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Malal DIALLO Pithi

Malal DIALLO Pithi

La conférence internationale FSM4 (FSM pour « Faecal Sludge Management » ce qui signifie « gestion des boues de vidange » en anglais) réunit plus de 1.000 participants à Chennai du 19 au 23 février.

Cet événement, couplé à la 7è Conférence sur la gestion des boues de vidange (FSMA), a enregistré la participation de plus de 4.000 participants issus de 71 pays, sur les bords de la lagune Ebrié dont une délégation sénégalaise conduite par le Ministre Délégué Issakha Diop, en Charge de la Prévention et de la gestion des Inondations. Une délégation de 5 journalistes y a aussi part suite à un appui de l’ONG IBP Sénégal et de l’Onas que dirige Mamour Diallo. Il s’agit de Moussa Thiam de la radion Sud FM, de Abdoul Latif Mansaré du journal Le Quotidien, de Insa de la radio Rails Bi FM, de Maimoua Seck de Oxy Jeunes et de Aissatou du quotidien L’AS.

Le président du 21e Congrès international de l’eau et de l’assainissement, M. Ahmadou Bakayoko, directeur général de la Société de développement d’eau de Côte d’Ivoire (SODECI) a fait savoir qu’en prélude à cette ouverture, un Comité de direction et une Assemblée générale de l’Association africaine de l’eau (AAE) qui devient maintenant l’Association africaine de l’eau, de l’environnement et de l’assainissement, ont eu lieu samedi.

L’ouverture officielle du 21e Congrès international et Exposition de l’Association africaine de l’eau (AAE) et la 7è Conférence sur la gestion des boues de vidange (FSMA) a été faite par le Premier ministre ivoirien, M. Patrick Achi, ce lundi 20 février 2023.

C’est la première fois que l’Alliance pour la gestion des boues de vidanges (FSMA) s’associe à l’AAE pour co-organiser un congrès et une exposition de l’AAE, couplés de la 7e Conférence internationale sur la gestion des boues de vidange.

Ces assises qui plancheront sur les problématiques liées à l’eau et à l’assainissement, ainsi que la gestion des boues de vidange se dérouleront du 19 au 23 février 2023 autour du thème : « Agir pour la gestion durable des ressources et l’accès de tous à l’eau et à l’assainissement en Afrique ».

 

Ne jamais déroger aux bons principes et aux meilleures pratiques. Ces deux postulats semblaient guider les pas du Groupe Scolaire Keur Mame NDAWA, sis à l’unité 3 des Parcelles Assainies de Keur Massar, qui a tenu à organiser en cette matinée du 21 Février 2023, une nouvelle édition du Mardi Gras. Ce trait de culture universelle que représente le Mardi Gras loin des considérations païennes, peut être perçu et approprié en tant qu’élément unificateur, point de jonction dans toute communauté en général, dans le milieu éducatif en particulier.

 

 

Respecter et se dévouer

 

Le Groupe Scolaire Keur Mame NDAWA n’a pas voulu déroger à un de ses principes, celui d’être toujours au service des tous petits. En effet, comme par le passé, avec la Directrice-Fondatrice Fatoumata FIFI DIAGNE Mme NIASS, l’organisation du  Mardi Gras a chaque fois été  une occasion de faire communier les enfants entre eux puis avec leurs maitresses, leurs institutrices et leurs instituteurs. Pour la présenteédition, le Directeur Général a voulu que tous élèves de la Garderie, du Préscolaire en passant par le cycle élémentaire puissent vivre et partager la fête.

 

 Car, ici à Keur Mame NDAWA  comme l a du reste si bien dit Mme DIAW une des maitresses d’œuvre de l’activité socioéducative, le Mardi Gras a tout le temps été un temps fort dans la vie scolaire de l’école. Comme à l’accoutumée, avec notre sœur Tata FIFI la Directrice, nous avions su allier l’utile à l’agréable. Après des mois de dur labeur depuis l’ouverture de l’année scolaire jusqu’à la fin du Premier Trimestre, nous faisions profiter de ce temps de loisir à nos élèves, les plus petits notamment.

