Sénégal» pour éviter une faculté de droit bananière. L’approche militantisme du droit dans nos facultés est un mal qu’il faut combattre. Si les professeurs de droit prennent la place des juges, des législateurs ou des décideurs, la crédibilité du droit sera compromise. Pour faire avancer les choses, Il faut avoir une «éthique commune de la discussion sur la justice et une politique de la critique 

Judiciaire» et non des jugements de valeur. 

 

 

Dans la matérialisation de la vision ambitieuse de son Excellence le Président Macky Sall, notamment, dans le domaine de l'autonomisation des femmes, l'Administratrice du FONGIP, Madame le Maire Thérèse Faye DIOUF, vient de poser un acte fort pour les femmes de l'Alliance pour l'Emergence de Bambey (APEB)

En effet, les femmes de l'alliance viennent de recevoir une enveloppe de 10 millions (soit un financement de 500 milles CFA par femme) et cela dans l'optique de rendre indépendante et entreprenante cette couche souvent laissée en rade. Ainsi, par ma voix, les femmes de ladite Alliance remercient Madame Thérèse Faye DIOUF pour ce soutien d'une utilité incommensurable et l'encourager, sur ce même sillage, dans les efforts qu'elle ne cesse de consentir pour la revalorisation des femmes du Sénégal, de manière générale.

Nous rappelons, encore une fois, aux bénéficiaires d'en faire bon usage pour permettre aux autres d'en bénéficier afin que toutes les cibles puissent être atteintes. Nos remerciements vont également à l'endroit du Coordonnateur de l'APEB Mamadou Ndiaye Bambey qui, de par sa clairvoyance, a pu guider ces femmes pour l'obtention des financements. Ensemble pour l'entrepreneuriat féminin.

 

 

Le Ministre de l’agriculture a assisté au salon tenu à Paris dans un contexte de lutte pour la souveraineté alimentaire. Il n’a pas manqué de signer un communiqué pour traduire ses sentiments e tant que tutelle.

 

« Au terme de la journée dédiée du Sénégal au Salon International de l’agriculture à Paris, je remercie les différentes institutions étatiques et privées, les organisateurs, panelistes, membres de la délégation sénégalaise pour la qualité de l'exposition, des interventions et les bonnes volontés qui ont fait de cette présente édition un franc succès. Je réitère mon appel à la diaspora à s'approprier des mécanismes mis en œuvre, et à s'engager dans la perspective de la souveraineté alimentaire », a indiqué& Ali Ngouille Ndiaye. 

 

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