 

C’est dans cette trajectoire qu’il faut comprendre la volonté de la Direction, et du Personnel  du GS KMN de perpétuer l’œuvre de Tata FIFI. Ainsi, dès l’accueil des enfants à l’école, maitresses, instituteurs, institutrices allaient respectivement prendre en mains leurs élèves, les mettre en rang, avec l’animation qui commençait déjà sur place. Ousmane Fall dit Iba avec son groupe d’animateurs chanteurs et percussionnistes, allaient tenir en haleine les enfants en ces premiers instants .Puis, avec le signal du Directeur de l’Elémentaire et du Préscolaire, une caravane formée prenait la direction du Nord traversant l’artère principale entre l’unité 3, l’unité 4,la Pharmacie Baye NIASS jusqu'au Rond Point.

 

Tout le long du trajet, chants et danses au rythme des tamtams et djembe allaient faire vibrer les enfants qui, à vue d’œil, étaient remplis de joie. Cette longue et lente procession, encadrée par la Police de Jaxaay pour assurer la sécurité de la caravane allait observer une pause au terrain de football à hauteur de l’unité 5. Là bas, il a fallu laisser les enfants se reposer,se délasser un peu de la fatigue du circuit emprunté.A noter que pour la réussite de la manifestation, personne n a été en reste.

 

Des  maitres d’arabe et d’enseignement religieux, au maitre d’anglais, des femmes de charge, des femmes de cuisine en passant par les chauffeurs, les accompagnants, la sécurité interne, l’administration, en somme,  tout ce que le GS KMN compte comme personnel  a essaye de jouer sa partition pour que le Mardi Gras réussisse. Pour le retour, les bus du Groupe ont assuré la navette, ramenant tous les caravaniers à l’école. Sur les lieux, place était faite au gouter partagé. Les équipes de distribution allaient faire le tour des classes trouvant les élèves avec leurs enseignants sur place pour leur servir à boire et à manger.

 

Par la suite, la dernière étape la séquence de photographie individuelle, devait s’en suivre.

Les élèves du Secondaire les aines du Groupe Scolaire préposés pour cette tache, allaient prendre en photo tous les enfants. C’est ainsi que la fête prenait peu à  peu fin aux alentours de 15 Heures.  Des parents visiblement contents venaient reprendre leurs enfants tandis que la plupart des autres élèves, repartaient par les bus qui les avaient acheminé  à l’école comme tous les matins.

Mme DIAW, profitant de l’opportunité offerte a lancé un appel pour le 8 Mars, Journée à laquelle l’Amicale des Femmes du GS KMN a décidé de rendre un Hommage à titre posthume à leur Directrice Tata FIFI, comme elles aimaient l’appeler si affectueusement.

 

 

 

 

 

 

 

 

Partager les travaux réalisés autour de ce nouveau dispositif de Suivi-Evaluation et d’échanger sur les défis et les perspectives du Ministère des Collectivités Territoriales de l’Aménagement e du Développement des Territoires (MCTADT) dans le domaine du Suivi-Evaluation et du reporting, tel est l’objectif assigné à travers l’atelier ouvert ce mardi et qui porte sur la capitalisation des succès de la mise en place d’un nouveau dispositif de Suivi-Evaluation du Ministère des Collectivités Territoriales, de l’Aménagement et du Développement des territoires (MCTADT).

Le Programme USAID-GoLD a accompagné le MCTADT à se doter d’un dispositif adapté et performant de Suivi-Evaluation des Programmes. Un appui qui a permis l’élaboration d’un Manuel réadapté réalisé sous la tutelle de la CEPSE permettant au MCTADT d’assurer une meilleure gestion des données et des informations à travers un suivi plus efficace des activités et des indicateurs de performance dans le cadre des Budgets-programmes de la Décentralisation. Ce nouveau système renforcera la maitrise de la planification et de la budgétisation annuelle pour préparation de Lettre de Politique Sectorielle du Ministère, ainsi que la visibilité des interventions menées dans le secteur de la Décentralisation.

Pour M. Jean Michel DUFILS, Directeur du programme USAID-GoLD, « il y a lieu de se réjouir de la collaboration très fructueuse établie avec le MCTADT depuis le début du programme à travers de nombreuses réalisations conjointes, par exempleavec l’ADL (SISAF), le PNDL (SMPCT), la DCT, la Cellule Genre,... Ce partenariat est encore une fois magnifié aujourd’hui à travers l’excellente collaboration avec la CEPSE dont je salue l’expertise et le dynamisme de l’équipe».

«Dans le cadre de la bonne gouvernance. Ces systèmes permettent de rendre compte de l’utilisation des flux financiers reçus et de suivre les résultats progressivement atteints», a déclaré le secrétaire général du MCTADT qui, au nom du Ministre Mamadou TALLA, a présidé la rencontre. Selon lui, en effet, «il y a lieu de rappeler que les principes de la Gestion Axée sur les Résultats et la dynamique de performance et d’efficacité, sont traduits par le Cadre Harmonisé du Suivi-Evaluation institué par le décret 2015-679 du 26 mai 2015 portant création d’un cadre harmonisé de suivi-évaluation des politiques publiques (CASE)».

Il faut dire que le Ministère des Collectivités Territoriales, de l’Aménagement et du Développement des Territoires (MCTADT) s’est engagé dans une dynamique nationale de réforme budgétaire et de Gestion axée sur les résultats. Dans le cadre de cette approche Gestion Axée sur les Résultats (GAR), les Systèmes de Suivi Evaluation (SSE) de toutes les structures du ministère devront s’intégrer dans un système global unifié et prendre en compte les besoins en informations du ministère.

«C’est dans ce cadre que l’USAID, à travers le programme GOLD, a appuyé notre ministère à concevoir et mettre en place un système automatisé de suivi-évaluation conformément aux directives et à la stratégie du Gouvernement du Sénégal en la matière, capable de fournir des informations et analyses nécessaires aux différents acteurs du secteur ainsi que de rendre compte de l’état d’avancement des indicateurs de performance et de mesurer les progrès réalisés par rapport aux objectifs fixés, reconnait le SG du MCTADT».

 

 

 

 

Le Ministre des Collectivités territoriales, de l’Aménagement et du Développement des Territoires, Monsieur Mamadou Talla, a reçu des élus de la région d’Occitanie en France. La délégation est dirigée par Madame Carole Delga, Présidente de la région d’Occitanie. Au menu de l’audience, le renforcement de la coopération décentralisée Franco-sénégalaise. 

 

Ainsi, différents axes de coopération ont été abordés. Il s’agit entre autres de la sécurité alimentaire, de la mobilité avec le transport scolaire, la formation et l’installation de la Fonction publique locale ; des points de coopération que les deux pays comptent développer davantage. 

 

La Présidente de la région Occitanie a magnifié la politique de décentralisation du Sénégal qui, selon elle, mobilise des moyens conséquents au profit des collectivités territoriales.

 

Le premier acte public allant dans le sens de déclarer la candidature du Président Macky Sall pour l’élection présidentielle de 2024 dans la région de Kédougou, a été posé ce Week-end. C’était lors d’un méga-meeting d’investiture organisé par les responsables de Benno Bokk Yakaar dans la région de Kédougou. 

 

La rencontre a réuni l'ensemble des ténors de la mouvance présidentielle de Kédougou qui ont fortement mobilisé pour renouveler leur confiance au chef de l’Etat. Les responsables issus de différents départements de la région de Kédougou se sont succédés au micro pour donner le mot d’ordre d’investiture du président Macky Sall pour briguer un autre mandat. « Nous saluons toute votre délégation et les responsables de Kédougou. Je voudrais dire une seule chose aujourd’hui et cette chose elle est simple : « 2024 Macky Sall ». Tout le monde sait que 2024, Kédougou a fait son choix et c’est Macky Sall. Vous l’avez démontré par ce que vous avez fait aujourd’hui avec cette plus grande mobilisation qui n’a jamais eu à Kédougou », a soutenu le maire de Kédougou Ousmane Sylla par ailleurs le Directeur Général de Dakar Dem Dikk. 

Selon lui, Kédougou a déjà fait son choix. « Son excellence a démontré que l’amour qu’il a pour le Sénégal, il l’a commencé à Kédougou et il l’a terminé à Kédougou. Alors, nous avons déjà élu Macky Sall. Car personne ne peut nous détourner de notre objectif. Notre objectif est l’émergence. Notre objectif est le développement. Notre objectif est la cohésion sociale. Il y’a un seul homme qui peut nous le donner et c’est le président Macky Sall. Je vous dirais encore que Macky a gagné ici en 2019. En 2024, nous allons faire un score mémorable. Ça sera le meilleur score à Kédougou », renseigne Ousmane Sylla.

 

Venu représenter le candidat de mouvance Présidentielle, Mbaye Ndiaye a soutenu qu’il est fier d’être à Kédougou. « C’est la première fois que je constate une forte union des responsables de la mouvance présidentielle. Je suis vraiment content. Je vous rassure que Kédougou ne sera pas laisser dernier. Le président en fait problème de fond. Je rendrais fidèlement compte au président que Kédougou a déjà fait son choix. Vous avez montré la voie », a conclu le ministre d’Etat Mbaye Ndiaye.

 

« il a fait du théâtre en portant le boubou des Baye Fall. Il n’y croit pas. Si les Baye Fall devraient supporter quelqu’un, ça serait Macky Sall parce que… »


C’est un petit-fils de Cheikh Ibrahima Fall qui a réagi sur le passage de Ousmane Sonko la semaine dernière à Mbacké. Serigne Zakaria, puisque c‘est de lui qu’il s’agit, a vivement regretté que ses croyances aient été touchées par les attitudes déplorables de Ousmane Sonko. Le fils de Sokhna Mame Saï Fall s’est offusqué du comportement du leader de Pastef en disant que les Baye Fall ne font pas de la politique et la philosophie Baye Fall n’a rien à voir avec la politique.

Serigne Zakaria de dire que les Baye Fall n’écoutent et n’œuvrent que pour Serigne Touba et Cheikh Ibrahima Fall par le biais de Serigne Mountakha Mbacké. « On n’écoute que Serigne Mountakha et tout ce qu’on fait du matin au soir, c’est pour satisfaire Serigne Mountakha. Serigne Bass Abdou Khadre l’a dit hier, ce qui s’est passé dans la grande mosquée de Touba est inadmissible. Ousmane Sonko devait mieux se comporter dans la mosquée où se trouvent Serigne Touba Mbacké et sa famille. Il pouvait parler à ses partisans pour un comportement plus respectueux. On l’a bien accueilli et bien traité, il devait rendre ça à Touba. Quand il est parti voir Serigne Modou Mbenda Fall, il a été accueilli et bien traité. On a prié pour lui aussi.

 C’est qu’on a fait pour Khalifa Sall, le lendemain de sa visite. C’est ce que les Baye Fall font pour tout le monde. Mais je dénonce comment il est allé là où les travaux ont été confiés aux Baye Fall. Il a troublé la tranquillité des responsables Baye Fall qui s’y trouvaient à cause des bruits et autres de ses partisans. Serigne Fallou Fall a meme était obligé de parler que depuis sa voiture. J’ai vu Ousmane Sonko porter un boubou Baye Fall pour leurrer les esprits. C’est du théâtre. Il ne l’a jamais fait mais il a voulu profiter de l’occasion pour jouer avec les Baye Fall. Mais qu’il sache qu’on est des responsables avertis. Ce qui me fait plus mal, ils ont utilisé le discours de Serigne Fallou Fall sur ce qu’il avait dit sur Macky Sall quand il a envoyé une délégation et sa participation lors du mois de ramadan dernier, ils ont mixé les vidéos pour se moquer de Serigne Fallou Fall et les Baye Fall. Ils ne connaissent pas Serigne Fallou c’est pourquoi ils ont agi comme ça. Chez Serigne Touba et Cheikh Ibra, on y récolte que ce que l’on sème. Je n’ai pas peur de le dire. Je n’ai que Serigne Touba et Cheikh Ibrahima Fall.
Si les Baye Fall voulaient supporter quelqu’un ou remercier quelqu’un, ils supporteraient Macky Sall qui a construit la route et participé dans les travaux. Il récoltera ce qu’il a semé à Touba et à Mbacké » 

La première édition du dîner de l'entrepreneuriat a été marquée par la présence de beaucoup d'autorités. Occasion qui a été saisie par les organisateurs pour magnifier l'événement. Le thème central était : "système entreprenariat, de l'idée à la création".

 

Et parmi les responsables et autorités qui étaient présents, il y a madame Fatou Bob, chef du bureau d'étude, suivi évaluation du DRH du ministère de l'éducation et marraine de la soirée, Mr Abdourahmane Ly, Directeur de l'insertion au Ministère de la Formation Professionnelle, de l'artisanat et de l’insertion, parrain, Mr Demba Ndoye, Chef de cabinet du maire de la commune de Yoff, Mr Souleymane BALDE, Coordonnateur technique du pôle emploi et entreprenariat des jeunes et des femmes de Dakar, et entre autres. Pour l'initiatrice qui a remercié l'assistance, "la question de l’entreprenariat est centrale au Sénégal, en ce sens où son excellence Monsieur le Président de la République Macky SALL en a fait un pilier important pour la résolution du problème de l’emploi des jeunes.

 

 A cet effet, il y a énormément de programmes mis en œuvre par l’Etat du Sénégal à travers des structures comme la délégation générale à l’entreprenariat rapide des femmes et des jeunes, le programme sénégalais pour l’entreprenariat des jeunes. Il faut le reconnaître, cela fait partie des difficultés de l’heure auxquelles il faut apporter des solutions pérennes. Et c’est en réponse à ces difficultés que LALTIENE GROUP rentre en action". Selon toujours la porte parole du jour, " Laitiene qui signifie en sérère « mettre en évidence/Féssel en wolof » est un cabinet de marketing communication qui a pour vision de contribuer à l’émergence du Sénégal en réduisant le taux de chômage national par l’incitation des jeunes à la création de leur propre entreprise et en les orientant vers des formations et des métiers dont le pays a besoin. Il vise également à guider les collégiens vers un avenir sûr en étant un portail d’information sur les formations et les métiers de demain", explique l'organisatrice. Et d'ajouter que : " À travers notre concept « Orienter et Promouvoir » qui s’articule autour de trois axes : L'orientation, l’entreprenariat et l’investissement ; nous cherchons à sublimer le potentiel de chaque jeune, car nous croyons profondément que chaque idée mérite d’être exploiter au maximum pour en tirer toujours que le meilleur. Vous me direz, il y'a des idées qui sont vouées à l’échec dans l’embryon, mais laissez moi vous dire que la finalité n’est pas importante ; mais plutôt « LE PROCESSUS ».

 

Car même si au bout du compte, le projet échoue, le processus par lequel vous êtes passé sera pour vous une source d’informations qui vous permettra demain d’éviter les mêmes erreurs, d’aller plus vite dans la mise en œuvre. Un entrepreneur ne perd jamais ; soit il réussie, soit il apprend", a-t-elle soulignée lors de la manifestation. " Nous allons, à travers nos différentes thématiques, créer un portefeuille relationnel avec les jeunes entrepreneurs, créer des partenariats avec l'État et les entreprises. Notre objectif pour cette année est de créer un fonds entrepreneurial à travers des activités génératrices de revenus et l'apport de nos partenaires. Ce fonds nous permettra de financer 100 projets.

 

Compte tenu de l'importance de l'investissement, nous recherchons des partenaires afin de nous soutenir dans sa réalisation. Nous lançons donc un appel solennel aux structures étatiques, aux organisations non-gouvernementales, aux fondations et à toutes autres entités qui ont à cœur la cause de la jeunesse, et de l'entrepreneuriat de se joindre à nous afin de pouvoir joindre nos forces à celles du gouvernement du Sénégal pour l'atteinte des résultats. Vous nous avez démontré par votre présence et vos actes que, nous la jeunesse, nous pouvons toujours compter sur vous. Auguste assemblée votre présence à la première édition du diner de l’entrepreneuriat. Je m'adresse à la jeunesse de ce pays dont je fais partie, Notre avenir est entre nos mains, il nous suffit juste de le saisir. C'est maintenant qu'il faut agir : devenons le Sénégal de demain ambitieux, créatif et prospère", a-t-elle conclu.

Modou Touré

 

AU CHEVET DE LA PATRIE (Par Babacar DRAME, Expert financier cadre de  banque).

 

Chers compatriotes 

Soyons tous au chevet de notre patrie si merveilleuse et objet naturellement de tant de jalousie et d’intérêts de lobbies d’obédience diverse.

 

Nous pouvons certes entre sénégalais être des adversaires dans divers projets mais jamais des ennemis. Ne tombons pas dans nos propres pièges qui nous poussent à ne donner aucun crédit à notre frère ou sœur qui n’est pas du même camp ou qui n’a pas le même avis que nous. Notre génie a toujours résidé dans notre esprit de tolérance et de dépassement qui nous a toujours permis de pardonner le frère, de lui tendre la main après un malentendu ou une compétition quel qu’en soit l’ampleur. 

 

Ce Sénégal nous a tout donné et a fait aujourd’hui des anonymes que nous étions des leaders adulés, des managers confirmés, des  sportifs de renommée dans un espace béni reposant sur le socle de la stabilité. Une stabilité entretenue,  pendant des années de construction et de renforcement faites de luttes et de compétitions politiques, par notre commune volonté de nous retrouver sur l’essentiel quelque soit l’ampleur de nos différends et des fractures sociales. 

 

Au demeurant, le pays a traversé, faudrait-il le rappeler, plusieurs événements avec un cortège de violences inattendues et annonciatrices de chaos. A chaque fois, par la grâce de Dieu, les ressorts qui ont toujours fait l’exception sénégalaise, ont permis d’amortir les chocs et d’enclencher la réconciliation par le dialogue sincère fait de compromis dynamiques pour préserver l’essentiel, notre stabilité.  Je rêve que, contre toute attente de ceux qui alimentent par leurs discours et manigances la haine profonde, les acteurs politiques et toutes les personnalités influentes de la société civile se surpassent pour voler tous au secours de la mère en danger. 

 

Nous devons nous parler entre sénégalais avec élégance morale avant que des événements malheureux et inattendus nous y contraignent sous le regard moqueur de ceux qui ne veulent que s’accaparer de nos richesses dans la division.  De grâce! acceptons de nous parler en toute civilité, acceptons toutes les concessions habiles et utiles dans le respect des Institutions et pour l’intérêt supérieur de la Nation. Que les faucons se taisent à jamais et que les colombes déploient leurs ailes partout au Sénégal, du Fouta à la Basse Casamance.

 

Le Sénégal est notre bien commun le plus cher, ne le déchirons pas !

 

 

La Société d’Aménagement et de Promotion des Côtes et Zones Touristiques du Sénégal (Sapco) et Grande Côte Opération (CGO), une entreprise d’exploitation minière, ont signé ce 16 février une convention qui va permettre au site touristique de Lompoul de bénéficier de la construction d’un projet dénommé «Oasis du Désert». Ainsi, après l’exploitation du zircon des dunes de sable de Diogo et de Lompoul, qui sans doute cause des dégâts environnementaux énormes, CGO se lance dans la réhabilitation du site touristique de Lompoul. Ce projet d’«Oasis du désert» qui sera réalisé sur plus de 170 hectares avec un coût de construction de plus d’un milliard FCFA, va abriter une oasis associée à une palmeraie sur 2000 m², des sites touristiques, des espaces de loisirs en bord de mer, ainsi que des tentes de couchage. Ce projet va permettre, à terme, au site touristique de Lompoul et aux habitants de cette localité, de relancer et de maintenir leurs activités touristiques qui étaient menacées par l’exploitation minière. Ainsi, ce site touristique, qui se situe à 10 kilomètres au sud de Lompoul, sera livré au courant du 2e semestre de 2023.

 

Pour le dg de la Sapco, «cette convention prévoit, entre autres pistes de collaboration, après la phase d'exploitation, la création d'une Dune et d'un Oasis sur environs 170 ha. Il s'agit d’un projet ambitieux qui se place en droite ligne avec la volonté affichée du Président Macky Sall, de faire du tourisme un important levier de croissance, sans compter ses énormes retombées pour les populations et les investisseurs nationaux comme étrangers, dans les localités concernés». En effet, poursuit Souleymane Ndiaye, «cette exploitation minière est située sur un système de dunes mobiles côtières près de Mboro et Diogo, à environ 50 au nord-est de Dakar, le gisement s'étendant vers le nord sur plus de 100 km le long de la côte atlantique du Sénégal. De même, il est important de rappeler que le processus d'attribution avait prévu une étude d'impact environnementale et sociale, sanctionnée par la délivrance d'une attestation de conformité et réalisée entre 2005-2006». Pour Guillaume Kurek, le Directeur général de GCO, «le projet Oasis du désert dans la zone de Lompoul va créer une centaine d’emplois et promouvoir la destination Sénégal».

 

 Youssouf NDIONGUE

 

Cent glorieux jours à la tête d’une institution comme la société nationale de transport Dakar Dem Dikk (DDD), ça se fête. Surtout si le travail est jugé satisfaisant. C’est, du moins, l’exercice auquel le directeur Ousmane Sylla s’est prêté, non sans brandir des statistiques qui honorent le travail effectué par son équipe.

 

 Avec 3 300 salariés et prestataires, 4 business-services, 44 millions de transporteurs, la société de transport publique incarne une entreprise ancrée en plein dans le développement. Loin des difficultés qui ont toujours émaillé la gestion de la boîte, DDD respire la santé et se lance dans le renouveau avec l’annonce faite par Ousmane Sylla de l’arrivée de plusieurs centaines de nouveaux bus. Selon lui, «ceci est le résultat des efforts consentis depuis mon arrivée pour relever le défi de la société afin d’améliorer les conditions des travailleurs. M’inscrivant dans la politique déclinée par le chef de l'État, la boîte a su se relever et a généré 50 % d’amélioration des résultats par rapport en 2022, avec une augmentation de recettes de plus de 45 %, en plus des 28 % de renouvellement du parc et une réduction de moins de 15 % de consommation en carburant».

 

 En effet, concernant la sécurité routière, Ousmane Sylla précise que «les bus de Dakar Dem Dikk n’ont engendré aucun accident grave ou mortel depuis 2017, et ce, grâce à la prudence des conducteurs qui ont fait de la sécurité routière une priorité. Après avoir traversé une période difficile, une nouvelle démarche est adoptée et visant à satisfaire les travailleurs de Dakar Dem Dikk et à améliorer leurs conditions de vie et de travail». Ainsi, pour un climat social attractif, de nombreuses rencontres ont été organisées avec les acteurs de la société pour motiver le personnel et apaiser les relations jadis difficiles au sein de l’entreprise. Mais somme toute, de nouveaux bus sont annoncés pour juin 2023 afin d’enrichir le parc et offrir aux Sénégalais un meilleur service de transport en toute sécurité. «L’arrivée de 300 bus pour le réseau urbain et interurbain, avant la fin du mois de juin 2023 et 1400 autres bus qui vont créer 2000 emplois sont bien dans les prévisions», se projette le maire Kédougou.     Y. NDIONGUE

 

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